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SOLVEAN ♡ i'm not a parano.

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Je n'avais pas peur pour l'avenir, non j'étais persuadée qu'il serait beau. J'avais juste peur des autres. De Cambridge's Secrets et ses rumeurs à la con et infondées, des personnes qui pourraient se mettre en lui et moi. Un couple, c'est censé être deux personnes mais quand tu as trois putes et quatre cons qui s'en mêlent ça fait une relation polygame. C'est pour cela que je voulais que notre relation soit la plus discrète possible pour que le moins de personnes s'en mêlent. Mais forcément, il y aurait un jour où j'en aurais marre, où je serais fatiguée de me cacher et que donc tout le monde le saura et j'assumerais. Après, il y avait aussi notre problème de statut. Je n'étais plus qu'une simple élève et il était toujours professeur. Je savais bien que le doyen en avait visiblement rien à secouer des histoires de coeur de ses élèves, mais la, cela impliquait directement un professeur. Néanmoins, je n'étais pas mineure, j'avais vingt-cinq ans, lui vingt-huit, donc la majorité sexuelle et tout le toutim. A moins que quelqu'un ne porte plainte, je pense que nous sommes tranquilles et vu que je n'ai plus de parents, je peux être sûre que cela ne viendra pas des miens. Mon père ne se prendrait pas la tête pour porter plainte afin de lui porter préjudice, il l'atteindrait directement. En lui faisant la pire des choses possibles dans le but de me dire tu vois, je t'avais prévenue mais je ne voulais pas qu'il me prévienne, je voulais qu'il me laisse tranquille, qu'il me laisse vivre ma vie. J'avais réussi à surmonter le décès de ma mère j'avais réussi à oublier un tant soi peu le trou béant qui s'était formé dans ma poitrine quand elle s'était envolée pour toujours alors que je dormais à ses côtés à l'hôpital, après des longues nuits sans parvenir à le faire. Et lui il n'avait pas été la, il était occupé à envoyer des filles se faire sauter, et à tuer les gens qui le dérangeaient. Depuis combien de temps était-il dans des combines étranges ? Depuis combien de temps faisait-il cela ? Je n'en savais rien. Mais qu'importe, j'étais la, avec lui dans cette voiture, sur ce parking. Je tentais de faire augmenter la température, de lui montrer que j'étais bien avec lui, autant physiquement que mentalement et c'était plus le côté physique que je démontrais pour le moment. Je tentais de l'exciter assez subtilement, lui indiquant que nous ne pouvions pas restés puisque nous étions soi disant attendus, alors que pas du tout. Nos échanges sont à la fois fougueux et tendre, électrique et passionné. Il éveillait en moi des sensations que je ne me connaissais pas, tout mon intérieur était fou de désir pour lui et j'avais très envie de lui, à ce moment précis. L'endroit exigu devait y être pour beaucoup. Ses mains contre ma peau alors que nous nous retrouvons en position semi-allongée, je frissonne légèrement, alors que je viens de fermer les portes, j'entreprend de retirer ma veste mais, comme un boulet, je me coince le bras dans la manche et j'actionne le klaxon « Bon sang ! » que je murmure en riant, après avoir reculé doucement nos lèvres et lorsque je l'entend rire, je ne peux m'empêcher de rire aussi. Je suis vraiment un boulet. Je me cache dans le creux de son cou quand il murmure le sauvetage et je fermais les yeux pour me calmer, puis je les réouvre et il s'applique à plonger son regard dans le mien. Ce qui me tire un sourire en coin. A ces mots, je me replace sur mon siège et je renfile ma veste en souriant, encore une fois, puis j'ouvre la voiture pour en sortir « Je t'attend mon amour ! » Et je cachais mon visage dans mes mains en repartant dans un fou-rire.
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Nous étions en voiture, et j'avais du mal a me dire qu'il y a quelques minutes, nous étions entrain de discuter de son père et de son coté menaçant. C'était un sale type, à écouter ma petite amie. Il avait réussi a installer une peur immense en elle, et rien que pour ça, il mériterait d'apprendre a me connaitre. Sauf que pour ne pas décevoir Solveig, je n'irais pas me jeter dans la gueule du loup. Je ne pouvais pas jouer, je ne pouvais pas me mettre en danger juste pour défendre l'honneur de mon couple. De toute façon, nous ne devons rien a personne. C'est pour ça que d'un coté je ne crains pas les sanctions du doyen, ni les on-dit des habitants de cette ville, ou même de l'autre poule et son journal rempli de rumeurs. Je sais comment est ma relation, je sais qui est la fille avec qui je suis, et je sais ce que je fais. J'espérais vraiment que personne ne pourrait venir semer le doute chez ma rouquine, mais en tout cas, je serais prêt a faire face au monde entier pour lui prouver que je suis sincère et que je l'aime bien plus que je n'ai pu le dire ou l'exprimer. Je tentais de le faire actuellement dans mon véhicule pendant nos caresses et nos baisers qui ne faisaient que monter la température de mon corps sous l'envie que j'avais du sien. J'ai envie de me laisser emporter par la brise de mots d'amours inconcevables, pour le seul souhait de mes entrailles. J'ai envie de créer un nouvel espace où nous serions seuls à fouler le sol.
J'ai envie d'elle, adepte de frisons involontaires. J'ai envie de tout... J'ai envie de tout, et de ne rien manquer d'une sensualité à fleur de peau, qui en caresse fébrile enflammerait bien plus qu'il n'y parait... J'ai envie d'une existence qui se passerait de maux, mais que je pourrais narrer en soupirs saccadés, dont les seules plaintes exprimeraient l'amour déchirant d'une passion avouée... J'ai envie de crier ... de crier au monde entier que le secret de ce conte enivrant se lit au bord de mes lèvres, qu'elle est la seule à frôler, que rien n'est plus beau que nos moments d'intimité. Même quand ces derniers se transforme en un fou rire incontrôlable. Son coude, ou je ne sais quoi, venait de taper contre mon volant en déclenchant le klaxon. Bien sur, je faisais un petit sursaut en ré ouvrant mes yeux sous le son... Et le pouffe de rire suivait automatiquement. Sa petite tête, sa bouille de petite fille qui vient de faire une bêtise mais qui ne peut pas se retenir de me rejoindre dans mes rires. Les yeux dans les yeux, bien que rieurs soient ils, j'annonçais que c'était l'heure de quitter le bolide. Comme ci ce petit élément perturbateur venait simplement nous rappeler le programme de départ. Je souriais, et au fond de moi, je me disais que j'étais tombé amoureux d'elle aussi pour ce coté la. " J'arrive... Boulet! " et j'en reviens a laisser la mélodie de mon rire avec la sienne. Ses mains cachait son visage. Je sors, fermant derrière moi pour éviter de devoir repartir a pied, et je presse le pas, a moitié entrain de courir pour venir a sa hauteur et passer ma main autour de sa taille. J'approche mon visage pour déposer un baiser sur sa joue, et ma bouche se positionne a son oreille pour murmurer " A choisir, je préfère te manger toi au lieu de la gaufre... " Un peu coquin, mais j'affichais une mine joueuse. Je ne sais pas si elle est du genre a parler de sa en public ou alors, si je vais me prendre un coup pour plaisanter en me demandant de me taire.
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Des moments comme ça j'en voudrais toute ma vie, tout comme les moments enfantins et les moments torrides que nous pouvions avoir tout les deux. Dean était la seule personne qui savait la situation actuelle de ma vie familiale et il arrivait à me faire oublier que mon père était un connard fini. Il arrivait aussi à panser mes blessures tellement bien que je me demandais où il avait été pendant tout ce temps, comme j'avais fait pour être loin de lui durant toutes ses années, peut-être que si je l'avais rencontré à la place de Chuck, le passage dépressif de ma vie n'aurait pas existé, mais peut-être que les moments que nous avions n'auraient pas été les mêmes. Mais je ne voulais pas revenir en arrière, grâce à mes histoires j'étais sortie grandie, j'avais mûri et j'avais pu m'engager à coeur et à corps perdu dans notre histoire en gardant en mémoire qu'une histoire n'est pas faites pour durer si des erreurs sont là, si des erreurs viennent obscurcir un tableau. Et je m'étais intimement fait la promesse que je ne briserais pas cette histoire merveilleuse que nous sommes en train de construire, pierre par pierre, moments par moments, gardant en mémoire que les choses qui pouvaient être gardé et jetant aux oubliettes les instants difficiles que nous avions vécus comme la dispute terrible que nous avons balayés à coup de je t'aime et de sa déclaration enflammée. Il était devenu en l'espace de quelques semaines, un élément vitale pour moi et je ne supporterais pas de me dire que j'ai causé notre perte en faisant des choses ignobles. Mais contrairement à mon histoire précédente -et la seule histoire sérieuse d'ailleurs- j'étais prête à être enchaînée à cet homme jusque la fin de ma vie. Mais je ne voulais as penser aux engagements pour le moment, ça je n'étais pas prête, je n'avais pas envie de me dire que j'étais lié à cet homme à tout jamais, de la plus civile des manières. Non, ça je n'étais pas prête, je n'avais pas envie de prendre d'engagements trop sérieux. Ca, mon esprit le refusait et j'étais en partie, d'accord avec mon esprit. Je n'avais pas envie de me dire que si jamais je faisais une erreur -et je n'allais pas en faire- il n'y aurait plus que le vide et le néant. J'avais fréquenté la dépression bien assez longtemps pour savoir que je ne voulais pas revivre cela. J'étais dans une sorte de confort en sa présence et je ne voulais pas m'arracher à ce confort si brutalement. Et surtout, je ne voulais pas faire souffrir celui que je considérais être l'homme de ma vie. J'avais toujours vomi ce terme jusqu'à ce qu'il décide de devenir mien. I'm yours and you're mine cette phrase que j'avais entendu dans une série, j'avais envie de l'appliquer à Dean. Il était mien et j'étais sienne, jusqu'à la fin des temps. Je faisais déjà bien trop de plans dans ma tête, je prévoyais un futur flou pour le moment, mais j'étais sûre d'une chose, ce futur serait beau. La sensation que j'avais la, dans cet habitacle qui ne contenait que nous, dans cette bulle de désir je ne voulais pas l'oublier. Je voulais continuer à vivre des moments aussi intense demain, dans une semaine, et dans les années à venir. Bon, par contre, le moment où j'arrête tout en actionnant le klaxon, si on pouvait l'oublier ce serait sympa. Même si cela me faisait rire, j'étais un peu gênée d'avoir aussi brutalement arrêté notre échange langoureux. Lorsque je sortais de la voiture, j'avais un goût d'inachevé dans la bouche et je me promettais une nouvelle fois de me rattraper dans un moment, dans un échange encore plus intense, un jour où nous ne serions que tout les deux. Lorsque je l'entend prononcer le mot boulet je ne peux m'empêcher de lui répondre « Eh oh dis donc ! Boulet toi-même ! » Et je me remettais à rire un peu plus à chaque seconde qui passait. Mais lorsqu'il arrive à ma hauteur, comme à chaque fois, j'ai le souffle coupé, le souffle court et le coeur qui bat à la chamade. Ses lèvres sur ma joue me fait fermer les yeux et je me mordille la lèvre à l'écoute de son murmure. Murmure bien trop tentateur à mon goût. Entourant ma nuque de ses bras, je me met légèrement sur la pointe des pieds pour lui répondre à mon tour « Et moi, j'aimerais bien voir la chantilly ailleurs que sur une gaufre vois tu.. » Et timidement, je lui mordille l'oreille avant de me reculer et de lui prendre la main pour entrelacer nos doigts, les joues légèrement colorées de rouge « C'est parti ? » Un sourire malicieux qui contamine mon regard prend alors place sur mes lèvres tandis que mon pouce caresse tendrement la paume de sa main.
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Dès que je la vois, mon cœur s'emballe. Il va trop vite, mais je le laisse faire, je le laisse dérailler et me remplir de bonheur. Elle est la, juste contre moi et je ne vois que son regard. Aux alentours, c'est le noir complet. J'ai délaissé le monde autour pour profiter de son unique présence dans mon bolide. Quand Solveig est la, notre bulle se forme doucement, laissant le temps tourner sans nous. Mes pensées se sont arrêtées, je suis apaisé et heureux. Grâce à elle. Et je souhaite plus que tout, rester comme ça, sentant ses mains sur moi, pour une éternité. Ouais, j’aimerais renverser le sablier et garder ce moment figé pour l'éternité. Le doux goût du bonheur, chacune de ces secondes, et l'excitation qui monte. A moitié allongés, les caresses s'appuyaient, et nos bouches ne cessaient de se chercher en se mordillant mutuellement, faisant aller nos langues a la rencontre l'une de l'autre... Et HOP! Le klaxon qui vient calmer les choses, comme la cloche sur un ring de boxe pour annoncer la fin d'un round. Lancé dans nos fous rires, je me voyais a penser que ma petite amie était un boulet, mais que c'est comme ça que je l'aimais. Amusante et gênée a la fois. Je la connais trop pour ne pas lire sur son visage actuellement, malgré l'éloignement temporaire pour reprendre sa place et sortir. La suivant, je ferme la voiture et je presse mon pas pour venir l'attraper par la taille lentement. Je n'avais pas relevé l'effet boomerang sur le fait que je suis un boulet. Je préférais jouer un peu la sensualité a son oreille, pensant me faire envoyer chier... Et bah non. Je reçois ses bras autour de moi, et sa bouche me fait frissonner avant de réussir a ouvrir mes yeux en grand, surpris de sa phrase.   " Mademoiselle Blackbird... "   Je la fixe en souriant, ne me lassant pas de son petit coup de dent précédent. Nos doigts s'entrelacent lentement   " C'est très coquin tout ça! "   Et je lance un petit sourire amusé, surtout en voyant ses joues se roser. A sa question, je hausse un sourcil avant de demander en tirant son corps contre le mien   " C'est parti pour quoi? Les gaufres, ou la chantilly sur un autre endroit? "  Et je pouffe de rire avant de reprendre   " Oui, allons y "   et nos mains qui se tiennent, je commence a marcher pour rejoindre l'entrée du centre.

Une fois dans les galeries, je pouvais constater que nous n'étions pas les seuls a avoir eu l'envie de venir ici. Ce qui est un avantage si jamais quelqu'un nous suit, la foule nous protège. Je tournais furtivement le regard sur Solveig en souriant, simplement heureux de contempler la beauté de la fille avec qui je vis un pur bonheur. J'étais vraiment fier de m'afficher avec elle. Une fierté d'appartenir a cette femme magnifique, que ce soit a l'intérieur ou a l'extérieur. Passant prêt d'une grande boutique de divers fringues, je stoppe d'un coup la marche et je dis   " Je crois que nous allons commencer ici! "   Et j'entre en sa compagnie, la tirant doucement avec moi. Passant dans des rayons, je disais d'une voix taquine   " J'ai une idée! "   encore une oui.   " Je te trouve une tenue, tu m'en trouves une aussi et nous allons les essayer! "   Est ce que pour le coup; la confiance règnerait? Je n'en suis pas aussi certain! Je fixais ses yeux, en me mordillant légèrement la lèvre inférieure comme ci j'étais impatient d'entendre sa réponse
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Je savais que Dean était celui qui me fallait, celui qui pouvait me guider dans mes meilleurs choix et il arrivait à me canaliser. Il arrivait à me calmer dans les pires situations,  bon à part les situations où il était impliqué et je l'en remerciais. J'étais heureuse qu'il soit dans ma vie. Après tout ce que nous avions traversé, il était la, envers et contre tous. Il ne m'abandonnait pas comme certaines personnes pouvait le faire et j'étais heureuse. Je le répéterais le temps qu'il le faut, qu'il me rend heureuse et que je ne veux pas le perdre. Je ne veux pas le perdre, je ne veux pas qu'il s'en aille. Non, je ne veux pas le perdre. Ça me ferait bien trop de mal. Je le sais, je le sens et je n'ai pas besoin de le dire pour que les gens le savent. J'ai envie la meilleure chose pour lui et ne pas être comme toutes ces meufs qu'il a fréquenté, je ne voulais pas être comme ces meufs qui lui avait fait du mal. Non, je ne voulais pas être une de ces filles et si je me rendais compte que je commençais à lui faire du mal, je m'en irais. Je fuirais comme une voleuse sans prévenir personne, et je ferais comme si je n'avais jamais existé. Ce serait mieux comme ça, les gens seraient bien plus heureux. Ça doit être cela. Mais bon, je ne voulais pas penser à cela, cela me faisait bien trop de mal, tout comme imaginer que mon père pouvait lui faire du mal. C'était dingue de me dire que quelqu'un pouvait lui faire du mal à cause de moi. Je ne le supporterais définitivement pas. Je ne supporterais pas de perdre ces moments comme ceux que nous vivons actuellement, quand je l'aguichais et qu'il tentait de faire la même chose. C'était magnifique. Ces moments qui n'appartenaient qu'à nous. Je me doutais qu'il n'attendait pas cela, qu'il ne s'attendait pas à cette réponse que je venais de lui donner et j'en étais assez fière, lorsqu'il prononçait mon nom de famille, cela sonnait doux à mon oreille et je répétais doucement « Monsieur Carmichael.. » Un sourire s'affichait alors sur mon visage tandis que je l'écoutais encore et encore « Je sais, c'est le but.... » Et je tirais doucement la langue en riant avant de me retrouver contre lui en un instant, ce qui agrandissait mon sourire « La chantilly sur un autre endroit se sera pour plus tard... Pour les magasins alors.. » Je faisais une mine assez déçue comme pour lui montrer que je voulais expérimenter la chantilly mais je savais que cela resterait dans un coin de sa tête. Je le suivais jusque dans le centre commercial d'un pas sautillant et assez heureuse et soulagée de me dire que mon père ne pouvait rien faire ici. Je ne pouvais pas m'empêcher de regarder autour de moi, plusieurs fois. Mon regard se posant sur chaque visage présent auprès de nous, le cœur serré néanmoins. Lorsque nous nous arrêtons en face d'une boutique, je ris doucement regardant les vêtements et je l'imagine déjà dans des vêtements plus ridicules les uns que les autres. Lorsqu'il me propose son idée, je me met à rire et je souris, hochant positivement la tête avant de me mettre à courir dans les rayons pour attraper un pantalon assez coloré, une chemise neutre et un chapeau haut de forme avec une veste en cuir. Je tente de le retrouver et je l'aperçois et avec une tête malicieuse, je reviens près de lui, mes lèvres se déposent tendrement sur les siennes, avant de lui tendre les affaires « Je veux que tu essayes ça... &raquo Et une mine assez fière je lui tend les vêtements, jetant une nouvelles fois un regard autour de moi, apercevant un type qui me fait froid dans le dos, mais pour ne pas laisser la paranoïa s'installait, je reportais mon regard sur le visage de Dean que je caressais tendrement du bout du doigt.
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En y pensant, son père c'est un vrai crétin. Si monsieur nous espionnait, il pouvait savoir que nous étions heureux et amoureux. Nan? Alors pourquoi vouloir gâcher tout ça? Pour le plaisir de ne pas voir sa fille dans le bonheur? Pff. Même si je suis incertain sur ma place de père, je me dis que si jamais j'ai une fille, ou même un garçon, je ne pourrais jamais me réjouir de ses malheurs. Je ferais tout ce que je peux, tout ce qui est possible pour voir un magnifique sourire sur sa bouille. M'enfin. Ma petite amie n'avait pas de chance sur ce coup, avoir un géniteur dans ce genre... Je me plains parfois du mien, manipulable et complètement soumis au monde entier. Mais au moins, je me conforte en me disant que c'est un gentil. Si jamais je décide de lui présenter Solveig, je suis certain qu'il me dira qu'elle est belle et qu'il faut que je me comporte bien. Je le vois déjà me sortir des phrases de gentleman, m'apprenant la façon dont une femme doit être traitée. Sauf qu'il n'aurait aucun souci a se faire sur ce plan. Je ne compte pas faire souffrir cette fille dont je suis amoureux, totalement amoureux. J'adorais nos moments de taquineries, ces moments que je ne partage pas avec d'autres fille car c'est trop intime. Et, mon rire se faisait entendre a sa remarque sur le but de ses actions. Habituellement, je déteste entendre mon nom, encore plus de sa bouche. Mais sa voix faisait que pour une fois, je m'en fichais. Je plongeai simplement mes yeux dans les siens, retrouvant un sourire attendri. Je tirais son corps contre le mien, pour la sentir plus proche. A sa mine déçue, je souris en coin " Attention... C'est noté, je n'oublierais pas... " Et je montre mes dents avant de prendre sa main et d'avancer dans les galeries du centre commercial.
Postés devant un magasin qui me semble intéressant en stock de vêtements, chaussures et accessoires ; je l'entraine dedans en proposant une sorte de jeu. Défi accepté, je me promène dans les rayons en quête de vêtement ridicules. Sauf que mes yeux tombent sur un article intéressant. Un pantalon en simili cuir, avec une veste de la même matière. Je pince mes lèvres, l'imaginant dedans.. Hop, dans mes mains. Je parcours les rayons pour trouver des chaussures, et je tombe sur de magnifique bottines, sexy. La panoplie de la femme fatale. Et voyant ma jolie rouquine revenir vers moi, je souris, fier et amusé. Une fois nos lèvres décollées, j'attrape ce qu'elle me tend, et je fronce les sourcils. Ah ouais... Je me vois déjà dans le summum du ridicule. Je reviens mettre mon regard dans le sien. " Tiens... Je veux te voir dedans. " Je lui tend les fringues, et j'ajoute en affichant une bouille malicieuse " Il n'y pas de haut a mettre sous la veste... Ce n'est pas un oublie. " Et hop, je m'en vais rapidos dans la partie des cabines d'essayage. Une fois dedans, je regarde un peu mieux les vêtements, et je rigole dans ma barbe. J'avoue, je n'ai pas joué le jeu du ridicule pour elle, mais de toute façon, je suis certain que dans n'importe quelle tenue je la trouverais belle. Oh niaiserie. Je commence a me déshabiller, et j'enfile le tout. Devant le miroir en pied, j'écarquille les yeux, me sentant comme une vedette de cirque. Surtout avec le chapeau. Et je demande, ouvrant un peu le rideau pour tenter de capter où se trouve l'ancienne présidente " Bébé? C'est bon, t'as fini? " Je ne voulais pas sortir et l'attendre alors que des gens pouvaient me voir. La honte mon dieu,... Je sens son fou rire arriver bizarrement.
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Puis peut-être qu'un jour, je devrais parler à Dean que ma mère n'est plus la non plus. Je ne l'avais dit à personne à part à Noah, ce fameux soir où nous nous sommes confiés l'un envers l'autre et je lui avais dit cela le plus naturellement du monde, comme si je lui avais ouvert mon coeur, alors que pas du tout. Je voulais juste lui montrer que moi aussi, j'avais une vie de merde, qu'il ne fallait pas qu'il se lamente sur son sort parce qu'il y avait pire que lui. Je lui avais dit que ma faiblesse était celle d'avoir perdu ma mère et qu'il pouvait me dire la sienne. Même si je ne le savais toujours pas cela m'avait fait du bien de le lui dire. Même si ce n'était pas Dean. Je devais le lui dire, je devais lui dire mais j'avais peur de le faire, parce que je ne voulais pas qu'il me prenne en pitié ou je ne sais quoi. J'avais confiance en lui, mais j'avais juste peur qu'il prenne plus pitié qu'autre chose Et c'est l'une des seules choses que je ne voulais pas voir dans ses yeux, de la pitié. Chuck avait pitié de moi parfois et il ne se rendait pas compte à quel point cela pouvait me heurter, mais il le faisait quand même. Je devrais peut-être dire à Dean ce qui me gênait dans une relation pour que tout se passe pour le mieux. Mais j'avais peur. Encore et encore. La peur au ventre, la trouille que tout se passe mal. J'en avais assez d'être comme ça mais peut-être que je retrouverais un semblant de confiance en sa présence. C'était même sûr. Quand je lui parle de la chantilly je peux voir son air heureux et il me dit ne pas oublier, ce à quoi je rajoute « J'espère bien... » Je le suis alors dans les dédales du centre commercial, non sans regarder autour de moi mais je me sens déjà lus en sécurité, étant donné qu'il y a beaucoup plus de personnes autour de nous. Lorsqu'il s'arrête devant un centre commercial, j'imagine déjà les tenues ridicules dans lesquels je pourrais être et j'ai très très hâte. Je rentre alors avec lui et nous nous séparons, pour que j'attrape des affaires assez ridicules pour lui, mais j'étais sûre qu'il serait vraiment canon. Je me mordille la lèvre en l'imaginant et je pense aussi que je désirerais vraiment lui retirer. Bref. Je ne devais pas m'égarer. Lorsque nous nous retrouvons, je le regarde en souriant en lui tendant ses affaires et quand il me tend les miennes, je trouve les vêtements vraiment sexy, et cela ne me correspond pas vraiment. J'attrape les affaires et m'enfonce dans une cabine, commençant à retirer ma robe et mes talons, lorsque je me regarde dans le miroir, je souris légèrement et j'attrape le pantalon que j'enfile, bon il faut dire qu'il ne me va pas trop mal. Je regarde alors la veste que j'enfile, et je ne me trouve pas trop mal, bon heureusement que je n'ai pas mis un soutif de grand-mère parce que ça n'aurait certainement pas donné la même chose. Puis les bottines, et dans ma tête, je me rend compte qu'il a vraiment bien choisi ce qu'il voulait que je mette. J'entend sa voix qui sort de sa cabine, et je souris en coin « Ouiiii ! J'ai terminé. » Je souffle doucement en sortant our me dire que oui je suis jolie et je l'attend. Lorsqu'il se trouve en face de moi, je fais un grand sourire et je tourne sur moi-même. Il est beau même avec des couleurs bariolées. En vérité, il est beau tout le temps. Mais je ne lui dirais pas, trop peur que Narcisse prenne part de son corps.
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Aller dans le centre commercial pour faire les idiots, manger et simplement être en amoureux ; c'était une idée pour tenter de faire oublier la peur que ma petite amie ressentait. Son père, ah cet homme tellement adorable. Je me demandais comment une ordure de ce genre a pu faire une fille aussi formidable que l'ancienne présidente. Je pense qu'elle a tout simplement choisit de faire tout le contraire de son géniteur, ou alors, de tout faire pour ressembler a sa mère. D'ailleurs, dans mon esprit je tentais de me souvenir d'une conversation où elle m'en aurait parlé... Mais non. Je crois que je n'ai jamais entendu parler d'elle. Et je ne lancerai pas le sujet parce que ça voudrait dire qu'il faudra parler de la mienne, ainsi que de mon histoire avec June... C'est délicat, et je préfère attendre d'être prêt pour ça. Devant un magasin, je l'entraine dedans et l'idée de se filer mutuellement des fringues me plait. Nous voilà chacun de notre coté pour tenter de rendre l'autre plus ridicule. Mais, en passant devant un pantalon en simili cuir, j'oublie le contexte du jeu et je préfère la transformer en femme fatale. Certain que la tenue va lui aller a merveille. La rouquine revient et me tend des habits que jamais je ne pourrais porter de ma vie, a part pour les prochaines minutes. Je pince mes lèvres, et j'affiche une mine assez fière en lui filant les siennes. Direction les cabines. Déshabillage complet, sauf le boxer et je soupire a la vue de mon futur accoutrement. Le chapeau en place, c'est limite si je ne me tape pas un fou rire dans la cabine. Rideau entre ouvert, je sors ma tête en demandant si elle a finit. Et je la vois sortir. Je hausse les sourcils en sortant a mon tour, oubliant que je pourrais être vu comme ça. Fiou... Solveig était... Ravissante, sexy, splendide... Tout ce que vous voulez quoi. Et, mon regard ne cachait pas que la, j'avais envie de la faire reculer dans sa cabine pour un instant intime. Mes yeux dans les siens  " Mon Amour tu... Tu es.... "    Je souffle, ne trouvant pas de mort parfait pour décrire    " Tu es à moi, et j'en suis fier. "   J'avance, pour finir vraiment en face d'elle. Et je vois mon reflet dans la glace de sa cabine. Je réalise a quel point je suis ridicule, et je pouffe de rire avant de lui dire   " Et je suis certain que toi, tu te dis que tu n'as pas de chance sur ce coup. "   Je reprend un sourire, et je pose mes mains sur le col de ma chemise comme pour faire le beau.    " Alors? Je peux postuler dans le cirque du quartier nan? "    Heureusement, a entendre il n'y a pas une foule dans les parties d'essayage. Et puis au pire, je m'en fous. Je tenais a faire rire l'ancienne présidente, je voulais qu'elle aille bien quitte a passer pour un idiot aux yeux du monde. Prenant un visage angélique, je demande d'une voix d'enfant   " Est ce que je peux me changer? Parce qu'à coté de toi je fais tâche... "   J'avais envie de lui acheter la tenue... Et c'est peut être ce que je ferais en sortant. Non pas pour qu'elle l'a porte tous les jours, mais pour un soir quand nous nous trouverons dans mon chez moi.   " Si tu veux, je viens dans ta cabine... Comme ça on en libère une. "   Et je fais une moue innocente, tentant de cacher mes pulsions.
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Du plus loin que je me souviens, je n'ai jamais fait de choses du genre avec Chuck, nos sorties se résumaient à les soirées mondaines où nous étions invités, les cocktails pour promouvoir notre galerie et voilà. Pas de moments complices dans un centre commercial comme ce que nous étions en train de vivre avec Dean. Pas de moments tendres et d'effusions d'amour en public -à vrai dire, je détestais cela d'une puissance inimaginable mais je pourrais faire un effort incommensurables pour Dean. Je savais qu'il faisait tout pour me changer les idées et j'appréciais cela. J'appréciais les efforts qu'il faisait pour me faire penser à autre chose qu'aux connards de sbires de mon père qui étaient pour me pourrir soi-disant la vie. Puis ma mère me manquait, mais ça, personne ne le savait et je ne le dirais à personne. Je n'avais pas envie que l'on s'apitoie sur mon sort. D'ailleurs il faudrait que je lui rende visite un jour, mais je ne savais pas vraiment si j'étais prête pour cela. Peut-être que Dean pourrait m'accompagner, ou pas. Je n'en savais que trop rien, cette partie de ma vie était encore trop flou dans mon cerveau pour que j'y réfléchisse sérieusement. Je n'avais jamais fait les magasins avec un homme, encore moins avec l'homme que j'aimais et encore moins dans le but de faire des essayages débiles. Mais cela semblait être une bonne optique, surtout quand je trouvais des accoutrements plus débiles les uns que les autres. Je l'imaginais dedans et j'imaginais déjà le fou-rire que je tenterais de contrôler en le voyant pointer le bout de son nez en dehors de la cabine. Quand il me tendait mes affaires, choses que je m'appliquais à ne pas choisir quand j'étais dans un magasin, je me disais qu'il avait peut-être raison de me faire essayer cela, que cela m'irait sûrement très bien. Je ne pouvais m'empêcher de me regarder un long moment avant de lui dire que j'étais prête pour sortir de la cabine, j'avais peur que les personnes me jugent et qu'ils se moquent de moi mais de toutes façons, seul les yeux de Dean m'importait. Seul son regard était important c'est ce qu'il fallait que je me dise. Lorsque je sortais de la cabine, je réprimais mon rire comme prévu et je me mordillais la lèvre à la vue de sa réaction, sentant mes joues qui s'empourpraient. « Et je suis fière d'être tienne. Pour toujours. » Toujours me semblait un bien grand mot mais je ne pouvais m'empêcher de le prononcer. Je l'écoutais qui parler et quand il me parlait de cirque, je riais doucement avant de déposer furtivement mes lèvres sur les siennes « Non, je ne voudrais pas que tu me laisses... Et tu serais trop beau pour être un clown. » J'explosais de rire avant de poser une main sur ma bouche pour me calmer. Lorsqu'il me regardait avec ce visage enfantin, je souriais tendrement et j'hochais positivement la tête avant d'attraper ses affaires et je me mordillais la lèvre en l'attirant à l'intérieur de la cabine. « Je peux me charger de te déshabiller au pire... » Et à ces mots, mes mains déboutonnaient sa chemise, tandis que mes lèvres parcourant furtivement son cou, et que je faisais tomber sa chemise. « J'aime bien libérer les cabines avec toi... » Un sourire assez coquin plus tard, je laissais tomber ma veste en le fixant dans les yeux. Reste à savoir ce qu'il avait vraiment derrière la tête.
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Je crois que mon sex-appeal va en prendre un sacré coup dans cette tenue. Je m'en fiche au fond, je voulais jouer le jeu en m'habillant avec les vêtements choisis par ma petite amie. Dans ma cabine, j'enfile alors et je regarde le résultat final dans le grand miroir. Forcément, je rigole déjà en tentant d'anticiper la réaction de Solveig quand je sortirais d'ici. Et justement, ma tête sort en première, et je demande a l'ancienne présidente si elle avait finit. Une fois l'un en face de l'autre, mes yeux l'a regardent de haut en bas et je me sens ridicule face a une beauté aussi resplendissante. Nos rires se rejoignaient tout de même et ensuite, ses joues commencent à rougir. Je pense que c'est certainement parce que je faisais bien comprendre le sentiment que je ressentais en la voyant dans son pantalon en simili cuir. Mais aussi pour la petite phrase que je venais de lui dire. Sa réponse provoquait un gros battement de coeur dans ma poitrine. Pour toujours? C'est un mot rempli d'engagement nan? Mais a vrai dire cela ne me dérange pas. Je souris même et je la laisse se rapprocher doucement de moi afin que nos lèvres se collent furtivement. J'affiche mes dents directement après que mes paupières s'ouvrent pour que nos regards se plongent l'un dans l'autre.  " Je n'ai pas envie de te laisser... Même si je pourrais augmenter leur chiffre d'affaire. "   Petit rictus, et sa main vient sur mes lèvres, comme pour retenir une pulsion. Ce qui m'amuse intérieurement. J'avais forcément envie de jouer un peu de ça en lui proposant de partager la cabine. D'un coté, quelqu'un attendrait moins longtemps, et puis moi, je pourrais mater plus facilement. Mes affaires en sa possession, je me fais attirer et, je prend soin de bien fermer le rideau derrière nous. A son invitation pour le déshabillage, je hausse un sourcil, affichant une expression intriguée mais charmeuse   " Comment refuser? "   Et pas le temps d'en dire plus, ses doigts déboutonnent ma belle chemise, et sa bouche se glisse dans mon cou pour commencer a y déposer des baisers sensuels. Ma tête se penche, et mes yeux se ferment pour bien profiter. Une fois la chemise a terre, son visage se recule et mon regard vient dans le sien, puis sur sa bouche. Je mordille ma lèvre    " J'aime bien être avec toi. Dans tout ce que l'on fait. "   Mais encore plus maintenant. Et, malgré que j'aime son regard, quand j'entends sa veste sur le sol, je descends un peu pour promener mes prunelles sur sa poitrine, et son joli sous vêtement.   " La tenue t'allait bien, mais... Tu n'as besoin de rien pour être belle. "   J'avance mon corps pour coller le sien, et ma main déboutonne le pantalon, avant que mes doigts en viennent à descendre la fermeture éclair. Plongé dans ses yeux des miens, j'approche mon visage et ma langue vient sensuellement, passer furtivement sur sa bouche. Je souris malicieusement. Une fois son bas bien ouvert, une main vient sur sa hanche, et je la colle au miroir avant de l'embrasser passionnément. J'avais envie d'elle, ce n'est pas une découverte, mais est ce qu'il serait vraiment sérieux de le faire ici? Dans une cabine, va vraiment falloir être discret. Ou alors, nous pouvons toujours nous rhabiller afin de trouver un endroit plus sécurisé... Je ne sais pas, impossible de réfléchir avec ce qu'il y a dans ma tête. Alors, entre deux baisers je dis dans un souffle   " Va falloir que tu me stoppes bébé... "   même si je ne voulais pas qu'elle le fasse. Esprit de contradiction.
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