cause you make me strong ✩ lucas

Tu n'avais aucune chance, mais vraiment aucune. Alors que tu n'avais qu'une entorse, tu voulais te redresser et par malheur ou pour te punir, le destin te fou dans un trou. Au milieu de nul part, cacher entre deux morceaux de bois qui ce sont effondrer sur toi. Tu perd connaissance, bien sur, une bonne vingtaine de minutes, voir plus, et te réveille, recouverte de ton propre sang. Tu sais plus vraiment ou donner de la tête, surtout parce qu'elle te fait mal, et aussi parce que ta cheville à tripler de volume, et que tu es encore en maillot de bain, comme si tout ça ne suffisait pas. Ton estomac te faisait un mal de chien, tu vas mourir dans ce trou. Seule, alors qu'il y a quelques minutes de cela tu demander au Dieu qui veille sur toi de te donner du courage et de la force pour ton avenir. « à l'aide ! » hurle-tu, de ta voix à peine audible. « QUELQU'UN ? SAUVER MOI. A L'AIDE. » tu essaie de bouger, mais ton mal d'estomac te relance, tu restes donc sur le sol, les yeux vers le ciel. « LUCAS ? MADEN ? EFFIE ? QUELQU'UN A L'AIDE ! » tu veux pas mourir ici, non, s'il vous plais.


@Lucas J. Watson

Un Spring Break de rêve, mon cul ouais, la prochaine fois, je dirais à Alaska qu'on fasse un Spring Break à la maison, dans notre piscine. Alors que je me trouvais en présence d'Alaska, me voilà désormais seul. N'étant qu'en maillot, j'ai quelques égratignures un peu partout sur le corps, mais rien de bien grave. Ce qui est grave, c'est que j'ai perdu Alaska. Complètement paniqué, je regarde autour de moi mais rien. J'avance, dévisageant des femmes pour voir si je ne reconnais pas son visage. ALASKA ?, je hurle, espérant une réponse mais rien. Je n'entend rien, en même temps, il n'y a que des cris et des pleures. Je marche de plus en plus vite, jusqu'à voir au loin comme un éboulement de branches. Je le regarde, voir même bug dessus alors que j'entend une voix. LASKA ? LASKA C'EST TOI ?, elle ou pas, je cours dans la direction. Là, je vois la jeune femme complètement bloquée par des branches. Je suis là chérie, je vais te sortir de là, enfin j'espère mais il ne vaut mieux pas la paniquer encore plus. Je la rejoins, essayant tant bien que mal de retirer la première branche, puis la deuxième. Cette dernière est beaucoup plus lourde, mais visiblement, je me sens poussé des muscles. Où est-ce que tu as mal ?, je lui demande, alors qu'elle est dans ce trou pourri. A L'AIDE !! VENEZ M'AIDER MA COPINE EST COINCÉE, mais personne ne vient.

C'est vraiment pas le souvenir que tu avais des spring breaks des années passer. Quoi qu'il en soit tu utilises tes dernières forces pour appeler à l'aide, cite les noms des personnes avec qui tu été en dernière pour savoir si ils sont encore dans les parages. Dans un sens, tu souhaites qu'ils le sont encore et d'un autre, tu souhaites qu'ils soit à l'abris loin des secousses et des éboulements d'arbes et de roche. Alors que tu laisses tomber, tu entend une voix familière. « Putain... Toujours là ou je my' attend le moins. » dis-tu dans un sourire alors que tes yeux s'ouvre sur la tignasses blonde et les yeux vert claire de ton copain, superman les gars. Il arrive à redressait quelques branches, tu te redresse dans le trou et restes sur ta jambes valides. « J'me suis juste fouler la cheville, t'en fait pas. Et toi, ça va ? Ta vue mon frère ? Et Effie ? » demandes-tu inquiètes, tu essaie de te montré forte mais ta cheville doit être vraiment casser, tu râles et te remet assise. « Lucas sors moi de là s'il te plais.. » dis-tu d'une voix un peu moins confiante, tu veux pas crever dans ce trou.

Si on sort vivant de ce merdier, je vous jure que je lui ferais regretter ce Spring Break, mais bon, pour le moment, il me faut trouvé un moyen de la faire sortir de là. Je réussi à retirer les énormes branches comme je peux, car même si je suis en mode Superman, je galère à mort. Seigneur dieu elle est vivante, dis-je en levant les bras au ciel, avant de demander une aide qui ne viendra jamais. Allez vous faire foutre va, je vais me débrouiller seul. Je lui demande comment elle va, voyant le sang sur son visage, avant qu'elle ne me retourne la question. Rien de bien grave! Non, je crois que je me suis évanoui, je lui répond en grimaçant, tout en frottant ma tête, regardant comment je pourrais bien la sortir de là. Je décide alors de venir la rejoindre en sautant dans la troue, qui n'est pas si haut que ça vu ma grande taille. Les pieds sur le sol, je prend tout de même le temps d'embrasser Laska, parce que merde je suis content de l'avoir retrouvé et que même si elle est blessée, elle est vivante. Je m'accroupi, joins mes mains puis lui dis, Pose ton bien valide sur mes mains, et tes mains sur mes épaules, je vais essayé de te pousser vers le haut, afin qu'elle puisse agripper le rebord et sortir de cette merde.

Surtout que tu l'as un peu forcer à venir tout de même, tu te voit encore lui dire : aller c'est génale, vient tu vas t'éclater, pour au final, t'éclater oui, la cheville, voilà tout ce qui été éclater. « Tant mieux bébé, tant mieux. » dis-tu en lui adressant un sourire, il été fort de toute façon, tu ne te fait pas de soucis pour lui, il sait survivre. Au final il te rejoint au bas, ça semblait ne pas être une bonne idée, mais il semble qu'il est assez grand, et qu'il suffit d'un rien pour qu'il arrive à entrée et sortir du trou sans difficulté. Ses bras viennent t'entourer une fois à sa hauteur et tu te traine jusqu'à lui pour le serrez le plus fort possible dans tes bras. Tu voulais pas mourir avant de le revoir, tu veux pas mourir du tout, parce que ça voudrais dire passer l’éternité sans voir sa tronche de cake tout les jours. Tu écoutes son plan alors que tes mains sont sert fort ses épaules. Il t'aides à te redressais, tu laches un grognement et suit son plan. « T'es sûre de pouvoir sortir de là après ? » dis-tu en t'accroche déjà à des racines d'arbre. Faudrait pas qu'il soit bloquer en bas alors que t'es en haut.

Ouais, elle m'a bassiné les oreilles avec son Spring Break pendant des semaines, alors que je devrais être en studio, ou même en concert. Putain, qu'est-ce que je ne ferais pas pour ses beaux yeux. Bref, Rambo est là -sexy hein- et il va tout faire pour sauver sa petite Granger. Nous prenons d'abord de nouvelles l'un de l'autre, pour savoir comment on va puis, je la rejoins vite dans le trou, la serrant fort dans mes bras tout en lui expliquant mon plan. Mais oui, ne t'en fais pas !. Enfin non, j'en sais rien, mais je veux la savoir dehors d'abord. Prête ?, je lui demande, prenant son pied valide en main. Uen fois fait, je la propulse vers le haut afin qu'elle puisse sortir du trou. On essaye à quelques reprises -parce qu'il n'y a que dans les films ou ils y arrivent du premier coup- puis, la propulse enfin en dehors. Ça va ?, je lui demande tout en regardant vers le haut. A mon tour, j'essaye de sortir. Tout à bord je saute pour agripper le rebord, sauf que là, j'ai juste de la force pour appuyer mes avant bras sur le rebord, ayant le reste du corps qui pend.

C'est bon, la prochaine fois ils resterons à Cambridge comme des vieux. Quoi qu'il en soit, Rambo vient à ta rescousse, tu ne pouvais pas rêver de mieux et pour être honnête ton cœurs se soulage à sa vue, tu commencer déjà a imaginer comment aller être l'autre monde. Il te sert dans ses bras et tu fais de même, en hésitant même à le lacher, mais il le fallait, parce que vous n'alliez pas rester dans ce trou des années durant. Tu laisses tombe ses épaules et lui donne ta jambe valide, attrapes des racines assez haute malgré ta petite taille et utilise le peu de force que tu es pour te propulser jusqu'en haut, heureusement, lucas t'aide et tu arrives finalement à ramper jusqu'à l'extérieur du trou. Tu respires difficilement et ta jambe te fait toujours un mal de chien, ton ventre est égratinier, mais tu es sortit de là, c'est déjà ça. « Sors de là. » dis-tu à lucas. Tu regardes autours de toi, rien, personne. « Met toi sur le côté. » dis-tu, tu te traîne sut quelques centimètres et fait tomber plein de branches d'arbes qui s'empile au pied de lucas. « Monte dessus, et... sauvons nous. » dis-tu d'un ton désespéré, faut rentrée ,y'en a marre.

Oui, à la maison avec notre chien, parce qu'apparemment on a une chienne, qui est en fait un chien. Bref, mon mode Rambo activé, je la rejoins dans le trou, avant d'utiliser toutes ce qu'il me reste de force pour la sortir de là. Sors de là, sors de là, elle est marrante tiens, je ronchonne en me battant avec le rebord du trou. Là, elle me dit de m'écarter, chose que je fais avant de me retrouver avec des branches d'arbres à mes pieds. Elle essaye de me tuer, ou de me sauver là ?. Je finis par hocher la tête, puis grimpe sur les branches avant de me hisser en dehors du trou. Hallelujah !!!, je cri une fois à l'extérieur, avant de me remettre sur mes deux jambes. Grimpe sur mon dos !, je lui ordonne, en me mettant en position. Oui c'est un ordre, puis de toute façon, elle n'est pas en état de me contre-dire, ou de marcher pendant un moment vu l'état de sa cheville.

Oui elle s'appelle Ofélia notre bébé ! On achetera un autre chien plus tard rho, bref, tu l'aides à sortir de là on lui faisant un escalier en morceau de bois. C'était pas évident de pousser tout ça avec ton petit corps recouvert de blessure. « T'as encore assez de force pour gueuler ? » dis-tu dans un rire. Il t'ordonne de monté sur son dos, tu hésites un insant, et au final tu te dit que plus vite vous serez dehors, plus vite tu serez au chaud dans ton lit ou dans un bain, peut importe, un endroit ou tout ton corps ne sera pas entrain de te hurler de rester inactive. Tu montes donc sur son dos, les bras autour de sa nuque. « Pas de blague sur ma prise de poids, j'te prévient. » dis-tu en sentant le : t'as plus lourde que la première fois dans la douche ! Sinon tu le butes. « C'est quoi notre plan exactement ? Parce qu'on va pas marcher sur 700 km. » surtout lui hein, parce que toi t'es tranquille.

Ofélia, qui devrait être Ofélio...Bref ouais, je veux un chien moi !!! A mon tour bloqué dans le trou, Alaska fait tomber des bouts de branches qui m'aident à sortir de là. Je m'exprime seulement ma chérie, dis-je en lui tirant la langue. Une fois à ses côtés, je lui ordonne de monter sur mon dos, histoire qu'on aille plus vite. T'inquiète, je garde ce genre de commentaire pour quand on sera au chaud, je répond avec un petit rire, alors que je fais exprès de pincer ses cuisses. Hop, en route vers, je ne sais pas où mais en tout cas on y va. J'essaye de me remémorer le chemin vers l'hôtel, bien que plus rien ne ressemble à ce que c'était. Le plan pour le moment, c'est de partir loin d'ici, je lui répond en marchant à vive allure, essayant de me frayer un chemin parmi la foule de monde apeuré. Je me mettrais bien à courir, mais je suis pas en état, puis j'ai un petit singe sur le dos. Je marche donc pendant plusieurs minutes, durant lesquelles les hurlements et larmes se font de moins en moins entendre. Nous sommes en plein milieu d'un chemin, des petits bâtiment se dessinent non loin. De là, j'entend un moteur, une voiture qui vient à nous. MERCI MON DIEU. De là, un habitant nous vient en aide. J'allonge alors Alaska dans sa voiture, demandant au monsieur de nous ramener à notre hôtel, ou peu importe, mais quelque part de sauf.