THOGY • to be continued you said

Il est vrai que son côté con me fait totalement craqué, ce qui m’a fait tomber sous son charme. Ce n’était certainement pas son côté poli et romantique dans tous les cas. Je lui fis un sourire au coin comme réponse, pas besoin de lui expliquer… Il le sait déjà. Je savais bien que j’étais irrésistible pour lui. J’en jouais très souvent d’ailleurs et cela ne date pas d’hier bien sûr. « Je le savais déjà, j’en joue très clairement. » dis-je en lui faisant à mon tour un clin d’œil. J’aborde un sujet que je n’aurais peut-être pas du. Je le regarde avec un sourire au coin avant de m’approcher de lui. J’essayais de détendre l’atmosphère mais je voyais bien qu’il était préoccupé à cause de cela. J’aurais mieux fait de me taire pour le coup. « Arrête d’y penser, c’était avant et on a avancé depuis. » dis-je en le bousculant pour qu’il arrête de réfléchir. Et après, on ose dire que c’est moi l’intello alors que pas du tout. « On s’en fou, et arrête sinon je te prive de bisous et tout ! » dis-je en me redressant. Ben ouais, je viens même le menacer du regard.

Ziggy se prenait trop souvent la tête, même si cela ne se voyait pas à première vue. Il était plus qu’adorable en vrai, un vrai petit ange attentionné. On s’était mis d’accord d’attendre avant de se mettre ensemble. C’était mieux comme cela, il fallait d’abord qu’il change et que j’en fasse de même également de mon côté. On avait besoin de s’adapter afin que tout fonctionne comme il faut entre nous. Bien sûr, il a toujours le risque que cela ne fonctionne pas, mais j’en doutais. « J’ai toujours décidé, tu ne t’en aies jamais rendu compte c’est tout. » dis-je avec un grand sourire moqueur. Je le regarde se lever après que je l’ai menacé de ne plus lui faire de bisous s’il continuait à y penser. Je lève les yeux au ciel à ses paroles avant de rire légèrement. « C’est ça ! » dis-je en secouant la tête. N’empêche que sa proposition était des plus alléchantes sans aucun doute. Je lui pris la main en souriant et me lève avec son aide. Je retire le sable que j’avais sur moi avant de me pencher pour prendre la serviette qui était au sol. « On verra cela, je ne sais pas si tu le mérites encore. » dis-je en souriant. Je lui donne une claque au cul. « Allons-y mauvaise troupe. » dis-je en me dirigeant vers l’hôtel.

Il n’osait juste pas avoué que j’étais le dominant de l’histoire. Enfin, on allait rentrer à l’hôtel maintenant et ce n’est pas plus mal. J’aimerai prendre une douche parce que le sable, ça colle et je n’aime pas cela. « C’est ce que tu crois. » dis-je avec un sourire au coin. Je lui fais un clin d’œil avant de prendre ma serviette. On était parti pour l’hôtel et je n’hésite pas à lui mettre une claque au cul, juste parce que je l’aimais son cul et que j’avais envie de le toucher. « Fais ton mauvais garçon, t’adore cela quand je le frappe. » dis-je en lui faisant une grimace. Ce n’était pas facile de marcher dans le sable et je fus heureux de retrouver le béton. « J’ai rien fait de spécial, je me suis aventuré un peu partout pour passer le temps et toi ? » dis-je en tournant la tête vers lui. Je me doutais bien que sa question était plus pour savoir si j’avais été en soirée, si j’avais bu et si j’avais couché avec quelqu’un aussi. Je n’allais pas lui répondre, parce qu’il n’avait pas besoin de le savoir mais aussi parce que j’adorais le faire chier.

Honnêtement, je rêvais de son corps toutes les nuits depuis ces trois jours. Alors, ouais, il allait galérer à m’avoir dans le lit mais … Nan en vrai, on verra pour l’instant. « Bien sûr, j’aime ton cul, tu le savais déjà avant. » dis-je en haussant les épaules. Je les tapais tout le temps à l’époque alors autant reprendre nos bonnes vieilles habitudes. Je continuais à le faire chier en répondant vaguement à sa question, car je me doutais qu’il voulait plus de détail au niveau sexuel. « Je te plais car tu sais que je suis le seul à pouvoir te supporter, et aussi parce que j’ai une belle gueule et que t’es pas un peu maso. » dis-je en tournant la tête vers lui. Je lui fais un grand sourire moqueur, l’hôtel fut finalement là et je pus monter les escaliers –cette fois-ci, en direction de ma chambre. « Je veux prendre une douche, j’en peux plus de ce sable. » dis-je en ouvrant la porte de ma chambre.

Je ne pouvais pas me plaindre des fesses de Zig, elles étaient parfaites. Par contre, je pouvais me plaindre de ces paroles. Je le fixais avec des yeux noirs et je n’hésite pas à lui coller une claque derrière la tête pour le faire taire. « Merci de garder ce genre de détail pour toi si tu ne veux pas que je te parle de mes conquêtes à moi. » dis-je détournant le regard, boudeur le retour. Nan mais là, il allait encore plus en chier pour m’avoir croyez moi. « La grande gueule va te faire comprendre ce que c’est qu’avoir une vrai grande gueule crois-moi. » dis-je en arrivant dans ma chambre. Il allait rester sur le cul aujourd’hui, s’il continuait dans cette direction. J’avais besoin de prendre une douche et tout de suite, il eut un intérêt pour celle-ci. Je me tourne vers lui, le regardant de haut en bas. « Va voir tes conquêtes mon petit. Elles accepteront peut-être de te supporter le temps d’une douche. » dis-je avec un sourire au coin moqueur. En gros, rêve toujours frère. Je rentre dans ma salle de bain et pris le soin de bien fermer la porte derrière moi avant de commencer à me déshabiller. Là, tu vas rester sur le cul monsieur Castairs !