CLADEN ll money

Elle cherchait clairement des excuses mais on savait tous les deux que c’était l’alcool qui lui avait valu cette pseudo chute. Mais on n’était pas là pour parler de cela, j’avais clairement senti la tension qui émanait de nos deux cœurs. Cela ne dura que quelques secondes avant que nos lèvres ne se joignent pour un baiser plus que fougueux. On s’engueulait tout le temps mais il fallait bien que cela arrive un jour. Je l’avais soulevé pour lui faciliter la tâche –elle était bien trop petite par rapport à moi. Je l’avais déposé sur le lit tout en continuant à l’embrasser d’une façon de plus en plus fougueuse. Je laisse ma main remonter sur sa cuisse pendant qu’elle me tenait contre elle. Je n’aurais pas pensé finir dans ce genre de position, j’aurais pensé juste me contenter de son fric et non de finir dans le même lit… au fond, ce n’était pas une mauvaise idée non plus. Je voyais bien que sa robe l’ennuyait plus qu’autre chose, alors je l’aide à la retirer avec délicatesse. On était au même stade maintenant et je pouvais même laissé mes lèvres goûter à sa peau que j’avais envie d’embrasser depuis tout à l’heure.

De l'amour à la haine, il n'y a qu'un pas, qu'ils disent. Ouais, ben du conflit au désir, il n'y en a qu'un également. En un laps de temps si court que je n'ai pas eu le temps de réagir, je terminais déjà dans le lit de Maden, et c'est loin de me déplaire quand je vois qu'il vient s'allonger au dessus de moi. Automatiquement, ma jambe remonte contre son corps au contact de sa main contre ma cuisse, et de mon côté, mes lèvres s'égarent contre la peau de son cou, pendant qu'il se charge de m'aider à dégager ma robe. En une fraction de secondes, je termine en sous vêtements sous son corps bouillant, et mon premier réflexe est de soulever mon bassin pour le rapprocher du sien, une main se promenant le long de sa colonne vertébrale. Je souffle un coup en sentant ses lèvres contre ma peau dénudée. C'est juste parfait. Je capte son regard, et pour une fois, on semble sur la même longueur d'ondes, alors que ma main redescend le long de sa colonne, cette fois sans s'arrêter, jusqu'à ses fesses. « J'ai même pas bu.. » Que je murmure finalement, en riant.

Cette situation me plaisait plus que je ne l’aurais cru, elle était clairement à mon goût et son caractère ne me déplaisait pas également. Dans tous les cas, cette soirée allait clairement mieux se terminé que je ne l’aurais pensé. Je laissais mes mains partirent à l’aventure sur son corps plus que désirable. Je la regardais en souriant alors que je l’entendais dire qu’elle n’avait rien bu. « A croire que tu n’étais pas venu pour cela… » dis-je en souriant. Je laisse mon bassin se rapprocher du sien, je viens même me frotter alors que je viens retirer sa bretelle de soutien-gorge doucement. Laissant mes lèvres déposer quelques baisers là où cela se découvrait. Ouais, beaucoup pense que je suis un sauvage mais quand je couche avec quelqu’un, je le fais bien et dans les règles. Son soutien-gorge ne fit pas long feu qu’il rejoint vite sa robe sur le sol. Jolie poitrine.

Moi qui pensais rentrer à l'hôtel et aller me coucher après une douche bouillante, au final, je me suis trompée sur toute la ligne. Aussitôt arrivée dans ma chambre, que j'ai terminé dans celle de Maden pour de l'eau.. que je n'ai même pas bue. Et sa remarque me fit sourire. « Pour quoi d'autre serais-je venue ? » Soufflais-je avec un sourire amusé, alors que je frissonnais au contact de ses mains qui exploraient mon corps dénudé. Son bassin s'est collé au mien, et chacun de ses mouvements me rend impatiente. Merde. Alors qu'il faisait glisser une première bretelle de mon soutien gorge, je fais passer mes pouces derrière l'élastique de son boxer pour le baisser un peu, jusqu'à ce que je le lâche pour l'aider à dégager mon soutien gorge. Plus qu'un vêtement chacun, égalité. J'ai jamais été du genre pudique avec les hommes, et qui plus est, Maden n'a pas juste un regard de chien en rut. Sa façon de m'observer, de m'embrasser à chaque centimètre de peau qu'il découvre, c'est un délice. De mon côté, j'embrasse son épaule, et mes lèvres remontent jusqu'à son cou, pour revenir jusque sa bouche. Mes mains reviennent tirer sur le tissu de son boxer, pour le baisser encore, le virer même sous ses fesses.

Je continuais à la taquiner, surtout quand elle me dit qu’elle n’avait pas bu cette eau. On avait clairement mieux à faire que boire et je ne doute pas que l’alcool allait s’évaporer avec tout ce qu’on allait faire tous les deux. « Pour rien d’autre j’imagine, sauf tester mon lit. » dis-je avec un sourire au coin. Je commençais à la déshabiller tout en continuant d’explorer sa peau avec mes lèvres. Je voyais très bien qu’elle était assez impatiente de ce qui allait suivre mais l’attente est ce qu’il y a de mieux pour la suite. Mes lèvres vinrent explorer sa poitrine plus que mignonne. Je mords ma lèvre quand elle vient embrasser mon cou, un baiser fougueux par la suite. Je décide de retirer mon boxer puisqu’elle semblait le trouver de trop. Je souris contre ses lèvres avant de m’amuser avec son bout de tissus, enfin je viens plutôt commencer à la caresser doucement. Autant que le plaisir monte.