cause you make me strong ✩ lucas

Tes doigts rejoigne les siens, alors que ta tête se colle à son épaule. Il n'avait pas à se sentir désolé, il n'avait pas à se sentir coupable, à ce que j'sache il n'a pas provoquer ce séisme et il ne t'a pas pousser dans ce ravin. Il fait toujours en sorte de te passant avant tout et avant tout le monde, et tu ne pouvais que le remercier pour ça. Alors tu lèves la tête colle tes lèvres contre le sienne. Si on été dans once upon a time, ça aurait peut être tout réparer, a vrai baiser d'amour, mais la réalité est beaucoup plus macabre. Tu hausses les épaules, ne sachant pas quoi dire à cela. « J'aime pas du tout utiliser la richesse de ton padré, tu le sais. » oui, pas du tout même, tu voulais pas passer pour une profiteuse, tu aimes l'idée que tu es indépendante, malgré le fait que tu piques parfois deux trois dollars dans le porte feuille de lucas. Mais ton envie de rentrée chez vous, dans sa chambre, dans la villa, te tentez. « mais pour cette fois, j'veux bien faire une exception. » dis-tu en faisant une moue. Et puis ça vous éviteras de vous collez à monsieur et madame tout le monde dans l'avion. « Prend mon portable, je crois qu'il me reste un peu de batterie. » dis-tu, parce que tu avait utiliser le sien tout à l'heure pour prévenir les urgences des gens blesser dans la valet. Tu lui tend ton portable et tape sur son épaule pour qu'il appel son père. De son côté, l'infirmière revenait en charge avec des bandages. Elle enroule ta jambe tel un saucisson, alors que tu grimaces à chaque fois qu'elle sert le rouleau. « Alors, on peut partir ? » demande-tu à celle-ci qui fait oui de la tête après t'avoir laisser un dossier sur la table, putain.

Voilà, l'annonce vient de tomber : il n'y aura pas de mini Luska. On ne saura jamais si ça aurait été une fille avec la beauté de sa mère et les jambes de son père. Je m'en veux d'être venu ici, avec Alaska mais au fond, si le destin en a décidé ainsi, il aurait trouvé une solution même chez nous. Je sais que tu n'aimes pas ça, mais on risque de ne pas être chez nous avant des jours, dis-je en la regardant, caressant sa joue alors qu'elle finit par accepter que j'appelle mon père. Mon portable n'ayant plus de batterie, je prend le sien alors qu'elle me le tend. Je reviens dans 2 minutes, lui dis-je en lui déposant un baiser sur le front, avant de me lever du lit et de laisser Laska avec l'infirmière. Je reviens finalement 10 minutes plus tard, souriant à l'infirmière qui me force à m’asseoir. Mais elle fait quoi là ?. On a un jet d'ici trois heures ! Mon père doit appeler l’aéroport du Pays, pour qu'on puisse en avoir un, j'informe Alaska, alors que l'infirmière prend la liberté d'appuyer une compresse sur ma blessure. Mais aie !!, je râle comme un bébé. Mais la vache qu'elle conne celle-là, ça fait vraiment mal merde.

Tu hausses les épaules, surtout que t'avais pas encore rencontrée les parents Watson depuis que vous êtiez « officiellement » ensemble. Et t'avais pas trop envie, étant donner qu'ils doivent se rappeler d'une petite gamine de 15 ans qui a des seins énormes et un égo surdimensionnée, persuadée que leur fils est l'amour de sa vie.. oh wait, c'est toujours le cas. Il appel son père alors que l'autre te tord limite la cheville, plus qu'elle ne l'est déjà. « Géniale.. tu le remerciera. On peut rentrée à l'hotel et faire nos valises donc ! Après avoir remplis cette tonne de papier. » tu prend ce que l'infirmière t'as donner pour lires ce qu'il faut remplir, alors qu'elle force lucas à s'assoire. Et d'une délicatesse, monstre elle presse une compresse contre sa tête, en disant « It's okay, it's okay.. good, good. » son niveau d'anglais comme sa délicatesse laisse à désirer. Tu passes ta main dans celle de ton copain pour grimacer avec lui, comme si tu pouvais sentir ce qu'il ressentait. Elle prend un espèce de fil et une aiguille et après avoir tremper la tête de lucas de morphine, elle commence à le recoudre, trois points de suture. Tu grimaces pour lui, en serrant sa main. « Okay.. maintenant que cette séance de torture est finit, on va rentrée hein. » dis-tu à celle-ci en lui tendant les papiers, elle vous apporte un fauteuil roulant pour toi, et vous fait signe de dégager, okay, sympatique.

C'est vrai qu'on a même pas fait les présentations avec nos parents, mais en soit, les miens la connaissent déjà. Alors, soit ils ont la vision de la jeune fille qui m'a brisé mon petit cœur d'adolescent, soit la fille qui a une grosse poitrine, soit ils l'ont complètement zappé. Je ne sais pas ce qui est la meilleure option. Oui, qu'on parte vite d'ici, dis-je en allant prendre les papiers, avant que madame douceur ne me force à m’asseoir. Maman non pas ça, pas les aiguilles je déteste ça ! Je me demande encore comment j'ai pu me trouer la bouche, vu la peur bleu que j'ai. Là, j'ai juste envie de me barrer en courant mais Laska vient glisser sa main dans la mienne. It's okay, it's okay.. good, good. Putain, non c'est pas good, j'ai un fil et une aiguille sur le front !. L'infirmière finit par me recoudre, puis nous apporte un fauteuil, on nous faisant partir. Ah ben sympa...J'installe donc Alaska sur le fauteuil, puis la pousse jusqu'à l'extérieur. OH MON DIEU MON VISAGE !! Elle m'a défiguré !!!, je hurle alors que nous passons devant un miroir. Voilà, adieu la beauté Watson. Une fois dehors, nous montons à nouveau dans un taxi, qui nous ramène à notre hôtel. Tu veux que je m'occupe de tes affaires ?, je demande à Alaska, alors que nous rentrons dans notre chambre d'hôtel.

Tu ne peut t'empêcher de grimacer. « Lui faite pas de mal... » fin elle est déjà entrain de lui trouer le visage à coup d'aiguille. Tu sent lucas manquer de s'évanoir, mais au final, elle finit rapidement et vous jette limite dehors. « Laisse moi voir ça. » dis-tu en posant tes yeux dans les yeux, non ça change rien, il est toujours aussi beau. Tu poses d'ailleurs un baiser sur son front alors qu'il t'installe dans le fauteuil. « Elle t'as pas rendu plus moche que tu ne l'es déjà. » dis-tu dans un petit rire. Les papier signer, adieu hopital. Tu n'aurais pas pu rester plus longtemps de toute façon, toutes ses victimes te faisait mal au cœur et encore plus en sachant que l'une d'elle flotter dans ton utérus. Tu prend place dans le taxis qui vous ramène avec beaucoup de difficulté jusqu'à l'hotel. L'endroit été dévaster, plus rien ne tenez en place, il n'y avait ni accueil, ni room service. « Si tu te sent de te taper quatre étages à pieds oui.. sinon tu peut toujours balancer les valises par la fenêtre et je ferais la réception en bas. » dis-tu, une solution à la granger quoi. Parce que de toute évidence, tu ne vas pas pouvoir l'aider des masses avec ta jambes en moins.

Je sais qu'elle m'a endormit la partie blessée, mais dans ma tête, je ne peux m'empêcher de dire "aie" toutes les deux secondes. Un petit rire s'échappe, quand j'entend Laska lui dire de ne pas me faire mal. Je suis sur que si je sentais la douleur, je serais déjà entrain de pleurer au sol, enrouler sur moi-même. Merci chérie, je me sens mieux, dis-je en lui tirant la langue, alors que je pose son beau fessier sur le fauteuil. Laissant les papiers à ce qui semble être l'accueil, nous sortons pour monter dans un taxi qui va avoir bien du mal à nous ramener à l'hôtel. T'inquiète pas, je vais utiliser ce qu'il me reste de force pour ranger tout ça. Et c'est ce que je fais, en ouvrant toutes nos valises sur le lit et en y jetant nos habilles, après avoir déposer Alaska sur une chaise. Pas le temps de bien les plier, on a un avion à prendre afin de rentrer chez nous. Voilà !!, dis-je quelques minutes plus tard, en lui montrant mon super rangement. Lui souriant légèrement, je m'approche d'elle, me mettant accroupi afin d'être à sa hauteur. On rentre, je lui dis en venant déposer mes lèvres sur les siennes, avant de retourner dans le taxi qui nous attend dehors.

Il ne devrait rien sentir, pourtant t'as l'impression qu'il souffre quand même. Peut être que c'est le fait qu'il braille comme un veau alors qu'il ne sent rien ???? bref, après ce moment d'effer pour vous deux, vous partez en direction de l'hotel, ou tu proposes une solution à la Granger : virée les valises par la fenêtre et les faires une fois dans le taxis, mais monsieur ne veux pas, tu fronces fronces d'ailleurs les sourcils, depuis quand Lucas sait faire une valise ? « Pardon ? Je veux pas que mes fringues soit en boule dans une valise. » mais t'as pas le temps de dire oui ou non qu'il est déjà entrain de dévaler les escaliers pour monté jusqu'à la chambre. Tu préfères rester au hall pour ne pas à montrer les quatre étages en cloche pied, et attend sagement qu'il arrive. En fait tu es plus absorbé par tout ce monde qui monte et qui descend en se bousculant que par le fait que tu soit seule à attendre. Tu te fait d'ailleurs bousculer plusieur fois par des grosses valises et des chapeaux de paille qu'on te balance par inadvertance dans la gueule. « Putain. » rale-tu prête à claque des joues avant de te rendre compte que tu n'es pas vraiment en état de le faire, tu soupires alors et voit Lucas revenir. « J'veux même pas savoir l'état de ce qui a à l'intérieur. » dis-tu en fermant les yeux en imaginant le pire. Tu te contente de rouler avec ton fauteille jusqu'au taxis et glisser sur le siège arrière, tandis que lucas et le chauffeur poser les affaires dans la valise. « Le jet est prêt ou comment ça se passe ? » wow, tu fait vraiment la meuf riche qui veut juste rentre chez elle, calme toi. Tu laches d'ailleurs un rire en prenant une voix de femme riche et des manières. « A tu appeler ton père pour qu'il prépare notre arriver ? J'espère qu'il a prévu un cocktail de bienvenue, parce que ces cinq heures d'avions vont me lessiver. »

J'ai mal, je souffre, oui je ne sens rien mais ce n'est pas grave, c'est tout simplement psychologique. On finit par quitter l'hôpital, pour monter dans un taxi qui nous mène à notre hôtel. Là, je laisse Alaska dans le hall d'entrée, avant de monter les escaliers pour regagner notre chambre et faire nos valises, quelques minutes plus tard, je redescend dans le Hall afin de montrer mon exploit à ma chérie. Hey, sois contente Granger car tu serais encore entrain de grimper les marches d'escalier trois heures plus tard, dis-je en la fusillant du regard. Non mais, elle pourrait être contente merde. Les valises en mains, je la suis jusqu'au taxi et il faut dire que j'ai envie de donner un coup de pied dans son fauteuil, parce que je trouve que c'est long. Mais bon, pendant qu'elle galère avec le fauteuil, j'aide le chauffeur à ranger nos bagages, prenant ensuite place aux côtés d'Alaska. Oui, il m'a envoyé un sms, il a réussi à nous avoir un Jet. On a juste à donner nos noms à la sécurité et ils nous mèneront jusqu'au jet, je lui répond en tripotant mon portable, avant de me mettre à rire à sa connerie. Mère nous a préparé des petits fours et un cocktail 100% Chilien, je lui répond avec une voix de monsieur proute proute. La voiture se met donc en route, nous laissant 20 minutes plus tard à l'aéroport. Là, des membres du staff viennent nous rejoindre, nous parlant dans leur langue, tout en prenant nos bagages et poussant Laska. Hey, mais hey rendez là moi, je hurle alors que je finis de payer le taxi, me mettant à courir pour rattraper tout le petit groupe.

« J'suis jamais contente, tu devrais le savoir. » vrai, toujours vrai, et surtout quand tu imagines les fringues que t'a soigneusement poser dans le placard plié en six et forcé d'entrée de la manière brutte de Lucas, zen, respire. Tu te laisse glisser sur le siège, ta vie est relativement plus simple depuis quand tu as les moyens, j'veux dire, avant t'aurais fait du stop pour aller jusqu'à l'aéroport, maintenant taxis, chauffeur, siège de lux, t'aurais du te battre avec le pilote pour avoir une place, maintenant t'as un jet rien que pour toi, wow, alaska, futur gosse de riche ,eliot. « J'espère qu'ils seront encore chaud, je ne supporte pas la nourriture tiède. » dis-tu sur le même ton, avant de lacher un rire pour te moquer de toi même. Il rend les choses si facile. Tu sors de la voiture une fois arriver sur place, enfin on te sors limite parce qu'un mec te pose sur le siège alors que quelques hotesse vient à votre rencontre. « You are Miss Watson ? » non, mais on va dire oui et puis elles comprennent pas vraiment, alors elles commencent à te pousser pour t'emmener je ne sais où, Lucas débarque et en pousse une. « Calmos ! Il se passe quoi là. » dis-tu en freinant avec le levier pour stoper le fauteuil. « Jcroyais que ton père avait tout régles, Lucas. »

J'ai le droit de rêver non ?, dis-je en haussant les épaules avant de rejoindre le taxi. Sur la route, il y a énormément de monde. Des personnes à pieds qui crient, qui demandent de l'aide. J'aimerais tellement les aider, mais hélas, je ne peux rien faire pour eux. Il va falloir qu'on traîne moins ensemble Granger, tu prends trop tes aises là, je lui dis en rigolant, alors qu'elle parle avec la voix de "madame de". Une fois à l'aérport, j'ai à peine le temps de sortir de la voiture, que tout le monde nous saute dessus. Un homme vient prendre nos bagages, tandis qu'une femme vient s'occuper d'Alaska en l'appelant Watson. Alaska Watson....non ta gueule Lucas. Je lui cours après poussant la femme pour m'occuper d'Alaska, alors qu'elle semble paniquer. Visiblement, il s'en est très bien chargé, je répond en haussant les épaules, alors qu'une hôtesse de l'air vient nous rejoindre. Monsieur et Madame Watson ?, non mais ils veulent qu'elle pète du cœur avec leur "Madame Watson ?". Oui, oui, je répond en hochant la tête, alors que nous poursuivons notre chemin. Votre mère a prit les choses en main, le jet est prêt, il décollera dès que vous êtes installés. Ouah, j'ai l'impression d'être dans un film là.