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(priape) + les apparences sont trompeuses

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"Les autres filles je ne sais pas mais moi oui." affirmais-tu les lèvres pincées, toujours prête à marquer tes différences. Priape rigolait doucement face à ta folie, se demandant certainement s'il n'était pas trop tard pour prendre ses jambes à son cou, et tu ne pouvais pas vraiment lui en vouloir. Néanmoins quand le dunster t'expliqua qu'il avait déjà vu de nombreuses poitrines passer sous ses yeux, ta bouche se forçait à afficher un petit sourire de mauvaise grâce. Tu ne pouvais pas savoir s'il disait la vérité ou s'il te mentait, mais dans tous les cas tu te sentais soudainement infiniment insignifiante. Etait ce une sorte de "modèle" de discours qu'il ressortait à toutes les femmes pour les flatter? "Un nombre conséquent...vraiment?" demandais-tu d'une petite voix, peu désireuse de connaitre la réponse. Il fallait dire que toi dans ta vie tu n'avais pas connu tant d'hommes que cela, alors tu avais simplement besoin de te sentir rassurée. "Un jour si tu es sages peut-être que..." tu lui octroyais un petit clin d'oeil rempli de sous entendus, parce que oui tu étais tout de même consciente de tes charmes, n'étant pas naive à ce point. Cependant l'atmosphère dans la maison hantée n'était plus réellement à la rigolade. Vous transpiriez la peur à plein nez, même si aucun de vous deux n'étaient réellement prêt à l'admettre. Tu observais le jeune homme d'un air faussement menaçant, comme si une personne aussi frêle que toi pouvait vraiment le blesser. "Je te tuerais probablement dans ton sommeil, ou je te couperais les bijoux de famille." Tu concluais par un petit rire de psychopathe qui impressionnerait le Joker. "Je rigole hein je sais que tu resteras discret." dis-tu avec sincérité espérant que le jeune homme puisse comprendre à quel point ta confiance pouvait être un cadeau précieux, ce que ça signifiait pour toi.  Vous aviez beau tenter de vous rassurer comme vous pouviez, les faits étaient là, la crainte imbibait les lieux. Tu avais donc profité de l'occasion qui venait de se présenter à toi pour te venger, hurlant un Bouh retentissant au jeune homme alors que la batterie de ton portable venait de tomber à plat.Tu ne sais pas ce qui t'avait pris mais ça faisait un bien fou. Tu étais presque certaine d'avoir surpris Priape, du moins un tout petit peu. Il te traitait de folle, et au final tu prenais ça pour un compliment. Même que le père de famille semblait à son tour vouloir profiter de la noirceur ambiante pour te déstabiliser. Tu sentais son souffle contre ta peau. Ses traits étaient impossible à discerner mais il n'était pas loin. Tu le sentais. Tu fis un  minuscule pas en avant t'approchant, dangereusement, tu allais jusqu'à palper l'air d'une main hésitante rencontrant son torse. Tu franchissais la distance qu'il y avait entre vous, naturellement, comme si elle n'avait jamais existé. Ta main se glissa délicatement sur son épaule, tes doigts effleurant à peine son corps. Ils continuèrent leur chemin dans sa nuque pour remonter à l'arrière de sa tête, se frayant un chemin dans sa chevelure. "Priape..." commençais-tu dans un chuchotement à peine audible. Une supplication. Tu avais envie de lui dire de tout arrêter, mais ta bouche s'y refusait. Tu relaissais tomber ta main le long de ton corps incapable de résister plus longtemps à toute cette tension. Tu commençais à imaginer tous les fantômes invisibles qui devaient se trouver autour de vous à vous regarder en mode freak, parce qu'ils ont pas péchos quelqu'un depuis trop méga longtemps et qu'il vivaient à travers vous. "Peux-tu allumer s'il te plait? ." finis-tu par dire à contrecoeur pour casser un peu l'ambiance. La vérité? Tu ne souhaitais pas que le jeune homme fasse quelque chose qu'il allait regretter plus tard. Après tout il t'en voulait toujours, pensant que tu étais lesbienne.
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Le brin de folie de Brynn me faisait toujours rire. Et je répondis à sa question ensuite, sur mes connaissances en matière de poitrine, comme ça, en toute franchise, le piège se refermant sur moi. Oui parce qu’elle reprit aussitôt mes mots et c’était trop tard pour que je réalise ma boulette, je ramai un peu pour essayer de récupérer la chose : « Pas si conséquent que ça… Et puis dernièrement, non j’en ai pas vu tant beaucoup… » Allez, rame Priape rame… Si elle commençait à m’interroger pour en savoir plus, genre le nombre exact, je risquais d’être mal. Y’avait quand même Zoïa qui s’était amusée à me dévoiler sa poitrine cet été, et puis il y avait surtout eu la nuit que j’avais passé au summer camp avec Talya, et ça… J’avais pas vraiment envie que Brynn en entende parler parce que ça n’allait surement pas jouer en ma faveur, même si à l’époque alors, je pensais que la cabot m’envoyait sur les roses par SMS, pensant lui écrire alors qu’en réalité c’était un faux numéro… Bref j’ajoutai, histoire de clore le débat et espérant couper court aux questions : « Puis j’suis sûr que si ça se trouve, t’en as vu plus que moi… » Genre ceux de Briony déjà… Je n’avais vu qu’un baiser, mais qui me disait que le défi s’était arrêté à ça ? La rancune, encore et toujours. Et pourtant, l’éventualité d’assister à un nouveau striptease de la jolie blonde diminua un peu mon aigreur, un petit sourire se dessinant un instant sur mes lèvres. La crise d’hystérie de Brynn devant la petite souris m’avait beaucoup amusé. Seulement, la demoiselle me menaça si je venais à en parler. « Rappelle moi de ne jamais dormir avec toi Brynn… » me marrai-je alors devant son air de psychopathe. « J’espère bien que tu rigoles… » J’avais pas envie de ne jamais me réveiller, ou pire de me réveiller castré. Puis effectivement, je savais taire certaines infos. « Je garderais bien ton secret t'en fais pas. » la rassurai-je amusé. Un amusement qui ne dura pas bien longtemps, car rapidement, le bruit qui résonna à l’étage et l’ambiance angoissante des lieux eurent raison de ma bonne humeur. Tendu, j’avançai gravissant les escaliers jusqu’au moment où le portable de Brynn s’éteignit et où la jeune femme m’effraya, me faisant sursauter et lâcher mon propre téléphone. Je ne savais pas pourquoi, l’adrénaline du moment surement, mais je fus à nouveau victime de l’attraction magnétique de la blondinette, me rapprochant d’elle. Je sentis sa main se poser d’abord contre mon torse, et mon cœur s’accéléra alors une nouvelle fois, rien à voir avec la peur ce coup-ci. Ses doigts glissèrent dans mes cheveux. C’était quoi la règle que je m’étais mentalement imposé en début de soirée ? Pas de contact physique c’est ça. Bah, on était déjà au moins à la troisième ou quatrième infraction là… Je restais là, aggravant un peu plus les choses en allant ancrer mes mains sur ses hanches, l'attirant un peu plus vers moi et me penchant légèrement, mon front vint se poser contre le sien alors que mon prénom s’échappait de ses lèvres, sans que je puisse mettre le doigts sur la signification de ce chuchotement : était-ce un –Priape, stop arrête. – ou au contraire une forme d’encouragement à continuer dans ce sens ? Et lorsqu’elle me demanda ensuite de rallumer, je me dis que la première solution était surement la bonne. « Je savais que deux verres c’était pas assez. » ironisai-je, en relâchant mon emprise à contre cœur. Oui voilà, elle était pas suffisamment alcoolisée pour me prendre pour Briony surement. « Je ne peux pas rallumer, j’ai fait tomber mon téléphone par terre à cause de toi… Aide-moi… » fis-je en m’écartant un peu et en me penchant ensuite pour tâtonner les marches poussiéreuses et essayer de retrouver l'appareil.
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C'était trop tard.Priape venait de tomber dans le piège que tout homme dans sa vie tente d'absolument éviter. Tout simplement parce que la réponse, quelque quelle soit ne pouvait que faire des dégats. Le dunster venait d'avouer que les poitrines étaient un peu sa passion dans la vie. Bon okay ce n'était pas exactement ses mots, mais c'était ton interprétation. Le plus étrange c'est que ça ne te surprenait même pas, après tout ça ne faisait que renforcer un peu plus l'image de pervers que tu avais de lui. Tu soupirais, les lèvres pincées, te mordillant le creux des joues. "Si tu le dis...." tu n'étais pas vraiment convaincu par ses paroles, mais en même temps tu n'avais pas non plus des raisons pour en douter. Mieux valait abandonner le sujet, du moins pour le moment avant de l'irriter un peu plus. "Bien évidemment que j'en ai vu plus que toi banane, depuis ma plus tendre enfance dans ce qu'on appelle un vestiaire pour fille." rigolais-tu avec légèreté préférant tout de même détourner le regard pour ne pas qu'il puisse voir cette lueur de culpabilité qui brillait au fond de tes prunelles. Déjà qu'il t'en voulait pour avoir embrassé Briony, alors s'il venait à apprendre que vous aviez aussi couchée ensemble, il ne te le pardonnerait pas. Jamais. Tu connaissais suffisamment ton amie pour savoir qu'elle ne vendrait pas la mèche, du moins tu l'espérais. Du coup tu te sentais encore un peu plus mal face à ton manque d'honnêteté. Au moins la maison hantée vous apportait un tout autre genre de sujets de conversation. En bon trouillards que vous étiez, vous n'arriviez pas à faire un pas sans que l'autre soit à coté. "Mais ne t'inquiète pas j'ai toujours prévu de te faire dormir sur l'canapé d'façon." Tu lui tirais la langue point vexée par sa remarque. De toute façon les chances que vous partagiez un jour un lit semblaient diminuer de minutes en minutes. Oui oui malgré ce baiser passionné, ou encore cette petite étreinte. Il n'y avait rien de mieux que de sentir ses mains sur tes hanches; son front contre le tien. Tu te sentais enfin proche de lui, dans tous les sens du terme, et ce depuis le début de la soirée. Sa peau était douce et brulante. Si cela n'avait tenu qu'à toi, tu te serais abstenue de dire quoi que ce soit, tu te serais contentée de l'embrasser. Sa bouche. Sa respiration régulière, son souffle chaud, les palpitations de son cœur, ses yeux... Surtout ses yeux. Ils te faisaient chavirer. Ils te troublaient, t'envoutaient, t'émerveillaient. Au final c'était une bonne chose que vous soyez tous les deux plongés dans cette noirceur. Tu pouvais garder la tête froide, la voix de la raison soufflant les mots justes au creux de ton oreille. "Pour tout te dire deux verres s'est largement suffisant. " commençais-tu à dire un petit sourire aux lèvres même s'il ne pouvait l'entrevoir. "Mais j'suis en grève. Tant que tu me boudes et que tu me pardonnes pas pour Briony, tu pourras simplement te contenter de mater interdiction de toucher." tu te mis soudainement à rire, prenant un petit air malicieux. Tu espérais secrètement que ce petit chantage affectif boosterait le jeune homme dans sa décision. La triste vérité étant que tu ne souhaitais pas te faire des faux espoirs, pour finir par t'attacher à lui et au final te faire jeter comme une chaussette. C'était aussi une bonne manière pour le préserver. Comme quoi au final tu n'étais pas si égoiste que ça. "Ma faute? Mwai fin tu as sursauté tout seul hein." Tu ne le disais pas sur le ton d'un reproche mais beaucoup plus sur celui de l'humour, te baissant au niveau du sol tâtant d'une main tremblante le reste des environs.


parce qu'il y a pas que marion qui peut faire grève (priape) + les apparences sont trompeuses - Page 3 166564858
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J’avais tâché de m’en dépatouiller mais trop tard, le piège s’était refermé sur moi, ou comment un peu plus accentuer l’image de pervers que Brynn me collait déjà à la peau, et vu son petit soupire et son scepticisme, j’allais ramer pour rattraper ça. Pourtant, ne me rattrapant pas, j’envoyais plutôt une pique, référence à son embrassade avec Briony, risquant de faire tourner une nouvelle fois notre discussion au vinaigre mais non, la blondinette ne se départit pas de son humour, acquiesçant en riant et en citant les vestiaires pour fille comme justification de sa grande connaissance en la matière. Et malgré ma rancune, un petit sourire amusé étira mes lèvres devant sa répartie. J’avais toujours leur baiser en travers de la gorge, mais cette soirée, je ne voulais pas non plus la gâcher. D’autant plus qu’on avait une maison à explorer et des pseudo fantômes à chasser. Après ses menaces, Brynn m’affirma que de toute façon, si tant est qu’un jour on dormait ensemble, je serais condamné au canapé. « C’est pas comme ça que tu vas me donner envie de faire une soirée pyjama avec toi… » répliquai-je avec un petit rire. « Non mais le canapé c’est surement mieux oui… » repris-je avec un petit hochement de tête. Mieux que son lit ? Mieux que ses bras ? Mieux que sa peau contre la mienne ? Oui surement, car un tel rapprochement impliquerait encore plus d’attachement. Et attaché, ça je l’étais déjà bien trop. Ma réaction devant son smack avec sa pote pour preuve. Se lancer dans quelque chose avec la cabot, c’était foncer droit de le mur… Nos mondes étaient trop différents, ma vie était un peu trop compliquée… Oui voilà ce dont j’essayais de me convaincre, sauf que malgré cela, je me retrouvais devant elle à nouveau alors qu’on était plongé dans le noir, attiré comme un aimant, résistant de toutes mes forces contre l’attraction que sa bouche effectuait sur la mienne. Elle n’avait pas encore assez bu, lâchai-je finalement devant sa sagesse et son sérieux du moment, alors qu’elle me demandait de rallumer. Sauf qu’elle m’expliqua que ces deux malheureux verres auraient pu suffire, qu’elle décrétait seulement être en grève à cause de ma mauvaise humeur et de ma rancune. « C’est du chantage ça ou je rêve ? » demandai-je sur un ton mi exaspéré, mi amusé quand même par le culot de la demoiselle. Soit qu’elle fasse grêve alors… Mes mains se détachèrent à contre cœur de ses hanches pour partir tatonner le sol à la recherche de l’objet perdu, par sa faute. « J’ai pas sursauté, j’ai été surpris c’est tout… » protestai-je avec mauvaise foie. Non non, j’allais pas reconnaître qu’elle était parvenue à m’effrayer. Je tombais finalement sur un morceau de mon portable. « Manque la batterie, je ne peux pas rallumer… » ronchonnai-je en continuant ma fouille dans le noir le plus complet, priant pour que mon tél ne soit pas complètement HS. Je n’avais pas un rond en ce moment, ce n’était pas vraiment la période pour faire des frais.  Mais pas le temps de grogner davantage, de réclamer à Brynn un nouveau smartphone si le mien venait à être complètement cassé à cause d’elle, car de nouveaux grincements retentirent à l’étage. « Qu’est-ce que c’est que ce truc ? » Exit l’ambiance un peu sulfureuse d’il y avait quelques minutes, là ma voix s’était clairement teintée d’une lueur d’appréhension. Impossible que ce raffut soit du à la présence de simples rongeurs… Mais ma fierté et mon égo de male étaient en jeu, ne laissant rien transparaitre de mes craintes, je me redressai, ayant finalement retrouvé la batterie que je remis en place, j’allumai mon téléphone qui éclaira faiblement les quelques marches qui nous restaient et je lançai : « On va voir alors ? T’es sûre ? »
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"Si ça peut te consoler très peu d'hommes ont vraiment passés une nuit dans mon lit." dis-tu gentiment en penchant quelque peu la tête sur le coté. Allez savoir pourquoi tu ressentais le besoin de le rassurer, le jeune homme semblait manquer de confiance en lui. Même si bien au contraire tu aurais du en rajouter une couche pour l'enfoncer un peu plus lui et son histoire de poitrines, ouai au pluriel. Il pouvait tenter de changer de sujet tant qu'il le voulait, tu n'allais pas oublier ce petit détail de si tôt. Au moins comme cela la conversation était close. Et puisque entre vous c'était encore et toujours la même chose, le marchandage et le défi, votre petite excursion dans la maison hantée ne fit pas défaut à la règle. Pas un pour rattraper l'autre. "Oui ça en est." affirmais-tu d'un grand sourire innocent, papillonnant les yeux dans une veine tentative de séduction. Tu assumais pleinement tes mots, préférant tout de suite mettre les points sur les i, les barres sur les t, et la cédille sur les c enfin vous voyez. Tu appréciais être en sa compagnie, beaucoup plus que tu ne le souhaitais d'ailleurs. Néanmoins, tu avais beaucoup de mal à suivre le Priape ronchon et boudeur, préférant celui joueur au petit sourire au coin des lèvres que tu avais rencontré près du lac."Tu peux raconter ce que tu veux j'sais très bien ce que j'ai vu." répliquais-tu en ricanant pour bien lui faire comprendre que tu ne croyais aucunes de ses paroles. Tu étais vieille mais tu voyais encore très bien voir.Tu tâtais le sol autour de toi, ne sentant rien d'autre que le plancher très sale et poussiéreux qui craquait au moindre mouvement. Tu te cognais même la tête dans une marche d'escalier, rouspétant un petit "aie" rancunier . Heureusement pour toi le dunster semblait beaucoup plus chanceux de son coté. Au bout d'interminables minutes la lumière fut. Amen.Tu clignais plusieurs fois des yeux pour t'habituer à cette nouvelle luminosité, avant de te relever avec toute la dignité dont tu possédais. "Pourquoi tu aurais peur Zacharias?" tu affichais un petit rictus amusé avant d'ajouter. "Si tu as peur de faire pipi dans ta culotte tu aurais du apporter des strings propres." Oui ça ne devait pas être un homme à caleçon tu le sentais, même si okay tu aurais préféré voir. Tu lançais un petit regard au Dunster regrettant de ne plus pouvoir lui prendre la main; bravo à toi et à tes idées débiles. Tu soupirais te disant que finalement la perspective d'aller affronter des fantômes ne te plaisait pas tant que ça. La peur au ventre surement. "Sinon on peut toujours sortir et rester devant la maison ça fera toujours genre on y est allé toussa toussa." concédais-tu dans un haussement d'épaule. Pas que tu avais envie que tout cambridge voit que tu étais en sa compagnie quoi, mais bon le contraire ne te déplaisait pas tant que ça.
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Je souris là non ? C’était plus fort que moi… J’aurais du jouer les grands insensibles, faire genre que sa vie sentimentale ne m’intéressait pas, que je ne voyais pas chacune de ses potentielles fréquentations, homme ou femme, comme des rivaux, mais c’était pas dans mes cordes. J’avais jamais été bon acteur. Et mon sourire là, ça trahissait trop qu’effectivement, ça me rassurait. Je tâchais de sauver les apparences en plaisantant encore : « Bah en même temps si tu les menaces tous de les tuer dans leur sommeil, c’est normal que personne se risque dans tes draps ma chère… » Et un petit rire s’échappa de mes lèvres. Vite remplacé par une expression vexée lorsque Brynn sous entendit que j’étais un trouillard. « T’as rien vu, il fait noir je te rappelle… » La vérité c’était que j’avais bel et bien sursauté, et que c’est d’ailleurs ce mouvement de peur qui avait entrainé la chute de mon portable au sol… Mais je ne le reconnaitrais pas. J’avais une réputation à tenir. Notre fouille méticuleuse du parquet finit par porter ses fruits, enfin de mon côté, parce que Brynn, là, pour le coup, avec sa barbe de Merlin de 3 kilomètres, elle semblait pas très habile. J’entendis un petit boum qui m’indiqua qu’elle s’était cognée, aussitôt suivi d’un –aïe- rageur. « Ca va tu t’es pas fait mal ? » J’avais fini par retrouver les pièces du puzzle, de mon téléphone, et on retrouva donc une source de lumière. Je me serais bien approché de la blonde pour vérifier qu’elle avait rien par moi même, mais je me souvins qu’elle avait décrété faire grêve, que désormais il fallait que je me contente de regarder de loin alors je me stoppai dans mon mouvement pour la rejoindre. Et puis y’avait ce bruit qui venait de reprendre. Mon visage se tendit. « J’ai pas peur, j’suis intrigué… C’est bizarre non ? Depuis quand les fantômes font la teuf comme ça ? » J’essayais de plaisanter, histoire de. Mais la Cabot ne manquait pas une occas’ de se moquer. « C’est toi qui vas faire dans ta toge de vieillard. » rétorquai-je en commençant à gravir les marches qui restaient, piqué au vif qu’elle ait pu douter de ma virilité. Mais je me retournai puisqu’elle ne me suivait pas et je l’entendis alors proposer une alternative bien moins courageuse. « C’est qui qui aurait du apporter des strings propres là ? » ricanai-je. Depuis le début, depuis l’écosse, le lac, notre baignade, ça avait toujours été une question de défi, de challenge. Savoir qui de nous deux flancheraient devant les fantômes imaginaires, parce qu’ils étaient forcément imaginaires, c’était ce que mon esprit cartésiens de dunster ne cessait de se répéter pour se rassurer, c’était le nouveau défi à relever du jour. Je grimpai donc les marches restantes, en m’approchant de la porte derrière laquelle les grincements avaient repris. J’hésitais un peu, parce que de plus près, les sons paraissaient encore plus forts, et il me semblait même percevoir des bruits qui ressemblaient à des souffles rauques. Mais pas question de se dégonfler, je fanfaronnais encore un peu, attrapant la hache en plastique accrochée à ma ceinture, prêt à entrer en mode Ghostbusters. Je poussai la porte, mon portable pour éclairer l’endroit dans une main, mon arme de fortune dans l’autre, et fis un pas dans la pièce avant de me figer tout net. Des cris gênés retentir aussitôt. C’était une chambre, les grincements étaient ceux d’un vieux lit tout défoncé, les souffles ceux d'un couple d’étudiants déchirés qui avaient trouvé refuge ici pour assouvir leurs pulsions de la nuit, et forcément, ils s’étaient mis à crier en nous voyant débarquer ainsi. Je refis rapidement un pas en arrière en bafouillant quelques excuses. « On n’a rien vu, on n’a rien vu… On s'en va, désolés... Désolés !» Et je refermais la porte prestement. Je tournai la tête vers la blondinette avec un air gêné avant de me mettre pouffer nerveusement : « T’avais raison, on aurait mieux fait de s’en aller en fait… »
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Tu rigolais avec légèreté ne prenant pas mal la remarque de Priape. Après tout il n'avait pas tort si tu continuais à maltraiter les hommes qui t'approchaient tu n'allais jamais vraiment allé loin. Il suffisait de regarder comment les choses s'étaient déroulées avec Charlie pour comprendre que ce n'était pas forcément la meilleure des approches. Car oui il t'avait largué, bien que vous n'ayez jamais vraiment été ensemble, car il te trouvait froide sans coeur, incapable d'aimer et de lui donner ce qu'il souhaitait le plus au monde des contacts avec toi. Tu te mordillais l'intérieur de la joue, tentant de ne pas montrer à quel point ses paroles cachaient une part de vérité. "Peut-être que j'ai une vision comme les chats." répliquais-tu du tac au tac parce que tu étais pathologiquement dans le besoin de le contredire pour tout. C'était plus fort que toi, une seconde nature. Après l'épreuve des araignées, vous aviez maintenant le droit à celle de où est Charlie version portable et obscurité. Heureusement que tu avais la tête dure, comme tu l'avais déjà si bien montré par le passé en mettant des coups de boule, parce que là tu venais de violemment te la taper dans un mur. "Ouai en viiiie." t'exclamais-tu pour que Priape ne s'inquiète pas alors que la douleur restait, lancinante dans ton cerveau. Dans quelques secondes à peine elle disparaitrait. Bref c'est à ce moment là que les BNI bruits non identifiés firent écho entre les murs de la maison. Tu lançais un regard inquiet au Dunster, une partie de toi ne pouvant s'empêcher de paniquer alors que l'autre au contraire menée par une curiosité malsaine voulait voir ce qui en était vraiment. "Ma toge de vieillard t'emmerde." dis-tu très poliment en lui octroyant un petite moue de merlan frit comme pour lui dire que tu l'attendais au tournant. Nan parce que le plus paniqué des deux étaient bien lui, pas toi. Il suffisait de voir son excuse bidon de fantômes et de teuf à croire qu'il c'était cru dans un remake du clip 'thriller.' Et puisque tu avais de la peine pour lui, ou plutôt de la compassion tu lui proposais une autre alternative. Ouai tu étais sympa comme fille, n'enfonçant pas plus les gens. "J'porte pas de string sache le. Ni rien d'ailleurs." Bon tout était faux, parce que ouai tu portais des strings et des propres, mais puisque tu avais décrété que tu étais en grève autant le faire saliver. Pour la bonne cause. En tout cas ton petit manège fonctionna, puisque le bucheron prit tes remarques pour un affront se jetant directement dans la gueule du loup. Animé par une nouvelle ténacité tu le suivais silencieusement à travers la maison vide -du moins tu le pensais-, marchant d'un pas feutré sur le parquet grinçant. Tu l'admirais presque, voir autant de bravoure ne te laissait pas complètement indifférente n'ajoutant qu'un plus à son charme. Néanmoins ton humeur se dissipa rapidement, bien trop rapidement. Priape venait enfin d'atteindre sa cible ouvrant brusquement la porte. Et là vision d'horreur, tu ne vas pas la décrire parce que c'est genre interdit au moins de douze ans quoi. Tu bafouillais deux trois mots tout aussi incompréhensibles les uns que les autres, gênée comme l'était Priape. Tu restais figée pendant quelques secondes incapable de détacher les yeux de la scène, heureusement que le père de famille eut le réflexe de fermer la porte. Tu en avais la bouche grande ouverte encore sous le choc. Tu as bien vu ce que j'ai vu? demandais-tu d'une voix blanche et lointaine comme pour te dire que tu n'étais pas folle. Puis soudainement tu te mis à rigoler ne sachant pas trop si c'était le couple ou vous qui aviez été le plus surpris. "Comme quoi j'ai toujours raison." dis-tu en reprenant une figure normale. Peut-être mieux valait pas rester trop longtemps devant cette porte. "Au moins on sait que ce n'était pas un fantôme, déjà parce que ça n'existe pas, mais voilà." Oui toujours voir le bon coté des choses.
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Brynn avait désespérément besoin d’avoir le dernier mot. Sauf que moi aussi. Et la charriant je lui lançai donc : « Alors aide moi à retrouver mon téléphone cat woman. » Si elle possédait une vision nocturne comme les félins elle devrait être en mesure de retrouver l’appareil en moins de deux. Fallait croire que pour le coup, ses yeux avaient perdu leur super capacité. Non seulement elle ne retrouva pas le fameux portable, mais en plus elle se cogna. Rien de bien méchant puisqu’elle se dépêcha de me rassurer et que du coup, un petit rire moqueur s’échappa de mes lèvres. « Vision de chat, vision de chat… » Je pouvais m’empêcher de taquiner, c’était trop tentant. Mais pas bien longtemps car très vite les bruits reprirent, toujours plus forts, accentuant ma curiosité et mon appréhension. J’étais habité d’une sensation étrange mêlant l’envie d’aller voir et de décamper. Mais comme la seconde option allait me valoir de me faire charrier ad vitam aeternam par la blondinette qui m’accompagnait, j’optai courageusement pour la première, tout en répondant aux piques de Brynn par les mêmes armes. Sauf que à sa révélation sur son absence de sous vêtements, là, je fus un peu désarmé et scotché, ne trouvant rien à répondre. « Ok… Je vois… Intéressant… » La lueur de mon téléphone éclaira un instant la demoiselle, comme dans l’espoir d’apercevoir ce qu’il se cachait sous sa tenue, vainement bien sûr vu le faible éclairage dont été capable le portable. Je portais soudain un tout autre regard, bien plus intéressé, sur sa –toge de vieillard-, regrettant amèrement cette grève débile, imposée par mes bouderies débiles, bref tout ce qui allait m’empêcher d’aller vérifier ses dires. Je me repris, saisissant ma hache je poussai la porte prêt à affronter les fantômes, ou genre les chauves souris, rats, insectes géants qui se cachaient derrière, sauf que ce je découvris était d’un tout autre genre. Réaction immédiate : cris, excuses gênées, et demi tour direct. La porte se referma et entre mal aise et rire nerveux, Brynn me demanda confirmation sur ce qu’on venait d’interrompre là dedans. « Un remake porno de Casper ouais… » Fallait croire que cette maison méritait plus l’appellation close que hantée. « J’essayerai de m’en rappeler une prochaine fois… » me marrai-je alors qu’avec son petit air assuré elle me rétorquait qu’elle avait TOUJOURS raison. Je commençai d’ailleurs à descendre les marches pour me diriger ensuite vers la porte de la demeure et sortir de là, évitant au passage les toiles d’araignée. « J’avais imaginé plein de scénarios, pas de fantôme hein, parce que ouais ça existe pas… » Genre j’essayais de faire croire que j’y avais même pas pensé. « Mais je pensais vraiment pas à ça… Faut avoir l’esprit tordu pour faire ça ici non ? » Dit celui qui s’était jeté avec un appétit dévorant sur ses lèvres après avoir fait à peine quelques pas dans cette ambiance lugubre. Et une fois dehors, d’ailleurs, je me risquais à une question personnelle : « C’est quoi l’endroit le plus fou où tu fantasmerais de le faire ? » Pas que j’ambitionnais de réaliser ses fantasmes. Non non, j’étais tétouin, buté et rancunier, j’étais encore en mode bouderie, donc elle devait être toujours en mode grève… Mais autant poursuivre la soirée sur ses révélations drôles…
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Si quelques minutes avant tu t'étais pavanée devant le dunster, prétextant avoir une vision aussi acérée qu'un lynx tu commençais maintenant à le regretter. Après la scène que vous veniez de voir, tes yeux étaient devenus aveugles. Pas parce que tu avais vu deux personnes en tenues d'adam et eve en train de procréer, mais parce qu'il le faisait maintenant, ici dans cette maison des plus glauques. Le point le plus désagréable étant que tu avais été témoin de tout cela en compagnie de Priape. La situation ne pouvait devenir plus gênante, surtout juste après que tu avais décrété faire grève. "Mon dieu je crois qu'halloween n'aura plus jamais le même effet sur moi." dis-tu ne sachant pas si tu devais en rire ou en pleurer, car maintenant au lieu de voir des monstres partout autour de toi, tu en verrais certainement en train de copuler. Berk berk berk. Tu te mis à penser à des petits poneys courant partout autour de toi dans une belle prairie ensoleillée car oui, ton esprit avait de forte tendance à divaguer imaginant des choses peu catholiques, le pire étant avec Priape. Tu secouais nerveusement la tête tentant d’effacer à tout jamais cette image de ta tête, de tes envies espérant que le jeune homme n'avait rien remarqué. Tu suivais le dunster avec soulagement vers l'extérieur, bien trop contente de quitter les lieux, ce nid d'araignées.  Au moins tu avais bien réussi à insister sur le fait que tu avais toujours raison, histoire que ce principe rentre bien dans son cerveau. Un sourire malicieux éclairant ton visage. "Mais ouai bien évidemment....et je suppose que tu avais tout deviné hein...avec ton super cerveau." pouffais-tu de rire, te moquant ouvertement de lui, tout en appréciant la pureté de l'air dans tes poumons. Tu te sentais à nouveau libre, loin de ses sentiments oppressants. "Si ça se trouve ils ont trop bus...j'espère vraiment pour eux que ça soit le cas parce que sinon ils ont vraiment un problème...peut-être que c'est leur truc après tout y'a bien des fétichistes des pieds, ou des nudistes ou des trucs du genre." soulignais-tu avec une certaine maturité, pour une fois. Tu ne jugeais pas leur délire, trouvant cela juste pas commun, sortant des habitudes. Puis en ce qui concernait sa dernière question tu lui jetais un regard oblique te demandant s'il était vraiment sérieux. Disons que c'était pas forcément le genre de choses que tu demandes à une fille, peut-être tout simplement parce que le contexte ne s'y est jamais prêté...mais en vue des circonstances tu pouvais comprendre pourquoi il tentait cette questions périlleuses. Tu conservais le silence pendant plusieurs secondes avant de lâcher un "Je ne sais pas je suis vierge." avec ton plus beau sourire innocent. Bon okay tu n'étais pas vierge, mais c'était plus fort que toi tu n'avais pas pu t'en empêcher incapable de lui donner une réponse sérieuse, ce qui devait certainement se trahir sur ton visage.
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Je rigolai un instant en voyant le petit air choqué de Brynn, même si, pour être honnête, en entrant dans la pièce quelques minutes avant, je n’en avais pas mené large non plus. Jouer les mateurs c’était pas mon délire, surtout dans cette période de disette sexuelle pour ma pauvre petite personne, puisque jusque là, les seuls contacts physiques que j’avais eu, avaient été avec la jeune femme et que désormais c’était de l’histoire ancienne, vu la grève à laquelle elle venait de promettre de s’adonner. « Faut croire que tout le monde ne fait pas grève… T’auras pas lancé la mode Brynn… » Si maintenant qu’on se trouvait dehors, j’en riais un peu nerveusement, j’étais quand même conscient de la bizarrerie de ces deux étudiants enflammés. La maison sombre et glauque n’était franchement pas le lieu qui se prêtait le plus à la chose. Bonjour les insectes, les odeurs de moisis et d’humidité, la poussière et les toiles d’araignée. On repassera pour l’ambiance romantique… « Non non, je n’avais pas deviné, je n’aurais pas ouvert franco la porte comme ça sinon. J’aurais épargné cette vision à tes petits yeux innocents. » me moquai-je avant de quand même, confirmer la supériorité de mon super cerveau : « Mais je devine qu’il y en a qui doivent s’adonner à la même chose dans la forêt, alors je te propose pas d’aller explorer les bois… » Bah quoi, si il y avait bien des tarés pour s'envoyer en l'air dans une baraque en ruine, j’étais sûr qu’il y avait des gens tout aussi dérangés pour le faire au milieu des arbres. Le commentaire de Brynn sur la question aurait du m’indiquer que la jeune femme n’était pas de celle qui nourrissait ce genre de fantasme farfelu. Elle leur trouva l’excuse de l’alcool, ajouta que c’était peut être des fétichistes aux goûts bizarres. « Et bien écoute, au moins ils ont de la chance, ils ont quelqu’un avec qui le faire… » J’avais l’air frustré en concluant ça ? Ouais peut être un peu, cette histoire de grève, il allait pas falloir que ça dure trop longtemps. Bref, je me disais que c’était l’occasion d’en apprendre plus sur les goûts de la cabot en la matière. C’était mal connaître Brynn qui resta d’abord muette. J'avais été trop loin peut être... « Je demande ça pour rigoler, t’es pas obligée de rép… » tentai-je de la rassurer avant qu’elle ne me coupe en me lâchant avec un petit air innocent qu’elle était toujours vierge. « T’es très crédible… » rétorquai-je dans un premier temps avec un petit rire sarcastique, histoire de montrer que j’étais pas dupe. Enfin, j’eus quand même un petit doute, je demandai, beaucoup moins sûr de moi la seconde d'après : « T’es sérieuse ? » Il ne faudrait pas que je la vexe en me lançant dans des vannes si jamais c’était vrai.
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