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i love you for a thousand years (weaslacce)

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J'avais pris l'avion hier matin à Boston pour New York. Puis j'avais pris un vol New York-Paris et me voilà enfin dans le dernier avion qui me sépare de mon petit ami. Je baille légèrement et grimace quand je vois mon reflet dans mon téléphone portable. Franchement, ça fait peur. Il faut dire que je vole et change d'avion depuis vingt quatre heures maintenant. J'ai dormi les trois quart du voyage mais bon, ça n'a rien à voir avec une nuit dans un beau lit. J'attrape mon sac à main et commence une rapide mise en beauté. Fond de teint, blush, poudre, mascara, rouge à lèvres. C'est léger, très léger. Je vois la ville sous mes pieds et souris légèrement. J'ai hâte, hâte de retrouver mon petit ami. Il faut se rattacher alors je le fais avec plaisir. Parce que je sais qu'une fois qu'on aura applaudit le pilote, je ne serai plus qu'à quelques minutes de Bonaventure. Cinq minutes plus tard, je pose les pieds sur le tarmac, les lunettes sur le nez et ma valise-cabine que je traine derrière moi. Je me suis changée à Paris. Adieu le jogging et le pull moche et bonjour à la jolie petite à manches langues près du corps. J'arrive rapidement dans l'aéroport et cherche Bonaventure du regard. Quand je croise son regard, j'attrape ma valise par la hanse et cours en direction de lui. Je pose ma valise parce qu'elle me ralentit - et que c'est pas facile de courir avec une valise - et lui saute dans les bras. Mon visage enfouit dans sa nuque, je me laisse aller, je pleure. Je reste comme ça quelques secondes avant de le regarder, de prendre son visage entre mes mains. " Je t'aime Bona, je t'aime " Soufflais-je avant de l'embrasser. Je l'aime et dieu qu'il m'a manqué !
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Retour aux sources comme qui dirait l’autre mais Bonaventure se serait passé de ce voyage. Depuis son arrivée, il tournait comme un lion en cage et les visites incessantes des amis de ses parents commençaient à lui taper sur le système. Il n’avait envie de voir personne et il allait bien. Du moins, autant qu’un américain le serait dans un pays étranger, dans une maison bien trop grande pour lui. Sa seule consolation résidait dans le matériel High-tech que ses parents avaient veillé qu’il est dès son arrivée pour pouvoir garder contact avec ses proches. Le métisse avait tout de même fait un petit saut dans la ville histoire de se familiariser avec son proche environnement, fait les courses etc. En dehors de cela, il n’avait fait que s’asseoir sur la terrasse comme une âme en peine, attendant que le temps passe. Or, aujourd’hui, c’était une vraie pile électrique qui courait à moitié d’un bout à l’autre de la maison pour faire le ménage. Andrea lui rendait visite et Bonaventure voulait que tout soit prêt pour elle. Il tremblait d’impatience de pouvoir la prendre dans ses bras, l’entendre à nouveau en dehors de l’ordinateur et surtout l’embrasser. Dieu qu’il avait envie de l’embrasser.

Ce n’est qu’une fois à l’aéroport qu’il se rendit compte qu’il avait bien une heure d’avance sur l’horaire prévu. Il était tellement impatient de la revoir qu’il aurait pu siégé dans le hall mais vous n’avez pas idée du bonheur qu’il ressentit en la voyant courir vers lui. Aussitôt, il fit de même pour mieux la soulever dans ses bras et la faire tournoyer. « Je t’aime aussi, tu m’as tellement manqué mon cœur » murmura-t-il fiévreusement avant qu’ils ne s’embrassent. Elle l’aimait et elle le lui avait dit… Il pouvait mourir heureux. « Je te préviens, je ne te lâche plus » lui dit-il en rigolant mais tellement ému de la revoir. Puis, avec tendresse, il sécha ses larmes pour mieux poser son front contre le sien. « Tu vas bien ? »
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Le trajet est complètement flippant. Heureusement que je n'ai plus peur des avions parce que sinon, j'aurai été incapable de faire un tel trajet et je me demande bien comment Bonaventure l'a fait... On en a vaguement discuté par skype mais je suis sûre qu'il a minimisé la chose, c'est pas possible autrement. Les deux pieds sur le sol namibien, mon estomac se tord. J'ai hâte de retrouver mon petit ami, de retrouver ses bras, ses lèvres, son odeur... Et qu'il me fasse visiter le pays. Dans ses bras, je me sens si bien, légère et je souris. Oui, je souris pour la première fois depuis qu'il est parti. " Toi aussi tu m'as manqué " Soufflais-je en l'embrassant à nouveau, liant nos langues une nouvelle fois. On risque de se faire réprimander dans peu de temps mais je m'en fiche pas mal. J'ai besoin de mon homme dans mes bras, de le sentir près de moi pour ne pas croire que ce n'est qu'un mirage... " Eh bien ça tombe bien, je comptais faire pareil... " Ne plus le lâcher, profiter de chaque seconde que dieu nous donne pour être ensemble. Ces quelques jours vont passer bien trop vite alors je veux en profiter. Les deux pieds sur le sol, mes bras autour de lui, je souris largement et secoue la tête de haut en bas. " Oui ça va bien... Maintenant que je suis avec toi ça va " Soufflais-je en l'embrassant tendrement. " Et toi ? " Demandais-je rapidement. Les journées doivent être longues, je n'en doute pas... " T'habites loin de l'aéroport ? " Demandais-je avec un léger sourire en coin. J'ai hâte de le retrouver pour de vrai, de le retrouver dans un endroit privé.
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Ses jours de solitude à errer comme une âme en peine étaient révolus -du moins pour quelques temps ; car Bonaventure tenait dans ses bras la source même de sa vie, son moteur au quotidien. Andrea était plus que sa petite-amie, elle était devenue au fil des semaines une confidente, une meilleure amie et une maitresse. Elle tenait tous les rôles à la fois et s’en priver, c’était comme cesser de respirer. En deux mois, elle lui était devenue si vitale que par moment, cela l’effrayer : comment vivre sans sa présence, sans parfum qui déjà lui chatouillait les narines ? Bonaventure n’avait tout simplement pas la réponse et il s’interdisait même d’y réfléchir. « Alors ça veut dire que l’on reste l’un contre l’autre ? Je crains qu’on finisse à nouveau dans un commissariat pour atteinte à la pudeur mon cœur »rigola-t-il. En même temps, le métisse en avait sué des prisons qu’il préférait se tenir convenablement du moins en public. « Je vais beaucoup mieux maintenant que je t’ai à nouveau dans les bras » soupira-t-il de bien être avant de l’embrasser à nouveau puis de se détacher pour aller chercher sa valise et la reprendre par la main. « A une quinzaine de minutes en voiture. J’habite dans le centre-ville dans une maison… comment dire, je crois que je pourrais faire du vélo dedans » râla-t-il tant il n’aimait pas cet espèce de maison trop grande pour lui. « Par contre, j’avoue que la vue depuis la terrasse est sympa. J’ai hâte que tu puisses la voir » lui dit-il avec un grand sourire tout en marchant vers sa voiture qu’il avait garé sur le parking non loin de là. « Alors ce voyage ? Un enfer hein ? »
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Je souris légèrement à sa remarque. " Les deux heures que j'ai passé derrière les barreaux à Boston m'ont anesthésié... Je pense que je vais donc me décoller de toi jusqu'à ce qu'on arrive chez toi " Un léger rire s'échappe de mes fines lèvres et j'esquisse un sourire à mon petit ami. Il le sait, il sait que j'ai passé quelques heures en prison avant que Priape, Paris et Leanne viennent me sortir de là. Casser le nez d'un officier n'était clairement pas l'idée du siècle. Mais bon, je n'avais pas vraiment réfléchi avec mon cerveau à ce moment là. Main dans la main, on se dirige vers la voiture et je souris largement. " J'ai hâte de voir ça aussi... J'espère qu'il fera beau le temps que je suis là que je perfectionne mon bronzage sans maillot " Je tire légèrement la langue en riant. Mon dieu, j'ai l'impression qu'on m'a enlevé un poids sur les épaules et ça fait du bien. " Ça va j'ai dormi la plus part du trajet entre New York et Paris... J'étais tellement fatiguée que bon... Mais toi ? Tu as pris le Marshall pour ton bambou alors ? " Soufflais-je en arrivant à sa voiture. " Ça a été l'adaptation ? T'as rencontré des gens ? " En webcam, après douze heures de boulot, il pouvait me raconter tout ce qu'il veut mais là, je veux tout savoir... Et sans mensonges.
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A peine lui avait-elle rappelé son séjour en prison que Bonaventure esquissait un sourire amusé. Il n’y avait que sa petite-amie pour finir en prison alors que rien ne l’y prédestinait. Le pire, c’est qu’il en était fier comme un coq car cela signifiait qu’elle était tellement dévastée par son départ qu’elle en avait été aussi incontrôlable que lui. « Tu as eu de la chance qu’ils ne te poursuivent pas pour coups et blessures » lui dit-il avant de rigoler. « Andrea Cermolacce, de petit ange est devenu tigresse suite au départ de son petit-ami. Cela aurait pu être marrant comme titre dans les journaux » la taquina-t-il en retrouvant toute sa bonne humeur. C’est fou l’effet que pouvait avoir une personne sur une autre n’est-ce pas ?! « Tu sais, ici, il pleut rarement… Il faut limite éviter de sortir à certaines heures tant il fait chaud mais je te rassure de suite… la maison est climatisée, surtout la chambre » lui dit-il innocemment -ou pas. « Mais je sens que je vais prendre plaisir à te voir bronzer au bord de la piscine. D’ailleurs, je suis devenu un petit poisson dans l’eau » reprit-il. A force de s’ennuyer, il avait passé son temps sur la terrasse et notamment dans l’eau. Bonaventure se glissait derrière le volant quand il l’interrogea sur son vol. « J’ai cru mourir si bien que j’ai passé des heures à lui raconter toutes les histoires de meurtres que je connaissais depuis ma plus tendre enfance » rigola-t-il. Le pauvre, il avait très certainement dû avoir envie de l’étrangler. « Pas vraiment… j’ai joué un peu au sauvage en restant dans la maison. Je n’avais pas envie de voir grand monde mais j’ai commencé à visiter le coin » lui dit-il en toute honnêteté. « Il y a un quartier musulman alors je pense que je fréquenterai leur mosquée histoire de pouvoir prier autre part que tout seul dans mon coin »
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Je le regarde et fronce les sourcils. " J'ai de bons avocats qu'est-ce que tu crois. Quand j'ai appelé le boulot pour leur dire, ils ont débarqué en peu de temps, c'était flippant à voir " Oui, je ne suis vraiment pas habituée à ce qu'on se déplace à quatre avocats pour un petit truc comme ça. Mais les retombées pour eux sont énormes quoi. Du coup, ils sont venus me sortir de là, il n'y aura rien dans mon casier judiciaire et tout va bien dans le meilleur des mondes. Je vois encore la tête de Priape, Paris et Leanne quand ils sont venus me chercher... Franchement, je faisais pas la maligne comme je peux le faire à ce moment précis. J'avais évité l'article et tant mieux parce que je crois qu'ils sont à deux doigts de rompre mon contrat avec les conneries que j'enchaîne sans avoir été officiellement montré au public... Eh oui, j'ai toujours pas défilé en petite tenue ! En tout cas, je suis contente d'apprendre qu'il ne pleut pas souvent ici. Ça me rassure, réellement, parce que j'ai rien pris de chaud à part mon jogging pour le moment où j'atterrirais à New York en début de semaine prochaine. " T'as une belle bouée en forme de cygne c'est ça ? " Je le taquine et tire la langue. Après tout, il a bien failli se noyer y a deux mois de ça... " Il a du te prendre pour un malade mental oui ! " Je ris légèrement et dieu que ça fait du bien de rire. " Ah ouai t'as joué au sauvage ? Je suis sûre qu'il y a des gens extra ici " Je ne veux pas qu'il reste seul, c'est tout. Mais en même temps, rencontrer des gens ici, s'attacher à eux pour finir par rentrer à Cambridge dans quelques semaines... Je peux comprendre. " Je suis dans le regret de t'annoncer que tu n'auras pas le temps d'aller à la mosquée pendant que je serai là " Je souris largement et regarde autour de moi alors qu'on démarre. " Bon alors, tu m'as prévu quoi pour ces quelques jours ? Des bons plats à manger j'espère parce que j'en ai marre d'avaler du fast food ! " Lançais-je en riant légèrement. Je mange pas très sain à la maison...
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Bonaventure aurait donné cher pour assister à une pareille scène et son sourire en disait long sur ses pensées. « En fait, tu es devenue une sorte de Bruce Wayne au féminin. Super riche, super importante avec une armée d’avocats près à voler à ton secours mais dans le secret, tu es Batwoman et tu voles à mon secours » s’amusa-t-il à dire avec un sourire un peu plus prononcé. IL n’y avait pas à dire, il suffisait qu’elle soit non loin de lui pour que son humour (pourri) ne revienne à la charge et qu’il se lance dans des comparaisons toutes plus personnelles les unes que les autres. L’esprit bien plus léger -bien que le métisse savait que cela ne serait une visite de courte durée ; le jeune homme lui racontait un peu son quotidien depuis son arrivée. Rien de bien palpitant, il fallait le reconnaitre. « Femme, sache que je n’ai plus besoin de bouée… Je sais nager… bon, je risque de mettre encore du temps pour battre le record du 50 mètres mais j’y travaille » rigola-t-il de bon cœur avant d’hocher la tête. « Tu n’imagines même pas à quel point. Je crois qu’il a fini par faire semblant de dormir pour avoir la paix » avouait-il à sa petite-amie au sujet du Marshall qui l’avait conduit jusqu’ici. Dans le fond, Bonaventure était heureux de ne pas avoir subi ces nombreuses heures de vol seul surtout au vu de son moral.

« Sûrement… Je me dis qu’un jour où l’autre, il faudra bien que je sorte de ma tanière » admit-il mais cela signifierait qu’il renonçait à tout espoir de revenir aux Etats-Unis. « Je me suis tout de même renseigner. Je vais pouvoir poursuivre mon cursus universitaire à partir du mois prochain… Dans un an, je pourrais très certainement demander un visa étudiant si ma demande de transfert à Harvard est acceptée mais d’après le directeur, il y a des chances qu’on me l’accorde pas avant deux ans » lui dit-il en soupirant. Bonaventure n’était pas resté les mains croisées : il avait réfléchi à plusieurs solutions. Enfin songea-t-il en revenant à des sujets bien plus léger comme l’histoire de la Mosquée. « Ah ? Mince, tu m’en vois vraiment frustré… » grimaça-t-il faussement attristé avant de reprendre en rigolant. « Oui, te remplir l’estomac, te faire l’amour, te faire encore l’amour, te laisser bronzer intégralement sur le bord de la piscine puis te faire à nouveau l’amour. Et s’il nous reste encore du temps, peut-être tenter une petite visite ou deux du coin » rigola-t-il alors qu’il empruntait la rue menant à chez lui. « Tu vois la maison blanche, un peu en hauteur par rapport aux autres ? Et bien c’est là où l’on va »

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Je souris à Bonaventure et me sens rougir. " Ça doit être ça ouai... " Soufflais-je en le regardant droit dans les yeux. Je peux être qui il veut tant que je suis avec lui, aucun soucis là dessus. Mon dieu, je suis tellement heureuse d'être là, avec lui, dans ses bras. Je pourrais rester comme ça pendant des jours mais je doute que ce soit possible. Ne pas bouger pour ne pas perdre une seule minute... Je souris à Bonaventure alors qu'on se dirige vers la voiture pour rentrer chez lui, dans son nouveau chez lui. Ça me fait bizarre de dire ça. Chez lui c'est aux États-Unis, à la Quincy House ou même à mon appartement s'il faut. Partout sauf ici quoi. J'espère vraiment que ses parents vont trouver une solution miracle sinon tout ce dont j'avais parlé avec Talya deviendrait l'un de nos sujet. Je compte déjà lui parler de mon choix de devenir américaine. Pourquoi pas eméricano-afghane comme Talya me l'avait proposé... Mais je ne suis pas sûre que ce soit possible. Je sais que certains pays - comme l'Allemagne - n'accepte pas la double nationalité. On est américain ou allemand mais pas américano-allemand par exemple. " T'as pas besoin de battre des records tu sais... Tant que tu gardes la tête hors de l'eau, tout va bien " Soufflais-je en riant légèrement. Je me suis pas mise en couple avec un nageur alors je m'en fiche pas mal ! Lui, c'est la course et bien soit. Je l'aime comme ça. Je n'ai plus peur de le dire, je l'aime. Je ris à sa remarque sur le marshall et la voiture file vers la ville, loin de cet aéroport que je n'avais pas hâte de retrouver dans quelques jours. Je l'écoute et fronce les sourcils. Un an ? Deux ans ? Non, je crois pas. " Bona, tu seras de retour à Cambridge avant la fin de l'année, avant le bal " Hors de question qu'il en soit autrement. " Je vais pas au bal sans toi hein... La soirée de donation a déjà été un fiasco alors merci mais non merci " Bonaventure ne doit pas être au courant et je ne sais pas si j'ai vraiment envie de lui dire que j'étais ivre morte à la fin de cette soirée parce que j'ai bu plus d'alcool qu'un mather digne de ce nom. Je garde pourtant la solution farfelue que j'ai trouvé, ne voulant pas gâcher ce moment, ces retrouvailles entre le métisse et moi. Je veux profiter de ce moment. Je ris en l'entendant énoncer le programme qu'il a prévu. " Bon, je signe où ? " Demandais-je en riant légèrement. " Va juste falloir trouver un petit créneau ou deux pour dormir... J'ai pas envie de pas être au top de ma forme tu vois " Lançais-je en tendant le cou pour voir la maison dont il me parle. " C'est un palace en fait, c'est ça ? Je vais pas vouloir rentrer moi ! " Surtout s'il doit être là pour plusieurs mois... " Va falloir que tu me fasses visiter toutes les pièces une à une dans tous les recoins hein " Soufflais-je avec un léger sourire en coin qui veut tout dire.
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Il voulait vraiment croire à un miracle, qu’il serait effectivement là pour le bal de fin d’années mais il ne voyait pas comment. « Mon cœur, tu sais que j’aimerai être ton cavalier pour ce bal mais je ne vois vraiment pas comment je pourrais trouver un moyen de revenir aussi vite. Les deux seules options que j’ai, ce serait de faire des faux papiers ou alors d’épouser la première américaine venue qui accepterait un mariage blanc. Je vois déjà la tête de ton meilleur ami si tu lui annonces que je suis marié à une autre femme. Là je crois qu’il te met d’autorité une ceinture de chasteté pour être certain que je ne vienne pas te rendre visite » plaisantait-il à moitié. Il avait réfléchi à la question du mariage mais l’idée d’être marié à une autre femme qu’Andrea le révulsait -autant dire que les options qui lui restaient ne valaient guère mieux à ses yeux. « Par contre, qu’est-ce qu’il s’est passé à la soirée de donation ? Tu sais si les Quincy on réussit à obtenir les 20 000$ ? » lui demanda-t-il subitement.

Au moins, le programme qui lui avait concocté lui plaisait et il ria à ses côtés. « En bas à droite… pour le sommeil, d’accord, je te laisserai un peu dormir » lui rétorqua son petit-ami avec un sourire malicieux. Au même moment, la maison se dessinait peu à peu sous leur regard et Bonaventure hocha la tête. « Elle est trois fois trop grande pour moi ! » soupira-t-il avant de se rétracter. « Quoique… maintenant que tu demandes à en visiter chaque recoin, je vais peut-être changer d’avis » plaisanta-t-il alors qu’il se garait. En bon gentleman, il fit rapidement le tour pour ouvrir la porte à Andrea et l’aider à sortir de la voiture. Puis, Bonaventure s’occupa de prendre sa valise dans le coffre. « Bienvenue dans ma casa » lui dit-il en la laissant entrer dans la maison.

AVENGEDINCHAINS
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