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I saw her in my dreams and she came. PV.

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Summer & Paris
Il était trois heures du matin et enfin, il allait pouvoir se coucher et dormir. Paris était crevé, lessivé sans parler du mal de crâne qu’il avait trainé toute la journée. Doucement, sans faire de bruit, il sortit de la chambre d’Ashlynn. La chambre que normalement devait abriter les bordels d’un colocataire mais son annonce ne semblait pas connaitre énormément de succès. Dans le fond, ce n’était pas plus mal, Paris ne se voyait pas partager son intimité avec un ou une inconnue. Il aimait son indépendance et puis maintenant que les enfants étaient dans des chambres séparées, l’ambiance y était plus sereine. « Dors bien ma petite princesse »murmura-t-il en fermant précautionneusement la porte. Ashlynn ne faisait toujours pas complétement ses nuits et il lui arrivait de temps en temps d’avoir une petite fringale -surtout depuis qu’elle n’avait plus ses coliques. Le jeune homme descendit les escaliers pour se diriger vers la cuisine. L’appartement était un duplex composé de quatre chambres, d’une salle de bain et d’une cuisine américaine. Le salon servait à la fois de salle de jeux, de salon et de salle à manger. C’était un appartement assez grand pour toute la famille mais helas, le loyer suivait également voilà pourquoi depuis quelques semaines, Paris trimait pour terminer les fins de mois. Pour le moment, il tenait le rythme mais pour combien de temps ?! Bonne question.

Le jeune homme nettoya rapidement le biberon pour mieux le mettre à sécher sur un torchon prévu à cet effet. Il allait enfin pouvoir retourner se coucher où une certaine blonde allait une nouvelle fois hanter ses nuits. Summer. Il n’arrêtait pas de penser à elle ces derniers temps, se surprenant à profiter de la moindre occasion pour lui envoyer des sms. C’était totalement idiot mais il n’arrivait pas à se la sortir de l’esprit. Paris repassait devant la porte d’entrée quand il entendit des coups à la porte. « Bordel, qui vient me faire chier à cette heure-ci ? » grogna-t-il, prêt à envoyer paitre le malheureux qui avait eu l’audace de déranger ses plans pour la nuit. « Quoi ? »aboya-t-il en ouvrant, tombant alors sur le visage de l’objet de ses pensées. « Summer ? Mais qu’est-ce qui t’arrive ? »lui demanda-t-il plus gentiment. Elle était totalement trempée et semblait frigorifiée. Lui, n’en menait pas large étant donné qu’il ne portait en tout et pour tout qu’un boxer noir. « Entre, reste pas dans le couloir » lui dit-il en l’attrapant par le poignet pour la faire entrer et refermer la porte derrière elle. « Bouge pas, je vais te chercher de quoi te sécher »lui dit-il avant de grimper deux par deux les marches menant à l’étage. Cinq minutes plus tard, il revenait à elle, habillé d’un jean et tenant dans sa main, un t-shirt et deux serviettes. « Tes vêtements sont trempés, je me suis dit que tu apprécierais de te changer ? Je pense que vu notre différence de carrure, mon T-shirt te fera une robe »plaisanta-t-il en lui tendant le tout.


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Summer & Paris

J’avais fini mon service tard à l’hôpital et l’objectif final avait été de contacter Gabin pour qu’on puisse se voir et passer la soirée ensemble. Et jusqu’ici tout s’était bien passé. Seulement dans la soirée, j’ai eu l’audace de vouloir discuter de possibles vacances que je souhaitais me prendre, tout en évoquant l’idée de proposer à Gabin de passer ces vacances avec moi. S’en est suivi une complainte de Gabin qui me rappelait ses problème de santé, le fait que je ne devais pas espérer quoique ce soit concernant les sorties, les vacances, parce qu’il ne pouvait pas s’éloigner de l’hôpital…et j’avais fini par craquer, lui expliquant que j’en avais marre d’être mis de côté pour au final m’en prendre pleins la tronche parce que j’avais tendance à OUBLIER qu’il était malade. C’est pas comme si, j’avais eu le droit de me sentir concernée par ses problèmes un jour….Bref, on a fini par se disputer, je me suis mise à pleurer, et à vider mon sac, lui avouant que j’avais espéré tout un tas de chose venant de lui et que c’était pas arrivé. Et plus j’avançais dans mes lamentations plus je me rendais compte qu’on était plus du tout sur la même longueur d’onde. Pire : J’étais là devant lui à pleurer, et il lui, il restait stoïque pour finalement me dire « tu savais à quoi t’en tenir avec cette relation…on avait "pas de promesse"… » Voilà comment il avait conclu notre dispute. Je n’avais pas pu tenir plus longtemps. Après plus de deux heures de discussion pour rien, j’avais quitté l’appartement de Gabin, sans trop savoir quoi faire, si ce n’est pleurer.

J’avais pris le chemin retour vers le campus, et ma chance n’étant pas du tout au rendez-vous il s’était mis à pleuvoir des cordes. Dans un sens c’était pas plus mal, je pouvais pleurer sans me faire remarquer dans la rue…le problème c’est que je me déroutais moi-même de la route du campus, mes pas me menant inconsciemment vers un autre lieu, mes sanglots et ma peine ne faisant pas vraiment attention, si ce n’est pour crier mon besoin d’être réconforté en cet instant. Et c’est sans doute ce que mon corps avait compris bien avant tout le reste, vu que je me trouvais maintenant devant l’appartement de Paris. Paris….le seul capable de me réconforter en ce moment finalement. Le seule que j’avais envie de voir. Le seul qui pourrait me faire oublier Gabin, et la peine qu’il me causait.
J’étais rentré dans le hall et me trouvait maintenant devant la porte. Je n’allais tout de même pas sonner et réveiller toute la famille, alors j’avais opté pour quelques coups à la porte en espérant que Paris les entendrait et qu’il ne dormait pas. J’entendis très vite des pas derrière la porte et une voix maugréer. Paris ouvrit alors la porte, et mon souffle se coupa à la vue qu’il m’offrait. Okay, je venais de me séparer de mon petit-ami et avait finalement décidé de foncé vers le premier homme qui me troublait au plus haut point et voilà que ce dernier se trouvait vêtu d’un simple boxer devant moi ! Je n’étais plus très sûre que ma venue ici soit une bonne idée. Je baissais la tête pour ne pas trop lorgner sur son corps, son mètre quatre-vingt-dix-huit (parce que je m’étais permis de lui demander sa taille un jour après avoir bien souvent plaisanter sur le fait qu’avec ses deux mètres de haut, il aurait du mal à passer la porte de ma chambre chez les Quincy), ses muscles bien dessinés, des pectoraux aux abdomens et encore, j’osais à peine vérifier le reste pour ne pas céder à la tentation. Je me mis à frissonner, sans vraiment savoir si c’était lui qui me faisais cet effet ou si c’était le fait que j’étais trempé et frigorifié ; Mais apparemment, Paris en avait déduis cette deuxième option vu que je sentis sa main m’attrapé le poignet et me tirer dans l’appartement. Je restais sur le paillasson tandis qu’il m’annonçait qu’il allait chercher de quoi me sécher. Et là, je réalisais que j’étais vraiment, mais alors VRAIMENT trempée. Je regardais un peu autour de moi, tremblant légèrement, observant la décoration que je n’avais eu l’occasion de voir lors du déménagement auquel j’avais été donné un coup de main.

Paris revient deux minutes après, et me tendit deux serviettes et un T-shirt. J’avais pu constater qu’il avait enfilé un jean et je l’en remerciais intérieurement parce que dieu sait que cela aurait été dur de rester impassible….Non mais qu’est-ce que je raconte-moi ?! Je suis venue parce que je venais de me disputer avec mon mec !! Enfin mon Ex, vu qu’on s’était séparé ! J’étais en larme il y’a de ça 5 minutes, et voilà que je commençais à avoir des pensées pas très catholique concernant mon AMI ! J’attrapais une des serviettes que Paris avait tendu et la pris pour m’essuyer le visage, et le cou, tout en observant mes vêtements : Je dégoulinais littéralement. Je n’allais tout de même pas traverser le salon, et mettre de l’eau partout, juste pour atteindre la salle de bain et me changer ? Non, j’allais devoir le faire ici !

Retirais alors ma veste, et déboutonnais le haut de mon jean. J’avais mis des baskets simple, que j’avais pu retirer sans aucune difficulté, bloquant le talon d’une chaussure avec le pied opposé, ce qui me permettait finalement de retirer mon jean en le glissant jusqu’au bas de mes chevilles. Je reprenais la serviette déjà utilisais et m’essuyais mes jambes pour me sécher totalement et j’osais enfin ouvrir la bouche pour expliquer ma présence.
« Je sais qu’il est tard, je suis désolée….je voulais pas te réveiller, mais je ne savais pas où aller, et je ne voulais pas rentrer à la Quincy House »

Je me redressais pour m’attaquer à mon haut, retirant la première couche, puis le débardeur en dessous, me trouvant finalement en sous-vêtement face à Paris, qui ne bougeait pas d’un poil. Et là, me sentant nue aussi bien physiquement que psychologiquement, je craquais à nouveau, me sentant ridicule d’être venir pleurnicher auprès de Paris, alors que je pressentais le « je te l’avais bien dit » qu’il aurait eu raison de me dire au moment où j’allais lui annoncer les faits. Les larmes tombaient à nouveau et ne sachant quoi faire pour me terrer, je me précipitais sur Paris, me collant à lui à la recherche d’un réconfort, à la recherche d’une étreinte rassurante dont lui seul avait le secret. Et tant pis si j’étais en sous-vêtement, j’avais juste besoin de ses bras pour m’apaiser.

« C'est Gabin...on..c'est...c'est fini. »
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Summer & Paris
Paris n’était franchement pas d’humeur pour recevoir de la visite, il ne désirait qu’une seule chose : dormir. Cela faisait déjà trop longtemps qu’il était debout et qui plus est, sa chambre était devenue presque le seul endroit dans cet appartement où il pouvait pousser un soupir de soulagement et ne plus rien penser pour mieux se laisser guider vers des songes inavouables. Le pire dans toute cette histoire c’est qu’il ne rêvait que de la même femme et que ses rêveries n’étaient même pas érotiques. En réalité, il se voyait simplement tendrement enlacé auprès de la jolie Summer… Non, peut-être le pire dans cette histoire, c’était de ressentir un tel apaisement à son réveil. Depuis combien d’années n’avait-il pas dormi d’un sommeil de plomb ? D’un sommeil sans cauchemar ? Vingt ans jour pour jour puisqu’il était trois heures du matin. Un souvenir que Paris n’était pas près d’oublier et qui le rendait de méchante humeur. Il n’aimait pas ce jour-là car il commémorait le début de son enfer personnel.

Alors, tomber sur une Summer totalement dévastée et trempée, l’avait surpris et calmé dans un bel ensemble. Bien sûr, il l’avait tout de suite fait entrer pour mieux aller lui chercher de quoi se changer. Qu’est-ce qui avait bien pu se passer pour qu’elle débarque à une heure pareille à son appartement ? De tout de manière, quelle que soit la raison, elle pourrait rester ici autant de temps qu’elle le voudrait parce qu’égoïstement, il aimait sa compagnie. « Hey c’est pas grave petit ange, si tu avais besoin de venir ici, c’est pas un souci » lui répondit-il d’une voix un peu enrouée parce que bon… La voir se déshabiller devant lui, ça lui donnait des envies toute sauf amicale. Elle allait attaquer le haut et malgré lui, il suivait du regard le moindre de ses gestes. Il ne pouvait s’empêcher de fixer ses doigts graciles qui ôtaient machinalement chaque pièce de vêtements jusqu’à ce qu’elle s’affiche en sous-vêtement. Il commençait à faire vraiment chaud dans cet appartement mais Paris n’eut pas le temps de s’appesantir sur son attirance pour la belle Summer que déjà, elle venait se coller à lui, en pleure. Ainsi, c’était fini entre Gabin et elle. Il n’allait pas jouer les hypocrites en lui sortant que c’était dommage… Pas son genre. Toutefois, il allait peut-être éviter de sauter en l’air en poussant un gros « YES » de circonstance.

A la place, il referma ses bras sur elle, la berçant contre son torse. « Tu sais que c’était la meilleure chose à faire pour toi mais qu’est-ce qui s’est passé ? »lui demanda-t-il après avoir déposé un baiser sur le sommet de son crâne. « Attends deux secondes » la pria-t-il avant de se détacher. Puis, avec des gestes d’une rare tendresse, il continua de la sécher avant de ramasser le T-Shirt et de le lui passer. Ce n’est qu’ensuite qu’il frictionna ses longs cheveux humides. « J’ai pas envie que tu attrapes la crève »se justifia-t-il après ces quelques minutes d’une intimité troublante. Une fois assuré qu’elle n’allait plus attraper froid, il la reprit à nouveau contre lui.

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Summer & Paris

La chaleur de son corps, puis de ses bras, voilà ce qui m’apaisait soudain. Malgré mes sanglots, mes muscles se détendaient, et je resserrais mes bras autour de ses côtes, prenant toute conscience par la même occasion de son envergure. Y’a pas à dire : Paris est vraiment plus qu’imposant. Et bien que la première fois où je l’avais vu j’avais été un peu paniquée en le voyant, aujourd’hui je ne pouvais imaginer plus rassurant que lui. Je collais ma joue contre son torse, inspirant profondément entre deux sanglots, m’enivrant de son odeur avant de sentir une douce pression sur le haut de même tête. J’avais entendu ses mots et je savais qu’il avait raison, mais une partie de moi souffrait de cette situation vécue avec Gabin. J’avais espéré, vraiment espéré que les choses évolueraient dans le bon sens, que mon acharnement à vouloir être aux côté de Gabin lui ferait réaliser ma présence et à me laisser entrer complètement dans sa vie et non comme un simple divertissement que j’étais jusqu’ici…mais rien à faire, le temps et m’a patience n’avait pas joué en ma faveur, et j’en étais arrivée là, à pleurer comme une adolescente dans les bras d’un homme que je désirais dans mes rêves les plus inavouables. Je m’égarais dans mes pensées au moment où je sentis les mains de Paris, m’éloigner de son corps, et je ne cachais clairement pas mon mécontentement, en gémissant au manque que je ressentais maintenant. Mais ce désagrément fut de courte durée puisque Paris se comporta tout de suite avec moi avec la plus grande des délicatesses, prenant le temps de me sécher tout en me frictionnant pour me réchauffée. Quant à moi, je tentais de calmer mes pleurs et essuyait mes larmes de revers de mains, passant mes doigts sous mes yeux pour estomper les traces possible de mascara qui avait dû couler. Il m’aida ensuite à enfiler le T-shirt et c’est d’ailleurs le seul moment où je fis l’effort de bouger, en passant les bras dans les manches. Ces mouvements avaient sans doute dû m’aider à me « réveiller », parce que j’ouvrais à nouveau la bouche pour répondre à la remarque de Paris. « On s’est disputé…Je suis passée chez lui dans l’optique qu’on passe un moment ensemble, et j’ai…j’ai voulu lui proposé des vacances à deux et…enfin, voilà le résultat. » Paris passait la serviette dans mes cheveux pour les sécher et je tentais de l’aider en mêlant mes mains aux siennes sur la serviette pour essorer mes cheveux, mais finalement, au moment où il m’annonçait qu’il ne voulait pas que j’attrape froid, je me sentis à nouveau aimantée par son corps, et retournais contre lui, le serrant fort, le plus fort que je pouvais, ne voulant quitter ses bras. Je savais que c’était dangereux, que c’’était plus que tentant mais…je n’y pouvais décemment rien ! J’avais besoin de lui et de ses bras ! « J’ai été idiote d’y croire…bon sang, pourquoi c’est toujours comme ça que ça se passe ?! » marmonnais contre sa peau, tandis que je maudissais d’avoir perdu tout ce temps avec Gabin pour en arriver à ce point de non-retour.

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Summer & Paris
Les pleurs des femmes avaient toujours eu tendance à l’agacer tant il avait vu sa mère user de ce subterfuge pour garder les hommes près d’elle mais les larmes de Summer l’émouvaient, au contraire. Il ressentait comme l’envie irrépressible de la garder tout contre lui, de la préserver du monde entier quitte à l’enfermer à jamais au creux de ses bras musclés. Seulement, cette femme ne lui appartenait pas le moins du monde même si elle était célibataire. Ils étaient amis et Paris avait beaucoup de défaut mais il tenait à la promesse qu’il lui avait faite : celle d’être toujours là pour elle. Or, s’ils venaient à coucher ensemble, il se détournerait d’elle et lui briserait le cœur par la même occasion. C’était trop risqué, Summer était une femme trop sensible, trop aimante pour se contenter d’une seule et unique nuit. Paris était dans une impasse et pourtant, ce soir, il ne pensait pas à lui. Il ne pensait qu’à elle, à son chagrin et son besoin de la réconforter. « C’est qu’un connard »marmonna-t-il tout en lui enfilant son T-shirt. Elle nageait littéralement dedans si bien qu’il la trouvait à la fois fragile et attirante. Un melting-pot auquel il était habitué avec elle. « Je me doute que ce n’est jamais évident de faire le deuil d’une relation mais dis-toi qu’il vaut mieux que ce soit maintenant que lorsque tu aurais été pleinement amoureuse de ce type. Il veut rester tout seul comme un grand ? Bah qu’il le reste, tu mérites cent fois mieux que ce crétin »grogna-t-il alors qu’elle venait se blottir à nouveau contre lui.

Tendrement, il caressa son dos, plongeant sa main au creux de sa nuque pour la masser histoire qu’elle se détende, qu’elle oublie ses chagrins. Gabin ne méritait pas ses larmes, elle ne devrait même pas en verser une seule pour ce crétin songea-t-il avec amertume. « Cela ne sera pas toujours le cas petit ange… Tu finiras par le trouver ton prince charmant et s’il se conduit mal avec toi, je lui casserai les deux genoux pour lui apprendre à vivre » répondit-il avant de se pencher pour mieux glisser un bras sous ses genoux, la soulevant brusquement dans ses bras, façon jeune mariée. « Allez viens, il est tard, tu es fatiguée » lui dit-il en montant les marches menant à sa chambre. Il était hors de question que de la laisser retourner seule à la Quincy House. Paris était déterminé à veiller sur elle et quoi de mieux qu’en lui prêtant son lit. Délicatement, il déposa son magnifique fardeau sur le matelas, ramenant l’imposante couette sur elle. « Tu veux peut-être boire quelque chose avant de dormir ? » lui demanda-t-il prévenant en caressant son visage du bout des doigts comme s’il était incapable de s’arrêter de la toucher. Dans l’intimité de sa chambre, Summer était un véritable appel à la sensualité mais elle venait de rompre, elle était plus que fragilisée et puis, le problème restait le même. « Je te prête ma chambre, je vais dormir sur le canapé mais si tu as besoin de quoique ce soit, dis le moi mon petit ange d’accord ? »murmura-t-il en se penchant vers elle pour déposer un baiser au coin de ses lèvres. « S’il te plait, ne pleure plus pour lui… A la place, que dirais-tu de me sourire, tu es beaucoup plus belle quand tu rayonnes mon joli petit ange » ajouta-t-il dans ce même murmure en plongeant son regard dans le sien. A ce moment-là, Paris aurait tout donné pour l’embrasser et se perdre en elle. Il aurait tant aimé qu’elle s’agrippe à lui comme s’il était son seul rocher dans la tempête. Mon dieu, qu’avait-elle fait de lui ?

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Summer & Paris

Ce qu’il y avait de bien dans cette situation c’était que j’étais sûre qu’avec Paris, ce dernier n’irait pas prendre la défense de Gabin par solidarité masculine. Depuis le début, Paris avait mal senti mon petit-ami et il m’avait clairement signifié que je perdais mon temps avec ce type…dieu que j’aurais tellement voulu revenir en arrière aujourd’hui : au moins, j’aurais pu mettre tout mon temps et toute mon énergie à me focaliser sur autre chose, sur mon travail, sur mes études, ou sur mes amis… * et par amis t’entend par là, super beau gosse, hyper baraqué et gravement sexy * Non j’ai pas dit ça…Enfin…disons qu’il est clair que j’aurais pu passer plus de temps avec Paris et les enfants qui comptaient tout autant pour moi.

Bien lové contre le bellâtre, je sentis une de ses mains me caresser le dos et remonter jusqu’à ma nuque qu’il se mettait à masser au point de me détendre complètement. Toute la pression que j’avais ressentie jusqu’ici s’évaporait, me laissant complètement molle dans les bras de Paris. Je desserrais mon étreinte, mais continuait dans l’enlacer parce que je ne voulais pas qu’il en soit autrement, surtout que les mots de Paris n’arrangerait rien à mon envie de me sentir encore plus proche de lui que je ne l’étais déjà. Je me prêtais à rêver à ce que tous les hommes soient comme il était en cet instant. Ou mieux, que mon petit-ami (ex) soit comme lui…Non finalement, je ne voulais pas que Gabin soit comme Paris. Car personne ne pouvait être comme lui, et personne ne me faisait ressentir ce que lui SEUL réussissait à me faire ressentir. Pourquoi aller chercher les autres ce que je pouvais trouver en lui ? Je chassais les dernières images de Gabin et la colère qui m’envahissait quand je pensais à tout ce temps perdu, et me sentais soudain épuisée, bien aidée par les tendres caresses de mon ami et de ses massages qui me décrispait totalement. Je sentie mes jambes quitter terre et les bras puissants de Paris me soulager avec une facilité déconcertante. Je me savais en sécurité avec un homme tout en contrôle de la situation alors qu’il me disait que j’étais fatiguée, mais cela ne m’empêchait d’enlacer le plus possible le cou de Paris de mes bras, et d’enfouir ma tête dans son cou, sentant encore son parfum avec un peu plus présent sur cette zone qui me donnait envie de l’embrasser. Je ne devais pas, je ne devais pas, je ne devais pas ! C’était ce que je me répétais sans cesse dans ma tête tandis qu’il nous montait jusqu’à sa chambre, pour finalement me déposer sur son lit et me recouvrir de la couette. L’agréable sensation d’être dans un lit, bien couverte m’apaisait encore plus, surtout que je n’étais pas dans n’importe quel lit. Instinctivement, j’avais agrippé la couette qui était venue me recouvrir, parce qu’elle avait l’avantage d’avoir elle-même recouvert Paris durant ses dernières nuits, et d’avoir mémorisé son odeur enivrante. Et comme si cela ne suffisait pas, Paris en rajoutait dans l’art de me placer dans une bulle de confort, en me caressant le visage tandis que je refuser d’un signe de tête, le verre qu’il me proposait avant de dormir. Je voulais autre chose, autre chose de plus conséquent qu’un simple verre d’eau pour aller dormir. Le problème c’est que je ne savais si j’avais le droit de le demander. Pourtant dieu sait que j’en mourrais d’envie. Je renforçais mon étreinte sur la couette, fixant mon regard aux yeux de Paris que je ne voulais pas voir partir. Pourtant c’est ce qu’il avait décidé, en m’expliquant qu’il irait dormir dans le salon pour dormir sur le canapé. Non ! Je ne voulais pas qu’il parte ! Je voulais encore sortir son corps près du mien, sentir son étreinte, ses bras musclés et sa chaleur corporel. J’avais besoin de lui ! Il déposait alors un baiser sur le coin de mes lèvres en me demandant de lui sourire et d’arrêter de pleurer, et ce fut l’élément déclencheur qui me donna le courage de lui demander ce que je désirais par-dessus tout. « Reste avec moi » implorais-je dans un murmure alors que je lâchais la couette, une de mes mains se posant sur son avant-bras, tandis que l’autre se posait sur sa joue « Dors avec moi…je ne veux pas rester seule. S’il te plait, reste. J’ai besoin de toi. » J’avais tout dit ! Tout était sortis sans condition, allant même jusqu’à avouer que j’avais réellement besoin de lui, que sa présence m’était primordiale. Je caressais maintenant sa joue du bout du pouce, mes autres doigts calés sur la ligne de sa mâchoire, espérant qu’il accepterait ma supplique

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Summer & Paris
Paris aurait tout donné pour ce moment dur des heures et des heures tant la sensation d’apaisement qu’il ressentait était nouvelle et impressionnante. Depuis vingt-ans, il vivait constamment dans un état de crainte et de colère. Il n’arrivait à pardonner ni à ses parents, ni même à lui-même ce qu’il avait subi tout au long de sa jeunesse. Pour ainsi dire, il s’était muré dans un enfer personnel parce qu’il ne savait faire que cela. Depuis qu’il était gosse, on lui avait montré que la violence, la déchéance, le rejet et l’ignorance. Il ne connaissait rien d’autre et il avait vécu avec ce manque sans même s’en rendre compte. Summer réveillait tout cela, elle lui montrait combien il pouvait aimer la douceur, la tendresse et… Non, il ne voulait pas partir sur ce terrain-là car il finirait par les détruire. Paris n’était pas un crapaud que l’on embrassait et qui devenait par miracle un prince charmant. Il était le genre d’homme à se complaire dans ses défauts parce qu’il aimait ça. La perfection, ce n’était pas pour lui. Bien sûr, il avait des rêves, des attentes comme tout le monde. Il se voyait militaire, bardé de médailles mais à tout bien réfléchir, il ne s’était jamais transposé socialement. Tous ses objectifs avaient été dicté dans l’unique but de sortir de la misère, d’être quelqu’un. Or, jamais il n’avait envisagé les choses sous un autre angle comme être simplement un mari ou un père de famille. L’amour n’avait visiblement pas sa place dans sa vie mais cette petite blonde ? En avait-elle une ?

La réponse s’imposa d’elle-même : oui. Summer le touchait comme aucune femme ne l’avait fait jusqu’à présent. Elle frappait directement à son cœur sans passer par la case cerveau. Elle le forçait à ressentir des choses qu’il ne connaissait pas, qu’il ne pensait pas ne serait-ce un jour éprouver. Et voilà qu’elle le suppliait de rester auprès d’elle cette nuit. Avait-elle conscience qu’elle les entrainait sur un terrain glissant ? Une sorte de voyage sans retour possible en arrière ? Ses adorables yeux le suppliaient de céder sans compter qu’il appréciait bien trop sa tendresse pour ne serait-ce envisager d’aller s’allonger dans le salon. « D’accord.. Je reste avec toi » murmura-t-il en attrapant son poignet pour déposer de légers baisers sur le bout de ses doigts, sans même la quitter un seul instant du regard. « Je vais m’assurer qu’Ashlynn dorme bien et je reviens »lui dit-il. Un prétexte pour s’éloigner afin de regagner son calme, de retrouver une certaine sérénité. Deux minutes plus tard, il revenait dans la chambre et ôtait son jean pour mieux se glisser de l’autre côté du lit. « Allez, viens par-là petit ange » l’invita-t-il à venir se blottir ton contre lui. Il allait finir par être totalement accro à ses courbes, à sa chaleur. Bon sang, avait-elle seulement conscience qu’elle lui faisait perdre toute raison ? « Est-ce que ça va un peu mieux ? »lui demanda-t-il en douceur comme s’il craignait d’être à l’origine d’une nouvelle crise de larmes.


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Summer & Paris

Je fus soulagée par la réponse de Paris qui acceptait de dormir avec moi, et souriais maintenant comme il me l’avait demandé, timidement, tout en suivant du regard ses gestes et surtout ses attentions qu’il me portait. Et dire que c’est homme en face de moi se définissait lui-même comme un homme qui ne pouvait pas rendre heureuse une femme…moi tout ce que je voyais c’était qu’il était capable de me faire sourire, de me rassurer, et de me réchauffer tout le corps et le cœur avec quelques mots et ses lèvres douces qui venait se déposer sur mes doigts. Si je m’écoutais, j’aurais sans doute profité de l’instant pour jouer avec ses lèvres de mes doigts, de les caresser, les frôler jusqu’à ce qu’il se sente l’envie d’aller plus loin et de poser ses lèvres ailleurs, mais je ne le fis pas, par peur de brusquer les choses, ou de passer pour une opportuniste. Surtout que, même s’il m‘apaisait, je me souvenais très clairement de ce qui m’avait fait venir jusqu’à lui, et mon humeur charmeuse s’atténuait.

Mais je ne pouvais clairement pas me passer de sa présence, c’est pourquoi lorsqu’il revint dans la chambre, je soupirais de soulagement, sentant ma poitrine s’alléger d’un poids en le voyant se rendre de l’autre côté du lit, ôter ce jean qui était de toute façon de trop, et venir se faufiler sous les couettes. Je détaillais tous ses faits et gestes, ne le lâchant pas du regard, et lorsqu’il m’invitait à me blottir contre lui, je n’attendis pas longtemps pour me rapprocher de lui, me caler sous son bras et venir poser ma tête contre son torse, de même que ma main que je plaçais à côté de mon visage. J’inspirais profondément et réalisais que c’était la première fois de ma vie que je me sentais A MA PLACE, ici, dans ses bras. Cette sensation à la fois grisante et terrifiante à réaliser me fit réfléchir à la place que je donnais à Paris dans ma vie. Ami ? Je savais depuis un moment que cette amitié était ambiguë, ne serait-ce qu’à cause de l’effet qu’il me faisait. Mais jusqu’ici, j’avais préféré ami à autre chose tout simplement parce que je m’étais dit que Paris ne serait JAMAIS le genre d’homme à se montrer tendre et affectueux avec moi, ni même avec aucune autre femme. J’avais donc abandonné l’idée d’espérer autre chose que son instinct séducteur de sa part…Or là, dans ses bras, dans ce lit, à l’abri de tout ce qui me peinait depuis un moment, je me posais vraiment la question de savoir si je pouvais envisager Paris comme un potentiel petit-ami….petit-ami ? Non mais qu’est-ce que je dis ? Je ne manquais vraiment pas d’air quand même. Je venais tout juste de prendre la décision de larguer Gabin, que déjà je lui cherchais un remplacement ?! N’avais pas compris la leçon ? Ne pas me lancer corps perdu dans une relation qui me fera souffrir….oui, sauf que là, je doutais vraiment que Paris puisse me faire souffrir un jour. Il n’y avait qu’à voir comment il était avec moi maintenant, et comme il était avec les enfants ?! Il ne pouvait pas être si sombre et inenvisageable qu’il le laissait croire.

Quoiqu’il en soit, je me devais de profiter simplement du moment présent, sans me soucier de ce que cela voulait signifier parce que je savais que si je continuais à réfléchir à tout ça, j’allais devoir parler à Paris du trouble qui me prenait en sa présence, et j’avais peur qu’il ne me lâche et qu’il quitte cette chambre sans un mot. Paris me demanda alors si j’allais un peu mieux et j’esquissais un petit sourire avant de lui répondre : « Tout va mieux quand t’es là… » Je levais alors la tête en l’air sans quitter son torse, et le regardait. « Même si je suis encore en colère contre lui, c’est comme si ça n’avait plus d’importance maintenant » avouais-je tout en lui souriant à lui et seulement à lui à partir de maintenant. Je relevais ma tête cette fois-ci, pour mieux voir ce visage qui me calmait l’esprit et m’aidait de mon avant-bras sous mon corps pour me soulever un peu et affronter le regard de Paris. « Le pire, c’est qu’il va falloir que je retourne le voir demain, parce que, j’étais tellement en colère contre lui que dans ma hâte j’en ai oublié mon sac ! » Ce qui est expliquait pourquoi j’avais fini par partir à pied et finir sous la pluie à chercher refuge chez mon ami. Je me calais cette fois-ci sur l’épaule de Paris, nichant ma tête dans le cou de Paris, tandis que je m’allongeais à moitié sur lui, l’enlaçant d’un bras au niveau du torse – pour constater qu’avec son envergure, mon bras arrivait tout juste à faire le tour – et une jambes venant passer au-dessus de lui pour se placer dans les siennes. Ainsi lové contre lui, je pouvais sentir sa chaleur, me ré imprégner de son parfum qui me chatouillait les narines et me tournait la tête. N’y tenant plus, mes lèvres vinrent se poser dans le creux de son cou une fois, deux fois, tout en murmurant un « Merci », qui venait accompagner un troisième baiser sur cette peau chaude et accueillante. « Merci d’être là ».

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Summer & Paris
Paris avait été absent quelques minutes de la chambre mais à son retour, il fut accueilli par un sourire de Summer et machinalement, il le lui rendit. Cette femme avait un pouvoir faramineux sur lui mais le savait-elle au moins ? Pas certain. Elle était bien trop innocente pour remarquer ce genre de chose et c’était tant mieux. Paris était las de se méfier de tout le monde alors pour une fois, il voulait donner le bénéfice du doute à quelqu’un. Le jeune homme la rejoignit dans le lit, l’accueillant entre ses bras. Il semblait naturel pour lui de la tenir contre lui, de faire aller et venir ses doigts le long de son dos pour mieux se perdre dans sa chevelure encore un peu humide. « Ravi de pouvoir te rendre ce service » lui répondit-il en ramenant une mèche de cheveux derrière son oreille. « Tant que tu ne pleures plus à cause de lui, je crois que c’est le plus important » reprit-il dans un sourire alors que sa main repartait dans une caresse légère dans son dos. Puis, sans trop s’en rendre compte, il commença à jouer avec la couture de son T-shirt qui s’était relevé légèrement sur ses cuisses. « Ne t’inquiète pas pour ton sac, j’irai te le chercher et crois-moi, il aura beau être malade, je prendrais pas de gant avec lui si jamais il veut jouer les difficiles »marmonna Paris qui se ferait un plaisir de lui casser la gueule rien que pour le punir d’avoir fait couler des larmes de ces magnifiques yeux.

Summer l’enlaça étroitement et il retint le léger gémissement qui voulut franchir ses lèvres. Bon sang, il se sentait tellement bien là, sous cette couette. Cette situation était incongrue et pourtant, elle était là, entre ses bras. Sa main passa sous son T-shirt, caressant du bout des doigts cette peau soyeuse et chaude qui appelait ses mains, ses lèvres. A cet instant précis, il aurait tout donné pour pouvoir se perdre en elle, pour oublier cette fichue amitié, pour n’être que Summer et Paris, deux personnes pleinement conscientes de leurs actes et au fait de leurs désirs. Malheureusement, si Summer était fidèle à elle-même alors lui, continuait d’être le méchant loup de l’histoire. Dans le fond, il ne vaudrait pas mieux que tous les Gabin de la Terre et ça, il se le refusait. C’était peut-être idiot mais il ne voulait pas qu’elle le déteste ou qu’elle le méprise même une seule seconde. Summer avait une telle image de lui qu’il voulait continuer de croire qu’il pouvait vraiment être cet homme. Un homme qui pouvait être admiré, qui pouvait être…Aimé ? Si elle savait ne serait-ce qu’un dixième de son enfance, elle s’écarterait de lui, dégoutée. Comment réagirait-elle s’il lui annonçait qu’il était stripteaseur ? Même combat. « Tu n’as pas à me remercier petit ange, je serais toujours là pour toi » lui dit-il non sans frissonner sous ses baisers. De sa main libre, il vint la poser sur son bras qui entourait son torse, de l’autre, il poursuivit ses caresses s’arrêtant toujours à la lisière de sa petite culotte, comme si elle représentait un obstacle infranchissable. « Tu devrais dormir maintenant petit ange sinon demain, tu auras une tête à faire peur » plaisanta-t-il car il savait que même toute ensommeillée, elle serait ravissante.

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Summer & Paris

En plus de me faire sourire, Paris réussissait également à me faire rire, et c’est sans chercher à me contrôler que je me mettais à pouffer de rire, bien collé contre lui alors qu’il était en train de jouer les gardes du corps, prêt à jouer les gros bras avec Gabin et aller cherche mon sac à ma place. « Nooooonnn….bien que j’adorerais voir sa tête si tu finissais par débarquer chez lui, je pense que c’est plus raisonnable que j’y aille moi-même » déclarais-je en essayant de me montrer raisonnable. Après tout j’étais une adulte et je devais affronter mes problèmes, quels qu’ils soient. « Et puis, comme ça, je mettrais des mots plus officiels à notre dispute. Je lui dirais plus clairement que c’est terminé entre nous. Comme ça il sera débarrassé de moi, et moi…je pourrais tourner la page » ajoutais-je avant de venir me caler dans le cou de Paris, qui me tentait depuis un moment.

Je sentais la main du beau brun se balader dans mon dos, et je ne pus réprimer un gémissement au moment où ses doigts venaient directement toucher ma peau. J’avais l’impression qu’il m’électrisait à chacun de ses mouvements, à son toucher, et c’est sans doute cela qui m’avait fait perdre le contrôle et m’avait donné l’envie irrépressible d’embrasser la peau de son cou, d’où émanait un enivrant parfum et une chaleur accueillante. Un cet instant, plus rien de comptais pour moi si ce n’est les images qui me venaient en tête qui ne m’aidait clairement pas à me tenir correctement avec lui : Je l’imaginais sur moi, en moi, me faisant perdre le contrôle et m’amenant vers un plaisir certain qui me laisserait finalement pantelante, secouée mais ô combien satisfaite. Mon dieu que tout ceci était dangereux. IL était dangereux ! Mais comment résister à cette tentation démoniaque qu’était Paris ? Personne ne pouvait résister ; aucune femme n’avait réussi avant moi, alors je n’échappais finalement pas à la règle, et je me sentais faible. Faible oui, mais également envieuse. J’avais envie de lui, de sa peau de son corps, de ses mots, de sa voix, de son visage, de son réconfort, de ses bras….j’avais envie de lui tout entier, et c’était à la fois terrifiant et excitant. Surtout que sa main continuait de se balader sur mon corps et me faisais maintenant frissonner de désir. Bon sang il fallait que les choses cessent maintenant, tout de suite !

Il venait de me proposer de dormir et je prenais cela comme un signe ! C’est l’alerte, le mot de la fin. C’est non sans mal que mes lèvres quittaient la peau de son cou, et que je baissais maintenant la tête, et la reposer sur son épaule comme si celle-ci serait bien plus confortable que l’oreille qui m’attendait normalement derrière moi, je pouffais de rire à la dernière remarque de Paris sur ma future tête du réveil. « Oh je ne ferais pas plus peur que maintenant je crois ! Enfin je dis ça…c’est toi qui en sera témoin, moi je ferais en sorte d’éviter mon reflet dans le miroir » puis comme il me l’avait conseillé, je tentais de trouver le sommeil bien que sa main qui frôlait ma petite culotte jusqu’ici ne me donnait pas vraiment envie de dormir là !


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