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I saw her in my dreams and she came. PV.

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Summer & Paris
Paris expérimentait une toute autre peur et il voulait bien admettre qu’il aurait préféré ne pas la connaitre car ce n’était pas son corps qui risquait de souffrir mais bel et bien son cœur. C’était son âme à nu qu’il mettait en jeu entre les mains de Summer. Est-ce que tout le monde ressentait cette tension dans son ventre ? Est-ce que leurs mains devenaient moites d’appréhension ? Il se posait tout un tas de question en sentant son corps le lâcher. Son cœur lui, battait la chamade à lui en faire mal et il se demandait par quel miracle, il arrivait à ne pas trembler de peur. Summer n’avait pas idée du saut de l’ange qu’il venait d’effectuer en lui demandant d’être sa petite-amie. Il craignait qu’elle prenne peur, qu’elle en le croit pas lorsqu’il lui affirmait qu’il changerait pour elle, qu’il pourrait se fixer sur une seule et unique femme. Il craignait tellement de la décevoir, qu’elle sache déjà qu’il ne méritait pas une telle compagne mais dans un sens, son pessimisme n’était-il pas le reflet de ses peurs, de son besoin quasi-maladif de ne pas ressembler à sa mère ? Il venait lui-même de se lier à quelqu’un, d’accepter de devenir dépendant d’une tierce personne. Il n’arrivait pas à regretter sa question parce qu’il la voulait du plus profond de ses tripes.

Le jeune homme se sentait maladroit, gauche, totalement hors de propos. Il aurait aimé savoir s’exprimer convenablement, être romantique ! Summer devait être habituée à des hommes qui savaient ce qu’ils disaient ! Des belles paroles, des actes qui allaient en conséquence. Lui, il avait tout à apprendre. Il était un novice dans le domaine sentimental. Il ignorait tout de ce qu’un petit-ami était censé faire ! Pourtant, il ne demandait qu’à apprendre, qu’elle le guide et qu’elle lui pardonne si jamais il faisait quelque chose de mal. Voilà déjà qu’il se souciait d’elle comme d’un amant. Peut-être que dans le fond, il suffisait simplement qu’il se laisse guider par son instinct comme à son habitude. Il avait toujours agi de la sorte et jusqu’à présent, cela ne lui avait pas trop fait défaut alors peut-être était-ce la bonne solution : ne pas se prendre la tête, rester lui-même et rendre cette femme heureuse. C’était tout ce qu’il devait faire se décida-t-il enfin.

Summer prit enfin la parole, lui permettant de respirer à nouveau et Paris but ses paroles, attendant qu’elle lui réponde enfin à sa question. Il fut soulagé d’apprendre que pour elle, sa relation avec Gabin appartenait au passé. Il avait craint qu’elle ne regrette sa rupture et retourne auprès de lui. Oh il s’était juré de se battre pour la conquérir mais il était soulagé de ne pas en avoir besoin. Paris savait pertinemment que la rendre heureuse serait déjà un combat de tous les instants et il préférait mettre tous ses efforts dans cette bataille. Pourtant, son cœur rata un battement alors qu’elle lui disait non. Paris ouvrit aussitôt la bouche pour protester mais elle ne lui en laissa pas le temps en reprenant, calmant aussitôt son angoisse. « Si je le veux ? T’es sérieuse ? Bien sûr que je le veux mais ne me refout pas une trouille pareille, j’ai cru que tu allais dire non » grogna-t-il avant de la prendre dans ses bras pour l’embrasser passionnément mais très vite, le baiser devint tendre, aimant comme s’il essayait de lui faire comprendre les sentiments qu’elle éveillait en lui depuis leur rencontre. « Je te promets de ne jamais te laisser dans un coin comme une jolie poupée… j’espère juste que tu arriveras à me supporter sur le long terme car je ne suis pas facile à vivre… j’ai des casseroles comme tout le monde mais à partir de maintenant, je suis tout à toi » lui dit-il en effleurant ses lèvres d’un baiser. Il y avait encore tant à dire et régler mais pas ce soir. Pour cette nuit, il avait juste envie de profiter de sa présence sans se poser de questions, sans culpabiliser. Après tout, ce n’était pas tous les jours que Paris Maconahey se mettait en couple.


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Summer & Paris

J’arborais un sourire jusqu’aux oreilles alors que Paris réagissait enfin à mes dires, je me mis à rire lorsqu’il me prit dans ses bras non sans m’ordonner gentiment de ne plus lui faire peur comme ça. Il m’embrassait alors passionnément avant d’y mêler toute la tendresse du monde, et lorsque je lâchais ses lèvres, je décalais mon visage pour pouvoir atteindre sa joue et lui déposer un bisou avant de dire « Ça aurait eu moins d’impact si je t’avais un peu taquiné quand même ! », j’étouffais un petit rire contre sa peau en le ré-embrassant sur la joue, puis je m’écartais un minimum pour pouvoir le regarder dans les yeux tandis qu’il me promettait de ne pas me mettre de côté. Je secouais la tête de gauche à droite lorsqu’il me disait espérer que je puisse le supporter assez longtemps parce qu’il n’était apparemment pas facile à vivre, et je préférais le rassurer sur ce point : « Hey, t’es pas le seule à traîner des casseroles ! Je ne suis pas parfaite, loin de là ! Et moi aussi j’ai mes preuves à faire avec toi ! Ne vois pas les choses que dans un sens, tu veux ? » J’esquissais alors un ptit sourire amusé puis ajoutais « J’vais quand même être la première à qui tu accordes ta confiance ! Ce n’est pas rien ! » Je me décalais ensuite dans ses bras pour venir me nicher dans son cou que j’avais le droit d’embrasser sans me poser de question maintenant, ce que je fis ; puis d’un ton plus enthousiaste, je laissais enfin éclater ma joie « Comment je n’arrive pas à le croire !! Je vais être la seule fille capable de se vanter à l’idée d’être ta petite-amie…c’est juste » exceptionnel ! je devais être ridicule à dire ce genre de chose, mais j’arrivais pas à me faire à l’idée que les choses coulaient autant de source entre lui et moi maintenant. Je me redressais à nouveau pour le regarder et ajoutais un peu honteuse « Oh désolée, je me comporte comme une gamine. C’est juste que je suis tellement contente que...» commençais-je à dire en me disant que rien ne pouvait changer mon humeur….a moins que ?

Le sourire que je n’arrêtais plus d’afficher jusqu’ici, s’effaça petit à petit pour laisser place à un doute. Les enfants…comment prendraient-il le fait que le frère aîné et moi, allions sortir ensemble ? Accepteraient-ils de partager l’homme qu’ils considéraient comme leur père ? se feraient-ils au fait que j’apparaisse dans leur vie comme ça ? Je réfléchissais à tout ça, et tandis que mon visage traduisait ma soudaine angoisse. Paris le remarqua très facilement et je dû lui faire part de mon questionnement : « Je pensais aux enfants…je me demandais si…. Enfin…tu crois qu’ils vont réagir comment à tout ça ?! Ils ont jamais eu besoin de te partager avec qui que ce soit, et j’ai pas forcément envie qu’ils pensent que je m’impose sans leur consentement…. »

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Summer & Paris
« Y en a qui mérite une fessée ! »grogna-t-il pour toute réponse mais on pouvait sentir à son ton qu’il était heureux et sereine. Paris avait franchi le pas et au lieu de se sentir misérable et totalement dépendant, il se rendait compte que rien ne changeait. Il était toujours le même mais il n’était plus seul. Summer le remplissait de sa présence lumineuse mais elle n’était pas étouffante. Il se sentait juste bien, apaisé entre ses bras et ses baisers ne l’aidaient en rien à changer d’avis, bien au contraire. « D’accord mais va pas te mettre à douter non plus okay ? Il faut croire que je t’ai attendu depuis très longtemps » s’amusa-t-il à répondre en déposant un baiser sur le bout de son nez juste avant qu’elle ne se niche dans son cou. Le jeune homme allait rapidement devenir accro quant à ce genre d’étreinte et cela ne lui déplaisait pas. « T’en vante pas trop fort non plus, j’ai pas envie que cela t’attire des ennuis non plus. J’ai brisé quelques cœurs ces dernières années »avoua-t-il à regret. Oh, Paris n’était pas idiot au point de croire que personne ne viendrait entacher leur histoire mais il connaissait la nature humaine. Combien de ses anciennes conquêtes allaient-elles croiser et qui lui diront combien elle perdait son temps, qu’il ne serait jamais fidèle etc ?! La jalousie pouvait vous rendre méchant et il espérait que Summer en serait épargnée. De tout de manière, il ruerait dans les brancards pour la protéger s’il le fallait. « Ne t’excuse pas… Je te trouve juste adorable dans ce moment-là et puis tu flattes mon égo alors continue je te prie »rigola-t-il avant de l’embrasser.

Cependant, sa petite-amie -et dieu que cela lui faisait étrange de présenter les choses ainsi ; perdit peu à peu le sourire. Que se passait-il ? Regrettait-elle déjà ? Non, elle s’inquiétait pour les enfants et Paris éclata de rire avant d’étouffer le son, au creux de son cou. « Oh ne t’inquiète pas le moins du monde pour eux. Ils essaient de faire en sorte que je me marie et tu étais la candidate idéale pour Danika. C’était limite si elle ne me vantait pas tes mérites à chaque fois donc inutile de t’inquiéter. Ils vont être très contents surtout si tu sais cuisiner » lui expliqua-t-il avant de butiner son cou. « Ne t’inquiète pas, tout se passera bien mais si tu préfères, on peut attendre avant de se montrer. Je me dis que tu veux peut-être attendre que les gens oublient que tu étais avec Gabin ? » ajouta-t-il. Summer semblait être sensible au qu’en dira-t-on et le fait d’être en couple à peine après avoir rompu avec son copain allait-il la mettre mal à l’aise. Paris était prêt à rester dans l’ombre s’il le fallait.

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Summer & Paris

Bien nichée dans son cou, je me délectais de ce sentiment d’aisance naturelle que je ressentais en étant dans les bras de Paris. Combien de fois, lorsque je me retrouvais avec homme qui venait tout juste de me demander de sortir avec lui, il y avait eu ce petit moment de malaise ? Accompagné d’une satisfaction certes, mais instant un peu bizarre quand même où l’on a peur d’être soi-même et de décevoir l’autre. Ça m’était arrivé pratiquement à chaque fois ! Mais pas avec Paris, aussi étonnant soit-il. Non, je me sentais tout à fait normal, pratiquement à l’identique que lorsque je n’étais encore que son amie... La seule différence que je ressentais, c’était cette liberté de me montrer affectueuse sans avoir à trouver des excuses pour l’être: Plus besoin de lui dire les raisons qui me poussaient à le prendre dans mes bras, à faire courir mes doigts sur sa peau, ou même à l’embrasser ! Non, je le faisais, point barre !

C’est donc dans cet état d’esprit, emprunt à cette totale liberté que je ne me gênais pas pour embrasser le cou de Paris tandis que ce dernier me faisait remarquer que ce n’était pas parce que j’étais la première à qui il offrait sa confiance pour entrer dans sa vie que cela voulait dire que je devais douter de moi, de lui, ou de cette relation…je secouais à nouveau la tête, pour lui faire comprendre que non, ce ne serait pas le cas ! Enfin…je ne pouvais pas non plus garantir que je n’allais pas douter de moi et de ma capacité à le satisfaire, vu ce que je venais de vivre avec le précédent petit-copain! Mais disons que j’avais envie de partir avec un certain optimisme; de me dire que d’être la petite copine de Paris était une chance et qu’il fallait la prendre comme quelque chose d’exceptionnel, qu’il fallait vivre à 100% sans se prendre la tête ! Que ça valait suffisamment le coup, peu importe ce que je risquais de vivre en me mettant avec un homme qui n’était pas doué pour les relations amoureuses…

Et cette envie d’optimisme commençait justement à répondre présent tout de suite: J’étais super heureuse à l’idée d’officialiser une relation sérieuse avec Paris, prêt à hurler à qui voulait bien l’entendre que j’étais SA petite-amie, que j’étais LA fille qui avait réussi à s’immiscer en douceur dans la vie de cet homme jusqu’ici impassible aux sentiments des autres femmes. Sauf que Paris avait raison: à le crier trop fort, j’allais sans doute aux devants de quelques problèmes. Et bien que je me fichais éperdument de provoquer des jalousies, quitte à montrer les griffes quelques fois, je savais me montrer raisonnable. Surtout que je n’étais pas la seule concernée dans l’histoire... « Non t’as raison…et puis ce serait aussi prendre le risque que ces harpies reviennent te voir pour te détourner de moi ! » plaisantais-je en le pensant quand même un peu. « Je me contenterai de jubiler dans mon coin comme une gamine. Je sais très bien faire ça !! » puis je tournais la tête pour faire face à la zone où ma tête était posée quelques instants plus tôt, déposant un baiser sur la clavicule de Paris pour conclure ma phrase.

Quelques instants plus tard, je me posais la question de la réaction des enfants face à cette nouvelle relation. Ce n’est jamais facile d’être la cinquième roue du carrosse, mais encore moins lorsqu’on a à faire à une famille aussi soudée que les Maconahey. Connaissant maintenant leur histoire, il était difficile pour moi de ne pas les prendre en compte dans la relation que j’entretenais avec Paris ; finalement je ne sortais pas qu’avec lui, je sortais avec toute la famille !! Non, bon: Ce n’est pas dit sérieusement, mais l’essentiel était là; je devais autant faire mes preuves avec Paris que je devais le faire avec les enfants. Et ce petit détail avait de quoi me faire angoisser... Mais Paris ma rassura très vite sur le sujet : Pour lui, aucun soucis à se faire ! Apparemment, les petits anges y avaient mis du leur pour envisager une candidate au poste de "petite-amie du grand frère", et mon nom s’était trouvé en tête de liste, grâce à Danika ! « Va falloir que je me remercie cette petite fille comme il se doit ! » Je souriais à cette remarque, ce léger stress que je m’étais mis toute seule s’évaporait tranquillement alors que mon petit-ami me demanda soudain si je souhaitais attendre avant d’officialiser les choses. Après tout, j’étais tout juste séparée de Gabin donc il estimait qu’on devait sans doute attendre que les gens oublient mon ex avant de parler de mon petit-ami actuel. Je me redressais vivement, en fronçant le regard pour fixer Paris, un peu étonnée: « Que les gens oublient ?! C’est limite s’ils ne savent pas qui est Gabin ! On s’est jamais montré tous les deux publiquement ensemble…vu que pour ça aussi, c’était compliqué pour lui… » Avouais-je non sans une petite colère encore présente dans ma voix. « Non franchement, je ne vois l’intérêt…Et puis j’ai pas envie de te mettre de côté.» déclarais-je déterminée, avant de venir embrasser Paris sur les lèvres, une fois, deux fois, trois fois pour le convaincre que je ne voulais rien d’autre que lui.

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Summer & Paris
Paris craignait énormément que son passé mais aussi que son présent ne viennent se glisser entre eux. Il n’était pas le genre d’hommes à se faire que des amis notamment auprès de la gente féminine. Il avait brisé bien des cœurs et il craignait réellement qu’on monte son petit ange contre lui. « Impossible, je t’ai trop dans la tête pour cela »lui assure-t-il en secouant légèrement sa tête de droite à gauche. Personne ne pouvait rivaliser avec Summer. C’était étrange comme elle avait réussi là où toutes les autres avaient échoué. Quelle était la recette miracle ? Pourquoi elle et pas une autre ? Paris n’en avait absolument aucune idée, c’était comme si son âme avait reconnu en Summer son idéal, son âme sœur ? Heureusement qu’elle ne pouvait lire dans ses pensées sinon, il en aurait honte. Paris n’était le genre d’homme à être romantique, c’était vraiment pas son style. Il était bien plus dans l’action que dans la réflexion. « C’est donc gamine ton nouveau surnom ? » la taquina-t-il de bon cœur en caressant sa longue chevelure blonde. « Quoique non… Bébé. Oui, bébé, cela t’irait parfaitement »poursuivit-il sur le même ton. Le jeune homme se sentait si bien à cet instant précis qu’il savait qu’aucun cauchemar ne se risquerait à venir le terrifier. Non, Summer lui offrait une protection dont elle n’avait même pas conscience.

Une protection qu’il pouvait également lui retourner tant elle était emplie de doutes à ce moment précis. Paris lui expliqua donc rapidement les projets de sa tribu et notamment la place d’honneur qu’elle occupait pour ces derniers. « Je crois que c’est elle qui va te remercier » rétorqua Paris en déposant un baiser sur son front. Cela ne l’empêcha pas d’émettre lui aussi quelques doutes notamment au sujet de l’officialisation de leur relation. Elle venait à peine de se séparer de Gabin et il ne voulait pas qu’on colporte des choses sur son dos. Summer ne méritait pas ça. Il grogna en la sentant se redresser vivement. Il voulait encore un câlin lui pesta-t-il intérieurement, totalement accro à ses courbes féminines. « Ce mec est encore plus con que je le pensais ! »marmonna-t-il avant d’avoir le plaisir de sentir ses lèvres sur les siennes plusieurs fois d’affilés. « Alors affichons-nous, je n’ai pas honte… Je suis même fier de me montrer aux gens qu’une femme a réussi à me capturer dans ses filets parce que tu n’es pas n’importe quelle femme.. Tu es la mienne » murmura-t-il contre elle, mordillant sa lèvre inférieure en quête d’un baiser passionné. Paris ne résista pas à la tentation de l’allonger contre le matelas pour approfondir ce baiser. « Il est tard… tâchons de dormir un peu avant que tu ne sois confrontée au clan Maconahey » se reprit-il. Paris allait devoir faire attention ces prochains jours. Attention à ce que les choses n’aillent pas trop vite tant qu’il n’aurait pas trouvé un moyen de contourner sa malédiction.

Le couple s’endormit finalement assez rapidement après de nombreux baisers mais leur nuit fut de courte durée quand à sept heures du matin, une boule d’énergie sauta sur son lit. « OH PARIS IL A UNE AMOUREUSE !!!! PARIS IL A UNE AMOUREUSE ET MËME QUE C’EST SUMMER !!! TROP BIENNN !! HEY REVEILLEZ-VOUS, PARIS IL A UNE AMOUREUSE » gueula Kaleigh dans tout le duplex tandis que le fameux Paris grognait en serrant davantage Summer contre lui comme pour rester bien au chaud sous la couette. Au bout du compte, tout le clan se réveilla, y compris Ashlynn qui se mit à pleurer dans son lit. « Bonjour toi »murmura-t-il à l’intention de sa petite-amie qui se réveillait tout aussi doucement que lui. Tendrement, il vint déposer un baiser sur ses lèvres. « Bienvenue chez les Maconahey » pouffa-t-il de rire en plongeant son visage au creux de son cou comme pour rester dans leur cocon. « Je m’occupe d’Ash’, continue de copuler joyeusement frangin ! » s’écria Matthew du haut de ses quatorze ans. « Vais le tuer »

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Summer & Paris

Bébé. Bébé, c’était mon nouveau surnom ? Peu importe comment pouvait m’appeler Paris finalement, à chaque fois c’était la même sensation : un cœur qui s’accélère et des petits papillons dans le ventre ! Et je me disais intérieurement que si je devais choisir un surnom pour m’adresser affectueusement à Paris, "mon cœur" irait parfaitement ; parce qu’au final c’est bien son cœur qu’il m’offrait, et c’est avec le mien que moi, je lui parlais ! Oui, définitivement, "mon cœur" serait ce qui irait le mieux selon moi…

On évoqua les enfants et l’appréhension que je me faisais de leur réaction mais Paris avait su me rassurer sur ce point, me rappelant la ferveur avec laquelle Danika avait su défendre mes intérêts pour devenir une prétendante idéale au cœur de son frère. J’estimais que j’allais devoir la remercier mais Paris me fit remarquer que sa petite sœur risquerait d’en faire de même. Quelques secondes plus tard, ce fut au tour de Paris d’émettre un doute sur mon envie de devoir annoncer publiquement – ou trop tôt – l’officialisation de notre petit couple. J’avais d’abord été étonnée de sa remarque avant de comprendre qu’il se souciait sans doute de ce que les autres allaient pouvoir dire de moi, de nous, et de ma rapidité à passer de l’un à l’autre sans scrupule. Pour ma part, il n’y avait pas de doute quant à mes intentions : Gabin n’avait de toute façon jamais voulu se terrer dans une relation avec moi, à cause de ses problèmes, et par conséquent seule ma meilleure amie et Bonaventure avaient été mis au courant de ma relation avec Gabin. Et je savais ces deux personnes suffisamment proches de moi pour ne pas me juger sur le sujet. J’avais entièrement confiance en eux, et mieux encore, j’avais hâte de leur dire que je me sentais maintenant heureuse d’avoir trouvé LA personne qui pourrait m’aimer comme je le désirais au plus profond de moi.

Le fait d’évoquer Gabin fit réagir Paris, sans surprise de ma part, et je souriais tendrement alors que mon petit-ami s’annonçait fier d’être à mes côtés, prêt à dire officiellement les choses à ceux qui voulaient bien l’entendre. Au moment il me déclarait comme étant sienne, je frissonnais à ses mots et le sentis m’enlacer pour mieux me m’allonger sur le lit et prendre sa place ; Je le voyais se mordre la lèvre et j’avais la soudaine envie de lui mordiller moi-même, de l’emprisonner délicatement entre mes dents et avoir le loisir de goûter à ses baisers. Que ce soit lui ou moi, aucun des deux ne résista à la tentation, et c’est un baiser passionné que nous échangions au moment où mon dos atterrissait sur le matelas, mes bras venant l’enlacer pour se loger derrière ses épaules et sa nuque avant de retomber tout doucement dans son dos où mes doigts ressentais les moindres courbes et creux fais par ses muscles et d’autres traces que je n’arrivais pas encore à définir mais qui ne m’angoissaient pas le moins du monde. Couverte par ce corps puissant, je me sentais en sécurité et désirée, et j’avais l’impression de flotter ! Paris nous rappela cependant à l’ordre, nous sommant de dormir. Je grognais légèrement à cette idée même si je savais qu’il n’avait pas tort.

Je ne sais pas comment j’avais réussie à trouver le sommeil : Autant un peu plus tôt dans la soirée, j’avais fini par fermé les yeux pour vivre un petit fantasme qui n’appartenait qu’à moi à défaut de pouvoir le réalisé en vrai ; autant là, Paris était officiellement mon petit-ami et par conséquent j’avais tous les droits de restée éveillée pour mettre à exécution le rêve que j’avais fait dans la nuit. Mais non, ce n’est pas ce qu’il s’est passé ! Je pense que le trop plein d’émotions avait finalement eu raison de moi et que mon corps avait décidé de se mettre en pause pour le reste de la nuit.

Nuit très courte par contre ! Normal, quand on se décide à dormir que vers les coups de cinq heures du matin... Mais même si elle avait été courte, je pense qu’elle avait été l’une des meilleurs que j’avais passé! Parce que je me sentais sereine. Tout simplement ! Alors tant pis si une petite boule d’énergie avait fini par sauté sur le lit à 7heures du matin en hurlant dans toute la maisonnée pour annoncer que son frère n’avait pas dormir tout seul; Qu’il avait une copine; Et que la petit-copine en question c’était Summer !! Et dire qu’il y a quelques heures j’avais quelque peu paniquée à l’idée que les enfants puissent se sentir un peu gênée par ma présence…A voir Kaleigh, il n’y avait que moi qui s’était posé une telle question. Je sentis Paris bouger pour resserrer son étreinte autour de moi, tandis que de mon côté, je cherchais à me faufiler un peu plus sous les couettes pour rester au chaud ! Je me blottissais un peu plus sur Paris, sentant la chaleur de sa peau, me sentant attirée par elle comme jamais, avant de finalement gigoter un peu pour m’étirer comme un petit chat. Dès que j’entendis la voix de Paris me murmurer un Bonjour, mon visage s’éclaira d’un grand sourire avant d’ouvrir les yeux pour regarder cet homme qui m’avait garder près de lui durant notre courte nuit. Kaleigh était partie très vite réveiller tout le monde, et Paris me souhaita alors la bienvenue dans la famille Maconahey en pouffant de rire, et moi je me contentais de le fixer avec cette envie qui me tiraillait le ventre : A peine avais-je ouvert les yeux, que déjà, j’avais envie de lui ! Dès le matin ? après un mot, un regard ? C’était juste complètement fou. Je tentais de chasser ce désir spontané de ma tête quand Paris plongea sa tête dans mon cou et je profitais de sa position pour passer une main derrière sa tête et y enfouir mes doigts dans sa chevelure tout en massant son crâne, respirant profondément complètement apaisée et ravie d’être là ! « Bonjour mon cœur » arrivais-je enfin à sortir parce que belle et bien réveillée. Je déposais un baiser sur le haut de son crâne au moment où l’adolescent de la famille passait par là pour nous annoncer haut et fort qu’on pouvait copuler joyeusement, qu’il s’occuperait d’Ashlynn. Cette remarque déclencha un éclat de rire de ma part tandis que Paris, lui, grommelait après son frère. « Alors ça, c’est définitivement un matin comme j’en ai jamais vécu auparavant ! » Je décidais alors d’ébouriffer la chevelure de mon petit-ami que je tenais encore dans ma main et de mon corps, je poussais un peu Paris pour le forcer à s’orienter de façon à ce que je puisse le voir et l’embrasser. « C’est comme ça tous les matins ?! » demandais-je en me disant que ça avait au moins eu le don de me mettre d’humeur joyeuse malgré deux heures de sommeil à tout casser ! J’observais tranquillement les traits encore endormi de mon homme, déposant un léger baiser sur son front, puis jouais ensuite avec ses cheveux, juste au-dessus, lissant une mèche entre mes doigts, puis une autre, avant de questionner Paris sur son sommeil « Bien dormi ? » Et quelques instant plus tard, Kaleigh refit son apparition dans la chambre, ravie d’avoir pu lancer la nouvelle à tous ses frères et sœurs ! Je la regardais alors et tout sourire, je m’adressais à la petite : « Hey dis-donc, ma jolie : quand on vient réveiller les gens, ce serait bien de le dire bonjour, non ? Je n’ai pas eu de bisous, rien !!! Je suis déçue.. » Déclarais-je en faisant semblant de bouder, lâchant Paris pour venir croiser les bras contre ma poitrine tout en faisant une moue triste. J’espérais que Kaleigh remarque tout comme son frère, à quel point je n’étais pas du tout crédible, que je boudais très mal mais que je méritais quand même mon bisou !


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Summer & Paris
Kaleigh les avait réveillés en fanfare tellement heureuse de le voir dans les bras de Summer. Il n’avait pas imaginé combien ses frères et sœurs fondaient d’espoir dans sa relation avec la jolie blonde. Pour eux, elle était avant tout, une assurance vie. Grâce à la présence de Summer dans la vie de leur frère, il gagnait un critère de plus vis-à-vis des services sociaux. « Si j’ai le droit à ce genre de réveil de ta part, je risque de te demander d’emménager directement ici » plaisanta Paris dans un soupire de contentement. Oublié ce réveil tonitruant, il respirait à nouveau la tendresse dans ce paradis qu’elle était la seule à parvenir à créer par la douceur d’un sourire, la force de ses étreintes, -et il ne parlait pas de ses baisers. Matthew rompit un peu le charme de leur bonjour matinal, arrachant un grognement à son frère et un éclat de rire à Summer. « Mouais, dans le genre, je vous fous la honte mes frères et sœurs sont les champions » grogna-t-il en entourant sa taille de ses bras, enfouissant son visage contre sa poitrine, comme s’il refusait de quitter le cocon de leur lit. Le jeune homme n’était vraiment pas du matin comme son petit ange pouvait aisément le remarquer. Summer en décida autrement, le repoussant pour mieux l’embrasser. Un baiser qu’il ne tarda pas à approfondir, sentant son corps réagir à la présence de celui de sa petite-amie. Il la désirait tellement et une certaine partie de son anatomie trahissait ce désir, ce besoin de la conquérir sensuellement. « Les cris et réveil en fanfare ? Oui. Qu’on me dise que je peux joyeusement copuler non… Je n’amène jamais personne ici mise à par toi bébé » lui répondit-il en frottant sa barbe d’un jour contre sa joue pour la chatouiller.

Paris se laissa aller contre le matelas pour s’étirer quelque peu, essayant de chasser le manque de sommeil. « Comme un loir pour le peu qu’on a dormi et toi ? » lui demanda-t-il avant qu’une petite tête blonde revint avec eux. Kaleigh serrait son espèce de nounours trop vieux et sale -mais impossible de le laver sans qu’elle ne pique une crise ; Summer s’amusa à bouder et sa sœur lui lança un regard l’air de dire : sérieusement, je dois la croire ? Paris lui fit un clin d’œil et aussitôt, la petite s’élança sur le lit pour faire un câlin à Summer. « T’es notre nouvelle maman maintenant ? Vous allez vous marier ? Moi je veux un petit-frère d’abord » lança la petite tandis que son frère s’étouffait avec une quinte de toux. « Tu sais quoi, je vais vous laisser parler entre fille et allez prendre ma douche » grommela-t-il en sortant du lit, amusé. « Tu sais quoi, mon papa c’est pas vraiment mon papa mais pour moi, c’est mon papa alors du coup, t’es l’amoureuse de mon papa donc t’es comme ma nouvelle maman. En plus t’es jolie alors c’est encore mieux. Tu vas venir vivre à la maison ? Dis Summer, c’est parce que tes parents ils aimaient l’été ? Moi je m’appelle Kaleigh mais je ne sais pas pourquoi. Tu sais pourquoi ma maman elle a appelé Paris comme la ville ? C’est parce qu’elle a toujours rêvé d’aller là-bas. Un jour elle m’a dit qu’il était son rêve mais qu’elle avait tout gâché avec lui. Je crois que maman elle aime beaucoup Paris mais lui, il l’aime pas mais je crois qu’il dit ça parce qu’il n’aime pas quand elle est absente… C’est triste qu’ils soient tristes ensemble non ? En tout cas toi t’es trop belle et même que Paris il a souvent parlé de toi à la maison. Il n’osait pas t’appeler à chaque fois il reposait le téléphone en rouspétant contre lui-même. Dis tu manges quoi au petit déjeuner ? »continua-t-elle de l’abreuver si bien que Paris eu le temps de prendre une douche et de revenir dans la chambre simplement vêtu d’une serviette blanche lui saignant les hanches. « Et si tu allais préparer le petit-déjeuner avec Dani et Aaron ? Je pense que Summer a envie de prendre une douche »


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Summer & Paris

Je me complaisais dans cette situation de petite-amie officiel de Paris, profitant de tous les instants pour pouvoir agir avec tendresse avec lui : baisers, caresses, coiffage (ou décoiffage) de cheveux avec les doigts…le tout accompagné d’une ambiance plutôt bon enfant – et c’est le cas de le dire – grâce à la présence de Kaleigh, et de Matthew qui avait fait sa part du travail en se moquant littéralement de nous ! Pour ma part, ça m’avait fait rire, mais Paris avait un peu rechigné, avant de finalement venir se blottir contre moi, ce que j’acceptais volontiers. Ce dont il ne se doutait pas cependant, c’est qu’à chaque qu’il venait se coller à moi, mon corps réagissait vivement, bouillonnant de l’intérieur tellement mon désir pour lui étant présent. J’essayais tant bien que mal de tenir, mais la tentation était tellement forte que finalement, j’avais dû le repousser pour l’embrasser et calmer mes ardeurs avant qu’elles ne se montrent trop envahissantes. Heureusement –et malheureusement tout de même – Paris se laissa aller sur le matelas, se posant sur le dos à côté de moi pour s’étirer avant de me répondre à ma question concernant la qualité de son sommeil. Je lui souriais alors « Moi pareil, c’est d’ailleurs assez étonnant. Bon en temps normal, je sais me montrer matinale, mais deux heures de sommeil c’est galère pour tout le monde. Mais là tout va bien » lui répondais-je, limite fière d’être super en forme malgré le peu de sommeil. Je me redressais alors un peu pour opter pour une position mi assise mi- allongée en me calant grâce à la tête de lit et aux oreillers et c’est à ce moment-là que Kaleigh refit son apparition.

J’avais joué ma petite comédie, non sans mal, mais au final j’avais eu le droit à mon bisou ! Kaleigh étant revenu me tenir compagnie, Paris profitait de ce moment pour aller prendre sa douche. J’allais rétorquer qu’il pouvait rester – et surtout de ne pas me laisser seule avec une Kaleigh bien trop en forme pour moi – mais je n’en eus pas le temps ; c’est limite s'il n’avait pas voulu se précipiter sous la douche. Je fronçais le regard à sa petite fuite, mais Kaleigh m’occupa très vite l’esprit. Je me devais d’ailleurs de répondre à la question qui avait fait fuir son frère en premier lieu : « Kaleigh, je crois que c’est un peu tôt pour parler de mariage et de petit-frère…tu veux pas me laisser le temps d’apprendre à tous vous connaitre par cœur avant ? » Et là, Kaleigh se lança dans un flot de questions ! Sincèrement, jusqu’ici j’ai toujours cru que c’était Danika qui gagnait le record du débit de parole le plus impressionnant, mais je commençais à avoir des doutes! Kaleigh était là, en face de moi, à moitié assise et à genou sur le lit, en train de me raconter que son frère était un papa pour elle, même si ce n’était pas vraiment possible, et que c’était donc normal que moi je devienne une sorte de maman vu que je sortais avec son papa. Et moi ? Bah moi…moi j’hochais la tête lentement, prenant toutes les mesures des paroles de la petite Kaleigh en souriant, jusqu’à ce qu’elle me demande si je comptais venir vivre avec eux. Là, j'ouvris de grands yeux, un peu en panique parce que je me rendais compte que pour cette petite bouille d’ange, les choses semblaient plus importantes dans sa petite tête que je ne l’avais imaginé. Je voulais la couper pour lui expliquer un peu mieux la situation, mais rien n’y faisait : Kaleigh ne s’arrêtait plus. La seule solution qui se présentait à moi était d’essayer de tout mémoriser et de répondre à Kaleigh une fois qu’elle ait fini. J’espérais juste qu’elle s’arrête un jour…Remarque la laisser parler, c’était ouvrir les vannes à une véritable source d’informations, une petite mine d'or : Alors comme ça Paris parlait souvent de moi ? Il avait vraiment hésité à ce point-là pour m’appeler au tout début ? Pas le temps de me focaliser sur le sujet que déjà,  Kaleigh évoquait sa mère et la relation entre elle et son fils aîné Paris. Je me doutais déjà que les liens mère/fils n’étaient pas au beau fixe, mais j’étais loin de m’imaginer que cette enfant de 7ans vienne m’expliquer des détails sur ce que la mère pense de Paris et ce que Paris ressent à l’égard de sa mère. Et je me demandais même pourquoi cette petite venait me raconter tout cela : était-ce vraiment parce qu’elle avait une langue aussi pendue que sa grande sœur et que tout sortait sans réfléchir, ou est-ce que l’absence de la mère et les tensions entre elle et le fils aîné avait des répercussions sur les sentiments de cette petite Kaleigh ?

Kaleigh me demandait enfin ce que je mangeais au petit déjeuner et je profitais de ce moment pour l’arrêter en posant gentiment mes mains sur ses petits bras et je lui sommais gentiment de se rapprocher de moi pour venir dans mes bras. Elle se laissa faire et je fus ravie de voir qu’elle me faisait confiance aussi rapidement. « Tu sais quoi princesse ? Je pense que tu as remporté la médaille d’or de la meilleure pipelette ! » Commençais-je en riant « Ca va être dur de te répondre à tous, et j’ai sans doute oublié des trucs mais, tu m’en voudrais pas hein ?! » Kaleigh secoua la tête par la négative, et je resserrais mon étreinte autour d’elle avant de me lancer : « Alors: mes parents ne m’ont pas appelé Summer parce qu’ils aimaient l’été. En fait, c’est mon père qui voulait m’appeler comme ça, parce que quand je suis née il a dit que j’étais son petit rayon de soleil, celui des matins d’été. Mais…ma mère voulait donner un autre prénom : Chloé ! Alors, ils ont décidé de me donner les deux : Chloé Summer…mais je préfère Summer, alors j’ai décidé que maintenant on m’appellera toujours comme ça ! Ensuite : Je crois que tu as raison pour ton frère. Il a un peu de mal avec ta maman parce qu’elle est souvent absente et que vous êtes tous seuls après. Et tu sais à quel point ton frère vous adore ? Il ne veut pas que vous soyez seuls et tristes. Il veut le meilleur pour vous. Et puis, c’est bien la vie avec votre frère hein ?! Il s’occupe de vous, vous fait à manger, vous racontes des histoires…et puis vous avez aussi le droit à une baby-sitter quand il part au travail ou à son école. Et je suis sûre qu’elle est super la personne qui vous garde » Je marquais une pause pour venir caresser les cheveux de Kaleigh, et je me rappelais des compliments qu’elle m’avait fait « Et merci de me dire que je suis belle, venant d’une princesse comme toi, ça me va droit au cœur. Mais tu veux que je te dise un secret ?! » je m’approchais alors de son oreille pour lui murmurer : « C’est quand même toi la plus belle de nous deux ! » puis je vins lui faire un bisou sur la joue pour lui rendre celui qu’elle m’avait si gentiment donner pour me dire bonjour.

Je passais sur la question du petit déjeuner parce que Paris revint à ce moment-là, et au moment où mon regard s’était posé sur lui, je n’arrivais plus à parler. Je m’étais bien habituée à son corps durant la nuit, avais même eu le loisir de me poser sur son torse, et de le voir de très près. Mais là….comment dire : cette serviette - et uniquement cette serviette – comme simple vêtement et quelques gouttes qui ruisselaient encore sur son corps ? Cet homme voulait ma mort….j’avalais difficilement ma salive alors que Paris demanda à sa sœur de rejoindre les jumeaux pour préparer le petit déjeuner pendant que moi j’irais prendre une douche. Oh oui, je crois que j’allais en avoir besoin pour chasser ces pensées peu catholiques que j’avais à l’égard de mon petit-ami! Sans m’en rendre compte, je passais ma langue sur mes lèvres comme si je m’apprêtais à dévorer la chose la plus délicieuse qui soit, et je sortais difficilement du lit pour rejoindre Paris. Une fois les pieds à terre, je me levais et me recoiffait légèrement avec mes doigts, rejetant mes cheveux en arrière avant de me planter devant mon compagnon. « J’ai oublié un petit détails » lançais d’une voix un peu rauque qui trahissait mon trouble face à ce physique attrayant qui s’offrait à moi. Je me raclais la gorge et m’expliquais : « Hier soir, je me suis déshabillée dans l’entrée et je crois que mes vêtements sont restés là-bas…complètement trempés. » Je fis un pas de plus vers Paris pour me retrouver qu’a quelques centimètre de lui et je baissais la tête pour regarder entre nous deux et observer la serviette que Paris portait. Je la pointais discrètement du doigt « Y’a rien en dessous, on est d’accord ?! Tu ne portes que ça, là ? » Demandais-je avant de me pincer les lèvres, osant à peine imaginer ce que cette serviette cachait, par peur de succomber trop vite à la tentation de la lui retirer.

electric bird.
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Summer & Paris
Paris avait filé comme un voleur vers la salle de bain, essayant de camoufler son sourire plus qu’amusé à sa petite-amie. Il connaissait tellement bien Kaleigh qu’il savait que s’il ne la laissait pas discuter directement avec Summer, elle allait se fermer comme une huitre. Là, elle se trouvait sur son territoire et donc, n’hésitait pas à lui parler mais en dehors de cela, sa sœur était une véritable petite timide en chef. Aussi, il était préférable de ne pas la couper dans son élan de bravoure. Le jeune homme devait avouer qu’il était tout de même assez curieux de savoir ce qu’elle allait lui dire mais le besoin de prendre une douche, d’évacuer toute la tension dû au désir qu’il ressentait pour son petit ange avait fait taire sa curiosité. De tout de manière, il saurait bien vite ce qui avait été dit car sa petite sœur ne manquerait pas de faire un rapport complet de la situation à tout le clan. Paris, de tout de façon, voyait très bien la scène : Kaleigh allait boire les paroles de Summer, la regardait avec de l’admiration dans ses yeux bleus. Elle allait rougir et rigoler si son petit ange lui faisait des compliments. Bref, elle allait adorer Summer à l’instant même où elle lui répondrait en faisant comme si elle n’était pas un bébé mais son égale. Sa petite-amie était si douée avec les enfants !

Sa petite-amie. C’était étrange comment Paris arrivait à penser en ces terme de la jolie Summer. C’était comme si tout était naturel et cela lui faisait un bien fou. Il espérait simplement réussir à trouver un compromis entre son besoin d’indépendance et son besoin d’être proche de Summer. Et puis, il n’y avait pas que cela… Il y avait le sexe. Bon, la pratique n’était guère un problème pour lui -surtout quand on voyait combien leurs corps étaient faits l’un pour l’autre ; Non, ce qui posait problème, c’était qu’il n’avait jamais pu coucher avec une femme deux fois de suite. Comment faire alors que Summer représentait tellement à ses yeux ? Il ne pouvait pas se passer de sexe non plus et la tromper était hors de question. Il allait devoir trouver une solution au plus vite car il n’était pas aveugle, son petit ange blond le désirait avec autant de force.

« Non c’est toi la plus belle ! En tout cas moi je t’aime déjà… » entendit-il alors qu’il retournait dans la chambre. Summer lui lança un regard qui ne fit que réveiller son désir pour elle. Bon sang, si un seul regard le mettait dans un était pareil, il n’était pas au bout de ses peines songea-t-il. Rapidement, Paris congédia sa petite-sœur, laissant par la suite sa petite-amie approcher. « Un petit détail ? »lui demanda-t-il curieux, un léger sourire aux lèvres. Bon sang, sa manière de se coiffer, de ramener ses cheveux dans son dos… Il n’avait qu’une seule envie, lui arracher ses vêtements et la prendre dans son lit, là maintenant. « Je peux te prêter des vêtements le temps qu’on lave les tiens » lui répondit-il en levant la main pour caresser sa joue, effleurant ses lèvres du revers de son pouce. Un léger rire secoua ses épaules à sa question. « Tout à fait, je ne porte absolument rien d’autre que cette serviette » murmura-t-il en la soulevant dans ses bras pour la déposer, assise, sur le bord de sa commode. « Et toi, tu es bien trop habillée » reprit-il avant de l’embrasser passionnément mais un signal d’alarme résonna dans son cerveau : sexe + Summer = problème. « Mais c’est peut-être mieux comme ça, les gnomes peuvent entrer dans la chambre à tout moment… Tu ferais peut-être mieux d’aller te doucher. Tu n’as qu’à piocher dans mon armoire pour t’habiller » reprit-il en la faisant redescendre sur le sol non sans l’embrasser une dernière fois. Comment allait-il pouvoir tenir ?!


electric bird.
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