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GWIN • Narwhals, narwhals, inventors of the shish kebab

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C'est en voyant Robin que j'comprends mieux ma connerie de l'époque. Le sentiment d'être incomprise, se murer dans la fatalité et se dire que de toute façon, sans ce pilier nous ne sommes plus rien ni personne. Se dire que partir lâchement serait la meilleure option pour tout le monde, ou bien que tout le monde s'en battrait les couilles avec allégresse. Sauf que j'la laisserai pas penser ça, je l'ai trop souvent fait à sa place. Tu veux faire dans la victimisation ou dans le sentimentalisme ? Parce que là je suis le cul entre deux chaises. Je me sentais presque obligée de lui parler de ma vie, de l'époque où je faisais exactement la même chose. Fuir mes envies les plus profondes, ma réalité. Tu crois que j'ai jamais tenté d'me foutre en l'air ? Deux overdoses. Deux fois on m'a sauvée, et tout c'que j'veux c'est t'empêcher de crever. J'te demande pas d'arrêter complètement la came. Pourquoi j'ai voulu crever ? T'as entendu parler de l'attentat qui a eu lieu ici ? J'y ai perdu mes meilleurs potes, quelques unes de mes conquêtes, l'usage de mes jambes pendant un long moment. Il me restait rien. Quelques mois après, j'ai fait ma deuxième overdose, j'ai appris que j'étais en cloque et que j'avais tué ce truc qui commençait à vivre. Ah, puis j'ai voulu me jeter du toit une fois. Je marquais une pause de quelques secondes. J'veux pas t'faire la morale parce que j'suis mal placée pour le faire. J'veux juste que tu comprennes que rien n'est une fatalité. C'est vrai que t'espères toujours être à la place de ceux qui sont plus là. Mais c'est pas inscrit dans ton destin. Puis, j'pense pas que la personne que tu as perdue soit d'accord de t'voir le rejoindre, une seringue plantée dans le bras, crois moi qu'il va t'faire revenir avec un grand coup de pied céleste au cul. Je m'approchais doucement d'elle pour ne pas l'énerver et lui tendais la main. Fais pas de conneries. Accepte de l'aide extérieure de quelqu'un qui ne t'enverra pas en désintox parce qu'elle a connu ça. Je la regardais alors, en espérant qu'elle saisisse cette main tendue.
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Je penche la tête, ne comprenant pas ce qu'elle me dit là. Je ne joue pas la victime, j'énonce simplement la réalité, les faits qu'ils se sont produits tel que cela s'est passé, sans parlé de hasard comme tout le monde semble vouloir le croire, ou plutôt tenté de me le faire croire. Pensent-ils réellement eux-même que ce n'était pas un accident que j'ai causé ? Sans moi, Elia serait toujours en vie, tout le monde le sait. Je n'aurais pas été là, il ne serait pas sortit, ou alors il serait rentrée uniquement à la fin du match et pas plus tôt. C'est uniquement ma faute s'il était là, à cet endroit précis, à cette seconde précise. Ma faute et je le sais. Je ne dramatise rien, je ne me pose pas en victime. Il est la seule victime dans cette histoire et moi, je suis son bourreau. Il serait temps que les gens autour de moi le comprennent, le réalisent pour qu'ils arrêtent de me dire, ce n'est pas ta faute.

Et voilà, elle me raconte sa vie. Qu'est-ce que j'en ai à foutre hein ? ça va rien changé pour moi. Elle veut se poser en donneuse de leçon même si elle le nie, elle veut que j'arrête les couilles qu'elle faisait avant. Mais elle doit savoir plus que quiconque que c'est un besoin et non pas juste un désir rendu à ce niveau... Un besoin pour survivre au même titre que manger, boire, dormir ou même encore respiré... Parce que sans drogue, je pourrais juste pas tenir, je pourrais pas non... J'en suis incapable. Je suis trop faible... Et là, elle me dit ce que je redoute, de l'aide. J'en veux pas et je la repousse d'un coup sec avec toute la force que j'ai. Je la repousse et j'éclate, je brise le silence dans lequel je me terrais depuis qu'elle avait commencé son récit. "J'veux pas ton aide ! Ni celle de personne ! Vous êtes juste bon à tous me dire la même chose ! A me dire que c'est qu'un putain d'accident ! Que c'est pas ma faute si Elia est mort ! Mais vous avez tord ! Vous le savez ! Vous supportez juste pas que je me blâme toute seule parce que vous préféreriez le faire vous-même ! Parce que je suis la fautive ! J'ai tué mon propre frère ! Alors arrêtez ! Arrêtez de dire que c'est pas ma faute !" Je craque, je balance tout ce que j'aurais du dire à tout le monde depuis longtemps, que j'en ai ma claque de tout ces mensonges, de ces faux-semblant de compassion. Même mes parents sont dans le lot.
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J'avais beau essayer de me montrer douce et diplomate, rien n'y faisait. Elle ne voulait pas d'aide et cette fois, elle le montrait avec plus de haine que de rancoeur. Elle explosait, littéralement, comme un succube qui montrait quelques signaux d'alerte avant l'explosion. Je devais me décider entre la manière douce ou la forte pour la calmer. On va encore essayer la douceur, sait-on jamais. Est-ce qu'à un moment donné j'ai parlé d'un accident ? Est-ce t'as entendu ce mot sortir de ma bouche ? Est-ce que j'ai essayé de me blâmer à ta place ? A aucun moment. J'étais pas là, d'accord ? J'connais pas les circonstances exactes, j'peux pas me mettre à ta place. Mais même si tu te sens coupable, n'oublie pas que ce n'est pas toi qui avait l'arme fatale entre tes mains. T'es la conséquence indirecte de sa mort. T'as la haine et j'le comprends. Mais faut que tu apprennes à revivre putain ! Tu crois qu'il kiffe te voir comme ça, hein ? Je me rapprochais encore d'elle, jusqu'au point de contact direct. Quelques millimètres nous séparaient. Tu l'as pas tué de tes mains, contrairement à ce que tu penses. J'suis pas là pour jouer Mère Thérésa avec toi avec toute la sainte compassion de la nonne. Parce que si j'étais elle, j'aurai pas envie de te coller une droite pour te réveiller. Je plantais mon regard océan dans le sien, tout en restant le plus calme possible.
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Je cherche à la repousser, à la tenir loin de moi, parce que je ne veux pas de son aide, je ne veux même pas entendre ce qu'elle a à me dire, sauf qu'elle ne se tait pas, qu'elle ne ferme pas son clapet et continue de parler, me faisant la morale comme on me l'a déjà trop fait. Elle se rapproche, elle est trop près, je veux reculer, m'éloigner, la repousser, j'esquisse un mouvement de recule, mais ma jambe rencontre le bord du lit et pour ne pas tomber, je stoppe donc mon geste reposant mon pied à terre. Mes mains quand à elles viennent se mettre sur les épaules de Gwen pour la repousser, la contrainte à s'éloigner de moi. Vraiment. Je ne supporte pas ça. Alors, je la repousse ou du moins j'essaie. "Tu veux m'frapper ? Alors vas-y ! Vas-y colle moi une droite ! " Je la provoque en soutenant dans un sens son regard, même si je redoute de sentir son poing heurter ma joue ou je ne sais qu'elle autre partie de mon corps. "T'en sais rien ! Tu l'dis toi-même ! Alors ferme ta gueule ! Tout c'que t'as à savoir, c'est qu'il est mort à cause de moi ! Tu comprends ça ? Non ! Bien-sur que non." Un rire nerveux franchit alors mes lèvres. "Comment tu pourrais comprendre. Parce que t'as fait une fausse couche ? Laisse-moi rire. Un truc que t'as jamais vu c'est pas comparable à une personne que t'as connu pendant dix-huit ans ! Alors non ! NON, tu sais pas et tu peux pas imaginer ! Alors fou moi la paix ! Lâche moi ! Dégage !" Je pète réellement un câble, tout en cherchant à la repousser, mon regard assombrit. Je dois avoir l'air d'une hystérique là.
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La tension nerveuse rendait presque l'air de la chambre irrespirable. Je me voyais contrainte à me pousser dans mes propres retranchements pour ne pas céder à mes envies violentes, ni craquer face aux mots qu'elle débitait dans ma face. Ses mains sur mes épaules essayaient de me repousser loin d'elle, mais je luttais sans trop forcer contre celles-ci. J'aurai peur de casser ce corps frêle que j'ai déjà vu nu une fois et qui montre ta fragilité mentale... Je ne montrais aucune agressivité dans ces mots, plutôt un triste constat de sa réalité. Cependant, mes mains venaient attraper ses poignets pour la contraindre à me lâcher. Elle attaquait sans connaître disons 5% de ma vie, ce qui m'arrachais à mon tour un rire nerveux. Tu crois vraiment ça ? Que j'peux pas te comprendre ? J'ai tué mon premier amour en lui imposant un traitement contre sa leucémie. J'ai vu le seul homme qui m'a élevée crever devant mes yeux pour sauver ma vie dans une putain de station service quand j'avais onze ans. Alors non j'te lâche pas, non j'dégage pas. Mes dents se serraient alors que nos regards restaient là, à se soutenir dans toute la haine qui nous incarnait à cet instant précis, et l'une de mes mains relâchait son poignet pour l'attraper à la gorge. J'te comprends surement mieux que n'importe qui dans cette ville, ça fait de moi une loque ? Non. Alors maintenant, tu vas te relever, t'as compris ? T'es pas le bourreau du monde entier, contrairement à ce que tu penses ! Je relâchais alors mon emprise sur elle en la jetant presque sur le lit derrière elle. Et désolée de t'avoir serré la gorge. Je me reculais alors en soupirant.
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"Et alors ? J'suis fragile Ca fait quoi ? Tu veux m'frapper fait le ! Fais le putain !" lui criais-je limite à la gueule alors que je pète réellement un câble, que je lui crache à la figure qu'elle ne peut pas savoir juste parce qu'elle a fait une fausse couche, que madame a perdu un être qui n'en était pas un. Mais non, je ne savais pas, je ne connaissais pas sa chienne de vie et je ne pouvais pas me l'imaginer ainsi, pas alors qu'elle me balance plus sur son histoire, sur la disparition des êtres qui lui étaient proches. J'essaie d'ailleurs de la faire lâcher mes mains qu'elle a saisi avec trop de force, je risque de garder des marques si elle continue à serrer, mais le pire reste à venir, quand elle me lâche enfin. Elle s'en prend à ma gorge et dans la panique mes mains viennent saisir son poignet pour tenter de la faire lâcher prise en la griffant comme je peux. J'ai quand même un instinct de survie, même si je veux crever, même si j'en ai marre de ma vie, de ma culpabilité et tout... Je ne réponds rien, pas tant qu'elle me tient. Puis elle me lâche pour de bon et j'atterri sur le lit, un peu haletante portant mes mains à ma gorge libérée pour la masser doucement comme si l'air allait y rentrer plus vite comme ça alors que je la regarde en chien de faïence avant de finalement faire un geste que je n'aurais pas dû. Mon pieds part, pour lui donner un coup dans le ventre, dans cette position, c'était le plus simple. Avant de me redresser en la fixant toujours avec une certaine haine, comme si je lui mettais cet instant tout sur le dos, comme si tout ce que je me reprochais je le mettais sur son dos. Un report. Un déplacement d'émotion et d'un coup, elle passait de ma tatoueuse, d'un coup d'un soir, d'une pseudo-amie à l'être le plus détestable du monde. "T'approche plus d'moi ! M'touche plus ! Dégage ! DEGAGE !" Me mis-je alors à hurler pour la chasser, pétant réellement un câble pour de bon.
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Tu te laisses abattre, c'est chiant. Je sais que t'es pas une faible au fond de toi. Tu le prouves dans ta haine. dis-je avant que tout ne parte en couilles complet, que je me laisse submerger par mes émotions les plus violentes à son égard. Jamais je ne l'aurai étranglée avant, je ne comprenais pas ce que j'faisais à ce moment précis, ni même vraiment pourquoi j'étais là, à serrer sa gorge alors que je voulais simplement l'effrayer de cette façon. Elle me griffait comme elle pouvait, elle luttait pour cette vie qu'elle disait vouloir perdre, malgré tout. Quand je l'ai relâchée, j'ai senti son pied heurter avec violence mon ventre, ce qui m'agenouilla au sol directement, et ce qui me fit tousser fortement, le souffle coupé. Elle se relevait face à moi et devenait hystérique, me demandant de sortir. Je restais là, en souriant. Tu vois que tu tiens à ta vie...malgré tout ce que tu penses. Je marquais une légère pause le temps de me relever. J'voulais pas te faire de mal Robin, j'te jure... C'était vraiment pas mon intention. J'ouvrais alors les bras en grand, pour montrer que j'rendais les armes. Tu m'pardonnes ?
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"Ta gueule Gwen ! t'en sais rien !" Lui rétorquais-je avant de sentir ses doigts autour de ma gorge et serrée doucement... Je me débats pour reprendre de l'air, la griffant et tout pour finalement me retrouver sur le lit et lui donner un coup de pieds pour la repousser, pour l'éloigner de moi et la convaincre de partir. Mais je ne m'attendais pas à la voir tomber à genoux, alors que moi, je me relève. C'est une situation étrange, où, pendant un instant, je semble dominer Gwen tout en lui gueulant dessus de dégager, de me foutre la paix, encore, comme si je n'étais capable que de dire ça... Et dans un sens, c'est le cas, je repousse toutes les personnes qui cherchent à m'aider, à me faire redevenir celle que j'étais avant ou presque... Je fuis, parce que je ne veux plus redevenir la gentille Robin qui disait oui amen à son père en permanence... Celle qui a tué son frère... Celle pour qui Nate a toujours des sentiments et qui n'existe plus. Puis j'entends ses propos et je fais signe que non de la tête. "Non. Non. C'est faux !" Lui dis-je quand bien même plus calmé parce que dans un sens, j'avais l'impression de contrôler un peu la situation, du moins, c'était tant qu'elle était à terre. Mais là, elle se relève et je me méfie d'elle, plaçant mes bras devant moi comme pour me protéger d'elle. "Pas ton attention ? Tu m'as étrangler ! Tu m'aurais fait quoi si c'était ton attention hein?" Je la foudroie du regard, mais en même temps, je gueule moins, même si je la provoque toujours et quand elle me demande si je la pardonne, je ne lui réponds pas. Parce que je n'ai rien à répondre. Est-ce que je lui en veux de m'avoir malmené ? par réellement... C'est ce que je chercher au final et c'est l'une des premières à enfin me donner ce que je veux réellement... Mais en même temps, je ne peux pas dire oui...
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J'analyse les gens, et j'vois que t'es plus forte que tu l'penses, c'est tout, regarde toi ! Violence, retournement de situation à son avantage. Elle me domine, je me soumets. Comme si c'était un jeu de rôle à qui sera plus forte dans la situation. Je n'ai pas envie d'avoir le monopole, j'veux lui montrer qu'elle est capable de beaucoup de choses lorsqu'elle s'en donne véritablement les moyens, comme maintenant. Elle se calmait quand elle me vit à terre sous la violence de son coup dans mon abdomen, sûrement parce que c'est ce qu'elle espérait au fond d'elle, se sentir moins rabaissée par les gens qui l'entourent. Je n'irai pas dire que j'avais réussi ce que j'voulais, puisque j'aurai largement préféré qu'on n'en vienne pas aux mains. Si tu n'y tenais pas plus que ça, tu ne te serais pas débattue, j'me trompe ? Je gardais ce sourire avant de me relever, et voyais ses craintes de se sentir menacée à nouveau lorsqu'elle croisait les bras devant elle, comme pour se protéger. C'est pas mon kiff de vouloir tuer les gens...j'voulais juste t'effrayer, mais j'y suis allée trop fort, j'voulais pas serrer autant mes doigts autour de ton cou. Je gardais les bras ouverts, sans pour autant m'approcher d'elle, soutenant plus ou moins son regard, mais sans haine dans le mien, juste des excuses. J'suis pas un monstre Robin... Même si j'me suis montrée trop violente à l'instant. J'aimerai que tu m'pardonnes, mais j'comprendrai que tu aies du mal à le faire. J'rends les armes. T'as autant le droit de me frapper que d'accepter mes excuses et un câlin. J'te laisse le choix. Je baissais alors les yeux, pour lui montrer que oui, elle avait gagné.
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"Non ! Tu sais pas ! Tu peux pas savoir !" Je voulais pas entendre ça, je voulais pas entendre dire que j'étais forte, parce que non, je ne suis pas capable de surmonter la mort de mon frère, c'est impossible. Je ne pourrais jamais passer au dessus de ça... Il est mort par ma faute, alors non... Non, je ne suis pas aussi forte qu'elle semble vouloir me le faire croire... C'est qu'une masque, qu'un jeu. J'en sais rien ! C'est une connerie, c'est pas vrai ! Je porte mes mains à mes oreilles pour ne plus l'entendre parler, pour ne plus entendre le son de sa voix alors que j'ai juste envie de tomber à genoux et de me mettre encore à pleurer. Je suis une pleurnicheuse, une fuyarde, c'est la seule vérité. Je ne suis pas forte. Je ne tiens pas non plus à ma vie. Elle se trompe complètement sur moi, sur mon compte... Je secoue la tête pour chasser sa voix, ses paroles, comme un autiste pourrait probablement le faire. Je ne l'écoute plus. Je ne veux pas l'entendre parler, même si elle s'excuse, qu'elle ne voulait pas être comme ça avec moi si violente. Je me laisse alors tomber en arrière sur le lit, encore une fois, pour me retrouver ainsi assise sur celui-ci, la tête entre mes deux mains, je ne l'écoute plus je lutte contre ce qu'elle m'a dit, parce que c'est faux. Je ne peux pas être forte ni même accroché à cette vie que j'aurais tant voulu perdre à sa place... Je me prostre sur moi-même, me refermant encore plus.
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