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Un moment exceptionnel et à peine avions nous fini notre petite - mais délicieuse - affaire que nous ressortions déjà les pics, les tacles et tout ce qui va avec. C'est plus fort que moi, je n'arrive pas à m'y défaire.. Et puis, c'est une manière de garder les pieds sur terre avec Cole non ? Je me connais, je suis bien capable de me laisser aller et de m'attacher à lui parce que je suis comme ça. Coucher autant de fois avec un homme, ça ne me ressemble pas. Il n'y a qu'avec mon petit ami que je remets le couvert. Et il n'est pas mon petit ami, loin de là. C'est juste quelqu'un avec qui j'aime faire l'amour, un espèce de plan cul régulier. C'est comme ça qu'on dit non ? C'est mon partenaire de jeu préféré, en quelque sorte. Je ris face à sa remarque." J'avais presque oublié qu'on était là " Soufflais-je. Et demain il va falloir que je range cette piaule de fond en comble, que je change les draps et tout ce qui va avec. Ça me déprime d'avance. Mais je suis sûre que si je pense à ce qu'il vient de se passer dans ce lit, devant ce lit... Je trouverais un certain intérêt à être là à nouveau. Je l'écoute et me sens rougir quand il met en avant le fait que ça fait plusieurs heures qu'il attendait ça. Ça quoi ? Coucher avec moi ? Que devrais-je dire ? Depuis notre entretien au mandarin, j'attends ce moment où j'allais avoir un orgasme, un nouvel orgasme donné par Cole et seulement Cole. Parce que ma nuit avec Matthéo n'égale pas ce qu'on vient de faire là.. Et puis, ouai, j'aurai pu faire des folies de mon corps en Angleterre mais non, je n'en ai pas eu envie... Serais-je entrain de revenir monogame ?! Wrong idea, wrong person. Je tourne le visage, caressant toujours le torse du jeune Wildingham et souris en le voyant fermer les yeux." Papi a besoin de se reposer ? " Riais-je, taquine. J'écrase un baiser à la commissure de ses lèvres et descends du lit, les jambes encore tremblotante. Je cherche sa chemise que j'enfile. Deux boutons fermés et je me glisse sur le bord du lit." Tu veux quelque chose ? " Il peut tout me demander. De la collation à la fellation. Oui, oui, rien que ça.
Oublié l’endroit atypique où nous nous trouvions ? J’avoue que moi même j’en avais un peu fait abstraction le temps de notre étreinte. Mais maintenant que nous avions terminé, j’étais juste diaboliquement content de l’avoir fait céder pour que les stripteases et ce qui s’en était suivi aient lieu ici même… Dante allait devenir dingue en l’apprenant et ça ne rendait la chose qu’encore plus agréable. Et agréable c’était un euphémisme pour qualifier ce que nous venions de faire. Les hormones du plaisir circulaient encore dans mes veines probablement, parce que j’étais juste trop bien, satisfait… J’en avouais même que j’avais attendu cela depuis un moment, aveu qui la fit rougir et détourner les yeux, et je ne pus m’empêcher de penser qu’elle était magnifique… J’étais en train de faire quoi là ? Je filais un très mauvais coton… Je rouvris les yeux quand elle me surnomma papi. « Un peu de respect pour tes aînés petite. » Je fermais encore un instant les yeux alors qu’elle m’embrassait furtivement et les rouvris pour l’observer descendre du lit, attraper ma chemise et l’enfiler, me surprenant une nouvelle fois à la trouver incroyablement belle… Cole Wildingham, dangereusement mordu. La preuve encore lorsqu’elle se glissa jusqu’à moi en me demandant ce que je voulais : j’aurais pu répondre quelque chose de complètement pervers et déplacé ou encore exiger qu’elle me serve sur un plateau tout le contenu de leur frigo, mais au lieu de ça, je l’attrapai pour l’attirer à nouveau sur le matelas « Je veux que tu reviennes là… » fis-je en écartant les bras pour qu’elle vienne s’y lover. Je réclamais un câlin là ? Sauvant les apparence, j’ajoutai : « Il fait froid sinon… » Ouais ouais ouais, on n’y croit…(Invité)
Un moment comme je les aime. Comme je les aime avec Cole, on s'entend. Cette passion que j'éprouve, cette envie de faire toujours plus, toujours plus, de prendre toujours plus de plaisir pour ne pas se lasser... Comme si je pouvais me lasser de lui, de son corps et de ce qu'il me fait. Le remplacer ? Laissez moi rire. J'ai l'impression de me redécouvrir, de découvrir mon corps, de repousser mes limites et mes aprioris. Qui aurait pu dire que je prendrais le contrôle de cette manière avec un homme - sur un homme ? Personne, jamais. Je ris légèrement quand il me parle de respect. Eh, on parle de ce qu'il a fait lors de notre première fois ? Non. J'ai pas envie d'y penser, j'ai pas envie de remettre ce putain d'échec sur la table, j'ai presque envie de l'oublier si ce n'avait pas été le premier d'une ribambelle de rapports plus torrides les uns que les autres. À genoux, lové contre mon postérieur... J'en ai chaud rien que d'y penser. J'enfile sa chemise, un léger sourire sur le visage, et lui demande s'il a envie de quelque chose. Un truc à boire, à manger... Je sais pas trop. Ça fatigue tout ça non ? Surtout qu'il est pas tout jeune ! Le quart de siècle ! Ouille, ça fait mal aux fesses. Je me retiens de sourire largement quand il me demande de revenir avec lui, à ses côtés dans ses bras." Si t'as froid y a la couverture tu sais " Soufflais-je en embrassant ses lèvres, mordillant légèrement sa lèvre inférieure." Mais on m'a dit d'être gentil avec les ancêtres, c'est d'eux dont on apprend les meilleures choses " Soufflais-je contre ses lèvres en prenant bien soin de passer par dessus lui plutôt que de faire tout le tour, finissant par me lover dans ses bras, le visage sur son torse." T'as raison, il fait froid, j'aurais presque besoin qu'on me réchauffe " Riais-je en tirant sur la couverture. Qu'il referme ses bras autour de moi pour commencer oui...
Elle était loin d’époque où je la congédiais à coup de billet… Voilà que désormais, bien que satisfait et après avoir fini ma petite affaire avec elle, je ne m’en contentais pas. Je la voulais dans mes bras… C’était quoi ? De l’attachement ? De la tendresse ? Des senti… Non, pas ce mot. Pas trop de réflexion. Je chassais ses pensées alors qu’elle me rétorquait que si c’était vraiment à cause de la température, j’avais moyen de me glisser sous la couverture. « Je voudrais pas salir la couverture de Dante voyons… » Surtout qu’on avait encore fait ça sans capotes alors… Peut être que Basini allait passer sa chambre à la lumière fluorescente que les inspecteurs de police avaient à leur disposition lors des enquêtes criminelles… Elle mordilla un instant ma lèvre, et je savais qu’elle n’était pas dupe de mes excuses. Elle le sentait surement ce pouvoir qu’elle prenait peu à peu sur moi. D’humeur taquine, elle me qualifia à nouveau d’ancêtre. « Arrête de m’appeler comme ça, tu vas me faire passer pour un pédophile… » ronchonnai-je en profitant de la vue alors qu’elle passait au dessus de moi pour venir finalement se lover contre moi, me soufflant que finalement j’avais raison, qu’il faisait froid. « Ha tu vois… » Mon bras passa autour de son épaule, la serrant doucement pour la plaquer un peu plus contre moi, mes lèvres venant se poser avec douceur sur sa tempe. « Kyla… » J’avais pas envie de gâcher ce moment, parce que je me sentais juste parfaitement bien… Mais il fallait quand même qu’on ré-aborde un sujet délicat. « On va faire quoi… Enfin, tu vas faire quoi pour la grossesse ? » Tout à l’heure, au club, elle s’était énervée, la discussion avait vite dégénéré. Peut être que maintenant, on pouvait retenter d’aborder les choses de manière plus posée.(Invité)
" Parce que tu crois que je vais laisser ça comme ça ? " Demandais-je en riant légèrement. Non non mon coco, demain je démonte le lit, je lave les draps, je les change et Dante n'en entendra jamais parler, absolument jamais. Je n'ai pas envie que mon colocataire me prenne pour une Marie-couche-toi-là, pour une minette qui écarte très - trop - facilement les cuisses et qui ne respecte absolument rien... Je le taquine légèrement et m'approche de son oreille pour souffler" Je suis majeure, t'es plus considérée comme un pédophile " Oui et ça fait toute la différence ! Y a encore un an et demi, il aurait été qualifié de pédophile mais plus maintenant... Maintenant je suis une grande fille qui fait ce qu'elle veut de sa sexualité et de son corps. Je souris légèrement quand son bras se referme autour de moi et ferme les yeux. Ses lèvres sur ma tempe, son prénom qui file entre ses lèvres, j'ai envie de faire semblant de dormir parce que je sens le sujet épineux arriver. Je ne le vois pas m'interpeller comme ça pour me demander une petite gâterie ou je ne sais pas quoi, pas alors qu'on est bien ensemble là, allongés dans ce lit. Et ça ne manque pas. Je soupire légèrement." Je sais pas. Je veux me laisser jusqu'après le Chili pour savoir ce que je veux faire, ce qu'on devrait faire " Il en veut pas de ce gosse, j'en voulais pas jusqu'à ce matin mais là, tout ça, cette prise de sang, ça a tout rendu tellement plus réel, plus concret que je sais pas ce que je veux faire." Si je décide de le garder et que tu veux foutre la poudre d'escampette, je t'en voudrais mais je comprendrais... Tout le monde n'a pas envie de gâcher sa vie de cette façon " Lançais-je, déglutissant légèrement." Tout était bien arrêté dans mon esprit puis cette prise de sang a foutu le bordel dans ma tête " Soufflais-je en ouvrant les yeux, regardant le pas de la porte, comme si un miracle allait débarquer, comme si un enfant d'un voire deux ans allait débarquer pour venir voir papa et maman. Rêve Kyla, oui, rêve.
« D’ici à ce qu’il rentre de voyage nos odeurs auront disparu des draps… » Elle était pas joueuse tiens… Et puis qu’importe, elle pourrait tout javelliser si elle voulait, moi je me ferais un grand plaisir de raconter à ce cher rital ce qui s’était passé sur son lit. Mais c’est elle qui se fit taquine ensuite, sur mon âge, puisque quelques années nous séparaient. Elle me rassura avec malice sur le fait qu’elle était majeure… Encore heureux. Et je me laissais ensuite aller à quelques gestes tendres, trahissant surement l’attachement trop grand déjà que je développais à son égard. Et même si ce moment avait été parfait, je n’arrivais pas à occulter la confirmation de la soirée : Kyla était enceinte de moi. Ca revenait au galop dans mon esprit, je ne pouvais pas occulter tout ça, même si c’était ce que je voulais. Je remis donc finalement le sujet sur le tapis pour qu’on en parle plus posément que lors de notre rencontre au club. « Kyla, tu peux pas le garder… » soufflai-je alors qu’elle avouait vouloir se laisser jusqu’au chili. « Tu vas passer un springbreak pourri en plus. » essayai-je de la convaincre alors, inquiet pour elle aussi, parce qu’un début de grossesse en plein voyage ça allait être compliqué : pour boire et s’éclater, mais aussi pour manger, histoire de ne pas se choper la toxo ou ce genre de truc… Pour l’heure, c’était évident dans ma tête que je ne voulais pas de gosse… Pour l’heure oui, parce qu’ensuite j’allais peut être m’attacher à ce petit tas de cellules, mais ça on n’y était pas encore. « Tu devrais régler ça avant de partir non ? » Je ne comprenais pas ce que la prise de sang pouvait avoir chamboulé en elle…(Invité)
Oui oui c'est ça, nos odeurs auront disparu et ? Je me sentirais toujours autant honteuse en passant devant sa chambre et surtout quand il sera dedans. Mon dieu, mais pourquoi on a fait ça ici ? J'allais penser plus qu'à ça maintenant. Dès que je passerais la porte pour un câlin improvisé au milieu de la nuit, dès que je me faufilerais dans ses bras, dans ses draps, parce que ça ne va pas, je ne verrais plus que ça : Cole et moi ne faisant plus qu'un. Enfin, la réflexion de Cole me ramène sur terre et je sers les dents." Arrête Cole, arrête tout de suite " Soupirais-je. Qu'il la ferme. C'était la troisième personne qui me disait d'avorter avant de partir au Chili. Hors de question. Je ne sais pas encore ce que je veux faire. Tout était clair dans ma tête quand ce n'était pas sûre à cent pour cent mais là..." Je passerai un Spring Break de merde, c'est pas grave, ça sera ma punition de moi à moi " Et qui sait, peut être que j'allais faire une rencontre comme l'année dernière ? Dernier soir, ultime - et unique - folie et hop, je trouverais quelqu'un qui me fera vibrer encore plus fort qu'un téléphone et que Cole pouvait le faire depuis peu." Je sais pas ce que je veux faire ok ? Je veux juste me laisser le temps de réfléchir, de tout prendre en perspective. Et puis, si je ne peux pas supporter quinze jours d'ennuis dans ma vie, comment veux-tu que je supporte ça neuf mois " Est-ce que je cherchais réellement à me dégouter de cet enfant en me privant de tout ? Peut être bien que oui." Puis, ça te change rien toi, tu pourras toujours faire tes trucs tranquille " Lançais-je, amère. Oui, j'ai pas très envie qu'il fasse ses trucs de son côté mais bon, j'y peux quoi ?! Rien.
Si l’espace d’un instant, on aurait presque pu donner l’illusion d’être quelque chose comme un couple elle et moi, très vite, quand le sujet épineux arrive dans notre discussion, les tensions se ravivèrent. Non je n’allais pas arrêter, on ne pouvait pas éternellement remettre le débat à plus tard et j’étais quand même en droit de lui donner mon avis sur la question non ? Qu’elle envoie bouler ses potes lorsqu’ils lui disaient d’avorter ou de garder le bébé si elle veut, mais moi j’avais quand même mon mot à dire sur la question non ? Ok, c’était son corps, c’était sa vie qui allait surement se trouver plus bouleverser que la mienne, mais j’allais quand même me trouver avec un petit rejeton dans neuf mois si elle choisissait de ne rien faire. J’objectai en citant le SB et les vacances dont elle ne pourrait profiter vu son état, elle rétorqua que ça serait sa punition. « Ta punition pourquoi ? Pour avoir couché avec moi ? Pour l’avoir fait dans le lit de Dante ? » Un gosse, une grossesse, ça ne devait pas être une punition, mais j’avais pas besoin de le lui dire elle le savait surement déjà. M ais ça semblait bien confus dans sa tête alors que dans la mienne pour l’heure ça ne l’était pas : je ne voulais pas d’enfant. Elle me lança que de toute façon, ça ne changerait rien à mes petits projets, que je pourrais faire mes trucs tranquille… Je repensais à mon plan avec Maëlys, me disant que ça allait surement compromettre les choses si elle apprenait que j’allais être père. « Ouais, bah c’est bien ce que je compte faire. Mes trucs tranquille. Et y’a pas intérêt que tout ça s’ébruite. » exigeai-je sur un ton qui n’avait plus rien de doux, relâchant mon étreinte pour m’écarter d’elle, me levant rapidement du lit pour partir à la pêche aux vêtements avec un agacement. Finie la parenthèse enchantée, l’heure des prises de tête était revenue.(Invité)
Ça sera ma punition pour avoir pris mon pied avec lui sans se protéger. Il avait fallu qu'on oublie un si petit détail qui s'avérait pourtant si gros et important maintenant. Je lève les yeux au ciel quand il parle de l'avoir fait dans le lit de Dante. C'est le moindre de mes soucis pour le moment. Je ne suis pas très à l'aise avec tout ça mais y a pire, beaucoup pire..." J'ai besoin de temps pour réfléchir, c'est tout. Mais t'inquiète pas, je le mettrais pas en danger hein " Soupirais-je. Comment a-t-on pu passer d'un moment parfait à ça aussi rapidement sérieux ? Et le pire, c'est qu'il se lève et commence à chercher ses fringues." Y a pas intérêt que ça s'ébruite ou quoi ? Tu me baillonnes et me jette par dessus un bateau ? " Lâchais-je, soudainement énervée et l'estomac qui tourne, une fois encore. Il me fait stresser et m'énerver en un claquement de doigt, chose que je déteste." En fait t'as raison, je devrais me faire avorter avant de partir histoire de pouvoir m'envoyer en l'air à tout va comme tu le fais. Leevy, moi ou une autre, la première qui dira oui passera dans tes draps, c'est ça ? " Lançais-je amèrement. Je ne sais pas s'il a fait quelque chose avec Leevy mais je sais que c'est son premier amour parce qu'elle me l'a dit la dernière fois qu'on s'est vu. Leevy et moi, on était pas très amies avant mais visiblement, on aime bien échanger nos premiers amours." Ta chemise est sur moi, tu peux toujours la chercher hein " Soupirais-je en le défiant du regard. Je l'enlèverais pas et il est hors de question qu'il en prenne une à Dante. Il faudra qu'il me passe sur le corps pour le faire." Tu vas être un connard comme ça encore longtemps ? Si jamais je le garde, je crois que j'ai changé d'avis, je te veux pas autour de lui ou de moi. T'es nocif Cole. Dès que tu lâches les armes trente secondes, t'es encore plus imbuvable la minute qui suit et on sera pas ton petit jouet, ton souffre douleur " C'est ça être une mère non ? Protéger son enfant des gens nocifs qui font du mal ? Je serai peut être pas une mère si pourrie que ça en y réfléchissant...