cause you make me strong ✩ lucas

« Je vais finir par m'habitué à cette vie de lux, j'vais finir par t'épouser pour ton argent. » dis-tu dans un haussement d'épaule, alors que tes doigts croisent les sienne. Ça risque pas, déjà que pour le couple il t'as fallut cinq bon mois alors imaginer le mariage, faudrait encore six ans et trois enfants pour te faire changer d'avis. Vous arrivez et tout ce passe très vite, les bagages volent de partout, on te pousse, Alaska qui aime être en charge de tout commence vraiment à paniqué, et tu finit même par freiner tout le monde, sentant que ton corps ne t'appartenait plus. « Madame Watson ? » dis-tu en manquant de t'éttoufer avec ta propre salive, alors que lucas hoche la tête. « Ta mère ? » répère-tu d'une manière encore plus choquer, what the fuck ? Mais c'était pas son père à la base ? Les hôtesse vous conduissent jusqu'à un jet privé qui été un peu plus loin dans l'aéroport, dans le hall d'entrée, tout le monde est aglutiner en attente d'avion, alors que vous passiez par une pacerelle vide de vie. « Donc, monsieur Watson, tu as prévenue ta mère pour nous ? Enfin pour moi. Enfin pour nous oui. » que son père soit au courant, pas de soucis, un fils et un père ça se comprend, mais que sa mère soit au courant ????

Ah ben il ne manquait plus que ça tiens..., dis-je en secouant la tête. Un mariage ? Mon cul, elle partirait en courant si je lui faisais ma demande. A notre arrivée, tout s'accélère, nos bagages volent de mains en main, Alaska se fait limite enlever par une femme du staff qui la prend pour ma femme. La ferme !, je chuchote à Alaska qui est surprit. Non mais merde Laska, toi qui est actrice dans l'âme, fais un minimum semblant. Là, l'hôtesse évoque ma mère ?. Pourquoi elle ? Il se passe quoi là ? Pourquoi elle, et pas mon père ? Qu'est-ce qu'ils ont encore foutu ? Putain, mais on va vraiment avoir les petits fours et le cocktail ou quoi ?. Non, oui enfin non elle sait pas pour nous, mais visiblement mon père lui a fait part de l'information, je lui répond en bégayant. Ouais, mon père sait tout et j'ai même eu le droit à ses commentaires tout comme mon frère. Pour ce qui est de ma mère, elle sait que je vois quelqu'un mais elle ne sait rien de plus à son grand regret. On nous fait monter dans l'avion, jetant nos bagages dans les compartiments. L'hôtesse ferme la porte du jet, nous disant qu'on nous décollons dans 5 minutes. Ça va ?, je demande à Alaska tout en fermant ma ceinture.

« MADAME WATSON ? » dis-tu en gueulant plus fort, parce que merde t'as le droit d'être choquée non ? T'as l'impression d'avoir 52 ans, la bague au doigt et ton marie qui débat une place dans l'avion. Une main sur ton cœur, choquée, tu te laisser pousser par l'hotesse, qui veux TA MORT. Déjà qu'elle t'appelle Madame Watson, elle parle ensuite de ta... belle mère. D'accord alors belle maman est réellement au courant ? Elle va venir te chopper dès que tu sera descendu de l'avion pour te dire de ne pas jouée avec le cœur de son précieux petit poussin. D'ailleurs tu reste silencieuse jusqu'à votre installation dans l'avion. Lucas te ramène à la réalité alors que tu été déjà entrain de t'imaginer sa mère qui te donne une grosse giffle après avoir appris que tu as perdue la progéniture des Watson. « Hein ? » dis-tu en levant les yeux vers lui, ah oui la ceinture. « On arrive dans combien de temps ? » dis-tu en te mettant bien dans ton siège, les jambes allongé sur le siège devant toi.

Ah ben merci pour moi..., je répond sans la regarder avant de me mettre à marcher, la laissant finalement à l'hôtesse. A croire qu'être un jour Madame Watson serait une horreur. Peut-être que ça l'est pour elle, visiblement vu sa réaction c'est le cas. Nous apprenons qu'au final, c'est ma mère qui s'est occupée de tout, comme d'habitude quoi. Je ne bronche donc pas, suivant tout le petit monde afin de grimper dans l'avion. Une fois dans l'engin, je range comme il faut nos bagages parce qu'on est plus à 5 minutes prêt, et que merde on va retrouver nos affaires, souvenirs en 50 000 morceaux. Je m'assoie ensuite sur mon fauteuil si ça va, tout en attachant ma ceinture. Il manquerait plus que notre avion est un soucis, là, on serait vraiment dans la merde. Je n'en ai pas la moindre idée, 3 heures ? 5 heures peut-être. Je sais pas, il faut dire qu'à l'allée chez dormit tout le long, alors du coup, je ne sais même pas combien de temps on a prit pour venir. Au final, l'avion volera quelques petites heures avant de nous déposer à l'aéroport, ou au loin j'aperçois une petite voiture noir classe, avec le chauffeur de la famille à l'extérieur. Ok, le fils a faillit mourir mais à part ça, c'est le chauffeur qui se déplace sans les parents, super la famille Watson, super.

Non ce ne serai pas la mort, c'est juste que tu as déjà du mal à te faire à l'idée d'avoir un copain, alors avoir un époux ce serais encorep lus bizarre. Pour samaël c'était autre chose, c'était à végas et tu as porter son nom de famille juste une dizaine de jours, rien de bien grave. Alors que si tu te décide que tu veux te marier avec Lucas, ce sera dans les règles de l'art, gros mariage, banquet, robe énorme, tout les yeux braquer sur toi, rien que d'y penser tu as déjà le tournit. « D'accord. » dis-tu tout simplement en posant ta tête sur son épaule. Tu était encore sous le choc de tout ça, le spring break raté, ta cheville en miete, le bébé.. oh mon dieu le bébé. Ton ésprit été tellement encombrée que ton a oubliée de penser au bébé, tu passes tes doigts sur ton ventre en faisant une moue. « Je suis désolée pour le haricot.. » dis-tu d'une petite voix, tes yeux rivé sur lucas. « Je sais qu'on penser encore à le garder ou l'enlever, mais j'aurais aimer que le choix soit notre. » et non forcer par les forces de la nature. Tu essuie une petite larme au coin de ton œil. - une fois arriver sur place, on t'aide à descendre de l'avion, une belle voiture vous attend à l'exétieur, le chauffeur vous assure que vous êtes seul et t'aide à monté dans la voiture, en faisant attention de ne pas te blesser. « Home sweet home. » soon.

Mouais, tout était plus facile avec Samael visiblement. Nous montons donc dans l'avion, prenant place sur nos sièges, attachons nos ceintures, bavardant sur le nombre d'heures qu'on a, avant d'être enfin de retour. J'ai hâte d'y être, j'en ai marre d'être ici, je suis fatiguée, je veux juste rentrer et retrouver mon lit. Après un petit moment de silence, Alaska reprend la parole, reparlant du petit haricot. Ce n'est pas de ta faute Laska, je lui répond en caressant sa main. On ne peut rien y changer de toute façon, j'ajoute en fermant les yeux, afin de dormir et de ne plus parler de ça. Cela ne sert à rien de remuer le couteau dans la plaie, le haricot n'y est plus et de toute façon, je ne pense pas qu'on l'aurait gardé. En ouvrant les yeux, on se trouve enfin sur le sol Américain où une voiture nous attend. Prenant les bagages, le staff s'occupe d'Alaska, nous aidant à regagner le véhicule. Enfin j'ai nous, j'ajoute à ses paroles, avant de jeter les bagages dans le coffre. Nous rentrons enfin chez nous, dans notre maison, enfin ma maison ou on va pouvoir se reposer.

Peut être que si au final, c'était peut être ta faute. Lucas passe ses doigts sur ta joue, tu fait une moue en rester inerte, profitant juste de son toucher. Tu aimer ça, son odeur aussi, même si maintenant il sent plus le fauve qu'autre chose, mais tu aimais ça. Blotttie dans ses bras, tu attend l'arriver, il a raison, plus la peine de parler du haricot, tu doit tourner la page, penser à être chose, mais tu n'y arrive pas. Jusqu'à votre arriver, tu imagines des milliers de scénario de peut être dans ta tête. « Tu as probablement raison. » dis-tu en conclusion avant de descendre de l'avion. Dans la voiture, tu restes silencieuse, tes doigts dans ceux de ton petit ami, arriver à la villa ou il réside encore jusqu'à ce qu'il décide de changer de maison, ou de se trouver nouvelle coloc, tu te laisse tomber sur le lit. C'est ici que tu voulait être, nul part ailleurs, dans ses bras, dans ses draps, à t'endormir contre son petit corps, sans penser à rien d'autre.

FIN