hope you got what you came for (cole;dante;kyla)

Il est quatorze heures, on est dimanche 7 février et je tente de me motiver à ranger mes valises. Je suis arrivée depuis deux jours et ma chambre est un bordel sans nom. J'ai ouvert mes valises, pris des affaires à droite, à gauche et c'est impossible de mettre un pied devant l'autre depuis ce matin. du maquillage sur le parquet, des sous vêtements éparpillés sur les quatre coins de la pièce... Je suis bordélique, que voulez vous. Je commence à sortir mes hauts de la valise et les mettre dans l'armoire quand le pire se produit. Coloc à la rescousse ! " Danteeeee ! " Ma voix est aigüe, je crie comme une enfant de dix ans mais la planche de l'armoire vient de tomber et tous les vêtements que j'étais entrain de mettre son entrain de me tomber dessus. " Danteeeeeeee, même si t'es tout nu viens !! " Criais-je, sur le point de pleurer. Il ne manquerait plus que je me retrouve coincée sous tous ces vêtements. Parce qu'il y en a vraiment beaucoup... Je tourne la tête, le nez coincé entre deux t-shirts et regarde par la porte pour voir quand est-ce que mon colocataire - et ses gros muscles - vont débarquer pour m'aider. C'est la cata, vraiment. Je vais devoir tout replier s'il ne peut pas remettre la planche sans tout enlever. C'est mort, ça va définitivement me décourager. " Si je meurs par suffocation, sache que je t'aime bien quand même " Lançais-je, d'une petite voix, attendant ses bras forts pour m'aider.

(Invité)

hope you got what you came for

C'est dimanche, il est 14 heure et cela fait 2 jours qu'une présence féminine vient de remplir l'appartement mais aux yeux de Dante c'est quand même plus sympa d'avoir une présence entre ces murs, même si Kyla n'est pas la plus ordonnée et que sa chambre, c'est un peu un champs de bataille. Le jeune italien était entrain de regarder un match, les cheveux encore mouillée par la douche qu'il venait de prendre et il se promenait en survet dans l'appartement et torse nu. Mais la voix de Kyla le sorti de ses pensées après un grand bruit sourd. Elle l'appelle pour venir l'aider et quand il arrive dans la pièce la jeune femme est sous tout un tas de vêtements et une étagère. Il se précipite à sa rescousse. « Kyla ! Ca va ? » il se penche pour attraper l'étagère « Attends, je vais te sortir de là. » il attrape la planche de l'armoire et tente de ne pas faire tomber les vêtements pliées encore dessus -bah oui, déjà qu'elle est désordonnée, si en plus il défait tout ce qu'elle vient de faire, son armoire ne risque pas d'être ranger avant Noël...- il fait fonctionner ses muscles pour la soulever et la remet à sa place, visiblement la planche avait dû se déboiter à cause d'un mauvais coup. Le jeune italien se dit donc qu'il faudrait qu'il fortifie ça car Kyla aurait pu se faire très mal. Il la remet et se penche vers elle avant de lui demander, assez inquiet vu la quantité de fringues et surtout l'étagère qui venait de lui tomber dessus. « Ca va Kyla ? Rien de cassé ? » il retire les vêtements qui ont atterrit sur elle et qu'il n'avait pas pu replacer « Je t'aiderai à plié tout ça ou au pire on prendra une femme de ménage pour le faire, t'en fais pas. » il pose les vêtements sur le lit et l'attire à lui pour la relever avant de lui sourire

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© groggy soul

(Invité)

Carmichael. J’avais pianoté sur le net pour trouver la trace d’Eleanor. Je savais très bien qu’après la façon dont on s’était quittés, j’aurais surement mieux fait d’en rester là, de ne pas la chercher, de l’effacer elle et le souvenir de notre étreinte passionnée de mon esprit. Seulement, il semblerait que ce soit mission impossible. Et j’avais commencé ma quête pour la revoir donc, l’excuse toute trouvée de lui rendre le morceau de lingerie qu’elle avait « oublié » dans ma poche étant parfaite. J’avais éliminé les premières adresses trouvées et je venais de donner une nouvelle destination à mon chauffeur. Basini/Carmichael, voilà ce qui était indiqué sur la boîte aux lettre de l’appartement. Je fronçais les sourcils. C’était peut être une colocataire de la demoiselle… Mais forcément, voir ces deux noms accolés me faisait plutôt suspecter que la jeune femme soit en couple. Je frappai doucement mais pas de réponses et je réalisais que la porte d’entrée était entrouverte, visiblement les locataires avaient du mal la refermer. Je la poussai prudemment, faisant un pas dans le logement, me laissant guidé par les bruits de voix. J’entrai ensuite dans la pièce d’où provenait la discussion et interrompis une étreinte entre un guignol torse nu et Eleanor, dans un capharnaüm de vêtements. Visiblement, je n’étais pas le seul à aimer faire voler les fringues de la demoiselle. Mon regard s’obscurcit sur le champ alors que je me raclai la gorge pour signifier ma présence : « Je dérangerai pas longtemps. J’ai frappé mais je vois que vous étiez tous les deux trop occupés pour venir ouvrir. » commençai-je sur un ton agressif avant de fixer mes prunelles sur la brune. Je devrais m’en foutre, la voir dans ses bras à lui devrait me laisser indifférent. On était rien l’un pour l’autre. Je n’avais surement été qu’un client de plus pour elle, un pigeon pour la nuit. D’ailleurs, alors que normalement je ne jouais pas les briseurs de ménages, c’est avec une réelle perfidie et volonté de foutre la zizanie dans ce que je pensais être son couple que je sortis la petite culotte qu’elle m’avait laissé pour la poser sur l’un des tas de vêtements qui jonchait le sol. « Tiens j’étais venu te ramener ça. Il sait comment tu occupes tes soirées ton –fiancé- ? » demandai-je en prenant un air des plus dégoûté en appuyant sur ce dernier mot.
(Invité)