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WITHOUT YOU IT'S HARD TO SURVIVE (+) NEMHAM [-18 /!\ HOT]

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I still hear your voice, when you sleep next to me. I still feel your touch in my dream. Forgive me my weakness, but I don't know why... Without you it's hard to survive.

« Tu as tout à fait raison, mais attention à toi petit, je ne voudrais pas que tu t’attires mes foudres en essayant de me dérober mon trône, il n’y a de la place que pour un seul vilain roi… » A moins qu’il ne devienne mon roi, à ce propos il faudra que l’on trouve quelque chose pour éviter cette répétition, vous imaginez si notre histoire devient on ne peut plus sérieuse avec mariage princier à la clé et tout ce qui va avec ? Se référer à Némo comme le Prince et à moi comme étant… Le Prince… Non, il sera de notre devoir de trouver un qualificatif à utiliser pour se référer au statut de l’époux du Prince de sang à moins que l’on s’arrête à un simple les deux princes mais on perd en beauté par rapport à un prince et sa princesse. D’un point de vue purement relationnel je n’ai jamais été tellement emballé par les histoires d’amour dégoulinant de bons sentiments, les couples dépourvus d’un quelconque relief. Il n’y a rien de plus beau que de trouver la place nécessaire pour exprimer son individualité face à son petit-ami, on ne se perd pas en chemin de la sorte et on évite de devenir aigri. Serions-nous vraiment aussi accro l’un à l’autre si nous n’étions pas en permanence en train d’interagir, à chercher le meilleur moyen de contredire l’autre ? J’ai du mal à y croire personnellement, c’est cette habilité que nous avons à débattre de tout et de rien qui nous permet d’être si fusionnels, une chance que nous ne soyons pas du genre à trop nous vexer. Vous imaginez si chaque débat partait en cacahuète ? L’enfer s’abattrait sur nos épaules toutes les cinq minutes et je ne donnerais pas cher de notre histoire. Notre dynamique est plaisante, rafraichissante, je n’échangerais tout cela pour rien au monde et j’espère qu’il en a conscience. Preuve de ma bonne foi, j’accepte de lui laisser une photo de mon enfance, une seule et unique, qu’il profite de ce moment lorsqu’il se présentera un petit peu plus tard. Sa réaction ne se fait pas attendre, on dirait que je lui ai offert le soleil, il sautille et son excitation devient communicative, il me fait rire comme un bienheureux. « Je tiens toujours mes promesses, et puis… Je te fais étrangement confiance pour me le rappeler si tu vois que j’oublie ! » Nemo n’est pas du tout un mec insistant, non non… Je ne peux pas m’en plaindre cela dit, s’il n’avait pas continué d’insister je ne serais jamais tombé amoureux de lui. Vous imaginez le vide que cela aurait laissé en moi ? De quoi revenir sur cette parfaite remarque prononcée à la suite de l’un des nombreux débats que nous avons pu avoir : « on ne peut éprouver le manque de quelque chose que l’on n’a pas connu. » La pluie nous a pas mal amochés et un bain chaud s’impose, tout comme la séance de torture que mes doigts lui imposent, il se dandine dans la baignoire et prend les armes comme j’ai pu le faire de nombreuses fois par le passé en usant du chantage, donnant-donnant comme on le dirait chez moi. « Oh parce que j’ai foutu le bordel dans ta vie c’est cela ? Je peux m’en aller si j’suis si nocif tu sais ! » Je le menace, sérieux de façade alors que mes lèvres flirtent avec l’étirement pour trahir l’amusement que je contiens du mieux que je peux. Comment passer d’une situation comique à une situation bien plus intense et dangereuse ? Nous devrions inventer un guide, on maitrise le sujet à la perfection. J’ai l’impression d’avoir affaire à mon propre reflet, il se comporte exactement comme moi lorsque j’ai conscience d’avoir l’avantage et que j’en joue. Ses doigts longent ma peau, me font frissonner et mettent ma gorge à rude épreuve, il devient difficile de déglutir, je le regarde intensément, je ne quitte pas ses yeux une seule seconde, obnubilé, hypnotisé… Inlassablement attiré. Mon cœur bat la chamade et accompagne d’autres réactions tout aussi naturelles qui pourraient être gênantes si ce n’était pas Nemo qui se tenait à quelques millimètres à peine de cette excitation écrasante et imposante. « Et si tu prenais cette décision, pour une fois ? »
NEMHAM  
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« Ça dépend, y a des avantages à être vilain roi ? Un harem de gars canons qu'il t'attendent tous les soirs au pied de ton lit de soie brodé, des chefs cuisiniers personnels qui te préparent tous tes plats préférés, un peuple qui t'aime et t'admire malgré tes défauts, ou t'es juste roi... et vilain ? » Tu lui demandais, tes yeux penseurs et calculateurs posés sur son visage, sa réponse déterminant probablement ta future stratégie. Parce que si ce n'était qu'un titre parmi un autre, et qu'en plus tu allais finir seul et sans amis pour le restant de tes jours parce que tu étais un gros vilain, ça ne t'intéressait pas forcément de dérober son trône. T'allais sûrement finir dépressif et déprimé, sans l'amour de personne pour toi, et tu te suiciderais encore jeune et dans toute ta gloire. Par contre, s'il avait des avantages non négligeables, c'était à revoir, c'était à se poser et à réfléchir si tu tenterais d'aller contre Graham et de devenir le roi des roi des vilains. Lorsqu'il y avait des choses à gagner en jeu, ça intéressait forcément tout le monde, et toi en particulier. Alors, est-ce qu'il était si bien à a place ou est-ce que finalement, c'est tout pourri ? That's the question. Et peut-être que finalement, le meilleur des cadeaux on venait déjà de te l'offrir, puisque t'avais l'impression d'être de retour à Noël à la seconde où il t'avouait être d'accord pour te montrer une photo de lui lorsqu'il était plus jeune. Ça faisait peut-être déjà plusieurs fois que tu le saoulais sur le sujet mais tu ne t'attendais tout simplement pas à ce qu'il décide de te céder un peu de terrain aujourd'hui. C'était peut-être ton jour de chance après tout ce qu'il s'était passé, fallait peut-être que tu joues au loto lorsque le soleil ce sera levé. Tu doutais légèrement néanmoins de sa capacité à se souvenir ce genre de promesse à l'oral, peut-être parce qu'elle t'était apparue si soudainement que tu ne pouvais penser à autre chose qu'au fait qu'il allait oublier ou faire semblant de ne jamais avoir prononcé ces mots. Ce qui te fendrait le cœur, littéralement. Un large sourire fendait ton visage quant à sa réponse, et tu haussais légèrement tes épaules. « Tu peux très bien oublier une promesse un jour, qui sait. Mais tu m'connais un peu trop bien sur le fait que je ne vais pas t'lâcher avec ça jusqu'à ce que t'explose buddy. » Tu avouais, comme si c'était une fierté spéciale de faire chier son petit-ami pour ce genre de chose, et que t'avais gagné le plus gros des trophées de la catégorie. ( Ils devraient totalement donner des prix pour les petits-copains mi-chiants, mi-rappellent-tout. ) Après tout, tu étais quelqu'un de très lourd, ce n'était pas nouveau, mais c'était aussi ce qui faisait ton charme non ? Tes avances qui manquaient de subtilités, tes blagues qui tombaient à plat, tes réponses insistantes à la limite du harcèlement... Alala, tu te demandais comment t'avais fait pour ne pas trouver d'amoureux avant tellement tu étais si parfait et si attachant. Graham il t'avait trouvé craquant dès les premières minutes, c'était imparable. Tu acquiesçais une nouvelle fois dans le bain lorsqu'il te demandait s'il avait tant foutu le bordel dans ta vie que tu t'étais retrouvé avec des notes en baisses, moins de contact et d'implication dans ta maison, moins de temps pour rien concrètement. Tu plissais tes lèvres pour te montrer plus sérieux dans tes dires un instant, même si l'éclat amusé au fond de tes yeux ne mentait pas. « Nocif ? Je diras même... Toxique ! Et dangereux, calamiteux, nuisible, infernal... » Tu énumérais, dans un air faussement indigné de l'horrible poison qu'était Graham depuis qu'il était dans ta vie, comme si tu étais réellement choqué d'avoir pu le laisser s'installer comme ça trop longtemps près de ton être si pur – et que tu venais seulement de t'en rendre compte. Tu posais ton index sur l'un des coins de ses lèvres qui tremblait presque d'un sourire, fronçant les sourcils. « C'est sérieux c'que j'te dis là ! Tu vois, tu n'm'écoutes jamais, tu fais que de te moquer en permanence ! » Nemo et Graham, ou l'art de se créer de fausses disputes lorsque tout va bien – quoique, il préférait réellement ton chien à toi, il ne fallait pas que tu oublies ça. Puis tu te rapprochais de lui bien plus sûr de toi après qu'il t'épiait de l'oeil, et le voilà qu'il voulait pouvoir se calmer un peu, éclaircir son esprit, le genre de choses qui t'arrivait souvent d'avoir besoin de faire en compagnie de Graham, histoire de ne pas trop lui montrer que tu le désirais comme ça. Tes yeux étaient plongés dans les siens, à l'affût de la moindre émotion négative, du moindre éclat de malaise dans son regard, et tu te retrouvais à quelques millimètres de son visage, pour le taquiner encore un peu. Un sourire en coin prenait place sur tes lèvres à l'entente de ses mots, et ta bouche frôlait la sienne, avant de se diriger dans le creux de son cou, venant déposer des baisers légers, d'autres plus marqués sur sa peau maintenant plus chaude. Une de tes mains s'enfouissait dans les petits cheveux blond de la base de sa nuque, pendant que l'autre caressait du bout de tes doigts le bas de son dos.

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« Des avantages ? Je suppose que j’en ai un certain nombre, je fais peur à beaucoup de monde et je suis très respecté. Point d’argent cela dit. » Se hisser à la tête du royaume des vilains rapporte nettement moins que d’être issu de la famille royale si vous voyez ce que je veux dire. Nemo n’a pas besoin d’un énième titre fictif stupide, même si je déconne à moitié lorsque je présente les avantages à un tel poste qui se traduit par la réputation si l’on arrête de plaisanter deux minutes. J’inspire beaucoup de choses, un certain nombre de personnes n’osent pas m’aborder parce qu’ils ne connaissent que les rumeurs, qui aurait envie de discuter avec le mec qui a poignardé et défenestré son père ? Je serais surement comme eux si les rôles étaient inversés. Au début je vivais très mal cette situation mais aujourd’hui je m’en amuse davantage, le tri est fait naturellement et je peux ainsi nettement moins me méfier de ceux qui osent discuter avec moi. Au milieu de tout cela il y a toujours le petit groupe de personnes pas au courant de ma situation, j’apprécie aussi leur contact, leur innocence est rafraichissante puisque tout le monde ne réagit malheureusement pas comme mon petit-ami qui n’a pas changé après que je sois passé par la case révélations. Vilain mais pas trop, je prends sur moi et promet de lui fournir une photo de mon enfance, il n’y aucune date de fixée mais je ne suis pas un vilain producteur diabolique qui repousse sans cesse le moment tant attendu, Star Wars si tu m’entends… « J’ai oublié de préciser quelque chose… » Pas vilain pendant un moment mais n’oublions pas qu’il faut profiter d’une telle occasion pour qu’elle arrange tout le monde. « Il me faut exactement la même chose de ton côté, une photo de toi enfant ou adolescent ! » Pourquoi serais-je le seul à me dévoiler après tout ? Moi aussi je veux fondre devant un joli petit Nemo tout jeune, les fesses à l’air comme quasiment tous les bébés à croire que les parents encouragent la nudité sans même s’en rendre compte… A partir de quel âge la nudité devient-elle vraiment scandaleuse et choquante d’ailleurs ? Je poserais la question à un sociologue lorsque l’occasion se présentera, ou à Nemo, il aura probablement des tonnes de choses à dire sur le sujet. Je n’ai pour le moment pas du tout envie de le questionner là-dessus, bien trop occupé par cette discussion sur fond de second degré, serais-je vraiment nocif pour lui ? Même si je plaisante je ne peux m’empêcher de considérer cette option, lui aurais-je apporté plus de mal que de bien ? « Mouais, je t’écoute monsieur, j’ai compris le message. Cette nuit sera la dernière avant que je ne m’efface de ta vie pour toujours, moi, être ô combien nocif. » Je le toise fermement du regard, les lèvres pincées pour ne pas me mettre à sourire. Dommage que je sois incapable de contrôler mon corps de la sorte lorsque la situation devient plus sensible et sexuelle. Difficile de réagir autrement face à un tel démon, mon corps est déjà beaucoup plus sensible, je n’ai pas partagé le moindre moment intime depuis plus d’un an, depuis Dixie et sa grossesse… Je ne suis pas forcément branché par les plans en solitaire et la gêne laisse de plus en plus place à de la curiosité, à croire que mes chaines se desserrent au fur et à mesure que j’achève de ronger mon frein. Il est sadique, il use de la torture comme personne, ses lèvres me mettent le feu, mes sens sont décuplés et chaque caresse, le contact de ses phalanges contre ma nuque, le long de mon dos me brûlent, attisent les flammes qui me détruisent à l’intérieur. Un soupire m’échappe naturellement et mes mains se font à leur tour plus inquisitrices contre sa taille, d’une vive pression je le fais chavirer de sorte à ce qu’il se colle à mon corps, à califourchon contre moi, contre ma peau… Tendue. La baignoire chancelle, l’eau ne cesse d’aller et venir, de se heurter à nos corps. Je ne suis plus collé à la baignoire, je me suis avancé de sorte à ramener mon petit ami près, tout près de moi, contre ma peau, à l’écoute du moindre de mes désirs. « Tu me rends fou ! » Je susurre en l’obligeant à retrouver mes lèvres d’un geste conquérant, mes pouces venant bloquer sa mâchoire pour la faire mienne. Je mordille sa lèvre inférieure, habité par un feu ardent et destructeur, je le veux, maintenant, tout de suite, rien que pour moi.
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Mh, tu ne savais plus vraiment si cela était une bonne idée maintenant qu'il t'avouait qu'il avait des avantages, mais que ça se limitait surtout à faire peur à la majorité des personnes, et de là en découlait un respect prévisible, qui se montrait plutôt à l’extérieur qu'à l'intérieur des gens. Chose avec laquelle tu n'étais toi-même pas vraiment d'accord – désolé Machiavel, tes remarques et tes points sont très intéressants sur comment être un bon prince, tellement que t'en as fait un bouquin, mais toi, tu préférais inspirer la sympathie que d'être craint. T'avais pas vraiment envie qu'on t'associe à un dictateur plus tard, ce n'était pas l'image de Monaco que tu souhaitais renvoyer. « Mouais, ça aide quand même pas mal l'argent, excuse-moi mais si mes parents ne m'ont pas déshérité j'vais rester simple prince, et te laisser le trône du roi des vilains. »  Tu répondais en toute honnêteté, venant tapoter son épaule. L'argent ne faisait peut-être pas le bonheur, mais il pouvait bien vous sortir de toutes sortes de merde, et tant qu'à faire, tu préférais le laisser sur son joli trône de mec imposant et vilain et ne finalement pas te battre pour l'avoir. Peut-être qu'être un demi-vilain c'était suffisant pour ton bien, peut-être que tu n'avais pas besoin d'être le plus vilain des vilains pour être heureux. Puis tu n'avais pas vraiment le physique du mec qui faisait peur et qui l'assumait, t'étais peut-être grand, mais t'étais fin, et tes muscles étaient souvent cachés sous tes habits, ce n'était pas le genre de chose que l'on remarquait de suite chez toi contrairement à ceux de Graham. Il suffisait de voir comment t'avaient surnommés rapidement les dunsters lorsqu'au spring break avec les eliots vous vous étiez incrustés à leur match de rugby – t'avais été le gringalet, t'avais été la brindille, mais t'avais pas été si mauvais que ça, et t'avais la chance de compenser avec tes maigres talents. Ton expression devenait septique et tes yeux fixaient le visage de Graham avec un air de méfiance prononcé, lorsqu'il commençait à faire le mec qui avait oublié la clause la plus importante du contrat – et souvent celle qui effaçait le sourire et la joie sur le visage du récepteur. Par chance, il ne demandait qu'un réciproquement de la chose, ce qui n'était qu'une maigre compensation de ta part. « Easyyyyy, j'en ai pleins l'appartement. Ça n'me dérange pas moi. J'étais un très mignon petit garçon en plus. Bon j'avais une addiction bizarre pour les oiseaux, je te l'accorde, mais à par ça j'étais cuuuuutissime. » Tu disais avec un grand sourire de gamin, à l'idée de te souvenir du gosse terrible que tu étais à l'époque. T'avais eu une bonne enfance dans sa globalité, quelque peu stricte évidement, mais assez juste. T'avais eu la chance de voyager dès tes sept ans pour découvrir pleins de pays et de cultures différentes, et t'avais touché à la musique et à divers sports, même si t'étais resté fidèle surtout à la natation et au piano. T'avais été bien plus chanceux que ton petit-copain, c'était évident. Pour la suite, tu ne voulais pas te laisser faire. Si ne plus te voir ne l'intéressait que peu, tu allais pousser le bouchon encore plus loin. Il n'était pas le seul entre vous deux à avoir le droit d'annoncer de grosses menaces qui te faisaient toujours plier pour concéder. Cette fois-ci c'était toi qui décidais, et tant pis si tu te punissais en même temps, tant pis si tu devrais réellement laisser Malfoy avec Charlie tous les jours pendant un mois, tu serais prêt à le faire rien que pour tenir sur tes positions et pour lui montrer à son tour l'envers du décors. Tu essayais de rester sérieux alors qu'il te répondait que cette nuit serait la dernière, mais tu ne pouvais retenir ton sourire qui prenait place sur ton visage devant le regard qui te toisait de Graham. Tu secouais ton index devant sa tête, comme si tu reprenais un petit garçon pas sage qui venait de faire une bêtise. « Toxique j'ai dis ! Le mot précis, c'est to-xique. » On y croit tous Nemo. D'ailleurs, c'était peut-être toi qui devenait nocif pour lui, alors que tu venais t'emparer de son cou après qu'il te laisse décider de la sauce à laquelle tu allais le dévorer. Tu commençais tranquillement, entre douces caresses et baisers plus ou moins marqués, juste assez pour ne pas aller trop loin mais pour lui donner envie de gestes plus appuyés, de caresses plus définies, de plus de tout, tout simplement. Ses mains venaient contre ta taille et te voilà en quelques secondes un peu mieux repositionné contre lui, son dos plus en marge de la grosse parois de la baignoire. Ton visage se relevait un peu pour faire face au sien, tes yeux détaillants ses deux émeraudes qui brillaient de désir, et tu profitais de la sensation de pouvoir retrouver son corps, d'avoir la possibilité de te coller à lui sans être interrompu par des chatouilles qui n'étaient pas les bienvenues, ta main remontant lentement le long de sa colonne vertébrale. Ta bouche se fendaient en un sourire, et tu murmurais un « C'est l'but, c'est toujours le but. » avant de prendre possession de ses lèvre, ses doigts sur ton visage. T'avais envie de lui, t'avais toujours envie de lui, c'était bien ça le problème, vraiment. Tu pourrais passer des heures à chérir son corps sans éprouver une once de lassitude, tu le savais bien. Tes ongles griffaient légèrement son épaule de le sentir si réceptif ce soir, et tu soupirais d'aise entre deux baisers passionnés, ton bassin commençant à onduler contre le siens. Ta main libre glissait le long des formes de son beau torse musclé, et tes yeux devenaient de plus en plus vitreux à mesure que les secondes passaient, et qu'il te donnait envie d'aller encore plus loin avec lui. Tu pressais quelque secondes ton entre-jambe contre la sienne, tes paupières se closant à la sensation, ton soupir s'échappant contre ses lèvres.

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« L’argent ne fait pas le bonheur, je sais que c’est cliché mais j’en suis la preuve vivante. » J’ai toujours très bien survécu sans un tas d’argent, surtout depuis que je suis sorti de prison. J’ai été SDF pendant quelques semaines avant d’être recueilli par Briony et Kayla qui m’ont permis d’avoir un toit au-dessus de la tête pendant plus d’un an pour un loyer très réduit le temps que je puisse régulariser ma situation. Un an dans la merde après m’être endetté pour que mon dossier soit accepté à Harvard, les frais d’inscriptions me tuent chaque année, je passe douze mois à économiser pour tout sacrifier là-dedans à chaque fois et je passe quelques mois supplémentaires à renflouer mes comptes. Il est vrai qu’avec un compte en banque mieux garni je n’aurais pas de soucis à me faire, je pourrais me permettre de voir la vie plus légèrement mais tant que je peux survivre de cette façon je refuse de me plaindre. « Intimider les autres ça a du bon parfois, je te jure, je te montrerais un jour ! » Il a déjà eu l’occasion de s’en rendre compte les rares fois où nous sommes sortis tous les deux. Notre relation étant secrète, vivement l’officialisation censée être plus proche que jamais maintenant qu’il a pris une décision, nous n’avons pas eu beaucoup d’occasions mais certains n’ont pas osé nous approcher ou plus timidement. De quoi bien m’amuser, aujourd’hui je préfère en rire et en jouer plutôt que de faire en sorte de mettre à l’aise les autres en faisant des tonnes de sourires hypocrites. Retour du boomerang oblige, je propose de rajouter une petite clause au contrat, un petit quelque chose qui devrait me motiver à faire le gros effort qu’il attend de moi, qu’il trouve une photo de lui également. Rien qui ne semble au-dessus de ses forces, il semble même plus emballé que jamais, de quoi bien m’emmerder puisque je comptais là-dessus pour gagner du temps. « Les oiseaux, c’est-à-dire ? » Que je me prépare psychologiquement à découvrir des photos étranges, ses parents ont-ils insisté pour immortaliser des moments où leur fils chéri s’amusait en compagnie de ces petits bêtes sauvages ? Les sourires laissent bientôt place aux punitions et je suis prêt à endurer la privation puisque Nemo semble lancé sur une Vendetta justifiée par la main que j’ai tendance à prendre en permanence lorsque nous nous aventurons sur ce terrain-là. Qu’il se méfie, je pourrais aisément choisir de me priver un petit peu plus en oubliant l’existence de mon téléphone, en ajoutant à mon compte Instagram quelques photos de mes séances de sport torse nu et quelques sorties… Juste pour bien le rendre jaloux et le ramener au plus vite près de mes gros bras. Je passe aux menaces à mon tour, ce soir sera le dernier puisque je suis néfaste. Nemo tente bien entendu de se rattraper mais je ne veux rien entendre, sourde oreille je serais jusqu’au bout. Je ferme les yeux et hoche la tête de droite à gauche. « Non, c’est trop tard, je disparais de ta vie dans quelques heures ! » Difficile d’affirmer une telle chose avec conviction lorsque Nemo passe à l’attaque de manière inédite, plus incisive. Le temps s’arrête, j’en ai l’impression en tout cas, la mousse doit avoir pris le dessus sur nous deux, nous sommes sur un petit nuage, englués dans une bulle protectrice et bercés par une ambiance tamisée, humide et enclin aux rapprochements de toutes sortes. Je n’ai jamais été aussi près de tout oublier, je ne désire rien de plus que de faire l’impasse sur mes peurs, il m’aidera à entamer le processus, je le sais. Ses baisers m’éloignent de mes appréhensions, ses doigts réchauffent mon âme et son corps que je lie au miens se charge de faire exploser le baromètre. Plus rien n’a d’importance si ce n’est lui, ses yeux divins et sa peau que je me vois bien chérir pour le restant de mes jours. Il s’aventure pour la première fois en terre inconnue, je sens ses doigts effleurer ce soldat trop longtemps laissé pour mort et plus vivant que jamais, prêt à affronter un nouveau combat, paré pour une guerre éreintante mais tellement salvatrice. Mes mains contournent ses jambes, remontent le long de ses cuisses et s’arrêtent sur ses lobes fessiers que je caresse, désireux de le découvrir, de l’explorer à ma guise et bien plus encore. « Apprends-moi ! » Montre-moi le chemin à suivre, fais de moi un homme nouveau, accompagne-moi le long de cette route sans jamais m’abandonner. Il le faut pour aller de l'avant.
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« Je sais, j'ai pas dit ça. Je sais que tu peux sûrement faire le MacGyver et te débrouiller avec un rien. C'est juste que ça peut aider au confort. » Tu savais qu'il était fort. Tu savais qu'il lui suffisait de pas grand-chose pour qu'il se démerde avec et l'utilise à bon escient afin de pouvoir être responsable de lui-même et payer tout ce qu'il devait payer. Et d'une part son engagement et sa détermination portaient ses fruits puisque aujourd’hui il avait réussi à se prendre son propre appartement et à enfin redémarrer sa vie du bon pied. Tu disais juste qu'il était tout de même mieux que tu le laisses seul au trône de Roi des vilains qui ne rapporte rien afin que tu puisses aider avec ce que toi tu avais, plutôt que de tenter de piquer sa place et de vous retrouver tous les deux sans rien. Enfin, c'était là ta logique, même si au fond la question ne se posait pas vraiment puisque Roi des vilains ce n'était ni un vrai titre, ni une vraie situation. « Ah oui ? J'attendrais de voir ça, j'suis pas assez intimidant moi. Tu crois que tes astuces me suffiront sans que je n'ai à ressembler à un bodybuilder ? » Tu lui demandais alors qu'il te proposait de te montrer en quoi intimider les gens avait du bon. Ce n'était pas ce que tu préférais inspirer chez l'autre comme ressenti avant même que la personne ne te connaisse, et même si tu l'aurais souhaité, tu n'étais pas certains qu'avec ta silhouette ça aurait pu être très concluant. Une chance pour toi que dans ton esprit, tu voulais être quelqu'un d'accessible et de sympathique, qui n'allait pas regarder de haut l'autre ni être profondément méchant. T'étais le genre de mec toujours partant pour gratter l'amitié, ce n'était pas vraiment difficile de se faire apprécier par toi. Mais d'un autre côté tu pouvais comprendre la facette intéressante de l'intimidation naturelle. En imposer limitait souvent la probabilité de se faire emmerder par qui que ce soit – t'avait juste envie de savoir si c'était possible sans rien avoir à changer de ton physique, parce que tu ne te sentais pas devenir un mec affreusement musclé juste pour cela. Voilà Graham qui changeait rapidement sa promesse en te demandant à ton tour une photo de toi, mais ça t'enchantait franchement parce que tu adorais les photos d'enfance, que ce soit pour ton simple plaisir ou les partager. C'était toujours des moments assez drôles lorsque vous faisiez ça en famille, à se moquer de la mode d'avant ou d'une anecdote qui revenait en tête sur certaines photographies. « J'sais pas. Autant je pouvais être casse-cou et courir partout dans le palais, autant dès que je voyais un oiseau je pouvais rester des heures sans bouger à l'observer vivre. Tu vas me dire que c'est vraiment le dernier animal intéressant à regarder parmi tous les animaux, mais je les trouve poétique avec leurs ailes colorés et ils me fascinaient. » Tu te souvenais, car même si tu avais un rapport assez similaire avec ces bêtes aujourd'hui, lorsque tu étais petit c'était encore plus prononcé. Les oiseaux avaient toujours eu la particularité de te calmer, et tu savais que lors de ces moments, il y avait toujours une présence du palais qui regardait la scène avec un sourire attendri. Ils s'en étaient tous rapidement rendu compte, et ça avait été comme une aubaine pour le petit garçon hyperactif et explorateur que tu étais. T'étais même allé jusqu'à apprendre à en dessiner de plusieurs espèces parfaitement – t'étais vraiment pas mauvais en dessin, il suffisait de voir tes talents en bodypainting, mais pour cet animal tu n'avais même plus besoin de modèle quelconque. Tu en profitais ensuite pour l'embêter, ou du moins camper sur tes positions pour lui montrer qu'il n'était pas le seul homme têtu de la pièce, malgré ce qu'il pouvait en penser. Et même lorsqu'il entrait dans ton jeu, même lorsque à son tour il répondait favorablement à tout ce que tu disais, tu tenais bon, sûrement avec bien plus de facilité lorsque chacun de vous pouvait voir l'amusement dans les yeux ou les gestes de l'autre. Il fermait d'ailleurs tout d'un coup ses prunelles, et il secouait sa tête, affirmant à nouveau son départ pour le grand large dans quelques heures. Ce qui te donnait envie encore plus de t'amuser. « Quelques heures seulement ? J'pensais que l'homme en toi aurait bondit hors de l'eau d'un coup et n'aurait pas attendu pour faire ses clic et ses clac. » Tu raisonnais dans un sourire quelque peu ironique qu'il ne voyait pas encore, alors que tu venais poser ta main sur son torse. Oui, tu disais ça, mais tu n'avais bien évidement pas la réelle envie qu'il se casse aussi rapidement. Heureusement pour toi ce ne fut pas le cas, bien loin de cela d'ailleurs, puisque vous finissiez par être bien plus tactile qu'au départ, si on prenait également en compte le fait que vous étiez déjà complètement dénudés. La musique qui sortait du portable de Graham n'était qu'un fond sonore sur lequel tu ne te concentrais pas, mais qui était néanmoins appréciable dans ce genre de situation. Tes envies se décuplaient un peu plus chaque seconde qui passait, avec le désir d'effacer tous les horribles souvenirs qui le hantait par rapport au sexe, chose qui t'était impossible – et te frustrait. Alors tu te concentrais sur la tâche de rendre ce petit moment le plus plaisant possible, à caresser sa peau, à embrasser à en perdre haleine sa bouche délicieuse, à laisser vos corps se répondre mutuellement de chaque geste que vous entrepreniez. Tu tentais d'aller plus loin, allant effleurer du bout des doigts entre ses jambes, comme pour l'alerter, comme pour prendre la température. Un frisson de plaisir te parcourait quant au cheminement de ses mains, et tu levais tes yeux vers lui à l'entente de ses mots, collant ton front au sien, un bras glissant autour de son cou pour rester proche de lui. « On est pas obligé de faire la totale maintenant tu sais... Le plus important, c'est le plaisir que tu ressens, et le mien. » Tu commençais par dire, ton souffle contre sa joue. Ce n'était peut-être pas la réponse la plus romantique et glamour après qu'il ai déclaré son envie d'apprendre, et peut-être qu'il aurait préféré que tu prennes les devants et que tu lui montres, mais tu considérais que c'était une discussion importante entre vous deux, comme un passage obligatoire. Vous n'aviez jamais parlé sérieusement de relations sexuelles depuis que vous étiez ensemble. Tu savais ce qu'il avait subit, et par rapport à ça tu supposais le comportement que tu devais avoir, à ne pas le bousculer, à ne pas le forcer, à vous laisser prendre votre temps. Mais à part ça, tu ne savais pas réellement ce qui pouvait entraîner un sentiment de malaise chez lui, dans les gestes que tu pouvais avoir ou parties du corps que tu pouvais toucher, ni jusqu'où il serait tenté d'aller pour votre première fois. A prendre également en compte que tu avais souvent été l'actif lors de tes couples – pas toujours lorsque ton copain était également versatile, mais la plupart du temps – et que pour le coup, tu étais septique et nerveux de son ressenti sur le sujet, de la confiance qu'il pouvait t'accorder après ce qu'il avait affronté, et que tu devrais sûrement lui donner confiance et l'aider à aller de l'avant s'il se retrouvait d'abord actif, et non dans une position qui décuplerait sa vulnérabilité. A part ça, t'oubliais pas qu'il y avait d'autres possibilités que de faire absolument tout, et tu essayais d'être un peu plus renseigné sur les probabilités du moment en lui posant cette question, étant donné qu'au dernier cas, il vous faudrait sûrement changer d'endroit entre temps histoire de se munir de capote et de lubrifiant.

NEMHAM  
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« C’est sûr que ça peut aider ! » Je n’ai jamais vraiment eu l’occasion d’en attester, l’argent j’en ai toujours eu le minimum syndical pour survivre et me permettre de mettre de côté histoire de m’offrir quelques vacances ou de céder à certains moments de folie… Rien de plus, je reste très précaire dans ma situation actuellement, les études à Harvard coutent une fortune et la moitié de mon salaire de maitre-nageur passe là-dedans, les frais d’inscription que j’ai pu faire échelonner de sorte à payer chaque mois plutôt qu’une seule fois d’un coup. Je ne vais pas m’en plaindre, je me donne les moyens de réussir quitte à faire quelques sacrifices en route. Je n’ai de toute manière pas d’alternatives, je n’ai personne pour me soutenir, ma mère préfère dépenser des fortunes en avocats pour faire de ma vie un enfer et me renvoyer en prison si une erreur était découverte dans mes procès. Pourvu qu’elle n’arrive jamais à ses fins car j’ignore si je survivrai à la prison une nouvelle fois. Inspirer la méfiance, intimider à défaut, au début je pensais qu’il n’y avait rien de pire. J’ai tellement mal vécu l’isolation imposée par les autres et par leurs craintes à l’hypothèse d’apprendre à connaitre le mec qui a assassiné son propre père. Je ne peux pas leur en vouloir, je ne me serais pas approché non plus… Je crois qu’aujourd’hui j’apprécie de ne pas toujours être ce mec que tout le monde se sent capable d’aborder, je peux saluer le courage de ceux qui osent le faire et plus facilement baisser la garde. « Tu n’as pas besoin d’être musclé pour cela, l’attitude, le regard… Tu n’as besoin de rien de plus ! » Je suis peut-être très musclé et imposant physiquement mais mon visage est la clé, il est très fermé, enfin il l’était, il aurait tendance à être bien plus honnête et à remiser la poker face au placard au contact de Nemo qui brise mes barrières les unes après les autres, difficile de ne pas se dérider à son contact, il est tellement bon pour moi, pour ma vie… Essentiel à ce que je veux devenir, à l’image que je me représente de mon futur. Il est persuasif, beaucoup trop à mon goût et me convainc de réfléchir à ressortir quelques photos de mes premières années de vie, il ne va pas être déçu du voyage, les rares pièces d’archives me concernant sont assez amusantes. Probablement autant que celles de Nemo que j’imagine assez bien avoir été mis dans des positions assez étranges par sa famille pour les « portraits » et toutes les bêtises protocolaires. Il aurait eu un calendrier spécialement conçu sur lui que je ne serais même pas surpris. En plus d’être persuasif ce petit diablotin est têtu et inverse la tendance, je ne trouve pas les mots pour le contredire, je me retrouve emmerdé face à un Nemo qui contredit chacune de mes allégations, j’ignore s’il a appris tout cela à mon contact ou non mais il me donne envie le matériel nécessaire pour jouer. « Peut-être que j’ai songé à le faire… Sauf que nous sommes ici chez moi ! » Je termine en me mordillant la lèvre, je ne serais donc logiquement pas celui qui prendra la fuite après avoir fait ses valises. Je pourrais le faire, fresh start, sauf que dans les faits je n’ai pas assez d’argent pour me permettre une telle chose. Je ne compte pas le faire de toute manière, pourquoi voudrais-je partir alors que Nemo s’apprête à faire un pas vers moi ? Il a les cartes en mains, tiendra-t-il sa promesse ? J’aimerais garder cela en tête mais mon esprit est ailleurs, mes songes me quittent pour se heurter à un mur de béton nommé désir. Difficile de ne pas avoir envie de chérir comme il se doit un tel être, une telle beauté fatale, j’ai tenu bon par peur de l’inconnu, effrayé par les mauvaises expériences de mon passé, marqué par la violence que j’associe au sexe entre deux hommes. Je n’ai jamais été consentant, tout est différent à présent. Nemo prend les devants, inquiet, dans la précaution et je ne peux que saluer cela, il me connait, il sait qu’il faudra y aller doucement, ne pas prendre de risques et ne pas être trop gourmand. « Je ne veux pas réfléchir à tout cela, laissons le naturel primer ! » Je marque une pause, effleure ses lèvres, hésitant. « Peut-être… Je me sentirais plus à l’aise si j’étais… Tu sais… Actif. » Juste pour cette fois, step by step.
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« Ok, donc tu dois m'apprendre à devenir une biatch du regard. » Tu comprenais, sautillant légèrement sur place. Juste quelque chose que tu puisses ressortir lors de certaines occasions, pas quelque chose que tu porterais en permanence évidement. Un regard qui puisse forcer la personne en face, à la seule vue de celui-ci, à remettre en question tous les choix fait dans sa vie, et plus particulièrement le très mauvais envers toi qui t'oblige à sortir cette technique du regard de biatch. Peut-être qu'au final, ce qu'il te fallait aussi, c'était un radar pour les personnes hypocrites, ou qui identifierait à ta première rencontre avec de nouvelles têtes, celles qui te feraient du mal dans un avenir proche ou lointain. Ça t'aurait tellement aidé dans le passé, ça aurait pu te permettre de te préparer psychologiquement à l'inévitable, ça t'aurait permis également de te protéger d'une manière ou d'une autre afin que lorsque le moment de la trahison aurait sonné, tu aies un rempart contre cette souffrance qui voudrait te submerger. Ça t'aurait également permis de mieux choisir les personnes auxquelles tu confierais ta confiance, de les choisir avec parcimonie, et pas de la donner comme un cadeau dans un kinder surprise au premier sourire amical. Ça t'aurait peut-être fait moins mal, quand May t'avait racontée ce que Tate et Alejandro disaient sur toi lorsque tu n'étais pas là juste après que tu deviennes vice-président. Mais après tout, c'était ça aussi qui te faisait grandir. C'était les coups, les trahisons, les amitiés perdues par des homophobes bidons, et tout ça t'avait appris à être bien plus rancunier et peut-être même trop gamin, à jamais vraiment arrivé à accepter une excuse du premier coup par soucis de fierté. Tu lui racontais ensuite ta passion pour les oiseaux, puis tu t'amusais grandement à le taquiner, alors qu'il assurait qu'il partirait bientôt pour ne plus gâcher une seconde de ta vie. Et pourquoi pas tout de suite, Hm ? « Mince alors... Je pensais que t'aurais oublié, que tu serais parti et que j'aurais pu m'installer pépère ici, ni vu ni connu. » Tu te moquais d'une moue très déçue, tes doigts venant remonter de son cou à sa nuque. Bon en même temps, tu ne te voyais pas lui voler son appartement alors que tu étais déjà très bien dans celui que tu partageais avec ta meilleure amie – son chat démoniaque et ses problèmes avec les chiens en moins. Puis t'avais pleins de questions qui défilaient dans ta tête. Est-ce que vous alliez vraiment faire ça ? Est-ce que vous étiez prêt ? Est-ce que ce ne serait qu'une approche ou l'acte entier ? Est-ce qu'il te faisait assez confiance pour ça ? Est-ce qu'il serait confortable dans une telle intimité ? Que d'interrogations qu'il te faudrait taire afin de ne pas commencer à stresser sur les moindres petits gestes qui accompagneraient tes envies sur son corps nu, au lieu de profiter de l'instant présent. Il te disait lui-même qu'il ne souhaitait pas réfléchir à tout cela, qu'il préférait sûrement laisser les choses se faire naturellement, ce dont tu étais moins habitué. Disons que cet acte d'amour était toujours un acte assez spontané, mais tu voulais tellement faire attention et prendre tes précautions pour vous deux que ça allait te faire bizarre, de juste, tenter de ne pas penser à tout son passé et à ce qu'il avait pu subir il y a des années. Il répondait à l'une de tes hypothèses tout de même, celui de savoir ce qu'il préférait faire pour cette première fois. C'était toujours un sujet assez important dans les couples homosexuels, ça ne coulait pas de source comme si ça aurait pu être toi et une femme random. Soit les gens ne s'en cachaient pas dès les premiers rendez-vous, soit c'était un détail qu'on apprenait lorsque l'on était en passe de faire la chose, et on croisait les doigts pour cela matche avec la personne d'en face : deux passifs ensemble, c'était clairement pas la joie. Tu hochais doucement ton visage, tes doigts venant caresser sa joue doucement. « Ouais, je pense aussi. » Tu lui répondais dans un petit sourire rassurant, avant de t'accorder quelques nouveaux baisers, puis de te redresser complètement, tendant ses mains vers lui pour l'aider à se relever à son tour. « Viens, on sort. L'eau va être froide et ça ne va pas être confortable ici. » La majorité de la mousse avait de toutes manières déjà disparue, et tu préférais privilégier le confort d'un bon lit – on pouvait dire ce que l'on voulait, il n'y avait rien de mieux. Une fois sorti de la baignoire, tu passais une serviette sur chacune de vos épaules, histoire de rapidement se sécher, puis tu attrapais ses mains et tu sortais de la pièce, marchant en arrière jusqu'à la chambre de Graham en tentant de ne pas te casser la gueule. Là, tu continuais, tournant légèrement dans le sens, afin que le blond se retrouve lui dos face au lit, et tu finissais par le pousser doucement sur le matelas, lui volant un dernier baiser. « Je reviens. » Tu le renseignais de ta voix basse, avant de quitter rapidement la chambre pour aller fouiller dans ta valise, afin d'en ressortir deux items très importants. T'étais toujours préparé pour ce genre d'éventualité, afin d'éviter de devoir complètement renoncer au moment si jamais celui-ci arrivait, et il fallait dire que tu avais plutôt bien fait – tu ne voyais pas encore Graham allant faire ce genre d’emplettes. Tu revenais rapidement, fermant la porte au passage, et tu lui adressais un petit sourire alors que tu déposais capote et petit tube de lubrifiant à ses côtés sur le lit, espérant ne plus avoir à faire d'autres aller-retour. Tu revenais contre lui, ton torse contre le sien, vos jambes emmêlées, et tu caressais le long de sa hanche tout en vous détendant de quelques longs baisers, prenant le temps de ravir avec passion ses lèvres, jusqu'à ce qu'elles soient adorablement rosées et légèrement gonflées par trop de baisers. Tu reprenais lentement le chemin de la passion que tu dû légèrement briser par ton petit voyage, et tu venais t'aventurer une nouvelle fois vers ses cuisses, ta main attrapant doucement son membre quelques instants plus tard, pour lui prodiguer quelques caresses de plaisir.


Quoi que vous feriez cette nuit, ça faisait longtemps que tu attendais cette opportunité. Ça faisait peut-être hypocrite dit comme cela, toi qui affirmais toujours n'avoir pas de problème avec cette abstinence forcée – et c'était vrai, après tout, il y avait toujours le merveilleux art de la masturbation et du fantasme imaginé. Mais c'était toujours un pas de plus, un minuscule petit pas de plus qui pourtant portait une grande importance dan votre relation. Il ne te suffisait que de ça, pour garder confiance en toi face à quelqu'un n'étant pas à l'aise avec le fait d'être intime avec un autre homme. C’était sûrement dur de dire ça, mais tu avais toi-même mis fin à une relation avec l'un de tes anciens petits-amis car il ne voulait pas encore coucher avec toi. C'était pas ça en soit qui t'avait amené à la rupture, non. Tu respectais totalement ses choix de vie et s'il voulait attendre pour le mariage, c'était bien pour lui. Mais il n'y avait eu aucune envie, aucun désir qui jamais n'avait illuminé ses yeux en te regardant, et ça avait fini par être un poids pour toi, d'avoir la sensation de ne pas être aimé ni souhaité dans un couple. Malgré ses soucis avec l'homosexualité et l'acte entre deux hommes, Graham ne t'avait encore jamais fait sentir comme si tu étais un intrus ou une pièce non désirée dans ce couple atypique, ce dont tu le remerciais infiniment. Tu venais changer les positions, t'allongeant sur le lit face à l'imposant torse musclé du sportif sur toi, et tu passais tes jambes un peu plus en hauteur, reposant tes chevilles sur ses épaules, passant ta langue sur tes lèvres d'anticipation. Tu jetais un coup d'oeil rapide au tube près de vous, puis tu remontais ton regard sur son visage. « Tu te sens de le faire ou j'me prépare ? » Tu murmurais doucement, ne mourant que d'envie de passer à l'étape suivante. C'était assez drôle de te voir comme ceci, l'air tout de même moins assuré quand tu devais être l'espèce de guide entre vous, c'était sûrement bizarre d'être toi-même dans une position que tu connaissais moins bien, mais on pouvait dire que tu faisais ça par amour – juste histoire de pouvoir faire taire Graham lorsqu'il disait le contraire. Tes doigts caressaient délicatement les traits de son visage, et tu embrassais son front, puis sa joue, puis l'autre joue, avant de lui lancer un petit sourire amusé. « C'est là qu'entre en scène le tube magiiiiiiiiiiique ! » Tu t'exclamais dans un petit rire – pas sûre que ça détende l'ambiance ou vous relaxe mais tant pis – ta seconde main attrapant ledit objet et le remuant deux secondes devant le nez de Graham, sûrement un peu trop près pour qu'il n'y déchiffre quoi que ce soit. Quoi, il t'avait demandé de lui apprendre comment faire non ? Et ça, c'était trop important pour oublier.

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« Tu as tout compris, regard de biatch basique, ce qui se fait de mieux, simple et efficace. » J’esquisse un large sourire, m’imaginant déjà en pleine action, en train de lui prodiguer de précieux conseils pour qu’il puisse prendre le coup et le reprendre sur de très étranges exercices de regard. Il aurait quelques préparations d’une séance à une autre et se retrouverait surement à devoir s’entrainer en fixant son miroir, vous savez, comme les sims lorsqu’ils essaient d’améliorer leurs compétences en charisme. Novice deviendra professionnel et jeune Padawan terminera au sommet. De plus, Nemo m’a l’air de ne pas avoir trop de difficultés lorsqu’il est question d’adaptation, il ne devrait donc pas avoir le moindre mal à travailler rapidement sur ce fameux regard, peut-être même qu’il s’en sortira mieux que moi. Il lui manque certes la carrure et les grosses expériences merdiques pour rendre le tout crédible mais je me refuse à le sous-estimer. Le petit en a sous la semelle, il est bien parvenu à me séduire alors qu’il n’y avait pas plus hétérosexuel que moi après mes folles aventures en prison. L’heure n’est à présent plus aux débats, aux disputes, aux grandes décisions qui mettent en péril l’avenir de notre couple. Ce que je m’apprête à faire n’en est pour autant pas moins important, je saute un pas très symbolique et je le fais sans éprouver le moindre regret. J’ai peur, bien entendu, mais j’ai totalement confiance en Nemo, je n’imagine personne d’autre que lui pour faire s’envoler mes peurs et me guider sur cette route qui est encore bien trop parsemée d’embûches. La tâche est double ce soir, effacer de ma mémoire les mauvais souvenirs, la connotation violente et opposante et faire naitre le plaisir. J’ai besoin de ne plus associer tout cela à la douleur, à la honte et au dégoût de soi, le processus est périlleux mais la présence de mon petit-ami ne peut que me rassurer.

Je le suis, le cœur battant à tout rompre jusque dans ma chambre, il est si brave, courageux, beau en diable et s’apprête à me faire succomber, à m’initier. Mes muscles sont contractés, mes jambes flagellent, je tremble de plaisir et d’appréhension… Beaucoup de sentiments contraires s’entrechoquent et m’empêchent de trop pouvoir me concentrer sur mes pensées, tant mieux, je n’ai pas besoin de réfléchir, ce serait prendre le risque de reconsidérer cette envie de plus en plus oppressante que j’ai envie de sauter le pas. Il ne s’agit pas d’une envie primaire et purement sexuelle, il est plutôt question de besoin, j’en ai cruellement besoin. Il me pousse et je m’allonge sagement sur ce lit moelleux, les couvertures réchauffant instantanément ma peau complètement dénudée. « Fais vite ! » Je le taquine en me mordillant la lèvre inférieure, il me tourne le dos et me laisse admirer pendant un trop bref instant ses courbes parfaites, de quoi alimenter un petit peu plus mon imagination déjà débordante et mettre un coup de fouet à mon excitation pas loin du paroxysme. Dieu merci, il ne tarde pas à me retrouver, ferme la porte de la chambre pour nous offrir cette intimité qui ne peut que rassurer, personne ne viendra nous interrompre de toute manière, nous sommes tous les deux, Malfoy est allongé sur le canapé dans le salon, il a déjà entamé sa nuit. Ma peau me brûle, soumise à beaucoup trop de tentations. Il me rejoint, brise la distance pour nourrir ma peau de la sienne, le contact est doux, bouillant et il ne m’en faut pas plus pour que le temps s’arrête. Plus rien n’a d’importance, pas même le manque de romantisme évident se dégageant des paroles de Nemo lorsqu’il me balance le tube de lubrifiant et les préservatifs. Il a tout prévu, un sourire mutin étire mes lèvres et je constate, coquin. « Tu attendais cela depuis combien de temps dis-moi ? » Je lui en aurais définitivement fait voir de toutes les couleurs, il a bien mérité une récompense, je m’apprête à nous récompenser tous les deux, à briser une nouvelle barrière.

Il m’abandonne à nouveau et mon âme se morfond, hurle de douleur, soumise à un manque insupportable. J’ai besoin qu’il revienne, qu’il me touche à nouveau, que ses lèvres m’embrasent comme lui seul sait le faire. Heureusement pour nous il a tout prévu. Ses chevilles longent mon torse pour atteindre le point de ralliement sur mes épaules, je l’admire un instant, assailli par de nombreuses pulsions, forcé de m’autocensurer pour ne pas laisser exploser toute cette frustration encaissée depuis des mois et des mois. Nemo a surement beaucoup plus souffert de ce désir ardent, lui qui est déjà habitué aux interactions entre deux hommes mais croyez-moi que je l’ai ressenti aussi, je n’ai jamais autant désiré quelqu’un de toute mon existence. « Je m’en charge ! » Il me nargue avec cette bouteille que j’attrape sans en demander l’autorisation, je retire le bouchon et exerce une pression pour faire ressortir le liquide que j’applique avec douceur du côté du fruit de mon désir. « Je dois… Tu sais… Te préparer à ma venue ? » Je demande timidement, je crois savoir qu’il sera plus simple pour lui de supporter la pénétration si mes doigts me devancent au préalable. Mon pénis est tendu, les veines gonflées par le sang, mes terminaisons nerveuses sont sensibles et le simple fait de sentir ma verge frotter contre ses lobes fessiers me ferait perdre le contrôle. Après quasiment un an d’abstinence je vais devoir prendre sur moi et être très concentré si je ne veux pas avoir terminé avant même d’avoir commencé. Ce soir il n’est pas uniquement question de mon plaisir mais également du sien, son plaisir m’importe plus que le mien, je veux le rendre accro, qu’il en redemande encore et encore.

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Le voilà qu'il se moquait de toi, un sourire bien trop amusé sur son visage de diablotin, ayant remarqué que tu étais en effet un peu trop bien préparé pour ce soir-là, lorsque jamais vous n'aviez prévu de passer à l'étape suivante, surtout si on se souvenait que tu n'avais même pas encore choisi quelle direction allait prendre ta vie une heure auparavant. Tu ne pouvais tout de même que lui répondre, étirant un sourire taquin, tes joues légèrement colorées de te faire un peu prendre la main dans le sac dans la plus mauvaise des situations. « Chhhhh, tu ne peux pas te moquer de moi chéri. Je te l'interdis formellement. Je préfère être toujours préparé plutôt que de me retrouver dans une situation où on devrait tout arrêter parce qu'on à rien du tout pour faire quoi que ce soit, tu vois ? Imagine deux secondes ce qu'il devrait se passer si je n'étais pas Nemo l'prévoyant, et reviens me dire merci après. » Tu répliquais, une lueur espiègle dansant au fond de tes iris, alors que oui, tu avais tout de même attendu cela, sachant très bien que ça viendrait sûrement un jour – ou du moins tu croisais les doigts pour - que ce soit dans deux semaines, six mois, ou même deux ans plus tard. T'aurais attendu, tant que votre couple se serait tenu fort, tant que tu ne te serais pas senti comme une présence sans importance à ses côtés, par amour. Mais lui semblait vouloir essayer, vouloir faire de gros efforts de son côté, combattre ses souvenirs et se faire violence, chose que tu n'aurais même pas espéré si tôt dans votre relation, mais que tu chérissais ardemment.

Tu revenais donc contre lui, touchant son corps sans plus attendre, retrouvant un contact entre ta peau et sa peau qui te faisait tant envie, qui provoquait un feu en toi, et qui mettait tous tes sens en alerte, pour plus de sensations, plus de toucher, plus de tout. Tu venais te positionner un petit peu plus différemment que tu l'aurais fait d'habitude, afin de facilité l'accès, s'il voulait le faire lui-même – puis même s'il ne se sentait pas encore de faire ce genre de préliminaires sur toi, ça pouvait totalement t'aider pour toi. Tu lâchais un rire tendre lorsqu'il annonçait qu'il s'en chargeait, comme un petit soldat enthousiaste de partir à la guerre, et il attrapait le petit tube de lubrifiant que tu secouais devant son visage quelques secondes auparavant. Tu le regardais ouvrir le bouchon, puis en mettre sur ses doigts, et ton cœur ratait un battement, toujours surpris de la sensation du produit froid qu'il étalait, ta respiration se faisant plus saccadée par rapport à l'endroit dont il s'occupait. Il te demandait, d'un air bien plus timide qui lui allait si bien, s'il devait te préparer en bonne et due forme, et tu lâchais un petit rire, ta main venant caresser lentement le long de son bras.  « Ouais, vaut mieux. Si tu n'veux pas que je te force à arrêter en plein milieu, tu vois ? » Tu répondais dans un petit sourire en coin, tentant tout de même de ne pas aller jusqu'à lui dire un petit « toi-même tu sais », parce qui si quelqu'un devait savoir à quel point être pris sans préparation était extrêmement douloureux, c'était lui, malheureusement. Tu mordais doucement ta lèvre lorsque tu sentais déjà son membre qui taquinait ton entrée, et tu fermais à demi tes paupières, essayant de rester calme face au plaisir que tu ressentirais de manière décuplée très bientôt. Tes doigts venaient se balader sur la cuisse de Graham, et tes yeux restaient posés sur son beau visage de tendre inexpérimenté – même si au final, si vraiment on ne voulait pas s'embêter, c'était pratiquement comme avec une fille. Il fallait faire attention, s'octroyer de longs préliminaires, être doux, il n'y avait que l'endroit qui déviait, pas la manière. « Fait juste doucement ok ? Ça fait aussi un petit moment pour moi. » Tu le conseillais dans un petit clin d'oeil, puis tu expirais lentement, afin de détendre au plus possible ton corps, pour éviter certaines douleurs qui voudraient en plus compliquer les choses.

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