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Just the way you look tonight. PV.

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Andrea & Bonaventure

Bonaventure n’avait pas poussé sa curiosité à son maximum au point de l’interroger davantage au sujet de cette histoire de briseuses de couple car il sentait qu’Andrea n’était pas prête à lui en parler et lui, à entendre toute cette histoire. Le métisse avait beau être compréhensif, il n’en restait pas moins un homme et quelque part, il n’avait guère envie de tout savoir sur sa relation passée avec son ex. Tout était lié non ? A moins qu’une Cabot ait brisé le couple d’un ou d’une amie ?! Voilà, il commençait déjà à vouloir en savoir plus. Décidément, sa curiosité était vraiment mal placée. « Je te donnerai son numéro dans ce cas » plaisanta-t-il plutôt sur cette fameuse personne qui fantasmait sur elle. C’était plus prudent et moins éreintant pour ses nerfs. Dans le fond, qu’importe leur passé, Bonaventure voulait se consacrer uniquement à leur présent et qui sait, à leur avenir commun.

Avec le recul, le jeune homme se demandait bien ce qu’ils attendaient. Ils se désiraient, il y avait une véritable alchimie entre eux et pourtant, ils reculaient à chaque fois que la tension se faisait trop forte entre eux. Qu’avait-elle dans la tête ? Et lui ? Bonaventure ne voulait rien précipiter parce que ces derniers temps, il s’était fourvoyé à chaque fois, couchant avant même de savoir s’il était sûr de ce qu’il faisait. Il ne voulait pas de ça avec Andrea. Il voulait être certain qu’après le sexe, leur relation n’en serait que plus renforcée. Oui, il voulait prendre son temps de construire quelque chose de viable avec elle car il tenait réellement à Andrea. L’amour ? Il était trop tôt pour aborder le sujet. Pour le moment, ils s’apprivoisaient en faisait connaissance, à s’embrassant, se touchant. Chacun de leur baiser lui donnait malheureusement envie de plus. Il voulait la découvrir d’une autre manière, apprivoiser son corps de toutes les façons possibles et imaginables. « Tu as raison, c’est plus raisonnable sinon je crains de vouloir prendre mon dessert avant l’heure » murmura-t-il le front contre le sien, la gardant dans ses bras, les bras enroulés autour de sa taille. « Je veux bien… » accepta-t-il sa proposition en déposant un petit baiser sur ses lèvres. Il était totalement dingue d’accepter une pareille chose. Passer la nuit avec elle, la tenir dans ses bras… Il repoussait les limites de sa volonté. « Mangeons ! » décida-t-il en se détachant d’elle.

Le duo mit la table et dégusta alors le plat qu’ils avaient concocté ensemble. « Alors, qu’est-ce que tu en penses ? »lui demanda-t-il avec un sourire amusé. Bonaventure avait hâte de connaitre son avis, lui qui vouait à la cuisine, une véritable adoration. Aussi espérait-il qu’Andrea appréciait les bons petits plats et qu’elle prenait plaisir à manger car admettons-le, le jeune homme aurait du mal à fréquenter sur le long terme une femme se contentant d’une salade pour tout repas. Il en finirait frustré quelque part.

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Just the way you look tonight. PV. - Page 3 3tMiTkg Je souris légèrement. J'ai besoin du numéro de personne parce que le seul que je veux, c'est lui. Je sais bien qu'il parle de lui mais bon. Tout va tellement... vite avec Bonaventure. Je n'aurais jamais pensé qu'on passerait d'amis allant voir Star Wars à ... ça ! C'est un changement auquel je ne m'attendais pas mais qui me fait plaisir, qui me fait du bien, je ne peux pas le nier. " T'es sur de toi ? Je pourrais tomber sous son charme " Soufflais-je en le taquinant. C'est tellement marrant de le taquiner de la sorte. J'adore ça, vraiment. Ça me permet de penser à autre chose. De ne surtout pas penser au fait que j'ai envie de couper le gaz, de tout laisser là et de me coller au lit avec lui pour l'embrasser toute la nuit. Et plus si affinités. Je n'avais pas ressenti ça depuis si longtemps... Depuis trop longtemps à vrai dire. C'était doux, mignon, attachant... Rien de déchirant, d'étouffant. Je ne me sentais absolument pas obligée de lui mettre le grappin dessus pour qu'il s'attache à moi, qu'il ne se concentre que sur moi. Je sais que je peux prendre mon temps, qu'on peut prendre notre temps et que je ne me retrouverais pas face à face avec une bimbo le jour où je déciderais que je peux passer au niveau supérieur. Bonaventure ne change pas de copines comme de culotte, il ne couche pas avec tout et n'importe quoi - surtout n'importe quoi - alors ça me rassure. Je ne me sens pas pressée, je me sens libre. Et ça fait un bien fou ! Pouvoir prendre son temps sans se sentir oppressé est plus qu'important à mes yeux... Je ris quand il parle de prendre son dessert avant l'heure et souris quand il accepte de rester dormir. Ce n'était peut être pas l'idée du siècle. On allait peut être se sauter dessus dès la lumière éteinte mais je veux rester avec lui, prêt de lui. Et à la Quincy, non merci. Ici, on sera tranquille. " Oui, mangeons. Tout ça m'a ouvert l'appétit " Je reprends mes assiettes, lui indique où sont les couverts et on s'installe dans le salon. J'allume la télévision pour la mettre en fond. Je mange souvent face à l'écran de télé ou de mon ordinateur mais là, j'ai de la belle compagnie. On discute de tout et de rien, je mange comme un ogre et il ne reste pas tant de surplus que moi. J'essuie ma bouche et le regarde. " C'était délicieux... Je crois que je vais vraiment songer à te séquestrer " Je ris légèrement et me lève pour débarrasser. Je pose ma main sur son torse quand il se lève pour m'aider. " Reste là. Ou mets toi à la télé, je m'occupe de tout ça " Je souris légèrement, empile les assiettes à la va vite et file dans la cuisine. Je viens vraiment de lui dire rester loin de la cuisine alors qu'il y a la vaisselle à faire ? Ugh, quelle idiote ! J'enfile mes gants de cuisine rose bonbon et commence à nettoyer tout ça. Je plonge les mains trop au fond et de l'eau entre par le hauts de mes gants. " Aaaaah dégueux dégueux dégueuuuuuux " M'énervais-je en enlevant les bras le plus rapidement possible et passant mes bras sous l'eau. Je déteste çaaaa !!! Je balance un gant et en me retournant, je vois Bonaventure, le gant à ses pieds. Oops. Je mords légèrement ma lèvre, désolée. " Je... Je ferai la vaisselle demain, ça me soule là " Soufflais-je en fermant le robinet et laissant tout en plan. " Je t'interdis de le faire " Soufflais-je en m'approchant de lui.
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Andrea & Bonaventure

« Je crois que je pourrais survivre au fait de te partager avec lui ! Mais ça sera vraiment une exception » répondit Bonaventure en prenant un air affligé, du mec qui, faisait des efforts pour plaire à celle qui lui plaisait même si cela signifiait jouer au polygame. Bon, c’était une petite connerie comme l’annonçait clairement son regard qui ne pouvait s’empêcher de pétiller de malice. Bonaventure n’avait aucunement l’intention de la partager avec qui que ce soit du moins, si les choses se concrétisaient entre eux. Pour l’heure, il n’avait aucun droit ni sur sa vie, ni même sur son cœur. Pourtant, il ne pouvait s’empêcher de voir une sorte de statut quo qui se dessinait entre eux. Comme si, mutuellement, ils allaient réellement se donner la chance de voir où ce chemin les mènerait. Pour sa part, le Quincy avait bien l’intention de se consacrer exclusivement à cette femme, à tenter de la séduire autant que possible se peut. Il saura être là quand elle se déciderait mais sans l’étouffer, sans la presser. Au contraire, il voulait bien lui laisser toute la liberté qu’il lui faudrait mais serait-il prêt à fermer les yeux si jamais elle allait dans d’autres bras que les siens ? Les baisers qu’ils avaient échangés étaient pour lui un signe évident mais le métisse devait bien avouer qu’il était un peu rouillé. Les dernières fois qu’il avait touché une femme, les choses s’étaient soldées par un : restons amis. En serait-il de même avec Andrea ? S’il venait à céder à la tentation qu’elle représentait, allait-elle lui sortir le même refrain ? Une bonne raison de prendre son temps pour lui car il doutait de pouvait n’être qu’ami avec elle après avoir goûté à son corps, à son cœur. Son âme romantique le perdrait à coups sûrs un jour.

« Bon ap’ » lui souhaita-t-il tandis qu’ils se mettaient à table pour déguster le repas qu’ils avaient préparé tous les deux, bavardant de tout et de rien. Bonaventure ne put que saluer son appétit car pour une fois, il pouvait laisser s’exprimer le siens -oui, il était un estomac sur patte et il l’assumait la plupart du temps. « Oh non mince alors, moi qui n’avait pas du tout l’intention d’être séquestré » rétorqua-t-il en jouant très mal les victimes. Il eut un léger rire avant de la regarder, avec malice. « Je peux poser la carte du syndrome de Stockholm pour expliquer le fait que je veuille que tu me séquestres ? » plaisanta-t-il alors qu’elle lui intimait l’ordre de ne pas bouger. Andrea se dirigea vers la cuisine et lui, il allait s’asseoir sur le canapé mais l’immobilité n’était pas quelque chose d’innée chez lui. Il n’était pas le genre d’homme à se tourner les pouces pendant que la femme faisait les travaux ménagers. Aussi craqua-t-il en l’entendant râler. « Tu n’aimes pas ça hein ? » rigola-t-il en ramassant le gant à ses pieds pour aller le déposer sur le bord de l’évier. « T’es sûre ? Quoique, on pourra toujours la faire demain ensemble »lui dit-il avant de tout simplement la soulever dans ses bras, façon jeune mariée. « Allez femme ! viens me distraire avec un film » joua-t-il au macho de base, un grand sourire aux lèvres tandis qu’il la ramenait vers le salon pour mieux la déposer sur le canapé le plus délicatement possible. En temps normal, il l’aurait lâché comme un sac à patate mais il se rappelait de sa récente opération. « Je te préviens, si tu me sors une comédie romantique, je saute par la fenêtre » lui dit-il avec dérision.

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Just the way you look tonight. PV. - Page 3 3tMiTkg Je souris légèrement à sa proposition. Il serait vraiment capable de me partager ? Je sais que moi, je ne supporterais pas de savoir qu'une autre femme pose ses mains sur lui, l'embrasse comme on s'embrasse... Oh non, je deviendrais folle ! Mais quand je vois son regard, je me rends compte qu'il se fout de moi. Alors je décide de rentrer dans son jeu parce que c'est drôle et que j'aime ça. " Ça marche. Un pour la semaine et l'autre pour le week end alors ! Ou un jour sur deux, tu verras avec lui hein " Je ris légèrement et lui fais une petite grimace. J'aime tellement être avec lui et plus je fais de pas vers lui, plus je m'autorise à le titiller de la sorte et plus j'ai peur de souffrir, d'avoir mal et de n'avoir plus que mes yeux pour pleurer. Je ne peux pas m'en empêcher, je ressasse tout ça dans ma petite tête, même si je me dis que je n'ai aucune crainte à avoir, que je ne suis pas encore suffisamment attachée à lui... Mais c'est complètement faux. Je suis entrain de retomber dans le panneau et j'ai peur, vraiment peur. Mais Bona est différent. Je me le répète, une fois encore, comme pour me convaincre que c'est la vérité, il est différent, il ne va pas rouler une pelle et passer une soirée avec une fille parce qu'il en a envie. Il ne va pas aller vivre chez son ex plutôt que de demander un peu d'aide. Non, Bonaventure n'est pas Maxime. Aucun homme n'est Maxime. Et pas dans le mauvais sens du terme... Ils ne sont pas tous comme lui. Il faut que je me le rentre dans la tête. Il faut que ça rentre avant que je fasse une erreur. C'est juste que, je n'ai pas envie de souffrir, je n'ai pas envie de passer mes journées à chialer, une fois encore. Les peines de coeur - et les peines tout court à vrai dire - ce n'est pas pour moi. J'aurais besoin d'envoyer un message à Sienna, de l'avis de Priape. Mais je ne lui parle plus et elle est en chirurgie depuis quelques heures maintenant... Il va vraiment falloir que je me calme. Que j'arrête de réfléchir. De toute façon, il est trop tard. Je suis déjà trop attachée à Bonaventure. Mais j'essayerais d'envoyer Sienna pour qu'elle le questionne. Le repas se passe merveilleusement bien, je me régale et il me fait rire quand il parle du Syndrome de Stockholm. " Que si je peux être atteinte du Syndrome de Lima alors " Soufflais-je avec un léger sourire. Le syndrome de Lima est le syndrome de Stockholm mais à l'envers. Et oui, il existe bien un 'syndrome' où c'est le bourreau qui est attaché à son prisonnier... C'est vraiment bizarre. Je me demande vraiment comment on peut s'attacher à quelqu'un à qui on fait du mal physiquement. Et tout autant plus comment on peut s'attacher à quelqu'un qui nous fait du mal. Jamais je n'aurais pu m'attacher à Rwani. Ce n'est pas dans le même contexte, bien entendu, mais tout de même... La vaisselle est un calvaire pas possible et je balance tout dès que de l'eau s'infiltre dans mes gants. Un large frisson me parcourt et je grogne méchamment. Bonaventure est là, bien entendu, pour voir cette pièce. Je le regarde avec un petit regard de chien battu et soupire. " Je déteste ça... Ça me gêne pas de mettre les mains dans le corps des gens mais la vaisselle... " Et pourtant, on a bien mangé, rien n'est vraiment sale mais c'est plus fort que moi. Je fais une petit mou et crie quand il me prend dans ses bras. " Bona, lâche moiiii ! " Je m'agrippe à son cou comme un koala à un bambou et essaye de rester plus ou moins immobile. Je suis grande, j'ai franchement pas envie de me claquer une jambe ou la tête dans une porte. Une fois sur le canapé, je fronce le nez et secoue la tête de droite à gauche. " En fait, vaut mieux aller regarder la télé dans ma chambre parce que j'ai aucun film non romantique en DVD.. Et l'ordi est branché à la télé dans ma chambre " Lançais-je en me levant. " J'pourrais tout déplacer mais faudrait tout changer de place parce que je dors avec la télé en ce moment... " Quand Priape n'est pas là. Quand il est là, ça va. Et là, y a Bona. Donc ça devrait le faire. " À moins que ça te gêne... " Mais on va bien finir par aller dans ma chambre pour dormir non ? À moins qu'il veuille dormir sur le canapé... Mais il n'est franchement pas agréable. " Et on regarde ce que tu veux tant qu'il n'y a ni bombe ni armes " Lançais-je en souriant. J'ai encore un peu de mal avec ça, pas ma faute... 
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Andrea & Bonaventure

« J’espère qu’il n’est pas trop dur en affaire car je compte bien lui laisser la semaine… et je prendrais les week-end ainsi que toutes les vacances ! » répliqua-t-il avec un grand sourire. La semaine, entre les études et ses gardes, elle risquait de ne pas avoir grand temps à consacrer à son amant imaginaire. Aussi, ne prenait-il pas trop de risque en sautant sur le reste de son temps songea-t-il non sans amusement. Andrea n’avait pas conscience mais le simple fait de plaisanter avec elle, de se laisser aller à des petites taquineries de la sorte, lui faisait le plus grand bien. Il avait l’impression d’être à nouveau complet après toutes ces années d’errances. La question idiote que l’on pourrait se poser était : est-ce Andrea ou toute autre femme avec du répondant ferait l’affaire ?! La question était idiote parce que Bonaventure n’avait même pas besoin de se la poser. Andrea faisait toute la différence : son rire, son sourire, ses yeux qui s’illuminaient de malice malgré la peur qu’il voyait à chaque seconde. Le métisse n’était pas aveugle, il voyait combien elle l’appelait mais aussi combien elle le tenait à distance. Une peur commune, celle de souffrir à nouveau.

Bonaventure n’était pas en reste : faire confiance à nouveau à une femme. Laisser son cœur meurtri être à nouveau dans des mains douces et délicates… Il ne savait pas s’il était prêt pour faire ce grand saut dans l’inconnu. Lucy lui avait brisé le cœur mais elle l’avait poussé à douter de lui-même, de sa capacité à être aimé et à aimer. Etait-il prêt à se remettre à une autre femme au risque de tout perdre à nouveau ? De sombre à nouveau dans cette solitude, à laisser à nouveau ses sombres pensées reprendre le contrôle de sa vie ? Il remontait la pente que depuis peu. Trois ans, c’était long tout de même mais pourtant, cela faisait à peine quelques mois qu’il s’autorisait à nouveau à se laisser tenter par la pensée qu’il avait le droit au bonheur ; Mais seulement quelques semaines que l’amour était à nouveau un sujet viable dans sa tête. Alors pouvait-il tout risquer pour Andrea ? Etait-il prêt à tout remettre en cause ? A tout risquer quitte à y laisser ses dernières plumes ?!

Ils avaient tous les deux besoins d’apprivoiser l’autre mais également de lâcher prise. Pour l’heure, Bonaventure ne se sentait pas prêt à sauter le pas, il avait encore besoin de temps tout comme Andrea en avait besoin. « Cela me va ! »s’exclama-t-il avec tendresse à sa condition. Lima, Stockholm, tout ce qu’elle voudrait du moment qu’elle s’accrochait à lui autant qu’il s’accrochait à elle. Paradoxale hein ?! Pourtant, le métisse ne pouvait nier qu’il était déjà accro de cette femme alors pourquoi hésiter ? Pourquoi continuer à avoir peur ? Bonne question. « Alors oublie la vaisselle pour ce soir, au pire, je te la ferais demain avant de partir en cours » haussa-t-il les épaules avant de la soulever dans ses bras, rigolant en l’entendant protester. « Nop pas envie de te lâcher » lui dit-il en se dirigeant vers le salon. Une halte provisoire puisqu’elle lui expliqua que tous ses films se trouvaient dans sa chambre. « Non, cela me gêne pas » lui répondit-il en lui tendant la main pour qu’elle se relève. « Une comédie, cela te va ? » lui proposa-t-il en l’attirant à lui. « Dois-je te porter à nouveau ? Non parce que j’ai beaucoup aimé la manière dont tu avais de t’accrocher à moi » la taquina-t-il.

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Just the way you look tonight. PV. - Page 3 3tMiTkg " La semaine ça fait cinq jours et le week-end deux... T'es pas très demandeur toi " Soufflais-je en riant. Bon, il voulait les vacances en plus mais je bosse. Alors j'ai le droit à cinq semaines de vacances par an et pas plus. Et oui... Alors, il n'y gagne pas grand chose. Sauf s'il se base sur les vacances scolaires où là, c'est une toute autre affaire. Qu'est-ce que ça me manquait de ne plus seulement dépendre de l'école, de rentrer chez moi pour dix-huit heure, vingt heure au plus tard. Avec mon poste à l'hôpital, je ne comptais plus les heures. Je ne les avais jamais compté à vrai dire. On dit souvent "quand on aime, on ne compte pas" et c'est tellement vrai... Cela ne me gêne pas de passer des journées entières à l'hôpital, loin de là. Je souris généreusement au jeune Quincy et on reprend notre occupation cuisine. C'est fou la facilité avec laquelle je me plie à la tâche, de la façon dont je ris, comme si je n'avais peur de rien. Je me demande si Bona a les mêmes questions que moi. Mais est-ce qu'il pourra y répondre ? J'en doute. S'il a les mêmes, ce n'est pas pour rien. Et s'il n'en a pas, cela me montrera juste qu'il n'a pas peur de se lancer avec moi. Qu'il n'a pas peur de finir souffrir. Mais est-ce qu'on va forcément souffrir ?! Je ne pense pas. Je ne veux pas y croire. Je risque juste de souffrir si je ne fais rien pour être heureuse. Trop de questions, de supposition. Mais je sais que je vais le regretter si je me retiens trop, trop longtemps. Je veux qu'on prenne notre temps, qu'on soit sûre à 1000% avant de tenter quelque chose de réel. Même si on a déjà un pied, dans le réel. Je me connais assez bien pour savoir que je ne supporterais pas de le voir avec une autre. Et pourtant, je l'éloigne à chaque fois qu'il est trop proche de moi. Non mais qu'est-ce qui se passe dans ma cervelle de chameau ? " Parce que t'es homme de ménage toi maintenant ? " Demandais-je en riant légèrement. Je pourrais m'en occuper. Je n'ai pas cours demain - en même temps, je n'ai qu'une demi journée d'école par semaine - et je prends mon service à 16h... Rapidement dans ses bras, je me sens en sécurité. Même si je déteste ça, être portée à travers l'appartement. Surtout de cette façon. Allez savoir pourquoi, je préfère que ce soit un peu plus... sûre. Pas que Bonaventure n'ait pas de force ou je ne sais quoi, loin de là ! Il a de sacré muscle et de la force dans les bras pour me soulever sans mal, ou plutôt me maintenir parce que je ne suis vraiment pas lourde. " Ça me vaaa " Tout me va tant que je suis proche de lui et qu'il n'y a pas de sang à chaque plan. J'espère juste que ça va nous plaire à tous les deux parce que je n'ai vraiment aucun humour... Je souris et secoue la tête de droite à gauche. " Tourne toi " Lançais-je au jeune métis. Dans les bras, comme ça, type mariée, non ça ira. Je veux le réserver pour mon mariage, pour m'en souvenir à vie. Et oui, je peux être vraiment nunuche quand je le veux. Je monte rapidement sur le canapé, m'accroche à ses épaules et lui saute sur le dos. " Huuu dada ! " Lançais-je, morte de rire avant de lui donner un petit coup sur la fesse droite. Une grande gamine et irrécupérable en plus de ça. Je ris jusqu'à ce qu'il pousse la porte de ma chambre et me pose sur le lit. " Je n'ai jamais dis que j'étais saine mentalement " Riais-je, m'allongeant sur le lit pour reprendre mon souffle. " J'te laisse choisir le film et je vais me mettre en pyjama " Lui ça doit être son boxer son pyjama non ? Mais est-ce qu'il en a un ... ? Bonne question ! Je regarde pas ce genre de choses, moi. Je lui passe devant, prend un pyjama joli, sexy, mais pas trop non plus. Et file me changer dans la chambre de Priape. La salle de bain, c'est trop loin. Je laisse mes affaires en plan et reviens près de lui, sautant dans le lit et froissant les draps bien comme il faut. " Vingt-et-une heure et au lit, je l'avais dis ! " Je ris légèrement en tirant les couvertures pour me glisser en dessous et laisser Bonaventure me rejoindre.. 
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Andrea & Bonaventure

« Tu apprendras que je suis multitâches… Bon pour le coup de la vaisselle, c’est vraiment pour t’impressionner car j’ai horreur des tâches ménagères ! » avoua-t-il dans une grimace comique. Bonaventure n’avait pas honte de dire les choses. Il était plutôt cash dans sa manière d’être, loin des beaux discours des coureurs de jupons. Il ne savait pas ce que c’était d’aller voir une femme, de la séduire juste pour obtenir un numéro ou plus si affinité. Ce n’était pas son genre et sûrement cela ne le serait jamais. Au contraire, il était bien plus dans ces instants taquins, à dire ce qu’il pensait quitte à se tourner en dérision. Sa maladresse pouvait être touchante d’après ses proches mais il ne cherchait pas à se faire passer pour un autre. A quoi bon ? Tôt ou tard le naturel revenait toujours au galop alors autant jouer franc jeu dès le départ. Il n’aimait pas les tâches ménagères mais il aimait faire plaisir. Le métisse avait le sens du sacrifice -enfin, fallait pas exagérer non plus ! Par moment, il savait qu’il subissait cette réputation de trop bon trop con ; mais c’était plus fort que lui, il aimait aider les autres. Est-ce que cela ferait -il de lui un homme soumis, le genre de petit-ami ennuyeux au possible qui allait dire amen à tous les choix de sa compagne juste pour lui faire plaisir ? La réponse était on ne peut plus claire : NON. Bonaventure n’était pas de ce genre-là ! Il avait beau être amoureux d’une femme, cela ne lui ôtait pas son cerveau ni même sa faculté de pensées. Toutefois, il était un homme qui aimait faire plaisir à sa compagne et si pour cela, il fallait faire un peu de vaisselle… Cela n’allait pas le tuer. « Alors je t’impressionne un peu ? » lui demanda-t-il en riant légèrement pour mieux la porter jusqu’au salon. Là, ils optèrent pour finalement aller regarder une comédie dans la chambre d’Andrea. Cette dernière lui demanda de se tourner et il obtempéra pour mieux éclater de rire quand il la sentit lui grimper sur le dos. Pour la déconne, il glissa ses bras derrière ses genoux pour la maintenir correctement sur le dos puis s’amusa à hennir comme un étalon. « Moi non plus ! Cela promet »s’amusa-t-il à lui répondre. Andrea pouvait se lâcher avec lui, il adorait raconter et surtout faire des conneries. C’était plus fort que lui, il avait toujours gardé un côté gamin dans sa personnalité. Sa cavalière s’affala sur le lit et il la regarda, un grand sourire figé sur ses lèvres. Elle allait le prendre pour un mec totalement givré mais tant pis, il ne s’était pas autant amusé avec une femme depuis très longtemps. « Cela marche » lui dit-il. Seul dans la chambre, il chercha un film sans trop de prises de tête. Quelque chose qu’ils pourraient regarder ensemble sans trop non plus de scènes à leur monter la température en flèche. Finalement son choix se porta sur une comédie bien de chez lui.

Andrea revint dans la chambre et malgré lui, son regard la détailla des pieds à la tête, d’un air appréciateur. « J’ai choisi Very Bad Trip ! Un classique du genre »lui dit-il tandis qu’il commençait à se déshabiller. Cela ne servait plus vraiment à grand-chose qu’il aille dans la salle de bain, il finirait quoiqu’il arrive par s’afficher en boxer devant elle. Cependant, pour la première fois depuis trois ans, Bonaventure ne ressentit aucune appréhension à se dévoiler, oubliant même qu’il portait une prothèse. Non, il redevenait un homme tout ce qu’il y a de plus normal. « Manque juste la soupe finalement » rétorqua-t-il en se glissant sous les draps à ses côtés. « Alors, on se regarde ce film ? »

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Just the way you look tonight. PV. - Page 3 3tMiTkg Multitâches. Ah ouai, rien que ça ? Je ris légèrement et acquiesce légèrement. " Super impressionnée ouai... Les hommes qui savent tout faire et tout bien faire, y a rien de mieux " Soufflais-je avec un sourire. Il sait très bien faire à manger, il sait très bien embrasser... Bon, il n'y a que sur la nage que ça pêche un peu mais ça, je ne vais pas lui dire. Pourquoi gâcher un moment de confidence comme ça avec des conneries pareilles ? Parce que oui, Bonaventure était encore entrain de se confier, à sa façon. Et j'en apprenais encore un peu plus sur lui, pour mon plus grand bonheur. Bona a vraiment tout ce que je recherche chez un homme. L'assurance, la joie de vivre, la retenue... J'ai assez donné en étalage de vie privée et brûlage des étapes. Ce n'est définitivement pas ce que je recherche et les actions et réactions de Bonaventure me font un bien fou. Je me sens légère. Comme si je pouvais baisser ma garde sans risquer de me prendre un coup en plein visage. Une belle baffe qui laisserait une putain de marque indélébile sur ma peau. En tout cas, je pourrais me perdre dans ses bras et dans ses yeux. Je le sens. Je me sens flancher comme jamais... Et il faut que je me reprenne. J'ai envie réussi à rester loin de ses lèvres, ce n'est pas pour y retourner et me coller au canapé. Alors je lui grimpe sur le dos et me met à rire quand il entre dans mon jeu. " On est sur de ne pas s'ennuyer au moins " Réussis-je à placer entre quelques rires. J'adore cette complicité, cette débilité - parce qu'il faut appeler les choses par leur nom - qu'il y a entre nous deux. C'est vivifiant, purifiant... Excitant ! Bordel, j'ai vraiment un problème. Je m'éclipse rapidement pour me changer. Un pyjama tout simple. Joli mais qui n'en montre pas trop sans tout cacher et passer pour une vieille mamie qui a honte de son corps. Ce n'est vraiment pas le cas. Je reviens en short et débardeur. Je déteste dormir avec un pantalon. J'ai toujours l'impression de m'enrouler dedans et que ça coince ma jambe meurtrie. Je me jète sur le lit et le regarde avec un léger sourire. Sourire qui s'agrandit au fur et à mesure que ses vêtements tombent au sol. Il me faut quelques secondes avant d'arrêter de regarder ses cuisses musclées. Miam. " Nickel. Ça me va " Et pourtant, ce n'est vraiment pas le genre de film que j'aime. C'est là parce qu'il faut que je le vois. Enfin, que je vois la suite parce que j'ai déjà vu le premier. " J'peux plus rien avaler perso... " Soufflais-je en tapotant légèrement mon ventre. Je souris, acquiesce et prends rapidement un cachet d'oxycodone avant d'éteindre la lumière. Je m'installe confortablement et le film se lance sur la télévision. " Ça fait tellement du bien d'être au lit " Soufflais-je en regardant l'écran. Je ne sais pas si je dois le regarder, me rapprocher de lui, me glisser entre ses bras... Tout est tellement... étrange. Comme si le fait d'être sous les draps allait nous pousser à se déshabiller. Je soupire légèrement et cherche sa main, à tâtons. Après quelques essais, je l'attrape et un léger sourire se dessine sur mon visage. " Si tu veux enlever ta prothèse, ça ne me gêne pas tu sais.. Je sais comme ça peut être pénible à la fin de la journée " Et ça fait du bien quand on s'en débarrasse pour quelques heures. Et aucune crainte à avoir, je sais à quoi ça ressemble... Je lui adresse un léger sourire. " Je te le dis parce que je pense que je vais me débarrasser de la mienne rapidement... " Soufflais-je. Et j'espère que ça ne va pas le gêner. Il sait ce que c'est. Et puis, j'ai appris à l'enlever sous les draps... Et à entendre le bruit de la main tomber parce qu'il n'y a plus de mollet quand on passe aux caresses... Enfin, on en est vraiment pas là avec Bonaventure. Et j'essaye de me le rappeler encore et encore. Il est parfait, absolument parfait. Mais la perfection cache souvent un vice encore plus gros que la perfection... Je me reconcentre dans le film plutôt rapidement. " Si mon fiancé m'annonce qu'il part en enterrement de vie de garçon avec ses potes à Bangkok ou je ne sais où, je crois que je le trucide " Je ris légèrement. Enfin, d'ici à ce que je trouve un futur mari, y a le temps !  
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Andrea & Bonaventure

Oh oui, ils étaient certains de ne jamais s’ennuyer songea Bonaventure avec une dose de tendresse envers Andrea. Pouvait-il avoir trouvé la bonne personne ? Celle qui le compléterait à merveille ? Le jeune homme n’était pas exigeant en la matière. Il n’avait pas de critères physiques pour la simple et unique raison que l’âme primait sur tout le reste. Cela pouvait être un concept vieux jeu, rasoir mais il partait du principe que l’emballage pouvait être sexy mais si l’intérieur était pourri, personnellement, même avec un sac sur la tête, il ne pourrait l’oublier. Or, Andrea était aussi magnifique à l’intérieur qu’à l’extérieur. Une petite voix lui souffla qu’il avait certainement gagné le jackpot. Une autre le supplia de se calmer, de se montrer raisonnable afin de ne pas tout gâcher. Le problème, c’est que réprimer cette envie d’aimer devenait de plus en plus dur au contact de la Dunster. Il avait envie de la choyer, de lui montrer combien elle prenait de l’importance à ses yeux au fil des jours. Andrea le prendrait très certainement pour un fou ou pour un homme prêt à tout pour se caser. Par Allah qu’elle aurait tort. Voilà trois ans que son cœur était mort et si dernièrement, il avait connu des soubresauts, il ne pouvait oublier que leur rencontre numérique avait été le premier pansement à ses blessures. « Moi non plus, je crois que j’y suis allé un peu fort avec le tajine » répondit-il tandis qu’il se glissait sous les couvertures pour venir à ses côtés. Bonaventure aurait aimé la prendre dans ses bras mais il craignait de faire un geste de travers. Bon sang, il avait l’impression d’être à nouveau puceau et en plein premier rendez-vous amoureux. « Je ne dirais pas le contraire surtout après toutes ses émotions fortes » murmura-t-il avant qu’il ne sente une main s’attarder sur la sienne. Le métisse n’hésita pas une seule seconde, liant ses doigts à ceux d’Andrea.

« J’avoue que c’est une plaie de dormir avec ce truc ! »grogna-t-il tandis qu’il portait machinalement sa main libre aux attaches pour s’en débarrasser. Une pensée saugrenue le traversa où il s’imagina avec beaucoup d’années supplémentaire, en train d’ôter son dentier, sa prothèse avant d’aller se coucher au lit. Un début d’éclat de rire lui secoua les épaules avant d’être plus franc. « Désolé, c’est juste que je nous voyais très vieux en train de nous débarrasser de tous nos artifices : dentiers, perruques, prothèse etc. Très glamour comme vision » ricana-t-il. Par moment, son cerveau partait totalement en live mais pour le coup, ça le faisait bien marrer. Bonaventure ôta finalement sa prothèse qu’il appuya contre la table de nuit pour la retrouver plus facilement le lendemain matin. Ils se tournèrent ensuite vers le film et Andrea fit une remarque quant à un éventuel fiancé. « Remarque, y aurait de quoi flipper en effet. Je crois que Bangkok et Las Vegas sont des destinations à proscrire ! D’ailleurs, aller à Las Vegas… c’est comme si tu envoyais un alcoolique dans une dégustation de vins ! » grimaça-t-il. Ni vu ni connu, Bonaventure lâcha sa main pour venir entourer ses épaules de son bras. La technique de drague la plus vieille au monde mais il faisait avec les moyens du bord ! « Tu es bien installée ? Parce que sinon, tu peux venir te blottir contre moi »

electric bird.
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Just the way you look tonight. PV. - Page 3 3tMiTkg Je souris quand il acquiesce le fait que ça fait vraiment du bien de se poser dans un lit douillet après toutes ces émotions... Si j'avais fais ma séance de photos jusqu'au bout, je dormirais déjà à l'heure actuelle. Mais ce n'est pas le cas. Rien ne s'est passé comme je l'entendais aujourd'hui. Je me suis disputée avec Priape, ma mère m'a appelé pendant de longues minutes alors que je n'avais presque plus de nouvelles d'elle depuis quatre mois. Elle se plait là haut, en Afghanistan... Et je commence à me sentir coupable du fait qu'elle soit venue aux Etats-Unis pour moi. Ouai, je me sens mal quand j'entends sa voix enjouée au téléphone alors que ce n'était plus ça ces derniers temps... Et puis, il y a eu la visite de Bonaventure à la piscine. Sa chute, le massage thoracique et tout ce qui en a suivi. Ça m'a quand même pas mal fatiguée. Beaucoup d'émotions. Et les émotions ça fatigue autant qu'une bonne course. Parce que là, la fatigue est morale et non physique. Je le sens trifouiller sous la couette et fais de même. Je soupire légèrement quand je la retire et la pose sur le sol. J'ai mes béquilles planquées sous le lit, au cas où. " C'est rien de le dire... Je déteste dormir avec... Et quand je suis de garde, j'ai pas le choix " Déjà que je me repose presque pas quand je suis de garde... Les urgences, qu'il soit 8h, midi ou 23h, ça bouge tout le temps. Je ne suis pas payée pour me reposer mais des fois, ça fait du bien de faire une sieste d'une petite demi heure ou autre. Mais il faut faire avec. Je lui souris et fronce les sourcils quand il commence à rire. Qu'est-ce qu'il y a de si drôle ? Je l'écoute et souris légèrement. " Je pensais que tu trouvais ça drôle qu'on enlève notre prothèse plutôt que nos vêtements " Andrea ou l'art de mettre les pieds dans le plat. Mais je sais qu'il ne m'en voudra pas et que ça le fera rire. Ou pas. On s'est dis qu'il fallait prendre son temps, qu'on pouvait s'embrasser, se découvrir mais qu'on était clairement pas obligé de faire autre chose. C'est agréable de ne pas se sentir poussé à faire quelque chose, de ne pas se sentir obligé de le faire... Je compte prendre mon temps avec le Quincy. Je ne veux rien précipiter même si le petit démon en moi me dit de me bouger le popotin. Je sais que Bona ne me plantera pas parce que je prends un peu de temps, parce que je veux le ménager, ne pas le faire souffrir. Mon histoire avec Maxime est encore un peu trop récente et j'ai peur qu'il ne soit qu'une façon de rebondir sur la vie, sur ma vie. Je ne veux absolument pas que ce soit le cas. Il est trop important pour moi alors je me force à garder ma main le long de mon corps, de regarder ce film qui ne m'intéresse qu'à moitié alors que je préfèrerais être sur lui, entrain de l'embrasser et de le découvrir d'une nouvelle façon.. D'une façon un peu plus charnelle. " Trop de tentations à Las Vegas ? " Demandais-je au Quincy, légèrement intriguée. Je sais que la ville est connue pour ses excès mais est-ce que les hommes font vraiment n'importe quoi là haut ? Et quand je dis homme, c'est avec un H majuscule. Parce que les femmes aussi peuvent être idiotes. Je sens qu'il lâche ma main et la glisse autour de mes épaules. " Non t'as raison, je suis pas très bien installée " Soufflais-je en me hissant un peu plus haut dans le lit. Enfin, un peu plus proche de lui. Ma peau se colle à la sienne et je me mets légèrement de profil, posant une main sur son pectoraux gauche. Je le regarde et souris légèrement. " T'es tout frais.. " Sa peau est fraiche quoi. J'attrape la couverture et la remonte légèrement. " Bradley Cooper est vraiment pas mal " Lançais-je en me concentrant sur l'écran accroché au mur avant de l'embrasser et de ne plus me décoller de lui... Ça va vraiment mal finir cette histoire. Me retenir est difficile, tellement difficile... Je tente de me concentrer sur l'écran alors que mes doigts glissent sur le torse de Bonaventure. Je profite de la marchandise, oui oui. 
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