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Somethin' Stupid. PV.

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Summer & Paris
L’épisode de l’opération « sortons le pisser » avait été un franc succès mais outre le fait que visiblement, un cap avait été franchi entre eux ; Paris avait pu découvrir une nouvelle passion de Summer : le rap. Il n’imaginait pas la jeune femme fan de ce genre musical mais ce n’était pas déplaisant. C’était plutôt amusant à vrai dire. D’ailleurs, il se pourrait bien qu’il l’entraine dans une soirée karaoké rien que pour la voir s’amuser sur scène. Lui ? Oh il chantait tellement faux qu’il risquerait de se faire interdire l’accès de l’établissement avant même qu’il pousse la première note d’une chanson. Enfin, si le jeune homme pensait avoir vécu le plus dur ce soir, c’était sans compter sur l’aide charitable de l’une de ses petites sœurs qui se mit à brailler des conneries dans tout l’appartement -et lui, il réagissait au quart de tour comme un gamin !

Résultat de la petite course-poursuite ? Deux enfants vautrés sur le tapis non loin de la table basse à se chamailler. Hélas, Paris ne pouvait pas chatouiller Kaleigh comme il le pouvait. Aussi appela-t-il Summer à la rescousse mais cette dernière avait une vision bien différente de qui, elle devait punir. « Hey ! Traitresse ! C’est pas moi qui doit prendre mais ce petit démon » rigola-t-il mais sa belle persistait et signait même. « Toi… tes fesses vont rougir le jour où je n’aurais plus de plâtre… tu risques d’avoir du mal à t’asseoir pendant plusieurs jours » la menaça-t-il et bien vite, toute la famille vint se livrer à une belle bataille à la façon Maconahey à savoir tous pour un et personne pour tous. Essoufflé, Paris se redressa en position assise, évitant de peu le coup de coussin de son frangin Matthew grâce à une technique imparable ! Laquelle ? Faire tomber Summer dans ses bras pour qu’elle se prenne le coup à sa place. « T’es vachement douée en bouclier ! » rigola-t-il non sans déposer une multitude de baisers dans son cou. « Bon allez on se calme bande d’excités ! » rigola-t-il. « Cela vous tente un jeu ?! On se fait un jeu ? Devine qui je suis ? »proposa-t-il pour faire redescendre la tension car sinon, à l’heure du coucher, ils allaient galérer à les faire se coucher. « Tu sais, on te colle le nom d’une célébrité ou d’un personnage sur le front et tu dois deviner de qui il s’agit en posant des questions où l’on peut répondre par oui ou non »expliqua-t-il le but du jeu à Summer qui devait sûrement le connaitre.

Paris avait depuis peu décidé de découvrir tous les jeux qu’ils n’avaient pas connu étant enfant. Il y a trois semaines, un mois, il avait fait la connaissance du Rubik’s Cube. Cela faisait peur mais tant pis, il assumait le fait de vouloir vivre une nouvelle enfance en accéléré. « A moins que tu ais un autre jeu en tête ? »lui demanda-t-il avant que Matthew ne prenne la parole. « Lui propose pas un poker, il triche ! Mon frère compte les cartes… en fait, le lance dans aucun jeu où l’on peut se servir des maths pour gagner » râla son cadet. « Je vois absolument pas de quoi il veut parler ! » rigola-t-il en affichant un visage angélique à souhait.


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Something Stupid


C’est assez surprise que cette petite bataille entre Paris et Kaleigh s’était finalement transformée en émeute Maconahey ! Bon j’avoue, j’avais moi-même un peu cherché la bagarre en m’en prenant à Paris plutôt qu’à la fillette de 7 ans, mais de là à finir en bouclier humain face à une attaque d’oreiller ?! Là je ne l’avais pas vu venir ! Mais c’est complètement hilare que je participais à cet assaut –faisant mine de ne pas être atteinte par les menaces de Paris sur l’avenir de mon postérieur - ayant même la possibilité de profiter de quelques baisers dans le cou qui n’étaient vraiment pas pour me déplaire. Tout le monde pouvait finalement relâcher la pression, profiter de la vie et je crois bien que c’est justement ce que recherchais Paris en s’amusant ainsi avec les enfants...Profiter de SA vie !

Complètement essoufflée, je m’étais relevée du combat, et tentais de me recoiffer, usant d’un élastique sur mon poignet pour m’attacher négligemment les cheveux pour les relever un peu de ma nuque; et j’aidais ensuite Paris à se relever pour ne pas qu’il s’appuie sur ses bras. Pour calmer un peu les esprits bien éveillés des enfants, Paris proposa de terminer par un jeu collectif: Le « Devine qui je suis » me faisait m’interroger sur le but du jeu, ce que Paris m’expliquait très vite, et j’étais prêt à m’y faire, mais je me demandais si ma « Culture Générale » concernant le domaine des célébrités allait être à mon avantage !

Alors quand Paris me demandait si j’avais un autre jeu en tête, la seule chose qui me venait en premier était soit des jeux de cartes, soit un Monopoly. J’allais opter pour la première idée, mais Matthew me stoppa net dans mes pensées, me rappelant la faculté de Paris à user des maths pour arriver à ses fins. Je fis semblant de lancer un regard critique à Paris, plissant des yeux et répondait « ça, c’est le comportement typique des mauvais joueurs ! Ils n’aiment pas le hasard ! » Puis après un bref instant de réflexion, je proposais ma deuxième idée : « Un Monopoly ? » Puis, à croire que le fait d’avoir ouvert la bouche m’avait inspirée, je lançais d’autre option : « Ou un Pictionnary ? Ou un trivial poursuit famille, Oh un UNO ! Tu ne peux pas compter dans ce genre de jeu quand même ?!! » Demandais-je alors à Paris.

Le problème c’est que pour moi, Jeu rime avec "détente". Et le côté jouer les cool, pour finir par passer tous à table en mode famille disciplinée, ça ne me semblait pas compatible. Autre fait important : je n’avais pas envie de cuisiner ce soir. Simplement profiter ! C’est pourquoi, avant de faire une proposition sans avoir l’aval de Paris, je m’approchais de ce dernier pour lui faire part de mon idée d’aller de passer au FastFood pour récupérer quelques hamburgers et autres frites et soda pour la soirée. C’est donc avec son accord, qu’on annonçait à la petite famille que ce soir, ce serait MacDo ! Qu’est-ce qu’on n’avait pas fait finalement: c’est limite si on ne les avait pas plus excité ! La seule chose qui me rassurait, c’est qu’ils se fatigueraient tout autant qu’ils s’enthousiasmaient en ce moment. Et c'était une bonne chose pour la fin de la soirée (^^)

Je m’étais emparée d’un bloc papier d’un stylo et m'asseyais dans le canapé, prêt à noter : « bon alors j’écoute, QUI prend QUOI ??!! …Je fais la liste, et puis j’irais chercher tout ça pendant que tout le monde s’occupera du roi en mon absence !» déclarais-je avec une sourire amusé. « bon on commence : Pour le trio infernal, je suppose qu’on part sur des Happy Meal ? »


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Summer & Paris
« Même pas vrai, c’est la faute de mon cerveau, il ne peut pas s’en empêcher » répondit-il avec toujours la plus grande innocence. Summer proposa plusieurs jeux d’affilés jusqu’à proposer le UNO. Paris et Matthew se regardèrent l’air de dire : tais-toi toi / tricheur. Le jeune homme aurait peut-être dû lui avouer qu’il était tout à fait facile pour lui de tricher au poker qu’au UNO mais il se décida à garder le silence. « Moi je suis partant pour le UNO ! En plus tout le monde connait les règles » lui répondit-il finalement avec un grand sourire avant qu’elle vienne lui demander s’ils pouvaient se laisser aller à un McDo en famille. La tentation était vraiment grande et puis, il ne voulait pas qu’elle passe son temps à s’occuper d’eux. Summer avait également besoin de se détendre, de lâcher du lest. Aussi accepta-t-il au plus grand bonheur de la tribu. « Oui Happy Meal pour tout ce beau monde » commença-t-il avant qu’ils se mettent à beugler leur composition du Happy Meal. « Hey les monstres, pas tous en même temps ! » grogna-t-il pour doucher un peu l’enthousiasme des enfants. Ces derniers se décidèrent sur un ordre de passage et ainsi, donnèrent à tour du rôle ce qu’ils voulaient dans leur petite boîte. Puis, ce fut au tour de Matthew de prendre la parole. « Je veux un maxi best of Big Mac avec un Big Mac à côté, un Mc Chicken et un petit Wrap » lâcha-t-il après une courte réflexion. « Je veux la même chose que lui mais tu peux rajouter une boite de neuf nuggest ainsi qu’un troisième Big Mac… Ben quoi faut bien que je me nourrisse un peu » haussa-t-il les épaules. Oui, ils mangeaient comme quatre avec Matthew mais c’était parce que leurs corps étaient en pleine croissance. « T’es sûre que tu vas pouvoir tout porter ? Parce que sinon Matthew peut t’aider » lui demanda-t-il tandis que l’adolescent acquiesçait vivement, prêt à se montrer utile à la moindre occasion.

« Pendant qu’ils vont chercher McDo, nous, on va un peu ranger le salon les gosses ! Enfin VOUS allez ranger, moi, je vais simplement vous regarder, bien sagement allongé sur le canapé… Raaah le privilège de l’handicapé, moi je dis, finalement c’est le pied » rigola Paris tandis que les trois gosses s’époumonaient contre l’injustice de la situation même s’ils s’appliquèrent à tout ranger. Quand Summer et Matthew revinrent avec les bras chargés de sac McDo, la table basse était rangée, il ne trainait plus un seul coussin ni jouet, tout était nickel et accessible. La seule chose qui dénotait était peut-être le maquillage outrancier qu’arborait Paris et sa mine refrognée. « Ils se sont vengés après avoir trouvé ta trousse de maquillage… C’est vraiment des sales gosses !! » râla-t-il même s’il passait une vraiment bonne soirée.

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Voir les plus jeunes enfants s’exciter à me donner leur choix de Happy Meal me faisait rire, mais je devais bien admettre que c’était finalement assez dur de pouvoir tout noter sans rien oublier. Heureusement pour moi, Paris était venu à la rescousse en rappelant à l’ordre les petites terreurs qui se mettaient alors d’accord pour savoir qui allait commencer. Je secouais tendrement la tête à les voir résoudre le problème par eux-mêmes en me disant que la manière dont Paris les éduquait avait plus que du bon ! Pas sûr qu’étant plus jeune, dans ma propre famille on avait un jour réussi à se mettre d’accord sur la moindre petite chose avec mon frère et ma sœur ! Les Happy pris en note, je m’attaquais alors à la commande de Matthew et au bout du deuxième Big Mac, je ralentissais la prise de note, relevant lentement la tête pour regard Matthew d’un air ébahi « T-Tu…Tu vas manger tout ça, t’es sûr ? » Il hochait vivement la tête et j’osais tout de même jeter un coup d’œil à Paris pour savoir s’il ne plaisantait pas, mais apparemment la commande de son petit frère ne le choquait pas. J’haussais alors les épaules et notait les dernières recommandations de Matt, quand Paris lança sa commande, et là pareil, même constat : Deux estomacs sur pattes qui me sidérait. Dans ma tête, je ne pouvais m’empêcher de penser qu’ils n’allaient pas pouvoir finir leurs Burgers, et j’allais pouvoir leur faire la remarque au moment du repas.

La prise de notes terminées, je me levais du canapé au moment ou Paris proposait à ce que Matthew m’accompagne pour porter les sacs. Je souriais à la proposition et remerciait Matthew pour son aide « Okay, alors va chercher ton blouson, on va y aller maintenant ? » Quant à moi, je filais dans l’entrée pour prendre mon sac, m’assurer que j’avais mon téléphone au cas où il y aurait un souci, et je revenais dans le salon pour voir Paris jouer les rois avec trois petits esclaves à ses pieds, reconnaissant le côté positif de son handicap « fais attention tout de même au retour de bâton » lui disais-je tout en me penchant sur mon compagnon toujours assis sur le canapé pour lui déposer un baiser sur les lèvres avant de partir. Matthew revenait habillé à ce moment-là et après avoir pris mon propre manteau, on quittait l’appartement direction le FastFood

Sur le trajet, j’avais été assez étonnée de l’attitude détendue de Matthew qui s’était montré très bavard sur ce qu’il se passait pour lui dans son Lycée, et il avait même réussi à me faire rire à plusieurs reprises sur diverses anecdotes de cours. Une quarantaine de minutes plus tard, on était de retour avec les gros sacs de burgers et autres soda dans les bras, et Matthew et moi on s’arrêtait net en plein milieu du salon : Devant nous, Paris était à nouveau dans le canapé - à une autre place que tout à l’heure - et avait été peinturluré par les enfants. Il fallait voir le massacre !! Digne d’un clown ! Je me pinçais les lèvres pour m’empêcher de rire, mais Matthew lui ne se retenait même pas, se moquant royalement de Paris tout en déposant les sacs sur la table du salon. Il revint porter les miens vu que moi je restais encore sous le choc du maquillage arrangé par les enfants. Une partie de moi aurait pu être dégoutée de savoir que les enfants avaient pu utiliser mon maquillage et détruire la moitié des rouges à lèvres ou fard à paupières ; mais sincèrement, quand on voit le résultat, je n’arrivais même pas à être en colère. Je déboutonnais alors mon manteau et l’ouvrais sans quitter mon regard de Paris et lui déclarais « Tu sais, en temps normal, je te viendrais en aide, tu l’sais bien mais…je t’avais prévenu : le retour de bâton ! » je regardais alors les enfants et demandais en hurlant avec enthousiasme « qui vote pour qu’on laisse Paris maquillé comme ça toute la soirée ! » Je levais ensuite la main, et Aaron et Danika en firent de même ; Kaleigh levait la main aussi mais sautait également pour être sûre qu’on la voit bien faire….je me tournais ensuite vers Matt qui, bien que le nez fourré dans les sacs à faire le tri, levait également la main. Un air de victoire sur le visage, j’arborais un énorme sourire satisfait et je regardais Paris en déclarant « La majorité a parlé ! Et puis tu seras tout de suite moins impressionnant si tu te mets à gagner ! » Je retirais alors complètement mon manteau et l’accrochait au porte-manteau de l’entrée, venant ensuite aidé Matthew pour gérer les menus de tout le monde. On amenait tout ça sur la table basse à assez large, et je m’installais ensuite à côté de Paris, sans déposer un baiser sur ses lèvres pleines de rouge à lèvres. Je me mis ensuite à pouffer de rire et lui murmurait « S’il te plait, dis-moi que je ne ressemble pas à ça quand je me maquille !! » je posais une main sur sa joue poudré par le fard à joue, et je souriais à défaut de lui rire au nez, en secouant gentiment la tête « Mon dieu, mon cœur, ils t’ont pas loupé » avouais-je en me mordant la lèvre pour ne pas rire.

Jamais je n’aurais pu penser voir mon petit-ami affublé de maquillage de la sorte ! Et en le regardant droit dans les yeux, je ne pus m’empêcher de me dire que j’aurais pu louper un truc pareil pour le restant de mes jours : Si l’accident s’était avéré plus grave, ce qu’on était en train de vivre ne serait jamais arrivé…Le besoin de l’embrasser à nouveau se fit sentir, ce que je fis sans hésitation, profitant un peu plus du baiser en laissant mes lèvres se presser contre celles de Paris longuement avant que Matt nous rappelle à l’ordre. Fallait pas retarder les ogres !! Je me redressais un peu en position assise, et commençait par m’intéresser aux burgers de mon petit-ami, lui ouvrant une première boite pour le nourrir. « Bon appétit tout le monde !!! » m’exclamais-je, avant de rajouter « Et on prend son temps pour manger » sommais-je en regardant Danika, Kaleigh et Aaron qui hochèrent la tête en me montrant bien qu’ils mâchaient correctement. A partir de là, je pouvais m’occuper pleinement de Paris le clown !


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Summer & Paris
Summer et Matthew étaient partis depuis quelques minutes quand Paris s’était endormi sur le canapé. La petite bataille d’oreillers et toute cette agitation avait eu raison de son énergie si bien qu’à peine avait-il fermé les yeux qu’il s’était profondément endormi avec une étrange pensée en tête : encore combien de jours avant qu’il arrive à rester éveillé comme le commun des mortels. Ses frères et sœurs avaient toutefois continué de ranger sans faire le moindre bruit pour ne pas le réveiller, conscient que leur ainé était toujours en convalescence. Le problème, c’est que Summer l’avait bien dit : il fallait un retour du bâton pour punir cet être tyrannique par excellence. Révolution ! Coupons la tête du Roi… ou plutôt amusons-nous à le maquiller. « Mais qu’est-ce que tu fiches sur moi toi ? » maugréa-t-il en apercevant sa petite sœur Danika à califourchon sur son torse, un tube de rouge à lèvres dans ses bras. « DANI !! » grogna-t-il avant qu’Aaron et Kaleigh l’aident à se dégager de lui pour mieux aller se cacher dans une des chambres. Paris se releva tant bien que mal et se dirigea vers un miroir où il put voir l’œuvre complète de ses chenapans. Un grand éclat de rire résonna alors dans tout l’appartement. « Putain ils m’ont pas raté »se marra-t-il tandis que les têtes blondes faisaient leurs retours, voyant qu’il n’était pas en colère. « Tu le gardes hein ! Pour le montrer à Summer et Mat’ » s’encanailla Aaron et il lui sourit. « C’est bien pour qu’elle me plaigne » lui répondit-il.

C’est ainsi que les deux absents purent apercevoir sa nouvelle mise en beauté digne des plus grands maquilleurs et si Summer se retint de rire, ce ne fut pas le cas de son cadet qui s’en donna à cœur joie. « Vive la solidarité hein ! Et toi, tu me n’aiderais même pas ? Tu mériterais de dormir sur le canapé tiens » plaisanta Paris en secouant la tête, amusé par la complicité qui se nouait de plus en plus entre sa fratrie et sa petite-amie. Qu’est-ce qu’il en était heureux ! « Je t’ai pas dit ? Mon plus grand rêve, c’était de devenir une femme, c’est chose faite… quoi que.. Tu voudrais bien me prêter une robe ? » blagua le jeune homme tandis que la bonne odeur du McDo venait lui chatouiller les narines. Tout le monde s’installa ensuite autour de la table basse où les différents hamburgers étaient distribués. Paris tourna la tête vers son ange, l’embrassant à son tour pour mieux rigoler. « Non, cela te va beaucoup mieux qu’à moi, je te rassure » murmura-t-il avant d’ajouter « Tu as le droit de rire tu sais… je sais la tête que j’ai, je me suis vu dans un miroir. Les sales gosses ont profité que je m’assoupisse » se plaignait-il avec une tête de cocker battu -même si, avec le maquillage, le rendu était moins poignant. Toutefois, le baiser qu’elle lui offrit acheva de le consoler mais ne l’empêcha pas de s’enflammer pour une toute autre raison si bien qu’il en vint à passer un bras dans son dos pour venir caresser du bout des doigts, son dos pour mieux être ramené sur Terre par Matthew. « Encore un peu de patience » marmonna-t-il comme pour s’encourager à ne pas violer sa petite-amie sur place. « BON APPETIT »s’écria le clan Maconahey au complet .

Paris lui, était un peu emmerdé avec ses deux bras plâtrés mais Summer vint rapidement à son secours. « Pense à manger aussi pendant que c’est chaud bébé » lui dit-il pour qu’elle ne s’oublie pas à force de prendre soin de lui.

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Cette soirée MacDo faisait l’unanimité pour mon plus grand plaisir, parce que voir ces petites bouilles ravies était plus que gratifiant ! Et quand je parle de bouille, je parle aussi de celle de Paris ! Ce grand gamin et le Big Mac ? ça devait être une grande histoire d’amour ! Il n’y avait qu’à voir comment il était prêt à me manger les doigts à chaque fois qu’il croquait dans son burger! Finalement, j’avais fini par prendre un rythme : je le laissais croquer deux fois et je m’emparais ensuite dans mon Big Tasty pour en faire de même, et ainsi de suite. Bon Okay…de temps en temps, je faisais un peu exprès de lui tendre son sandwich pour mieux le retirer au dernier moment. Mais parfois c’était pour la bonne cause: c’était juste pour mieux lui picorer les lèvres.

Le repas dévoré, on avait tout remis dans les sacs de transport en papier, et j’avais embarqué le tout en cuisine pendant que Matthew était parti cherché le jeu de carte UNO. Et que dire de cette partie, enfin de CES parties ?? Un véritable grand n’importe quoi ! Entre Matthew qui veut réinventer les règles, moi qui tente de cacher une carte sous une autre pour m’en débarrasser, Paris qui veut tellement gagner qu’il galère à sortir ses cartes de son jeu avec ces mains plâtrés en se précipitant comme un maladroit, autant dire que finalement le trio des 7-8 ans était les joueurs les plus modèles de la soirée ! Enfin, seulement quand ils n’étaient pas en train de s’échanger leur carte parce que Kaleigh n’aimait pas quand elle avait les cartes vertes, ou que Danika ne pouvait pas faire en sorte que les numéros se suivent dans son jeu.

« Non, mais c’est bon il va encore gagner ! » s’écriait Matthew en parlant de son frère, l’air complètement blasé. J’observais le nombre de cartes qui restait à Paris. 2…Il ne devait pas gagner! Je lâchais mes 4 cartes en les posant sur la tables et profitait que Paris ne pouvait pas avoir une bonne emprise sur ces cartes pour les faire ses baisser dans ses mains et que tout le monde puisse voir les numéros et couleur restante. « C’est bon tout le monde a vue ?! Ne mettez pas de rouge et pas de 0 et 2 » et au moment où je me retournais pour prendre mes cartes, Matthew venait juste de les reposer contre la table ! Pris en flagrant délit de tricherie sur mes cartes !!! J’ouvrais grand la bouche l’air outragé, tandis que les enfants se marrait en voyant Matthew jouer les innocents avec son « Bah quoi ? » avant de dire « Donc pas de vert et pas de 0 et 2 ». « Rouge ! Espèce de traitre ! » Rétorquais-je en reprenant mes cartes – de couleur vertes bien évidemment – et de les coller contre moi sur ma poitrine. Je jetais un faux regard noir tandis que Aaron jouait ses cartes bleus….Et que dire après ça : Aucun des enfants n’a souhaité jouer rouge ou vert pendant au moins 5 tours, et encore moins des 0 et 2 (et 6) ce qui fait que Paris et moi n’avions pas arrêté de piocher. On était en train de pester comme des gosses mauvais joueurs et les autres se marraient encore plus de la situation.

C’est bons derniers que Paris et moi avions fini la partie, à presque 22h, dépités mais tout de même content de voir les enfants ravis de leur petit manège en équipe. Paris annonçait qu’il était temps d’aller se coucher surtout qu’on avait bien traîné, et moi je profitais de ce moment pour vaquer à la suite du programme qui me trottait en tête depuis quelques heures: Je courrais discrètement dans la salle de bain pour faire couler un bon bain chaud pour Paris. Cela lui serait plus que bénéfique pour le détendre musculairement et apaiser son esprit avant le coucher. Pendant qu’il était parti rejoindre les enfants dans les chambres pour surveiller que tout le monde allait se coucher, j’avais été me faufiler dans l’appart à la recherche de bougies et d’allumettes que j’avais embarqué avec moi dans la salle de bain pour les placer ci-et-là dans la pièce. Ravie du résultat, j’avais éteint la lumière, la salle de bain n’étant éclairé que par les multitude de bougies, et j’entreouvrais la porte suffisamment grand pour qu’au moment où Paris sortirais des chambres, son attention se porterait sur la lumière qui émanerait de la pièce.



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Summer & Paris
« HEY TRICHEUSE !! » s’écria-t-il comme un gamin a qui l’on venait de faire un vilain tour. Paris n’en revenait pas que son ange lui fasse un coup pareil surtout qu’il était sur le point de gagner. Finalement, se dit-il, ce n’était pas un ange mais un démon qu’il avait mis dans son lit début janvier. Matthew profita de cette petite échauffourée entre les amoureux pour tricher à son tour et regarder les cartes de Summer qui, vit elle-aussi, toutes ses chances de gagner, s’envoler en fumée. « Vengé par un Maconahey ! Bien joué frangin ! » lui dit-il en levant son bras le moins plâtré vers son frère pour faire un high five de circonstances. La suite de la partie se déroula sans autres actions de triches si ce n’est que plus personne ne vint poser les bonnes couleurs ou les bons chiffres -sous-entendu, les bonnes cartes pour le faire gagner ; si bien que vers les 22h, Paris décréta la fin de la soirée. Les enfants malgré l’excitation commençaient d’ailleurs tous à bailler aux corneilles.

L’ainé de la fratrie se chargea donc de leur faire se brosser les dents pour mieux se mettre en pyjama, racontant les histoires habituelles pour que les plus jeunes puissent s’endormir sans difficulté. Matthew lui, allait très certainement écouter un peu de musique dans son lit ou envoyer des messages à ses potes grâce au téléphone portable qu’il lui avait acheté, quelques semaines plus tôt. « Essaie de pas coller la lumière du portable dans les yeux de ton frère et pas trop tard les messages okay ? » dit-il à ce dernier puisque Matthew partageait la chambre d’Aaron comme Danika et Kaleigh, partageaient la leur. Un dernier baiser sur le front du petit et Paris sortit de la chambre des garçons. Les filles dormaient déjà depuis quelques minutes et il allait faire de même quand son regard fut attiré par une lueur venant de la salle de bain. Curieux, le jeune homme s’approcha et découvrit un bain moussant en train de se remplir, des bougies parsemées dans toute la pièce. D’ailleurs, Summer lui tournait le dos, occupée à rallumer une bougie qui s’était éteinte. Avec un tendre sourire, Paris s’approcha d’elle, entourant sa taille de ses bras pour mieux venir enfouir son visage au creux de son cou. « Tu sais que tu es la meilleure des petites-amies ? Non seulement tu m’as nourri comme un roi ce soir, tu as su capturer le cœur de mes frères et sœurs et maintenant… j’ai le droit à un instant très romantique avec toi. Je crois bien que je suis le plus chanceux des hommes » murmura-t-il en déposant des petits baisers au creux de son cou.


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J’étais en train de rallumer une bougie, sans vraiment entendre Paris entrer. Mais quand il passait ses bras autour de moi, la surprise me fit sursauter discrètement avant de me détendre dans les bras de mon compagnon, collant mon dos contre son corps tandis qu’il enfouissait son visage dans le creux de mon cou. J’inspirais d’aise dans ses bras et voilà qu’il me re-vantait mes mérites ce qui me fit rougir au plus haut point. Heureusement pour moi, la lumière tamisée cachait les faits et je faisais toujours dos à Paris. Je posais délicatement la bougie à sa place et répondais presque en murmurant tellement je voulais que cette ambiance lui soit la plus agréable possible et ne vienne pas être perturbée. « J’essaye simplement d’être à la hauteur d’un petit-ami extraordinaire » je me tournais enfin dans ses bras et déposais un baiser sur ses lèvres qui avait perdu de son rouge à lèvre avec le temps, et en passant mes bras tendu au-dessus de ses épaules, joignant mes mains entre elles à quelques centimètres d’écart de son dos, j'ajoutais : « Mais tu sais que, à la base, ce bain il n’était réservé que pour toi. Donc normalement c’est : moment romantique entre toi et la baignoire ! » Je souriais avec amusement et déposais un bisou sur le bout de son nez avant d’ajouter d’une voix suave « mais on peut s’arranger et changer le programme ». Je sortais de son étreinte pour me rendre devant le meuble du lavabo où trônait ma trousse de toilette (plus honnêtement mon Vanity, parce que bien plus pratique), et en sortait coton et démaquillant. M’adossant ensuite sur le meuble, je demandais à Paris de me rejoindre « Viens par-là, on va d’abord s’occuper de ce maquillage ». Quelques secondes plus tard, je passais un coton imbibé de crème démaquillante sur le visage de Paris, découvrant sa peau de toutes traces de « peinture », pour très vite y déposer mes lèvres à la place. Chaque centimètre de peau nettoyer était couverte par un baiser et c’est une fois complètement démaquillé que je lâchais le dernier coton pour venir m’emparer avidement de la bouche de Paris pour un baiser langoureux. A force de passer partout sauf sur ses lèvres, la pression avait été trop forte!

Quelques instants plus tard, je passais mes mains sur le torse de Paris, pour les descendre jusqu’au bas de son abdomen : je m’emparais des pans de son t-shirt pour le soulever, Paris m’aidant en levant les bras. Je faisais attention à ne pas les lui faire trop lever et ne pas non plus lui faire mal, avant de lui retirer complètement en la passant par sa tête. Le t-shirt tombait au sol et, c’est un Paris aux cheveux ébouriffés qui se plantait torse-nu devant-moi tandis que la lumière de bougies dansaient sur sa peau, rendant l’image encore plus sexy. « T’es juste… » Quel mot trouvé à ce que je voyais pour qualifier la beauté qui se trouvait debout devant moi ? Sexy ne suffirait pas, beau encore moins…une véritable œuvre d’art. « Merveilleusement affolant. Incroyablement beau. Terriblement craquant. Adorablement troublant »avouais-je en le dévorant des yeux; et je détachais cette ceinture de jeans que j’avais côtoyé plusieurs fois aujourd’hui. Le but : déshabiller Paris pour qu’il puisse filer très vite dans le bain tant qu’il était encore chaud. Je ne tardais donc pas à baisser son pantalon et le boxer avec, à pousser un peu Paris de deux pas pour pouvoir faire glisser le tout sur ses jambes. Il n’avait plus qu’à sortir ses pieds nus de l’entrave et il se retrouvait enfin nu devant moi. Je me pinçais les lèvres pour ne pas craquer tout de suite face à la vue qu'il m'offrait, profitant tout de même de me redresser pour embrasser quelques zones de son corps comme une cuisse, son ventre, et son torse avant de revenir sur ses lèvres et coller mes lèvres contre les siennes. Puis de mes mains, je le faisais pivoter pour qu’il se tourne en direction de la baignoire. « On y va… » Déclarais-je d’une voix presque murmurée, l’aidant à pénétrer dans la baignoire pour s’installer. Ce n’est qu’une fois bien assis dedans que Paris posait ses bras plâtrés contre les rebords de la baignoire. Je souriais à la vue, et après un ptit moment à rester plantée là à l’observer, j’avais finalement commencé à me déshabiller à mon tour, tout en le questionnant. « Ca a été ce soir ? ta tête ? La soirée était quand même bien animé, c’est pas très reposant… »

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Summer & Paris
Paris n’avait jamais connu une si grande intimité avec une femme et voir sa salle de bain se transformer ainsi par la simple lumière tamisée des bougies, le laissait à la fois perplexe et bêtement heureux. Perplexe car il n’avait jamais pensé qu’il pourrait être autant touché par une simple luminosité et bêtement heureux… Y avait-il vraiment besoin d’expliquer ? Summer venait ni plus ni moins que de lui offrir un moment d’intimité grâce à une ambiance à la fois romantique et chaleureuse. Oui, Paris était vraiment touché par cette attention car personne n’avait eu ce genre de geste pour lui par le passé. Il donnait mais ne recevait que rarement et s’il avait toujours accepté cela… Il devait reconnaitre que par moment, cela faisait du bien de se laisser choyer par un être aimé. « Tu es largement à la hauteur, tu me dépasses même… Quand je vois combien tu prends soin de moi, de nous… En l’espace de quelques semaines, tu as fait pour ma famille et moi, bien plus que n’importe qui. Personne nous avait traité avec autant de respect et d’amour » lui dit-il en resserrant son étreinte au niveau de sa taille alors qu’elle déposait un baiser sur ses lèvres. « Et si j’ai envie de le partager ce bain ? » répliqua-t-il alors qu’elle lui expliquait que ce bain était uniquement pour lui… à la base. « J’adore lorsque nous changeons de programme » murmura-t-il avant de reprendre ses lèvres dans un langoureux baiser. Dire qu’il avait dû bien se tenir toute la soirée !

Summer se sépara de lui et il la regarda farfouiller dans son vanity. « Je dois avouer que j’aimerai bien retrouver une tête acceptable » ricana le jeune homme qui se laissa docilement faire -en même temps, vu la manière dont elle avait de l’embrasser, il serait fou de protester. Paris savourait chacune de ses précieuses minutes, souriant dès qu’il sentait les lèvres de sa douce se poser sur son visage et ce fut avec la même ferveur et passion qu’il accueillait son dernier baiser, la plaquant contre lui. Puis, la jeune femme commença à le dévêtir et il se laissa faire, frissonnant en sentant ses doigts effleurer sa peau. Summer le transporter dans la peau d’un homme fort, puissant, que rien ne pourrait arrêter. Son regard avait quelque chose de magique… et il ne se laissait pas de le sentir sur lui. « Et rien qu’à toi » murmura-t-il d’une voix rauque car à force de la sentir si proche de lui, dans cette ambiance romantique, il commençait doucement mais sûrement à se réveiller. Toutefois, il se reprit bien vite. Paris ne voulait pas brûler les étapes, il voulait savourer son premier bain romantique avec une femme et pas n’importe laquelle : la sienne. Une fois nu, Summer le poussa vers la baignoire et il se laissa docilement faire, rentrant dans l’eau chaude en poussant un soupire de bien-être. Cela lui faisait un bien fou !

Paris tourna la tête vers celle qui hantait ses jours et ses nuits. « Tu devrais fermer cette porte Summer » lui dit-il, le regard accroché à ses mains qui la déshabillaient trop lentement à son goût. « Cela a été même si j’ai l’impression par moment d’être écrasé par la fatigue. Par moment, j’ai des petites migraines qui viennent mais rien de bien transcendant… Je me suis reposé tout à l’heure ou plutôt, je me suis écroulé dans le canapé. J’ai dû mal à tenir plus de quelques heures éveillé » lui avoua-t-il en toute sincérité. Paris ne voulait pas jouer les fiers en face d’elle, il acceptait de n’être qu’un homme. « Tu sais que tu es magnifique sous cet éclairage ? Encore plus que d’habitude et pourtant la barre est haute. Tu as la beauté d’une reine »lui dit-il en penchant la tête sur le côté, un sourire charmeur collé aux lèvres.

electric bird.
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Something Stupid


Recevoir des compliments est toujours flatteur. Seulement, en fonction de qui vous les donnes, le ressentit peut en être différent : Un voisin qui vous voit revenir de chez le coiffeur et vous félicite du résultat ? C’est de la flatterie esthétique. Un collègue qui vous félicite pour votre travail ? C’est de la flatterie rassurante. Un(e) ami(e) qui vous remercie pour votre aide, votre soutien en disant que vous êtes une amie en or ? C’est de la flatterie reconnaissante et réconfortante…Chacune de ses flatteries a quelque chose de satisfaisant, de gratifiant. Mais c’est une sorte de fierté passagère; ça vous touche sur le moment, et le temps qui s’écoule efface inévitablement les paroles et leur bienfaits…Mais quand votre homme vous annonce que vous êtes la meilleure des petites amies, que vous êtes à la hauteur de ses espérances si ce n’est plus, et que vous lui apporter respect et amour à lui et sa famille comme jamais ils n’en avaient reçu auparavant ? C’est bien plus que de la simple flatterie; C’est un compliment qui vous touche au cœur, qui s’ancre en vous et qui vous apporte bien plus qu’un simple réconfort. Tout votre être en est retourné, vous ne savez pas si c’est mérité, mais vous savez que ça vous fait du bien, que ça vous rend soudain fière et forte ! A croire que ces mots sont une sorte de booster, de remède à tous vos doutes personnels. Et puis il y a cette chaleur agréable qui vous parcourent tout entière et qui vous fait rougir, commandant tout votre corps jusqu’aux muscles de votre visage pour vous faire sourire bêtement à l’écoute de ces compliments.

C’est donc emplie d’émotion dans tout le corps face aux dires de Paris que je lui avais souris avant de l’embrasser. Mais j’avoue qu’il y avait une part de ses paroles qui se devait d’être rectifié : « Tu te trompes mon amour : tes frères et sœurs ont déjà été traité avec autant de respect et d’amour….avec toi. Je suis juste le petit bonus pour eux !...Mais tu te souviens de ce que je t’ai dit le fameux soir où j’ai débarqué ici pour finir par dormir avec toi ? » Paris hochait la tête simplement et j’ajoutais « Tu m’as parlé de ce que tu as vécu étant petit, et je t’ai dit que je voulais soigner ton cœur, que je voulais lui rendre toute la tendresse qu’il aurait dû recevoir…. » J’haussais les épaules timidement et déposais un baiser sur ses lèvres avant de lui sourire tendrement « C’est une promesse que je me suis faite en même temps que je te la fais aujourd’hui : te traiter avec l’amour et le respect que tu as toujours mérité. » J’échangeais ensuite avec Paris un baiser bien plus langoureux histoire de rattraper la retenue de toute la soirée.

Et après l’avoir démaquillé puis déshabillé, non sans me délecter de l’image qu’il renvoyait ainsi dévêtue et ouvert devant moi, je le dirigeais avec précaution vers la baignoire, l’aidant à s’installer dans le bain chaud qui lui était réservé. Mais comme mon compagnon avait émis l’envie de m’avoir avec lui pour un moment romantique, je le dévorais du regard tout en me déshabillant à mon tour. Je prenais tout mon temps effectivement, mais parce que je voulais d’abord m’intéresser à Paris, à son état, voulant m’assurer que cette journée n’avait pas été trop éreintante pour lui. C’est en me conseillant d’aller fermer la porte, que je me dirigeais vers cette dernière pour la verrouiller tandis que Paris me répondait sur la fatigue qu’il l’avait gagné un peu plus tôt dans la soirée. En revenant devant la baignoire, je rassurais mon petit-ami, bien que ce que j’allais lui dire risquait sans doute de ne pas lui faire plaisir. « C’est tout à fait normal cette fatigue spontanée…et malheureusement, elle risque de durer quelques jours. Le truc qu’il faut que tu te dises, c’est que si tu te sens somnolant et éreinté, il ne faut surtout pas que tu lutte contre ça : C’est le signal que te donne ton corps pour lui accorder un répit et te permette de récupérer plus vite par la suite… » Maintenant debout devant Paris et uniquement vêtu de mes sous-vêtements, je recevais à nouveau des compliments qui me faisait sourire et rougir timidement, ressentant encore une fois cette chaleur qui envahissait tout mon corps et me rendait soudain légère. Je fis deux pas de plus pour me planter tout près de la baignoire, et je m’agenouillais pour être au niveau de Paris qui me regardait d’un sourire charmeur. Je tendais une main vers lui pour lui caresser les cheveux et réajuster quelques mèches pour finalement laisser ma main sur sa nuque alors que je plantais mon regard dans le sien. J’arborais alors un sourire malicieux et répondais narquoisement « Tu sais que j’ai déjà accepté de venir dans ce bain avec toi, alors plus besoin de me flatter ainsi pour me convaincre » Je pouffais de rire et baissais la tête pour embrasser l’épaule de Paris, puis son bras tendu sur le rebord de la baignoire devant moi. En relevant la tête, je le questionnais : « Est-ce que tu as besoin de quelque chose d’autre qui te ferait plaisir et que je peux t’apporter avant que je ne te rejoigne dans le bain ? Je ne sais pas moi, de la musique ? Un verre de vin ? » Demandais-je innocemment. Je savais que Paris avait une idée reçu avec l’alcool, mais je savais aussi qu’il n’était pas non plus du genre à se refuser une bière ou un verre de temps en temps. « Le dernier Marie-Claire ? » ajoutais-je d’un air rieur, en repensant au magasine que j’avais trouvé lorsque j’avais fait le ménage dans le salon.


Quelques minutes plus tard, après m’être assurée d’avoir apporté tout ce que Paris désirait, je finissais de me déshabiller et pénétrait dans la baignoire pour rejoindre mon petit-ami, soupirant d’aise au moment où l’eau chaude enveloppait mon corps. Mon dieu que cette sensation était agréable ! Elle détendait instantanément mes propres muscles tendus naturellement par l’activité de la journée. Je fermais les yeux et profitais quelques secondes du silence et de la douceur du moment, puis d’un murmure, je reprenais la parole : « Oooh Merci….merci de m’avoir demandé de te rejoindre, j’aurais loupé quelque chose sinon » puis en rouvrant les yeux je m’intéressais à nouveau à l’état de Paris : « Ca va toi ? T’es bien là ? »

© charney
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