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SOLVEAN ♡ i'm not a parano.

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Je pense que si un jour nous finissons tout les deux ensembles, vieux, sur un lit d'hôpital ou de maison de retraite, je me souviendrais toute ma vie du moment où il avait escaladé le mur de mon ancienne colocation pour me retrouver. Le moment où j'ai brisé les assiettes dans son appartement parce qu'il venait de m'annoncer qu'il se mettait avec cette fille que je ne pouvais pas voir ou encore le moment que nous avions passés dans les toilettes à nous expliquer. Je ne savais pas vraiment ce que je ressentais pour lui à ce moment la mais visiblement c'était beaucoup plus que du désir et j'avais voulu me le cacher. Enfin, en même temps quand j'avais mis un mot sur ce que je ressentais il m'avait gentiment demander de laisser mes sentiments là ou ils étaient pour le moment. Alors qu'est ce que vous voulez que je vous dise ? Puis les souvenirs brûlants de notre dernière nuit passée me revenaient souvent en mémoire et cela me faisait toujours le même effet intérieurement, ça me consumait de l'intérieur tellement cela avait été différent. C'était beau, doux, tendre mais charnel. J'avais aimé me réveiller à ses côtés et qu'il n'ait pas eu à fuir, mais on avait pu rester beaucoup de temps à traîner au lit et cela m'avait vraiment fait du bien. Et j'aimerais des journées comme cela plus souvent, me réveiller, lui apporter son café et rester tout contre lui en abandonnant pas ce sourire de niaise collait sur mon visage. Peut-être la prochaine fois où nous nous verrons qui sait, la mère Noël et le père Noël seront de sortie et lorsqu'il me disait être prévisible, je levais les yeux au ciel sans prendre le temps de répondre. Il n'y avait rien à répondre de toutes façons. Puis vient le moment des interrogations, des questions et des révélations, je ne voulais rien lui cacher et c'était ce que je faisais aujourd'hui, je ne voulais pas que cette relation de confiance s'éteigne, que les secrets prennent place aujourd'hui dans notre histoire. Parce qu'après tout il m'avait déjà reproché de lui avori caché que j'étais étudiante à Harvard, alors forcément je ne voulais plus rien lui cacher pour ce qui concernait ma scolarité. Puis de ma scolarité, on passe à un sujet assez sensible, mon père. Je ne voulais pas en parler mais il le fallait, je ne devais pas lui cacher une chose aussi grave. eut-être que je m'affolais pour rien, peut-être que j'extrapolais grandement mais je préférais couvrir mes arrières plutôt que de pleurer pour quelque chose qui était arrivé parce que je ne l'avais pas prévenu. Non, je préférais me protéger et surtout le protéger. Je ne savais pas comment il faisait mais il me rassurait par la simple puissance des mots. Même ses gestes étaient rassurants et j'étais tellement heureuse qu'il soit dans ma vie. Je ne voulais pas qu'il m'abandonne, je ne voulais pas qu'il parte, que mon père lui fasse du mal et il arrivait à canaliser toutes ses émotions en m'embrassant, enfin en prolongeant le baiser que je venais de lui offrir. J'étais on ne peut plus rassurer et j'avais l'impression que cela s'apaisait dans mon coeur. Sûrement grâce à lui. Lorsqu'il me demande ce qu'il se passe, j'ai mon coeur qui s'accélère un peu quand je lui parle des deux hommes qui n'arrêtent pas de nous regarder. Ma main enserre la sienne quand je prend une gorgée de mon mojito et quand il m'annonce qu'il revient j'ai envie de le retenir, mais j'ai l'impression de me donner en spectacle, alors je me contente juste de regarder mes genoux, l'entendant de loin, je déglutis difficilement en relevant la tête et je fronce les sourcils quand je le vois en compagnie des deux hommes. Pourvu qu'ils ne lui fassent pas de mal. J'ai le coeur qui bat à mille à l'heure et quand il revient, je met quelques secondes avant de sortir de mon état stoïque « Tu te jettes pas du tout dans la gueule du loup toi ! Tu voulais pas leur tendre un flingue et te mettre à genoux non plus ? » Puis je baissais la tête, consciente de mes mots assassins, serrant la mâchoire, je me levais doucement pour lui embrasser la joue « Excuse moi.. »
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A chaque fois que je me retrouve en sa présence, j'essaye de ne rien dire. De ne pas faire attention. Mais ces yeux. Ses yeux. Vous dire que je m'y noie dedans serait cliché, un euphémisme. Je m'y jette. Je m'y abandonne. Je renie tout. Toutes mes années de travail, à construire cette forteresse autour de mon cœur tout mou. Un sourire et tout s'est écroulé. Je voudrais lui sourire comme mes sens explosent. Je voudrais lui dire qu'elle rayonne. Je voudrais lui hurler de comprendre mon regard. J'ai des étoiles dans le ventre, des papillons dans les yeux. Et ça tourne, ça virevolte, ça vole si haut. Elle a su entrer dans mon existence avec la force d'un murmure. Celui de l'espoir, quand tout semble perdu. J'avais abandonné mon rêve d'entendre chanter des mots d'amour, et d'en dire en retour. J'errais sur mon nuage, rempli de solitude, me privant maux d'amour. J'avais tenté d'étouffer cette relation naissante, et je pense que c'est ce qui a fait que je me suis rapidement jeté sur la première gourde venue. J'avais refusé de me battre pour ce qui en valait la peine quand les assiettes avaient volées dans mon appartement. J'avais oublié une chose... Vivre, c'est aussi aimer et se combattre. Vivre, c'est aussi pardonner et se battre. Maintenant je vivais pleinement dans notre couple. J'étais prêt a écrire un livre avec Solveig ; et les pages blanches vont se noircir des mots qui trouvaient en nous un semblable écho. Sincérité, tolérance, vérité, désir et extase. Je trouvais toutes les bases avec l'ancienne présidente. Peu importe les sujets, je pouvais ressentir toute sa sincérité qui s'échappait des pores de sa peau. Bien que, la franchise se mêlait avec la peur a présent. Je tentais de faire tout ce qui était en mon pouvoir pour la rassurer, mais je crois que je peine. Ce qui est normal, car je relativise au maximum ne connaissant pas son père, et en ne soupçonnant pas une minute de ce qu'il était capable de faire. Alors que pour elle c'est tout le contraire. Nos bouches formaient un silence, mais qui se faisait briser par deux inconnus qui ne cessaient de nous regarder. Je ne voulais pas jouer les héros, mais je ne voyais pas cinq mille solutions. Indiquant a ma petite amie que je revenais vite, je me déplace jusqu'à eux pour une méthode d'intimidation, et pour vérifier qu'il n'était pas la pour nous espionner. Une fois la menace lancée, je reviens vers celle qui fait battre mon coeur, et voilà que je me fais engueuler. Je hausses les sourcils, en pensant que ce n'était pas réel. Non mais...    " Bah au moins tu peux arrêter d'être parano sur ces deux bouffons. Et... "    Et rien. Elle se redresse pour venir embrasser ma joue. Je souris en fermant les yeux, en me disant qu'elle avait trop de facilité pour se faire pardonner mais que, au fond, j'adorais. Je la fixe en souriant    " Oublions... "    Et je prends alors un petit air malicieux dans le regard    " Tu sais quoi? J'ai envie d'aller faire les magasins. Essayer des tonnes de fringues ridicules pour sortir sans rien. Manger des gaufres et des tas d'autre connerie... "    Et puis, si son père espionner vraiment, il serait plus difficile pour lui de faire face a des cibles mouvantes non? Le restaurant pourrait bien attendre une prochaine fois.
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Je suis heureuse avec lui, je suis tellement bien avec lui. J'aime ses bras, sa peau et les baisers qu'il m'offre quand je suis endormie et qu'il veut me réveiller, j'aime tellement quand il me tire de mes rêves le plus simplement du monde. C'est une personne qui est simple, qui ne se rend pas la tête et je me sens bien avec lui et c'est cette simplicité extrême qui me plaît. Je ne veux pas qu'il se prenne la tête pour m'atteindre parce qu'il le fait sans vraiment rien faire. Je suis amoureuse de lui, dans toutes les situations possibles et je ne veux pas le perdre. Je veux qu'il me réveille encore et encore, et qu'on se perde l'un dans l'autre des heures et des nuits durant. Quand j'étais avec lui, j'avais l'impression de flotter dans les airs comme si rien ne pouvait m'atteindre, et c'était le cas, quand j'étais avec lui, je ne ressentais rien de négatif,c'était beau et j'aimais cela. C'est dingue de se dire que quelques semaines auparavant, je pensais que tout était terminé entre nous, qu'il me haïssait au point de ne plus vouloir me voir et que j'étais pour lui qu'une illustre inconnue. Mais non, les choses avaient fait que nous nous étions une fois de plus rapprochés et que nous étions désormais inséparables. Et clairement, c'était peut-être niais mais je ne me voyais pas faire ma vie sans lui. Même si j'avais un peu peur du futur et de ses attentes, c'était d'ailleurs la seule chose qui me rebutait un peu mais j'avais confiance en lui pour qu'il ne se presse pas, ne me presse pas. Même s'il était un professeur de l'université dans laquelle j'étudiais, je voulais que nous soyons un couple des plus normals. Pas un couple qui se cache à la vue de tout le monde dès qu'il ose sortir de chez lui. Non. Je sais bien qu'à l'université cela sera impossible de faire comme si tout était normal mais je ne voulais pas que la discrétion nous bouffe notre quotidien. J'avais peur de le voir se faire draguer par des filles de l'université et je sais que si c'était le cas, je ne le supporterais clairement pas. Je ne suis pas jalouse loin de la, mais je ne supportais pas de le voir près d'une autre fille surtout quand cette dernière le regarde avec des yeux énamourés. Je n'étais pas dupe, je savais bien qu'il ne laissait pas indifférentes les filles de ses cours, j'avais été l'une des premières à craquer bien avant de savoir qu'il était professeur, alors je n'imaginais pas les autres filles. Et je ne voulais pas le faire. Je lui faisais confiance, confiance aveugle et je ne laisserais pas une fille briser cela. Lorsqu'il allait voir les deux mecs j'avais envie de le tuer intérieurement. Pourquoi est-ce qu'il se jettait dans la gueule du loup comme ça ? Pourquoi faisait-il ça ? Je serrais les dents, ne préférant pas regarder au cas où s'il se faisait massacrer, mais quand je le voyais revenir tout sourire, je ne pouvais m'empêcher de sourire à mon tour, une pointe de soulagement sur le visage. Mais je ne peux pas m'empêcher de lui prendre légèrement la tête avant de m'excuser et de lui embrasser la joue. Il faut dire que j'ai un peu poussé. « Et ? » Je l'avais coupé dans son élan et je riais doucement avant de continuer, de répondre à son invitation « Oh moi aussi j'ai envie de faire les magasins ! Et de manger une gaufre avec toi ! Avec pleiiiiin de chantilly. Et te voir dans des tenues ridicules... » Je lui souris en venant une fois de plus l'embrasser, ma main passant sur sa joue. je m'en voulais un peu de m'exposer comme cela devant tout ses gens mais c'est ce qu'il me fallait pour que je ne me prenne plus la tête.
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Elle est magnifique. Sa manière de m'aimer, de me regarder, me faisait rêver. Ont s'aiment n'importe où, n'importe quand, n'importe comment. A quatre heures du matin ou à huit heures du soir. Je n'aimais que elle, et elle ne voyait que moi. Nous sommes passionnés, amoureux, sans limites. J'avais mit du temps avant de lui dire je t'aime, mais j'avais prononcé des je te promets. Parce que promettre c'était plus fort. Et puis, nous avons toujours eu une relation assez complexe. A ne pas toujours savoir sur quel pied danser. Mais bon... On ne devaient rien à personne, Ont vivaient notre bonheur. Tout le monde cultive son petit jardin, aux yeux de tous ou à l'abri. Qu'importe les vis-à-vis, de vous à moi, voyez ce que vous voulez. Je sais le vrai dans l'histoire, et je sais surtout qu'elle est tout ce qu'il me fallait. Il suffit de nous voir, ensemble et souriant pour savoir que l'amour entre nous n'est pas futile. C'est réel, et c'est bien pour ça que je n'ai jamais été aussi bien depuis des longues années. L'amour c'est quand je la vois, et que mon cœur rate un battement. Quand je plonges mes yeux dans les siens et que le monde cesse d'exister. Nos regards plongés, les mots en deviennent inutiles. Je me sens enfin complet. C'est si puissant que j'en ai mal parfois ; mais c'est une douleur que J’accepte avec plaisir, car elle, oh mon Dieu, elle me fait du bien. J'ai oublié comment était ma vie avant Solveig, tellement ça me semble naturel. Je ne m'imagines même pas la perdre. J'ai pris conscience: toutes ses expressions niaises prennent enfin leur sens, elle est mon soleil. Et je m'en fous de ce que diront les gens parce qu'il n'y a qu'elle qui compte. Je ne laisserais personne lui faire du mal... Même pas son père. C'est pour ça que je décide d'aller a la rencontre des deux hommes soupçonnés de nous espionner. Portant mes bourses, j'affiche directement ce coté méchant et violent pour être sur de ne pas perdre; et résultat. Je reviens souriant vers ma petite amie qui m'engueule telle une mère avant de s'excuser en embrassant ma joue. Coupé dans ma parole, la jolie rouquine me demande quand même de poursuivre   " Et rien. T'es trop mignonne quand tu m'engueules! "   Je souris niaisement avant de plonger mes yeux dans les siens pour lancer mon envie folle. Et je suis content de voir que c'est partagé.   " Eh oh. Tu vas aussi porter des tenues ridicules crois pas. "   Je souris amusé, et je prends sa main en ramassant nos affaires avant de finir devant le comptoir. Je dépose un billet qui était carrément au dessus de la somme totale de l'addition, et j'embarque mon amoureuse dehors. Bataille gagnée, mais je ne préfères pas relever. Une fois a l'extérieur, je dis   " Ma voiture n'est pas loin. "    Oui, la deuxième femme de ma vie, c'est mon audi. Mais je l'aime moins que Solveig c'est évident. Je marche pour retrouver mon véhicule, et une fois a vue, j'actionne l'ouverture de la clé. Nous avançons pour entrer dedans, et je démarre le moteur qui grogne. Je tourne le visage vers elle, et vu qu'elle me regarde, mon corps se penche pour déposer un baiser furtif sur ses lèvres. Et hop, je roule! Direction le centre commercial qui n'est pas trop loin de la zone où nous sommes. J'espère que l'ancienne présidente n'a pas trop peur en voiture, car j'avoue avoir une conduite un peu trop sportive.
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Il n'est pas rare que les personnes disent de vous que vous êtes rayonnantes quand vous êtes amoureuse, j'avais croisé une ancienne amie que j'avais en commun avec Chuck qui m'avait dit cela et c'était peut-être vrai. Quand je n'étais pas encore officiellement avec Dean, je n'avais pas envie de bien m'habiller, je m'habillais le plus banalement possible mais plus maintenant. Maintenant, je faisais attention à moi, à la façon dont je me maquillais parce que je voulais le faire retomber amoureux des dizaine de fois. Je prenais soin de moi désormais, un peu plus que quand j'étais toute seule et cela me faisait réellement du bien, de l'aimer et de me sentir aimé. Je ne voulais pas me prendre la tête pour notre histoire, ça se ferait comme cela doit se faire, pas avec des artifices inutiles, sans forcer sans rien. Je ne voulais pas que notre relation semble superficielle ou je ne sais encore quel autre adjectif qui pourrait la qualifier.  Je veux que notre relation soit belle, tout simplement. Et je savais qu'elle le serait parce qu'il était adorable, qu'il faisait attention à moi et tout ce qui s'en suivait alors je ne pouvais que l'aimer un peu plus chaque jour. Et j'étais persuadée qu'il faisait la même chose alors je le lui rendais bien. Un jour peut-être, étant donné que je ne l'ai pas encore fait, je lui avouerais toute l'étendue de mes sentiments mais pour le moment, je me contente de lui dire petit peu par petit peu, par texto ou encore par e-mail. Mais je n'arrivais pas à lui dire en face, comme si les mots ne voulaient pas sortir, comme si j'avais peur d'une chose complètement inutile, quelque chose qui ne devrait pas être mais qui me fait peur quand même. Un truc dont je ne peux pas mettre un doigt dessus. Mais que je finirais bien par deviner. Je lui dirais un jour, le jour où il s'y attendra le moins. Je lui faisais une confiance aveugle, surtout quand il allait voir les deux hommes qui nous regardaient depuis tout a l'heure, et j'avais peur pour lui. Une peur insensée puisqu'il les avait calmer directement. Ce qui me rassurait. Même si j'étais persuadée qu'ils nous regardaient encore après qu'il est été les voir. Et mon sourire s'étirait quand il me disait que j'allais porter des tenues ridicules. J'oubliais presque la présence des deux hommes mais j'y pensais tout le temps cependant je ne disais rien, je ne les regardais plus, la boule toujours présente dans le ventre. Lorsque je l'embrassais pour m'excuser, sa phrase me fit rire et je soupirais pour ne rien rajouter. Heureusement pour moi, il soulevait l'idée de partir d'ici et j'étais soulagée de son idée. Je m'empressais d'accepter et lorsque je me levais, je le voyais déposer un billet sur le comptoir, ce qui me fit instinctivement lever les yeux au ciel, il était vraiment insupportable. Je le suivais jusque sa voiture, mon visage regardait un peu partout autour de moi, nos mains entrelacés et lorsque j'entrais dans la voiture, je ne pouvais m'empêcher de le regarder, de l'admirer presque. Et bon dieu, que je le trouvais beau. Il devait sentir le fait que j'avais envie de l'embrasser puisqu'il prenait le contrôle et m'embrasser.Lorsqu'il démarrait, je déposais timidement une main sur sa cuisse et je fixais la route « T'as de la chance que j'aime les voitures de sports mon Amour. » Et ma main caressait doucement sa cuisse, le regard face à la route. Une fois arrivé au centre commercial, je l'embrassais, un baiser passionné presque désespéré. Je lui faisais part de mes effusions d'amour avant de déposer une main sur sa joue, je profitais de ces instants tout les deux à l'abri des regards indiscrets. J'avais envie de lui prouver à chaque secondes mes sentiments, à défaut de mots, il me reste les gestes.
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Je savais qu'il existait des nombreuses filles qui ressentaient une sorte d'attirance pour moi. Plus physique qu'autre chose. Mais, je ne fais même pas attention. La seule qui m'importe c'est Solveig, et c'est également la seule a qui j'ai envie de plaire. Je ne suis pas du genre a sortir le costume pour l'impressionner, mais je tente de bien me coiffer par exemple. Regardez, j'ai même rasé ma barbe! Bon, c'était surtout parce qu'il le fallait sinon je ressemblerais a un homme de Cro-Magnon. Et puis, ça me rajeuni. Au fond, je sais que je n'ai pas besoin de briller pour recevoir son amour, et je dois bien dire que ça fait du bien. Ca fait du bien de sentir que quelqu'un vous aime pour ce que vous êtes et non pour ce que l'on parait être. Y'a une énorme différence, et importante. Puis ; ça fonctionne dans les deux sens. L'ancienne présidente n'a pas besoin de se maquiller ou de sortir une robe pour que je sois sous le charme. Elle est très belle au naturel, et j'adore me réveiller a coté d'elle sans tous les artifices. D'ailleurs, j'espère dormir en sa compagnie ce soir car, bizarrement mon sommeil ne s'en trouve que plus léger et plus agréable. Je dors mieux quand elle est dans mes bras, un peu comme ci j'étais soulagé. C'est certainement un soulagement de savoir qu'elle est en sécurité, et qu'elle dort aussi. M'enfin! Pour l'heure, il ne s'agissait pas de partir dans les bras de Morphée, mais de quitter le restaurant sur mon coup de folie. Je voulais improviser une sortie dans le centre commercial, et m'amuser un peu. Ma petite amie était trop tendue alors, je fais ce que je peux. Après avoir laissé un billet, nous nous retrouvons dans mon audi. Je démarre le moteur qui grogne, et après un baiser furtif, je commence a conduire appréciant ses caresses sur ma cuisse. Sa réflexion me fait sourire pendant que mon regard ne reste que sur la route.    " Et tu as de la chance que je sois un bon pilote! "    Ce qui n'est pas plus mal vu que je roule toujours au dessus des limites. D'ailleurs, nous arrivons plus vite au centre commercial. Une fois sur un place de parking, Solveig vient recoller sa bouche contre la mienne, mais moins furtivement que moi toute à l'heure. Sa main se pose sur ma joue et je prolonge de manière passionnée. Je ne sais pas si c'est le fait de se retrouver derrière des vitres teintées, mais ma jolie rouquine se lâche un peu plus. Ma langue vient donc rajouter un peu de fouge en se mêlant a la sienne, et ma main vient sur le haut de sa cuisse. Les yeux fermés, je n'avais pas envie de sortir de la voiture. Bien que la gaufre recouverte de chantilly me fait envie. Toujours pendant l'échange, ma main qui ne caressait pas mon amoureuse, se glisse pour réussir a enlever ma ceinture de sécurité qui me gênait. Comme ça, je pouvais un peu plus avancer mon corps pour appuyer le baiser passionné et fougueux. Le stoppait ne dépendra pas de moi, car je suis dans l'impossibilité de décoller mes lèvres des siennes.
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J'avais une sorte de confiance aveugle envers Dean, c'était dingue mais malgré tout ce qui avait pu se passer entre nous depuis le début de notre "relation", les coups bas, les mensonges, les ruptures il était toujours la, tout le temps, à chaque minutes que je passais, je ne cessais de penser à lui et j'étais assez heureuse qu'il fasse partie intégrante de ma vie. Et j'étais d'autant plus heureuse de faire partie intégrante de sa vie, avec tout ce que nous avions vécus. Je ne voulais plus en sortir, et même s'il me demandait de le faire comme il avait pu me le demander auparavant, je pense que je n'y arriverais pas. Je pense que s'il me le demandait, je quitterais la ville simplement, cherchant un boulot dans une autre ville pour oublier cette relation qui m'aurait certainement assez détruite pour que je quitte la ville. Mais je ne voulais pas penser au futur proche, enfin, au futur qui pourrait être triste mais je le voyais assez heureux dans l'optique que je me le faisais. Je me voyais assez heureuse avec lui, des moments doux comme des moments assez électrique au vue de nos deux caractères assez enflammés. J'imagine aussi des instants où il m'impressionnerait, où il me surprendrait de la plus douce et la plus étonnante des manières. J'avais des espérances que je tentais de garder dans un coin de mon esprit pour ne pas être trop déçue. Mais je savais qu'il ne me décevrait pas. Il ne me décevrait jamais. J'en étais persuadée. Pour le moment, il se contentait de me rassurer, de me dire que mon père ne me ferait aucun mal, ni à moi, ni à lui. Et j'espérais qu'il ne lui en ferait pas. Je préférerais nettement qu'il m'en ferais à moi et non à lui. Je préférais souffrir pour lui, ça pourrait sembler niais comme cela mais non. J'étais juste très réaliste, je ne voulais pas qu'il ait accepté notre relation, qu'il ait accepté de "sortir" officiellement avec moi pour qu'après il lui arrive des choses affreuses. Je l'aimais et je voulais ce qu'il y avait de mieux pour lui. Et ce que j'aimais chez lui, c'était le fait qu'il m'aide à me changer les idées en quelques secondes. Comme maintenant, quand il me propose d'aller faire les magasins pour essayer des tenues débiles et manger des gaufres. Et c'était ce qu'il me fallait, de l'imprévu. Un nombre innombrables d'imprévus. C'était pour cela que je n'avais pas de doutes sur le futur, il serait fantastique. Je ne disais rien quant au fait qu'il venait de payer et je le suivais jusque son audi, un grand sourire sur le visage. J'aimais les voitures de sport et la vitesse, il me comblait. Dans la voiture, je dépose doucement ma main sur sa cuisse et je ne peux m'empêcher de lui faire une remarque et sa réponse me tire une nouvelle fois un sourire « Mon bon pilote. » Je le regarde du coin de l'oeil avant que nous arrivions pur juger sa réaction, avant de reporter mes yeux sur la route. Lorsqu'il se gare, je me rend compte que je suis légèrement en manque de ses lèvres et rapidement, je comble le manque en l'embrassant moins furtivement que tout a l'heure, mes lèvres cherchant les siennes pour lui offrir un baiser passionné, nos langues se cherchant se trouvant, je dépose une main sur son torse tandis que la sienne trouve ma cuisse et ouvrant les yeux, je peux apercevoir qu'il retire sa ceinture. J'en profite pour faire la même chose, et doucement, je passe de mon siège au sien, nos lèvres toujours scellées. L'effet vitre teintées certainement, mes mains trouvent son visage que j'entoure de mes mains, calmant doucement l'ardeur du baiser, dispersant des baisers le long de sa mâchoire « Les magasins nous attendent... Et les gaufres aussi... » Mais je ne pouvais m'empêcher de continuer à l'embrasser avec moins d'ardeur cependant, mais beaucoup plus avec tendresse.
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Je sais que tout ne dépend pas forcément de nous pour le bon fonctionnement de notre relation. Mais au vue de mes sentiments, et de mon envie de continuer ainsi avec elle, je pense que je serais capable de beaucoup pour ne pas avoir à a la perdre. Je pourrais baisser ma garde, laisser ma fierté de coté pour ne plus la blesser ou pour éviter une dispute inutile. Ce sont des choses que jamais je n'aurais pensé faire pour une fille, mais voilà, Solveig est mon exception. Je ne dis pas que dans notre couple il n'y aura jamais de bas, ce sera forcé qu'il y en ait comme dans toutes les relations. Je dis simplement que je tenterais de faire tout ce que je peux pour apaiser les tensions, et régler rapidement les prises de têtes. Non non, je ne serais pas soumis non plus, faut pas abuser dans ma gentillesse. Je tiendrais mon rôle de petit copain, bien que ça fait tellement longtemps que je n'ai pas eu a le faire, que j'ai peur de ne pas toujours faire bien. J'espère que ma rouquine en tiendra un peu compte. Je fais suffisamment confiance pour me rassurer sur le fait que cette histoire peut aller très loin, bien plus que loin que nos espérances commune. Et bien que son père soit le premier a vouloir ruiner ce que nous sommes entrain de construire, je me montrerais sécurisant pour éviter tout danger ou menace. Normalement, nous sommes censés tout faire pour s'attirer les bonnes grâces de la belle famille, mais j'ai l'impression que mon beau père déclenche déjà une sorte de guerre sans apprendre a me connaitre. Je ne suis pas plus inquiet que ça pour ce qu'il pourrait m'arriver, mais plus pour ma petite amie. Je me doute que la situation  ne doit pas être facile pour elle, et j'en suis franchement désolé. C'est peut être ce qui me pousse a changer le programme de la journée en lui proposant de partir dans le centre commercial et faire les fous pour ne plus penser a rien. Ce qui a l'air de l'enchanter, certainement l'idée de me voir essayer des tenus ridicules! Une fois dans la voiture, je démarre en affichant clairement ma conduite sportive. Je reçois sa main sur ma cuisse, et je souris inconsciemment sous l'effet de ce geste que je trouve mignon. Je suis déjà accro, et j'espère que ce sera une habitude pour les prochaines virées en voiture. A sa dernière remarque, je ne peux me retenir d'afficher mes quenottes. La trajet se termine alors sur le parking où je gare ma voiture, et voilà que la jeune femme vient trouver mes lèvres de les siennes. Laissant ma langue vagabonder contre la sienne, je retire de ma main qui n'est pas sur elle, ma ceinture. Ce que Solveig ne manque pas de faire a son tour. Et, a ma surprise, elle vient a califourchon sur moi, en appuyant un peu plus l'échange. Ma température monte un peu plus, et son visage se décolle peu a peu du mien pour venir déposer des multiples baisers sur ma mâchoire. Je souris en fermant un peu les yeux, et je prends la parole   " Nous sommes très attendus? "   Façon de demander si nous pouvions rester un peu a l'abri des regards. Sa bouche revient sur la mienne, et je prolonge passionnément. Mes mains sur ses hanches, une de celle ci vient actionner la manette pour baisser un peu mon dossier. Je ne voulais pas que l'ancienne présidente soit le dos contre mon volant. Je n'ai pas mit le siège en lit, mais un peu plus bas pour être confortablement installés. Et, pendant, je fais un petit rire contre ses lèvres en laissant sortir un   " Si nous ne descendons pas, je risque de fermer les portières! "   Et je viens poser mon regard dans le sien, en laissant nos visages a proximité réduite.
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On m'a toujours dit que les relations sont différentes et celle que je venais d'entamer était déjà en toute part différente de mon ancienne relation avec Chuck. Avec Chuck, j'avais toujours cru que c'était un jeu pour lui, même un après quand il m'avait demandé en mariage, je ne lui avais jamais fait confiance comme je faisais confiance à Dean. J'avais toujours peur qu'il parte avec une autre fille, qu'il trouve quelqu'un de mieux que moi, quelqu'un de beaucoup plus jolie que moi. Chuck n'avait rien fait pour que j'acquière la confiance. Il ne me disait jamais vraiment rien de gentil, j'avais souvent l'impression d'être de trop, mais je l'assumais, je le supportais et je me demandais si je ne me faisais pas d'illusions. Je me demandais si ce n'était pas une sensation étriquée de mon cerveau d'ancienne complexée. Même si Chuck m'avait aidé à déployer mes ailes, j'avais l'impression de ne pas pouvoir les déployer autant que je le voulais et c'était pour cela que j'avais osé, que j'avais commit l'irréparable, l'infidélité. Je n'en étais pas fière mais je ne pouvais pas faire autrement et je m'étais nettoyée de toute culpabilité depuis mon divorce. Puis j'avais eu vent du fait qu'il n'avait pas mis longtemps pour me rattraper, avec une fille de mon ancienne confrérie, ce que je n'avais pas accepté. Mais nous nous étions expliquer et ce n'était pas à elle que je devais en vouloir, mais à lui. Il était le diable en personne, et je n'étais qu'un ange déchu. Mais j'avais déployé mes ailes après mon divorce, me rendant compte que je ne pouvais plus me lamenter sur mon sort et je m'étais affirmée en tant que femme et non plus en tant que femme apeurée. J'avais rencontré Dean après mon divorce, et c'était à ce moment précis que je m'étais dit qu'il ne fallait plus que je me cache derrière pleins de choses superficielles, que les gens ne me critiqueraient pas si j'agissais comme j'étais. Et j'étais heureuse d'être tombée sur Dean quand j'avais décidé de ne plus me lamenter, parce que j'étais persuadée qu'il ne m'aurait pas adressé la parole si j'étais une fille renfermée sur elle-même et qui ne cessait pas de se lamenter. Et je me demandais si je ne l'avais pas rencontré comment cela se passerait en ce moment. Si mon père m'aurait menacé, s'il aurait fait partie de la mafia, tant de questions qui tournaient dans ma tête, tant de choses que je me demandais sans avoir aucune réponses, mais je ne voulais pas les réponses, je voulais vivre cette vie qu'il me proposait. Je voulais ce genre de moments où il me proposait une chose totalement différente de ce qui était prévue au programme, et cette virée en voiture se trouvait prendre une tournure assez intéressante, une fois la voiture arrêtée dans le parking. Je prenais les devants pour une fois et j'étais assez fière de moi. Ce n'était pas la première fois que je le faisais, mais c'était assez rare. Lorsque nos lèvres se trouvent, se cherchent, lorsque nos langues jouent ensemble, je me retrouve à califourchon sur lui, mes lèvres papillonnant sur ma mâchoire pendant que j'entendais sa réponse, réponse à laquelle je m'empressais de dire « Non ça peut attendre... » Et je reprenais ses lèvres, encore, comme une droguée en manque de sa dose d'Héroïne comme si, cela faisait des mois que nous ne nous étions pas vu. Je le laissais prendre le contrôle quand il baissait son siège et instinctivement, je me collais un peu plus à lui en continuant de l'embrasser. Quand il dit qu'il risque de ferme les portières, j'appuie instinctivement sur la fermeture centrale des portes et je viens doucement mordiller sa lèvre « Oups... » Puis je souris, un sourire différent des autres, un sourire à la limite du sourire que tu veux faire quand tu veux dire que tout va bien et du sourire sincère. Je ne sais pas ce qu'il me prend, je ne sais pas pourquoi je suis comme cela. Peut-être pour oublier, pour me perdre dans les limbes du désir, me perdre dans ses bras pour oublier toutes les menaces. Mes doigts s'agrippaient doucement à sa chemise quand mes lèvres trouvaient une fois de plus les siennes, dans une douceur infinie.
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Souvent, les différentes relations ne sont pas comparables. On dit qu'elles ne se ressemblent pas. Et heureusement. Si ma relation avec Solveig ressemblait a celle d'avant, je serais devenu complètement fou. Mais par chance, je suis avec une fille merveilleuse qui ne cesse de me montrer que les rêves ne ce font pas que la nuit. Qu'il est possible d'être éveillé, et de pouvoir choisir la suite de certains événements. Je souhaiterais de tout coeur contrôler notre avenir, être certain de pouvoir passer le plus de temps avec elle, et pourquoi pas, avoir mon dernier souffle dans ses bras. Je m'en vois a faire des plans sur la comète, et je ne me reconnais presque plus. Je change, en bien. Sauf que je n'aurais pu penser tomber autant amoureux. Je sais que des fois, l'ancienne présidente a tendance a se sous estimer, a ne pas se rendre compte qu'elle réalise des choses extraordinaires. Et, je me dis qu'un jour, je vais lui dire ce qu'elle a fait pour moi, en moi. Le fait que grace a elle, je grandis et que je deviens quelqu'un de bien. Et, je m'en voudrais si jamais il lui arrive quelque chose a cause de moi. J'aimerais vraiment pouvoir la protéger contre la merde de ce monde, me prendre les coups a sa place. Mais pour éviter qu'un truc comme ça arrive, je décide de lancer une proposition pour jouer les cibles mouvantes. Invitation acceptée, et nous voilà rapidement en voiture. Il ne faudra pas énormément de temps pour arriver sur le parking, et pour garer soigneusement mon bolide. Si jamais mes voisins de parking foutent un coup de portière dans ma voiture, je vais devenir complètement fou! Sauf que la, je devenais fou dans un autre sens. Ma petite amie m'embrassait, pour ensuite s'installer a califourchon sur moi. Totalement emporté par l'action, je prolonge notre échange en faisant aller ma langue contre la sienne avant de recevoir une information comme quoi nous étions attendus. Je n'avais pas envie d'arrêter ce qu'il se passait, car la jolie rouquine réveillait en moi des petites envies, et un peu d'excitation faut se l'avouer. Bien sur, je fais un peu d'humour pour insinuer que je comptais rester dans mon audi. Mes mains sur ses hanches, rapidement je descend mon siège pour obtenir un certain confort. Je recevais le poids de son corps contre le mien, et mes mimines partent dans son dos pour offrir des caresses sans quitter sa bouche. Je ne vois même pas sa main aller sur le bouton qui ferme mes portes. J'entends seulement le bruit, et surtout son oups qui m'offre un sourire. Un sourire qu'elle peut sentir sur ses lèvres, vu que les miennes sont toujours collées. Bon, a voir, mon amoureuse tient également a rester ici. Une main passe sous son haut pour avoir un contact direct avec sa peau. Mes bouts de doigts la papouille, et je mordille sa lèvre tendrement avant de reprendre un échangé passionné et un peu fougueux. Automatique, mon bassin s'actionnait un peu, mais vraiment au minimum contre le sien. N'allons pas trop vite non plus, faut savoir apprécier... Mais c'est sans compter sur un élément perturbateur. Je ne sais comment, mais Solveig réussie a actionnait le klaxon de ma voiture. Je fais un petit bond, surpris, et j'ouvre les yeux en décollant nos visages. Après avoir compris, j'éclate de rire. Accompagné du sien. Ne pouvant pas tellement m'arrêter, et n'étant plus du tout dans l'optique de faire des bêtises je dis simplement, en essayant de reprendre un peu de sérieux " Sauvés par le gong! " Et je reprends ma respiration, en fixant son regard. Je crois qu'il est temps de sortir pour rejoindre les galeries marchandes. " Bon.. " Je souris en pincant un peu ma lèvre inférieure pour éviter de repartir dans une crise de rire " Allons manger ces gaufres! "
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