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I saw her in my dreams and she came. PV.

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Summer & Paris
« Mouais mais si tu as besoin, je peux t’accompagner » répondit un Paris en mode défensif. Cela ne lui plaisait pas des masses qu’elle retourne voir son ex mais il comprenait qu’elle ait besoin de mettre les choses au clair de son côté. Il espérait juste qu’elle ne retombe pas dans ses bras et puis combien même elle le ferait ? Ce n’était pas ses oignons ! Elle était libre de fréquenter qui bon lui semblait. Non pas ce soir. Ce soir, elle était dans son lit, dans ses bras et il était hors de question qu’il la partage avec quiconque. Elle était à lui gronda une voix dans sa tête. Celle qui osait clairement dire les choses, celle qui réclamait la jeune femme comme sienne. Paris n’était pourtant pas jaloux. Du moins, il n’avait jamais été réellement confronté à une situation impliquant la jalousie mais ce soir, il semblerait qu’il était l’heure d’appréhender de nouvelles choses.

Les sentiments se bousculaient dans sa tête, rivalisant avec le désir grandissant qu’il éprouvait pour la magnifique Summer. C’était comme un tourbillon qui l’emportait au loin sans possibilité de retour comme ses doigts qui ne pouvaient s’empêchaient de la toucher dans l’espoir fou de lui arracher d’autres gémissements. Paris perdait peu à peu pied et contrôle si bien qu’il dut faire un effort surhumain pour l’inciter à dormir. Il était plus sage et raisonnable de s’arrêter là, de ne pas franchir une ligne qu’ils n’étaient peut-être pas prêts d’assumer ni l’un ni l’autre. « Promis, je me moquerai pas de toi demain matin… Bonne nuit mon petit ange » murmura-t-il sur la fin en déposant un baiser sur son front. Puis, il cala sa main au creux de ses reins, s’efforçant de rester de marbre face à ses courbes féminines qui n’avaient de cesse de se blottir contre lui, comme si elle cherchait à se fondre en lui.

Durant de longues minutes, il écouta la respiration de Summer se calmer pour devenir qu’un léger souffle sur son torse. Elle n’avait pas mis long feu à s’endormir et lui, comme à son habitude, éprouvait des difficultés à trouver le sommeil mais aussi étrange que cela puisse paraitre, il termina par s’endormir. Un sommeil aucunement troublé par d’incessants cauchemars. Du moins, durant la première heure puisque peu à peu, son visage se crispa. A nouveau, il était plongé dans son enfer personnel où son père venait le battre, le violenter de la plus vile des manières sous le regard indifférent de sa mère. Ce n’était pas entièrement la vérité mais son inconscient déformait les faits pour les rendre d’autant plus traumatisant. Puis, peu à peu, sa peau se couvrit de sueur à mesure qu’il gémissait de douleurs. L’horreur le frappait de pleine face et inconscient du fait qu’il pouvait réveiller Summer d’un moment à un autre, il restait prisonnier de ses tristes songes, se débattant de plus belles avec ses souffrances et craintes enfantine.

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Summer & Paris

Je me souvenais avoir ri une dernière fois aux remarques de Paris, avant de me faire emporter par les bras de Morphée. Ce qui était étonnant d’ailleurs vu comment je m’étais sentie bien éveillée quelques instants plus tôt dans mes gestes et pensées inavouables… Mes rêves n’étaient pas calmes cela dit : ils n’étaient pas non plus agités dans le sens stressant mais, disons que ma rêverie rentrait dans la catégorie du fantasme, rêvant à ce qu’aurait pu être cette nuit si Paris avait été à la place de Gabin depuis le début. Et pour être honnête, tout ceci n’avait rien de très catholique. Mais fallait bien s’y attendre : Entre les attentions dont Paris avait fait preuve - pour combler le manque évident que j’avais pu ressentir ces derniers temps à cause de mon petit-ami – ses baisers, ses caresses, ses doigts se faufilant sur ma peau, tout était bon pour me mettre en forme et me donner envie de plus une fois dans mes songes. C’est pourquoi les images étaient claires et vives dans ma tête : je décelais aisément la silhouette de Paris, ses bras puissant posés de chaque côté de mon corps, son visage enfouis dans mon cou, mes mains se perdant dans ses cheveux puis venant s’agripper à ses omoplates pour mieux les griffer par la suite, et je prenais conscience des va-et-vient et du rythme lancé par Paris qui me faisait perdre pied. J’étais clairement sûre que mon subconsciemment allait me trahir et prendre le pas sur la réalité pour me faire réagir physiquement à ce que mes songes fabriquaient de toutes pièces ! Tant pis, après tout, j’étais bien dans mon rêve, alors si cela devait empiéter sur la réalité en répondant physiquement aux assauts fictifs de Paris, ce n’est pas moi qui allait m’en plaindre.

Seulement voilà au fur et à mesure de mon rêve, le visage de Paris semblait soudain plus nerveux, plus paniqué, et je pouvais ressentir sa nervosité dans tous mon corps. Pire encore, le corps pourtant si doux, si prévenant de Paris depuis le début, semblait se crisper dans mes rêves, se tendre au point que j’avais l’impression que la situation lui devenait insupportable. Moi-même je ne me sentais plus autant en sécurité dans mon rêve et petit à petit, je revenais à moi, me réveillant peu à peu. Mais la crispation du corps de mon voisin ne disparaissait pas ! J’ouvrais un œil, puis deux avant de réaliser que c’était dans la triste réalité que Paris semblait nerveux. Je me relevais doucement, me redressant pour observer le visage de Paris qui traduisait la douleur qu’il subissait dans son subconscient ! Il était en train de faire un cauchemar ? Je posais ma main sur son torse en sueur et tentait de l’appeler doucement, pour ne pas le brusquer mais rien n’y faisait.

Je savais de source sûre que lorsqu’une personne cauchemardait il fallait éviter de la réveiller brusquement au risque de couper son « rêve » dans un moment traumatisant qui deviendrait un souvenir bien plus perturbant que le cauchemar en lui-même. Chaque nuit à venir serait alors associer à cet arrêt sur image, et il était hors de question pour moi d’être la source du tourment de Paris. Je continuais de l’appeler, cherchant à le sortir de ses songes, mais ma voix ne semblait pas suffire. N’y tenant plus, je me redressais complètement et n’hésitais pas à enjamber Paris pour m’asseoir sur lui. Je me figeais un instant, prenant conscience de ma position qui, dans d’autres circonstance aurait été bien plus agréable, mais je chassais très vite cette pensée, attrapant mes cheveux avec mes deux mains pour les rejetés en arrière par-dessus une épaule. Je me penchais ensuite sur Paris, prenant son visage en coupe entre mes mains, avant d’embrasser son front, puis ses joues, tout en continuant de l’appeler entre chaque baiser et de lui dire « Paris...Tout va bien…calme toi, je suis là. » et je réitérais mes actes : Un baiser sur le front, puis sur les joues, mes mains descendant dans son cou pour glisser en une caresse de long de ses trapèzes et ces épaules. Je collais ma joue à la sienne, et lui murmurant toujours des phrases apaisantes pour le forcer à se calmer, et je pense que cela commençait à marcher parce que ça respirant changeait : elle se faisant moins saccadée, plus profonde et empreinte à de longues inspirations-expirations qui soulevais son torse juste en dessous de moi. Mes mains reprenaient leurs chemins à l’inverse, partant des épaules pour revenir sans cou, quand l’une de mes mains se posa sous son menton pour le soulever et me permettre un meilleur accès à son cou qui subissait alors le même traitement que son front et ses joues. Je sentais les muscles de Paris se détendre sous mes mains, signe qu’il revenait alors à des images sans doute plus supportable, et moins douloureuse. Je lâchais alors son cou, et me redressais un peu pour observer mon ami, n’hésitant pas à caresser son visage et m’assurer que celui-ci s’était adouci et que le plus dur était maintenant derrière lui. Un sourire attendri se dessinait sur mon visage alors que je détaillais les traits séduisant de Paris. Malgré la situation, je le trouvais à la fois adorable et sexy, et me sentais à nouveau attiré comme un aimant à lui.

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Summer & Paris
Les cauchemars étaient toujours sa hantise et Paris avait pris l’habitude d’épuiser son corps et son esprit avant d’aller dormir. Du moins, c’était son habitude avant que la tribu ne débarque à son studio. Ce rituel avait été mis à mal et depuis, chaque nuit était un moment de détresse et de souffrance où il se perdait dans ses songes les plus sinistres. Il se revoyait enfant, incapable de bouger, d’empêcher ce monstre de lui faire ces atrocités. Il restait les bras ballants, hurlant à son géniteur de lui foutre la paix, d’aller se faire voir. Puis, il commençait à frapper pour défendre cet enfant en larmes mais ses coups n’atteignaient jamais sa cible, renforçant ce sentiment d’impuissance. Alors, résigné, il ne pouvait qu’assister à toute cette horreur, seul, comme il l’avait toujours été. Le froid, ce sentiment de haine et de honte qui s’affrontait dans son cœur et qui le forçait à jamais à rejeter le moindre signe d’amour. Cette émotion n’était pas pour lui, il n’était pas digne d’être aimé, il ne savait de toute façon pas aimer. On ne lui avait jamais appris…

La seule chose qu’on lui avait enseigné, c’était la souffrance, le sentiment que quoiqu’il arrive, il serait seul à devoir affronter ses démons avec cette impression continuelle de se noyer dans un lac empoisonné. On lui avait dit une fois que pour oublier, il fallait du temps. Mais combien de temps ? Comment pouvait-il oublier alors que sa mémoire était infaillible ?! Crispé, en sueur, il continuait d’affronter ce qui le tuait à petit feu depuis vingt-ans quand une douce chaleur s’insinua dans sa poitrine. Paris ne comprit pas ce qui se passait mais il se tendit vers cette chaleur, cette présence amicale, si tendre, si aimante. Une voix douce semblait lui parler mais il ne comprenait pas les mots. La seule chose qu’il captait c’est qu’il commençait à se sentir bien, comme protégé dans un cocon de tendresse. Un faible gémissement s’échappa de ses lèvres alors qu’il sentait des lèvres parcourir son visage et son cou. Il se sentait si bien à cet instant précis comme si un ange le tirait de son enfer pour le conduire au paradis. Oui, un ange semblait l’attirer vers la lumière et lui, trop faible, se laisser faire, perdant le fil de son cauchemar mais qui s’en préoccupait ? Certainement pas lui.

Alors, toujours profondément endormi, il enlaça cet ange comme pour ne pas qu’il s’échappe, balayant de ses doigts, la moindre trace de vêtement. Il ne voulait sentir sa peau contre la sienne, il voulait ressentir à nouveau cette chaleur. Un grognement résonna dans la pièce, provenant de sa gorge alors qu’il n’arrivait pas à chasser l’imposant bout de tissu. L’envie de lui arracher était forte mais finalement ses mains trouvèrent un chemin vers cette peau soyeuse qu’il se mit à caresser, toujours profondément endormi. Paris, se redressa pour mieux basculer sur le côté, entrainant son ange dans sa chute tandis que ses lèvres parcouraient son cou, s’arrêtant sur une mâchoire pour mieux parcourir le peu de chemin vers ses lèvres. Un baiser s’en suivit, passionné, comme si à travers ce langoureux échange, il réapprenait à respirer, à vivre.

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Summer & Paris

Assise à califourchon sur Paris, je me dressais au-dessus de lui et observer tranquillement les traits inquiets de son visage s’adoucir petit à petit, tout en caressant son visage délicatement. Je passais mes doigts au-dessus de ses sourcils, descendait lentement sur ses tempes, puis à la naissance de son oreille et descendait encore pour retracer les lignes de sa mâchoire pour finir sur son menton je tenais entre mon pouce et mon index un instant, me sentant soudain tenter par sa bouche. Je me mordais la lèvre inférieure, tentant tant bien que mal de résister à l’envie de l’embrasser, et me concentrait du mieux que je pouvais sur son état. Je voulais vraiment qu’il se calme, qu’il se sente en sécurité où qu’il soit dans ses songes.  

Soudain, ses mains jusqu’alors posé sur le matelas vinrent se poser sur mes cuisses et monter dangereusement jusqu’à mes hanches. Je suivais du regard le trajet de ses mains, tandis qu’une chaleur m’irradiait toute entière et que mon cœur loupait d’un battement. Je soufflais de soulagement quand les mains du bellâtre montèrent pour se poser par-dessus le T-shirt que je portais, et m’agrippaient la taille. De mon côté, j’avais abandonné le visage de Paris pour poser mes mains sur son torse, et fixait ce dernier des yeux pour essayer de me concentrer sur autre chose que sur les mains de Paris qui de par leur grandeur, réussissait à m’envelopper une bonne partie de mes hanches. Ainsi tenu, j’avais l’impression de n’appartenir qu’à lui…En tout cas, il était clair que s’il avait été éveillé je lui aurais bien fait comprendre que j’étais sienne et qu’il pouvait tout obtenir de moi !

Mes mains redessinaient les muscles de son torse, ses pectoraux saillant et je me permis malicieusement de faire parcourir un doigt au milieu de son torse pour descendre jusqu’à la naissance de ses abdos, mais je cessais mes geste lorsque j’entendis Paris grogner et que je vis son regard se froncer. Mon dieu, qu’étais-je en train de faire ? Je profitais de la situation et je trahissais la confiance qu’il avait mise en moi, en tant qu’amie. Hésitante, je retirais mes mains de son torse, et je mordais l’intérieure de la joue, avant de regarder la place vide du lit, là où j’aurais dû être plutôt que sur Paris. Je grimaçais légèrement honteuse et commençait à me relever de mon assise sur le bassin de Paris, mais à peine m’étais soulever de quelques centimètres, que les mains de beau brun glissèrent sur l’extérieur de mes cuisses pour remonter très vite en passant cette fois si sous le T-shirt ! Je laissais échapper un hoquet de surprise en sentant les mains de Paris sur ma peau, mais ma surprise fut infime en comparaison à celle ressentie au moment où Paris se souleva pour me faire basculer sur le côté du lit. J’avais l’impression que mon cœur avait cessé de battre, que j’avais même cessé de respirer, et je regardais avec de grands yeux Paris qui lui semblait encore endormi. Endormi, oui, mais pas inerte ! J’avais tenté un « Paris, qu’est-ce qu… » Mais mes mots furent tus par les lèvres de mon ami qui parcouraient mon cou, ma machoire…je reprenais alors ma respiration mais celle-ci s’était accélérer tandis que mes mains s’étaient posé sur les biceps de Paris qui se penchait sur moi. Une partie de moi me criait de le tenir à distance, de l’interpeller pour qu’il se réveille ; mais l’autre partie me suppliait de le laisser faire, de céder à l’envie que je retenais depuis que je l’avais vu à moitié nu devant la porte de son appartement.

Paris décidait alors pour moi, sa bouche venant se poser sur la mienne pour un baiser langoureux. Je laissais échapper un gémissement de satisfaction et une de mes mains eut le courage de s’échouer sur la nuque de Paris, pour remonter à la naissance de sa chevelure et enfouir mes doigts dans cette dernière, tandis que mes lèvres s’entrouvraient et se mouvait avec avidité emprisonnant la lèvre inférieure de Paris entre les miennes et la toucher du bout de ma langue pour satisfaire mon envie d’approfondir ce baiser et gouter à la douceur de chair douce mais ferme. J’avais la tête qui me tournait en cet instant, et j’entendais une petite voix qui me disait de stopper là, avant que tout ne dégénère, mais je chassais ceci de mon esprit, parce que sincèrement, je n’avais pas envie que cela cesse.


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Summer & Paris
Paris était totalement perdu dans ses rêves qui prirent une tournure bien plus douce, bien plus érotique également. Son ange était venu le sauver et lui, il succombait entre ses bras à cette grâce divine, comme si on lui pardonnait tous ses pêchers, toutes ses erreurs. Il ne ressentait plus rien si ce n’est ce désir de l’autre, si ce n’est le besoin de se fondre dans ce bel ange qui l’avait sauvé des griffes de ses démons. Le bel ange laissa s’échapper un gémissement et il la serra davantage contre lui, se glissant entre ses jambes comme pour être davantage à son contact. Une de ses mains se glissa sous sa nuque comme pour l’obliger à prolonger son baiser mais visiblement, il était aussi demandeur que lui. Son bel ange le touchait, le faisant frissonner. De sa main libre, il remonta le long de sa hanche puis de ses côtes jusqu’à venir prendre en coupe l’un de ses seins toujours protégé de son écrin de dentelle. Un obstacle de trop si bien qu’il bougea la pièce de tissu du bout des doigts pour venir s’infiltrer entre elle et cette peau si tentante.

Le jeune homme n’avait jamais connu de rêve plus réaliste que celui-là. C’était comme si son ange était réellement à ses côtés, contre lui, offerte à ses caresses. Summer. Ce prénom prononcé dans un murmure entre deux baisers, l’aveu de l’inconscient. Paris voulait faire l’amour à cet ange mais dans son esprit, la créature divine prenait les traits de la jolie Quincy. Puis, peu à peu, les sensations furent trop fortes. Trop pour être seulement le fruit de son imagination alors, Paris se réveilla et constata non seulement sa position mais également que sa main la caressait. Il eut un petit moment de flottement dû à ce rêve mais également au désir qu’il ressentait pour elle. « Summer… » murmura-t-il avant de prendre conscience de ses actes et de se dégager vivement jusqu’à sortir du lit. « Bon sang, je suis désolé ! Je… Je te présente mes excuses ! Bon sang, j’en reviens pas, j’ai failli te.. »paniqua-t-il. Depuis qu’il avait perdu sa virginité avec une femme, Paris s’était toujours juré que ses partenaires seraient consentantes et voilà qu’il profitait de son sommeil pour abuser de la jeune femme alors qu’elle était venue chez lui chercher sa protection. « Je… Je suis vraiment désolé, je comprendrais que tu me prennes pour un salopard de la pire espèce. Je vais aller terminer la nuit sur le canapé. Je te présente encore mes excuses… Si tu veux partir, je peux t’appeler un taxi… Encore désolé »marmonna-t-il sans oser la regarder parce qu’il savait qu’il aurait du mal à résister à cette tentation. Il pouvait encore sentir le goût de ses baisers, la douceur de sa peau et bon sang… il avait envie de la sentir nue contre lui.


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Summer & Paris

En prolongeant le baiser que Paris m’offrait inconsciemment, je sentis ses bras me serrer un peu plus contre lui et pris ceci comme une permission d’aller plus loin. J’avais alors lâché le biceps et la nuque de Paris pour faufiler mes mains dans le dos du beau brun, le bout de mes ongles partant du bas de ses reins pour remonter sur ses omoplates, et exercer une légère pression sur cette zone, m’agrippant à Paris comme pour ne pas le laisser m’échapper. C’est à cet instant que je sentis une de ses mains se balader sur ma hanche et mes cotes me faisant me courber inconsciemment sous ses caresses jusqu’à ce qu’il prenne en coupe l’un de mes seins, par-dessus mon soutien-gorge encore présent. Je m’arquais pour me coller contre sa paume, contre son corps tout entier, un peu frustrée à l’idée de ne pas sentir sa main à même ma peau. Mais ma frustration fut de courte durée lorsqu’il se débarrassa du tissu de trop en soulevant ce dernier. Au contact de sa paume contre mon sein, je ne pus réprimer un autre gémissement, allant même jusqu’à planter un peu plus mes ongles dans le dos de Paris. Je n’avais plus conscience de rien si ce n’est de ce plaisir et cette chaleur qui m’envahissait ! J’en oubliais presque les raisons qui m’avaient poussé à me trouver dans ce lit, avec lui…et j’en oubliais presque le fait que ce n’était sans doute pas moi qu’il était en train de désirer de la sorte dans son sommeil...J'ai bien dit "Presque". Je fronçais les sourcils à cette idée, gardant mes yeux bien fermés pour ne pas avoir à affronter la réalité et me rendre compte que Paris ne s’agitait pas de la sorte avec moi par pur consentement…

Mais soudain j’entendis mon prénom sortir en un murmure de sa bouche et cela me fit ouvrir les yeux d’un coup ! Est-ce qu’il s’agissait vraiment de moi ? Est-ce que c’était vraiment moi qu’il désirait dans son sommeil ? Je me figeais sur l’instant, le temps pour moi d’assimiler ce murmure de Paris qui venait de me surprendre, quand Paris ouvrait les yeux à son tour, pour réaliser ma présence sous lui et notre position. La panique que je lus dans ces yeux à ce moment-là, m’affola moi-même ! Il me lâcha à un vitesse impressionnante, ne me permettant même pas de me faire à ce vide qu’il laissait sur mon corps, et dans mon cœur. Je pris sa soudaine fuite comme un véritable coup de poignard, mais je comprenais que la distance qu’il était en train de mettre allait de pair avec le fait qu’il était sorti brutalement de ses songes pour se trouver dans une situation qu’il ne désirait pas…parce que c’est cela en fait : s’il avait murmuré mon nom, ce n’était pas parce qu’il m’avait imaginer dans ses songes et qu’il m’avait désiré ; c’était parce qu’il s’était réveillé et avait pris conscience qu’il s’agissait de moi et pas de celle qu'il avait imaginé. Voilà pourquoi il fuyait maintenant.

Il présentait ses excuses et moi je tentais de me remettre de mes émotions tout en remettant en place mon soutien-gorge et le t-shirt que je portais, puis me redressais sur le lit pour me mettre à genoux sur le matelas et affronter un Paris complètement paniqué et déboussolé. Je réalisais l’ampleur des dégâts que j’avais commis sans le vouloir, et tandis que Paris réitérais ses excuses au point de vouloir finir la soirée sur le canapé, j’avançais sur le matelas, un genou après l’autre pour rejoindre le bord du lit et apaiser comme je pouvais « Non non, Paris, je… Ne t’excuse pas voyons, c’est pas…enfin, c’est de ma faute » Je tendais les bras vers lui, cherchant un contact pour lui faire comprendre que je ne lui en voulais pas – de même que pour m’assurer qu’il ne m’en voulait pas non plus – et ainsi à genou en face de lui, je pouvais atteindre son torse sur lequel je posais une main tandis que l’autre venait se poser sur son épaule. Je reprenais alors la parole, essayant de ne pas bafouiller en expliquant ce qu’il s’était passé : « C’est moi…je n’aurais pas dû. C’est juste que tu t’es mis à t’agiter et…argh, j’ai tenté de t’apaiser en me montrant, comment dire, "tactile"…je n’ai pas pensé aux conséquences, pardon. » Ma main quitta son torse pour se poser sur sa joue et je le suppliais une nouvelle fois de ne pas me laisser seule : « Je t’en prie, reste. Tout va bien, d’accord ?! Je…je ne me sens pas offensée, et tu n’es pas un "salopard de la pire espèce"…est-ce qu’on peut juste… » J’hésitais à dire ce que j’allais dire, parce qu’un partie de moi serait désolée d’entendre qu’il accepterait ma proposition alors que moi je ne l’acceptais pas, mais c’était pour son bien et pour calmer les choses : « Est-ce qu’on pourrait faire comme si cela n’était pas arrivé ? Que tu puisses revenir dans le lit et que tout rentre dans l’ordre ? »

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Summer & Paris
Paris n’osait pas regarder Summer dans les yeux tant il avait l’impression d’avoir fait la plus grosse connerie de sa vie. Comment pouvait-elle être aussi adorable avec lui alors qu’il s’était jeté sur elle comme un animal en rut et surtout en ayant l’envie d’aller plus loin, de retrouver ses lèvres, son corps, sa peau. Bon sang, il allait virer totalement dingue avant la fin de la nuit et elle n’arrangeait pas sa situation en se montrant aussi complaisante et aimante avec lui. « Décidément tu es un être à part Summer » murmura-t-il en déposant un baiser sur son front. Elle le voulait encore près d’elle après tout ce qui venait de se passer. Tendrement, il prit son visage en coupe entre ses mains, plongeant son regard dans le sien. « Merci. Pour le cauchemar » reprit-il en se penchant vers elle pour déposer un léger baiser sur ses lèvres encore rosies et encore gonflées par leurs baisers. La jeune femme lui proposa d’oublier toute cette histoire, de faire comme si tout rentrait dans l’ordre mais il ne pouvait rien oublier. Tout était déjà imprimé en fer rouge dans sa mémoire sans fond. « J’aimerai bien pouvoir te dire que oui mais je ne peux pas faire comme si rien ne s’était passé. Je vais pas non plus te mentir en te disant que tu me laisses de glace parce que ça n’est pas le cas petit ange » avoua-t-il en personne franche qu’il était.

Le jeune homme lâcha son visage pour se reculer légèrement et lui faire signe de la tête de se rallonger dans le lit. « Je… t’ai vraiment pas fait de mal ? J’évite toujours de dormir avec quelqu’un parce que je fais beaucoup de cauchemars et il m’arrive d’être violent durant mon sommeil » lui expliqua-t-il un peu avec réticence mais il voulait être certain qu’il ne l’avait pas frappé. Il ne supporterait pas l’idée d’avoir levé la main sur une femme aussi adorable que magnifique. Toutefois, comme poussé par l’envie d’être à nouveau proche d’elle, il se glissa dans le lit, sous la couette, croisant ses mains derrière sa nuque. « Tu crois que tu vas réussir à te rendormir ou je dois te lire une histoire ? »plaisanta-t-il pour essayer de détendre l’atmosphère. Lui, il savait qu’il ne redormirait pas pour la simple et unique raison qu’il craignait de perdre à nouveau le contrôle et de lui sauter à nouveau dessus. Il avait tellement envie de retrouver cette quiétude mêlée de fièvre qu’il avait ressenti entre ses bras. C’était comme s’il sentait encore ses mains dans son dos, ses ongles s’enfonçant légèrement dans sa peau et il ne parlait même pas de ses gémissements…

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Summer & Paris

Paris semblait encore s’étonner de mes réactions, et moi je lui souriais timidement parce qu’il était loin de se douter que, si je lui autorisais tous ces débordements, c’était parce que je les avais secrètement désiré. Il m’embrassait alors sur le front en déclarant que j’étais un être à part et moi je me contentais de pencher la tête à gauche puis à droite tout en coinçant ma langue entre mes dents comme une gamine, et de lancer un « Merci » parce que je trouvais plutôt amusante l’idée qu’on me trouve légèrement hors du commun ! Mais ma petite moue amusée disparu très vite lorsque je sentis ses mains prendre mon visage et que je le vis se pencher vers moi pour déposer un tendre baiser sur mes lèvres encore enflées par l’avidité de nos précédents baisers. Un geste pour conclure gentiment les choses ?? Il fallait vraiment qu’il cesse d’être aussi tendre et adorable avec moi parce que j’allais avoir du mal à me passer de tout ça. Pire encore, j’allais me mettre à espérer des choses de lui que jamais il n’accepterait de m’offrir. Il m’avait fait suffisamment comprendre qu’il était un séducteur et que l’amour ce n’était pas son truc…alors autant éviter d’imaginer des choses de mon côté

Je lui avais suggéré qu’on oublie cette incartade, par dépit, mais je fus ravie d’entendre que pour Paris, les choses n’allaient pouvoir s’effacer de sa mémoire. Du coup, je m’empressais très vite de lui répondre « Je ne peux pas faire comme si il ne s’était rien passé non plus » et c’est au moment où je finissais ma phrase que je réalisais ce que LUI avait déclaré à la fin. Je ne le laisse pas de glace ? Ça veut dire que je lui plais ? Ou est-ce simplement une manière de me dire que je suis une femme, qu’il est un homme, et que l’équation coulait de source avec lui étant donné ses habitudes sexuelles. Cette phrase me laissait un peu dans le doute, et c’est encore un peu dans la réflexion de ses mots que je lançais un hésitant « euh. Oh ! Je vois… »

Il lâchait mon visage et me fit signe de me décaler pour reprendre ma place dans le lit, et je ne me fis pas prier, reculant avant de me retourner à me déplaçant à quatre pattes sur le matelas une fraction de secondes pour finir par m’allonger de mon côté du lit (ou du moins celui qui m’était attribué pour la nuit) Paris commençait alors à me demander s’il ne m’avait pas fait mal et je me mis à rougir franchement sans réellement pensé qu’il parlait de son cauchemar au départ. « Oh non non, c’était tout le contraire ! » Puis je me mis à rire sans retenu parce que c’était bien mieux que d’en être gênée. « T’inquiète pas, tu ne m’as pas brutalisé ! Je dirais même que tu m’as vachement détendue » plaisantais-je tout en me positionnant de côté sur le lit pour l’observer prendre sa place et croiser ses mains sous sa nuque. Une main entre ma joue et l’oreiller je le regardais tranquillement, sondant son humeur au moment où il me plaisantait en demandant si j’allais retrouver le sommeil où s’il allait devoir me lire une histoire. Sur le coup, j’avais bien envie de lui demander une histoire, mais je me mis à glousser, tentant d’étouffer mon rire en tournant la tête contre l’oreiller « Non c’est bon, je te laisse réserver ça pour toute ta jolie tribu » Il devait avoir l’habitude avec des filles comme Kaleigh ou Danika, sans parler de Ashlynn qu’ici quelques années finirait par quémander elle aussi quelques contes de fées ! Il y eut un léger silence qui s’installait entre nous, durant lequel j’avais hésité à lui demander de revenir dans ses bras. Je ne savais plus où était les limites, ayant peur d’abuser avec lui, et de ne pas savoir me tenir à nouveau. Mon dieu que tout ceci était un véritable supplice…être là, à côté de lui, savoir qu’il ne se passerait jamais rien parce qu’il ne le permettrait pas, et de ne pas pouvoir ressentir ce que d’autres femmes avaient pu avoir le droit de ressentir dans ses bras. Cependant, je me consolais en me disant que toutes ces conquêtes n’avaient été que des femmes de passage, qu’elles n’avaient peut-être jamais eu le droit de profiter de ce lit, d’une nuit à dormir à ses côtés ; Oui, elles avaient peut-être eu droit aux plaisirs charnels avec Paris, mais jamais elles ne sauraient ce que c’est que de partager un de ces moments tendres comme ceux qu’il me proposait. N’etait-ce finalement pas mieux d’être une amie ?! …..* NNNNAaaaaaaaannnnnn, tu ne tiendrais pas une semaine à cette allure-là * Je grimaçais à ma révélation intérieure, sans vraiment m’en rendre compte et je fermais les yeux pour faire miner de trouver le sommeil, bien que je sais qu’il n’arriverait sans doute pas comme ça…


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I saw her in my dreams and she came ✩
Summer & Paris
« Tu vois hein ? Quelque chose me dit que tu ne penses pas de la même manière que moi mais dans le fond, c’est peut-être pas plus mal » répondit un Paris fataliste. Il n’avait rien à offrir à une femme comme Summer. Il était toujours étonné qu’elle ne l’ait pas fui en voyant la force de ses cauchemars ou même qu’elle ne l’ait pas interrogé sur leur origine. Il allait finir par croire qu’elle le prenait tel qu’il était sans se poser de questions. Serait-ce aussi simple ? Séduire cette femme pour savourer ce paradis qu’elle semblait si prête à lui donner sans rien attendre en retour qu’un peu d’attention ? La situation n’était pas aussi dramatique qu’il le pensait et fatalement, il se mit à rire avec elle. « Perso, c’est pas détendu que je dirais » marmonna-t-il en parlant d’une certaine zone de son anatomie qui avait bien du mal à se calmer mais il n’insista pas, de peur de la mettre mal à l’aise. Paris tourna la tête vers elle et resta comme d’habitude, subjugué par la finesse de ses traits, par la profondeur de son regard qui n’était éclairé que par la lumière de la lune. Sous cet éclairage, elle paraissait encore plus divine qu’à l’accoutumée.

Paris lui proposa une histoire et elle refusa non sans rigoler. « Dommage, je suis devenu incollable sur l’histoire de la reine des neiges »grimaça l’étudiant qui en avait plus que marre de raconter toujours la même histoire à sa plus jeune sœur en âge de comprendre les choses. « Allez.. Tâchons de dormir un peu » murmura-t-il en détournant le regard pour contempler le plafond. Heureusement que ses mains étaient derrière sa nuque sans quoi, il l’aurait déjà pris entre ses bras. C’était fou l’effet qu’elle lui faisait et il ne parlait pas uniquement d’un point de vue physique. Summer le transportait dans une autre dimension. Au bout d’un quart d’heure, il se tourna vers elle, comprenant qu’elle ne dormait pas plus que lui. « Tu n’arrives pas à dormir non plus » murmura-t-il en s’allongeant sur le côté, caressant du bout des doigts, l’arrondi de son épaule. « Summer… est-ce que… non laisse tomber, c’est totalement idiot » grogna-t-il ou presque. Encore un peu et il lui aurait demandé quoi ? De sortir avec lui ? D’être sa petite-amie ? C’était totalement impensable et pourtant, à cet instant précis, il mourrait d’envie d’être proche d’elle, de connaitre ce que les autres recherchaient en vain. Il voulait comprendre ce qu’il ressentait et en même temps, il craignait de devenir trop dépendant de cette femme -mais n’était-ce pas déjà le cas. « Tu veux venir dans mes bras ? »lui demanda-t-il à la place.

electric bird.
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Summer & Paris

Mais dieu qu’il était inconscient à me révéler des choses pareilles ! Je lui avait parlé de « détente » et lui invoquait le contraire sans que je n’ai eu besoin d’un dessin pour comprendre de quoi il parlait. J’avais eu l’audace de jeter un œil par-dessus la couverture en direction de la zone où se cachait sans doute son anatomie, et je me mordais l’intérieur de la joue à l’image qui se forgeait dans ma tête. C’était malsain…oui, mais tellement tentant ! J’inspirais profondément, hésitant à dire ce que j’avais envie de dire et puis n’y tenant plus « Tu veux un "coup de main" ? » avais-je proposé tout en pouffant de rire parce que je savais pertinemment que mes propos portaient à confusion. Je jouais avec le feu et quelque chose me dit que j’allais m’en mordre les doigts.

Je continuais de pouffer de rire comme une gamine, tâchant de retenir la petite anecdote de la reine des neiges pour le jour où j’aurais envie de le taquiner un peu, et essayait de faire ce qu’il nous avait conseillé, à savoir dormir. Sauf que j’avais beau fermé les yeux, la seule chose que je revoyais c’était comment ce cauchemar dont je n’osais demander l’origine, c’était transformer en un moment intense, et je me refaisais la scène comme un film dans ma tête, ressentant encore la présence fantôme de ses caresses, ayant encore l’impression d’avoir sa main sur ma poitrine, sa bouche contre la mienne…NON j’allais définitivement avoir du mal à trouver le sommeil si je ne calmais pas tout de suite mes ardeurs.

Je ne bougeais pas d’un cil, restant en position latérale et les yeux fermés. Je sentais cependant Paris bouger de son côté du lit, ce qui me rassurait vu que ses mouvements alliés à sa respiration semblait me dire qu’il ne dormait pas non plus. Le silence gagnait à nouveau la pièce, seul le bruit sourd de nos respirations pouvait s’entendre, quand soudain, ses doigts vinrent me caresser l’épaule, me faisant légèrement frissonner. Il avait compris que je ne dormais pas, raison pour laquelle j’ouvrais un œil, puis l’autre, avant de dire en grimaçant quelque peu « Je ne suis pas crédible pour faire semblant de dormir, c’est ça ?! » Puis je lui souriais amusée avant d’avouer. « Non, ça veut pas venir….je parle du sommeil hein ?! » Non mais qu’est-ce que je racontais ?! Bien sûr qu’il savait que je parlais de mon sommeil ? Il pouvait tout de même pas être capable de savoir que dans ma tête, y’avait une autre chose qui ne voulait pas venir, c’était la délivrance sexuelle que je désirais à mesure que je me refaisais la scène de nos étreintes avec Paris !
Je secouais la tête vivement, signe qu’il ne fallait pas relever mes propos bizarres et je le regardais hésiter à me dire quelques chose : « Quoi ? Non, vas-y, dis-moi ? » L’incitais-je, tout en espérant que ceci aurait un rapport avec ce à quoi je n’arrêtais plus de penser depuis un quart d’heure ? Finalement, il me demanda si je souhaitais venir dans ses bras, et je fus à la fois déçue et ravie: Déçue parce que j’en avais attendu plus de cette révélation, et ravie parce que j’allais pouvoir retrouver ma place tout contre lui. Je me redressais alors en m’aidant de mon coude et mon avant-bras et souriait de toutes mes dents, avant de me tortiller pour venir le rejoindre « Carrément que je veux venir ! Tu me le demanderas pas deux fois » et me voilà à nouveau dans ses bras, ma tête calée sur son torse et ma main posé également juste à côté. Satisfaite, je soupirais d’aise et d’un ton enfantin j’ajoutais : « T’aurais pas dû me proposer, je vais te coller toute la nuit maintenant ! »


electric bird.
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