I hate you, really Girl. (Robinou)

I hate you, really Girl

Maly n'avait aucune arrière pensées cachés. Il ne cherchait absolument pas à l'insulter, bien au contraire. C'était juste Malachy, le mec qui en voulant dire quelque chose de gentil, finissait par, semble-t-il vous insulter à son insu. Il était là avec Robin, et il soupira en l'entendant lui demander si il la prenait vraiment pour un chien. Il avait soudainement envie de se taire et de s'en aller. A croire que personne ne comprenait jamais rien à ce qu'il disait, et ça commençait à l'ennuyer. Il y avait déjà Camille, et c'était largement suffisant pour lui, alors si elle s'y mettait, nul doute qu'il finirait par déprimé. Il soupira une nouvelle fois avant de lui répondre.
« Je t'ai dit que je t'aimais d'accord? Sauf que je suis pas comme Nate, ou Camille. Je voulais juste pas que tu te fasses des idées ou je sais pas quoi c'est tout. Et j'ai rien trouver de mieux, parce qu'un enfant il adore son chien, je te parle des humains normaux, pas les trous du culs qui maltraitent leurs animaux hein. Mais tu vois un enfant ça aime profondément son chien, et c'est triste quand il meurt, ou quand il va pas bien, ou bref ce genre là. T'es pas ma soeur, et j'aurais jamais le genre de sentiment que j'ai eut pour Camille, pour toi. C'est tout, alors pitié ne prend pas ça mal c'était vraiment pas le but, d'accord? » Les relations sociales, des fois c'est compliqué, surtout uqand on est un blond et qu'on dit de la merde dès qu'on ouvre la bouche.

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I hate you, really Girl

Malachy était le roi des boulettes et des compliments bancales de toute évidence. Il essayait de se dépatouiller de son évidente maladresse, quand la blondinette toute frêle posa sa tête sur son épaule. Blondinet tout triste ne bougea pas d'un pouce bien trop content qu'elle ne lui en veuille pas, sa seconde blondinette préférée. Il arqua quand même les sourcils en l'écoutant parler, ils étaient compliqué ces deux là, d'un autre côté, avec Camille c'était loin d'être aussi simple qu'il l'aurait voulu. on était pas dans un film, et même si il allait vers lui pour lui dire qu'il l'aimait, ça ne changerait malheureusement rien à la situation, la vie réelle est tellement bien plus compliqué que les films que camille a pu voir avec sa mère. «Je pense pas qu'il te déteste. Toute façon, si y'a des disputes c'est que vous avez encore de l'intérêt l'un pour l'autre.» Alors de ce côté là avec Camille c'était la fiesta, et Maly ça le déprimait quand même, les disputes c'est bien uniquement si ça permet de se sentir plus proche de l'autre, et pas encore plus éloigné. Il soupira en l'écoutant. « Les Eliot, ce sont tous des sales pervers tordus de toute façon. » Entre Adrian qui lui avait volé un baiser. Son ex Eliot a qui il aimerait tordre le cou, et Shunzei... Ah non les Eliot ce sont vraiment des ordures. Il soupira une nouvelle fois, restant contre la belle demoiselle Mather qui l'accompagnait. « La vie. C'est nase.» Exactement ce qu'il pensait mot pour mot en cet instant.

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