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so, you're my valentine (carmingham+septembre)

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" J'ai pas pour habitude de retenir le nom des hommes avec qui c'est purement physique " Entend par là que t'es pas le seule à me toucher, à coucher avec moi et à avoir accès à mon jardin secret. Mon favori, peut être, mais ça s'arrête là. Rien d'exclusif. Même si je suis bien plus sélective qu'avant. Les petits gigolos sans personnalité aucune, non merci. Je ne me tournais plus que vers les hommes avec la poigne, de la force et un charme indéniable. En parler à Cole ? Plutôt crever ! On est pas pote tous les deux, on s'amuse juste un peu ensemble de temps en temps. Oui, c'est occasionnel. À partir de combien de fois par mois parle-t-on d'une habitude ? Parce qu'aujourd'hui marque le premier mois de mon retour et ça a chauffé plus d'une fois. " Et qui te dit que je n'en ai pas ? " C'est sur qu'avec lui, la petite culotte ne sert à rien. Elle ne reste jamais bien longtemps sur mes fesses quand je le croise. Sauf dimanche dernier où il a carrément débarqué à l'appartement. Là, ma culotte et mon pyjama sont restés sur moi ! Je me penche vers lui et le défie du regard. Je ne le connais pas. Ah bon. Pourtant c'est le tableau qu'il m'offre depuis que je l'ai rencontré dans ce restaurant après un petit contrat d'escort. Un homme qui s'envoie en l'air et basta. Le sexe facile, pas de sentiments, rien pour s'attacher. La barricade, le coeur enfermé dans sa cage, impénétrable. Voilà comme je le voyais. Et ce n'est pas parce que j'ai appris que son père est décédé que tout change. Un garçonnet perdu sans son paternel. Ça en ferait craquer plus d'une. Ce besoin de le soutenir... L'ancienne Kyla aurait été friande de ce genre de choses. Je le laisse glisser sa main sur ma cuisse, buvant une gorgée de ma boisson. Indifférence totale. Enfin, peut être pas. Mes lèvres contre ce verre ou contre ses lèvres. Le choix est vraiment vite fait. " Ça dépend ce que tu préfères. Je peux m'adapter " Non, il ne saura pas que je suis un vrai petit démon... Je pose mon verre et le regarde. " C'est à toi de me dire... " Je pose ma main sur sa joue, caressant ses lèvres de mon pouce. Gentille. Méchante. Profiteuse surtout.
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Elle essayait de faire quoi là ? De me toucher… « Et bien oublie mon nom alors. » répliquai-je en feignant l’indifférence. Ca nous empêchera surement de nous engluer dans cette attraction mutuelle qui semble nous guider l’un vers l’autre irrémédiablement. Ne laissons pas entrevoir de quelconque jalousie sur cette liste d’innombrables noms d’hommes qu’elle vient de sous entendre dans sa phrase. Kyla était une escort. Une fille qui se faisait payer pour tenir le bras d’un homme le temps d’une soirée. Une escort qui avait couché avec moi dès le soir de notre rencontre. Je le savais depuis le début. Je ne pouvais pas m’attendre à ce qu’elle se révèle une vraie sainte nitouche qui ne dédiait son vice qu’à ma petite personne… Et soyons honnête, j’étais loin d’être un saint de mon côté également. C’est d’ailleurs avec des idées franchement mal placées que je fis remarquer à la demoiselle que si elle avait su sur qui elle tomberait ce soir, elle ne se serait pas encombrée de sa petite culotte. Elle s’amusa à me mettre le doute, et je me fis la réflexion que j’allais devoir vérifier… Voilà, on retombait dedans toujours. Les idées mal placées… Et donc assez rapidement, mes mains remontèrent le long de sa jambe, glissant sur sa cuisse, l’interrogeant sur son côté gentille ou méchante fille. Pour l’instant, c’était surtout de l’indifférence totale qu’elle affichait malgré mes doigts baladeurs. Elle me laissait le choix, se vantant d’être capable d’adaptation, tournant finalement son visage vers le mien, posant son pouce sur mes lèvres, son regard défiant le mien. Mes doigts remontèrent un peu plus, glissant sous sa robe un instant, histoire d’aller vérifier l’absence ou non de sous vêtement. J’effleurai un morceau de tissu. Elle avait bien mis une petite culotte. « Gentille fille faut croire… » lâchai-je avec un sourire amusé. Ma main glissa vers l’intérieur de ses cuisses, effleurant son intimité à travers la dentelle de son dessous.
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" Mais c'est déjà le cas. Vous êtes.. ? " Soufflais-je dans sa direction, un léger sourire sur le visage. Quel con, quel abruti, quel tout ! Je suis presque entrain de lui dire que ce n'est pas que physique entre nous, que j'aimerais bien apprendre à le connaître et que c'est pour ça que je ne suis pas encore partie, mais non, il ne comprend pas. Q.I. moins huit ans. À chaque fois que je suis près de lui, ça finit en partie de jambes en l'air et ce n'est pas pour me déplaire. Sauf que là, on est dans un endroit vraiment très public et ça me gène un peu qu'il glisse sa main de la sorte. On pourrait nous regarder. Et je n'ai pas pour habitude de me montrer en spectacle de la sorte. J'hausse les épaules quand il dit que je suis une gentille fille. J'ai peut être juste moyennement envie d'attraper froid. Je le regarde droit dans les yeux et quand il glisse sa main entre mes cuisses. " Cole... " Soufflais-je, ma main sur son visage, mon regard perdu dans le sien. Cola, pas touche, dégage ta main. Mais non, il n'en fait qu'à sa tête et je soupire légèrement. Je ferme les yeux quelques secondes et tente de me sortir de ce plaisir que je sais que je vais ressentir. Je croise les jambes un peu plus, de manière à ce que sa main remonte et ne puisse pas atteindre mon intimité. " Si le faire avec du monde à côté ne me gêne pas, me faire toucher en public, c'est différent " Pudique ? Non peut être pas mais je ne pourrais jamais me retenir de gémir, de soupirer son prénom et tout ce qui va avec... Alors autant s'arrêter maintenant qu'il est encore temps.. Parce que je sais très bien que les choses peuvent vraiment déraper avec lui. Quand on a la volonté d'un grain de sable, ça finit toujours par faire mal..
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 Elle s’amusait à toucher mon égo, feignant d’avoir déjà oublié qui j’étais. Mon regard s’assombrit : « Personne… » Je n’étais personne pour elle alors qu’elle joue les amnésiques me laissait bien indifférent, enfin voilà ce dont j’essayais de me convaincre. Mon air renfrogné en disait surement plus long sur ce que je pensais véritablement de son petit manège. Mais ce fut rapidement mon tour de jouer, laissant glisser ma main le long de sa jambe, remontant dangereusement sous sa robe, sous prétexte d’y vérifier la présence ou non d’un dessous. Sage et gentille fille, elle avait revêtu une petite culotte pour la soirée. Mon prénom s’échappa de ses lèvres au contact de mes doigts et un sourire satisfait ourla mes lèvres : « Je vois qu’on a retrouvé la mémoire… » Ce prénom qu’elle prônait avoir oublié. Ses jambes se croisèrent, me barrant l’accès à cette zone sensible, me rappelant à l’ordre sur le lieu où l’on se trouvait. Je jetais un coup d’œil au barman qui s’activait dans la préparation de ses cocktails, puis aux quelques tables autour de nous. « Personne ne nous regarde mais soit… » Mes doigts glissèrent, délaissant sa cuisse pour venir attraper mon verre. Un rafraichissement qui s’imposait.  Mais après une gorgée de ce mauvais sky, je grimaçais. « Le whisky est imbuvable ici… » Le thé aussi… En fait dans ce pays, y’avait que les américaines de bonnes…
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Il n'est personne. Il a raison sur ça. Cole est bien mignon mais il n'est personne. Juste un gars, comme ça, avec qui il est sympa de s'envoyer en l'air de temps en temps. Mais juste comme ça quoi. Oui, je tente de m'en convaincre, de me dire que ça sert à rien, qu'il ne me sert à rien. Je la regarde droit dans les yeux et n'apprécie guère son petit cinéma, son petit jeu avec moi. J'ai un minimum de pudeur et si lui, ça ne le gêne pas de me caresser en public, c'est son délire, pas le mien. Un minimum de retenue n'a jamais fais de mal à personne. Puis... On va pas se voiler le face, si on commence, je pourrais pas m'arrêter ni me retenir. Alors autant l'envoyer voir ailleurs si j'y suis. Je lève les yeux au ciel. Personne ne nous regarde et ? On ne sait jamais ce qu'il peut se passer, qui peut arriver, regarder du coin de l'oeil ou je ne sais quoi. Et je me connais. Sous ses doigts experts, je ne donne pas cher de ma peau. Et mon visage en dira bien long sur le plaisir que je ressens, sur l'excitation qui parcourt mon corps à chacun de ses gestes. Lui, on lui dirait bien jouer et moi, je serais la risée de l'université. Merci mais non merci. Je tiens un minimum à ma réputation. Encore plus avec mon métier d'escort. La discrétion était primordiale et je ne voulais pas qu'on me reconnaisse à cause de mes frasques quelconque. Je me replace un peu mieux, face à mon verre et en bois une gorgée. " Y a quelque chose que t'aimes au moins dans ce pays ? " Non parce que bon, on ne le retient pas hein. Enfin, peut être que si, un peu quand même.. Mais juste un tout petit peu...
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  Elle joua les prudes, me rappelant à l’ordre et levant les yeux au ciel d’exaspération devant les excuses que je lui servis. Ses jambes croisées, ma main n’eut plus qu’à revenir sagement s’ancrer sur mon verre pour une nouvelle gorgée de mon breuvage, occasion de critiquer une nouvelle fois la gastronomie locale. Ingrat envers le pays qui m’accueillait ? Oui je l’avoue. D’ailleurs, c’est avec un petit ton irrité qu’elle me demanda si y’avait un truc que j’aimais bien dans ce pays… J’eus un petit sourire en repassant ma précédente pensée, à savoir que les américaines avaient tout pour me plaire, me retenant malgré tout de formuler cette remarque à voix haute. Elle me collait déjà l’image du conard pervers, je n’allais pas lui donner encore plus de quoi alimenter cette vision néfaste qu’elle avait de moi. « Le campus, le prestige de l’éducation… » Harvard et son rayonnement à travers le monde. Ca allait être une fierté de pouvoir coucher sur mon cv mon passage au sein cette faculté. « Et puis quelques autres trucs… » Puisque les attouchements étaient proscrits pour la soirée, nous voilà donc condamner à discuter. Je me décidais donc à me dévoiler un plus, me révélant un peu plus à mon interlocutrice : « …quelques autres trucs, comme être auprès de ma sœur. » Certains diront que j’avais été transféré d’Oxford à Cambridge uniquement pour avoir la gloire et la prétention d’être passer sur les bancs d’Harvard, mais très peu savaient que c’était soucieux et inquiet pour ma jumelle que j’avais décidé de ce déménagement. « Et toi dis moi, tu as toujours vécu ici ? » demandai-je en délaissant mon médiocre whisky pour tourner mon visage vers elle. Au final, j’en savais aussi peu sur elle qu’elle sur moi.
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Si on m'avait prévenu que je me retrouverais avec lui au Speed Dating, j'aurais fais demi tour avant d'arriver. Je me serais arrangée pour envoyer quelqu'un d'autre. Payer une fille, lui offrir une belle robe blanche et oust. Ou peut être pas. Je n'en sais rien, ça ne s'est pas présenté. Et je vois bien qu'il a envie qu'on reprenne notre vieille routine. Se balancer des horreurs, s'embrasser, s'envoyer en l'air et se quitter une fois tout ce bazar fini. Et quel bazar ! Sauf que là, on est en public. Et que je suis peut être entreprenante et 'ouverte' en privé, mais ce n'est pas le cas en public. J'ai une image à respecter et j'ai un minimum de respect en moi. Minimum, vraiment très minimum. Il suffit qu'il me fasse descendre de ce tabouret qui fait terriblement mal aux fesses, de m'emmener derrière le kiosque et je redeviendrais celle qu'il connait. Enfin, qu'il croit connaître. Je joue avec mon verre, l'agitant de manière circulaire pour que le liquide tourne, qu'il forme un léger tourbillon au centre du verre. Oui, rien que ça. Je l'écoute et arque un sourcil. Une soeur donc. " Il y a donc un coeur sous cette masse " Masse de muscles ? Non, on ne va pas abuser. Il a tout ce qu'il faut où il faut mais ça s'arrête là. Je le regarde et hausse les épaules. " Plus ou moins. J'suis originaire de Miami. La plage, le soleil, les soirées barbecue sur la plage, tout ça quoi " Je suis plus entrain de dépeindre ce qu'il se passe en Australie là. Surtout que j'ai toujours vécu loin de ce genre de choses. Les fêtes, l'alcool, ça n'a jamais été mon truc mais alors pas du tout. " J'suis arrivée y a cinq ans à Harvard pour rejoindre ma soeur aussi. Nous avons donc quelques points en commun " Soufflais-je avant de lui adresser un large sourire. " L'Angleterre ne te manque pas trop ? " Demandais-je, curieuse. Et dire que demain à 10h30, je m'envole pour Londres... Cette semaine de vacances avec Andrew et les enfants va me faire un bien fou... Oh que oui !
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   Je m’assagis donc, pensant que c’était ce qu’elle voulait. Me concentrant sur mon mauvais whisky plutôt que sur ses cuisses entre lesquelles je rêvais de me glisser. Cette soirée était censée m’aider à me sortir Kyla de la tête bordel ! Et me voilà en train de taper la discut’ avec la jeune femme. Tout le contraire du but escompté. Je commençais, jouant le jeu, me livrant un peu, récoltant le sarcasme de la demoiselle en guise de réponse d’abord. « La masse tu sais ce qu’elle te dit?» Et je lui tendis mon majeur avec un sourire mauvais. Charmant, comme à l’accoutumée. Mais clairement se faire qualifier de masse n’avait rien de flatteur, ou alors elle aurait du ajouter un autre qualificatif derrière. Quant à mon absence de cœur, vu l’image que jusqu’à présent je m’étais appliqué à lui renvoyer, pas étonnant qu’elle s’étonne de la présence d’un tel organe au sein de ma cage thoracique. Je lui retournais néanmoins la question. Speed dating et faire connaissance, voilà le thème du jour alors plions nous au jeu. Elle était de miami. Et mon esprit s’amusa aussi à l’imaginer en bikini… Stop Cole… Je m’exaspérais moi même. Je repris le fil de la discussion, essayant de faire abstraction de cette image de la brune en petit maillot qui s’imposait dans ma tête. Elle avait donc une sœur, un point commun qu’elle souligna avec amusement. « Faut croire que tout arrive. » Un point commun. En plus de notre plaisir mutuel à copuler l’un avec l’autre. Elle continua le petit numéro de cette conversation, enchainant en parlant de ma patrie natale, et si elle ne me manquait pas trop : « Il y a beaucoup de choses qui me manquent… » Mais à vrai dire ces choses me manquaient déjà sur le sol anglais. A la rigueur ici, j’avais retrouvé beaucoup de mes proches. « Bizarrement, je suis très bien entouré à Harvard, j’ai retrouvé beaucoup d’amis. » confiai-je avant d’ajouter, histoire qu’elle n’utilise pas mes mots pour me tacler à nouveau : « Et oui ça va t’étonner mais derrière cette masse, il y a un cœur et une capacité à se faire des amis. » Enfin, amis était peut être un grand mot sachant que pour entrer dans mon cercle restreint de fréquentations, il fallait obligatoirement que je tire un intérêt personnel de cette amitié.
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La masse. J'aurais franchement pu lui trouver un autre qualificatif ou alors qu'il dire que ça m'étonnerait qu'il ait un coeur puisqu'il réfléchissait exclusivement avec ce qu'il avait entre les jambes. Sa réaction enfantine m'arracha un sourire. Pauvre petit chou, il est vexé. Et moi ça me fait clairement kiffer. Je sens mon coeur battre un peu plus rapidement. Pourtant, rabaisser les gens ne fait pas parti de ce que j'aime le plus au monde. Mais avec lui, c'est différent. Plus je le perturbe et plus ça m'amuse. Et je me demande pourquoi je pense comme ça. Je devrais me foutre de lui comme de ma première couche. Mais rien n'y fait, absolument rien. Partir en Angleterre va me faire du bien. Oublier ces cafards dans notre appartement avec Dante et rencontrer d'autres hommes à l'accent bien particulier... Oui, vaincre le mal par le mal. Si je me foutais un autre anglais en tête tout irait bien. Même si c'est plus entre mes cuisses que je les veux, ces petits anglais... Je l'écoute quand il avoue que beaucoup de chose lui manque. Son père doit être l'un des manque les plus importants dans la vie du jeune Eliot. Mais je n'ai pas envie de le lancer sur ce sujet. Je manque de m'étouffer quand il dit qu'il a retrouvé des amis ici. Je tousse quelques secondes et le regarde, riant légèrement. " Vraiment ? " Je suis sérieuse. Il peut vraiment se faire des amis ? C'est possible ça ? Non, je crois pas. " Et tu fais comment alors, pour te faire des amis ? Tu les payes ? " Il a un caractère de merde. Du moins de ce qu'il m'a montré. " Essayons de devenir amis. Comment tu t'y prendrais ? " Curieuse. Et puis, peut être que je découvrirais une nouvelle facette de sa personnalité...
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  Je ne devrais pas lui laisser voir qu’elle pouvait m’atteindre, que ses paroles avaient leur petit effet sur moi. Plus je m’agaçais et plus elle jubilait, et plus je m’agaçais encore… Cercle vicieux... Bref, reprenons un air impassible et tentons une discussion normale, comme des gens normaux, comme si ce speed dating n’était pas la blague de l’année… Je lâchais donc quelques infos, sur moi, sur mes origines, ma patrie et le fait qu’ici au final, j’avais retrouvé un peu tout ce qui me fallait, à savoir entre autres mes amis. C’est sur cette dernière révélation que l’attention de mon interlocutrice sembla se concentrer. Toussant, feignant de s’étouffer, elle s’amusa à exagérer son étonnement, m’envoyant ensuite à la figure une nouvelle pique, sous forme de questions, me demandant comment je m’y prenais pour gagner l’amitié des gens et ajoutant que je devais les payer. « Ca c’est ma technique pour mettre les escorts dans mon lit. » répliquai-je sur un ton cinglant en lui lançant un regard assassin. J’attrapai mon verre avec mauvaise humeur, y trempai mes lèvres et grimaçai. Ce whisky était dégueu c’était vrai, j’avais failli l’oublier. Et la question suivante de la jeune femme, sa proposition de jouer la comédie et de faire semblant de vouloir me lier d’amitié avec elle eut raison de mon exaspération. Elle en avait pas marre de se foutre de ma tronche ? « Tu me saoules Kyla, et sans me faire boire… » ronchonnai-je avant d’attraper mon verre et de lui lancer le contenu à la figure. Cole, âge mental 6 ans, la preuve encore en image.
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