Birthday party in Australia || Alaska

L'Australie, ce pays si beau, si chaud, si 5 seconds of summer, tellement...mon avatar, que j'ai hâte d'y être. Pour mon anniversaire, Alaska a décidé de m'offrir un petit voyage en amoureux à Melbourne, mais payé par mes soins. Si c'est pas romantique tout ça, ma petite amie utilise MON argent pour MON anniversaire....Bref, ce matin nous devons nous réveiller tôt, 4 heure du matin pour prendre l'avion à 6 heure et demi, histoire qu'on ne rate pas notre vol. Nos sonneries de téléphones ce mettent donc à sonner. J'offre mon œil avec beaucoup de mal, j'ai envie de pleurer. Dodooooo, je grogne en essayant d'éteindre l'appareil. En ouvrant les yeux, je vois une Alaska au garde à vous, visiblement prête à prendre l'avion. Je sors du lit, ne prenant même pas le temps de prendre mon petit-déjeuner, sautant dans la touche et mes vêtements. Une casquette à l'envers sur la tête, je prend nos bagages, suivant la silhouette d'Alaska jusqu'à l'extérieur de la maison.

T'étais déjà prête, le soleil été à peine lever, mais t'étais déjà prête. Les converse au pied, le short, la queue de cheval, on mode exploratrice, t'étais déjà prête. T'avais totalement zapper l'anniversaire de lucas, entre le spring break et le bébé, ta tête été totalement ailleurs, et c'était pas sympa de ta part étant donner qu'il s'était donner beaucoup de mal pour le tiens. Tu voulais être la petite amie parfaite, mais bien sur il a fallut que tu t'appelle Alaska Granger. Alors t'es aller sur Voyage Low Cost, t'as trouver des vol pas cher, des pack avec des hotel déjà compris dedans et des trucs sympa à faire genre balade en montage avec des gens et sauna, au début t'étais résistante, encore un voyage ? Et au final, t'as pris un pack pour deux personnes dans un hotel qui semblait être cool en photo. Contrairement à ce qu'il peut penser tu as utiliser TON fric, hééé oui, le dur labeur d'une serveuse au strabucks et les devoirs de quelques eliots que t'as fait pour elle, et t'as eu tout ça. Monsieur immerge doucement, tu saute sur le lit pour embrasser son front. « Joyeux anniversaire, mon amour. » dis-tu dans un sourire, non, pas de petit coup au reveil, l'avion aller partir sans vous. « Prend une barre de chocolat. » dis-tu en enfonçant prèsque un mars dans un bouche. Tu le pousse lorsqu'il veut prendre le volant, même avec une jambe en moins tu peut assurer un parfait anniversaire et conduire jusqu'à l'aéroport. « Boooon, déjà, il faut que tu saches qu'on sera en classe économique MAIS, on est devant, alors tu pourras tendre tes jambes autant que tu voudras. Ensuite, on a une chambre commune avec un autre couple, mais on m'a assure qu'aura un mur qui nous sépare, ou un rideau, je suis plus sure MAIS, on sera tout le temps dehors alors on s'en fou ? Hein ? Je suis géniale hein ? » si t'avais plus de fric t'aurais pris une suite de lux ou spéciale vacance en amoureux, mais tu comptes chaque centimes alors on est pas sortit de l'auberge. Une fois à l'éaroport, tu te dirige vers la porte d’embarquement, dont la queu été un peu longue, pas grave, positive attitude.

Mon anniversaire est passé presque depuis un mois, mais Alaska a absolument voulut qu'on parte en amoureux. En même temps, entant que super petite-amie, elle a complètement zappé le plus beau jour de sa vie : celui de ma naissance. Du coup, c'est avec du mal que je me réveille, les hurlements d'Alaska raisonnant dans mes oreilles. C'est déjà passé..., je grogne, alors qu'elle me souhaite un joyeux anniversaire. Ouvrant enfin les yeux en grand, je me retrouve avec un pauvre mars dans la bouche, regardant Laska qui était prête. Woah, mais elle s'est réveillée à quelle heure pour être déjà toute prête ?. Peu importe, je me dépêche tant bien que mal pour me préparer. A la voiture, je dépose les bagages dans le coffre, allant jusqu'au siège du conducteur, mais même avec un pied en moins, la petite brune réussit à me devancer. Tu veux qu'on meurs ?, je lui demande avec un regard inquiet, tout en posant mon beau petit cul à côté d'elle. En route, elle me déballe la liste de notre séjour, en me parlant de l'avion et de l'hôtel. Une chambre commune...hm...tant qu'ils nous demandent pas un plan à quatre ça me va, je lui répond en rigolant. Mais oui, ça sera super ma chérie, merci !, dis-je en venant lui déposant un baiser dans le creux de son cou. A l'aéroport, j'essaye de suivre Speedy Alaska qui s'envole littéralement jusqu'à notre porte d'embarquement dont la queue est un peu longue. On a combien d'heures de vol ?, je demande à la jeune femme, tout en passant mes bras autour de sa taille. Il est peut-être tôt, on fête peut-être mon anniversaire tard, mais en tout cas, j'ai hâte d'y être. J'espère que ce voyage ce passera beaucoup mieux que le Spring Break.

« Fallait être sûre que tu soit bien vivant. » dis-tu dans un rire, bah oui dans la tradition.. je sais plus lequel, on attend un bon mois avant de souhaiter sa naissance à une personne, pour être bien sure qu'elle soit vivante. Bon, dans ton cas c'est parce que t'avais totalement zapper, mais on te pardonne pas vrai ? Parce que tu es la fabuleuse granger. Qui a tout organisé, seule, en deux semaines chrono, tu lui expose ton plan alors que tu fais gaffe de n'écraser personne par inadvertance sur la route. « J'espère surtout que c'est un couple de vieux qui passera sa vie à la plage. » parce que ce serai chiant que ce soit un couple comme vous, tout feux, tout flamme qui baise dans chaque recoin de la chambre. Tu frissones à se baiser et lui adresse un sourire. « J'espère que ça le sera. » dis-tu alors que tu prend place sur le parking. Ok, faut se dépécher, Lucas à pas l'habitude de voir speedy alaska courir dans tout les sens, parce qu'il a l'habitude de zero queue et être accueillit par une hotesse de l'air au calme. « 26h. » dis-tu en serrant ses mains dans les tiennes. « ça fait long, mais t'inquiète pas, quand on y sera ce sera parfait. » tu te redresse pour embrasser ses lèvres, les doigts sur sa nuque. L'hotesse vous dit d'entrée et tu te précipite sur vos places, en te faufilant entre les gens.

Pourtant c'est mon fantôme qui te parle là, dis-je en finissant par me réveiller. C'est vrai, je n'ai pas l'habitude de tout ça. Je ne me réveille jamais tôt, ne prend jamais la route au petit matin, et ne fais encore moins la queue dans un aéroport. Oh que non d'habitude, j'ai le droit à tout ça mais version VIP. Imagine qu'on a des vieux qui pètent la forme. Ça serait une horreur, on serait obligé de leur hurler dessus. Arrivé sur le parking, je frôle la mort en la voyant se garer. Mon dieu, mais elle a eu son permis dans une pochette surprise ou quoi ?. Non, elle veut juste ma mort mais pourquoi ? Elle n'est pas sur mon testament, j'en ai même pas d'ailleurs du coup, elle ne toucherait rien en me autant la vie. C'est officiel, je déteste faire la queue, en plus de ça tout le monde se colle à nous. 26 HEURES ?, je répète un peu trop fortement. Oh mon dieu, doux jésus Marie Joseph, cette mère de Dieu, on va y laisser notre peau. Là, je cligne à peine des yeux que je vois Alaska se faufiler entre les gens. Laska !!!, dis-je désespéré en la voyant disparaître au loin. Bon pas grave, j'arriverais après elle. Montrant mon billet et passeport, j'arrive enfin à nos sièges, Alaska bien confortablement installée. Lâcheuse, je grogne en m'asseyant à côté d'elle, tout en étalant mes longues jambes.

« Oh non, ne me parle pas du pire. » le pire ce serai vraiment un jeune et une vielle ou le contraire plutot, un vieux crouton et sa pouffe de jeunette, entrain de se faire des trucs pas catholique. HELL NO. Tu secoue la tête et manque de te garé sur le trottoir. « désolée, ma cheville est encore pas top. » dis-tu en grimaçant. Elle serai top d'ici deux trois MOIS, ça t'a fait un choque, ne plus pouvoir bosser pendant deux mois parce que tu sera incapcable de tenir debout trop longtemps. Quoi qu'il en soit, vous arrivez dans la queue pour entrée et tu viens de découvrir que ton copain est nul en géographie. « Oui, tu pensais pas que c'était un vol, Paris, Lion ! » dis-tu en frappant sur son épaule pour le faire taire, tout le monde c'était tournée vers vous. Tu laches ensuite un rire, parce que c'est mignon de le voir dans cette état. Et puis c'était partit pour avoir la meilleure place, étant petite et rapide, tel un renard, tu te faufile entre les gens pour avoir la meilleure place, et monopolise les deux sièges du devant. BOUM DANS TON CUL A GROSSE QUI VOULAIS LES DEUX SIEGES POUR SON GROS CUL. Tu lui tire d'ailleurs la langue avant de voire ton superbe copain et sa casquette de travers. « Tu voulais qu'on se retrouve entre le chauve et la meuf et son bébé ?, » dis-tu en pointant les gens qui se trouvait derrière vous. Tu restes une dizaine de seconde à regarder le bébé qui te regarder aussi, ou alors il regarder ailleurs, mais tu avait l'impression que c'est toi qu'il regarder, il finit par tournée la tête et la mère te lance un regard chelou. « Tu as vu le bébé ? Il me regarder hein, il veux me faire passer un message. »

Qu'ils annulent, ça sera plus simple, comme ça on aura la chambre que pour nous, sans personne qui nous fasse chier. Je vais commencé par faire de nouvelles règles. Règle numéro : ne plus jamais laissé Alaska conduire sinon elle nous tue, en plus de pauvres innocents. Ben voyons, ton pied à bon dos, je répond en me moquant d'elle. La pauvre, depuis le Chilli, elle galère pour marcher et en plus de ça, elle ne peut plus bosser. Non, mais je pensais que c'était genre la moitié quoi, dis-je avant de la voir se faufiler tellement un serpent entre les autres passagers. Oui, je peux le voir car j'ai de grandes jambes et du coup, ma tête dépasse celle des autres. Après avoir piétiné pendant plusieurs minutes, je retrouve une Alaska tranquillement installée sur le siège, qui me tire la langue. Je roule les yeux à sa question, secouant la tête négativement pour lui répondre, puis m'assoie sur mon siège. Un message ? Lequel ? Sors moi de là ma père est une tarée ?, dis-je en éclatant de rire tout seul, regardant tout les autres entrés. Une fois l'avion complet, l'engin se met en route et s'envole dans les airs, tandis que nous avons le droit aux règles de sécurité. M'enfonçant sur mon fauteuil, je pose ma tête sur l'épaule d'Alaska, essayant de m'endormir histoire de poursuivre ma matinée de sommeil.

Tu lui tire la langue, parce que toi tu sais comment faire pour avoir les meilleurs choses à petit prix, et surtout parce que tout l'avion envier votre place. C'était le lux en classe éco'. Le bébé te regarde, t'en ai sure, il veux te faire passer un message, t'en ai sure, dure comme fer. « Ferme là. » dis-tu en roulant des yeux, alors qu'il rit à sa propre blague. À quel moment c'est drôle ? Pour que j'sache quand j'doit rire. « Il veut qu'on est un bébé. » dis-tu d'un ton plus sérieux. Est-ce que c'est le moment d'en parler, alors que l'hotesse de l'air fait son petit spectacle avec ses mains et les sortit de secours et blahblah, si l'avion se crache on mourira tous de toute façon, alors à quoi bon savoir par ou sont les sortit de secours. « Je pense que je l'aurait garder. Le haricot. » enfin non, enfin peut être, t'es pas sure, tu voulais pas avoir a y réfléchir alors peut être qu'il se serait imposé de lui même, mais maintenant que tout les signes sont là, faudrait vous mettre d'accord. « On garde le prochain. » si il y a un prochain, et si maden ne vient pas te l'arracher entre tes cuisses.

Le lux, le lux, non ça ce n'est pas le lux. Le top, le lux c'est d'être derrière le rideau qui se trouve devant nous, entrain de boire du champagne et grignoter de bonnes chips. Comment ça, ferme là ! Mon dieu, je suis choqué. QUOI ?, je m'exprime un peu trop fortement, alors qu'elle me traduit le message du bébé, n'ayant pas rit à ma super blague du Siècle. Le bébé veut qu'on ait un bébé ? Putain, mais elle vient de se droguer, à moins qu'elle le soit naturellement. Je ne sais pas si c'est le moment d'en parler, je jette de temps en temps un coup d’œil à l'hôtesse de l'air, qui nous montre les signes de survit. Car contrairement à ma chérie, si on doit mourir, j'aimerai bien essayé de nous sortir de là avant, histoire de ne pas être mort en me laissant aller. Je la regarde surprit, alors qu'elle m'avoue qu'elle aurait gardé le haricot. Vraiment ?, je lui demande, alors qu'elle enchaîne en disant qu'on gardera le prochain. Attend, tu veux qu'on est un bébé ? Enfin, qu'on essaye d'en faire un ?, je lui demande deux fois plus surprit en levant la tête pour la regarder dans les yeux.

C'est le lux des pauvres, okay, profite maintenant. T'en sais rien de ce qui se passe, t'es sure que ce bébé essaie de te faire passer un message, comme si les choses n'étaient pas assez compliquer, il été entrain de te mettre des trucs dans la tête.. des regrets, voilà le mot. Le truc c'est que tu VOULAIS avoir le choix, ne pas t'avoir laisser choisir, te frustre horriblement et tu te dit qu'au fond tu l'aurais surement garder, parce qu'un Granger, n'abandonne pas un autre Granger. « DOUCEMENT LUCAS. » dis-tu en gueulant à ton tour, quel couple délicat faite vous. Tu soupires et te tournes vers lui, rien à foutre des hotesses de l'air, rho. De toute façon, dans ses soit disant poche d'air qui se trouve au dessus de vous, y a de l'air que pour 10 minutes, tu peut faire quoi en 10 minutes quand t'as plus d'air, dit moi ? « Non, je ne VEUX pas avoir un bébé. J'veux pas qu'on essaie, bien qu'on le fait tout le temps, mais j'veux dire.. Si ça se reproduit. Qu'y a un autre miracle de dieu, alors on laisse les choses faires. On le laisse venir, on voit comment on fait, on laisse le temps faire son affaire. » sauf si comme je l'ai dit plus haut, Maden t'arrache les ovaires une par une pour les faires frire.