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Morosité vient je t'invites à t'en aller! feat Samuel

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  Morosité vient je t'invites à t'en aller!
  Sanaa + Samuel
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  Mise en page par dark dreams. pour ILH

Un simple baiser volé, pure et chaste auquel je mettais fin très vite afin de ne pas plus l'incommoder. Sur le moment j'en ai eu envie voilà tout. Je me dirige vers la porte pour rentrer dans la boite en faisant totalement fi de ce qui vient de se produire. Mais, je suis soudainement arrêtée dans mon geste par son interpellation et son bras qui me bloque le passage. Attends quoi? Mes yeux se tournent lentement vers lui, interloquée. De quoi c'était quoi, c'est simple non? Mais, ses mains attrape mes hanche, et je le sens me pousser, me bloquer contre la porte qui s'est refermée. Son regard me dévisage et me scrute, il entends bien avoir une réponse. Un baiser. Egalité parce que c'est bien avec un baiser qu'elle t'a blessé non? C'était bien ce qui l'avait le plus irrité, le plus offusqué, ce qui l'avait rendu dingue. Sa copine disait l'aimer mais, elle en aimait un autre aussi. Elle disait que c'était normal parce qu'elle aimait son meilleur pote depuis longtemps. Comment pouvait-on aimer deux personnes? Tout cela n'avait aucun sens à mes yeux et me faisait même rire quand j'entendais toutes ces excuses qui ne valaient que dalle. Mes mains glissèrent jusque sur les siennes qui recouvraient encore mes hanches, la promiscuité cette fois c'est lui qui la mettait entre nous. Elles y restèrent pendant deux longues minutes. Je me penche alors approchant mes lèvres de son oreille où je viens glisser et souffler quelques mots. Je pense que tu devrais te reculer avant de trop risquer. Un fin sourire vint terminer ma phrase avant qu'un air plus sérieux ne vienne s'y déposer. Alors que mon regard de ses yeux n'est point venu se déloger.
 
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Elle m’avait donné un baiser, rapide, volé, doux, mais pourquoi ? Quel était son but dans ce baiser ? Cherchait-elle à me faire craquer ? Non je la connais assez pour qu’elle ne fasse pas cela. Je l’arrête dans son avancé afin qu’elle me donne des explications et des vrai, je ne voulais pas de simple excuse. Je la bloque, tenant ses hanches avec mes mains. Je l’écoute et la dévisage, c’était loin d’être un baiser comme elle m’a donné, elle était bien loin de leur situation vu ce que Ivy m’avait raconté. Je rigole, de plus en plus fort « non ce n’était pas un baiser qu’elle a donné, je dirais qu’elle a roulé une pelle plutôt, à califourchon sur lui en train de se trémousser tu vois le genre. » Cela n’était rien son petit bisou envolé qui a pris deux seconde. Elle ne voyait pas la même chose, Oui cela était impardonnable pour sa part, mais je l’ai fait. Je lui ai pardonné ce baiser parce que je l’aime et je l’aimerais toujours. Maintenant cela était peut-être insensé mais c’était moi. J’étais ainsi quand j’aimais. Je la regarde alors que ses mains glissent contre les miennes. Je souris de son visage et la sent se pencher pour aller proche de mon oreille. Je souris, ne rigolant pas « tu crois que je risque quoi avec toi ? Je n’ai pas peur de tes agissements, j’ai trop confiance en toi pour te craindre ou me méfier. » La regardant toujours dans les yeux. Non je n’ai pas peur, loin de là. Je me recule et la regarde, croisant mes bras « on fait quoi maintenant ? » Alors que je regarde son visage, sa chevelure et ses lèvres pulpeuses « on va se prendre un autre verre ? Ou danser ? J’ai envie de m’amuser avec toi. » Affichant un sourire.
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Bien entendu que je vois. Est-ce qu'il me prend pour une blanche oie? Il me l'a expliqué mais, il tombera des flocons en été pour que j'agisse avec lui de cette façon là. Venir me trémousser, l'aguicher alors qu'il en aime une autre que moi? Oui, j'ai une vie dissolue depuis quelques temps, de mes frivolités et actes démesurés, je cache une faiblesse que je ne veux pas partager. Et le voilà qui rit, comme si je ne comprenais pas que mon petit baiser n'est rien en comparaison de sa trahison. Je vois très bien Samuel mais, je suis une fille bien moi. Je profère des paroles auxquelles je ne crois pas, je sais que je me comporte comme une pouffiasse depuis quelques temps déjà. Je pourrais si je le voulais, le chauffer, le torturer, et profiter. Mes yeux reviennent alors le narguer. Tu devrais, dans le fond tu ne me connais pas si bien que ça. Mes mains sur les siennes sont toujours posées et de mes hanches, je le fais alors se déloger. M'écartant alors de la porte ou sans complexe il est venu me bloquer, je me décale et inverse les rôles, le poussant d'un index puis de ma paume. Je connais bien d'autres manières de s'amuser. Vins-je de mes paroles le heurter. Ma main rejoint sa nuque et l'attire plus bas, alors que ma bouche joueuse vient effleurer ses lèvres une nouvelle fois. Mes dents capture celle du bas, doucement. Un frisson me parcoure puis, une sorte de décharge électrifie ma nuque. Je me recule vivement, baisse les yeux un moment. T'es folle Sanaa qu'est-ce qui te prend? Ne me défie plus jamais comme ça. Oui ne minimise pas ce qu'il y a pu avoir entre toi et moi. Qu'il tente de se convaincre, mais qu'il ne me trompe pas. Son assurance n'est pas si forte que ça...
 
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Je la retiens contre la porte, elle me cachait des choses je le savais alors pourquoi jouer ce jeu avec moi ? Je savais qu’elle me cachait des choses, mais j’aimerais savoir quoi ? Elle me faisait confiance non ? Alors pourquoi jouer et vouloir me provoquer. Elle savait que je pourrais l’écouter et l’aider. Oui elle était une fille bien, bien mais mal entouré…. Je la regarde alors dans les yeux « tu es une fille super, mais tu es trop mal entouré… » Je la regarde me remettant normalement, la fixant du regard, n’ayant pas du tout peur de ce qu’elle pourrait faire. Je rigole du fait que je ne la connaissais pas si bien « je te connais pas si bien ? Dans ce cas tu me connais mal aussi non ? » Elle ne savait pas ce que je faisais quand je m’éclatais, surtout qu’elle était avec moi. D’un coup nos rôles sont inverser, elle me colle a là porte en du bar. Je la regarde alors poser sa main entière. Souriant du fait qu’elle savait comment s’amuser. Je la regarde alors se rapprocher, sentant la douceur de sa main sur ma nuque pour m’attirer plus bas, ses lèvres non loin des miennes me frôlant, un frisson me parcours, je sens sa dentition sur ma lèvres. Puis finalement se recule, elle jouait avec le feu et j’aimais plutôt cela. Elle était complétement aguicheuse ce soir, mais que voulait-elle ? Je rigole « te défier ? C’est toi qui me défie Nana… Tu m’as défié en dansant comme tu l’as fait… » Je finis par inverse de nouveau les rôles allant nicher mon visage dans son cou afin de déposer un baiser « dis plutôt que tu crève d’envie que je te montre ce que je sais faire…. » Remontant à son oreille afin de laisser ma langue jouer avec son lobe « mais d’abord, je veux une vrai égalité… » Je viens l’embrasser langoureusement, le gout de ses lèvres me rappelle des souvenirs et je ne peux m’empêcher d’aller chercher sa langue avec la mienne, afin de les faire danser ensemble.
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Mal entourée, qu'entendait-il par là? C'était bien la première fois qu'il me balançait une remarque sur mes fréquentations. Dean n'avait pas été une erreur, il avait fait battre mon coeur alors que je pensais ne plus jamais ressentir ça. C'était moi qui avait prit peur. Jarod était encore moins une erreur, lui il devine mes silences, il sait quand par pudeur je dissimule ce qui me fend le coeur. Puis il y avait les autres oui, ceux à qui je donnais trop de moi juste parce que depuis un moment je ne sais pas où je vais? Je n'aime pas quand il me "reprends" comme ça. J'espère bien que tu me trouves extraordinaire. Mais, ses paroles m'ont défié, il veut faire croire que rien ne peut le perturber. Il veut à tout prix s'en persuader. Je pense oui qu'il ne connait pas celle que je suis au fond de moi, je dissipe peu la brume qui m'entoure. Seul mon frère sait que je peux m'assombrir si tel est mon désir. Alors, à force de me coincer, de me narguer, nait un certain désir de le lui prouver. J'inverse les rôles et à mon tour vient le bloquer. Je me permets de prendre les même permissions qu'il vient de s'accorder. Mes lèvres viennent encore le torturer. Mais, un éclair de lucidité me fait me réveiller. Il m'accuse de l'avoir intentionnellement aguiché. Qu'il se rassure si tel était le cas, ce n'est pas de cette façon que je m'y serais prise. Le voilà qui comme une plume me redirige, venant une fois de plus se lover contre moi, poser son visage dans mon cou. Y apposer ses lèvres comme on appose une marque. Par réflexe je frissonne c'est plus fort que moi. Flashback d'un passé intime qui vient se remémorer. Je sais déjà de quoi tu es capable mais, j'ai bien peur que tout cela ne se soit essoufflé. vins-je une fois de plus le narguer. Le voilà qui plonge son visage vers moi, pourquoi il ne se contrôle pas? Sa bouche vient se faire gourmande emprisonnant la mienne, sa langue cherchant le rythme à imposer. Ma main dans ses cheveux vient s'agripper. C'est là maintenant qu'il devrait faire machine arrière avant d'amèrement tomber.
 
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Je ne voulais pas la blesser ni d’ailleurs profiter d’elle, je sentais mon envie de la défier à mon tour de présente. Non elle était mal entouré, avait-elle des personne fidèle comme je l’étais qui recherché rien d’elle que de sa compagnie, de sa douceur et de son assurance. Beaucoup devait rechercher que son corps trop sexy. Je la regarde alors que je la reprends un peu sur ses dires, bon j’avais sans doute mal agis en faisant cela. Je rigole quand elle dit le mot extraordinaire, c’était tout elle cela. Je fais un souris « t’es extraordinaire, alors je suis quoi » Je ne voulais pas succomber à l’envie et encore moins de la faire souffrir. Je la regarde alors qu’elle avait inversé les rôles, ses lèvres jouant avec les miennes, mais cela n’allait pas durer. J’allais bien jouer aussi à mon tour, me remettant de nouveau contre elle. Mettant mon visage dans son cou alors qu’elle savait de quoi j’étais capable, mais que cela était essoufflé. Préférait-elle les autres à moi ? Je ne dis rien et viens capturer ses lèvres, langoureusement, ma langue cherchant la sienne, je n’allais pas m’arrêter avant d’avoir eu satisfaction de mon baiser. Je n’en ai pas eu depuis un moment alors j’allais jusqu’au bout. Relâchant sa bouche cette fois je la regarde alors que je caresse ses petites fesses « tu vois que rien est essoufflé… » Je la regarde caressant toujours sa fesse, j’avoue que ce baiser m’avais donné bien plus envie « on devrait y aller maintenant… » Je voulais pas la forcer à faire une bêtises avec moi… Je la regarde remplie d’envie, j’aurais voulu bien plus mais cela serait mal pour moi comme pour elle. Je lui souris afin qu’on puisse rentrer, même si l’envie n’y était pas.
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Il venait de m'embrasser, pas un simple baiser non, il venait d'embraser nos sens, de réveiller une flamme du passé, qui était au stade d'une braise sur des cendres. Ou est-ce moi qui venait d'actionner le détonateur d'une bombe? Le baiser se prolonge et ses mains sont venues narguer mon fessier comme au bon vieux temps. Dois-je réellement le laisser s'enflammer autant? Mes sens sont en alerte maximum, à ce jeu je pourrais bien au final succomber. Je ne vois rien du tout, un baiser c'est si facile à donner. Il a bien pu s'en rendre compte quand sa soi-disant fiancée, à Wade en est venue dérober. Samuel ne retire pas sa main et je ne l'empêche pas de continuer, je ne veux pourtant pas être l'épée de Damoclès au-dessus de sa tête. Mes bras viennent se suspendre à son cou, mes prunelles s'accrochant aux siennes. Rentrer? Déjà, à cette heure ci, comme si nous ne savions pas nous amuser? J'étais partie pour sortir, pour m'amuser, je n'avais strictement aucune envie de rentrer. Tu crains autant ce qui pourrait se passer que tu es déjà prêt à me ramener? Je n'ai aucune envie de rentrer à la Cabot House maintenant. Pour faire quoi réviser mon droit ou bouffer un pot de glace devant la télévision? Devant un film comme le Titanic ou un autre truc mielleux? Non merci. Serait-il en train de me fuir? Une chose certaine, il n'a toujours pas reculé, il n'est pas non plus venu décrocher mes bras de son cou. Je le dévisage et pour sûr, je ne serais pas celle qui détournera le regard.
 
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C’était fait, je l’avais embrassé… comme j’aurais embrassé n’importe qui. Totalement emporté par le désir et l’envie… Est-ce que je me sentais mieux ? Me sentais vengé pour ce qu’elle a fait ? Non cela n’avait rien changé… Je regarde Sanaa. En fait c’était pire, j’avais envie de bien plus… Je voulais qu’on s’occupe de moi, qu’on me montre que l’on m’aime et surtout me sentir désirés… Sanaa me désirait-elle ? J’avais caressé ses fesses, fessier qui me rappela tant de souvenirs de ce fameux Summer Camp, cela était mal de ce souvenirs de cette liberté que j’avais ? Je la fixe, voulant savoir si elle pensait toujours que le feu était essoufflé. Je souris quand elle dit qu’un baiser c’était trop facile à donner, pourtant cela n’était pas vraiment aussi simple qu’elle le pense. Je lui propose de rentrer, mais apparemment elle n’avait pas compris dans le sens de rentrer dans la boite, mais rentrer chez elle ou chez moi. Je rigole quand elle dit de rentrer à la cabot house. Elle serait pas mal avec de la glace comme une de ces filles qui ont le morale aussi bas que moi. Je la colle à moi et laisse mon visage se nicher dans son cou « non je disais rentrer dans la boite pour s’amuser. Pas qu’on rentre chez nous, je ne veux pas te lâcher ce soir… J’ai envie que tu me refasses devenir celui que j’étais avant… » J’embrasse son cou, est-ce qu’on devrait aller plus loin ? Ou bien s’arrêter à ce simple baiser « je… tu veux rentrer à l’intérieur ou on reste encore là ? » Lui demandais-je en me mordant la lèvre. Je caresse sa hanche, passant ma main sous son haut, caressant directement sa peau et cela fais remonter doucement son haut. Je devrais arrêter, ne pas aller plus loin, mais je contrôle plus rien là.
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Le revoilà en train de rigoler, c'est impressionnant. Par moment, j'ai l'impression qu'il ne réalise pas ce qui est en train de se jouer. Mes bras autour de son cou, sont toujours passé. Il ne parlait pas de rentrer. Chez nous? Ce mot est assez étrange, chacun chez nous serait plus de circonstance. Mais, il dit ne pas avoir envie de me lâcher, vouloir que je l'aide à redevenir celui qu'il a été. A mes yeux, il n'a pourtant pas changé, il est juste "maqué" avec sa petite étudiante. Je ne sais pas ce qu'il désire réellement en me le disant. Ses lèvres reviennent effleurer mon cou. Je frissonne à nouveau, Samuel ne m'aide pas vraiment à garder l'esprit clair ce soir. Je pensais qu'il le savait pourtant que ce geste-là précisément était celui qui éveillait tout mes sens. Immanquablement cela n'échouait jamais. Il prononce un je, qu'il laisse en suspend. Comme avant, comme toujours, je n'aime pas quand on ne termine pas sa phrase. Tu quoi? Rentrer ou rester là? Peut-être qu'on devrait tout simplement faire quelque pas et ne pas rester contre cette porte là. De ma hanche à la peau gracile de mon ventre, sa main remonte en une légère caresse, passe sous mon haut. Le tissu remonte légèrement. Les choses pourraient à présent très vite déraper. C'est peut-être là que je devrais mettre le ola. Un ami, presque un frère... Pourtant beaucoup diront que de l'amitié à l'amour, l'attachement, il n'y a qu'un pas. Que l'amitié entre une fille et un gars ça n'existe pas. Qu'il y a un mince fil tenu vers l'ambigu. Ma main l'arrête alors dans son geste avant qu'il n'aille plus haut. On devrait peut-être rentrer Samuel. Il y a trop de monde dans cette boite de nuit. finis-je par avouer et au final mieux ne valait pas qu'il se prenne une cuite ce soir. Je mordille ma lèvre inférieure une seconde en regardant le jeune homme avec un certain désappointement.
 
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Ne lui enlevant pas ses bras autour de mon cou, j’étais bien ici. J’étais avec Sanaa et j’étais bien. Je m’amusais en quelque sorte et je ne pensais pas à ma situation actuelle et mes soucie depuis quelque jours. Je ne voulais pas rentrer chacun de son côtés, mais de continuer de s’amuser comme on le faisait avant. Je niche mon visage dans son cou, effleurant sa peau. Commençant une phrase, mais lui demandant plutôt si elle voulait rentrer ou rester. Je ne savais pas ce qu’elle voulait à vrai dire. Je la regarde alors qu’elle me demande de terminer ma phrase « je veux profiter de toi encore un peu ce soir. » Je caresse sa hanche, touchant sa peau, cela n’allait pas être simple, mais j’avais envie de redevenir celui que j’étais et non pas être enfermé dans cette routine qu’est ma vie. J’étais beaucoup mieux étant flic, même s’il me manquait l’amour. Je ne me posais pas trente mille questions et je n’avais pas un Wade qui me faisait chier. Je la regarde alors qu’elle me dit qu’on devrait rentrer. J’hoche la tête alors et la relâche pour prendre sa main. J’ouvre la porte et l’attire vers l’extérieur de la boite afin que nous rejoignons sa voiture « je n’ai pas envie de rentrer, on peut aller chez toi…. ? Ou alors aller ailleurs ? » Non je ne voulais pas retourner à la maison. Si elle me laissait devant chez moi, je prendrais ma moto pour me promener dans la fraicheur de la nuit. Ou alors j’irais me souler la tronche, après tout qu’est-ce qu’elle en a foutre Ivy. Je la regarde alors que je monte dans sa voiture, attendant qu’elle s’asseye à son tour. Souriant et venant lui voler un baiser sur la joue. Je passe une main sur sa cuisse que je caresse doucement.
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