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hope you got what you came for (cole;dante;kyla)

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hope you got what you came for

Dante est une personne très protecteur envers les personnes qu'il apprécie et en quelques jours, il avait immédiatement apprécier Kyla par son naturel et sa joie de vivre. Après tout, elle était sympa et drôle et apportait une touche de folie à la colocation. Tout se passait à merveille : d'accord sur le ménage, sur la cuisine et tout le reste . Alors il ne comptait pas laisser quiconque lui faire du mal. Il se note donc dans sa tête dans ce qu'il doit faire *Appeler Nonno et lui demander plus d'info et de faire passer le mot comme quoi Kyla Camuchael est sous la protection des Basini.* En annonçant cela, il y a peu de chance que ces imbéciles reviennent lui chercher des noises, en général, moins haut placé, ils ne veulent pas prendre le risque de se faire étriper par la mafia Camora qui est connu pour être une des moins compatissantes et des plus sanglantes en cas de guerre de gang. Apparemment elle sait déjà se défendre, mais ce type la rend vulnérable et incapable de se défendre. Il peut le comprendre, parfois on est juste tétanisé par la peur. Alors il ajoute « Je comprends ... Si un jour tu le croise dans la rue, prend le premier taxis qui passe et rend toi dans le quartier italien de la ville. Tu expliques à n'importe qui que tu es une de mes amis et que quelqu'un te suit et ils te mettront en sécurité et me préviendront pour que je vienne d'accord ? Et si tu te sens pas de rester ici seule si je ne suis pas là, je vais te donner un double de mon appartement quartier italien et tu pourras y aller, là bas tu n'auras absolument rien à craindre ok ? Et si il est là, tu m'appelle et je lui dirais ma façon de pensée sans aucun mal » Sa voix tremble, elle est tétanisée, morte de peur, elle finit par se recroqueviller sur elle même et Dante l'attire vers lui pour lui faire un câlin avant de lui dire « Je te promets de ne jamais laisser personne te faire à nouveau du mal. Tu vas pouvoir compter sur moi, on est une équipe de coloc non ? » Quand à son annonce sur le fait que plus aucun client ne viendrait les importuner, Dante ajoute « Si un d'eux revient, tu n'as pas à t'en faire, il sera reçu pareil et je vais faire installer un nouveau verrou sur la porte d'entrée et tout pour la sécuriser. Je vais même appeler le syndic de l'immeuble, voir si on peut installer un interphone en bas pour que n'importe qui ne puisse pas entrer. » il fait un sourire rassurant histoire de la déstresser car il ne pouvait que comprendre qu'elle ait peur et que les choses soient dur pour elle, mais finalement sans le savoir, elle était tombée sur le bon colocataire : bien que mafieux et hors la loi, l'italien était le genre de personne protectrice et bienveillante envers ceux qu'il considère comme ses amis.


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" Une team d'enfer oui " Soufflais-je, bien au chaud dans ses bras. Je déteste être la petite chose à protéger mais il faut que je me rende à l'évidence : je suis totalement paniquée à l'idée de revoir Dimitri. Et de voir Cole entrer aussi facilement dans l'appartement m'a réellement fait flipper. J'ai adoré le voir, jubilant intérieurement avant de le détester pour ses mots et par finir par craindre pour ma sécurité, pour notre sécurité. Je ne sais pas grand chose de Dante mais ce que je sais de lui me rassure. Il a vraiment d'être l'air d'un homme avec la tête sur les épaules, un homme qui prend soin des gens qu'il aime, avec des valeurs que je partageais avant. J'ai souvent entendu dire que les italiens étaient très familles et il semblerait que ce soit le cas. Je l'écoute et acquiesce. Je tente de tout imprimer dans ma petite tête. " Tu connais tout le quartier ? " Demandais-je un peu naïve, très naïve même parce qu'il était entrain de répéter le schéma exact de ce que j'avais vécu avec Dimitri en Europe de l'Est. Ce respect, cet aide apporté au moindre mouvement du petit doigt... Mais je n'y porte pas attention, je me sens enfin bien et je n'ai pas envie de réfléchir. Il sera là pour m'aider, me soutenir. " Je vais pas squatter chez toi au quartier italien... Si ça ne va pas j'irai chez des amis ou chez mon cousin " Lançais-je en souriant. Je ne vais pas l'étouffer non plus. Et s'il ramène ses conquêtes à son autre appartement. D'ailleurs, c'est à ce moment que ça tilte. " Mais t'es blindé à quel point pour avoir deux appartements ? " Demandais-je en fronçant un sourcil. Ça aussi, ça m'intéresse. Je l'écoute et soupire légèrement. " Laisse tomber Dante... C'est de ma faute tout ça... J'avais qu'à ne pas faire la con avec cet abruti de première " Soufflais-je, triste comme une pierre de cette rencontre qui avait mal fini. La première avait été bien plus intéressante... " J'ai vraiment merdé avec Cole. J'ai dépassé les limites et je le regrette amèrement " Ma vie étiat déjà difficile avant mais avec l'attraction que j'ai pour lui maintenant, c'est la fin du monde... " Je fais souvent les mauvais choix et je veux pas que tu le payes " Lançais-je, la voix tremblante. Ça m'énerve, vraiment beaucoup... Et je me sens mal, très mal, trop mal. Je ne quitte pas les bras de Dante. Son corps est chaud et je m'y sens bien alors à quoi bon ...
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Le quartier italien, c'est comme une grande famille. Les gens se connaissent, se cottoient depuis très longtemps et s'apprécient. Il y a un code d'honneur là bas. On s'entre aide, on se soutient, même avant la mafia, quand un italien a besoin d'aide, on l'aide. Alors même ci la mafia a amplifier cette loyauté imposé, et l'a accentué depuis que Basini est le nom représentatif de la mafia. Mais contrairement à beaucoup de mafieux, Dante n'y ait pas par choix mais par contraintes, alors quand il peut éviter de faire ce qu'on lui demande il évite et jamais il ne trahirait ses valeurs pour faire plaisir à sa famille : il ne lèvera jamais la main sur une femme, il ne tuera pas sans raison vraiment valable, et il aidera ceux qui sont dans le besoin peu importe ce que sa famille en pense, ça ne l'intéresse pas vraiment. Il fait ce qu'il veut, quand il veut. Après tout, il est un descendant Basini. Le future leader de ce tas de frics alors personne n'a rien à en dire. Il sourit à ses quelques mots : Oui, une coloc de choc, ça c'est vrai. Dans ses bras, elle semble un peu plus en sécurité et se rassure un peu. Quand elle lui demande si il connait tout le quartier, un sourire se dessine sur son visage. Si elle savait. Il connait effectivement tout le quartier, chaque prénom, chaque famille, chaque personne qui y sont il les connait et depuis longtemps. Il réplique alors « Oui, à peu près, j'ai grandis là bas, donc j'ai eu l'occasion de côtoyer tout le monde. Et certains travaille avec mon père, donc bon » Il lui assure que si elle a besoin, là bas, ils l'aideraient rien qu'en prononçant son prénom, exactement comme lui aidait quand quelqu'un du quartier était dans le besoin. C'est un code d'honneur à l'italienne. Il sourit alors « Comme tu le sens, mais tu sais, ils te mangeront pas les italiens. Ils sont tous très sympathiques. » Après si elle a peur, autant qu'elle soit dans un endroit où elle se sent en sécurité. C'est le mieux quand même. Quand elle lui pose la question des finances il sourit et reprend « Mon appartement quartier d'Italie, c'est un cadeau de mon grand père à mes 18 ans pour que je prenne mon indépendance, donc j'ai pas de charge dessus sauf les impôts et celui là, je le paye avec l'argent que je me fais en étant actionnaire dans la boite familiale et en y bossant de temps en temps. Ma famille possède de grandes marques italienne. Disons juste que niveau argent, je n'ai pas à me plaindre. » Dante n'aimait pas tellement se vanter du fric que sa famille amassait, il y en avait beaucoup mais malgré ses deux appartements, et ses costumes sur mesures, il restait humble et donnait même régulièrement à des oeuvres de charités comme pour se racheter une conscience; Elle s'en veut de tout ça, ça se voit. Il la garde contre elle et reprend alors « Tu sais, je sais que pour le moment, tu te sens mal et misérable mais je t'assure, c'est pas si grave et après la pluie vient toujours le soleil alors là tu es dans le pire et dit toi que le meilleur ne va pas tarder. » une expression italienne qu'il disait souvent, basant son mode de vie sur trois principes : Après la pluie vient toujours le beau temps, Carpe Diem et tout se paye un jour. Il caresse son dos avec douceur, espérant la rassurer un peu.


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Je ne suis pas très curieuse en temps normal. Enfin si, mais pas sur le plan familial. Non pas que ça ne m'intéresse pas mais ma famille n'est pas franchement ce que je considère comme était la chose la plus importante pour moi... Ça l'a longtemps été. Je ne vivais que pour eux et par eux... Et la facilité qu'ils ont eu de me laisser partir en Europe m'a fait comprendre que non, on est pas la famille unie que j'aurais toujours voulu qu'on soit. " Oh je vois... Je connais pas mal de monde sur Miami aussi, j'habitais dans un petit lotissement c'était vraiment génial " Ça me fait chaud au coeur de voir qu'il a des valeurs comme ça, que ça existe encore les gens qui apprennent à connaître leurs voisins. Et puis, certains de ses voisins bossent avec son père. Surement quelque chose comme une grande entreprise d'économie, de partenariat ou autre. Oui, ce sont le genre d'entreprises qui ont besoin d'un certain nombre d'employés. Je souris largement quand il me dit que les italiens ne me mangeront pas. " Ils sont pas carnivores t'es sur ? " Je dis ça sur le ton de la plaisanterie... Mais on est pas colocataire depuis longtemps tous les deux et j'ai la vague impression que je suis déjà un boulet pour lui. Je lui ai déjà dis de toute manière... Je ne veux pas être un poids, un frein à quoi qu'il est entrain de faire. Je ne veux pas qu'il me voit comme une fille chiante, pot de colle et tout ce qui va avec. Je ne suis pas comme ça, jamais. En tout cas, je le questionne un peu quand même. Parce que je sais, par expérience avec Dimitri, que pouvoir, argent et le fait que les gens se connaissent tous, ce n'est pas forcément une bonne chose. Mais il me rassure. Et je n'y vois que du feu. " Tu as un grand père généreux dis moi ! " Je ris légèrement. Et il doit avoir un putain d'appartement parce que, comment dire, il paye des impôts dessus ! Je suis rapidement submergée par une vague de remords. tout va bien puis pouf, je suis triste. Ça a toujours été comme ça. Et c'est d'ailleurs pour ça - pour ne pas dire comme ça - que j'ai fini quelques longues journées à l'aile psychiatrie de l'hôpital de la vie l'année dernière. " Un jour, ça ira mieux. Mais c'est vague ça, un jour " Soupirais-je. Declan me l'avait dis aussi : un jour je trouverais l'homme de ma vie mais pour le moment, que nénni. Je suis juste une pauvre nana qui sort avec des mecs pour se faire du fric et qui couche avec le premier connard qui se présente à sa porte. " Il m'a épuisé " Soufflais-je en fermant les yeux, alors que je suis toujours dans les bras du jeune homme. " J'aimerais tellement avoir une vie plus simple. Mais je me dis que je pourrais m'ennuyer " Le volume de ma voix baisse un peu et je soupire. Son bras autour de moi me réchauffe le coeur, me fait un bien fou et ça, j'peux rien faire contre...
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Dante a des valeurs fondamentales dans sa vie, pour lui, sa famille est importante, c'est probablement la culture italienne qui fait ressortir ça. En Italie, on est souvent de grandes familles avec plein de monde et bien qu'il n'y ai jamais vraiment vécu, il a toujours eu plein de monde chez lui, plein d'amis de famille de cousins, de cousines et il avait toujours trouvé ça super cool. Les mama préparaient le repas et ils s'asseyaient tous autour de la table à manger un plat typique du pays de la botte sourire aux lèvres et tout le monde ravie de ce moment de partage. Comment ne pas en être ravie ? Après tout, tout le monde devrait avoir ça : une famille sur qui compter car même dans les merdes, la famille, c'est elle qui sera toujours là. Même si souvent on trouve une autre famille, comme Athéna en était une pour lui : elle était comme sa soeur. Ils n'avaient pas le même sang, n'avaient pas grandit ensemble mais un coup de foudre amicale et savait qu'entre eux les choses dureraient pour toujours. Il n'y aurait que eux, et ils se soutiendraient. La famille c'est surtout les gens qui sont là quand on est dans le besoin non ? « C'est super quand c'est comme ça. Parfois il y avait presque tout le quartier qui venait manger dans la maison de mes parents et c'était vraiment super drôle ! Il y avait du monde partout c'était genre une réunion de quartier et je crois que tout le monde appréciait. Tous les dimanches on changeait de maison, ça tournait. » Ca avait encore lieu d'ailleurs, le dimanche midi, il était invité à se joindre aux italiens pour manger et discuter avec tout le monde autant que parler business pas forcément agréable. Mais passons, il n'allait pas tout dire à Kyla maintenant, surtout vu ce que son ancien copain lui a fait vivre. Il était de la mafia, il faisait de mauvaises choses par conséquent mais ça ne faisait pas de lui qui il était vraiment : Dante a des valeurs et des principes que même la mafia ne pourrait lui prendre ou lui arraché, ça non. Quand elle lui demande si ils ne sont pas carnivores, il rit, il sait qu'elle plaisante et sa blague est plutôt drôle à ses yeux. Il lui adresse un sourire en réponse et quand elle lui dit que son grand père est généraux, il acquiesce : il l'est, mais pour en partie l'acheter et faire en sorte qu'il rejoigne les affaires. « Oui il l'est, j'ai trouvé ça cool de sa part de me l'offrir, ça m'a permis d'avoir mon indépendance, mon chez moi et me gérer seul. C'était important pour moi. » La bonne humeur règne entre les deux coloc mais celle de Kyla s'évapore rapidement. Elle a la sensation d'être un boulet, elle ne se rend pas compte qu'elle est loin de l'être et que ce n'est pas en acceptant l'aide des autres qu'elle le sera. Elle est une jeune femme normale, avec ses faiblesses mais fortes quand même : elle est encore debout, même après l'horreur qu'elle a vécu. Il la serre un peu plus contre lui comme pour la rassurer et reprend à sa suite « Ta vie a pas été facile jusqu'ici, tu as le droit d'être épuisé mais regarde tu es toujours debout. Tu vois trop le verre à moitié vide mais tu devrais le voir à moitié plein. Tu es là, dans un nouvel appart en charmante compagnie en plus et c'est un nouveau départ. Et je ferais tout pour t'aider à le prendre ! » il lui sourit gentiment, pensant vraiment ses paroles. Bizarrement il la connaissait peu mais elle était du genre attachante Kyla et il l'aimait déjà beaucoup il ne laissera personne lui faire du mal. Quand elle dit qu'elle aimerait probablement une vie simple, il est de son avis mais il en est convaincu il s’ennuierait tellement au bout d'une journée. Il reprend alors « Je pense pas que la vie puisse vraiment être simple un jour. Ou peut être à 80 ans quand on réfléchit si on préfère aller jouer à la belotte ou faire des mots croisées.. Et je pense que tu serais comme moi, tu t'ennuierais en deux minutes si ta vie devenait hyper simple, quand c'est simple, il y a aucun challenge, aucun défi c'est pas amusant, ça vaut pas le coup, tu penses pas ? »

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Dans les bras de Dante, j'ai l'impression que la vie et plus facile même si je sais bien que ce n'est pas cas. Il y a bien quelque chose ou quelqu'un qui finira par me planter un beau couteau dans le dos. Parce que c'est ça, la vie. Quand tu penses que ça va mieux, que ton coeur fait un peu moins mal, il y a quelqu'un pour te rappeler que rien ne va. J'écoute ses histoires d'enfance, ses dîners en famille et je l'envie, oh que oui... On a jamais été comme ça à la maison. La famille unie qui sort et profite, c'était pas nous. J'ai vécu une belle enfance, une belle adolescence mais rien d'extraordinaire non plus. Deli et moi ça n'a jamais été ça et Savannah est morte bien trop tôt... Je soupire légèrement et l'écoute. Il a de la chance. J'ai jamais été réellement indépendante jusque maintenant. Enfin, mes parents m'ont aidé jusqu'au jour d'aujourd'hui. Sauf que là, je me prends en mains, je paye mes factures et voilà, tout va bien dans le meilleur des mondes. " C'est la charmante compagnie qui va me motiver " Soufflais-je en riant légèrement. Même fatiguée, lessivée, déprimée, perdue et tout ce qui va avec, je le drague légèrement. C'est comme ça entre lui et moi. Et c'est sympa. " Oui c'est vrai... Mais j'aimerais bien avoir le choix entre les mots croisés ou le sudoku des fois " Soufflais-je. En ce moment c'était surtout Cole ou Cole. Tête imbibée par ses conneries, ses coups de reins démentiels. Je soupire et ferme les yeux. " Merci Dante " Soufflais-je ultimement avant de rejoindre morphée, accrochée à son bras comme un enfant à ses parents...

rp terminé.
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