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Wendy et Nate• Wendy et Nate séparés c’était un peu un homme sans ces cinq sens, un caillou qui parle, un parfum sans odeur, de l’alcool sans effet, un nudiste habillé, une musique sans instrument, pour simplifier, l’un sans l’autre était quelques choses d’impensable, ils étaient comme le Ying et le Yang, ils étaient inséparables et ne pouvaient pas se débrouiller ou avancer loin de l’autre. Certaines personnes auraient pu dire qu’ils étaient encore trop jeune pour se projeter dans l’avenir, qu’ils allaient faire de nouvelles rencontres et qu’ils s’éloigneraient, mais Lewis savait très bien que tout ça était faut et qu’ils étaient fait pour être ensembles. Wendy n’avait pas besoin de se maquiller ou de mettre un énorme décolleté plongeant pour être belle, non, elle était naturellement belle, et le jeune homme était fier de cette femme, il était fier de ce qu’elle faisait, fier de sa façon de penser, de sa façon d’être, de la manière qu’elle avait de parler aux gens, de son style… Nate était fier de la femme qu’il aimait, il était le premier à la soutenir, à la pousser dans ce qu’elle faisait. Il l’aimait depuis maintenant des années, même s’il n’en était pas conscient, son départ à Washington lui avait permis de se rendre compte aujourd’hui que jamais il ne pourrait oublier Wendy, jamais elle ne sortira de sa tête, elle était encré en lui, elle faisait partie de lui. Si elle venait à partir ou à disparaitre, je pense qu’en fait, jamais je m’en remettrais, aujourd’hui, je me suis rendu compte que sans elle, je n’étais rien, il n’y a qu’à regarder Washington, je faisais comme si tout allait bien, mais au fond de moi, je n’étais pas totalement heureux, il me manquait quelque chose pour que je sois épanoui, il me manquait une personne, et, cette personne était brune avec un visage d’ange, cette personne était celle qui me faisait sourire juste lorsque je pensais à elle, cette personne était la perfection, elle était ce que j’aimais le plus au monde, ce qui m’attirait, et, surtout, la personne dont jamais je ne pourrais me lasser. Je l’avais quand même taquiné un peu, lui posant une question à propos de ces seins, disant qu’il y en avait un plus haut que l’autre, chose qui était fausse, mais, j’avais dit la première question qui m’étais passé par la tête. Des conneries je pouvais en débiter, mais, Wendy était pas mal dans son genre lorsqu’on était ensemble, et, elle ne manquait pas de répondant. « Et toi, t’a toujours cet œil qui dévit, faudrait que t’aille voir un ophtalmo pour qu’il fasse quelque chose, car franchement ça va plus. » Ne pouvant m’empêcher de la regarder avec un grand sourire, j’avais juste envie de la prendre dans mes bras et de l’embrasser. C’est étrange je sais, mais, ces vannes m’avaient manqué, alors, tous ce qu’elle aurait pu faire qui pourrait me faire me rappeler de notre relation me fera sourire et me donnera envie de l’embrasser. Bref, la regardant partir en courant, sur le coup, je ne compris pas trop, elle avait l’air de vouloir jouer à cache cache… Bon, je sais, on a plus dix ans, mais, on est encore des gamins dans nos têtes à certains moments. Alors, avançant doucement dans ce parc, regardant un peu partout, je commençai à parler fort pour qu’elle puisse m’entendre. •
« Hey l’asticot ! Tu sais que peu y’avoir des violeurs ou des trucs du genre dans le coin ? Je serais toi, je viendrais rapidement vers moi et je me cacherais derrière moi… Après, c’est toi qui vois ce que tu préfères ! »code by biscotte
Wendy et Nate• A la base, je ne suis pas trop le genre de gars à m’accrocher comme ça, à me confier à n’importe qui et à raconter ma vie à tout le monde. Je suis plutôt le gars cool qui ne va pas se prendre la tête, qui va sourire pour montrer que tout va bien, même si parfois, ce n’est pas vrai. Prenons l’exemple de mon départ à Washington, il y a plusieurs années. Je souriais, pour montrer que tout allait bien, mais au fond de moi, rien n’allait. J’avais quitté la personne que j’aimais le plus, celle à qui j’avais confié ma vie, à qui j’avais tout dit, à qui j’avais donné mon cœur sur un plateau d’argent si l’on aurait pu dire. Elle aurait pu le prendre, l’exploser contre un mur et le briser en mille morceau, mais, je lui faisais confiance, je savais très bien qu’elle ne l’aurait jamais fait, je la connaissais trop bien. Wendy c’était Wendy vous savez, le premier qui la touchait je lui démonte la gueule, je ne chercherais pas à comprendre, ça, je peux vous l’assurer. On touche à un cheveu de Wendy, on me touche. Alors, ne cherchez même pas à le faire. Bref, je disais, lorsque j’étais parti à Washington, je faisais en sorte de sourire, de faire en sorte de rigoler, mais, c’était faux, ça n’allait pas, je le savais, mais, bizarrement, je ne voulais pas le montrer, j’étais parti et je devais assumer mon départ. J’avais laissé Wendy seule, on s’aimait, j’étais parti. Des fois, je m’en voulais. Vous savez, quand vous laissez la personne que vous aimez le plus au monde pour partir dans une nouvelle ville, vous vous en voulez, c’est obligé. Alors, ne croyez pas que tout aille bien, que tout est jolie, tout est cool, c’est faux, c’est loin d’être la vérité. On est mal, on s’en veut, on se demande pourquoi on a fait ça, et puis, un jour, on essaye de ne plus y penser, c’est dur, mais, on y arrive, ou alors, on y arrive partiellement, c’était mon cas, je faisais comme si je n’y pensais pas, mais, je savais très bien qu’elle hantait toujours mon esprit, que toujours elle serait dans ma tête, et que c’est pour ça que je ne pouvais avoir de vrai relation, Wendy était la seule personne avec qui je voulais avoir une relation, avec qui je voulais construire quelque chose, quelque de bien, de beau, de grand. •
• Marchant dans ce parc, je l’appelai l’asticot, je savais très bien qu’avec ce petit surnom qu’elle n’aimait pas, elle n’allait pas tarder à pointer le bout de son petit nez que j’aimais tant et commencer à me faire savoir qu’elle n’aimait pas du tout quand je l’appelais comme ça. D’un côté, c’était le but, la faire sortir, alors bon, je n’y avais pas été par quatre chemins. Allant en direction d’un banc, elle me regarda avec de grands yeux, comme si elle allait me sauter dessus et me casser une ou deux dents. La rejoignant, elle commença à passer un bras autour de moi pour finir par l’enlever et répondre à ma provocation. « Si tu continu à m’appeler l’asticot, t’es sur que t’aura plus de bisous ni de câlins. Et si tu continu, je vais faire la chose que tu ne supportes pas, bouder. » Croisant les bras, elle commençait déjà à faire comme si elle boudait. Je le savais, elle ne boudait pas, elle faisait comme si, je trouvais ça drôle. C’est ce que j’aimais le plus avec elle, cette façon qu’elle avait de se comporter comme une enfant, elle était mature, bien sûr, mais, elle savait quand il fallait rigoler, et, elle le faisait parfaitement. Alors, la serrant contre moi sans trop lui laisser le choix, je déposa un léger baisé sur sa joue vu qu’elle faisait comme si elle m’évitait, avant de plonger mon regard dans le sien et de prendre la parole. •
« Sérieux ? Tu veux vraiment me faire pleurer le jour de nos deuxièmes un an ? »code by biscotte
Wendy et Nate• Stop ! Stop ! Arrêtez ça tout de suite ! Mettez sur pause, faites un arrêt sur image, une impression d’écran je sais pas quoi, mais faites une connerie du genre à prendre cette scène en photo. On se serait cru dans un de ces films romantiques passant les après-midi sur ces fameuses chaines de télévision. Vous savez ces films à l’eau de rose où le garçon va disparaitre à l’inconnu, dans un endroit que personne ne connait, laissant cette femme à l’abandon, sans nouvelle, et puis un beau jour il va revenir, ne lui laissant d’autre choix que de venir le rejoindre. Ne sachant quoi faire au début, ils finiront par s’embrasser romantiquement sous un lampadaire la nuit, sous la pluie, devant un beau couché de soleil ou bien comme ici présent, à la sortie d’un restaurant après que le garçon de cette histoire l’ai rattrapé par le bras avant qu’elle ne disparaissent à son tour. C’était ça, ils étaient devenus comme ça sur le moment, les mêmes ! C’était surement con à dire car Nate n’aimait pas vraiment regarder ce genre de film, ça l’ennuyait plus qu’autre chose, mais ils étaient en train d’en tourner une scène là, et pour tout vous dire, ça ne déplaisait pas à l’étudiant. En même temps, la fille, c’était Wendy, j’étais content de l’avoir retrouvé, alors, faire comme si on tournait un film ou je ne sais quoi, ça ne changeait rien, j’aimais Wendy. Bref, assis sur ce banc, je lui avais demandé si elle voulait me faire pleurer le jour de nos deuxième un an, me regardant en souriant, la belle petite brune déposa sa tête contre mon épaule pour qu’on puisse regarder le couché de soleil ensemble. Passant mon bras autour d’elle, j’apprécia ce moment. Putain, comment ça m’avait manqué tout ça, de passer ce genre de petits moments avec elle, de me rendre compte à quel point j’étais bien avec elle. Elle était tout pour moi, je le savais. Une fois ce magnifique spectacle terminé, la belle Wendy se leva du banc tout en me tendant la main. L’attrapant et me levant à mon tour, elle passa ces bras autour de ma nuque, alors, déposant mes mains sur les hanches de la belle, je lui déposa un doux baisé sur ces fines lèvres avant de répondre à sa question. «On rentre ? » Je n’avais pas envie de rentrer, ça voudrait dire que j’allais laisser Wendy seule, que j’allais la revoir demain surement, je voulais continuer cette soirée avec elle. •
« J’ai pas envie de te laisser… Par contre, si on rentre ensemble, ça me va… »
• J’avais envie de continuer la soirée de nos un an, qu’elle ne se finisse pas comme ça, tout ce que je voulais c’était passer encore du temps avec cette femme que j’aimais tant. Je l’avais retrouvé aujourd’hui, et, depuis des années, je pouvais vous assurez que c’était ma meilleure journée. •code by biscotte
Wendy et Nate• Voyager, partir à l’inconnu, découvrir de nouvelles terres, de nouveaux lieux, vivre, vivre pleinement ce voyage, cette opportunité de visiter quelque chose de nouveau. Qui n’aurait pas aimé quitter ce lieu qui était votre pays, votre ville, votre appartement pour partir loin, dans un autre pays, dormir dans un autre lit, une autre ville, se réveiller sans avoir la même vu, découvrir un nouveau climat, de nouvelles cultures, de nouvelles personnes, une nouvelle langue ou bien encore de nouveau plat que vous ne trouvez pas si facilement chez vous ou alors seulement en boite de conserve totalement immangeable et pas du tout représentatif de ce qu’on aurait pu vous servir dans son pays d’origine ? Ne me dîtes pas que voyager ne vous intéresse pas, j’aurais vraiment du mal à vous croire, sérieusement, qui n’a jamais voulu tout plaquer pour partir à l’inconnu et recommencer une vie là-bas ? Repartir de zéro, vous créé une nouvelle identité, une nouvelle façon de voir la vie et de faire les choses ? Tout le monde… Tout le monde en a déjà rêvé, ou alors, a vu passer cette idée dans sa tête au moins une fois. D’autre l’auront laissé germer, atteindre la maturité pour pouvoir l’exploiter et vraiment le faire. Ces gens qui n’en ont plus rien à faire de cette vie qui les dégoutait plus qu’autre chose… Si l’on regarde bien, les personnes qui ont voyagé se reconnaissent assez bien, elles sont… Comment dire… Plus ouverte, voilà, c’est ça. Elles n’auront pas peur de prendre la parole avec un inconnu, faire connaissance avec je ne sais qu’elle personne qui passerait par-là, juste pour le plaisir de communiquer, de faire de nouvelles rencontres. Un voyage ne peut être que bénéfique, du moins, tant qu’il ne vous arrive pas d’ennui, car là, vous allez tout de suite mon apprécier ce nouveau pays et voyager ne va pas tant vous plaire que ça, vous allez vouloir rester chez vous, dans cet endroit où vous êtes sûr de ne pas avoir de problème. Alors, si j’ai un conseil à vous donner, voyager, faites-vous plaisir tant que vous le pouvez, découvrez de nouveaux pays, de nouvelles langues, de nouvelles cultures avant qu’il ne soit trop tard, avant que vous ne puissiez pu le faire, que l’argent manque, que votre vie de famille ou bien votre vie au travail vous en empêche, alors, profitez maintenant, que vous soyez seul où à plusieurs, foncez, allez-y, n’attendez pas qu’il soit trop tard, c’est maintenant ou jamais, alors, je pense que maintenant, vous savez très bien ce qu’il vous reste à faire… Voyager. C’était étrange, mais, au jour d’aujourd’hui, je n’avais aucune envie de partir, de voyager, ou alors, en compagnie de Wendy, c’est tout ce que je voulais en fait, si maintenant je devais partir ou voyager, je devais le faire avec ce petit ange. Bref, je lui avais fait savoir que je n’avais aucune envie de la laisser, que si je rentrais, c’était avec elle. Sentant sa douce main caresser mon visage, elle prit la parole. J’ai dit « on rentre » alors tu rentres avec moi et tu dors avec moi ! je compte pas te laisser rentrer à ton chalet ce soir. Tu es coincé avec moi jusqu'à demain ! Hmm… Vu dans ce sens-là, je rentre tout de suite ! Alors, embrassant tendrement la belle, je la regarda avec un grand sourire pour répondre à sa phrase. •
« Vu comme ça, on rentre ! J’accepte ta proposition ! »
• J’allais passer la soirée avec Wendy, toute la soirée, la nuit, et, j’allais pouvoir ouvrir les yeux et la voir, voir son beau visage, ces yeux fermé, son sourire, sentir son odeur près de moi, j’avais hâte de rentrer. •code by biscotte
Wendy et Nate• Non, je ne suis pas d'accord. Pourquoi commencer avec un "Il était une fois..." ? Tout le monde sait que quand une histoire commence avec cette introduction, la fin sera joyeuse, les méchants seront mort, et les gentils seront heureux, marié et avec deux, voire trois enfants. Pour une fois, on va changer, chaque histoire n'est pas belle à écouter, jolie à lire. Non, je ne me plaindrais pas de la vie que j'ai eu, mais à vrai dire, j'aurais pu avoir mieux, mais comme l'a dit un philosophe "Si on avait la vie qu'on rêve, on rêverait de la vie qu'on a". Remontons vingt-six ans en arrière, là où nos parents n'avaient pas tous les soucis qu'on a, là où ils étaient heureux et ne se préoccupait que de leur bonheur. La belle époque si l'on y réfléchi bien quelques minutes. La naissance de Nate se fit sans aucune complication, arriver le jour où il était prévu, il sorti en bonne santé. Nous n'allons pas nous attardé trop longtemps sur ce point-là, car tout le monde sans moque. Je n’ai pas eu de réels parents, du moins, si, j’en ai eu, mais, je ne les ait jamais connu… Est-ce que j’aimerais savoir qui ils sont ? Un jour surement, mais, pour le moment, je n’y prêtais pas vraiment attention, j’avais appris à vivre comme ça, et, j’avais des parents, ceux qui m’avaient adopté, et, je peux vous dire qu’ils ont toujours été là pour moi, et qu’ils m’ont toujours gâtés, peut-être même un peu trop, j’avais toujours eu ce que je voulais. Bref, passons, revenons-en à nos moutons, c’est plus intéressent, beaucoup plus même. Ont avaient quitté ce parc où l’ont avaient vu un beau couché de soleil et ont c’étaient dirigé en direction des chalets. Passant par des chemins discrets pour éviter de nous faire voir, oui, c’était interdit de ramener une fille ou un garçon dans sa chambre. Qu’est-ce que j’en avais à faire de suivre Wendy dans le son chalet, je vous l’assure, je voulais juste passer la suite de la soirée avec elle, qu’on puisse passer un moment de tendresse ensemble. Une fois arrivé, la belle referma la porte derrière elle avant de prendre la parole en me regardant en souriant. « Bienvenu dans mon chalet ! Bon j’avoue ils se ressemblent tous m’enfin bon ! » Bon, j’étais d’accord, mais, celui-là faisait plus féminin que celui dans lequel j’étais, je peux vous l’assurez, au moins, ici, c’était rangé par rapport au mien qui était… Comment dire, légèrement en bordel, même si je faisais en sorte de ne pas trop laisser trainer mes affaires. •
« Il est bien ton chalet ! Au moins, il est rangé par rapport au mien, je t’assure ! »
• Lorsque la belle monta dans son lit, cette dernière attrapa ma main pour que je vienne avec elle, alors, la laissant monter, bon, je vous avoue, j’ai légèrement eu le regard fixé sur ces fesses, mais, ça, on va dire que c’est normal. Bref, une fois qu’elle fût monté dans son lit, je la suivi pour venir me couché prêt d’elle. Wendy sorti son ordinateur portable pour l’allumer. Déposant de doux baisé dans le coup chaud de Wendy, je profitais de ce moment où l’ont étaient que nous deux. •
« Ça m’avait manqué ces moments-là avec toi… »code by biscotte