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T'as déjà vu une tornade ? Bah là, tu vas la sentir ! (ft Paris)

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Summer & Paris
Jamais faire l’amour à une femme lui avait procuré une telle jouissance peut-être parce que justement, il n’avait jamais réellement fait l’amour avant ce soir. Paris avait connu le sexe pour le sexe ou plus récemment, le sexe avec tendresse ; mais ce soir, c’était avec son cœur qu’il avait fait l’amour à Summer. Cette même femme qu’il tenait tout contre lui, comme s’il ne voulait plus la lâcher. Elle était encore tremblante et épuisée comme il l’était. En réalité, Paris avait l’impression d’avoir couru le marathon en une heure seulement et son corps le lui faisait clairement ressentir mais qu’il était bon d’être ainsi courbaturé. Il en était même le premier heureux tant c’était une douce douleur après des semaines de frustration sexuelle. Son ange se redressa contre lui pour plonger son regard dans le sien. Il accompagna ce mouvement de sa main qu’il posa sur sa joue, caressant tendrement sa pommette, son sourcil avant de se perdre dans ses cheveux légèrement humides à cause de la transpiration. Elle était magnifique ! Summer était plus belle de jour en jour qu’il n’arrivait à se détacher de ses magnifiques traits. « Elle m’a cherché ! C’est pas ma faute et puis je t’assure, elle m’a crié : vas-y arrache moi grand fou » rigola-t-il de bon cœur. Il ne regrettait absolument pas son geste passionné et puis, pour être honnête, cela l’émoustillait assez de la savoir sans.

Summer regarda autour d’eux et pour la première fois, Paris prit conscience de leur environnement proche. Oh le bordel ! Il lâcha un sifflement de surprise pour mieux éclater de rire. « Je crois que ouais, pour le bien des meubles, il vaudrait mieux que je ne te frustre pas à nouveau et puis maintenant que je t’ai goûté… crois-moi, tu risques d’avoir du mal à te débarrasser de moi » rétorqua-t-il en déposant une petite claque sur sa fesse gauche accompagnée d’un petit clin d’œil. « Hey si je comprends bien, bibi va devoir tout se taper ? Hors de question… Tu sais quoi ? J’ai fini mon service alors si tu rentrais avec moi à la maison ? A cette heure-là, les enfants sont couchés » lui proposa-t-il en venant butiner son cou, l’entourant un peu plus de ses bras musclés.

Dieu qu’il était bien à cet instant précis, reprenant peu à peu pied avec la réalité. Ils s’appartenaient pleinement ayant liés leurs cœurs et leurs corps. Une nouvelle étape de leur relation avait été franchie pour le plus grand plaisir et bonheur de Paris. Ce dernier s’étonnait encore de facilité à laquelle, il s’adaptait à la situation mais il était certain que Summer n’y était pas étrangère. Son ange rendait les choses tellement faciles, tellement naturelles qu’il n’avait qu’à se laisser aller. « Par contre, hors de question que tu t’affiches sans culotte sur ma moto. Je dois avoir un jogging dans mon sac de rechanges… Cela fera l’affaire pour ce soir » reprit-il la parole bien qu’il n’avait guère envie de s’éloigner d’elle, de quitter le giron de ses bras. En fait, il serait bien resté là des heures et des heures, sa peau contre la sienne.


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Cette sensation de légèreté, de libération était plus qu’attendue. Au-delà du fait de me sentir enfin délivrée d’une frustration évidente, c’était le fait que je me sente libre de mes pensées, de mes mouvements et de mon comportement avec Paris qui me faisait un bien fou. Et il y’a également cette autre forme de liberté, ressemblant plus à un soulagement personnel : celui de convenir à Paris, aussi bien mentalement que physiquement, spirituellement ou sexuellement. Presque 3 semaines de frustration certes, mais de doute également, s’étaient forgé en moi : Est-ce qu’il bloque parce que je lui déplais, parce qu’il manque quelque chose, par ce que je ne suis pas à son goût ? Et le jour où on passera à l’acte, est-ce qu’il se sentira en phase avec moi, est-ce que je serais à la hauteur de ses attentes ? Toutes ces questions qui m’avaient envahie l’esprit ces derniers jours, s’était envolées. Un énorme poids déchargé de l’épaule, je pouvais maintenant profiter pleinement de mon petit-ami. Bien que je savais qu’il y avait encore deux trois choses qui me restaient en tête et que j’avais envie de savoir, mais je partais du principe qu’elles étaient secondaires maintenant.

Je riais de bon cœur à la réflexion de Paris sur ma petite culotte, secouant la tête en souriant jusqu’aux oreilles alors qu’il était en train de m’assurer que c’était ELLE qui lui avait ordonné d’être déchirée. « Elle t’as surnommé "grand fou" ?! Quelle coquine, j’lui avais pourtant dit que ce surnom devait rester entre elle et moi…c’était un secret ! » Puis plus tard, je m’amusais à prendre à la légère le bazar qu’on avait fait, bien que dans le fond j’étais juste en train de réaliser qu’on avait fait fort ! Je commençais à lui conseiller de ne plus me frustrer pour éviter qu’on réitère ce genre de dégâts ailleurs, tout en me baissant pour me recaler dans les bras de Paris, mais sa petite claque sur ma fesse gauche me fit me redresser direct de surprise avant de le regarder un instant et de rire. J’attrapais la main qui m’avait fessée pour la prendre dans la mienne et la guidais pour la faire glisser sur mes reins, le bas de mon dos ; et je la relâchais enfin, satisfaite de cette caresse, lorsque Paris se mit à m’enlacer et m’embrasser dans le cou. Lui non plus n’avait pas envie de faire le ménage et me proposait de me raccompagner pour finir la soirée chez lui. Je souriais à cette douce idée, me voyant déjà dans son lit, dans ses bras, dans un autre corps à corps endiablé. J’en eus un frisson de plaisir rien qu’en y pensant.

Un instant paisiblement silencieux s’installait entre nous, durant lequel je laissais glisser ma main sur Paris de son épaule à cou, pour remonter sur sa joue, mon pouce allant et venant sur les traits bien défini de sa mâchoire. Mon visage un peu surélevé par rapport au sien, je déposais un baiser sur sa tempe puis un deuxième, me sentant plus que bien dans ses bras. Je le détaillais en coin, me perdant dans l’observation de son profil, admirant chaque tracé, chaque courbe, mes yeux tentant même de descendre pour observer le corps de Paris qui se trouvait sous le mien, puis n’y tenant plus, j’approchais mon visage du sien, lui murmurant tout simplement à l’oreille « t’es beau…trop beau mon coeur.... » . Je sais qu’il était rare de l’entendre pour un homme ; et je supposais dans ma tête que Paris était sans doute plus habitué aux compliment du style « T’es canon », « T’es sexy », voire même « t’es trop sex »….Mais moi, je voulais lui dire que je le trouvais beau. Beau physiquement, beau intérieurement…j’admirais sa force de caractère, ses principes, son esprit de famille, son intelligence – parce que oui, il était intelligent, et aisément plus intelligent que moi par exemple, il n’y avait de doute la dessus – même son côté bougon parfois me faisait craquer. Il avait beau me dire qu’il n’était pas sûr de faire ce qu’il fallait pour moi, moi j’aimais tout ce qu’il avait à m’offrir. Et à nous voir là, l’un contre l’autre, je commençais à me dire que j’allais avoir du mal à me passer de lui un seul instant dorénavant. 3 semaines, c’est court pour oser dire ce que j’ai envie de dire: Lui dire le réel sentiment qui me gonflait le cœur en cet instant ; 3 semaines c’est court pour dire les 3 mots d’amour… et il était hors de question de tout faire foirer maintenant. Mais dieu que je les pensais au fond de moi, et je n’avais qu’une hâte : arrivée au jour où ces 3 mots trouveront leur place, au bon moment.

En attendant, Paris me ramenait à notre douce réalité en me reparlant de mon absence de petite culotte ! Il voulait me ramener à moto, normal…Mais avec une jupe et sans culotte ?? Même moi, je n’aurais pas osé le faire. Il me proposa un jogging pour la route, et soudain, je me rappelais que je n’étais pas venu seule ! Je me redressais vivement en m’aidant de ma main que je posais sur l’épaule de Paris pour me relever : « Oh mon dieu, mes copines !!….avec tout ça, j’les ai complètement zappé ! Elles doivent s’inquiéter !! » Je tentais de me remettre les événements pour me souvenir si oui ou non, j’avais expliqué à mes amies où j’allais en me levant de notre table….non ! J’avais rien dit. Par contre, elles avaient sans doute dû me voir repartir avec Paris qui m’avait attrapé par la main pour me faire gagner les loges avec lui….pour elles donc, d’un point de vue extérieur, j’avais fini par me faufiler en douce avec un danseur. Sympa la réputation de la fille qui était pourtant venue en se plaignant que son mec lui manquait !!

« Bon bah…je crois qu’il va falloir que je passe les voir pour leur dire que je repars pas avec elles. Et puis, peut-être qu’il faudrait que j’les mettre au courant que NON, je ne suis pas en train de me barrer avec un danseur pour aller tromper mon mec… » J’embrassais alors furtivement Paris sur la bouche, deux fois, avant de regrouper le peu de courage que j’avais pour sortir des bras de Paris et me relever. Une fois debout devant lui, je ne pus m’empêcher de le reluquer sans scrupule, son corps nu et semi affalé sur le fauteuil, je sentais à nouveau mon corps vibrer d’excitation. Il fallait pas craquer, pas maintenant! je souriais malicieusement, des images agréables voyageant dans ma tête avant de me reprendre et de la secouer vivement, avant de partir à la recherche de mes affaires. Bon la petite culotte c’est foutu! Il fallait au moins que j’arrive à trouver mon soutien gorge, mon haut, et puis bah la jupe, je la fourrais dans mon sac, ce sera plus simple. « Allez hop, on s’lève ! Faut pas rester sur les lieux d’un crime trop longtemps, on sera les premiers suspects sinon » lançais-je avec humour alors que je venais de retrouver mon soutien gorge par terre et le brandissait devant moi en signe de victoire.

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Summer & Paris
Cette fameuse histoire de culotte ! Paris avait persisté dans son délire, lui prouvant par A+B qu’elle l’avait bel et bien forcé à la déchirer. Il n’était qu’un homme, comment résister à pareille sirène ? C’était tout bonnement impossible et puis autant le dire de suite : il n’avait jamais eu envie d’y résister. Paris avait été trop longtemps dans le blocage, le déni pour se priver cette fois-ci de sa petite-amie. Il n’en pouvait plus et puis maintenant que cette histoire de stripteaseur était révélée au grand jour, il n’y avait plus de chaine. Bien sûr, tout n’était pas réglé, ce boulot continuerait à se mettre en travers de leur route mais il ne voulait pas y songer. Tout ce qu’il désirait pour l’heure, c’était se concentrer sur Summer et rien que sur Summer. Son ange, celle qui d’un sourire faisait battre son cœur à la chamade. Plus d’une fois, il s’était surpris à sourire en songeant à sa petite-amie, à celle qui, il devait bien le reconnaitre, le rendait de plus en plus… amoureux. Oui, Paris n’avait pas honte, il tombait peu à peu amoureux de cette femme. Chaque jour un peu plus. Cela lui fit penser à une citation d’une célèbre poétesse française qu’il avait lue une fois dans sa vie : Chaque jour je t’aime davantage, aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain. Cela correspondait tellement à ce qu’il ressentait vis-à-vis de son ange. Toutefois, malgré cet amour naissant, le jeune homme n’était pas prêt à faire ce grand saut. Il était trop tôt et il préférait prendre son temps, voir où les choses et les jours les mèneraient.

« Bien moins que toi » murmura-t-il en déposant un baiser sur le bout de son nez. Ses mots l’avaient touché car le jeune homme sentait qu’elle ne parlait pas uniquement de son physique qu’il savait avantageux. Non, lorsqu’elle lui disait ce genre de choses, elle lui donnait l’impression de parler de son âme, de son cœur et bon sang que cela lui faisait un bien fou. Summer n’avait pas conscience que ce genre de parole pansait des blessures vieilles mais pourtant encore à vif. Auprès d’elle, il apprenait à se voir d’une autre façon, bien plus positive. Il y avait encore du travail à faire mais il était sur le bon chemin. Cela faisait trop longtemps qu’il se répétait en boucle les mots de son père. Des mots qu’il ne pouvait oublier telle était sa malédiction. Souvent, les gens lui enviaient sa mémoire extraordinaire mais ils ignoraient le revers de la médaille : tout se souvenir, ne jamais rien oublié. Du détail le plus anodin à celui qui vous déchire de l’intérieur. Il se souvenait de tout : des sensations, des paroles, des émotions, de la souffrance. Les bons comme les mauvais souvenirs. Il devait apprendre à vivre avec mais comment faire quand lorsque vous fermiez les yeux, vos souvenirs venaient vous hanter ? Paris aurait tout donné pour pouvoir ne serait-ce oublier qu’une infirme partie de sa vie mais à présent, il se disait que cette malédiction avait des bons côtés. Oui, jamais il ne pourrait oublier le sourire de Summer, ni même leur première étreinte, leur premier baiser… Tout resterait gravé dans son cœur. Son ange lui avait offert un paradis dans lequel se réfugier et rien que pour cela, il avait envie de se mettre à genoux et la remercier. Oui, elle était son ange, sa bénédiction, sa rédemption.

En parlant d’ange, celui-ci se redressa rapidement pour s’inquiéter de ses copines. Paris s’en fichait bien tout ce qu’il voyait, c’est qu’elle quittait ses bras. « On s’en fiche ! Déjà, elles t’ont amené ici alors je devrais aller leur dire deux mots à tes fameuses copines. Hors de question qu’on embarque ma petite-amie pour aller baver sur des mecs »grogna-t-il en reprenant du poil de la bête. Un Paris qui ne grognait pas, n’était pas un Paris. Toutefois, il n’avait pas vraiment prévu le coup qu’elle leur annonce qu’il était stripteaseur. « Je sais pas ce que je préfère : passer pour le cocu de service ou que tu leur annonces que j’étais sur scène… Je vois déjà leur réponse : oh mon dieu, tu sors avec un stripteaseur ? Mais ma chérie, ce n’est pas fiable un mec pareil, ça va te tromper tous les soirs avec d’autres nanas ! Et puis, franchement, ce n’est pas très fute-fute ce genre de mecs ! S’ils se dessapent pour le fric, c’est bien pour une raison » s’amusa-t-il à les imiter car il connaissait la chanson. Il accueillit néanmoins son baiser avec plaisir, la regardant par la suite s’agiter dans tous les sens dans la loge. « Ouais ouais je me lève » marmonna-t-il en se redressant pour aller chercher son boxer et son jean. Une fois les deux enfilés, il attrapa son polo noir ainsi que sa veste en cuir. Son écharpe et ses gants ne devaient pas être loin. « Tu as une veste j’espère ? »s’inquiéta-t-il pour elle tandis qu’il lui tendait le jogging pour qu’elle puisse mettre quelque chose sur ses fesses. « N’empêche, je me verrais bien jouer les gendarmes si tu fais la criminelle »rigola-t-il en lui montrant des menottes, accessoire de scène pour certains shows privés que faisaient certains danseurs.

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En ramassant mes affaires, j’entendais Paris m’expliquer son état d’esprit : Selon lui, mes copines allaient faire leurs commentaires concernant le métier de stripteaseur de mon petit-ami, le dénigrer ou exprimer leur inquiétude sur la fiabilité et la loyauté de Paris. Je me figeais un instant sur place, fronçant le regard tout en réalisant que la situation pouvait effectivement être délicate. Et puis, avant toute chose je voulais m’assurer que Paris soit à l’aise avec moi, avec sa situation, et par rapport aux autres également. Je me tournais alors vers lui, et répondait d’un air concerné : « Je me fiche de savoir ce qu’elles penseront de ton métier…Moi, je sais ce que tu es, ce que tu vaux, et je n’ai pas besoin d’elle pour savoir si je dois te faire confiance ou non. Je pense être mieux placée qu’elle pour reconnaitre ta fiabilité. » De ce côté-là, j’étais sûre de moi. Je n’hésitais même pas une fraction de secondes dans mes mots. Pour être honnête, les filles que j’avais accompagné jusqu’ici n’était pas du genre « super meilleures amies à la vie à la mort »…J’aimais passer du temps avec elle, de temps en temps, pour me détendre. Mais ça s’arrêtais là. Elles n’avaient pas le rôle de la confidente, de l’oreille attentive, du modèle à suivre ! Rien de tout ça, voilà donc pourquoi je me fichais de leur avis sur le sujet. Mais ce n’est pas parce que moi j’étais sûre de me foutre de l’avis de mes copines que cela voulait dire que j’avais tous les droit d’étaler la vie privée de mon petit-ami. Donc, pour rassurer Paris et lui laisser le choix final, je lui déclarais : « Mais la dernière chose que je souhaite, c’est de te mettre mal à l’aise. Alors, si tu veux, je trouvais une excuse pour leur dire que je m’en vais, et je ne dirais pas qui tu étais si cela t’arrange. C’est toi qui vois, moi je te suis »

On s’affairaient à trouver nos affaires, j’avais pu mettre la main sur mon top, que j’avais enfilé, et venait tout juste de trouver ma jupe quand Paris me tendit son bas de jogging. Je l’enfilais, me regardant en pouffant de rire en voyant l’ampleur du pantalon sur moi. « Eh bah c’est bien, au moins j’ai de la place là-dedans » déclarais-je tout en me dandinant dans le pantalon avant d’attraper les lacets de fermeture à la taille et faire un nœud en resserrant le tout au maximum. Paris me demanda si j’avais une veste et j’hochais vivement la tête en répondant « Ouais, elle est là-bas, en salle… », Avant de me baisser, d’attraper mes cheveux dans leur ensemble et de relever la tête pour rejeter le tout en arrière. Je mettais de longues mèches de côté et prenait le reste de ma chevelure pour les torsader un peu négligemment et en former un chignon que je faisais ensuite tenir grâce aux mèches restantes. Au moins, ça tiendrait le temps de sortir d’ici et puis qui sait, ça pourrait être plus pratique au moment d’enfiler un casque de moto ?

Je soufflais brièvement, fière de mon travail quand mes yeux s’arrêtèrent sur un objet familier. Paris commençait à s’amuser de ma remarque sur la scène de crime, m’avouant qu’il adorerait être le gendarme en enquête si je faisais la criminelle, et je me baissais pour attraper l’objet du délit : la petite culotte déchirée. Je la brandissais devant Paris, me forçant à ne pas rire en me pinçant les lèvres, tandis que lui, me désignait quelques accessoires. Je m’approchais alors de Paris, me retrouvant qu’à quelques centimètres de son imposante carrure, et d’un geste confiant, je froissais la culotte déchirée pour l’enfoncer dans la poche arrière du jean de mon amant. « Petit souvenir » murmurais-je en souriant malicieusement avant de tourner la tête pour observer plus en détails les accessoires qu’ils me montraient. Je fis quelques pas devant la panoplie, touchant les menottes, casquettes d’uniformes, matraques en plastique…et plus je regardais ces objets, plus d’autres images me venaient en tête, incluant bien évidemment Paris dans tout un tas d’uniformes et de situations que j’osais à peine avouer…Cependant, entendre Paris me lancer sur le sujet m’empêchais complètement de faire abstraction de ces pensées. Alors, dans un élan de malice et pour toujours rester dans notre petit jeu sur l’état des lieux saccagé, je répondais : « Tu sais qu’en tant que criminelle dans ce cas, j’ai bien envie de voler ces menottes, ou cette casquette… » j’attrapais cette dernière pour la mettre sur ma tête, puis je pris les menottes avant de me retourner vers Paris, tout fière de moi « Je suis sûre que ça pourrait nous servir…bientôt » Puis m’approchant de lui, je prenais une main dans la mienne, entremêlant nos doigts avant de me mettre sur la pointe des pieds pour venir m’emparer des lèvres de Paris qui me manquait déjà. Puis je m’écartais et demandait d’un air aguicheur « Alors ? Qu’est-ce que t’en dis ? Est-ce que le gendarme en toi accepte de fermer les yeux pendant que je commets un vol délibéré ? Je te promets que je te les rendrais...et je me rendrais par la suite » après m’en être servi sur lui avant, bien sûr.

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« Ne t’inquiète pas de ma réputation, cela fait déjà longtemps qu’elle est ce qu’elle est et je n’ai pas besoin de plaire aux autres. J’ai toujours mené ma barque en me foutant du qu’en dira-t-on que cela ne me touche pas seulement, la dernière chose que je veux, c’est qu’on pense que tu es une femme volage. Je crois que je serais capable de casser des nez et des genoux si jamais j’entendais une personne dire du mal de toi »lui avoua-t-il. Paris se fichait bien qu’on pense du mal de lui ; il avait passé sa vie a essuyé toutes les critiques du monde. Ancien enfant battu, il avait été racketté et harcelé par d’autres enfants de son quartier. Il avait toujours subi les railleries des autres avant qu’il ne se prenne en main. Aujourd’hui, il savait se défendre, il savait ignorer ce genre de personnes. Toutefois, il refusait que Summer en fasse les frais. Il était bien trop attaché à cette femme pour supporter qu’on lui fasse du mal. Son ange ainsi que sa tribu, représentaient les personnes les plus chères à son cœur et de ce fait, Paris se battrait toujours pour eux coûte que coûte qu’importe le prix final à payer. Il était ainsi : loyal, protecteur.

Le couple se rhabillait tant bien que mal étant donné que les affaires avaient un peu volé dans la pièce. Le jeune homme lui avait tendu un jogging et ne put s’empêcher de rigoler en la voyant nager complétement dedans. « Remarque, ça sera d’autant plus facile à te l’enlever quand on rentrera à la maison » rétorqua-t-il avec un sourire charmeur. Oui, il comptait bien lui faire à nouveau l’amour et cela sûrement jusqu’à épuisement. Après tout, ils avaient trois semaines à rattraper et on ne badinait pas avec cela. Paris était prêt et chercher ses gants ainsi que son écharpe quand il sentit la main de sa petite-amie se faufiler dans la poche de son jean pour y glisser sa petite culotte. Cette fois-ci, il ne put s’empêcher d’éclater de rire. « Je vais l’encadrer et l’accrocher dans ma chambre, au-dessus de mon lit ! » lui dit-il et le pire, c’est qu’il en était tout à fait capable. L’ambiance entre eux était devenue vraiment légère comme si se donner l’un à l’autre avait eu raison de la tension du début de soirée. Summer était en train de fouiller dans les accessoires de scène et il ne pouvait s’empêcher de la regarder faire, adossé au mur en face de l’armoire. « Oh tu sais, ce n’est pas moi qui vais te dire de ne pas les prendre surtout que j’ai déjà des idées sur leur utilité ! »murmura-t-il contre ses lèvres après le baiser qu’elle lui avait offert. « Pas obligé de les rendre, y a toujours des objets qui disparaissent ici, c’est fou les petits lutins pervers qui se promènent dans les loges » avoua-t-il tout en l’attirant à nouveau contre lui pour l’embrasser langoureusement. « Rentrons sinon je réponds plus de moi mon petit démon policier »

Paris, toujours main dans la main, la poussa à quitter la loge, après lui avoir confié un casque de moto et prit le sien. Arrivé dans la salle, il la laissa retrouver ses copines pour aller saluer son patron et récupérer sa paie du soir avant de la retrouver devant les vestiaires. « Tiens, mets ça, je ne veux pas que tu attrapes la crève » lui dit-il en enroulant son écharpe autour de son cou. Son polo avait un col roulé, il serait toujours protégé du froid quoiqu’il arrive. « Prête mon ange ? » lui demanda-t-il alors qu’ils arrivaient devant sa moto.

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