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I still hear your voice, when you sleep next to me. I still feel your touch in my dream. Forgive me my weakness, but I don't know why... Without you it's hard to survive.
Je craque, tout ce poids, cette pression accumulée ces derniers jours est en train de retomber et aussi salvateur puisse cela être je me sens épuisé et plus faible que jamais. Les sanglots me surprennent au même titre que ces trois petits mots prononcés un petit peu plus tôt et que je n’attends pas d’avoir en retour. Je n’exigerais jamais de subir le même traitement que celui que je dispense, ce serait être égoïste, je n’aime pas mettre des mots sur mes émotions, il m’aura fallu plusieurs mois pour parvenir à me rendre compte de ce que j’éprouve pour lui, de la puissance de mes sentiments. Je ne suis même pas certain de ce que cela veut dire, aimer quelqu’un c’est bien mais on peut tout aussi bien se déchirer par amour que sans ces sentiments compliqués et difficile à gérer. Je gèrerais tout cela plus tard, pour l’heure j’ai juste envie de retrouver mon petit-ami, l’être avec qui je veux passer mes jours, mes nuits, celui que j’ai envie de continuer à découvrir et avec qui cet état quasi-passionnel commence seulement à se développer. Mes bras me lâchent, mon corps tout entier est pris de tremblements, la faute au froid, à la pluie, à tout ce que je ressens présentement. Il est tellement difficile de ne pas perdre la tête face à tout ce qui vient de se produire, face à cette torture qui prend enfin fin ce soir. Je me sens soulagé, pas inquiet, confiant et déjà tourné vers l’avenir. Nemo aura beaucoup de choses à prouver, beaucoup de grosses décisions à prendre mais j’ai confiance en lui, je le sens capable de passer chaque étape, je serais là pour le soutenir, pour l’aider, pour prendre sur moi les critiques. Je n’ai pas peur du jugement, j’en ai déjà été victime pendant trois ans, je peux supporter tout cela et faire tampon entre le monde et mon petit-ami. En attendant j’accepte bien volontiers de rentrer, je suis trempé et probablement déjà condamné à expérimenter un vilain rhume qui se pointera le bout de son nez dans les quarante-huit prochaines heures, tant pis, je ne regretterais pas de l’avoir attrapé après un tel dénouement. « Rentrons ! » Je lui prends la main et m’élance en courant pour rejoindre le palier et rentrer à l’intérieur, je referme la porte derrière nous, conscient que mon appartement aura besoin d’un sacré coup de ménage après notre passage, nous sommes trempés. « Viens par là ! » J’exige en l’attirant vers moi pour pouvoir retrouver ses lèvres contre lesquelles je me love tendrement, je me sens tellement mieux, soulagé, paisible. « Je vais nous chercher une couverture ! » Je m’enfui jusqu’à la chambre et fouille mes placards pour en ressortir une grosse couverture, elle devrait nous permettre de nous réchauffer avant de renoncer à nos vêtements. « Tiens, je ne veux pas que tu tombes malade ! » Je lui passe la couverture derrière les épaules et nous enroule tous les deux autour, heureux de pouvoir à nouveau me coller à lui, de le retrouver. « Comment c’était ? Tu en as profité pour prendre la température ou pas du tout ? » Je le questionne calmement à propos de son voyage.
Je craque, tout ce poids, cette pression accumulée ces derniers jours est en train de retomber et aussi salvateur puisse cela être je me sens épuisé et plus faible que jamais. Les sanglots me surprennent au même titre que ces trois petits mots prononcés un petit peu plus tôt et que je n’attends pas d’avoir en retour. Je n’exigerais jamais de subir le même traitement que celui que je dispense, ce serait être égoïste, je n’aime pas mettre des mots sur mes émotions, il m’aura fallu plusieurs mois pour parvenir à me rendre compte de ce que j’éprouve pour lui, de la puissance de mes sentiments. Je ne suis même pas certain de ce que cela veut dire, aimer quelqu’un c’est bien mais on peut tout aussi bien se déchirer par amour que sans ces sentiments compliqués et difficile à gérer. Je gèrerais tout cela plus tard, pour l’heure j’ai juste envie de retrouver mon petit-ami, l’être avec qui je veux passer mes jours, mes nuits, celui que j’ai envie de continuer à découvrir et avec qui cet état quasi-passionnel commence seulement à se développer. Mes bras me lâchent, mon corps tout entier est pris de tremblements, la faute au froid, à la pluie, à tout ce que je ressens présentement. Il est tellement difficile de ne pas perdre la tête face à tout ce qui vient de se produire, face à cette torture qui prend enfin fin ce soir. Je me sens soulagé, pas inquiet, confiant et déjà tourné vers l’avenir. Nemo aura beaucoup de choses à prouver, beaucoup de grosses décisions à prendre mais j’ai confiance en lui, je le sens capable de passer chaque étape, je serais là pour le soutenir, pour l’aider, pour prendre sur moi les critiques. Je n’ai pas peur du jugement, j’en ai déjà été victime pendant trois ans, je peux supporter tout cela et faire tampon entre le monde et mon petit-ami. En attendant j’accepte bien volontiers de rentrer, je suis trempé et probablement déjà condamné à expérimenter un vilain rhume qui se pointera le bout de son nez dans les quarante-huit prochaines heures, tant pis, je ne regretterais pas de l’avoir attrapé après un tel dénouement. « Rentrons ! » Je lui prends la main et m’élance en courant pour rejoindre le palier et rentrer à l’intérieur, je referme la porte derrière nous, conscient que mon appartement aura besoin d’un sacré coup de ménage après notre passage, nous sommes trempés. « Viens par là ! » J’exige en l’attirant vers moi pour pouvoir retrouver ses lèvres contre lesquelles je me love tendrement, je me sens tellement mieux, soulagé, paisible. « Je vais nous chercher une couverture ! » Je m’enfui jusqu’à la chambre et fouille mes placards pour en ressortir une grosse couverture, elle devrait nous permettre de nous réchauffer avant de renoncer à nos vêtements. « Tiens, je ne veux pas que tu tombes malade ! » Je lui passe la couverture derrière les épaules et nous enroule tous les deux autour, heureux de pouvoir à nouveau me coller à lui, de le retrouver. « Comment c’était ? Tu en as profité pour prendre la température ou pas du tout ? » Je le questionne calmement à propos de son voyage.
NEMHAM
( MADE BY WILD HEART. ) (Invité)