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T'as déjà vu une tornade ? Bah là, tu vas la sentir ! (ft Paris)

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Bien que je comprenais Paris et sa façon de voir les choses concernant sa réputation, j’avoue que j’éprouvais de la peine à l’écoute de ses mots : Je savais par exemple que sa réputation d’homme à femme devait sans doute lui avoir valu beaucoup de réflexion. Mais je ne sais pas…quelque chose dans son ton et sa manière de me dire qu’il avait appris à faire avec le « qu’en dira-t-on » à son sujet, me fit réaliser que tout ceci allait bien au-delà de cette réputation de charmeur. Je préférai ne rien ajouter de plus sur le sujet pour le moment, partant du principe que ce genre de conversation où j’avais besoin qu’il me parle un peu plus de lui et de sa vie, devait se faire dans un endroit plus propice et en toute intimité. Quant au fait qu’il était prêt à taper sur quiconque oserait me dévaluer, ne m’avait pas surpris plus que cela. Attention je ne dis pas que qu’on devait me porter sur un pied d’estale et que toute personne qui voulait faire le contraire devait être châtié, hein ?! Non, je dis juste que, Paris a toujours su montrer une facette protectrice et combative de sa personnalité, et je le savais suffisamment possessif et déterminé à vouloir protéger ses proches, que ces mots ne m’étonnaient plus.

Je m’habillais très vite, m’amusant à un petit jeu de jambes dans ce jogging trop grand pour moi quand Paris me répondit que tout ceci aurait au moins l’avantage de me le faire retirer plus vite ! Je m’étais mordue la lèvre inférieure en souriant avant de lui dire « Dis-donc c’est que t’as l’air d’avoir de sacrés projets toi pour ce soir ? » Et c’est sans doute ce sous-entendu sur ce qu’il me réservait pour la suite de notre nuit qui me fit prendre une telle confiance en moi après cela, pour oser aguicher mon petit-ami. Cela avait commencé par la petite culotte en cadeau que Monsieur était prêt à accrocher dans sa chambre, et avait fini par le vol prémédité d’accessoire de scène comme des menottes que je me voyais déjà utiliser sur Paris. Y’a pas à dire, être avec lui me faisait pousser des ailes et me donnait des sensations de liberté totale. Plus aucune tension, plus aucun doute, RIEN ! Tout semblait parfait.

Avec l’accord de Paris pour jouer les ignorants sur les crimes que je voulais commettre il m’attira vers lui pour un baiser et déjà, je me pendais à son cou avec l’envie de le prolonger : le voir ainsi en tenu de motard me faisait de l’effet et j’avais presque envie de sauter pour m’agripper à lui et m’enrouler autour de sa taille pour ne plus jamais toucher terre. Mais Paris mit fin au baiser et je grognais sans scrupule parce qu’il avait eu un goût de trop peu. Mais je me mis à sourire très vite à nouveau, après l’avoir entendu qu’on avait intérêt de rentré tout de suite parce qu’il ne répondrait plus de rien si jamais on se laissait à nouveau aller à nouveau en ses lieux. J’hochais la tête, prêtre à la suivre et c’est main dans la main de quittions la loge pour rejoindre la salle, croisant au passage quelques employés du club, et d’autres danseurs.

Je quittais Paris quelques minutes, le temps pour moi d’aller rejoindre mes copines et là, je dois avouer que la conversation avaient été brève mais efficace. Je m’étais approché de la table, un peu hésitante, cherchant quoi dire parce que même si Paris ne se souciait pas de sa réputation, moi, je ne voulais pas qu’on le dénigre où qu’on lui mette une étiquette qui ne le définissait en aucune façon.

« Mais où t’étais bon sang ?! T’as laissé ton sac, ton manteau, ton portable, tout !! »

« Oui euhm, je sais, j’ai…j’ai reconnu quelque que je connaissais et du coup, on a rattrapé le temps perdu » lançais-je sans grande conviction, tandis qu’une de mes amis me détaillais de la tête au pied, sans doute à cause du jogging et du casque que je tenais dans une main.

« Quelqu’un que t’as pas vu depuis longtemps ?! Un danseur ? » me questionna une autre amie

« Voilà, c’est ça ! J’l’avais pas vu depuis bien trop longtemps à mon goût » Avouais-je sans mentir. C’est vrai quoi : Paris m’avait manqué, et 3 jours sans le voir, c’était beaucoup.

« C’est quoi ce joggin là ?Qu’est-ce qui t’es arrivée ?! » osait enfin demandé mon autre amie qui me jaugeait depuis tout à l’heure

« Oh, ça ?! » Instinctivement je laissais mes mains glisser le ling de mes cuisses et remonter jusqu’à mes fesses, sachant très bien ce qu’il me manquait à cet endroit. Je fis une moue hésitante en pinçant les lèvres et répondit honnêtement : « C’est….euh… Un problème de culotte !!» lâchais-je de but en blanc. Je voyais leur tête ahurie, qui ne comprenaient rien du tout et au lieu d’attendre d’autre question, je décidais de prendre l’initiative de raconter une histoire :

« Bon écoutez, je passe prendre mes affaires en fait. Je ne vais pas rester. Mon petit-ami a appeler, il a fini plus tôt que prévu et est passé me chercher… »

« Summer….t’as laissé ton téléphone ici. Comment tu sais qu’il t’a appelé »

** Oups…. **

« Oh bah ça c’est parce que…il n’a pas appelé sur MON téléphone » tentais-je. Et en voyant mon ami prendre une inspiration prête à me questionner davantage, je coupais court à son élan et enchaînait « Bon quoiqu’il en soit, je vous laisse les filles. C’était super sympa, merci de m’inviter, le show était…vraiment…..INCROYABLE » concluais-je sans vraiment parlé du « show » que ELLES, avaient pu voir. Non je parlais plus du show privé dans la loge, mais je gardais cela égoïstement pour moi.

Je passais derrière elles pour rejoindre ma chaise et récupérait mon sac, tout en saluant les filles d’un signe de la main, puis je courrais très vite rejoindre Paris qui m’attendait devant les vestiaires. Je récupérais mon manteau et j’allais l’enfiler quand Paris me confia son écharpe pour ne pas que j’attrape froid. Telle une gamine, je le laissais m’entourer l’écharpe à plusieurs reprises autour du cou tout en souriant bêtement « Tu ne veux pas que j’attrape froid ? Ohhhh dommage : au moins j’aurais eu des raisons de rester cloué au lit ! »

Quelques instant plus tard on sortait du club pour rejoindre la moto et une fois que je vis cette dernière, je pris une grande inspiration avant d’avouer « Tu sais que la dernière que je suis montée sur une moto, j’étais en dernière année de lycée ? » Et encore….à l’époque, l’engin n’était pas aussi impressionnant que celui de Paris. Euuuuhhh, je parle de la moto là, hein ?!
« Si j’ai peur, je peux m’accrocher à toi comme une bouée de sauvetage ? »

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Summer & Paris

Bien sûr qu’il avait des projets pour eux d’eux. Maintenant que Paris avait goûté au fruit défendu, il ne comptait pas s’en priver dorénavant. Au contraire. Une vieille chanson lui revint en tête, il ne savait plus trop comment il l’avait entendu mais peu importait dans le fond. Les paroles étaient des plus équivoques et surtout collaient avec leur situation. La chanson disait quelque chose comme : Darling faisons l’amour ce soir, tous deux émergés dans le noir car ton corps m’appelle délire sensuel des plaisirs charnels. Avant que le jour se lève, avant que la nuit s’achève et passionnément, allons doucement, prenons notre temps. Oui, le jeune homme voulait prendre son temps, ne pas se précipiter comme un peu plus tôt dans la soirée. Il désirait avant tout pouvoir la déshabiller lentement, l’effeuiller, découvrir la moindre parcelle de peau.  Oh il ne regrettait pas l’épisode de la loge car en toute honnêteté, ils n’auraient jamais pu éviter de se jeter dessus comme deux affamés. La tension était trop forte, la frustration aussi.

Le jeune homme attendait sa petite-amie devant les vestiaires mais à peine avait-elle enfilé son manteau qui lui entourait la nuque de son écharpe pour ne pas qu’elle prenne froid. « Crois-moi bébé, tu n’auras pas besoin de raisons pour rester au lit, tu en as une belle devant toi : moi ! » rétorqua Paris avec assurance. Oui, hors de question que de quitter le lit. Bon il y avait quand même un détail que le couple négligeait à savoir la tribu Maconahey mais pour l’heure, ils étaient sur un nuage rose vif et n’étaient pas près d’en descendre de si-tôt. Le couple sortit du club, main dans la main jusqu’à la moto. « Ne t’inquiète pas, je suis un très bon pilote et j’exige même que tu te cramponnes à moi »rigola-t-il avant de lui enfoncer délicatement le casque sur la tête et de le lui fermer. Puis, il fit de même avec le sien avant de monter sur sa bécane, lui tendant simplement la main pour l’aider à en faire de même.

Le trajet jusqu’au duplex fut relativement rapide mais dans un même temps excessivement long. « Je vais juste m’absenter une dizaine de minutes pour ramener Ivy chez elle. Je n’ai pas envie qu’elle prenne les transports en commun à cette heure » fut ses premières paroles alors qu’ils étaient dans l’ascenseur qui menait à son étage. Bien sûr, il n’avait pu s’empêcher de prendre sa petite-amie dans ses bras et de l’embrasser jusqu’à plus soif. « Tu as interdiction de dormir quand je reviens car je serais assez égoïste pour te réveiller et te faire l’amour »rigola-t-il en déposant un baiser sur son front. Ivy les accueillit avec le sourire. La demoiselle de dix-huit ans était la nouvelle baby-sitter des enfants depuis que Luna était partie. « Ivy voici ma petite-amie Summer. Summer, voici Ivy, c’est la petite-fille du vieux Bob avec qui je jardine. Enfin je t’expliquerai tout à l’heure. Je la raccompagne et je rentre, fais comme chez toi bébé » lui dit-il en déposant un long baiser sur ses lèvres.

Dix minutes plus tard, Paris était de retour chez lui…



electric bird.
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Le trajet en moto fut vivifiant et à la fois très intéressant: Avoir la possibilité de me cramponner à Paris avec la fausse bonne excuse de ne pas avoir l’habitude d’être à moto, ça avait du bon! Je reprochais juste à la température extérieur –seul inconvénient- de ne pas être de mon côté, car dans le cas contraire je me serais bien vu faufiler mes mains sous ses vêtements pour avoir la possibilité de le toucher à même la peau.

Si je devais trouver un autre inconvénient – infime – à cette virée à moto ce serait celui de ne pas pouvoir embrasser Paris avec ces casques sur nos têtes: Ses lèvres me manquaient déjà, à tel point qu’une fois arrivée et bien au chaud dans le bâtiment, je ne perdais pas de temps à me fondre dans ses bras et réclamer des baisers. L’ascenseur arrivait et on pénétrait à l’intérieur et dès que les portes se fermaient, je me pendais à son cou, m’emparant de sa nuque pour l’attirer à moi pour un baiser. Il prit le temps de m’annoncer qu’il allait s’absenter quelques instants le temps de ramener la baby sitter, et j’écoutais sans écouter, bien trop occupée à dévorer ses lèvres et son cou. Sincèrement qu’il le veuille ou non, Paris allait devoir me gratifier d’un deuxième round ce soir, parce que j’étais déjà bien motivée; mais je fus plus que ravie de voir que pour lui aussi les choses étaient claires : nuit torride on se promettait, et nuit torride il y aurait !! Mais ce que j’avais oublié sur le chemin me revenait en tête comme un boomerang au moment où l’on pénétrait dans l’appartement : Les enfants... Ce qu’il s’était passé dans la loge du club, il était clair qu’on n’allait pas pouvoir le refaire! Et dans un sens, ce n’était peut-être pas plus mal : On allait pouvoir se découvrir autrement, se découvrir plus sensuellement, et rien que l’idée de prendre mon temps avec l’homme que je désirais plus que tout au monde était une pensée qui me fit frémir de plaisir intérieurement. Je sentais déjà que la soirée allait être longue et passionnelle, au point qu’il était dur pour moi de me contenir alors que Paris faisait les présentations avec la nouvelle baby-sitter. Je restais impassible extérieurement, souriant gentiment à la jeune fille, lui serrant même la main pour un premier salut, et restant droite comme un piquet pour ne rien laisser transparaître. Intérieurement ? Y’avait plus personne pour me contrôler, c’était le carnage : tout ce que je voulais c’était filer dans le lit et attendre que Paris m’y rejoigne.

Paris se décida à raccompagner Ivy et me proposait de faire comme chez moi. J’hochais simplement la tête et réprimait un sourire pour ne pas en dire long sur mes pensées, mais je gratifiais tout de même Paris d’un clin d’œil avant qu’il ne parte. « Fais attention sur la route…A tout à l’heure. Au revoir Ivy ! » Lançais-je accompagné d’un signe de la main, avant de retirer mon manteau pour l’accrocher non loin de la porte d’entrée qui venait de se fermer sur Ivy et Paris. Je regardais autour de moi un instant, inspirant profondément, ne sachant pas trop par où commencer.

C’était calme dans l’appartement….tellement calme. Ma curiosité et mon envie de savoir que tout allait bien me poussa à me diriger dans le couloir qui menait aux chambres, à ouvrir délicatement les portes des plus jeunes des enfants – Matthew étant l’exception pour une raison évidente, l’adolescence – et j’observais Danika, Kaleigh, puis Aaron dormir paisiblement avant de porter mon attention sur la dernière chambre pour aller voir Ashlynn. Je m’autorisais à regarder cette petite princesse dormir quelques minutes avant de me décider à quitter la chambre pour éviter de la réveiller.

Je me rendais ensuite dans la salle de bain pour m’observer devant le miroir du meuble lavabo et retirer le chignon négligé que j’avais fait avant de partir du club. Ne souhaitant pas m’attribuer n’importe quelle brosse pour me coiffer, j’optais pour mes doigts, les passant comme je le pouvais dans mes cheveux pour les démêler. Une fois satisfaite, je me passais un peu d’eau sur le visage et sortie de la salle de bain en éteignant la lumière. Direction la chambre de Paris !! EEENNNNFFFIIINNN

Il m’avait dit 10 minutes…j’en avais déjà épuisé une bonne partie, il n’allait plus trop tarder. Et je me demandais en cet instant comme accueillir un homme comme il se devait lorsqu’il rentrait « à la maison ». Je réfléchissais intérieurement à cette idée pendant que je me dirigeais vers la tête de lit pour allumer la lampe de chevet: En l’allumant, je vis un énorme bouquin de cours, de l’astrophysique, et instinctivement j’en étais venue à imaginer Paris installer dans ce lit juste à côté de moi, sans doute en tailleur dans son lit avec le bouquin sur ses jambes, n’ayant sur lui qu’un pantalon pour la nuit ; et tout de suite après je me voyais le rejoindre sur ce même lit pour passer derrière lui et lui masser le dos délicatement, déposant quelques baisers sur ses omoplates tandis qu’il se concentrait sur ses révisions…Sans m’en rendre compte, mes yeux se focalisait sur le lit, scrutant la place sur laquelle je venais de nous imaginer, quand soudain, une idée me vint : ce soir, l’astrophysique et moi, on allait être copains !

Je me déshabillais entièrement déposant mes affaires dans un coin de la chambre et me retrouvais complètement nue. Je me mordais les lèvres en me demandant si c’était vraiment une bonne idée, et puis finalement, je me lançais, m’installant sur le lit, par-dessus la couverture : je m’allongeais de côté, pliant un peu mes jambes pour prendre une position un peu plus sexy, et gardais le haut de mon corps redressé, mon avant-bras et mon coude servant d’appuis. De ma main libre, j’attrapais alors le bouquin de Paris et l’ouvrais juste devant moi de sorte que si Paris venait à rentrer, mon corps serait à moitié caché par son livre. Je commençais tout juste ma lecture quand j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir et se refermer avant quelques coups de verrou. Je trépignais intérieurement d’impatience, à la fois nerveuse et pressée de connaître la réaction de Paris en arrivant. Il mit un peu de temps, sans doute pour ranger sa veste, les casques de moto et tout le reste…Et quand il ouvrait enfin la porte, je pris un air sérieux, concentrée sur le bouquin que je n’arrivais même pas à lire tellement ma tête attendait le verdict de mon homme. Il restait figé un instant devant la porte et je profitais de cet instant pour ouvrir la bouche et m’adresser à lui sans relever ma tête du bouquin : « Tu m’as demandé de ne pas dormir….alors je me suis occupée comme je pouvais… »

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Summer & Paris

Paris se serait bien passé de raccompagner Ivy mais son sens des responsabilités lui interdisait une telle action. Elle était encore trop jeune et puis, il était tard ! Certes, elle n’habitait pas dans un quartier malfamé mais elle était plutôt jolie et aujourd’hui, il valait mieux éviter toute connerie du genre. Arrivé chez elle, il lui donna sa paie pour la soirée et la salua avant de reprendre la route. Le jeune homme respecta pas vraiment les limitations de vitesse mais il se consolait en se disant que c’était pour la bonne cause. Arrivé devant son immeuble, il se gara rapidement avant de prendre carrément les escaliers -pas le temps d’attendre l’ascenseur ; Il lui tardait de retrouver sa petite-amie et de terminer cette soirée en beauté. « Summer ? » l’appela-t-il en pénétrant dans le salon. Personne, le silence complet. Elle ne s’était tout de même pas endormie ?! Paris se déchaussa pour se mettre pieds nus. Il n’avait jamais aimé marcher des chaussettes allez savoir pourquoi ! Bref passons sur cette anecdote qui ne servait absolument à rien. Le jeune homme enleva sa veste et rangea les casques dans le placard. Il grimpa les marches menant à l’étage, passant rapidement dans les chambres pour s’assurer que tout allait bien. Arrivé dans la chambre d’Ashlynn, il rattacha une de ses sucettes à sa turbulette puis, il s’approcha de sa propre chambre.

Là, une vision des plus érotiques l’attendait : Summer totalement nue, uniquement parée de son livre d’astrophysique. Si Paris aimait déjà cette matière, là, elle venait de faire un grand bon dans son cœur -plus jamais il ne verrait ce livre de la même manière. « Tu as décidé de me rendre totalement dingue de toi » lâcha-t-il d’une voix rauque tandis que son regard la caressait. Déjà, il sentait monter l’envie de la satisfaire jusqu’au lendemain. « Je te confirme mon ange, tu ne sortiras pas de ce lit avant que je ne le décide » ajouta-t-il avant de se retourner pour fermer à clé la porte de sa chambre -autant prendre certaine précaution quand on vivait avec des enfants. Puis, il se rapprocha lentement d’elle, se déshabillant sous son regard. Ce n’était pas vraiment un striptease mais plutôt les gestes d’un homme qui a bien décidé de se retrouver nu contre sa petite-amie. « T’aies-je déjà dit combien tu étais belle et sexy ? »lui demanda-t-il alors qu’il achevait de se déshabiller, lui offrant la vision de sa nudité la plus totale mais également de la manifestation de son désir d’elle. Summer ne pouvait nier l’effet qu’elle lui faisait à cet instant. Paris lui, attrapa le bouquin pour mieux le jeter dans un coin de la chambre, la poussant à s’allonger sur le dos pour venir au-dessus d’elle quémander un baiser des plus doux et langoureux. Cette fois, il était bien décidé à prendre son temps, tout son temps même.

Rien ne pressait, ils étaient dans sa chambre, lieu intime par excellence et le reste de la nuit s’offrait à eux songea le Dunster tandis qu’une de ses mains glissait de son cou à sa poitrine pour mieux continuer son errance sur le corps de sa petite-amie jusqu’à échouer sur l’une de ses cuisses qu’il caressa de bas en haut, du bout des doigts tandis que son autre main, elle, avait échoué sur la nuque de sa petite-amie. Tendrement, il fit ployer sa tête en arrière pour approfondir le baiser, cherchant sa langue pour se jouer d’elle dans un balai vieux comme le monde.

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Le verdict de Paris était tombé, et je ne pus m’empêcher de glousser alors qu’il venait clairement de me dire que j’allais le rendre dingue ! S’il savait ce que moi je pensais de lui en le voyant même tout habillé…Je gardais le livre devant moi et levais enfin le regard pour observer Paris alors que pour lui les choses étaient claires : Comme dit au moment de quitter de club, je n’allais pas avoir besoin d’attraper la crève pour avoir une raison de quitter le lit. Je laissais le bouquin glisser de tout son poids pour tomber sur mon corps, les pages ouvertes posées sur ma poitrine et mes côtes, et je souriais d’un air aguicheur alors que Paris se retournait pour fermer la porte à clé « T’as peur que je m’enfuis ?» lançais-je en plaisantant, sachant très bien qu’il verrouillait la porte pour empêcher un possible accès aux enfants : Lui et moi se souvenions très bien du matin où Kaleigh avait atterri en trombe dans la chambre pour découvrir ma présence et l’annoncer en hurlant dans tout l’appartement. Et bien que j’addoooooorrre Kaleigh, je n’ai pas forcément envie qu’elle débarque dans la nuit ou le lendemain matin pour sauter dans le lit et hurler à qui voulait bien l’entendre que « Summer elle a dormi avec Paris, encore ! Et même qu’ils sont tout nus dans le lit !!! »….Hhmmmm non ! Vraiment, on va s’en passer !

Paris s’approchait dangereusement, se déshabillant lentement, tellement lentement que je me mordais la lèvre d’envie et crevait de désir à l’idée de pouvoir lui arracher tous ses vêtements parce qu’il jouait avec ma patience. Je sens que ce petit jeu entre lui et moi allait devenir récurrent. Bon, on savait qu’on ne supportait pas la frustration sexuelle sur du long terme, mais on savait aussi qu’elle pouvait avoir du bon. Sous forme de question, mon petit ami que j’aimais comparer intérieurement à un dieu grec, venait à me complimenter me qualifiant de belle et sexy et instinctivement je rougissais de timidité bien que je tentais tant bien que mal de rester dans mon rôle de femme aguicheuse. « Je crois oui, mais tu sais contrairement à toi, j’ai la mémoire défaillante alors…me le répéter ça ne me fait pas de mal ! » puis je pouffais de rire alors qu’il achevait de se déshabiller et de m’offrir un spectacle des plus alléchant. Bon sang il n’avait pas idée du volcan qu’il était en train de provoquer en moi ! Je posais mes yeux sur lui, de haut en bas, le détaillant du regard avec désir, prenant pleine conscience de la manifestation de son propre désir pour moi alors que mes yeux s’était arrêter sur son bas-ventre, et je me mordais l’intérieur des joues cette fois-ci, pour retenir mes pulsions et m’empêcher de bouger de ma place pour lui sauter dessus. Non, c’était à lui de prendre les commandes cette fois : je m’offrais à lui sans condition et il prenait ce qu’il voudrait en venant à moi.

Il attrapa la livre et je suivais sa main du regard alors qu’il jetait le bouquin dans un coin de la chambre et je pris un air faussement interrogateur tout en lui disant « C’était la seule chose que j’avais pour me couvrir, j’espère que t’as une autre solution à me proposer en échange ? » Il me poussa à m’allonger de tout mon long sur le lit et je me laissais faire sans rien dire jusqu’à ce qu’il vienne se placer au-dessus de moi. Je souriais, satisfaite, et entourais mes bras autour de sa nuque pour répondre à ma propre question « Ah oui…c’est mieux qu’un livre ça, t’as raison. » Puis je relevais la tête de quelques centimètres pour faire un bout du chemin que Paris était en train de parcourir pour m’embrasser. Il prenait son temps dans ce baiser, et la douceur de ses lèvres sur les miennes me fit frémir. Je resserrais d’abord mon étreinte autour de son cou pour garder son visage contre le mien puis que je descendis mes mains sur ses épaules pour les caresser dans un mouvement circulaire jusqu’aux omoplates.

Une des mains de Paris glissa le long de mon corps de mon cou à ma poitrine pour passer sur mon flanc et descendre jusqu’à ma cuisse pour la caresser, et toute la zone de peau où sa main était passée s’était comme réveillée sous son toucher, provoquant encore une sensation de chatouille prolongée; comme si le fantôme de sa main était encore sur ma poitrine ou mes hanches! De son autre main, il me tenait la nuque m’incitant tendrement à lui offrir un accès entre mes lèvres pour y plonger sa langue, que j’accueillis volontiers en un gémissement de satisfaction avant de venir faire participer la mienne pour une danse étourdissante. Tous mes sens étaient en éveil : A commencer par la vue qu’il m’avait offerte de son corps, mes pupilles dilatées faisant foi du désir qu’il avait éveillé en moi ; l’ouïe : le son de sa respiration résonnait dans mon oreille et signalait le rythme à donner à chacun de mes geste ; le toucher de sa peau, m’imprégnant de la chaleur de son corps, mémorisant du bout des doigts la moindre courbe lorsque mes mains passaient sous ses bras pour venir caresser ses flancs et ressentir ses muscles du grand dorsal bien développés…j’y plantais d’ailleurs mes doigts un instant avant de descendre plus bas sur ses obliques tandis que l’une de mes jambes s’écartait inconsciemment pour venir s’enrouler sur la taille de Paris et coller son bassin un peu plus au mien tout en ondulant légèrement sous lui ; troisième sens mis à contribution pour venir m’emporter dans l’euphorie du désir : l’odorat. Ni Paris ni moi ne souhaitions m’être fin à notre baiser, et pour reprendre un tant soit peu de souffle, je n’hésitais pas à inspirer l’air ambiant, prenant à plein poumons toute l’essence enivrante qui émanait de mon petit-ami. Certains disent que l’attirance entre deux personnes est une question d’émotions, de sentiments. D’autres pensent que d’une manière bien plus scientifique, une personne est attiré par une autre à cause de l’odeur même infime qu’elle peut dégager. Pour ma part, je pense qu’il s’agit des deux. On peut être attiré physiquement par quelqu'un parce qu’au moment même où on le regarde et qu'on le détaille, une émotion passe et faire réagir notre corps ou notre cerveau; Mais cette attirance est selon moi bien moindre tant que la reconnaissance olfactive ne se fait pas! Et en ce qui concerne mon attirance pour Paris ? Elle était bien présente lorsque je l’ai rencontré pour la première fois, mais elle s’est décuplée le jour où il m’a pris dans ses bras, que je me suis sentie en paix dans le cocon qu’il avait créé contre son corps, et c’est son odeur –en plus de ses bras bien évidemment – qui m’avait apaisé tout entière, me donnant l’impression d’avoir trouvé la partie qui manquait à mon existence. Et selon moi, ce sont ces mêmes ressentis olfactifs qui parfois, nous pousse à s’enfouir notre visage dans l’oreiller de l’être aimé lorsqu’il est absent, ou nous pousse à porter ou garder près de soi un vêtement lui appartenant…

Mais revenons-en à mon dernier sens, le goût! Celui-là même qui était en plein éveil alors que Paris et moi nous embrassions: Je crois que je ne ferais rien sans le goût de sa peau, de ses lèvres, de sa langue, de son essence même… Clairement : Paris me rendait complètement accro à lui, à ses caresses, à ces baisers, à sa chaleur, au poids de son corps puissant sur le mien...bref il me rendait dépendante de tout son être. Je ne donnerais ma place pour rien au monde en cet instant, bien que j’étais consciente que beaucoup de femmes auraient tout fait pour l’avoir. Je me savais chanceuse, et ce même si Paris pensait le contraire. Et cette chance, je n’avais de toute façon pas envie de la laisser passer et ferait tout pour en profiter au maximum, mon corps l'ayant de toute façon décidé pour moi en cet instant.

Je posais ma main sur l’arrière de la tête de Paris, et agrippais sa chevelure pour gentiment lui signaler qu’il fallait que nos lèvres de séparent avant que je ne devienne folle. Il s’écartait de mon visage et se nichait dans mon cou pendant que je reprenais ma respiration, ma poitrine se soulevant sous Paris pour se coller contre son torse à chacune de mes inspirations. Mon cœur commençait déjà à battre la chamade et résonnait dans mes tempes et même jusqu’au bout des oreilles tellement il n’avait jamais battu aussi fort. « Bon sang je ne sais pas qui de nous rend l’autre le plus, mais c’est juste totalement hallucinant ». Je lâchais alors la tête et le flanc de Paris de mes mains et venais poser ses dernières sur son visage pour le forcer à s’écarter de mon cou qu’il dévorait, et me regarder droit dans les yeux. Le regard brillant et à la fois légèrement assombri par la force de mon désir, je laissais Paris entrevoir mon âme et lire tous les sentiments que j’éprouvais pour lui. Et c’est le plus sincèrement du monde que j’exprimais mon dernier doute, allié à la plus honnête des déclarations : « J’espère que tu es sûr de toi. Aussi sûr de toi que je le suis moi, pour cette relation parce que….Parce que je sais déjà que j’n’ai plus envie de passer une seule seconde de ma vie à ne pas être dans tes bras. » Je dois sans doute passer pour une accro, très vite - voire même bien trop vite - et c’était là sans doute mon plus gros défaut : Je m’attache trop vite à ceux qui me font croire que je mérite ce bonheur que je ressens. Et je me rétame tout aussi tôt, soit parce que les sentiments ne sont pas partagés, ou parce qu’ils le sont mais de manière brève et moins importantes…ou encore par trahison, finissant trompée et bafouée alors que moi j’aurais donné ma vie pour continuer à être aimée.

Mais, même tout en sachant ça, tout en ayant la crainte que ces choses pouvaient arriver – et bien vite me concernant – j’osais croire qu’avec Paris, tout serait différent : premièrement parce qu’il misait gros lui aussi, qu’il se jetait à l’eau dans une situation qui lui était inconnu, et que rien ne l’obligeait à faire d’exception me concernant. et deuxièmement parce qu'il s'était tant dévoilé à moi jusqu'ici, que je ne pouvais que le penser sincère et investi avec moi... Alors oui, j’osais lui dire cela ce soir, mais pas vraiment pour qu’il me confirme les choses mais plus pour lui montrer que de mon côté aussi, j’avais des craintes, que je misais tout ce que j’avais dans cette relation et qu’on était deux dans le même bateau.



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Summer & Paris

Paris venait de fermer la porte à clé, s’attirant une petite question mutine de sa petite-amie. « Bébé, tu pourrais tenter de t’enfuir, je cours toujours plus vite que toi et même si ce n’était pas le cas, je saurais toujours où te trouver même au bout du monde » rétorqua le jeune homme, un sourire amusé étirant le coin de ses lèvres. Il ne mentait pas, il était prêt à retourner la terre entière pour la retrouver. Cela lui fit penser au cas de son ami Priape. Son ex était parti avec leur fille en Europe. Comment réagirait-il si Summer le fuyait ainsi ? Paris sauterait dans le premier avion pour la poursuivre et si l’argent était un problème, il était prêt à vendre toutes ses maigres possessions quitte à emprunter de l’argent aux mauvaises personnes. Il serait prêt à prendre tous les risques juste pour une dernière danse avec sa petite-amie. Comment avait-elle pu lui devenir aussi indispensable en l’espace de si peu de temps ? Paris avait l’impression que sans elle, son monde s’écroulerait, qu’il finirait à genoux. Au fond de lui, la peur le guettait, attendant une petite faiblesse pour s’immiscer à son esprit mais ce qu’elle ignorait, c’est qu’il suffisait à Summer de le regarder, de lui sourire ou simplement de respirer pour qu’il retrouve confiance, pour qu’il se sente le plus fort des hommes. Elle était son étoile, sa nouvelle raison de vivre. Un chemin qui l’éloignait du chaos de son passé. Elle lui donnait une raison d’espérer, de croire que peut-être avait-il toujours espéré une telle relation sans se l’avouer. « Mais c’est surtout une précaution car je doute que tu veuilles que l’un des gnomes hurle que tu es toute nue dans tout l’appart parce qu’à mon avis, si Matthew vient après, ça sera pas pour te dire bonjour mais pour mater »rigola Paris. Son frère était dans sa période « porno ». Il était un poil en avance sur l’ado qu’il avait lui-même été mais il ne pouvait pas lui jeter la pierre tant que cela restait raisonnable.

Le jeune homme s’approcha enfin du lit sans la quitter du regard, se déshabillant lentement comme pour la tester, comme pour se donner un temps de contrôle. Summer était nue sur son lit seulement protégée de son regard par un livre. Dieu qu’il aimerait se réincarner dans ce bouquin s’il pouvait rester éternellement collé à sa poitrine de la sorte. Les pages de ce livre avaient bien de la chance. « Alors je te le répéterai encore et encore ma sexy et magnifique angélique démone » reprit-il avec un air mi-canaille, mi-attendri par ses rougissements. Sa petite-amie pouvait jouer les femmes fatales, elle restait une femme sensible et adorable. Paris ne voulait pas qu’elle change car c’était ainsi qu’il était tombé amoureux d’elle. Elle était exactement comme son cœur la désirait et l’aimait. Enfin nu, il grimpa sur le lit, balançant le livre. « Oh oui, vraiment sexy et magnifique »murmura-t-il à nouveau alors qu’il avait cette fois-ci pleinement accès à sa nudité. Summer était parfaite à ses yeux et son désir d’elle n’en était que renforcé. « Je te propose mon corps, tu crois que tu vas y gagner au change ou pas ? »lui demanda-t-il taquin suite à sa question tout en la poussant à s’allonger pour mieux combler la distance entre leurs corps nus. Là, il se sentait à nouveau au paradis. Sa peau contre la sienne, sa chaleur contre la sienne. Dieu qu’il aimait cette sensation. « Tu m’aurais dit le contraire, je crois que j’aurais été vexé pour des années » rigola-t-il avant de l’embrasser d’un long et tendre baiser qui s’éternisa jusqu’à ce qu’elle le repousse en tirant faiblement sur ses cheveux.

Paris avait expérimenté bien des choses au cours de sa vie : le sexe rapide, le sexe douloureux, le sexe à plusieurs. Il avait tout expérimenté mais auprès de Summer, il avait l’impression de tout réapprendre, de retrouver cette flamme de ses débuts quand tout était neuf et mystérieux. Il avait l’impression de renaitre à son contact tel un phœnix. Elle n’avait pas besoin d’artifices juste d’être elle-même. Il se souvenait parfaitement de leur première rencontre, revoyant son regard et sa petite moue contrariée alors qu’il faisait preuve d’impolitesse à son égard. Elle lui avait tenu tête, le défiant du regard avant de lui indiquer la direction de son bureau. Ce jour-là, il ne l’avait pas remarqué mais elle avait tiré la première flèche dans son cœur. Touché en plein dans le mille. Il n’avait pas arrêté de penser à elle par la suite avec l’impression de la voir partout et nulle part à la fois. Combien de fois avait-il reposé son téléphone en soupirant ou en râlant. Il s’était perdu dans bien des draps pour l’oublier mais rien n’y faisait, toutes ses pensées finissaient toujours par revenir vers elle. Une seule rencontre avait suffi pour qu’il ferme les yeux et que son souvenir chasse ses démons. Puis, l’absence l’avait replongé dans ses malheurs et le chaos de son passé. Il avait cru que l’attrait était passé, qu’elle ne représentait plus rien à ses yeux qu’une douce rencontre. Paris avait été naïf.

A la patinoire, sa colère l’avait étonné mais aussi subjugué. C’était la première fois qu’on lui faisait une scène de jalousie et surtout qu’une femme lui donnait l’impression de compter réellement. La deuxième flèche avait elle aussi touché sa cible mais cette fois-ci, Paris avait compris. Il avait compris que cette femme n’était pas ordinaire. Ce petit ange allait le mener droit au paradis ou au contraire en enfer. Leur étreinte avait été la chose la plus merveilleuse qu’il ait vécu en vingt-cinq ans car il n’y avait là aucune arrière-pensée. Juste l’acte désespéré d’un homme qui comprend que le bonheur est à portée de main tout en étant inaccessible. Alors, quand elle était arrivée à trois heures du matin, quand elle l’avait tenu dans ses bras pour le soulager de son cauchemar… Sa carapace avait volé en éclat. Il s’était ouvert à elle comme à personne. Il avait sauté le pas, attiré par sa lumière tel un insecte l’est. Paris ne regrettait en rien. Il avait cru que le doute allait arriver les jours suivants, qu’il finirait par ressentir cette envie de fuir cet engagement ; Mais rien n’était venu. Au contraire, il n’avait qu’une seule envie lorsqu’elle n’était pas près de lui, c’était de la retrouver, de se perdre dans ses bras, dans son regard. « Peu importe, soyons fous ensemble » murmura-t-il en plongeant son regard dans le sien. Summer prit la parole, prenant son cœur dans sa main alors qu’elle lui confiait combien il était important pour elle, combien elle tenait à leur relation.

Alors Paris la repoussa légèrement pour venir s’allonger entre ses jambes, se redressant en prenant appui sur ses avant-bras. Il ne voulait aucune séparation pour ce qu’il avait à lui dire. Il la voulait pleinement contre lui. « Je suis sûr de moi Summer. Aussi sûr qu’il m’est possible de l’être. Je ne sais pas où nous allons toi et moi mais je sais une chose : je me fiche de me brûler les ailes, je me fiche de retomber du ciel dans quel tu m’amènes à chaque fois que tu m’ouvres tes bras parce que je sais que je ne regretterai jamais une seule seconde du temps passé à tes côtés. J’ai toujours fui cet engagement parce que je craignais de dépendre d’une personne, de ne plus me reconnaitre mais en réalité, je me fourvoyais car ce que tu me fais connaitre… C’est tellement plus. Je me sens renaitre. A chaque fois que tu n’es pas là, je n’ai qu’une envie, celle de te retrouver, de t’entendre, de te voir, de te toucher. Alors je veux bien dépendre de toi car quand tu es là, j’oublie tout. J’oublie mon passé, j’oublie mes peurs, j’oublie la souffrance. Il n’y a plus que toi, toi et rien que toi » lui répondit-il avec émotion avant de déposer un léger baiser sur ses lèvres. « C’est toi que je veux Summer dans ma vie, dans mon cœur et dans mon lit parce que tu m’es devenue vitale au même titre que l’air que je respire »

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Paris se redressa, portant son poids sur ses avant-bras, et je priais intérieurement qu’il ne s’écarte pas trop de moi parce que sa peau finirait par me manquer, et ce même si uniquement le haut de son corps ne me touchait plus ! Mais mes prières furent très vite oubliées dès que Paris se mit à parler pour répondre de mon doute. Je l’écoutais attentivement, me noyant dans ses yeux, buvant ses paroles, et j’étais à nouveau complètement bouleversée par sa manière de se dévoiler à moi. Il semblait fragile en ces instants où il osait m’avouer ce qu’était sa vie, parlant même de renaissance ce qui m’arrachait un haut le cœur. Pas celui qu’on a après un dégoût non! Celui que l’on ressent suite à une énorme émotion, qui vous chamboule de l’intérieur. La bouche légèrement entrouverte, j’avais du mal à me remettre de ses déclarations qui continuait de sortir du cœur de Paris, m’amenant clairement aux bords des larmes. Je savais que j’avais besoin de lui, que j’avais été touchée au plus profond de moi par son histoire actuel avec les enfants, par sa personnalité, et bien que je pensais avoir déjà vu le principal, Paris n’avait eu de cesse de me surprendre par la suite : Le jour où j’étais venu me confier à lui pour lui annoncer ma rupture avec Gabin, j’étais loin d’imaginer que la soirée se terminerait par des confidences de sa part. Bon c’est vrai que c’était parti autour d’un « Action ou Vérité » très vite écourté, mais Paris aurait très bien pu refuser de répondre à mes questions ce soir-là, ou carrément être le plus évasif possible. Or, il avait joué carte sur table avec moi, me révélant l’expérience la plus atroce que pouvait avoir vécu un Paris enfant…et ce jour-là : j’avais compris que je pouvais lui faire confiance, qu’il n’avait rien à voir avec les autres hommes que j’avais pu fréquenter avant. Il ne devait me rendre aucun compte sur sa vie mais il l’avait fait en toute honnêteté sans me mettre de côté. Rien que cela avait suffi à me dire que je pouvais être celle que j’étais avec lui, sans fioriture sans faux-semblants. Avec lui, j’avais l’impression qu’il me donnait le droit de ne pas être sûre de moi, qu’il me laissait exploser quand j’avais besoin d’exprimer ma jalousie ou mes doutes, qu’il me laissait être naïve et innocente quand j’osais croire qu’il n’y avait que du bon dans tout le monde…Ce qui fait que de mon côté, je ne voulais pas qu’il change pour un sou ; même pour me faire plaisir ! Non je voulais qu’il reste lui-même, avec sa colère, sa fragilité, son passé trouble, son présent encore un peu mystérieux. Je prenais tout sans concession tant qu’il me laissait entrer dans sa vie sans que je ne sois obligé de m’imposer et m'inventer une nouvelle personnalité.

Une larme d’émotion coulait sur le côté d’un œil alors que je souriais à Paris. Il devait sans doute le savoir, mais sa déclaration – aussi pure et sans arrière-pensée soit-elle – avait réussi à me rassurer. Je laissais échapper un souffle de rire, regardant Paris le plus amoureusement du monde et répondait suite à sa déclaration « Et après tu dis que t’es pas doué dans les relations amoureuses ? » Je l’embrassais brièvement à mon tour, sans pour autant laisser transparaître mon émotion de posais les mains à cheval entre son cou et sa mâchoire avant d’ajouter : « Crois-moi, tu te débrouilles bien mieux que tous les hommes que j’ai pu connaître avant toi, pour me rassurer…et jamais personne n’avait osé me dire les choses avec autant de sincérité…Merci » Pourquoi merci? Parce que j’avais besoin de lui montrer ma reconnaissance; Encore une fois, il n’était pas obligé de se dévoiler autant à moi. Sa dernière phrase me revint en tête : il était vital pour lui de m’avoir dans sa vie, et je reconnaissais mes propres sentiments en ses paroles. Je passais ma langue sur mes lèvres pour les humidifier tandis que mon regard se posait maintenant sur la bouche de mon amant. Et soudain, la pression fut trop forte pour moi, je m’emparais de ses lèvres, calant une main sous son bras a niveau de ses côté tandis qu’avec mes jambes, j’emportais Paris avec moi pour le pousser sur le lit et le faire s’allonger sur le dos à côté de moi. J’avais suivi le mouvement pour ne pas séparer mes lèvres et des siennes: Les rôles étaient maintenant inversé, lui sous moi, et je m’installais à califourchon sur lui tandis que mes mains partaient à la rechercher des siennes pour entremêler nos doigts. Je levais ensuite nos mains pour les relever de chaque côté du lit, juste un niveau au-dessus du visage de Paris, resserrant l’emprise comme si je dépendais de ce lien pour ne pas chuter et perdre le contrôle. J’approfondissais le baiser, cherchant à accès à sa langue que je voulais à nouveau goûter et inconsciemment – ou non – j’ondulais du bassin, provoquant de douces frictions entre mon intimité et sa virilité. De nouvelles chatouillent me prenaient au bas ventre, que je tentais de faire taire avec mes ondulations mais rien n’y faisait.

Je lâchais à contre cœur la bouche de Paris pour reprendre mon souffle et je vins déposer mes lèvres sous le lobe de son oreille pour descendre sur le point de pulsation du cou de Paris que je sentais sous mes lèvres. Je n’avais toujours pas délié nos mains, et une partie de moi voulait garder ce contact, mais j’avais tellement envie de le toucher en même temps que je dus faire un choix : Ma main gauche desserra son emprise pour venir se plaquer sur le cou de mon amant, tandis que ma main droite glissais sur le poignet de mon petit-ami, caressait son avant-bras, avant de venir se loger sur son biceps saillant ou je plantais délicatement mes doigts pour me servir d’appuis afin de pouvoir avoir le corps suffisamment relever au-dessus de Paris pour gérer un bon rythme à mes ondulations. Mes lèvres lâchaient enfin le cou de Paris, après une succion bien prononcée sur son cou qui ne cessait d’être marqué depuis le début de la soirée. Je revenais au niveau de son oreille et murmurait - ou plutôt chuchotais – « J’ai tellement envie de toi que ça me fait presque peur… » Oui c’était effrayant tant cette sensation que je ressentais dans ses bras était grisante. Je me redressais ensuite en m’aidant de l’appui sur Paris, et cessais mes ondulations pour m’asseoir sur Paris... Je pris le temps d’observer de haut, mon petit-ami avant de regrouper mes cheveux d’un seul tenant et les jeter que d’un côté, au-dessus d’une épaule avant de redescendre sur Paris et m’emparer de ses lèvres avec passion laissant mes cheveux venir chatouiller une seule partie de son corps sous le mien.

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Les mots venaient peu à peu à ses lèvres, se déversant dans un torrent d’amour et de tendresse. Paris s’était toujours imaginé dans la peau d’un homme incapable de se livrer, incapable de dire ce qu’il ressentait clairement mais Summer attirait les confessions. Avec elle, il n’y avait pas d’effort à faire juste laisser son cœur s’exprimer et ne rien filtrer. L’amour donnait des ailes ? Le jeune homme avait plutôt l’impression que cela le libérait de ses chaines qui lui mordait la peau et l’âme depuis tellement d’années. Chaque mot ouvrait un peu plus son cœurs, l’essence même de son existence à cette femme. Il ne réfléchissait pas aux poids de ses mots, tout lui venait directement, sans censure. Se taire serait trop difficile, trop douloureux maintenant qu’il était lancé. Sous lui, Summer semblait touchée par ses propos mais il ne la voyait presque pas, perdu dans ses confessions. Ce n’est que lorsqu’elle versa une petite larme qu’il reprit pied à la réalité. Aussi, avec tendresse vint-il boire cette unique larme de ses lèvres comme s’il ne voulait rien perdre d’elle. « Je ne suis pas doué, c’est ta présence qui rend les choses si simples » rétorqua-t-il en toute franchise. Summer lui demandait rien d’autre que d’être lui-même et sûrement était-ce la formule magique. « Tu.. Tu n’as pas à me remercier »bafouilla-t-il pris aux tripes à l’idée d’être le seul homme à avoir réussi à l rassurer de la sorte. Ce n’était peut-être pas grand-chose pour le commun des mortels mais pour lui, c’était plus qu’une suite de mot anodine. C’était le summum du compliment et cela le rendait fier.

Toute sa vie, il avait entendu que des critiques ou presque. Il ne faisait jamais les choses comme il faut, il n’était qu’un bon à rien, il n’était qu’un mec froid et insensible. Un homme sans cœur, sans scrupule, le genre de racaille infréquentable. Et là, pour la première fois de sa vie, il se sentait important, porté aux nues et surtout fier. Fier d’être le premier homme à la rassurer de cette façon. Son ange venait à nouveau de lui offrir un présent d’exception à croire qu’elle ne cesserait jamais de l’étonner, de l’émouvoir, de le rendre bêtement et tout simplement heureux. Le baiser qu’elle lui offrit était un acte de plus sur le chemin du bonheur d’autant plus lorsqu’elle inversa leur position. Paris se laissa faire docilement, liant leur doigt. Il la trouvait ainsi magnifique ! Un gémissement s’échappa de sa gorge lorsqu’elle commença à doucement onduler contre lui. Une délicieuse friction qui ne faisait que le faire réagir et être d’autant plus prêt à la posséder. Aussi lorsqu’elle libéra ses mains une à une, il posa les siennes sur ses hanches comme pour l’encourager à continuer ou l’en empêcher. Il ne savait plus vraiment ce qu’il souhaitait dans le fond, l’esprit fuyant vers la recherche d’une délivrance sensuelle. « N’aies pas peur mon ange, reste juste avec moi, laisse toi porter par cette envie »murmura-t-il en se redressant en position assise pour venir enfouir son visage contre sa poitrine qu’il explora de ses lèvres et de son souffle, alternant entre ses seins sans véritablement se fixer sur un. « Je te désire tellement que cela en devient douloureux »murmura-t-il en la faisant légèrement ployer en arrière pour avoir un meilleur accès à sa poitrine, la soutenant de ses mains dans son dos. Paris vint cueillir la pointe d’un sein entre ses lèvres, se jouant de lui du bout de la langue avant de l’aspirer et de le suçoter. Il la relâcha pour mieux souffler dessus, contraste saisissant entre la chaleur de son souffle et la fraicheur de la pièce. A nouveau, il reprit ce petit bourgeon entre ses lèvres pour le mordiller avec tendresse, prenant son temps avant de passer au second pour lui infliger le même traitement.

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