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I'M A NIGHTMARE DRESSED LIKE A DAYDREAM.
— LUKAKIARA.
— LUKAKIARA.
La fête. Depuis quelques jours tu ne faisais que ça, sortir boire de l’alcool et oublier le temps de quelques heures qui tu es et ce qui se passe autour de toi. Les Mather savaient organiser des soirées mémorables, et ce soir, tu avais rejoint leur camp pour profiter de la vie. T’étant préparer avec soin, ondulant tes cheveux légèrement pour ne pas qu’ils soient complètement bouclés. Un rouge à lèvre couleur sang ornait ta bouche et ton maquillage se faisait sobre mais sombre aux alentours de tes yeux. Entre dix robes, tu avais hésité avant de prendre celle qui serait finalement la seule et unique. Celle qui était parfaite à tes yeux. Celle qui était courte et moulante, mais qui faisait classe tout de même. Des chaussures à talons aux pieds que tu allais sans le moindre doute perdre pendant la soirée et récupérer un jour ou l’autre. Ça faisait une heure que tu étais arrivée. Une pauvre heure. Mais tu avais déjà bu plus que ton poids en alcool. Tes amies c’étaient toutes trouvées de la compagnie, et toi tu étais seule en train de danser le gobelet à la main. Ce dernier faisant évidemment des allées et retour vers ta bouche. Au bout d’un moment tu sentais quelqu’un se coller contre toi, et tu n’arrêtais pas. Danser à en mourir, danser comme si le soleil ne se lèveraient plus jamais. Tu sentais cette personne insistante. Et à plusieurs reprises tu te voulais de le faire arrêter, mais tu te faisais encercler de ses bras ton rapidement. Tout s’arrêtait, et tu ne voulais plus que ça continu. Ton corps restait stoïque sous ses bras. Et la peur s’empressait de te gouverner. « Lâche-moi. » Il refusait. Tu voulais juste te délier de ce type que tu ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam. Tu l’avais peut-être attirée sans le faire exprès, mais maintenant tu voulais que ça cesse. Te débattant pour ne pas aller dans sa chambre. Il devait être complètement défoncé vu comment il parlait. Mais pour gagner sa cause, tu étais à la limite de tomber par terre et de ne plus te relever. Il te poussait en avançant pour rejoindre ses quartiers, mais non tu n’allais pas rester là sans rien faire. « Lâche-moi je t’ai dit ! » Ta voix se faisait plus forte et catégorique. Mais sincèrement avec tes petits muscles tu n’allais pas le faire te lâcher de si tôt. Sans que tu n'ai remarqué, des larmes avaient commencée à se déverser sur tes joues. Tout cela à en croire que ta roue ne tournait jamais et qu'elle restait dans la poisse et l'horreur.
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