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SOLVEAN ♡ i'm not a parano.

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 Cela faisait quelques jours que je n'avais pas vu Dean, en vérité depuis qu'il m'avait avoué ses sentiments. Et je supportais de moins en moins d'être loin de lui, mais je savais que nous allions bientôt nous retrouver. Et je voulais le voir aussi vite que possible, je voulais me perdre une nouvelle fois dans ses bras. Les souvenirs de notre nuit brûlante me revenaient souvent à l'esprit et je me prenais souvent à sourire comme une niaise. Je le revois sourire à notre réveil, moi collée contre lui, nos jambes emmêlées et son interminable et adorable sourire sur les lèvres. Cette matinée a lézardé avec lui dans son lit, sans rien faire à part s'embrasser et se câliner m'avait fait le plus grand bien. J'avais pu en quelques instants, en une demi-journée oublier mes soucis et ne penser qu'à nous. Je me sentais bien avec lui, c'était un fait accompli et j'avais eu envie de lui faire plaisir en l'invitant au restaurant. Même si je savais que nous allons encore bataillé pour savoir qui de nous deux va payer l'addition, je m'arrangerais pour gagner. Encore une fois, même si la dernière fois, c'était un échec cuisant. J'avais perdu mais j'avais tout de même gagné un baiser, une gueule de bois mémorable et un épisode où je ne me souvenais plus ce qu'il s'était passé. Mais visiblement, rien n'avait eu lieu. Mais l'épisode black-out était toujours présent dans mon esprit, même si j'y pensais beaucoup moins. J'avais décidé de l'inviter au restaurant dans Boston afin de ne pas tenter de croiser grand monde de l'université, il fallait que je lui parle, que je lui parle de ce qui me trottait dans la tête depuis un moment déjà et de ma rencontre avec mon père que j'avais dû voir quelques jours après notre fameuse nuit. J'avais eu peur de cette rencontre, j'avais imaginé des choses qui ne se sont pas du tout passées, mais d'autre ont eu lieu et j'éprouvais du dégoût pour celui qui était censé être mon père. Je ne pouvais plus le voir en peinture, et son chèque m'avait donné envie de vomir. Il voulait  m'acheter, acheter mon silence, mais non. Je ne me tairais pas. Dean a besoin de savoir ce qu'il m'a dit, ce que je lui ai dis. Je ne peux pas lui cacher cela c'est bien trop important. Arrivée devant l'endroit ou je lui avais donné rendez-vus, je coupe le contact de ma voiture et lorsque je le vois devant le restaurant, un large sourire s'étend sur mes lèvres. Je sors alors de la voiture, et je lui saute en cou en riant, déposant tendrement mes lèvres sur les siennes. « Bonjour mon Amour. » Un sourire léger se dresse sur mes lèvres et j'entre avec lui dans le restaurant, non sans avoir regardé à trois fois derrière moi pour être sûre de ne pas avoir été suivie. Les mains tremblantes, je m'installe où le serveur nous place en attrapant tendrement sa main « Quoi de neuf depuis la dernière fois ? Je t'ai pas trop manqué ? » Je ris doucement avant de jeter une nouvelle fois un coup d'oeil derrière moi. Putain de paranoïa.
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Les fêtes de fin d'années sont passées! Il reste la galette des rois, mais ça ne me dérange pas trop ça. Bon, je ne peux pas trop jouer les rabats-joie, car j'ai fini l'année en beauté. J'ai osé avouer mes sentiments a Solveig. Maintenant, nous sommes un couple, officiel, et je trouve que ce statut me va plutôt bien. Bon, je ne l'ai pas revu depuis ce soir la d'ailleurs. J'ai les images dans ma tête, je revois son sourire a l'annonce de mes sentiments, et aussi notre folle nuit. Nous avions fait l'amour, et c'était différent des autres fois. Ensuite, j'avais pu me réveiller en l'ayant dans les bras. C'était magique comme première image, voir son visage a la lumière du jour, et pouvoir l'embrasser. Oui, je suis le plus heureux des hommes! Bien sur, nous avons passés les fêtes chacun de notre coté. Pour ma part, je suis juste allé chez mon père et ensuite, j'ai fait le nouvel an avec mes amis. J'ai fini la tête à l'envers, mais surtout au dessus de la cuvette des toilettes. Je suis remis, bien qu'il m'ait fallut une journée entière pour ça. Et, ça tombe bien que je sois en forme, car je reçois un message de ma petite amie - Ca fait drôle de dire ça! Mais je ne peux m'empêcher de sourire en y pensant - , qui décide de m'inviter au restaurant... Un restaurant de Boston. J'accepte rapidement, j'avais terriblement envie de la voir et de passer du temps avec elle. Et afin de ne pas être en retard, je m'active en filant directement sous la douche. Une fois l'étape du lavage terminée, j'enfile un jean noir, une chemise grise foncé et une veste noir par dessus. Je me rases, j'en avais un peu marre d'avoir de la barbe, et puis, elle repoussera. Je n'oublie pas de me parfumer, de me coiffer vite fait ; et je peux enfin décoller.

Dans la voiture; j'avais posé mes lunettes de soleil sur mon nez, et je chantais comme un fou. Bien sur, je veillais à pas créer d'accident. Ce ne serait pas trop le moment! Une fois non loin du restaurant, je tente de trouver une place. Oh, j'ai de la chance aujourd'hui car il ne me faudra pas dix ans pour en trouver. Je coupe le moteur, et je marche en direction du lieu indiqué dans le texto de ma jolie rouquine. Je préférais l'attendre devant, étant donné que pour une fois, je suis le premier arrivé.
Quelques instants plus tard, je vois sa voiture arriver et je souris naturellement. Je suis pressé qu'elle soit a ma hauteur. A voir, Solveig l'est aussi vu qu'elle sort de sa voiture et marche rapidement vers moi pour finir en me sautant au cou. J'entoure sa taille et je la garde contre moi en prolongeant son baiser en souriant a moitié.    " Bonjour mon Ange. Tu as l'air... De bonne humeur! "    Et je pense que j'y suis pour quelque chose non? Nous entrons dans le restaurant en se tenant la main, et je remarque qu'elle jette des regards derrière nous. Je ne porte pas attention, et je me dirige vers notre table pour pouvoir me poser. Nos mains se rejoignent sur la table.     " Et bien, je suis assez content que les fêtes soient terminées. D'ailleurs... Le père noël est passé chez moi, pour toi. "    Je souris amusé en tentant de retenir le rire qui voulait sortir, et je reprends la parole    " Et oui, tu m'as énormément manqué. "    Quand Solveig regarde derrière elle, je hausse un peu le sourcil en fixant son visage qui revient ensuite sur le mien. Je demande    " Toi alors? Du nouveau depuis la dernière fois? "   Et je commence a regarder sans trop d'attention, la carte des apéritifs. Je trouvais un peu bizarre le fait qu'elle n'arrête pas de regarder autour de nous, mais bon. C'est peut être le stress de sortir avec un professeur nan?
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Je me souvenais comme si c'était hier des mots qu'avait prononcés mon père lors de notre entrevue à Noël. La phrase, les mots assassins qu'il avait employé me tournait dans la tête comme s'il y était, comme s'il était dans ma tête et qu'il se contentait de me cracher son venin « Tu ne dois pas rester avec cet Homme Solveig, il te fera du mal, je le connais, je sais qu'il est. Regarde, il t'a même forcé à quitter la Cabot House. Et je te préviens que si tu le vois encore, je serais au courant. » Comment pouvait-il me faire cela ? Alors qu'il ne savait rien de l'amour. Il n'en savait rien puisqu'il n'avait pas été foutu d'être la quand sa femme était à l'hôpital. Il était bien trop occupé à aller récupérer de l'argent sale, et d'envoyer des filles se faire sauter pour récupèrer de l'argent. Sombre connard. Il n'avait de l'amour propre que pour lui-même. Et encore, son amour propre était certainement souillée par son âme salie. Mais qu'importe, je ne quitterais pas Dean pour lui, je ne ferais pas ce que me dicte mon père, non j'ai vingt-cinq ans, je ne le suivrais pas comme tout ces connards d'homme de main. D'ailleurs c'est pour cela que je lui avais avoué ma relation, parce que je savais que Dean était quelqu'un de confiance, qu'il méritait que j'en parle à mon père et qu'il ne me trahirait pas. Et je préférais nettement que mon père l'apprenne de ma bouche plutôt que de la voisine, du frère du voisin ou d'un de ces connards d'homme de main. Il faudra que je lui en parle, et un restaurant était un terrain neutre pour pouvoir en parler, au moins, on ne pourrait pas se prendre la tête et on profiterait de la bonne nourriture. Quand je l'apercevais, toutes les questions que je m'étais posée, qui me tordait le ventre de stress s'envolaient. Je lui sautais au cou en riant, heureuse de le retrouver il ne fallait pas se mentir. Même si j'avais un peu peur d'être suivie. « Oui, je suis heureuse d'être ici avec toi. » Pauvre niaise, je souriais toujours en entrant dans le restaurant, non sans regarder autour de moi et je m'installais à table avant de prendre sa main, entrelaçant nos doigts, gardant ce sourire intact sur mes lèvres tandis qu'il me disait que le père Noël était passé, je levais les yeux au ciel en riant « Il est passé chez moi aussi... Enfin on peut dire ça comme ça ! Il faut juste que j'aille le récupérer.Et je suis aussi heureuse que les fêtes soient terminées, je ne serais plus parvenue à rentrer dans mon jean sinon.. » Quand il rajoutait que je lui avait énormément manqué, mon coeur loupait un battement et je me mordillais l'intérieur de la joue en souriant. Ca me faisait un peu bizarre qu'il me dise cela mais en même temps, cela me faisait réellement plaisir. J'attrapais la carte des apéritifs et me demandait bien ce que je prendrais en jetant des regards assez affolés vers les personnes présentes aux autres tables, le coeur qui battait un peu plus vite qu'à la normale. Bon sang quelle horrible sensation. Je sursautais légèrement quand il reprenait la parole mais je continuais de sourire « Hum, pas grand chose. Je m'ennuie de toi et Peluche aussi.. J'ai quitté la Cabot House. J'avais l'impression que cette maison ne méritait pas une présidente dont la vie est un chaos sans nom et.. j'ai vu mon père. » Je serrais doucement sa main pour calmer mon coeur affolé. J'allais devenir complètement cinglée. Il fallait qu'il me rassure mais le pouvait-il au moins ? Je n'en étais pas si sûre.
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Pour le nouvel an, j'étais parti dans une boite de nuit avec des amis, et j'avoue que l'alcool a coulé a flot. J'étais bourré, mais je me suis bien amusé. Sans faire de bêtises, ce qui semble logique vu que Solveig ne quittait pas mon esprit depuis notre dernière soirée ensemble. Ouais je sais, elle ne le quittait déjà pas depuis bien longtemps. J'étais vraiment heureux de la retrouver aujourd'hui, et une sortie restaurant avec son amoureuse c'est toujours agréable non? Quand elle arrive, je me fais sauter dessus et je lance un petit rire en relevant le fait que je la trouve de très bonne humeur. Je ne peux retenir mes lèvres qui s'étirent quand elle reconnait être heureuse en ma compagnie. Je sens que je vais passer un bon moment moi! Nous entrons dans le restaurant, et je remarque que ma petite amie ne semble pas a l'aise... Ses yeux n'ont de cesse de regarder derrière nous, comme ci quelqu'un pouvait nous regarder. Pour ma part, je ne faisais même pas attention a la population qui pouvait orner le restaurant. Je prend place sur ma chaise en fixant son visage. Nos mains s'attrapent et nos doigts ne tardent pas a s'entrelacer. Mon pouce lui caresse le coté de l'index tendrement. Un haussement de sourcils quand j'apprends que le père noël est, aussi passé chez elle. Le petit coquin!     " Ah ouais? Je n'ai pas été très sage pourtant. "   Dis je d'une voix un peu sensuelle, avec un seul sourcil relevé. Je laisse un sourire amusé se dessiner, et je reprend un peu plus sérieusement    " Moi, il est déjà chez moi. Et autant dire que ce n'est pas un cadeau discret! "    Ce n'est rien de le dire. Mais je préfère ne pas trop en révéler pour garder un peu de surprise.     " Si jamais tu as besoin d'un régime, je suis professeur de sports... Mais, je trouve que tu es très belle! "    Niaiserie de retour! Bon, faut croire que ça se comporte comme ça un homme amoureux.
Mes yeux sur la carte des apéritifs, je peux voir du coin de l'oeil que ma jolie rouquine la prend carrément de sa main libre. Je lui demande alors ce qu'elle a, a me raconter de nouveau, pensant qu'en peu de temps il n'y aurait pas trop de nouveautés... Mais je me trompe royalement. Le début est mignon, l'après est surprenant, et la fin inquiétude a entendre le son de sa voix. Sans compter sur la pression que j'ai sur la main. J'affiche ma ride du lion, et j'avoue que je saute le chapitre qui dit qu'elle et peluche s'ennuient de moi    " Qu...Quoi? Attend... Tu as quitté la Cabot House? Mais pourquoi tu ne m'en as pas parlé? "    Je pinçais un peu mes lèvres avant de reprendre   " Un chaos sans nom... C'est assez dur de dire ça. "    Un peu vexé? Non irrité. Et puis, en plus elle balance ça comme ça. Je souffles un peu, et je me prépare a attaquer le sujet sensible. En même temps, si j'étais a sa place, ce serait un sujet plus que sensible pour moi. Je connaissais quelques trucs sur son père, et a mon humble avis, il est loin de l'awards du papa de l'année.    " Eeeeet.... Comment ça s'est passé avec ton père? "    Franchement, j'avais un peu de mal a me remettre de ses deux révélations. C'est pourquoi je faisais un signe au serveur afin de vite obtenir un verre. Je crois que je vais en avoir besoin dans les prochaines minutes la. Heureusement, il ne tarde pas a venir, et je m'empresse de dire    " Un martini blanc... Tu veux quoi mon Ange? "
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Mon nouvel an s'est déroulé assez simplement, j'avais invité des amis à dîner et nous avions passés une soirée assez sympa à la galerie jusqu'environ une heure du matin, après quoi, j'avais peint jusque sept heures et je m'étais endormie dans mon canapé sans prendre le temps de retirer ma tenue, tant j'étais fatiguée, c'était bien la première fois que cela m'arrivait de dormir presque debout et j'avais une idée de qui pouvait provoquer cela. Dean. Depuis que nous étions un couple, je dormais beaucoup mieux, peut-être rassurée par le fait qu'il était la quoi qu'il arrive et qu'il ne partirait pas. J'étais assez heureuse qu'il soit dans ma vie et je me contenterais de le lui rappeler dès que je le pourrais. Mais pour l'instant la n'était pas le sujet, j'allais devoir lui avouer ce que je pensais, ce qui me tournait dans la tête depuis quelques semaines et ce qui avait évolué depuis la dernière fois que nous nous sommes vus. A savoir, mon départ de la Cabot House, la visite chez mon père et notre engueulade il faut se le dire. Nous nous étions méchamment prit la tête et le souci était que je ne m'en voulais pas. Je ne m'en voulais pas de lui avoir dit qu'il était devenu un monstre sans nom et que je préférerais qu'il soit six pieds sous terre, plutôt que ma mère. Mes mots je les lui avait craché au visage et je ne regrettais pas cela. Au contraire, j'étais presque heureuse. Presque, puisque je savais qu'il n'en resterait pas la, et ça me faisait un peu peur. Mais qu'importe. Je lui annonçais que le père Noël était passé et je riais avant d'entendre sa remarque « Oui c'est vrai, mais le père Noël ne voulait pas te punir. » Je riais avant de froncer les sourcils quand il me disait que son cadeau n'était pas discret. Qu'est ce que cela pouvait bien être ? J'avais un peu peur sur le coup, mais il connaissait mes goûts et ce que j'aimais alors mes craintes s'envolaient rapidement. Il était sûrement très doué quand il s'agissait de cadeaux. Et le voilà qu'il parle de régime, je lève les yeux au ciel en riant avant d'ajouter « Oui mon amour, je sais que tu es professeur de sport... je sais! Et je profiterais de tes talents de sportifs plus tard si tu vois ce que je veux dire. » Je lui fais un clin d'oeil en lui tirant la langue avant de reporter mon attention sur la carte des apéritifs, une drôle de sensation remplissant mon corps. J'avais un peu peur que l'on nous surveille mais je ne lui disais rien jusqu'à ce qu'il me demande ce que j'avais de nouveau dans ma vie, alias, la question a ne pas poser, je lui déblatérais tout d'un coup, pas la peine de prendre des pincettes, de tourner autour du pot cinq mille ans. Et je lui annonçais tout. De A a Z, du point A au point B. Et à voir sa réaction, je pese qu'il est contrarié, ce qui fait que je m'en veux un peu. J'ai le coeur qui s'accélère et j'ai peur de dire des bêtises mais je laisse parler mon coeur, je ne préfère pas mentir « Je ne voulais pas t'en parler, ne crois pas que je ne te fais pas confiance. Je te fais une confiance aveugle, mais c'est juste que, j'avais besoin de prendre cette décision seule... Je ne voulais pas t'en vouloir si jamais un jour, je regrette. &raquo Je lui souriais doucement avant de répondre à ce qu'il m'avait dit par la suite « Tu me donnes du bonheur dans ma vie Dean, je te le promet. Depuis que tu es la, ma vie s'est adoucie et j'ai l'impression que je suis sur une montagne russe qui ne fait que monter... Parce que je suis amoureuse de toi. » Les sentiments, les aveux de sentiments et de ce que je ressentais pour lui, il fallait que je le lui redise pour qu'il ne doute pas de cela. J'allais commencer à parler de mon père quand le serveur vint nous interrompre et je souffle doucement de soulagement, je jetais un dernier coup d'oeil rapide à la carte et je reportais mon regard sur le serveur « Un mojito s'il vous plaît. » Je lui tendais la carte en souriant et je reportais mon attention sur Dean avant de chercher mes mots pour reprendre « Je, Non ça n'a pas été. Il.. Il veut que j'arrête de te voir parce que tu n'es soi disant pas bon pour moi. Mais qu'est ce qu'il en sait ? » Un coup d'oeil à droite, à gauche et derrière, je reprend « Moi je sais que tu es bien pour moi, mais lui ne semble pas être d'accord.. Il m'a dit que s'il apprenait que je te voyais toujours, il prendrait les mesures nécessaires.. » Et ma main serrait un peu plus la sienne pendant que je fermais les yeux. Apeurée, affolée à l'idée que quelqu'un puisse lui faire du mal.
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En y pensant, Solveig et moi, nous avons un petit point commun. La relation un peu tendue avec nos géniteurs. J'aime énormément le mien, c'est un homme bien, mais nous ne sommes pas proches. Quand je suis passé le voir pour noël, j'avais limite l'impression de me sentir de trop. Je crois qu'il me tient pour responsable pour la mort de ma mère, alors qu'en soit je n'aurais jamais pu empêcher la maladie. Au fond, je m'en fiche un peu du pourquoi il m'en veut, un jour il osera me le dire ou alors, il partira en gardant le mystère. Je n'ai pas spécialement besoin de sa présence pour vivre, j'ai réussi a me faire a l'absence, et maintenant j'ai Solveig pour m'aider a avancer. Je crois que sa présence vaut toute celles du monde. Tant que sa main tiendra la mienne, je ne pourrais pas être touché par le malheur et la peine, c'est mon bouclier contre les horreurs de ce monde. Et bien que je me sens en sécurité en sa compagnie, je capte rapidement qu'elle n'est pas sereine dans le restaurant. Ses yeux ne cessent de divaguer un peu partout, et je ne comprends vraiment pas pourquoi. Je ne m'attardais pas dessus, car le sujet des cadeaux m'emballaient plus, ce qui est le cas de le dire.    " C'est un gentil ce père noël... Mais peut être que la mère noël va me punir a sa place! "    Je gardes une bouille taquine, et je lance un petit rire. J'aimais beaucoup sortir des phrases ambiguë, rempli de sens pervers juste pour le délire. En plus, la jolie rouquine rentre dans mon jeu en ce qui concerne le régime. Je hausses furtivement mes sourcils avant de dire    " Je vois ce que tu veux dire... Et j'ai hâte que tu profites de moi. "     Je souris en affichant mes dents, avant de refermer ma bouche tout en caressant un peu sa main de mes doigts entrelaçaient aux siens. Je ne m'attendais pas du tout a ce qui allait me tomber dessus. L'annonce de sa démission en quelque sorte du poste de présidente et surtout de la maison dans laquelle elle se trouvait. Tiens d'ailleurs! Elle dormait où? Il lui laissait le temps de trouver un logement où ca se passe comment? Mais alors que je montrais un peu de vexation, ma petite amie réussie a trouver les mots pour me redonner du baume au coeur. Je la fixe dans les yeux, et je fais un petit oui de la tête avant de dire    " Tu as raison de prendre cette décision seule, mais je suis juste surpris. Je ne soupçonnais pas une minute que tu désirais quitter les Cabot. "    Et mon coeur bat un peu plus vite a sa révélation. Encore plus quand Solveig dit être amoureuse de moi. Je le sais, mais c'est toujours un bonheur de l'entendre. Je baisse un peu les yeux pour sourire de plus belle, et je le relève pour le poser dans le sien avant de dire    " Et je veux que ta vie soit la meilleure qui soit. Je ferais tout ce qu'il est possible de faire pour te rendre heureuse... Parce que je t'aime. "     Et, ce petit moment fait du bien ,car le sujet suivant n'en fera certainement pas. Je pourrais me tromper, mais franchement je n'y crois pas trop. Le serveur vient nous interrompre, et une fois nos commandes faites ; je prends une grande inspiration pour l'écouter. Et dès les premières paroles, je sens l'énervement qui monte. Je passe ma langue a l'intérieur de ma joue, et j'affiche une fois de plus ma ride du lion, avec un regard un peu noir.    " Effectivement, qu'est ce qu'il en sait... Et, je le trouve assez mal placer pour dire d'une personne qu'elle n'est pas bonne, ou pas assez bien. "    Je soupires, et je m'en veux un peu de tenir des propos comme ça envers son père. Mais franchement... Je vois que Solveig regarde une fois de plus autour de nous, et sa voix s’adoucit, comme ci elle ne voulait pas être entendue. A son information sur ce que je pourrais risquer, je fais un non de la tête, totalement désespéré, et je peux remarquer que dans ses yeux, c'est la peur qui prend le dessus.    " Depuis quand il se préoccupe de toi? Sincèrement mon Bébé... Je n'ai pas peur. Je ne compte pas me cacher, je ne compte pas me retenir d'afficher mon amour juste parce qu'il n'est pas d'accord... "     Je lui fais un petit sourire rassurant, et je demande   " C'est a cause de ça que tu regardes partout depuis toute à l'heure? "    Je pose ma deuxième main sur la sienne. Et le serveur apporte nos verres, un signe de tête pour remercier, et je remet mes yeux dans les siens.    " Tu connais ton père mieux que moi... Tu crois qu'il serait capable de me faire quoi? "   Oui, je voulais me renseigner un peu..
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Je ne supportais plus mon père. Je ne voulais plus le voir. Je ne voulais plus avoir à faire à lui. Il ne me doit rien et je ne lui dois plus rien, mis à part des excuses. Je ne supporte pas qu'il juge Dean de la sorte et je ne veux pas qu'il lui fasse du mal non plus, mais même si je lui disais est-ce qu'il le ferait ? Non. Alors pourquoi ferais-je des efforts pour tenter de recoller les morceaux ? Je ne le ferais pas tout simplement. Je comptais passer un bon moment avec celui que j'aime, mais je ne pouvais pas lui cacher cela, ça me ferait bien trop de mal. Je ne voulais pas qu'il vive sans savoir que quelqu'un était capable de lui faire du mal. Je ne voulais pas lui faire de mal, et je ne voulais pas que quelqu'un de ma famille lui en fasse aussi. Bien qu'il ne reste plus grand monde dans ma famille, je m'inquiétais pour lui. Et pour notre avenir surtout. Je ne m'étais pas autant inquiétée avec Chuck, c'était peut-être un signe du destin, que nous ne finirions pas nos jours ensemble alors qu'avec Dean si. Je ne voulais pas me dire que ce ne serait pas le cas, parce que j'étais vraiment amoureuse de lui et je ne supporterais pas de le perdre. C'était une vérité. La vérité. J'étais amoureuse de lui et je ne pouvais pas m'empêcher de le penser et de le lui dire quand j'en avais l'occasion. Pour l'instant, je n'en avais pas l'occasion, nous étions plus à regarder la carte des cocktails, et à parler de nos cadeaux de Noël et du fait que la mère Noël pourrait le punir, ce qui me fit lever les sourcils en riant avant que je ne puisse rajoueter « Oh oui la mère noël pourra te punir mon enfant. » D'ailleurs je devais avoir un costume de mère Noël dans mon placard, mais il faudrait que je vérifie, cela pourrait être amusant. Et je sais qu'il serait amusé de la situation tout comme il semble être étonné du fait que je lui dise que je profiterais de ses talents plus tard « Un soir où je viendrais cuisiner pour toi mon amour. » Je ne voulais pas qu'il voit où j'habitais pour le moment, même s'il l'avait déjà vu. Mais je voulais qu'il voit le studio que j'aurais un peu plus tard, quand j'aurais signé tout les papiers adéquates et que je l'aurais décoré. J'avais déjà une petite idée de la décoration que je voulais et j'avais hâte de pouvoir y entrer, mais encore fallait-il que le contrat se fasse et le propriétaire ne semblait pas si motivé que ça. Je tente de le rassurer par des mots doux, des mots réconfortants et ce qu'il me dit par la suite me donne vraiment du baume au coeur « J'ai eu le temps d'y réfléchir pendant les fêtes mon amour. » Quand il répond à mon autre phrase, je souris quand je l'entend me dire qu'il m'aime, j'aime tellement comme ça sonne dans mon oreille et j'ai très envie qu'il le répète mais j'aurais tout le temps pour cela, le matin à son réveil, et pleins d'autres petits moments. Je me contente alors de lui dire « Mais tu me rend heureuse, et je t'aime aussi. Plus que n'importe qui. » Je pourrais faire des comparaisons stupides comme l'aimer autant que Jon Snow aime Ygritt, autant que Daenerys aime Khal, mais il me prendrait sûrement pour une folle furieuse, alors je me retenais et je me mettais à lui parler de mon père, mon coeur affolé tentant de se calmer du mieux qu'il le pouvait mais cela semblait impossible. Je voyais bien dans ses réactions qu'il semblait énervé mais je ne pouvais pas le calmer « Je confirme... » Ma voix n'est qu'un souffle et je soupire avant de reprendre d'une voix plus basse. Bon sang, j'ai tellement peur pour lui. « Oui c'est pour ça. J'ai peur pour toi, tu n'imagines même pas. Je ne supporterais pas de me dire que tu as été victime de quelque chose à cause de moi. Parce que je ne le veux pas qu'il t'arrive quelque chose alors que tu es avec moi.. » Je caresse doucement sa main du bout du doigt et je ferme les yeux un instant avant de remercier le serveur qui me tend mon mojito alors qu'il me demande ce que mon père pourrait lui faire. Je sens mon coeur qui s'accélère en m'imaginant les pires choses du monde « Je n'en sais rien... J'ai peur Dean, je te dis ça très sérieusement. Fais attention à toi s'il te plaît. Ne prend pas de risques inutiles pour moi. Promet le moi. » Puis après avoir bu quelques gorgées de mon cocktail, je me levais doucement pour déposer mes lèvres sur les siennes, pour lui offrir un baiser tendre et amoureux avant de me rassoir, non sans avoir regarder autour moi, remarquant deux types qui tournaient la tête au moment où je les regardais. Non Solveig, calme toi.
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Je ne sais pas pourquoi, mais je me voyais a réfléchir a mes anciennes relations. Je me disais que je vivais quelque chose d'inconnu a ce jour. BAH OUI! June étant mon premier amour, nous avons vécu un amour de jeunes adultes, avec de la passion et des erreurs. Sally, est - il nécessaire d'en parler? Non. Alors que la, c'est deux personnes matures qui décident de se lancer dans une relation passer sur du sérieux Un amour passionnel, fusionnel et tellement sincère. Je ne savais pas si je rêvais, ou si j'étais tout simplement entrain de réaliser un rêve qui flottait au fond de moi. Je disais que l'amour n'était pas pour moi, que jamais je ne m'embarquerais dans un truc sérieux... Et pourtant, j'en suis la. Je ne regrette rien, parce que je sais que je viens de confier mon coeur a une personne qui va en prendre soin. Il n'aura jamais meilleur place que dans les mains de ma rouquine. Malgré que nous soyons des adultes, nous arrivons a sortir des bêtises plus grosses que nous, comme a l'instant avec le couple de Noël. Je disais que mère noël ne serait peut - être pas aussi gentille que l'homme, et Solveig m'apporte une réponse qui me fait lancer un rire avant de dire    " Tant que ce ne sont pas les lutins! "   et je reprends de plus belle la rigolade avant d'afficher un simple sourire heureux. Je fixais son regard, bien que ce dernier divaguait de temps en temps. Et quand nous dérivions sur le sujet un peu sexuel, euh sportif pardon. Je laisse mes lèvres afficher un sourire en coin    " De la bonne cuisine et du sport derrière. Je crois que c'est déjà mon programme préféré! "    Je passe ma langue avant de mordiller la lèvre l'inférieure. Je me sentais bien, mais il n'aura fallut que deux révélations pour m'intriguer et m'inquiéter. L'inquiétude se situait sur le fait que mon amoureuse soit partie des Cabot sans même m'avoir prévenue. Bon, je me dis que c'est surement pour ne pas se faire influencer.    " Si tu as fait ça, c'est que c'est la bonne décision. J'espère juste que ça ne te fout pas dans une position, ou situation délicate. "   Sait -on jamais. Enfin sa démission, ne change rien a ma vie hein. Je dis juste que je sais qu'elle est une personne réfléchie, alors je ne vais pas mettre ses choix en doute. Surtout quand on sait qu'elle m'a choisit moi... Ahah. Pour la remercier, et parce que j'en ai envie, je lui dis des choses franches et mignonne. En terminant sur des mots que je n'avais pas prononcé depuis dix ans. Et, je reçois la même chose en retour, ce qui a le dont de me faire des sensations bizarre dans la poitrine et le ventre. Ce qui semble bien avant de sentir la colère arriver quand elle en vient a me dire les propos de son père. Non mais pour qui il se prend sérieusement? Je ne pouvais pas me retenir d'afficher ce regard noir que j'ai dès qu'un truc me tracasse ou m'énerve. Sa voix basse montrait toute la peur de son coté.    " Il ne m'arrivera rien. Et, si jamais, ce ne sera pas a cause de toi Bébé. C'est ton père qui déraille complètement. "    Je soupirais une nouvelle fois, mais les verres arrivent. Merci mon dieu. Je prends une bonne gorgée de mon martini blanc, se qui me brûle un peu la gorge mais je ne laisse rien paraitre tellement je suis plongé dans mes pensées. Je préférais demander de quoi il était capable, car après tout, il est préférable d'avoir les informations pour mieux faire attention.     " Je vois bien que tu as peur... Mais il ne faut pas. Je ferais attention c'est promis et,... Rien n'est inutile quand il s'agit de toi. "    Petit sourire, et je vois son corps qui se redresse un peu, son visage s'avance et nos lèvres se retrouvent. Ma main sous son menton, je fermais les yeux le temps de l'échange. Une fois fini, j'ouvre mes paupières, et je vois son regard qui se dépose sur deux gars qui semblent nous regarder. Je demandes alors    " Qu'est ce qu'il se passe? "   Elle sera plus apte que moi a reconnaitre des mecs qui font partis de l'entourage de son père.
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J'avais un peu hâte de voir ce que la vie allait nous réserver, si nous allions être heureux tout les deux ou si l'un de nous allait jeter l'éponge. Je ne voulais pas être celle qui allait abandonné alors je ne le ferais pas, mais si jamais un jour il est lassé de moi, je ne le retiendrais, je ne veux pas qu'il se sente prisonnier d'une relation qu'il ne veut plus vivre. Je voulais qu'il soit heureux avec moi et je ferais tout pour qu'il le soit. D'ailleurs, j'avais hâte de lui offrir son cadeau de Noël et j'espérais qu'il le lui plairait. J'avais beaucoup réfléchi pour cela et j'étais plutôt assez excitée qu'il le voit. Je voulais voir sa bouille trop mignonne quand il ouvrait le petit paquet, d'ailleurs il faudrait que je pense à le mettre à la dernière minute dans une boîte sinon la pauvre bête allait s'étouffer. Mais pour le moment, la légèreté qu'il me faisait éprouver me faisait du bien, moi qui avait l'impression d'être une cocotte minute prête à exploser. J'avais l'impression que mon coeur était tellement serré qu'il allait exploser. Tout ça à cause de mon père qui avait menacé l'homme qui partageait ma vie pour le moment et pour le restant de mes jours je l'espérais. Désormais, lorsque je ne serais pas avec lui, j'aurais peur qu'il lui arrive quelque chose, en vérité, je ne savais pas de quoi mon père était capable et j'avais surtout peur qu'il soit capable des pires crasses. Je me doutais qu'il allait pouvoir lui faire du mal, pour m'en faire aussi. Bien qu'il m'avait assuré ne pas vouloir blesser sa fille. Menteur. Il chassait mon père de mon esprit en invoquant les lutins de Noël et je riais avant de rajouter « Non non, seulement la mère noël ! » Et je lui tirais doucement la langue. Je partais alors sur le sujet de la cuisine et je riais quand il disait apprécier le programme « Comme cela ne m'étonne pas du tout. » Je souriais en rougissant légèrement, imaginant déjà le programme de rêve que cela pourrait être. Quand je lui parlais de la Cabot House, je le trouvais tellement adorable à s'inquièter pour moi, à s'inquiéter pour mon avenir. Mais je tentais tant bien que mal de le rassurer, je ne voulais pas qu'il croit que j'étais dans la panade à cause de l'une de mes décisions, ce n'était strictement rien. « Je ne l'aurais as fait sinon ! » Je savais qu'il me connaissait et qu'il ne doutait pas de moi, il tentait de me rassurer aussi maladroitement que possible et je l'aimais pour ça, pour ses maladresses et ses mots adorables. J'aimais les mots qu'ils prononçaient et qui me donnaient du baume au cœur. Je tentais de lui donner du plaisir auditif en retour, je tentais de lui dire les mots qui restaient bloqués au fond de ma gorge quand j'étais près de lui mais il sortait visiblement facilement ce qui me rendait des plus heureuses. Mais le bonheur c'est éphèmère tout le monde le sait, surtout moi. Je reviens rapidement à la réalité, à la triste réalité que mon père pourrait lui faire bien plus de mal que je ne l'imagine. Alors je lui demande de faire attention. De ne pas e lancer à corps perdu dans quelque chose et que mon père l'attend au tournant. Je garde ma voix, qui telle un murmure brise le silence et il tente encore de me rassurer ce qui me fait chaud au coeur vraiment. Je ne réagis pas à ce qu'il me dit mais je lui dis que j'ai peur, que je crève de trouille. J'ai pas envie de me dire qu'il a souffert à cause de moi et si jamais c'est le cas, la, je serais vraiment capable de couper les ponts avec lui, même si je pense que je souffrirais beaucoup plus que lui. « Merci... » Je l'embrasse alors, et je ferme les yeux au contact de nos lèvres, savourant ce baiser, nous exposant un peu à la vue de tout le monde. Mais tant pis, pour une fois, je veux agir comme un couple normal. Puis lorsque je me rassois, je vois bien ces deux types qui nous regardent et mon cœur loupe un raté. Lorsque je me rassois, je saisis sa main comme pour rechercher du réconfort mais malheureusement, il pose cette question qui me tord le coeur « Je ne sais pas, je crois qu'il nous observe... A chaque fois que je les regarde ils tournent la tête.. » Je ferme alors les yeux en serrant un peu plus sa main avant de les rouvrir pour boire une gorgée de mon mojito. Putain de sensation inconfortable.
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J'ai toujours voulu sécuriser mes choix, avoir un contrôle sur l'avenir que je comptais suivre. Sauf que je n'avais pas prévu de me mettre en couple avec Solveig. Et je me dis que l'imprévu, ça a bon goût. Je suis heureux, et je me sens léger de me sentir aimer et de pouvoir rendre cet amour de part égale. Non, nous n'allons pas commencer a jouer au jeu de celui qui aime le plus. C'est source d'embrouille, et en plus, je pense qu'il n'est pas forcément possible de mesurer des sentiments. Faut les vivres et les ressentir pour savoir l'intensité. Chose que personne ne peut faire. Je peux affirmer que j'ai énormément d'amour pour Solveig, et je crois que c'est depuis le début. Je me souviens de tout, de chacune de nos engueulades, de ma partie d'escalade, du moment dans les toilettes de l'université,.. Tout. Et, en pensant a tout ça, je me dis que se mettre en couple et la suite logique de ces événements. Je la regardais dans les yeux en souriant, et même en rigolant quand nous commençons a partir sur des sujets un peu bizarre et sexuels. La rouquine me connaissait suffisamment pour savoir que le programme était vendu, et que j'appréciais déjà.    " Je suis tellement prévisible! "    Et je gardes un sourire amusé. Bien sur, il s'enlève vite quand le sujet de la démission de ma présidente préférée venait sur le tapis. Je ne comprenais pas trop les motivations qu'elle avait pour faire ça, vu qu'elle ne m'a rien expliqué en détail. Mais je lui fais assez confiance pour savoir que c'est un bon choix. Je ne pourrais jamais remettre en doute une de ces décisions, et je l'encouragerais toujours a suivre sa raison, ou son coeur. C'était le rôle d'un petit ami non? Non, je ne dis pas qu'il faut que je sois d'accord avec tout,... Mais la, c'est un truc qui ne la concerne qu'elle. Je ne vais pas interagir dans son espace personnel. Il faut savoir garder son jardin secret, sans avoir trop de gros secrets non plus. La preuve, elle me confie rapidement des choses inquiétantes sur son père. Ce n'est pas la première fois que j'entends parler de lui, et sa réputation ne s'améliore pas. Surtout quand je suis la cible de ses menaces. Solveig s'en retrouve très inquiète, et je n'aime pas la voir paniquer comme ça car elle a tendance a scruter tout autour de nous. De mes simples mots, je tentais de faire comprendre qu'il ne m'arriverait rien. Je ferais attention a moi, et si jamais, je tenterais tant bien que mal de me défendre ou d'esquiver. Je suis malin et sournois, ne l'oublions pas! Ses lèvres viennent retrouvaient les miennes, mais après cet échange qui me fait du bien. L'ancienne présidente pose ses yeux sur deux hommes loin de nous. Reprenant sa main de la mienne, elle m'indique qu'ils nous regardent et qu'ils détournent les yeux quand elle les fixe. Je soupires doucement. Comme elle, je prends une gorgée de mon verre et je me dis que deux contre un, c'est faisable.     " Je reviens. "    Je me lève, et je l'embrasse furtivement en souriant. D'un pas décidé, je vais a la table des deux homme, une fois a leur hauteur, je pose ma main sur l'épaule d'un des deux et je demandes   " Je ne sais pas si c'est ma copine ou moi que vous regardez depuis toute à l'heure.. Mais dans les deux cas, c'est un problème. "    Celui que je ne tiens pas me dit   " Euh.. Ne vous énervez pas monsieur. Nous ne faisions pas attention, excusez nous.... Nous ne voulons pas d'histoire. "    Son air me faisait pitié. Je le fixais un instant dans le silence, et je dis   " Je n'en veux pas non plus. Mais si un de vos regard se repose sur ma petite amie, je reviens vous crever les yeux. Bonne journée! "   Et je souris avant de repartir a ma table. Je ne sais pas si Solveig va m'engueuler ou me remercier.
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