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Somethin' Stupid. PV.

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Summer & Paris
Paris s’était totalement fourvoyé sur les intentions de sa petite-amie. En même temps, pour sa décharge, elle lui avait parlé de le détendre tout en jouant avec la ceinture de son jean ; Paris étant Paris, c’est tout naturellement qu’il s’était vu lui proposer sa tour Eiffel comme récompense même si, dans l’état où il était, cela aurait bien plus la Tour de Pise que l’Empire State Building. C’était plus fort que lui, Summer + chambre + jean déboutonné équivalait à parties de jambes en l’air torride à en faire craquer les lattes du lit. Tant pis, il se contenterait du massage, c’était toujours ça de pris songea-t-il dépité et en même temps rassuré. La dernière chose qu’il ne souhaitait pas, c’était bien de la décevoir sexuellement ou qu’elle lui sorte quelque chose comme : c’est pas grave mon amour, tu n’es pas au mieux de ta forme. « Joker » s’exclama-t-il tandis qu’elle s’installait à califourchon sur lui. Le jeune homme plongea ses bras sous l’oreiller pour venir le caler confortablement sous sa joue. « Joker bis » ricana-t-il , frissonnant lorsqu’elle déposa un baiser derrière son oreille. Il la sentait venir avec son allumage. « Putain Summer, je suis pas un diesel, je mets pas trois plombes à m’allumer » grogna-t-il même si dans le fond, il conservait un sourire moqueur aux lèvres. Sa petite-amie, vil démon sur Terre, continua son speech, lui rappelant qu’il y avait les enfants pas loin, qu’il la faisait crier en prime, ce qui ne serait pas discret. « Espèce d’allumeuse » marmonna-t-il tandis que chacun de ses mots ne faisait qu’alimenter les rouages de sa mémoire qui ne tarda justement pas à lui déclencher un petit film en 3D de leurs ébats les plus sulfureux. Finalement, la tour de pise était bien plus droite que dans ses souvenirs pensa-t-il en se félicitant d’être un dur à cuir. « Bien sûr que je te connais mais tu sais que je suis comme les scouts, toujours prêt » lui dit-il en enfonçant limite sa tête dans l’oreiller pour essayer d’étouffer ce désir naissant. Il était beau le convalescent ! A peine sorti de l’hopital qu’il prévoyait déjà de jouer avec les anges dans le septième ciel… En prime, doué comme il était, ce serait la seule fois dans sa vie où il ferait le coup de la panne à une femme.

Les mains de Summer ainsi que son discours avaient néanmoins réveillé un désir latent en la pauvre victime qu’était Paris. « Tu sais qu’il y a aussi la possibilité de te bâillonner pour que tu ne cries pas ? Non sérieusement, je suis pas certain d’être en état de te satisfaire et si je te fais pas crier, je vais me sentir aussi doué qu’un puceau » grommela-t-il même s’il avait laissé un gémissement franchir ses lèvres lorsqu’elle avait déposé ses lèvres au creux de son cou. « Même si je dois reconnaitre que tu as de sacrés arguments pour me convaincre… mais je pourrais même pas te toucher ni rien » râla-t-il. Paris n’était pas un amant passif, il était même plutôt dominateur dans son genre. Or, il était un peu privé de ses mains et ses bras.

electric bird.
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Something Stupid


Au moment où je m’étais ironiquement laissé dire que Paris me connaissait suffisamment pour ne pas lui faire de proposition graveleuse comme une sauvage en manque, Paris fit une remarque, se qualifiant de scouts toujours prêt et j’éclatais de rire avant de lui dire d’un ton aguicheur « Oh c’est vrai ? Mon dieu, j’ai tellement hâte que tu viennes planter ta tente dans ce cas ! » Et mes mains reprenaient leur massage sous le t-shirt, prenant bien soin d’appuyer sur certaines zones de son dos pour lui dénouer quelques nerfs et muscles tendus. Je me délectais d’ailleurs de la chaleur de sa peau que je ressentais sous mes paumes, et préféraient parfois m’attarder sur des courbes de son dos que j’appréciais tout particulièrement: comme ses muscles dorsaux latéraux par exemple, qui ne faisait qu’élargir sa carrure et rendre son torse encore plus impressionnant; Oh et puis le creux de ses reins aussi…Oh oui ! le creux de ses reins : je me plaisais à imaginer cette zone se contracter lors de l’un de nos ébats, et se creuser encore plus au moment où il s’enfoncerait en moi... Je secouais la tête pour chasser cette image, étant déjà suffisamment excitée par ce petit jeu que je faisais clairement endurer à Paris. Apparemment, il était persuadé que quoique je fasse, quels que soient mes arguments, il n’arriverait pas à me satisfaire. Je soupirais bruyamment tout en penchant un peu la tête de côté et me focalisais sur mon massage au niveau de sa taille « PPPffffff okkkaaayyy, j’ai compris » lançais-je jouant les dépitées… « Tant pis, je ferais comme hier soir dans ce cas: Je me débrouillerais toute seule ! Bon sauf que là, tu seras à côté, mais tu n’y verras aucun inconvénients j’espère ? » Et à cet instant, je passais mes mains sous la taille de Paris pour les placer sur son abdomen et descendre dangereusement au niveau de la ceinture ouverte de son jean, levant un peu mon bassin pour le laisser s’arquer sous moi et avoir un meilleur accès pour mes mains. Et je répondais alors à sa frustration de ne pas pouvoir me toucher, ce qui augmentait son désespoir de ne pas pouvoir être au top pour une partie de jambes en l’air. Je souriais en coin, l’air narquois : « Pour ma part, je trouve ça plutôt excitant de savoir que tu ne pourras pas me toucher…C’est vrai quand on y pense : Mes mains remplaceront les tiennes ? Tu aurais juste à regarder... »


© charney
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Summer & Paris
A peine la réponse de Summer avait franchi ses lèvres que Paris éclatait de rire, étouffant ce dernier dans l’oreiller pour ne pas alerter tout l’appartement. « Fais gaffe que je ne me transforme pas en tente quechua ! Il parait qu’il ne faut que quelques secondes pour la monter » rigola-t-il. Ils allaient finir par partir sur un délire de camping s’ils continuaient sur la cette lancée. Au moins, cet échange ainsi que le massage avaient le don de le détendre, lui arrachant des soupirs de plaisir à mesure qu’il sentait la tension le quitter -même si soyons honnête, il allait bientôt finir sur le côté si la béquille continuait de jouer à un deux trois soleils avec Summer. En même temps comment rester de marbre lorsque votre petite-amie jouait les allumeuses avec vous ? Qu’elle était limite en train de vous annoncer comme si de rien n’était qu’elle allait se taper une tranche de plaisirs et que vous, vous auriez que vos yeux pour pleurer à moins que vous vous frottiez tel un escargot en rut contre le matelas pour assouvir votre envie ?! Paris se voyait déjà tel un ours se gratter le dos contre un arbre, faire la même chose mais contre un angle de porte, un mur, ou toute surface plane susceptible de l’amener à une jouissance rapide et non douloureuse. L’image n’était guère flatteuse mais en même temps… tellement véridique. Il allait y laisser la raison à moins qu’elle ne le retrouve un jour en train de déchiqueter ses plâtres avec ses dents pour pouvoir libérer au moins une de ses mains. Summer ne devrait pas sous-estimer le Paris en rut. « Mais il est hors de question ! Tu veux ma mort sur la conscience ou quoi ? A moins que tu veuilles que je te supplie à genoux ? » râla-t-il de bon cœur même si ses mains prenaient un chemin qui lui plaisait infiniment. D’ailleurs, au lieu de se perdre à soulever son bassin, il se retourna carrément pour lui faire face. « Tu n’es qu’un démon mon ange ! Tu sais que la vision de toi, te donnant du plaisir devant moi, va juste me rendre dingue ? Et si je veux te goûter, te faire jouir avec ma langue ? Il me semble que tu aimes beaucoup quand je viens te titiller avec hein bébé »murmura-t-il avec un sourire charmeur. Les hostilités étaient-elles lancées ?!

electric bird.
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Something Stupid


Je lui lançais des perches, sans doute, mais une chose est sûre : il en faisait autant. Me parler de la tente quechua ? Belle comparaison, à laquelle je ne pouvais que rire de bon cœur. Mais c’est avec un sourire amusé que je continuais dans le délire et lui répondais naturellement : « Oh oui…je connais ces fameuses tentes quechua. Ce sont celles qui s’envoient en l’air ! » Fière de mon jeu de mot, je pouffais de rire mais n’oubliait pas pour autant la tâche que je m’étais confiée : masser Paris ! Le faire succomber, c’était juste un p’tit bonus personnel !

Paris ne se sentait pas vraiment en forme. Dans un sens, je le comprenais : il venait tout juste de sortir de l’hôpital et après un accident, on pense pas forcément à se remettre en courses juste derrière ! Mais je connaissais suffisamment l’endurance de mon petit-ami pour savoir qu’il sous-estimait ses capacités en ce moment-même ! Pourtant, je me devais de jouer la carte de la fille conciliante qui allait finalement laisser Paris tranquille. Enfin du moins de lui faire croire !!! Lui dire que j’avais compris qu’il ne serait pas au top, n’était qu’une bonne manière d’en remettre une couche pour lui dire que j’allais me satisfaire moi-même devant lui ce soir ! Mesquin, je sais. Mais sa réaction était exactement celle que j’attendais après cela. « J’avoue que l’idée que tu te mette à genou devant moi n’est pas une mauvaise idée… » Et là encore, un commentaire graveleux me venait en tête et il fallait que je le sorte pour le taquiner : « Mais dans ces cas-là, attends que je sois complètement déshabillée et offerte » déclarais-je non sans être moi-même quelque peu bouleversée par mes mots au moment où j’imaginais la scène dans mon esprit.
Regardant le mur en face de moi, mes mains profitaient alors de ces sulfureuses pensées pour se balader sur l’abdomen de Paris, et quand il se retournait sous moi, je baissais la tête pour le fixer droit dans les yeux, un sourire coquin ne quittant pas mes lèvres alors qu’il reprenait la parole. Et là, je ne rigolais plus: Au début, j’étais fière de moi lorsqu’il m’annonçait que l’idée que je m’occupe de moi sous ses yeux le rendait dingue ; mais au moment où il évoquait son envie de me goûter et de jouer de sa langue, mon visage s’enflamma ! Mes joues prenaient une soudaine couleur pourpre et je sentais une pression s’exercer sur mon bas ventre. Je le scrutais un instant du regard, alors que je voyais et que c’était maintenant à son tour d’être fier de ses paroles. Je ne pouvais pas le laisser me déstabiliser aussi facilement quand même ! Ce n’était vraiment pas drôle…

J’inspirais un moment, tentant de calmer mes ardeurs intérieures, et décidais alors de poser mes mains sur les propres boutons de mon jean, relevant un tout petit peu mon haut pour le laisser apercevoir mon ventre jusqu’à hauteur du nombril. Et je défie le premier bouton d’un unique geste assuré. Après tout, moi aussi j’avais besoin de me mettre un peu à l’aise là ! « Je crois que j’aime autant ta langue que toi tu n’aimes la mienne…. » Il voulait jouer à ça ? Il n’allait pas être déçu ! Moi j’avais des mains, pas lui… Je défie mon deuxième bouton de jean et défaisais la toute petite fermeture éclair jusqu’au bout, faisant apparaître une lingerie fine qui ferait son petit effet. Je regardais maintenant Paris d’un air de défi, arquant un sourcil et le laissait descendre ses yeux jusqu’à l’ouverture de mon jean et au moment il restait concentré dessus, je passais une de main entre le jean et mon sous-vêtement, partant à la rencontre d’une zone que je connaissais bien et qui avait besoin d’être apaisée…

Au moment où l’attention de Paris était bien centrée sur moi, de mon autre main, je déboutonnais un peu plus le jean de mon compagnon, et posais ensuite ma main sur la fine ouverture qui s’était formé, laissant entrevoir son boxer. Et je reprenais la discussion là où on l’avait laissé, répondant sans scrupule aux paroles défiantes de Paris au sujet de sa langue sur moi : «…sans parler du fait que tu dois sans doute encore plus l’apprécier lorsqu’elle s’accompagne de la chaleur de ma gorge. » Un nouveau clin d’œil de ma part, et un sourire en coin, et mes mains se mouvaient dangereusement dans mon jean et sur le sien


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Je ne sais pas pourquoi je faisais ça ? Pourquoi je privais Paris de sexe ? Pour gagner la partie ? Je me frustre moi-même, je ne vois pas trop en quoi je gagne ! Mais ça avait été plus fort que moi : entre l’envie d’être raisonnable et de ne pas porter l’attention sur les enfants et mon envie de garder le contrôle, je n’avais pas trouvé d’autre solution. Surtout que Paris n’y avait vraiment pas été de main morte – de langue morte si j’voulais jouer avec les mots – et maintenant il fallait que je réussisse à tenir !

Il avait beau se plaindre, me supplier de ne pas le laisser comme ça, je ne devais pas céder. J’avais mis fin à mon plaisir et au sien à contrecœur, et me redressais même pour ne plus l’enjamber, passant une jambe par-dessus lui pour revenir en position assise au bord du lit. Il me fit remarquer que j’en avais envie tout autant que lui et qu’on pouvait se donner du plaisir rapidement, mais je secouais à nouveau la tête en fermant les yeux « Oh ça oui, j’en ai envie, mais…je préfère autant attendre que les enfants soient totalement assommés de sommeil pour venir prendre mon dû ! » Oui, mon dû ! 3 jours sans faire l’amour avec Paris, c’était pire que de m’empêcher de respirer!! Et puis j’avais encore un peu de rage en moi, pour ses 2 jours sans nouvelles. J’allais donc m’en donner à cœur joie…MAIS ce soir !!

Je tournais la tête en direction de Paris, qui ne semblait vraiment pas ravi de la situation, et je baissais la tête vers son boxer encore apparent, en me disant que c’était vraiment, mais alors vraiment du gâchis de laisser les choses comme ça. ** Oh aller…au mieux tu le soulages, tant pis pour ton propre plaisir personnel. Il devra faire double service ce soir, c’est tout ** Je fixais toujours le boxer, me mordant visiblement les joues pour me retenir de faire ce que je mourrais d’envie de lui faire. Jusqu’au moment où une force inconnue réussissait à me défaire de cette vue imprenable sur mon petit-ami pour dévier mon regard ailleurs dans la chambre. « Est-ce que tu veux que je te télécharge un film porno ? » lançais-je pour taquiner Paris et trouver une solution à son "problème" « Peut-être que juste en regardant t’arriveras à te libérer ? » Puis, avec la même espièglerie que tout à l’heure, je rajoutais « Oh, ou alors, un documentaire animalier ? » une soudaine idée me parvenait dès que j’avais parlé de documentaire et c’est tout enthousiaste que je m’exclamais « OH OUI, JE SAIS : le documentaire sur les mante religieuse…ça va te la couper direct ça. »


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Summer & Paris
Le combat interne de Summer se voyait comme le nez au milieu de la figure et Paris était prêt à prendre les paris sur la défaite du vice. Il la connaissait tellement bien qu’il sentait venir poindre le goût de la frustration. Savait-elle qu’il n’avait jamais mais jamais expérimenté la chose ?! D’ordinaire, les femmes ne faisaient pas demi-tour en pleine action pour lui dire : attention aux enfants. Est-ce le lot quotidien des hommes mariés ? Non parce qu’on le lui dise tout de suite pour qu’il inscrive sur le contrat de mariage qu’une telle pratique était prohibée. Le jeune homme avait tenté de plaider sa cause, passant sûrement pour un désespéré à ses yeux mais qu’importe : Paris démon de la luxure voulait son dû. Son ange se retira et il poussa un gémissement plaintif. Bon sang, arrachez-lui ses plâtres, il voulait au moins pouvoir se finir ou plutôt se commencer. IL allait y venir à se frotter comme un détraqué contre le matelas. « Mouais ben j’aurais peut-être mal à la tête tout à l’heure » lâcha-t-il. Non, tout à l’heure tu auras la bave au lèvres, le drapeau bien hissé et tu remueras la queue comme un brave chien en manque de sexe se sermonna-t-il. Pathétique. Il était tout simplement pathétique.

Le pire, c’est qu’elle continuait de le regarder avec ses yeux gourmands. Il avait limite envie de lui hurler : MAIS PRENDS MOI BORDEL DE MERDE ! Il voulait bien remplir le pot à injures de tous les billets qu’elle souhaiterait si elle le débarrassait de sa tension. Non, à la place, mademoiselle le titillait. Paris prit sur lui mais son regard en disait long : tente pas trop ta chance non plus ma belle sinon je risque de me fâcher. Ne jamais frustrer un homme pour mieux le charrier après. « J’aime pas les films pornos »bouda-t-il avant qu’elle n’en vienne à parler d’un documentaire animalier. Tiens pour le coup, cela lui fit penser à Priape. « Tu sais que j’ai embrassé un mec récemment ? Un de mes potes en prime ! Alors ça te la coupe directe aussi ou pas ? » lâcha-t-il narquoisement. Summer savait très bien qu’il n’avait aucune tendance gay donc qu’elle n’avait pas à être jalouse ni même à s’inquiéter d’un tel événement. « Il embrassait superbement bien… »continua-t-il pour cette fois-ci, la titiller. Chacun son tour. « Et puis, quelle présence ! C’était limite s’il me proclamait pas comme siens » poursuivit-il en essayant de lutter contre le fou-rire. Priape le tuerait s’il l’entendait parler.

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J’avais limite envie de rire au moment où Paris me sortait qu’il allait sans doute avoir mal à la tête ce soir ! Ce genre d’excuse, on me l’avait encore jamais faite, et même à l’époque où je sortais avec des filles… Je souriais en coin en le regardant et ne pus m’empêcher de rétorquer « Tu comptes me faire le coup de la migraine ? » Je me penchais alors vers lui, et d’un air de le mettre au défi, je rajoutais sûre de moi « Crois-moi, je suis sûre que tu seras incapable de refuser ce que je te proposerais ! Et puis…migraine ou pas, je te sauterais dessus, alors… » Je déposais un baiser rapide sur ses lèvres pour conclure mon argumentation et me remettait en position assise au bord du lit, non sans lorgner sur son boxer, chose que Paris pouvait facilement remarquer.

Mon combat intérieur quant à savoir si oui ou non je devais soulager Paris, prit fin au moment où mes yeux se posèrent sur le mur en face de moi et que je ne me mette à trouver de fausses solutions pour faire disparaître l’excitation de mon petit-ami. Je suggérais les films pornos et il m’avait répondu qu’il détestait ça. L’occasion pour moi de froncer le regard, de prendre un air un peu déçue et de lui dire « Oh mince…moi qui pensais qu’on pourrait s’adonner à un visionnage à deux, histoire de pimenter les choses. Tant pis ! » Je croisais alors les bras contre ma poitrine, et restais le plus impassible possible (dieu que c’était dur), partant sur l’idée du documentaire en changeant de comportement - à la limite fière de mon idée - mais la réponse de Paris me surprenais: Qu’est-ce que mon idée de documentaire avait à avoir avec le fait d’embrasser un mec ? Et puis d’où il avait embrassé un mec sans que je ne sois au courant ?! Je recroisais les bras contre moi et pivotais un peu en sa direction en arquant un sourcil alors qu’il insistait sur ce baiser « t’as embrassé un mec ? » redemandais-je pour être sûre. Il plaisantait pas, il allait même jusqu’à dire que cet homme embrassait superbement bien, et je ne pus que me résigner faussement à l’idée d’avoir été battue par un homme ! « Woaw…non là, je suis sidérée…. » Je baissais la tête, prenant le temps de digérer son affront évident, parce que je sais bien que Paris faisait ça pour me faire chier. Du coup, je me devais de répondre « Il va falloir que tu me donne son nom…histoire que je sache si je dois aller le massacrer ou….lui proposer un plan à 3 ?! » Et voilà ! Il ne fallait pas me lancer sur le sujet ! Je souriais fièrement et rajoutais : « Bah quoi ? S’il est sexy, je peux y trouver mon compte autant que toi peut-être, non ? » Je me retenais de rire et concluait même avec une dernière remarque : « Non parce que, connaissant mon passé amoureux, j’aurais été prête à te proposer un plan à 3 avec une fille mais là….si tu me dis que t’es branché mec, ça change tout ! »



© charney
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