WITHOUT YOU IT'S HARD TO SURVIVE (+) NEMHAM [-18 /!\ HOT]

I still hear your voice, when you sleep next to me. I still feel your touch in my dream. Forgive me my weakness, but I don't know why... Without you it's hard to survive.

J’suis quand même le plus parfait des copains au monde, je propose un service après-vente avec mes prestations et le package que représente ma personnalité et ce corps sur lequel je travaille si souvent. Nous possédons tous une sorte de service après-vente intérieur cela dit, pas besoin d’utiliser un tel terme mais nous sommes logiquement tous dotés de cette capacité à nous projeter suffisamment en avant ou en arrière pour apprendre de nos décisions et être à l’écoute des conseils des autres pour ne pas répéter les mêmes erreurs. Les suggestions de mon petit-ami ne peuvent que me faire rire, ce que je ne tarde pas à faire, trop attendri pour m’empêcher de lui dérober un énième petite baiser tout mignon et gentillet. « Bien-sûr, tu auras un grand tableau avec des graduations et une petite case pour les commentaires. Vois-tu, j’ai à cœur de satisfaire le client jusqu’au bout ! » Je termine en prenant une voix pompeuse à souhait, le pire c’est que je serais capable de lui préparer une jolie petite feuille sur laquelle il aurait vraiment à inscrire des suggestions pour que je puisse le surprendre et le faire grimper aux rideaux la prochaine fois. Le mec il est déjà à fond sur la prochaine fois alors que rien n’est encore arrivé, peut-être n’aura-t-il aucune suggestion, peut-être qu’il se paiera l’orgasme de sa vie hein… Okay on se calme et on se concentre sur ce qu’il attend de moi à présent, lui faire l’amour dans les règles de l’art.

Impossible de me concentrer à partir de ce moment, point de retour possible, juste une lente et plaisante flamme m’embrasant et me faisant perdre la tête entre deux coups de bassin. La tentation est immense, mes désirs sont réveillés et décuplées, à plusieurs reprises je néglige mon propre plaisir lorsque je me rends compte que je suis sur le point de me perdre en route et de laisser ma sauvagerie intégralement s’exprimer. Lorsque je viens le moment tant attendu de la jouissance je me sens délivré d’un poids et pas que… Je suis surpris d’avoir tenu tout ce temps, pas ma plus forte performance mais après autant de mois à ne rien faire du tout je pensais venir avant d’avoir eu le temps de dire un, deux, trois, soleil !. Comme diraient certaines personnes très vulgairement, mes testicules étaient à deux doigts de toucher le sol. Gageons que je saurais me rattraper et écouler mes stocks dans les prochaines semaines, tout s’est très bien passé et je n’ai qu’une envie à présent, recommencer encore et encore jusqu’à ce que l’épuisement m’arrête et m’empêche de repousser mes propres limites. En attendant ce moment je peux chérir les lèvres de mon amoureux tendrement, reprendre mon souffle et offrir à mon palpitant quelques minutes pour se calmer. Sa réponse me satisfait pleinement même si j’en ai encore beaucoup sous le capot, plus qu’il ne doit l’imaginer. « Je préfère ! » J’admets en lui mordillant la lèvre inférieure. « Si je m’écoutais je te dévorerais tout cru ! » Il m’arrive d’être cannibale à mes heures perdues, mais seulement lorsque la tentation est aussi forte et que ma victime est aussi belle et… Parfaite jusque dans l’imperfection. Je me retire, en manque de ce contact avant même d’avoir eu le temps d’y songer, Nemo en profite pour quémander de quoi nettoyer sa semence, j’en ai plein les doigts d’ailleurs. « Je vais me laver les mains et te chercher cela ! » Petit passage à la salle de bain pour me nettoyer les mains et humidifier un gant de toilette et je reviens, le retrouvant après un moment beaucoup trop long à mon goût loin de lui. « Laisse-moi faire. » Je m’applique à le nettoyer, entre la sagesse et la provocation. « Te voilà propre comme un sou neuf ! »

NEMHAM  

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Que tu puisses réagir et indiquer tout ce qui allait et tout ce qui était à améliorer, c'est à quel point ton petit-copain était un perfectionniste dans l'âme, même dans l'acte si naturel de faire l'amour. Ce serait pourtant si drôle si c'était quelque chose inclus dans les mœurs, de donner une petite feuille pré-imprimée avec petit tableau, étoiles à remplir, diagrammes de couleurs, commentaires sur ce qu'il s'était passé il y avait quelques minutes, et comparaison avec les fois d'avant, pour voir s'il y avait une réelle progression et évolution à force de pratiquer. Tu imaginais un Graham ne quittant jamais ses petites feuilles numérotées et datées précisément, étudiant chaque courbe, chaque résultat et gardant un œil aguerri dès qu'un petit chiffre se retrouvait moins bon que le précédent. Un vrai paranoïaque sexuel. Au moins il riait à la suggestion, et tes lèvres s'étiraient contre les siennes, se moquant de son air très pompeux – il rivaliserait presque avec les Eliots. « Je vois trèèèès bien que tu t’investis à fond pour ton client. J'ai hâte de pouvoir mettre mon petit commentaire sur chacun de tes mouvements alors. » Tu plaisantais dans un sourire plein de malice, tes doigts venant caresser le long de sa colonne vertébrale. Tu taquinais bien sûr, tu n'étais pas réellement près à le noter. Dire si c'était bon, si certaines choses t'avaient plus plu que d'autres et si certaines tu n'avais pas aimé, c'était correct, c'était simplement de la communication dans un couple, mais tu ne souhaitais tout de même pas que Graham devienne un robot sexuel, aussi drôle cela pouvait être. La spontanéité était bien mieux que de le voir réfléchir et contrôler le moindre de ses mouvements et de ses caresses.

Tu pouvais ensuite avouer qu'il n'avait absolument pas besoin de cours ou de suggestions quelconque – en tout cas pas pour le moment. C'était peut-être à cause du fait que tu n'avais pas touché à un corps de cette façon depuis que vous vous étiez mis en couple, que tu en avais comme perdu le souvenir des sensations qu'une telle chose pouvait te procurer, et que c'était comme si tu redécouvrais tout d'une certaine manière. Ton corps était brûlant de désir, ses vas et vient décuplait ton plaisir à chaque fois qu'il accélérait et puis la jouissance, douce libératrice d'un moment que tu avais tant attendu. Tu attendais contre lui que ton cœur se calme, que l'adrénaline redescende, et tu précisais tes pensées, qui étaient bien loin du simple pas mal que tu lui avais lancé. « J'vais pas dire parfait, je sais qu'on va encore plus s'améliorer. » Tu soulignais, impatient d'un nouveau moment qui vous permettrait d'évoluer encore plus, et d'apprendre petit à petit à connaître le corps de l'autre sur le bout des doigts. Tu riais à sa petite menace d'apprenti cannibale, glissant tes doigts autour de son beau visage et tu le regardais, une petite moue amusée sur tes lèvres. « Même si je ne doute pas d'avoir très bon goût, ce serait bête d'écouter cet instinct, parce qu'après j'aurais disparuuuu. » Et ne serait-ce pas triste si tu disparaissais après cette nuit qui finissait pour le mieux ? Non non, il ne fallait pas répondre non tout de suite. Adieu ce corps de brindille, adieu ton sourire enfantin toujours collé au visage, adieu ta bouche et la magnifique invention du langage qui te permettait d'être lourd au possible avec tous ceux croisant ton chemin,... En fait, ce n'était peut-être pas si mal. Il se levait ensuite pour jeter la capote usagée, et tu soupirais à la sensation normale d'endolorissement que tu ressentais maintenant qu'il n'était plus en toi, avant de demander un gang humide histoire de pouvoir te nettoyer un peu avant que tout sèche. « Merci t'es le m'lleur. » Tu avouais dans un bâillement, ta main venant recouvrir ta bouche alors que tu te sentais un peu plus fatigué. Tu promettais, d’habitude tu tenais mieux... Mais il était tard et t'avais la fâcheuse manie de t'endormir après l'acte – ce n'était pas très grave après tout, t'avais lu quelque part que les hommes étaient comme programmé comme ça, et tu n'échappais pas à la règle. Il revenait enfin et tu lui lançais un petit sourire alors qu'il se proposait de te le faire, et tu l'observais en mordant légèrement ta lèvre – il en profitait mais il restait correct. Une fois fini tu tendais tes bras, ouvrant et refermant rapidement tes mains comme un petit garçon qui voudrait qu'on le prenne dans les bras – sauf que toi ce que tu voulais, c'était qu'il retourne sous les draps. « Aller, maintenant dodo ! Et t'as pas l'droit de te moquer de moi, j'ai eu un looooong vol d'abord. » Tu lui rappelais dans un petit sourire avant qu'il ne te fasse quelconque commentaire moqueur, puisque avion + bain chaud c'était quand même une combinaison fatale, encore plus si le post-coït venait en jeu.

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Je ne m’imagine clairement pas patienter sagement dans quelques dizaines de minutes lorsque je lui aurai fait l’amour afin qu’il remplisse un joli petit formulaire en annotant chaque petit détail qui a fait la différence ou qui a contribué à rendre l’expérience moins formidable. Je me vois encore moins potasser ce formulaire en prenant des notes sur le sujet afin de travailler durement là-dessus pour m’améliorer en vue d’une prochaine petite séquence humide de corps à corps entre nous deux. Il est pourtant essentiel de discuter, nous le ferons probablement, le dialogue est important entre deux personnes qui font l’amour pour que chacun puisse y trouver son compte, éprouver le plaisir qu’il mérite. Nous le ferons surement mais de manière plus impulsive, plus réaliste et moins calculée. Et puis bon, partir défaitiste en pensant avoir des choses à modifier sur ta manière de procéder n’a rien de bien excitant, l’ingrédient secret pour booster sa libido et donner le meilleur de soi-même se trouve ici, dans la capacité d’un homme à avoir confiance en soi et à aller jusqu’au bout des choses. En matière de sexe je n’ai jamais été trop du genre à réfléchir, la chose se fait naturellement, au feeling, guidé par mes émotions sur le moment et rien d’autre. L’idée m’amuse pourtant énormément et je continue à imaginer ce scénario qui aurait parfaitement sa place dans une comédie romantique délirante. J’suis quasiment sûr qu’en faisant quelques recherches je mettrai la main sur un film qui traite du sujet, les scénaristes ne peuvent pas avoir le cerveau moins fumeux que le nôtre, surtout lorsqu’on se retrouve avec des pellicules comme Hangover en salles. « Parfait, on passe à la pratique alors ? » Je le taquine à quelques minutes du grand moment, mon pénis soucieux de le faire languir en se frottant dangereusement contre ses petites fesses que j’ai diablement envie de dévorer.

Les minutes s’écoulent à une vitesse ahurissante et assez formidable, nous atteignons l’apothéose, étouffés par nos propres râles de plaisir. Je me souviendrais de ce moment pour le restant de mes jours, unique, intense, passionnel. Mon corps ne s’en est pas encore totalement remis que j’ai envie de remettre le couvert. Est-ce ainsi que l’on adapte l’expression idiomatique qui dit que l’appétit vient en mangeant ? Je crois bien, j’ai tenu pendant des mois sans éprouver trop de difficultés mais maintenant que j’ai goûté à sa peau, à son corps, à ses charmes… Maintenant que j’ai découvert cette formidable attraction à sensations il me parait impossible de pouvoir y résister aussi longtemps. « Oh que oui, on va s’améliorer, tu peux en être certain ! » C’est une promesse loin d’être ambitieuse, la nature fait qu’après autant d’abstinence mon corps a très rapidement repris le dessus pour se déverser en Nemo, avec une pratique plus régulière je devrais retrouver toutes mes capacités à faire s’étendre le moment sur plus qu’une vingtaine de minutes et à le faire crier de plaisir. Oh que oui, je le promets ! Le cannibalisme ne passera finalement pas par moi, surtout après le constat de mon chéri, si je le dévore maintenant je ne pourrais plus jamais me le mettre sous la dent, fausse bonne idée ! « T’as raison, je te mordillerais seulement alors ! » Et sans prévenir je lui bondis dessus pour le mordiller, comme promis. On dirait un petit chiot qui mâchouille son premier jouet. Je me propose pour nous trouver un gant de toilette humide afin de l’aider à retirer le fruit de sa jouissance, il n’y est pas allé de main morte non plus d’ailleurs. Je m’attèle à bien le nettoyer, malicieux mais anormalement sage alors que je pourrais très bien me servir de cette occasion pour l’exciter un petit peu. La fatigue le guette et je reste donc très gentil, un vrai petit ange. « T’es fatigué mon amour ? » Je demande, attendri, en le voyant bailler comme une carpe. Il m’appelle comme un enfant en plein caprice, de quoi me donner uniquement envie de jeter le gant de toilette un peu plus loin pour pouvoir le rejoindre sous les draps, me redressant légèrement pour qu’il puisse venir se caler contre mon torse musclé, nos deux corps nus se réchauffant l’un l’autre. « Pauvre chéri, tu veux un soutien psychologique dis ? Pour te remettre de tes émotions ! »

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Tu avais un grand sourire malicieux alors que ton copain confirmait le fait que vous vous améliorerait – et donc qu'il avait assez apprécié pour que vous recommenciez encore de nombreuses fois, et tu hochais vivement ton visage parce que tu avais très, très envie de ça toi aussi. Practice makes perfect comme on disait. Graham, cannibale ? Tu ne savais pas trop quoi en penser. L'image qui te venait immédiatement en tête était les scènes, toutes très semblables, que l'ont pouvait voir d'Hannibal Lecteur dans la série télévisée d'NBC. Le psychiatre aurait l'apparence de ton petit-ami évidement, et tu le voyais tout d'abord cuisiner avec précision, puis déguster avec calme de la viande tendre et cuite à souhait – qui te donnait quelques frissons désagréables quand on savait quand même qu'ils n'avaient pas besoin de mentionner que c'était des parties humaines – et dans ton esprit, ce serait donc ton corps qui serait succulent entre les canines du blond. Autant avouer que ce n'était pas sur ce genre d'images que tu étais excité. Et puis, une fois que tu aurais disparu, il te serait impossible de revenir pour quoi que ce soit – ce qui n'était pas forcément bénéfique pour Graham. Il s'accordait à dire que tu avais raison pour le cannibalisme et qu'il ne ferait alors que te mordiller dans ce cas-là – puis sans même que tu ne t'y attendes il devenait fou et bondissait pour mettre en œuvre ses paroles. Tu riais sous l'effet de ses dents, penchant ton visage sur le côté : il ressemblerait presque à un Malfoy numéro deux. « J'ai l'impression d'être... J'hésite entre le nonos couvert de bave d'un petit chiot ou la victime d'un vampire sanguinaire. » Tu faisais remarquer entre deux éclats, avant qu'il décide de vous nettoyer un peu, ce qui te faisait replonger petit à petit dans la fatigue et l'envie d'un bon sommeil réparateur. Tu t'étais levé tôt pour profiter de tes dernières heures en compagnie de ta famille et ça se ressentait maintenant au fur et à mesure que les heures passaient, surtout après le long moment passé en avion, sans pouvoir faire autre chose que se dégourdir les jambes. Tu hochais doucement ta tête à sa question, clignant plusieurs fois tes yeux pour arriver à te focaliser sur son beau visage. « Oui. J'suis debout depuis... tôôôôt. Et il est taaaaard. » Ça c'était de la vraie précision d'investigation signée Nemo – en même temps ça revenait au même, il comprenait pourquoi tu étais exténué et que tu préférais dormir pour le moment, vous verriez pour un round two le lendemain, parce que sinon t'allais faire l'étoile de mer. Il finissait par céder rapidement à ta demande et il se glissait sous les draps, et tu ne perdais pas une seconde pour venir contre lui, calant ta tête contre ton torse, mais venant appuyer sur sa côte d'un index. « J'avais dit pas de moqueries. » Tu ronchonnais par rapport à sa réponse, lui tirant mollement la langue en signe de je-m’en-foutisme, avant de déposer un baiser sur la parcelle de peau la plus proche de tes lèvres sans que tu n'aies à bouger. « Tu f'ras mon sexy psychologue demain. » Tu annonçais dans un petit sourire avant de fermer les yeux.

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Je n’imaginais pas que faire l’amour avec un homme me ferait me sentir ainsi. On se fait des idées, on se monte la tête sans savoir de quoi il est réellement question et je suis rassuré d’avoir éprouvé autant de plaisir à retrouver mon petit-ami de la manière la plus intime qui soit. Il me reste beaucoup de petites choses à apprendre, il me reste du courage à prendre à deux mains pour oser franchir un nouveau cap en le laissant à son tour goûter aux délices de ma peau. Difficile de songer à cela pour le moment, les cicatrices du passé sont là pour me faire reculer avant même d’avoir songé à faire quoique ce soit. Il hoche vivement la tête, tu m’étonnes qu’il doit vouloir recommencer, le pauvre a rongé son frein ces derniers mois et je ne lui ai pas simplifié la tâche… Toujours à le chercher, à le provoquer pour le frustrer lorsqu’il tentait de m’embêter lui aussi. Ce soir nous avons atteint un nouveau stade symbolique qui ne peut que me satisfaire, heureux, je crois que je suis heureux d’avoir attendu suffisamment pour que ce que nous venons de faire ait un sens et ne soit pas juste sexuel. Il m’arrive d’être romantique et de la vieille école, j’aime lorsque les choses ont un sens, une signification forte et cette douce et sensuelle sensation de récompense. Nous avons achevé une première partie de mon voyage initiatique, une nouvelle porte s’ouvre et nous aurons le loisir d’en découvrir tous les secrets dans le futur. Délire cannibale ou pas, me voilà en train de bondir sur ma pauvre victime, pas si innocente, du soir pour la mordiller. Nemo se dandine contre mon corps et se livre à quelques comparaisons pas très flatteuses. Pas de quoi me faire perdre ma bonne humeur pour autant, heureusement. « Plein de bave hein ? Tu veux voir ce que c’est un nonos plein de bave ? » Ce n’est pas de ma faute, il n’avait qu’à pas me dire cela. Sans préavis j’ouvre la bouche et lui lèche la joue, comme un chiot. « Voila, masterpiece ! » Je confie, fier de ma connerie.

L’heure n’est plus aux plaisanteries ni aux moments sensuels, il est plutôt question de se rafraichir avant d’aller faire dodo, ce que nous ne tarderons pas à faire même si je suis nettement moins fatigué que mon chéri qui a passé quelques heures coincé dans une boite en plein air. « D’accord, on verra tout cela demain ! » Un dernier baiser dérobé et je le laisse tranquillement céder aux bras de Morphée, son souffle s’écrase plus lentement sur mon torse, plus régulier, je crois m’endormir moi aussi… Petit à petit, respiration après respiration, clignement des yeux après clignement. Le royaume des ténèbres nous accueille pour un repos bien mérité après autant d'émotions.

END

NEMHAM