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WITHOUT YOU IT'S HARD TO SURVIVE (+) NEMHAM [-18 /!\ HOT]

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I still hear your voice, when you sleep next to me. I still feel your touch in my dream. Forgive me my weakness, but I don't know why... Without you it's hard to survive.

Je craque, tout ce poids, cette pression accumulée ces derniers jours est en train de retomber et aussi salvateur puisse cela être je me sens épuisé et plus faible que jamais. Les sanglots me surprennent au même titre que ces trois petits mots prononcés un petit peu plus tôt et que je n’attends pas d’avoir en retour. Je n’exigerais jamais de subir le même traitement que celui que je dispense, ce serait être égoïste, je n’aime pas mettre des mots sur mes émotions, il m’aura fallu plusieurs mois pour parvenir à me rendre compte de ce que j’éprouve pour lui, de la puissance de mes sentiments. Je ne suis même pas certain de ce que cela veut dire, aimer quelqu’un c’est bien mais on peut tout aussi bien se déchirer par amour que sans ces sentiments compliqués et difficile à gérer. Je gèrerais tout cela plus tard, pour l’heure j’ai juste envie de retrouver mon petit-ami, l’être avec qui je veux passer mes jours, mes nuits, celui que j’ai envie de continuer à découvrir et avec qui cet état quasi-passionnel commence seulement à se développer. Mes bras me lâchent, mon corps tout entier est pris de tremblements, la faute au froid, à la pluie, à tout ce que je ressens présentement. Il est tellement difficile de ne pas perdre la tête face à tout ce qui vient de se produire, face à cette torture qui prend enfin fin ce soir. Je me sens soulagé, pas inquiet, confiant et déjà tourné vers l’avenir. Nemo aura beaucoup de choses à prouver, beaucoup de grosses décisions à prendre mais j’ai confiance en lui, je le sens capable de passer chaque étape, je serais là pour le soutenir, pour l’aider, pour prendre sur moi les critiques. Je n’ai pas peur du jugement, j’en ai déjà été victime pendant trois ans, je peux supporter tout cela et faire tampon entre le monde et mon petit-ami. En attendant j’accepte bien volontiers de rentrer, je suis trempé et probablement déjà condamné à expérimenter un vilain rhume qui se pointera le bout de son nez dans les quarante-huit prochaines heures, tant pis, je ne regretterais pas de l’avoir attrapé après un tel dénouement. « Rentrons ! » Je lui prends la main et m’élance en courant pour rejoindre le palier et rentrer à l’intérieur, je referme la porte derrière nous, conscient que mon appartement aura besoin d’un sacré coup de ménage après notre passage, nous sommes trempés. « Viens par là ! » J’exige en l’attirant vers moi pour pouvoir retrouver ses lèvres contre lesquelles je me love tendrement, je me sens tellement mieux, soulagé, paisible. « Je vais nous chercher une couverture ! » Je m’enfui jusqu’à la chambre et fouille mes placards pour en ressortir une grosse couverture, elle devrait nous permettre de nous réchauffer avant de renoncer à nos vêtements. « Tiens, je ne veux pas que tu tombes malade ! » Je lui passe la couverture derrière les épaules et nous enroule tous les deux autour, heureux de pouvoir à nouveau me coller à lui, de le retrouver. « Comment c’était ? Tu en as profité pour prendre la température ou pas du tout ? » Je le questionne calmement à propos de son voyage.
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Tu glissais un pouce sur ses joues, caressant doucement sous ses yeux, mais ses larmes se mêlaient avec les gouttes de pluie et ne t'aidait en rien  à calmer ton petit-copain qui avait l'air d'être juste au bout de sa vie pendant quelques instants. C'était ça de sortir avec toi, des fois c'était pas facile du tout et il fallait vraiment le vouloir pour le subir. En tout cas, toi, tu te sentais plus à l'aise. Tu voulais mettre de côté les représailles que tu subirais, afin de juste te concentrer sur le moment présent et la joie que tu ressentais d'être à nouveau proche de lui. Tu lui demandais enfin si vous pouviez rentrer ou s'il allait t'obliger à rester encore un peu sous l'orage, mais il prenait ta main et t’entraînait avec lui dans le hall, puis dans son appartement. Tu enlevais ta veste, la posant dans un coin de l’entrée afin qu'elle ne mouille aucune fourniture, et tu riais doucement lorsqu'il t'attirait vers lui pour goûter à nouveau à tes lèvres. Tes mains venaient se poser sur ses joues et tu profitais de l'instant, ayant cette impression de retrouver ta maison lorsqu'il était là. Il partait ensuite, puis il revenait avec une grosse couverture qu'il passait derechef sur toi, avant de prendre sa place lui aussi dans le douillet plaid, et même si vous étiez pour le moment toujours trempés, même s'il vous faudra bientôt prendre une bonne douche chaude pour vous sentir mieux et tout propre, la chaleur qui t'enveloppait te faisait déjà beaucoup de bien. « Dit-il après nous avoir condamné sous la pluie battante. » Tu lançais dans un petit sourire après qu'il ai osé dire qu'il n'avait pas envie que tu tombes malade. La blague. Désolé de te l'avouer Gramou, mais cette semaine vous alliez sûrement être voté pour le couple le plus glamour de l'année, avec nez qui coulent et reniflements à répétitions pour chacun de vous. Pas de doutes, vous alliez vous faire rêver. Tu passais tes mains dans les poches de son jogging, pour l'attirer encore un peu plus près de toi, avant d'hocher doucement la tête quand il te demandait comment s'était passé ton voyage et ton nouvel an. « Dans l'ensemble ça allait. Au moins là-bas, il ne faisait pas si froid. » Tu rouspétais un peu, et il connaissait très bien ton aversion pour le froid. Tu préférais rester dans un pays abattu par la canicule, avoir aussi chaud que lors de votre Spring Break, plutôt que de crever de froid à n'en plus sentir tes doigts de pieds, malgré ce que certains pouvaient dire. La seule chose agréable avec ton problème maintenant, c'était que t'avais toujours une excuse pour pouvoir te coller et réclamer des câlins à Graham – et ça, c'était non négligeable. « J'ai passé beaucoup de temps avec les jumeaux. Je leur ai montré pleins de photos de Malfoy, maintenant ils en réclament un. » Tu continuais avec un grand sourire malicieux, comme celui d'un homme qui avait tout à fait réussi sa mission. Ça t'avait bien fait rire, quand les deux petits qui ne savaient pas encore bien communiquer avec les adultes ni prononcer certains mots, criaient qu'ils voulaient un Malfoy. Avec un peu de chance ils arriveraient à monter la tête de tes parents qui finiront par céder. Tu croisais déjà les doigts. Tu mordais ensuite doucement ta lèvre inférieure, haussant négligemment tes épaules. « J'ai pas vraiment... pris la température. Mon père essayait déjà de me parler d'aller faire un petit tour en Suède, j'ai préféré oublier tout ça... Et toi, comment c'était ? » Tu répondais sincèrement, levant tes yeux vers lui.

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Je me sens tellement stupide de réagir de la sorte, j’ai tenu bon toutes ces semaines, mes émotions sont restées en arrière-plan pour me permettre de faire face à tous ces retournements alors qu’il aurait été normal d’exploser et maintenant je craque. La guerre est terminée et je me rends compte du chemin parcouru, des risques pris plus ou moins utilement. Le soulagement mêlé au stress provoqué par une telle situation le tout agrémenté d’une bonne dose de fatigue et me voilà au plus bas. J’ignore si je pleure parce que j’ai eu peur, parce que je me ramollis, parce que je suis fatigué ou bien parce que je suis heureux. Surement un petit peu de toutes ces options, rien de plus normal. Inutile de rester sous la pluie, j’ai la sensation qu’il est à nouveau mien, les portes de mon appartement lui sont grandes ouvertes, il en est l’un des invités VIP, je le considère comme propre habitant ici, nous avons passé tellement d’heures à rigoler, à embêter Malfoy qui s’est approprié les lieux et a fait de mon espace son empire. Il a passé ces derniers jours uniquement avec moi, déjà parce que Nemo n’a pas pu le prendre avec lui dans l’avion mais également parce qu’il avait beaucoup trop de choses à faire pour prendre le risque de ne pas lui apporter la présence nécessaire. Ce chien est pire qu’une Diva, il aime être bichonné et il se trouve que j’ai eu le temps nécessaire pour me charger de lui apporter la tendresse dont il avait besoin. Il attend sagement à l’intérieur et saute sur Nemo pour lui faire la fête lorsque nous arrivons enfin à la porte que je referme. J’en profite pour nous trouver une couverture sous laquelle nous réchauffer maintenant que nous avons bien pris la pluie et je ne peux que me défendre lorsqu’il m’attaque gentiment là-dessus. « C’était purement symbolique ! » Et puis, dans quelques mois nous trouverons cela très romantique comme geste, je nous connais. J’en profite pour m’inhiber de son parfum, de sa présence, sans lui j’ai l’impression d’être complétement à côté de mes pompes, paumé, je le cherche en permanence. « Pauvre chéri qui détestes le froid ! » Je m’amuse à le taquiner lorsqu’il se plaint indirectement du climat local, il est certain qu’il n’est en rien comparable à celui de Monaco. « Qui ne voudrait pas un chien aussi canon que Malfoy ? Il a ce regard qui te fait instantanément craquer, hein bébé chien! » Je le désigne pour lui confirmer que nous parlons bien de lui, il est trop mignon à tourner autour de nous comme pour marquer son territoire. Difficile d’aborder ce sujet nettement moins tabou à présent, il lui faudra du temps pour se faire aux décisions qu’il va devoir prendre rapidement s’il veut nous préserver. « La journée d’hier a été chargée d’émotion, je n’avais pas revu ma sœur depuis… Depuis ce soir-là et nous avons pu pleinement nous retrouver, j’avais peur que l’essentiel ait été dit par lettres, que nous ne soyons plus capables de communiquer comme avant mais c’est comme si nous ne nous étions pas vus depuis la vieille. J’espère que nous pourrons profiter des absences de ma mère un peu plus pour nous revoir. » Triste d’en arriver là, j’aimerais tellement parler à ma mère également… Dommage qu’elle soit trop occupée à me vouloir en taule plutôt qu’à chercher à comprendre comment j’en suis arrivé à tuer mon propre père. Il est certain qu’il est plus facile de blâmer son propre fils plutôt que d’admettre à haute voix être fautive pour avoir laissé une telle situation s’envenimer. Elle n’a jamais rien fait pour nous protéger de l’influence de notre Père, elle n’a jamais rien dit lorsqu’il choisissait de nous punir physiquement pour des fautes que nous n’avions pas commises. Elle a été le témoin et un complice silencieux. « Elle a adoré Malfoy, et elle adorerait te rencontrer ! » Comment ne pas avoir parlé de lui ? Elle a compris que quelque chose avait changé dans le ton de mes lettres, elle a su tout de suite que quelqu’un s’était immiscé dans ma vie et elle a très bien pris ma bisexualité. « Que dirais-tu d’un petit bain bien chaud ? » Je décide de lui proposer, nous n’avons jamais fait ce genre de choses, une certaine pudeur demeurait entre nous mais j’ai l’impression que cette décision qu’il a pris, ce sacrifice qu’il est prêt à faire pour nous deux a débloqué quelque chose en moi. Je me sens prêt à m’ouvrir davantage, j’en ai envie, je me laisse guider par mes émotions, il me faut être plus à l’écoute de ces dernières.
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Une fois entré dans l'appartement de Graham, tu retrouvais Malfoy, qui te sautait littéralement dessus. Tu essayais de le rattraper de tes bras, venant lui faire pleins de câlins et de grattouilles, alors qu'il aboyait joyeusement d'enfin retrouver son maître : depuis que tu l'avais adopté, vous n'aviez jamais été séparé pour autant de temps. Graham attrapait une couverture pour vous réchauffer, et tu te blottissais près de lui. « Symbolique de quoi ? Je galérais assez à te reconnaître sous les trombes d'eau. » Tu avouais en riant, arquant un sourcil intéressé pour qu'il expose ses arguments et qu'il t'explique en quoi il y trouvait une symbolique forte et recherchée dans l'abattement de l'eau face à la déclaration de vos sentiments. Ce n'est pas que tu étais débile, mais t'avais tellement perdu l'usage de ton cerveau et de ses fonctionnalités de concentration et de recherche durant ce moment dehors, que tu ne voyais pas forcément en quoi ça avait été une étape importante et légendaire. C'était également pour ça que tu ne comprenais pas non plus ceux qui rêvait qu'on les demande en mariage sous la pluie. Les fictions avaient tellement romancé la chose que ça avait retourné la tête de tout le monde qui trouvait cela si romantique – alors qu'en vrai, ce qui faisait tout, c'était votre moment, c'était toi et lui, c'était ce qui s'y était dit. Tu commençais à lui conter tes maigres récits passés à Monaco, et il se moquait de ton aversion pour le froid : ah que c'était facile de faire ça pour un mec qui passait le plus clair de son temps torse-nu. Tu lui tirais la langue, tes yeux plissés tournés vers lui. « Le froid c'est nul. Tu dois te foutre trois tonnes de vêtements sur les épaules pour espérer te sentir à l'aise, et t'as juste envie de faire rien d'autre que de passer tes journées au lit en te matant des séries – ce qui n'est pas possible en tant qu'étudiant. » Tu insistais comme un enfant boudeur qui voulait absolument réussir à faire passer son noble message et convertir tout ceux qui préféraient l'hiver à l'été. Heureusement que tu n'étais pas une sorte de pasteur ou de prêtre, car il n'y aurait sûrement que très peu de personnes à se déplacer dans ton église avec tes arguments forts et poignants. Tu continuais ensuite ton histoire, indiquant avoir montré pleins de photos de ton magnifique chien, et tu lâchais un petit rire quand Graham désignait Malfoy tout en parlant de ce dernier, ce qui l'alertait et lui faisait remuer sa queue tout content. « Tu l'as encore plus fait craqué de toi durant cette semaine hein, c'est ça ? » Tu demandais dans un petit sourire, penchant ta tête sur le côté tout en détaillant ton petit-ami, entre amusement et faux agacement de les voir si bien s'entendre. Tu n'avais pas vraiment eu le choix que de lui laisser ton chien lorsque tu étais parti, ne préférant pas l'apporter jusqu'à Monaco pour le faire revenir en très peu de temps, bien trop gros voyage pour lui en avion. Tu aurais peut-être pu le laisser dans l'appartement, tout en demandant à quelqu'un de passer lui donner à manger deux fois par jours, mais ce genre de chien avait le besoin d'être au contact d'humains quatre vingt dix pour cent du temps, ce qui barrait définitivement cette solution provisoire. Alors il y avait évidement eu Graham, qui avait bien voulu s'en occuper, et puis ça avait pu leur faire une petite semaine pour resserrer leurs liens entre ces deux-là. Il t'expliquait à son tour ce qu'il avait bien pu faire lors du réveillon de la nouvelle année, et tu l'écoutais parler de sa petite sœur, qui avait toujours été importante pour lui malgré l'éclatement de sa famille, et qui, elle au moins, l'avait soutenue comme elle le pouvait par ses échanges de lettres. « C'est ta sœur, malgré la distance vous aurez toujours cette complicité et cette communication entre vous. » Tu tentais de le rassurer quant à ses peurs infondées, posant une main sur la sienne, un grand sourire se dessinant sur tes lèvres alors que tu étais extrêmement heureux qu'ils aient enfin pu se revoir après toutes ces années. C'était pas juste qu'ils soient séparés comme ça, ça te mettait en rage quand tu y pensais. « C'est tellement génial que t'ai pu enfin la voir, elle va bien ? Elle a quel âge déjà ? » Tu demandais, curieux. Si ils devaient profiter des absences de la mère, elle devait sûrement être encore un peu jeune, sous la coupe financière de la grosse méchante – oui, tu l'appelais comme ça oui, qui ne soutenait pas son fils après tout ce qu'il avait vécu ? Une grosse méchante sorcière. Tu fronçais ensuite légèrement tes sourcils, comme pas vraiment certains d'avoir compris ce qu'il avait dit. « Tu lui as parlé de moi ? » C'était normal que tu sois comme choqué, la dire au reste du monde et le dire à la famille, ce n'était jamais tout à fait la même chose. C'était surtout risqué qu'il lui en ai parlé, quelques jours à peine avant que tu sois de retour et qui tu lui donne ta décision. Mais au fond de toi, ça te faisait plaisir, encore plus si elle avait bien pris la nouvelle et souhaitait te rencontrer. C'était comme une étape de plus franchis. Graham proposait ensuite un bain, et tu ne pus retenir ton grand sourire, hochant avec vivacité ta tête pour acquiescer. « Ça me dit que c'est une nécessité si on ne veut pas crever d'hypothermie. » Tu répondais, mettant dans un coin de ton esprit le fait que ce n'était sûrement pas quelque chose que proposait de faire Graham tous les jours, et que si vous alliez être ensemble dans ce bain, tout nu ou presque, c'était dépasser un certain niveau d'intimité que vous n'aviez jamais gravi, pour d'évidentes raisons. Tu ne voulais pas forcément te concentrer dessus histoire de ne pas te mettre à stresser et à beaucoup trop penser à ça et te poser des questions sur ce que cela voulait dire - tu préférais faire confiance au blond, et te dire qu'il savait ce qu'il faisait. Tu attrapais sa taille de ses bras, te collant à lui qui tenait votre couverture et l'empêchait de tomber, et tu te dirigeais vers la salle de bain, marchant à l'envers. Une fois à l'intérieur tu t'écartais, faisant couler l'eau de sa baignoire, y mettant un peu de gel douche pour faire mousser tout ça.

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« Tu ne vois vraiment pas ? » Je le questionne à nouveau, pas certain de savoir s’il se moque de moi ou s’il ne voit réellement pas où je veux en venir. A en juger par son regard interrogateur j’opterais naturellement pour la première hypothèse, autant expliciter mes propos dans ce cas. « Et bien… On va dire que si la réponse n’avait pas été celle que j’attendais je t’aurais probablement laissé le temps de récupérer le petit Malfoy, tes affaires et je t’aurais demandé de partir. A l’extérieur je me sentais plus fort, hors d’un terrain connu qui aurait pu me faire perdre ma volonté ! » A l’extérieur j’aurais probablement été plus capable de mettre un terme à notre histoire s’il m’avait forcé à le faire alors qu’à l’intérieur, avec un cadre bondé de souvenirs il aurait été bien plus difficile de lui dire que tout était terminé alors que mon cœur me dictait de lui sauter dans les bras. Nous n’en sommes pas arrivés là, Dieu merci, j’aurais mis un temps fou à m’en remettre… M’en serais-je remis ? Je ne veux même pas penser à tout cela, cette hypothèse est écartée et je me sens nettement plus léger, heureux tout simplement. Je retrouve ma petite famille, mon petit-copain et notre chien, je le considère un peu comme mon bébé maintenant, c’est dingue ce qu’on s’y attache à ces boules de poils. Il me fait rire, attendri, alors qu’il se plaint du froid et je trouve la parfaite petite réflexion pour lui imposer un K.O. dans les règles de l’art. « Peut-être, mais tu peux combattre le froid… Difficile d’en faire autant pour la chaleur, quand il fait chaud il fait chaud et tu peux aussi bien être à poil qu’avec deux doudounes le constat sera le même, tu ne te sentiras pas à l’aise. » Alors qu’en hiver, lorsque tu te retrouves confronté à de très basses températures, tu peux t’habiller plus chaudement et ne plus avoir froid. Demandez à Malfoy s’il préfère le froid ou la chaleur, je pense que ses poils supportent bien plus les températures actuelles que celles de l’été. « Bien-sûr, nous n’avons pas passé une minute l’un sans l’autre ! » Il m’a suivi partout, pire que mon ombre, les rares fois où j’ai bougé sans lui je me suis senti vraiment seul, pas accompagné de mon fidèle compagnon, sa présence risque de manquer si Nemo retourne à son appart avec lui. Je profite de cet instant, de cette proximité chaleureuse provoquée par le plaid pour le questionner sur son voyage, il me retourne la question et nous parlons avec une certaine émotion de ma sœur, j’ai du mal à réaliser que j’ai enfin pu la revoir et la serrer dans mes bras. « Elle fêtera bientôt ses dix-huit ans, elle est super jeune et prête à s’éloigner du cocon familial. J’espère qu’elle pourra me rejoindre ici à la rentrée prochaine, ma mère n’aura plus son mot à dire. » Nous l’espérons tous les deux, nous en avons longuement discuté hier soir et cet appartement est suffisamment grand pour nous deux… Pour nous quatre si Nemo décide de s’installer ici à temps plein avec Malfoy lorsque l’heure sera venue. Je commence enfin à me projeter, un changement de taille après avoir vécu autant d’années au jour le jour. Un sourire machiavélique étire mes lèvres et laisse entrevoir mes dents parfaitement alignées lorsqu’il s’inquiète de ce que j’ai pu dire à ma sœur à son sujet. « Je lui ai parlé de ma vie, de ce qui me rendait heureux et tu étais en tête de liste… Je lui ai aussi parlé de ce dilemme que je t’imposais et elle a su être de bons conseils ! » Qui l’aurait cru, une gamine de dix-sept ans qui me donne les parfaits conseils pour prendre une décision ferme et sans retour en arrière. Je me sens prêt à franchir une nouvelle étape, à avancer d’un pas supplémentaire, je prends mon courage à deux mains et propose à mon poisson préféré d’aller prendre un bon bain chaud pour nous éviter de geler sur place, il accepte et je le suis calmement jusqu’à la salle de bain. Une fois à l’intérieur de la salle de bain je referme la porte, Malfoy risquerait de sauter dans la baignoire et je ne veux pas mettre de l’eau partout. Je profite de ce petit moment de battement pour préparer mon téléphone que je cale sur mes enceintes, une playlist random sélectionnée sur spotify et la musique se met en marche, parfait. Je me retourne et jette un petit coup d’œil à l’eau déjà bien recouverte de mousse, parfait. Nemo est dos à moi et j’en profite pour retirer mon t-shirt, déboutonner mon jean que j’entraine dans ma chute jusqu’au sol tout comme mon boxer. Je prends une grande inspiration, mon cœur bat la chamade, j’ai le trac, je ne me suis jamais mis à nu à ce point, une fois par erreur dans le gymnase mais ce n’était pas du tout pareil. « L’eau est super bonne, tu viens ? » Je le questionne en m’allongeant dans la baignoire, bientôt recouvert jusqu’au cou par l’eau à parfaite température.
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« J'sais pas. Te connaissant, il est même probable qu'il y ai de la symbolique derrière la symbolique... » Tu avouais dans un petit rire – et après tout, tu l'avais dit sans honte, les dommages de cette pluie glaciale qui s'était abattue sur ton maigre cerveau avaient été importants, et t'avait ôté pour le moment certaines facultés de réflexion des plus basiques. Il était sûr que si on te redemandait à cet instant-là de peindre le corps de Graham tout en réussissant à représenter son caractère, tu ne t'en sortirai pas aussi bien qu'au homecoming day. Heureusement pour toi, il avait dû voir que t'étais devenu un peu perdu, que tu ne lisais pas aussi bien dans ses pensées qu'à l’accoutumée, et il t'expliquait enfin ce qui avait été important dans le fait d'avoir donné ta décision dehors. Tu acquiesçais doucement du visage, comprenant mieux où il voulait en venir – même si tu avais l'impression qu'il te voyait avec beaucoup plus de pouvoirs sur lui que tu en avais réellement – et tu laissais tomber ton front sur son épaule. « J'comprends mieux. Mais la prochaine fois on choisira un moment ensoleillé pour ce genre de chose, ok ? » Tu demandais dans un petit murmure, profitant d'être contre lui, un peu fatigué par le long voyage et la douche subie. Même si au fond de toi, t'espérais pas vraiment qu'il y ai de prochaines fois de ce genre, de nouveaux dilemmes impossibles à choisir. Tu te sentais en tout cas de mieux en mieux suivant les minutes passées à l'intérieur de son appartement, comme plus à l'aise parmi le calme et l’atmosphère familière qui s'y dégageait, et tu commençais à lui raconter ton petit séjour, ce qui sans surprise vous amenait à débattre sur un sujet très sensible : c'est mieux le trop chaud, ou le trop froid ? Il sortait comme à son habitude de bons arguments, mais tu ne souhaitais pas le laisser gagner si aisément. « C'est pas faux... Mais s'il y a du vent ça peut le faire, ou sinon je m'achète un gros ventilateur et je reste devant toute la journée si la chaleur devient trop difficile à supporter. Ça et du brumisateur, et j'suis paré ! » Tu t'exclamais – il n'y avait rien de mieux qu'un brumisateur en été en plus, ça faisait du bien et ça rafraîchissait. Tu riais lorsque Graham t'affirmait que lui et ton chien avaient passés chaque minute de la journée ensemble, et tu lançais un petit regard à Malfoy, pénard allongé à vos pieds. « Il t'a même espionné dans les toilettes j'parie, quel coquin. » Tu disais sur le ton de plaisanterie. Bon tu ne savais pas vraiment ce que t'en pensais de savoir que ton chien adorait mater ton mec même lorsqu'il faisait ses besoins, mais ça ne devait sûrement pas être quelque chose de trop bizarre entre deux espèces – ce qui aurait été complètement différent si ça avait été un humain et un second humain. Et puis... Si t'arrêtais de t'imaginer des trucs comme ça ? Ça commençait vraiment à être bizarre. A son tour il te parlait de ses retrouvailles avec sa sœur, et tu sautillais presque sur place lorsqu'il t'avouait qu'elle était prête à s'éloigner de sa maison de famille lorsqu'elle le pourra. « Ce serait parfait qu'elle puisse venir, c'est pas juste de ta mère qu'elle l'interdise d'avoir des contacts avec toi. » Avoir sa sœur enfin à ses côtés après tout ce temps réjouira forcément Graham, et un Graham réjouit, c'était un Nemo très heureux. La logique. Seulement, le winthrop commençait à dire qu'il avait parlé de toi à celle-ci ce qui te surprit, et tu cru bien défaillir lorsqu'il te montrait son sourire bien trop malicieux pour ton propre bien – putain, qu'est-ce qu'il était allé dire encore ? Il reprenait la parole, et tu commençais à sourire quand il expliquait que tu étais en tête de liste de ce qu'il le rendait heureux, sourire qui disparu immédiatement quand il continuait à t'avouer qu'il lui avait finalement vraiment tout dit, jusqu'à ce dilemme intime. Tu regardais Graham avec de gros yeux, comme si t'attendait qu'il ne puisse plus se contenir et qu'il t'avoue que cette dernière partie ne s'était pas vraiment passée, chose qui ne vint pas. « Mais c'est horrible, elle à du me prendre pour le plus gros des connards ! » Tu t'exclamais finalement, une fois sorti de ta torpeur, tes mains venant couvrir ton visage pour le cacher. Putain, t'avais honte là, t'osais même pas imaginer sa réaction face à un Graham qui tentait bien que mal de lui expliquer la situation le plus clairement possible. Tu ne pouvais pas aller sauter de la fenêtre sur le champ ? « Elle a dû t'dire de t'éloigner direct pendant qu'il est encore temps, elle doit avoir la plus mauvaise image de moi ! » Tu stressais encore, secouant ton visage, atterré. Ça allait être drôle le jour où tu la rencontrerais, t'allais très bien pouvoir lire dans ses yeux tout les choses qu'elle pensait réellement de toi. Tu pus te calmer quelques minutes plus tard, lorsque tu te dirigeais avec ton petit-ami dans la salle de bain de celui-ci, pour prendre un bon bain mérité. Tu préparais l'eau, et tu te tournais vers Graham lorsque de la musique parvenait à tes oreilles. « Tu n'fais jamais rien qu'à moitié toi, hm ? » Tu demandais dans un tendre sourire, avant de te retourner et d'enlever ta chemise, puis le reste de tes habits. Voilà, nu comme un vers. T'espérais pas être trop awkward pour le coup. T'entendais sa voix te ramener à l'instant présent, et tu trouvais le blondinet déjà bien enfoncé dans le bain. Tu hochais la tête, venant à ton tour prendre place dans l'eau presque bouillante qui te décontractait instantanément, laissant s'envoler un petit soupir d'aise alors que tu t'allongeais en face de lui, tes mains venant se reposer sur ses mollets après avoir ramené un peu de mousse vers toi. « C'est trop bon, j'pourrais m'endormir. » Tu murmurais. Pas trop quand même, ce serait bête que tu te noies.

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« Il est probable que oui. Mais m’aimerais-tu autant si je n’étais pas aussi compliqué comme mec hein ? » J’en doute fort, c’est ce qui me rend si attachant. Je ne suis pas l’une de ces personnes dont vous pouvez anticiper la moindre réaction, je suis rarement ailleurs que là où on ne m’attend pas et on ne peut pas vraiment se reposer à mes côtés. Que ce soit au sens propre comme au figuré, on devrait peut-être remettre une médaille à ceux qui parviennent à me supporter au quotidien, il faut pouvoir me suivre et ce n’est pas toujours facile. Nemo semble pourtant avoir plutôt bien réussi à s’y faire, j’ignore s’il a fait en sorte de s’adapter à moi ou si je me suis calmé grâce à sa présence quasi-quotidienne près de moi. Ce qui est certain c’est que nous avons passé les premiers mois avec succès et nous ne nous sommes pas encore entretués à cause de mauvaises habitudes… Enfin… Si on excepte les bêtises et les omissions du garçon qui maitrise l’amnésie comme personne lorsqu’il y trouve son compte. « Tu crois que l’effet aurait été le même s’il y avait fait super chaud ? J’aurais été mouillé mais de sueur et c’est encore moins romantique que de la pluie et un vilain rhume ! » Qui apprécie la transpiration ? Une partie de la population parvient à trouver de l’excitation en palpant des pieds, d’autres en caguant sur l’autre alors plus rien ne me surprendrait mais bon, quand même… Pourquoi en suis-je là d’ailleurs ? AH oui, un détail me revient lorsque je parviens enfin à me remémorer les propos de mon poisson. « Et pourquoi crois-tu qu’il y aura une prochaine fois ? Tu as quelque chose à te reprocher ? Une autre découverte qui me tombera sur le nez ? » Autant que je sois prévenu tout de suite, je tomberais de moins haut et je n’aurais pas à lui imposer un nouveau dilemme de ce genre pour lui forcer la main et l’aider à se bouger les fesses pour nous éviter un moment terriblement gênant et fort en émotions. Au sujet de la chaleur je l’écoute et prends le temps de réfléchir à la question, il marque un poids. « Sauf que le ventilateur en cas de grosse chaleur ne sera pas suffisant pour rafraichir la pièce et le brumisateur ne fera que te soulager deux minutes avant de te donner à nouveau l’impression d’être une bouteille d’huile ! » Alors qu’avec une température trop froide il y a un tas de choses à faire, un feu, monter les radiateurs, s’habiller plus chaudement, se glisser dans un gros plaid. Je dirais même que l’on peut éprouver un certain plaisir confortable à se réchauffer là où se refroidir est bien plus compliqué et laborieux. Je pouffe de rire lorsqu’il affirme que Malfoy m’a probablement suivi jusqu’aux toilettes. « J’ai fait un pacte avec lui, tout ce qui s’est passé ici en ton absence reste ici en ton absence ! » Mystère sur cette petite portion de bolognaise qu’il me restait dans le frigo et que je lui ai cuisiné avec quelques pates pour ne pas qu’il se nourrisse uniquement de ses croquettes, secret défense entre lui et moi. Passer du coq à l’âne devrait être élevé au rang d’art avec Nemo, nous avons cette habileté à passer de sensible à léger et vice versa, je me retrouve à parler de ma sœur et difficile de contenir ce sourire transpirant la joie lorsque je repense à la soirée d’hier et à cette probabilité pour qu’elle me rejoigne très prochaine fois. « Quelque part je la comprends… Elle s’est bercée d’illusions pour ne pas avoir à vivre avec ses propres erreurs, m’accuser est bien plus facile. » Elle ne se tiendra pas rigueur de tout ce qui s’est passé en préférant me mettre la faute dessus, si elle parvient à se regarder dans le miroir grâce à cela alors tant mieux, qu’elle en profite tant que ce subterfuge fonctionne. Mes lèvres s’étirent malicieusement lorsqu’il commence à paniquer par rapport à ce que je lui ai dit et à ce que ma sœur a pu me répondre en retour. « Si tu avais été là elle t’aurais probablement frappé mais elle a été anormalement sage et philosophe, elle avait confiance en toi sans même te connaitre. » Ce qui est assez étrange d’ailleurs, ses prédictions s’avèrent être totalement correctes puisque nous sommes tous les deux là, à nous préparer à prendre un bain tous les deux. Je m’occupe de la musique et mon petit-ami me fait malicieusement remarquer que je ne fais jamais rien à moitié. « Jamais ! » Qu’il l’interprète comme il le souhaite, toujours est-il que je passe à côté de lui en me mordillant la lèvre inférieure, me déshabille et fonce me réfugier dans cette baignoire dont l’eau me réchauffe et me détend instantanément. Il me faudrait une bassine de glaçons pour ne pas me laisser submerger par les émotions lorsque je suis, comme au ralentis, Nemo sur sa trajectoire pour me rejoindre. Il est nu, beau comme un Dieu, parfait, ses courbes sont attirantes et dessinées avec une justesse et une harmonie incroyable. Je frissonne, tente de dévier le regard mais je suis hypnotisé par lui. Zut, je transpire de la moustache ! « T’es beau ! » Je commente en un sourire tendre, coupé sur ma lancée par l’endroit qu’il choisit pour s’allonger. « EH, pas d’accord, viens par là ! » Je ne lui laisse pas le choix de toute manière, je lui prends la main et le tire vers moi pour qu’il me rejoigne et s’allonge dos à moi, contre mon torse. Mes mains se fraient un chemin entre ses bras pour rejoindre son bas ventre sur lequel je m’arrête. « Là, c’est mieux ! »
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« Hm, pas sûr. C'est ce qui fait que tu es toi. » Tu répondais dans un petit sourire amusé, tes doigts frôlant le long de son bras. Après tout, si tu l'aimais autant qu'aujourd'hui sans qu'il ne soit aussi compliqué dans la vie et dans ses pensées, ce serait un petit peu comme si tu aimais une autre personne, parce que cette complexité faisait partie intégrante de l'homme qu'il était. Certes, il t'était tout à fait possible de tomber amoureux de quelqu'un de plus facile à déchiffrer, de quelqu'un de plus simple, mais ça ne pourrait jamais être une version de Graham seulement modifiée. Ce ne serait pas Graham du tout, point. Et aimer quelqu'un qui n'était pas Graham, à l'heure actuelle, ce n'était même pas envisageable pour toi. Tu riais lorsqu'il te reprenais pour t'expliquer que la mène scène dans un environnement caniculaire aurait été encore moins romantique avec la sueur qui aurait probablement émanée de vous deux, et tu levais tes yeux au ciel. « On n'est pas non plus obligé de choisir les extrêmes à chaque fois. On checkera la météo la veille et on choisira un jour tranquille, ni trop ensoleillé, ni trop pluvieux. » Ça existait tout de même, ce genre de jour. Vous vous engueuleriez plus durant le printemps et l'automne et moins durant l'été et l'hiver. Simple. Il tiquait tout de même à ta proposition, parce qu'après tout, c'était vrai : pourquoi aurais-tu besoin de prévoir une prochaine fois ? Tu avais assez déconné, tu avais assez menti, et il serait bien mieux pour toi que tu te tiennes à carreau les dix prochaines années si tu ne voulais pas te faire dégager par ce beau Gramou que tu avais eu du mal à approcher. Tu réfléchissais tout de même quelques secondes, cherchant dans ton petit cerveau si tu n'avais pas rangé un secret quelque part tout en espérant ne jamais le retrouver – histoire de ne pas mentir à Graham tout en pensant avoir dit la vérité. T'étais un peu comme ça toi, t'attendais que les disputes se démêlent d'elles-mêmes et dès que quelque chose ne te plaisait pas, tu préférais parfois tourner la tête afin de ne plus voir la chose, en espérant qu'elle finisse par disparaître toute seule plutôt que de l'affronter. Alors peut-être qu'un secret était fermé quelque part en toi, mais que tu l'avais déjà bien oublié. « Noooope. J'ai rien à m'reprocher. J'suis parfait, j'mens jamais. » Tu rétorquais un mince sourire aux lèvres – tout ça en plaisantant, bien sûr. T'espérais juste que ton copain ne finisse pas par se venger de toi, tu touchais du bois. « Et bieeeeen... On se mettra des glaçons sur le corps ! » Tu t'exclamais, comme tout heureux de ta trouvaille qui te permettait de rester dans la course aux arguments. Dans tous les cas, qu'il fasse trop chaud ou trop froid n'était malheureusement jamais l'idéal : quand il faisait trop chaud t'étais le plus nu possible mais avec la sueur et la chaleur les gens n'avaient jamais envie de se coller, et au contraire, en hiver, il faisait trop glacial pour se foutre à poil. Les pires moments pour être en couple et tenter de profiter de l'autre. Tu plissais tes yeux en fixant ton petit-ami, et tu sentais bien qu'il avait dû prendre le rôle de la baby-sitter bien trop sympathique pour réellement suivre les recommandations dictées par les parents. Bon, c'était qu'un chien mais c'était kif-kif pour toi, c'était devenu comme ton enfant Malfoy – et t'occuper de lui palliait un peu au fait que si loin de Monaco, tu n'avais pas la chance d'apprendre à t'occuper des jumeaux. Vos conversations se tournaient ensuite sur la famille Singleton, et tu fronçais tes sourcils aux mots de Graham, tes yeux dirigés sur son visage. « Non, tu n'la comprends pas, non. Y a rien d'compréhensible. Il y a pleins de mères qui ont fait les mêmes erreurs qu'elle, qui n'ont pas pris de décisions de suite, qui ont laissé la situation s'installer. Mais j'crois bien que si elles avaient eu un fils qui enfin avait fini par mettre fin à leurs calvaires, elles ne se seraient pas retournées contre lui non, et elles auraient plutôt été soulagées. » C'était dur, tellement dur de ne pas utiliser d'insultes pour la nommer - parce que tu ne savais pas vraiment comme il le prendrait et que c'était quand même de sa mère dont vous parliez - mais mon dieu que te retenir n'était pas toujours aisé. Tu ne comprenais juste pas ses décisions, et la façon dont elle était. Ce genre de situation tragique ça renforçait plus les liens entre mère et fils, ça n'était pas censé les éclater. T'étais ensuite mortifié par le fait d'entendre que Graham avait tout raconté à sa sœur – de tes plus beaux exploits à tes plus pires mensonges – et il n'y avait pas mieux pour te stresser juste après qu'il ai dit qu'elle aimerait te rencontrer. Hm, t'étais plus vraiment sûr maintenant. Tu levais d'un coup ton visage pour le regarder lorsqu'il te répondait, avant de lâcher un rire jaune. « Confiance en moi ? Comment peut-elle avoir confiance en moi tout en aillant envie de me démonter la gueule ?! Elle doit être en train de réfléchir aux meilleurs moyens de me faire payer ça pour la prochaine, hein ? Elle va trouver un truc pour m'torturer, marquer un point d'honneur à ce que je retienne la leçon et que je ne recommence pas. Les gens trop philosophes ont toujours les idées les plus horrifiantes. » Tu déballais, ton teint palissant à vu d'oeil. Putain, faites qu'elle n'ai pas eu l'occasion de lire Surveiller et Punir de Michel Foucault, qui commençait magnifiquement par une méthode de torture. La suite, ça se passait dans la salle bain, jet d'eau créant de la mousse, petite musique qui s'évadait du portable du sportif, habits rejoignant le sol. Le fourbe en avait profité pour se faufiler dans le bain avant même que tu n'aies pu voir quoi que ce soit, pas même un bout de peau, c'était vraiment pas malin. Heureusement que de ton côté, t'étais plus aussi pudique depuis quelques années. Tu entrais dans la baignoire totalement inconscient du regard de ton petit-ami sur toi, et tu riais en entendant son compliment, tes yeux pétillants s'ancrant dans les siens. « Tu viens de t'en rendre compte seulement maintenant ? J'sais pas comment j'dois le prendre. » Tu répondais amusé, avant qu'il n'attrape ta main pour t'attirer vers lui, mécontent de la place que tu choisissais. « Doooooucement, j'vais m'casser la gueule ! » Tu t'exclamais en essayant de ne pas glisser dans la baignoire, te tournant doucement pour venir se lover contre lui, ton dos contre son torse. Tu lâchais un nouveau rire devant son comportement, tes mains venant caresser ses avants-bras qui t'encerclaient. « J'sais pas trop. J'peux pas aussi bien admirer ton beau visage comme ça. C'est embêtant. » Tu murmurais en tournant un peu ton visage vers le sien.

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Difficile d’imaginer un Graham qui ne soit pas comme ce que je suis actuellement. Pourtant je n’ai pas toujours été ainsi, que serait-il arrivé s’il avait fait ma connaissance à l’époque où mon père respirait toujours et à laquelle j’étais soumis à lui comme un esclave, prêt à recevoir les coups pour arranger tout le monde et éviter d’avoir à le contredire pour rendre la situation bien pire encore. A l’époque je lui ressemblais beaucoup, une vingtaine de kilos de muscles en moins, très mince, gentil et réservé. Il me manquait sa folie pour que l’on puisse se souvenir de moi et m’apprécier à la première seconde mais je suppose que je devais avoir des arguments pour moi puisque j’ai toujours réussi à plaire aux filles sans avoir à en faire des tonnes. « Tu m’aurais détesté quatre ans en arrière, jamais tu n’aurais jeté le moindre regard sur moi ! » Je me met à rire en y repensant, pour une fois je pense à cette partie de ma vie avec humour, un beau changement sur lequel méditer un moment puisqu’il me sort de cette sphère négative qui entoure des années de ma vie que j’ai jusqu’à maintenant toujours essayé d’oublier. Comme toujours avec nous, une simple petite phrase est suffisante pour lancer un débat plus énorme que nous, comment imaginer la parfaite petite scène romantique à l’extérieur ? Sous la pluie, sous un soleil de plomb ? Trouver un juste milieu ? « Oui mais pas d’accord, un juste milieu rendrait le moment trop ordinaire, il ne restera pas en mémoire. » Se souvenir d’un tel moment de bravoure parce qu’il s’est suivi d’un rhume infernal ne sera pas mieux mais nous ne serons peut-être malades non plus et nous pourrons donc nous en souvenir avec l’intensité que le moment a dégagé. Je profite de cette petite remarque pleine d’ambigüité pour me rassurer en demandant confirmation à mon petit ami sur les secrets qu’il pourrait avoir enfoui quelque part. Qu’on se le dise, j’ai supporté une bombe, je n’en supporterais pas deux et notre couple non plus. Il répond avec un sourire qui donne un ton tout de suite plus léger à la chose. « Mais bien-sûr, c’est évident n’est-ce pas ? Loin de toi l’idée d’omettre des informations essentielles sur ta vie ! » Comment pourrait-il mieux supporter la chaleur que le froid ? J’ai du mal à concevoir cette idée mais il propose tout simplement d’utiliser des glaçons, chouette idée tiens ! « Oui mais s’il fait chaud tu auras moins de câlins alors que… S’il fait froid je serais là pour te réchauffer comme il faut ! » Je termine, conscient que je joue avec le feu justement en ponctuant mes mots d’un sourire coquin laissant peu de place à l’imagination. Suis-je en train de parler de câlins au sens courant du terme ou d’autres types de câlins ? Je n’en suis pas sûr moi-même, à voir. « M’enfin si tu veux me rafraichir et rafraichir mes idées en même temps tu peux ! » Innocence quand tu nous tiens. Innocence quand je me retrouve à mon tour à emprunter la route typiquement némonienne en omettant de prévenir le garçon que j’ai légèrement cédé aux petits yeux de chiens battu de Malfoy lorsqu’il me regardait manger. Avec son maitre il sera probablement de retour à la diet, de quoi le rendre impatient de voir son maitre repartir quelques jours, pas trop longtemps pour ne pas que le manque s’installe mais suffisamment pour qu’il puisse s’enfiler un petit peu de nourriture humaine. Parler de ma mère s’avère bien délicat, il faut s’y attendre, je ne peux pas la détester complètement pour avoir choisi de ne pas laisser la culpabilité la prendre à la gorge même si elle m’a privé de trois années de ma vie à cause de cela et qu’elle continue de me punir au quotidien en m’empêchant de retrouver cette famille censée être mon roc. Ma sœur en a autant souffert que moi, peut-être que je ne lui pardonnerais jamais ce détail, qu’elle s’en prenne à moi je peux le supporter mais pas ma petite sœur. Nemo s’énerve et je le trouve terriblement touchant et sexy quand il le fait, je devrais faire en sorte qu’il prenne ma défense plus souvent. Difficile d’ajouter quelque chose à ce qu’il vient de dire, il a peut-être raison, d’autres auraient été heureuses d’avoir un fils pour assurer leur protection, j’ignore ce qu’il se serait passé si ma mère n’avait pas été cette femme mais une autre. Me voilà à présent en train de m’amuser à bien faire flipper mon poisson lorsque j’admets m’être confié à ma sœur, j’avais besoin d’une oreille attentive pour me conseiller et me promettre que ma décision serait la bonne, que je pourrais vivre sans regrets vis-à-vis d’elle. Il se trouve qu’elle a été formidablement mature dans ses réflexions, plus que je ne l’aurais été à son âge. « Peut-être, tu te méfieras le jour où tu la rencontreras, elle fait de la boxe depuis… Depuis ce qu’il s’est passé et il parait qu’elle est plutôt forte à cela ! » Je termine avec un grand sourire machiavélique, autant vous dire qu’elle lui bottera le cul s’il ose me faire du mal à mon cœur. Changement de climat, direction l’humidité et la chaleur avec un bon bain qui nous fera le plus grand bien après avoir pris une pluie enragée sur le visage. L’orage gronde toujours, je ne serais pas surpris que l’électricité nous lâche à un moment ou un autre. Pour l’heure je n’ai pas la tête à me questionner sur ce genre de choses, je ne vois que la beauté fatale de mon petit copain et cette envie de le serrer contre moi. « C’est vrai, tu ne peux pas m’admirer mais il y a d’autres avantages… Je peux faire… » Mes mots laissent place à mes lèvres qui effleurent sa nuque. « ça. » Elles descendent jusqu’à son épaule. « Et ça ! » J’ai bien joué mon coup, il n’a même pas senti mes mains battre en retraite et s’arrêter à sa taille que je commence à chatouiller. « ET CELA ! » Tu t’es bien fait avoir petit Nemo.
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« Détester est un grand mot. Tu m'trouves si superficiel que ça ? » Tu osais lui demander alors qu'il riait sur le fait que si vous vous seriez rencontré quatre ans en arrière, tu ne lui aurais même pas donné l'heure. T'avais un petit sourire au coin de tes lèvres alors que tes yeux ne lâchaient pas son visage, entre amusement devant une situation pareil qui aurait peut-être pu se produire, et défi de l'écouter te répondre sur la manière dont il te voyait. Tu ne savais pas comment cela se serait passé quatre ans en arrière, tu n'avais pas cette possibilité de pouvoir lire dans les hypothèses du passé, mais si il pensait réellement que tu n'étais attiré que par les mecs costauds aux muscles luisants, il se trompait sur ton compte – ce n'était juste que la cerise sur le gâteau, que le petit bonus qui faisait toujours plaisir. Alors quoi, s'il était gringalet ? ( T'attendais d'ailleurs toujours que Graham te montre des photographies de cette époque, que tu puisses enfin voir de tes yeux et te rendre compte de la transformation, au lieu d'imaginer sa tête sur l'ancien corps de Steve Rogers. ) T'espérais surtout qu'il y a quatre ans en arrière, tu te serais bougé le cul pour l'obliger à t'avouer tous ses secrets grâce à ta persistance démoniaque, et que t'aurais fini par trouver un moyen pour l'aider, face à son cruel destin. Tu levais ensuite tes yeux au ciel devant ce qu'il te disait, lâchant néanmoins un petit rire incrédule, amusé par vos différences d'opinions. « Tu n'peux pas dire ça. Si t'as absolument besoin d'un environnement parfait et extraordinaire et magnifique et féerique et extrême dès que tu veux graver un moment dans ta mémoire, c'est peut-être parce que c'que t'as à dire n'est pas assez important pour qu'on veuille s'en souvenir, non ? J'sais pas, tu préférerais que j'te demande en mariage, certes en toute spontanéité, sur le moment, au mcdonald du coin entre l'hamburger et le dessert, ce qui sera loin d'être glamour, mais avec toute ma sincérité et mon sérieux. Ou tu préférerais qu'j'te prépare un truc tout beau, tout romantique, un truc qui te marquera, qui créera l'illusion d'un jour important, pour finalement tout faire retomber et te dire que demain j'vais faire les courses ? » Tu lui demandais très sérieusement, tes bras croisés contre ton torse. Bon, tu voulais bien l'avouer devant le palais entier, t'avais sûrement pas les meilleurs arguments de vente, tu lâchais dans la nature ce qui te venait en tête pour tenter de lui faire comprendre ton point de vue, aussi maladroit que tu pouvais l'être. Tu mordais nerveusement ta lèvre inférieure quelques instants plus tard, alors que ton monologue te revint en tête et que tu te rendais compte que tu lui avais parlé de mariage comme ça, comme si c'était le sujet le plus banal au monde, alors que vous étiez en couple depuis quatre petits mois à peine. Et tout le monde savait que ce genre de discussion – enfin, même pas discussion, la mention même du mot – suffisait à faire fuir quiconque très rapidement. Merde, à y repenser, il allait peut-être choisir la seconde option juste histoire de vous épargner le malaise de ta bouche. Putain. T'avais juste voulu choisir un truc fort pour qu'il voit la différence dans ton contexte : c'était bien beau de se souvenir d'un moment hyper intense en émotion grâce à l'ambiance autour, si au final tout cela n'avait servit qu'à te dire la chose la plus banale au monde. Le truc dont ton cerveau n'avait pas forcément l'envie ni le besoin de se souvenir. Tu tentais ensuite de répondre un peu plus légèrement, sourire sur tes lèvres en espérant te faire quelque peu pardonner, que tes réponses ne lui donnent pas envie de te trancher la tête. Tu hochais vivement ta tête lorsqu'il continuait sur le même chemin, venant entourer l'un de ses bras des tiens. « Looooin, très loin de moi ! Moi vivant, moi conscient, ça n'arrivera pas ! » C'était dans des moments comme celui-ci que tu pouvais réellement prendre conscience de la chance que tu avais d'être tombé sur Graham, qui malgré le mal que tu avais dû lui faire avec cette affaire, arrivait à quelque peu plaisanter sur tes amnésies grotesques. Tu grognais ensuite quand il prenait l'exemple des câlins presque obligatoires afin de partager la chaleur humaine et de se réchauffer en hiver, appuyé par un sourire un petit peu trop craquant et pleins de sous-entendu pour ton bien être. T'essayais de rester sérieux et de ne pas lui rendre, et puis tu soupirais, t'approchant afin de venir nicher ton visage dans son cou. « Ok, tu gagnes cette manche, les câlins c'est trop important. » Tu marmonnais contre lui, avant de doucement pincer son ventre à sa réplique suivante. « J'pensais juste que tu serais sexy le corps recouvert de glaçons qui fondent, c'tout. » Tu avouais d'une voix un peu trop légère, avant d'en venir à parler de ton magnifique chien qui avait dû s'éclater comme un petit fou en compagnie de Graham, puis de la mère de ce dernier, dont tu ne comprendrais sûrement jamais les pensées et les actions. Ça t'énervait d'ailleurs, qu'il puisse dire qu'il la comprenait, qu'il puisse comme trouver une excuse à ses erreurs, quand ce qu'elle avait fait n'était excusable en aucun point. Il n'avait pas mérité ça. Vous continuiez sur le sujet de sa sœur, dont il prenait un malin plaisir de t'avouer maintenant qu'elle faisait de la boxe, et tu le regardais, petit moue et yeux de pitié à l'appuie. « Tu m'protégera dis ? » C'était soit ça, soit vous alliez sûrement finir par faire un cache-cache géant dans tout l'appartement, toi qui tenterais de la fuir, où tu te retrouverais à nouveau dans ton endroit favori, la salle de bain, enfermé le temps qu'elle se calme. Une belle rencontre pleine de souvenirs. Vous preniez ensuite place au chaud dans le bain, endroit où tu pouvais pleinement te détendre, contre ton petit-copain. Tu lui faisais remarquer que de ce côté-là tu ne pouvais pas admirer son visage, et il prenait ça comme une invitation à te montrer tous les autres avantages que cette position pouvait t'offrir, tes yeux se closant en sentant chacun de ses petits baisers aussi léger qu'une plume. Tu ouvrais ta bouche, pour lui dire que finalement, ce n'était vraiment pas si mal, mais il te prenait de court et venait te chatouiller à la taille, comme les sévices d'un plan machiavélique préparé depuis dix jours. Tu sursautais, ne t'y attendant pas, et tu commençais à te tortiller, même si t'avais la chance que sous l'eau tu sentais moins les chatouilles qu'à l'air libre. « Non n-non, ça tu n'as pas l'droit ! » Tu t'exclamais en riant malgré toi, tes mains n'arrivant pas tout à fait à attraper les siennes, alors que tu essayais de te retourner et de te mettre sur les genoux, l'eau de la baignoire taguant dangereusement. « C'est inter-dit ça, i-interdit ! »

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