ASHILAH + first day in morocco.

« Si c'était vraiment un supplice je n'aurais pas pris la peine de t'accompagner jusqu'ici. » Dit-il en lui tapant légèrement sur la tête, l'air de dire "réfléchis un peu". Asher faisait bien évidemment de l'humour en lui disant que sa présence était un supplice, mais ça elle le savait déjà. Il savait très bien qu'elle faisait sa fausse vexée, mais ça l'amusait. « Y'a des batailles qui méritent d'être perdues... » Asher soutenait son regard. Ça voulait tout dire... Finalement Delilah était bien plus entreprenante que le jeune Burke aurait pu penser. Mais il aimait ça, oh oui qu'il aimait ça. « Je ferais bien de te mettre à terre alors. » Manière de parler hein, il allait pas réellement la prendre et la balancer à terre pour prouver sa victoire, non non. « Au moins on en est plus au stade de la présentation après ça. » Oui, des fesses, ça change tout. Ça décoince, ça crée des liens. Comme quoi, Asher ferait peut-être mieux de les sortir plus souvent. Ils sortirent finalement de leur chambre et allèrent tout droit jusqu'à l'entrée du jacuzzi. Asher suggéra à Delilah de faire croire au personnel qu'ils étaient sur le point de se marier, et c'est sans trop se poser de questions que la brune agit sur le champ en donnant un baiser plus qu'agréable au jeune Burke. Il se laissa faire tout en passant sa main autour de la taille de la brune, non loin de ses fesses à elle. Une fois qu'elle se détacha, Asher la regardait dans les yeux, le sourire aux lèvres tandis que l'employée qui les regardait avançait vers eux. « Puis-je vous proposer le grand jacuzzi? On a un pass spécial pour les couples. Et on vous offre les verres pour vous souhaiter la bienvenue. » Asher lança un regard complice à sa fausse fiancée et après avoir accepté, ils se dirigèrent jusqu'au fameux jacuzzi. « Je crois que je vais t'épouser si j'ai le droit à des privilèges pareils à chaque fois que je suis avec toi. » répliqua-t-il une fois que l'employée fut repartie à l'accueil pour les laisser seuls.

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« Non mais fais comme chez toi ! » Lui dis je pour protester alors qu'il venait de me filer une petite tape sur la tête comme un père gronderait sa fille. Ce petit côté protecteur et reprobateur me faisait bien rire mais lui était amusé par autre chose, une autre de mes remarques sur cette bataille valant le coup d'être perdue : « Ca dépend pour quoi... » Qu'il me mette à terre parce que le lit était trop banal pour notre première fois ok mais pour me rouer de coups, non merci. « Laisse moi dire à tes fesses que je suis enchantée d'avoir fait leur connaissance. » Je rigolai toute seule de ma bêtise et on finit par descendre jusqu'à l'espace jaccuzzi. Là, je pris au mot ce qu'il venait de dire et directement mes actions eurent des conséquences puisqu'on nous offrit un beau jaccuzzi et des coupes de champagne, que j'aurais pu payer quand même hein. Quand la jeune femme quitta la pièce nous laissant seuls face au grand bain, Asher souligna un avantage à m'épouser. Pas le bon. « Je pensais que t'allais finir ta phrase par : si j'ai le droit à de tels baisers à chaque fois... Dommage pour toi. » Je passe à côté de lui et je lui glisse à l'oreille. « Ca fait 2 partout, je n'ai pas baissé les armes ! » Je lui donne un petit coup sur son torse musclé avant de retirer la petite robe que j'ai par dessus mon maillot et de filer dans le jacuzzi m'installer confortablement. A peine quelques minutes et me voilà déjà en train de fermer les yeux pour profiter de cet instant de détente après le long voyage que nous venons de faire. Ce fait du bien, j'en oublierai presque mon invité grincheux. ASHILAH + first day in morocco. - Page 3 2474380249

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« Je pense qu'elles sont ravies de te plaire à ce point là. » Et c'était en partie vrai, Asher était content que la jeune femme les trouve à son goût. Bon il n'avait jamais encore eut trop de plainte à ce sujet là par les femmes qui avaient pu en avoir un aperçu mais c'était toujours plaisant d'en entendre du bien. Les deux descendirent ensuite jusqu'aux jacuzzis et grâce à une magnifique démonstration d'affection de la part de Delilah, l'employé de l'hôtel leur avait offert des coupes de champagne gratuites. C'était déjà ça.. Asher fit allusion à l'idée de l'épouser pour avoir davantage de privilèges mais la jeune Carmichael l'entendait d'une toute autre manière. « Les baisers vient avec le mariage, c'est une évidence pour moi c'est pourquoi je n'ai pas mentionné ton magnifique jeu d'actrice. » dit-il en levant les yeux, toujours autant amusé par la situation. « J'ai même l'impression que tu as sorti les griffes. » Et Asher adoraaaait ça. La timidité ce n'était vraiment pas son truc. Lui, il aimait le jeu et adorait les provocations. Asher suivit Delilah dans le jacuzzi en ne gardant que son short de bain. Il s'installa immédiatement tout prêt d'elle; non il n'était pas décidé à la laisser se reposer. « Tu préfères dormir alors que ta future moitié est à tes côtés dans un immense jacuzzi? Mon dieu, tu ferais une épouse épouvantable. » dit-il, l'air faussement blessé avant de soupirer. Oui Delilah, occupe toi du pauvre Asher esseulé.

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Je plantai mon regard dans le sien avant de lui dire franchement : « Je suis une très mauvaise actrice. » Ca voulait dire ce que ça voulait dire. En clair, si les paroles pouvaient sortir toutes seules en rigolant un peu, le reste, ce n'était pas franchement le cas, je prenais plaisir à me rapprocher de lui, à le sentir près de moi et je n'avais pas manqué de remarqué que lorsque je l'avais embrassé il ne s'était pas que contenter de recevoir le baiser mais il l'avait aussi rendu et déposé ses mains sur moi, comme si j'étais à lui, le temps d'un baiser pour le coup mais quand même, c'était mieux que nos quelques baisers volés par-ci par-là depuis qu'on était arrivés. « Vous voyez mon vrai visage monsieur Burke... Attention à vous, maintenant vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas à quoi vous attendre ! » Je le taquine à nouveau. Par ce petit jeu il apprend à me connaitre et j'en fais de même, c'est vraiment plaisant il n'y a pas à dire. Je pourrais jouer avec lui sans fin, ce qui prouve bien que c'est loin d'être qu'un jeu. Lorsqu'il me fait remarquer que je ferai une épouse épouvantable, je fais semblant de ne rien avoir entendu mais ma main bouge légèrement vers son corps musclé, sous l'eau pour qu'il ne voit rien avant que je la dépose sur son torse pour la faire glisser plus bas. Je ne vais pas dans son short bien sûr, je ne suis pas comme ça, ou plus comme ça, du coup, je reprends ma douce caresse vers le haut de sa cuisse pour descendre vers son genou en faisant avancer mes doigts dessus. Je mordille ma lèvre tout en lui disant : « Je pense que je vais vous mettre KO mon cher mari si je ne dors pas... Et quelle épouse épouvantable je serai que d'avoir envie de céder à la tentation avant le mariage. » Voilà c'était dit, c'était clair, j'avais envie de ce contact physique que nous n'avions jamais eu auparavant puisqu'on prenait du bon temps à discuter et plaisanter ensemble. J'avais envie de plus qu'un baiser et de plus aucun contact derrière. Gosh, dans quoi est ce que je m'embarquai sérieusement. C'était peut être moi qui devrai rentrer à Cambridge pour me rafraichir les idées, me mettre en face de Royce qui avait repousser mon aveu de sentiments avant de m'avouer qu'il en avait surement lui aussi... Les mecs ? Un vrai bordel.

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Delilah venait clairement de dire qu'elle ne se rapprochait pas de lui d'une façon anodine et pas seulement pour les privilèges qu'ils leur étaient offerts en tant que couple presque marié. Asher avait simplement sourit. Lui aussi y prenait goût. C'était tout de même fou que ça arrive aussi rapidement, en seulement quelques temps après leur arrivée à l'hôtel. Leur désir ne venait pas seulement de pointer son nez, non il était déjà bien présent le soir du repas pâtes carbo. « Je commence tout juste à voir dans ton jeu, ma chère Delilah. » avait-il dit en la fixant du regard. Elle voulait tout bonnement jouer, mais jusqu'où irait le jeu, il l'ignorait. Asher marchait à l'aveugle avec la brune et même s'il avait l'habitude d'agir de la sorte avec les femmes, il se demandait bien où ils allaient à se provoquer de la sorte. En tout cas, il savait très clairement où allait la main de Delilah car cette dernière était en train de le caresser le torse avant de descendre le long de sa cuisse jusqu'à son genou. Asher sentait son désir monter. Oh non, il n'était pas du tout indifférent au charme de la brune et il se rendait compte qu'il l'était de moins en moins au fil des minutes. « Céder à la tentation? Si je ne veux pas que vous dormiez c'est tout simplement car je n'ai pas envie de parler dans le vide. » dit-il d'un air innocent. Les allusions étaient évidentes mais aucun ne parlait clairement. Les sous-entendus étaient bien plus drôles, du moins, du moment qu'ils restaient dans le jeu. Passant sa main autour des épaules de la brune, Asher la rapprocha vers elle pour l'embrasser de nouveau. Un baiser qu'il laissa durer, appréciant la proximité qu'ils avaient assis l'un à côté de l'autre. Finalement, il se détacha d'elle lorsque l'employé du jacuzzi revint avec un plateau avec deux coupes de champagne et des petits fours. Asher la remercia puis elle repartit, les laissant de nouveau seuls. « Elle aurait pu nous amener une pièce montée carrément. J'ai la dalle moi. » Toujours en train de râler lui.

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Pour toute réponse à sa constatation il eut le droit à un sourire. Il pensait peut être voir clair dans mon jeu, mais il était loin de cerner tous les aspects de ma personnalité, le jour où il saurait me comprendre, ça serait un miracle, même moi je ne savais pas réellement comment je fonctionnais. « Qui dit que même éveillée j'écoute ? » Oui maintenant qu'il avait dit cela, j'allais prendre un malin plaisir à rendre fou et ne plus lui répondre, enfin sauf quand c'était essentiel. Mes yeux étaient toujours clos quand je sentis son bras s'enrouler autour de mes épaules et qu'il m'embrassa de nouveau. Ca devenait presque une habitude, mais j'adorai cela. Cependant, je n'allais pas lui dire. L'employée arriva et les verres de champagne et les petits fours furent amener. Asher se mit à râler une nouvelle fois ce qui s'expliquait peut être par sa faim. « Elle a dû voir que j'étais beaucoup plus investie dans notre mariage que toi, c'était surement un encouragement pour que tu t'investisses plus et si tu le fais elle t'apportera peut être la pièce montée.... » Des baisers, des caresses, un bain chaud, il n'y avait rien pour que ma tête reste à température normale et que mon rythme cardiaque de s'emballe pas à cause de la proximité de nos deux corps. J'avais peut être trouvé un moyen de me calmer, penser à si ce petit jeu se terminait mal on serait alors dans le même appartement en rentrant et on ferait vivre l'enfer à l'autre mais aussi au troisième vivant avec nous... Pas top ! Sauf que non en fait, ça ne me refroidissait pas du tout j'avais toujours autant envie de me laisser aller à mes envies, à mon attirance pour le jeune homme et ne penser à rien d'autre.

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Asher était un spécialiste pour taquiner les gens, mais Delilah s'avérait être une adversaire de taille. Le jeune homme la fusilla du regard lorsqu'elle fit allusion au fait qu'elle ne l'écoutait pas. Non mais ! Il n'allait pas se laisser faire. « Je vous trouve fort insolente mademoiselle Carmichael. Il va falloir remédier à ça, et vite. » C'est après ça que l'employé ramena le plateau contenant les deux coupes de champagne et les petits fours. Trop peu pour le gros estomac qu'avait Asher. Il avait faim, et ces petites bouchées n'allaient certainement pas le caler. « Si je comprends bien, il va falloir que je mette les bouchées doubles? » dit-il en soutenant son regard. Le nuage autour de ses pensées se dissipait peu à peu. La requête de Delilah était claire, elle voulait de l'action. Elle voulait qu'il agisse, qu'il la surprenne aussi peut-être. Le jeune homme était capable de tout ça, il le voulait même. Il ne réfléchissait peut-être d'ailleurs pas assez. Peut-être ferait-il mieux d'arrêter de rentrer dans son jeu. Après tout, elle avait cet homme pour qui elle avait des sentiments. Et il fallait penser qu'après les vacances les choses risquaient de revenir à la "normale", une fois de retour à l'appartement. Devait-il risquer de gâcher leur bonne entente? Tant de questions qu'Asher ne prenait pas la peine de se poser. Il prit une gorgée de champagne dans sa coupe puis se déplaça dans le jacuzzi pour se mettre en face de Delilah, tout près d'elle, de son visage et de son corps. Il entourait son corps de ses bras, ses mains posées sur le rebord du jacuzzi derrière la belle brune. « Finalement, on sera colocataire jusqu'au bout. On partage jusqu'au même jacuzzi. » lui chuchota-t-il alors que son visage était prêt du sien, avant de commencer à l'embrasser dans le cou. Asher était bien faible.

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« J'adore ce petit côté autoritaire. » Un sourire se dessine sur mes lèvres et il ne fait que plus s'étirer pour répondre implicitement à sa question sur le fait qu'il doive mettre les bouchées doubles. C'est tout à fait ça, enfin s'il en a envie parce que je ne veux pas qu'il se force pour me faire passer un bon moment en retour de mon invitation au Maroc. Je sentis ensuite un peu de remous dans l'eau, plus que celui des bulles puis il me sembla que la voix de mon colocataire ne venait plus du même endroit. Je finis alors par rouvrir les yeux et je le vis en face de moi juste à temps avant qu'il ne fonde dans mon cou pour déposer des baisers. Je refermai les yeux pour profiter simplement de ce moment alors que ma main se glissait dans son cou une nouvelle fois, pour lui montrer que je ne voulais pas qu'il arrête. « On est colocataire de vie je crois... on partage beaucoup de choses... Surtout depuis qu'on est ici ! » J'encourageai le jeune homme à relever la tête pour embrasser mes lèvres avec fougue et désir puis quand notre baiser fit une petite pause je lui glissai : « A quoi est ce que vous jouez monsieur Burke ? Je croyais que je n'étais qu'une fille superficielle et sans intérêt ? » J'avais bien noté ce qu'il pensait de moi et c'était surement le bon moment pour le ressortir. Sauf que je n'avais pas envie d'écouter tout de suite sa réponse. D'une main en bas de son dos, je l'encourageai à rapprocher son corps du mien alors que nos bouches se trouvaient pour un nouvel échange qui n'avait rien de linguistique.

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Delilah en demandait plus, Asher en voulait plus. Les deux étaient sur la même longueur d'ondes, c'est pourquoi le jeune brun s'était glissé en face d'elle pour l'avoir plus proche de lui. Il avait commencé par l'embrasser sensuellement et lentement dans le cou, voulant profiter du moment au maximum. Ils étaient pas loin de franchir une nouvelle limite, mais ça n'avait l'air de n'affoler personne. Et pourquoi ça le devait d'ailleurs ? « C'est toi que je ne partagerais pas dans l'immédiat. » Asher s'appropriait la jeune brune pour les quelques heures à suivre. Après ça, elle pourrait faire tout ce qu'elle voulait, mais pas pour le moment. Delilah releva finalement la tête du jeune Burke afin qu'ils s'embrassent sur les lèvres. Asher en profita pour accentuer leur baiser, lui offrant un échange langoureux. Elle disait qu'il ne s'investissait pas assez... C'était au brun de lui prouver le contraire. Si elle l'avait oublié, Asher était un très grand joueur. On lui lançait un défi, il le relevait aussi sec. « Il semblerait que je me sois trompé sur ce point-là. » avait déclaré Asher entre deux baisers, à propos de la prétendue superficialité de Delilah. Au moins, Asher avait été honnête en lui disant ce qu'il avait pensé d'elle aux premiers abords.. Mais cette idée lui était complètement sortie de la tête. Il voyait Delilah d'un œil totalement différent depuis qu'il avait appris à la connaitre. Alors qu'il continuait à l'embrasser et que leurs corps se rapprochaient de plus en plus, Asher passa un bras autour de la taille de la brune et la souleva tout en se tournant afin qu'il soit celui assis et qu'elle le soit également, mais sur ses jambes. La gardant près de lui, ses lèvres collées à lui, il passa ses mains tout au long du corps de Delilah. « Et je joue à ton jeu Delilah. Et il semblerait que je sois toujours trop fort pour toi. » lui répondit-il finalement, un sourire au coin, avant de l'embrasser à nouveau.

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Dans l'immédiat il ne voulait pas partager. Ca tombait plutôt bien parce qu'il n'y avait que lui et moi dans cette pièce mais aussi dans notre chambre d'hôtel et en fait si on le voulait on pouvait passer le plus clair de notre temps tous les deux ici au Maroc... Je voulais me fondre un peu plus aux cabots mais j'aurais surement dû emmener quelqu'un d'autre pour le faire, pour ne pas avoir envie de passer du temps avec. Non mais non, impossible de rester enfermer à faire des galipettes avec lui, j'allais me brûler les ailes. Il nous fait pivoter et je me retrouver avec un genou posé de chaque côté de lui, mes fesses reposant sur ses jambes, bien assez près de son bassin alors que ses mains parcouraient mon corps, que nos lèvres se dévoraient littéralement et qu'il semblait que l'un et l'autre nous perdions toute retenue. « Par pitié change de jeu alors, parce que je finis toujours par perdre contre moi même à mes jeux. » Après je m'en voulais, je me disais que j'aurais dû écouter cette petite voix qui me mettait en garde, que j'aurais dû écouter Priape... Enfin bref, je sais que ce n'était surement pas la meilleure des choses que de me rapprocher de mon colocataire mais ça me faisait du bien, ça m'aidait à sortir Royce de ma tête et surtout, parce que c'était bien ça le principal : j'en avais envie. Je finis par plaquer mon corps contre le sien tout en l'embrassant fougueusement, ses lèvres glissèrent dans mon coup puis vers l'une de mes clavicules et la porte se rouvrit sur la jeune employée qui venait avec la bouteille de champagne pour nous resservir alors que nous n'avions même pas bu nos premières coupes. Je me décollai légèrement de lui et mes joues rougirent, quand elle fut sorti, mon regard se reporta sur lui : « Ca c'est la nana qui sert à maintenir l'hygiène dans leur jacuzzi, le jacuzzi des couples mais où il ne faut rien faire... Je déteste être surprise dans ce genre de situation et je vais perdre tout contrôle si tu continues. » Déjà que là je ne contrôlai pas grand chose. Mais je ne voulais pas perdre le contrôle et me retrouver brimer parce que la demoiselle entrait à nouveau. « Tu pourrais... Avaler les petits fours, puis on pourrait remonter s'habiller... » J'hausse les sourcils... hum on a compris. « Et on pourrait aller combler ta faim ensuite ? » Laquelle de ses faims, à lui de choisir, ou peut être même les deux...

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