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(priape) + les apparences sont trompeuses

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Tu avais bien du mal à dérider le jeune homme qui semblait vouloir bouder jusqu'à la fin de la soirée. Tu avais l'impression de parler à un gosse, un gosse effroyablement têtu. Un trait que tu avais toujours bien apprécié chez la gente masculine. Mais tout ce que tu retenais de ses paroles c'est qu'il avait envie de potentiellement te revoir, ça malgré ce qui c'était passé. "Je n'y peux rien faut savoir se faire désirer dans la vie." expliquais-tu d'un petite haussement d'épaule. Tu étais une princesse c'était un peu ce que tu étais censé faire dans la vie. "Dixit le mec qui en est à son quinzième verre." dis-tu dans un petit ricanement entre deux goulées.  Néanmoins il n'avait pas complètement tort. Tu n'étais pas du genre épaisse, et l'alcool avait toujours fait pas mal de ravage sur ta petite personne. Après tout c'était pour cette unique raison que tu avais commencé à embrasser Briony pour finir par coucher avec elle. Il faut dire que généralement quand tu buvais tu étais touuujours accompagné d'Orlane qui prenait bien soin de veiller sur toi, mais ce soir il allait falloir que tu te montres plus mature pour t'occuper de toi même bah toute seule. Puis tu n'étais pas certaine que voir une fille lui vomir dessus allait vraiment exciter le jeune homme, quoi que chacun son délire hein. "Bah j'croyais que ton domaine c'était un peu tous les mots présent dans le dictionnaire." répliquais-tu du tac au tac point du monde attendrit par ses petites plaintes. Vu toutes les fois où il avait eu recourt aux stéréotypes des roses, tu ne te gênais pas pour en abuser un tout petit peu aussi. Chacun son tour quoi. Puisque tu étais tout de même super sympa comme fille tu venais de lui donner un indice lui offrant la réponse sur un plateau. Si avec ça il ne trouvait pas tu ne pouvais malheureusement plus faire grand chose pour lui. Il lui fallu quelques minutes d'intenses réflexion pour te fournir la bonne réponse. Ton visage s'illumina commençant à chantonner la fameuse chanson de Dora l'Exploratrice. Quitte à te donner en spectacle autant le faire à font. "C'est gagné c'est gaaagné youuu diiid it yeeeah." Peut-être que ta voix criarde allait l'envoûter comme les sirènes le font avec les marins dérivant près des rochers? Mwai. "Techniquement je ne me noyais pas, mais tu as raison j'te l'ai déjà donné." concédas-tu gentiment papillonnant les yeux dans sa direction dans l'attente insupportable qu'il choisisse son trophée.  Trophée qui te laissait plus que perplexe. "Une cravate?" demandais-tu avec surprise. Quel genre de cravate?  Puis pourquoi il te demandait ça alors qu'il pouvait avoir disons tout le reste? Tu fronçais les sourcils confuse par le choix de ses mots. Allez savoir pourquoi tu avais été persuadé que son choix aurait eu un rapport avec toi, ce qui te laissait un goût déçu dans la bouche. Au moins ça n'allait pas être très difficile à trouver. C'était même limite trop simple."Attachiante? J'aime bien ce mot." tu lui octroyais un petit clin d'oeil point du tout vexé par ses paroles. On t'avait toujours dit que tu étais chiante comme fille, et jusqu'à présent tu l'avais toujours pris pour un compliment. Parce que oui il y avait plusieurs façon d'être chiantes, et la tienne était dans le genre mignone et adorable qui vous donne des papillons dans le ventre. Ouai rien que ça. "Tu es certain que tu l'as pas inventé cette fille j'veux dire?" ricanais-tu avec une pointe d'espoir dans la voix. Peut-être qu'il avait déjà tellement bu qu'il s'inventait une vie dans sa tête?  Savoir que c'était faux ne pouvait que te remonter le moral, alors que la vérité au contraire te blessait. Puis tu espérais qu'il t'avait dit ça pour te rendre simplement jalouse mais que ce n'était pas réellement le cas. "Oui et mes craintes ne font que se confirmer de jours en jours." Tu lui lançais un petit regard l'air de lui dire mais qu'est ce que j'allais bien pouvoir faire de toi. Bref, tels des warriors, des indianas jones de l'épouvante vous vous dirigiez vers la fameuse maison hantée. Qui semblait vraiment l'être ce qui ne te rassurait pas le moins du monde. Surtout que Priape t'avait trèèèès gentiment laissé passer en première, au cas où le vilain monstre habitant dans la demeure  décide d'attaquer, histoire que tu meurs la première et qu'il puisse sauver sa peau. Malgré le vent froid qui te traversait la peau tu ne lâchais rien persistant à ouvrir la porte. Le secret était de rationaliser tout ce qui allait se produire. Tu ne pus néanmoins te retenir de grimacer en comprenant que tu venais de mettre ta tête dans une gigantesque toile d'araignée, à croire que c'était le fantôme de spider man qui vivait ici. Tu en avais beaucoup trop, de partout, et tu n'avais qu'une envie c'était de crier et de t'enfouir en courant. Mais ta fierté était beaucoup trop grande et tu t'y refusais. "Saleté de ...." tu ne pus finir ta phrase, car Priape à ta plus grande surprise proposa de t'aider. Ce qui en soit brisait sa règle numéro un: pas de contact physique entre vous deux. Tu devais surement être hideuse à regarder, il avait dû prendre pitié de toi. Ton coeur se serra. Il ne fallait pas que tu te fasses de films, ou que tu interprètes mal ses gestes. Il t'enlevait juste des toiles, point. "Il y en a encore?". demandais-tu d'une petite voix paniquée attrapant un bout de sa chemise, comme pour te rassurer, n'ayant pas remarqué qu'il avait fini de tout enlever.Tu levais ton regard dans sa direction, plantant tes yeux dans les siens.
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J’avais envie de répondre qu’elle avait pas besoin de ça, que c’était bon pour le côté -se faire désirer- elle était déjà en tête de liste, que j’avais bien assez de mal à la chasser de mes pensées comme ça sans qu’elle en rajoute, mais voilà, ça serait un aveu de faiblesse. Je me contentais donc de lui lancer un regard ronchon en me disant que la prochaine fois, je m’appliquerais à arriver après elle… Je lui conseillais ensuite d’y aller molo, mais elle me renvoya à la figure un nombre hypothétique de verres que j’aurais soit disant déjà bu, et je corrigeai, par pur esprit de contradiction : « Quatorze. » En vérité j’en savais rien, j’avais arrêté de compter. Mais dans tous les cas, je savais une chose : c’était dur de se concentrer sur son énigme. Je réfléchis, l’indice m’aidant quand même beaucoup, fallait avouer. « J’apprends l’encyclopédie tous les soirs mais je suis rendu qu’au début de l’alphabet tu vois… » Enrichissons un peu les clichés sur les dunsters. Après tout, c’était à coup de stéréotypes sur sa propre maison que j’avais réussi à la faire venir dans un lac boueux en tout premier lieu. Je finis par proposer une solution et là, chansonnette de Brynn. Je me marrai en la voyant faire, oubliant l’espace d’un instant que j’étais censé être chonchon. C’était pas facile de rester fâché contre elle oui. Mais je repris mon sérieux, pour réclamer une récompense pourrie, histoire de lui signifier qu’elle avait rien pour moi qui puisse m'intéresser. « Oui, une cravate, tu sais ce morceau de tissu que nous les mecs on s’accroche autour du cou. » me moquai-je alors. J’avais réussi à déstabiliser l’attachiante ? Tant mieux ha ha. Surtout que la voilà qui recommençait à me rembarrer de son côté, m’accusant désormais d’avoir inventé la fille et le baiser. « Tu me traites de menteur ? » Puis je finis par hausser les épaules, qu’elle pense ce qu’elle veut, j’avais réussi à semer le doute, à lui faire penser un instant que si elle allait s’amuser avec d’autres, ça pouvait également être mon cas. Mon but était atteint en soit. « Pense ce que tu veux. » Et une fois dehors, on trouva vite ce qui semblait être une maison hantée. Honneur à Brynn qui entra en hésitant dans la bâtisse. Je pensais qu’elle allait sursauter au premier grincement du parquet mais, plus téméraire que jamais, elle résista, brandissant son téléphone pour s’avancer dans la pénombre des lieux. Elle fonça quand même la tête dans une toile d’araignée et dans un élan de je ne sais quoi, je me surpris à venir l’aider, oubliant bien sur que je devais jouer les distants inaccessibles ce soir.  Et lorsque je restais scotché, mes doigts jouant un instant avec ses cheveux, ses yeux se plantant dans les miens, je sentis que je m’étais mis tout seul en difficulté, que l’attraction Brynn recommençait à agir sur moi, malgré son déguisement. La demoiselle n’avait pas besoin d’être habillée en laitière sexy pour me plaire… Elle s’était agrippée à ma chemise et me demandait si il en restait encore. « Bah, y’a des trucs qui sont durs à faire partir tu sais… » Et mes mots ne s’appliquaient pas qu’à la toile dans ses cheveux, mais bien à l’effet qu’elle avait sur moi. Et alors même que je m’étais promis de bouder toute la soirée, mon regard descendit de ses yeux vers ses lèvres. Et je finis par ne plus maitriser quoi que ce soit, mon visage s’approchant du sien, ma bouche s’emparant de la sienne pour lui voler un nouveau baiser…
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Des otaries. Vous étiez vraiment des otaries. Quand Priape t'expliquait qu'il était à quatorze verres juste pour te contredire tu roulais pour la énième fois les yeux au ciel. Sérieux vous n'étiez pas possible, il n'y en avait pas un pour rattraper l'autre. "Ouai je vois..." dis-tu alors qu'en fait tu ne voyais pas du tout, mais tu étais trop bien élevé pour le lui dire. Puis tu avais bien trop peur de lancer sur un discours interminable, dû aux nombres de verres qu'il avait bu, selon lui quatorze. "Nan mais merci j'vois très bien ce qu'est une cravate j'suis pas débile." rouspétais-tu avec une moue de merlan frit outrée qu'il puisse penser que tu ne savais pas ce que c'était bien qu'il disait ça sur le ton d'humour. "En gros si je t'en achète une bug bunny c'est okay?" soulignais-tu les yeux pétillants, parce que quitte à lui en acheter une autant prendre la plus moche que tu trouverais. Tu comptais bien évidemment faire les choses bien et engager un détective privé pour apprendre quelle était sa couleur préférée et le genre de cravates qu'il aimait porter. (aa) La conversation dériva bien trop vite à ton goût sur le fait qu'apparemment tu mettais son honnêteté en question. Ce qui n'était pas du tout le cas. "Non. Je sais que tu es un homme franc qui a des principes." dis-tu très sérieusement , n'ayant pas besoin de réfléchir plus d'une demi seconde à la question. Disons que tu aurais simplement voulu entendre une autre réponse de sa part. "Du coup j'suppose que tu as plus l'droit de me bouder sur ce qui c'est passé avec Briony? J'veux dire on est quitte?" demandais-tu en arquant un sourcil.  Dire que toi tu t'en étais voulu à mort pendant des jours, alors qu'il menait son petit train de vie bien à lui de son coté. Tant de temps gâché pour rien. Il t'en voulait. Tu lui en voulais. Vous vous en vouliez. La boucle était bouclée. Heureusement pour toi la maison hantée se révélait être une très bonne distraction oubliant tous tes soucis. Tu étais tellement à l'affût du moindre bruit que ton cerveau était incapable de psychoter sur l'identité de cette mystérieuse fille.  Même si tu tremblais de tout ton être à l'idée de passer plus de temps qu'il en fallait ici, sentir Priape à tes cotés te rassurait, plus que tu ne l'avais espéré d'ailleurs. La faible luminosité de vos portables éclairaient à peine la pièce ce qui la rendait encore plus glauque. Et tu n'aurais pas étonné si en levant un peu plus la tête, tu apercevais des chauves souris. Disons que tu ne préfèrais pas tenter ta chance. Puis tu étais bien trop inquiète qu'une potentielle araignée commence un nie dans tes cheveux. L'endroit idéal. C'était sans compté Super Priape venant à ta rescousse. Ton début d'hystérie disparue aussitôt. Sentir ses mains dans tes cheveux t’apaisaient. Maintenant tu savais qu'il n'y avait plus aucune raison de paniquer, il était là avec toi. Tu l'observais, incapable de détacher ton regard de ses prunelles. Tu allais demander la signification de ses paroles, quand le jeune dunster t'embrassa. Tu laissais ta langue danser avec la sienne, savourant chaque secondes. La frustration de ne pas pouvoir le toucher, l'embrasser c'était évadé au moment même où vos lèvres c'étaient toutes deux touchées. Le problème c'est que tu ne savais plus sur quel pied danser avec lui. Il te boudait car tu avais embrassé une fille, puis il en avait embrassé une ce soir, et maintenant toi. C'était quoi son problème? Tu te détachais de lui aussi rouge qu'une tomate, baissant ta moustache pour ne plus l'avoir sur le visage. Pas très pratique pour embrasser by the way. "Je croyais que tu attendais que je sois bourrée? " demandais-tu d'une petite voix encore abasourdi, décidant d'être gentille et de ne pas lui taper dessus cette fois-ci, du moins pas touuut de suite. Tu n'avais toujours pas enlevé ta main de sa chemise, comme pour te prouver que tu n'avais pas rêvé la scène.
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Qui aura le dernier mot ? A ce jeu j’étais fort. Et j’étais assez fier de moi pour le coup de la cravate. Même si au final, j’aurais pu avoir bien plus. Ca me permit de me moquer un peu de Brynn qui prit alors la mouche. « On sait jamais, t’es une cabot quand même… » Stéréotype le retour. Fallait dire qu’avec ça, on aimait jouer. Finalement elle proposa de m’offrir un vêtement aux motifs très originaux. « Tu sais que je vais la porter pour notre prochain ren… » Donc on avait dit que c’était pas un vrai rencard, donc n’appelons pas ça comme ça. Je me corrigeai : « …Prochaine soirée ? » Donc si elle optait pour un truc trop ridicule, elle se taperait l’affiche autant que moi. Enfin, j’étais pas bien sûr que ce soit le genre de chose qui l’effraie d’ailleurs… Au final, l’aveu du baiser, qui me valut quelques piques, cela me permit quand même de récolter quelques compliments. Un homme franc qui a des principes. Waw, j’étais flatté qu’elle ait cette image de moi. Elle profita de ma révélation pour revenir sur son propre dérapage sur la bouche de Briony. « Etant donné qu’une fille s’est sauvagement jetée sur moi et m’a embrassé sans que j’ai pu l’en empêcher, alors que dans ton cas c’est plutôt toi, de ce que j’ai vu, qui a été à l’initiative de votre petit baiser, je crois que non, c’est pas comparable, on n’est pas quitte. » répondis-je avec un air des plus puéril, réalisant pas trop que du coup, je venais de dévoiler que je n’avais eu en aucun cas l’intention d’embrasser qui que ce soit. Parce que oui, en vérité, la seule que je voulais embrasser, c’était bien elle. Le changement d’ambiance une fois dans la maison –hantée- ne me permit pas de faire le malin davantage. Ne pas sursauter, ne pas crier, ne pas flipper. Y’avait notre petite compét’ en jeu n’oublions pas. J’avais cru qu’en lui laissant ouvrir la marche, elle ne tiendrait pas deux minutes sans sursauter ou crier, mais la blondinette armée de son téléphone en guise d’éclairage se débrouilla plutôt bien. Un self contrôle qui perdura même lorsqu’elle fonça dans une toile d’araignée. Je vins à son secours, petit moment de faiblesse où la proximité entre nous, mes doigts dans ses cheveux, ses mains sur sa chemise, ses yeux dans les miens, cela finit par avoir raison de toutes mes bonnes résolutions. Je m’emparai de ses lèvres pour lui voler une énième fois un baiser… Enfin volé c’était un grand mot, parce qu’elle resta bien cramponné à ma chemise, ne me repoussa pas et répondit même à mon baiser. Lorsque nos bouches se séparèrent finalement, je la sentis quelque peu déboussolée. Elle me demanda pas cash pourquoi j’avais fait ça, préférant juste reprendre mes précédentes paroles, à savoir que normalement je devais attendre qu’elle soit bourrée. « J’espère que du coup, tu t’es pas trop rendu compte que j’embrassais mal… » m’amusai-je à répondre, restant tout proche d’elle, retenu de toute façon par sa main sur ma chemise. Mauvaise idée Priape. Danger, danger. Voilà ce que me criait ma tête, je ne devais pas me lancer dans ce jeu là, pas avec une fille qui en embrassait d’autre. J’avais déjà joué avec une fille perdue dans ce qu’elle voulait, j’avais gagné une rupture douloureuse… Tous mes warnings étaient allumés, et pourtant je n’arrivais pas à me détacher de Brynn. J’ajoutai quand même, comme pour justifier ce moment de faiblesse de mes lèvres : « En fait, j’espérais que t’allais me crier dessus… » Parce que n’oublions pas, le premier qui crie allait perdre. Genre c’était mon esprit de compétition qui avait motivé notre rapprochement…. « D’ailleurs bouge pas, mais t’as une bête dans les cheveux… » feintai-je en fixant ses cheveux. C’était cette fois véritablement pour tenter de la faire hurler.
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Tu affichais toujours un petit air médusé face au sérieux de la demande du jeune homme. Une cravate rien que ça. Et comme s'il avait deviné tes pensées, bien décidé à le ridiculiser jusqu'au bout il te rappela qu'il comptait la mettre lorsqu'il serait en ta compagnie. Tu ouvrais la bouche prête à lui dire quelque chose de cinglant, mais ton cerveau venait de tilter sur la fourche que venait de faire sa langue. "Parce que tu aurais envie de me revoir? J'croyais que tu m'en voulais jusqu'à la fin de ta vie?" Un petit sourire s'étirait sur le bout de tes lèvres contente d'avoir pu piéger le jeune homme à son propre jeu. Même si au fond tu savais pertinemment que ce n'était pas le cas puisqu'il avait maintenu votre rencard, ou comment il disait votre "soirée" ensemble. À tes yeux ça prouvait simplement qu'il était prêt à te pardonner même si ce n'était pas ce soir. "Je la choisirais avec tout l'amour du monde promis parole de scout." Tu levais la main en l'air, comme si tu allais prêter serment sur la bible, d'un petit air solennel.  C'est que ce n'était pas pour te venter, mais tu avais en plus de bon goût lorsqu'il s'agissait de choses aussi futiles que des vêtements. Tu t'étais cependant emballée légèrement trop vite. Au ton que venait d'employer Priape tu comprenais que tu n'étais pas du tout sorti d'affaire. Son amertume était palpable, ta culpabilité ne faisant que s’accroître. Une femme l'avait sauvagement agressé? Tu restais silencieuse face à ses révélations. Tu affichais une petite moue dubitative ne sachant pas s'il rigolait, mais ses yeux ne trahissaient aucun amusement. "Ton baiser ne voulait rien dire. Mon baiser ne voulait rien dire." commençais-tu à expliquer mal à l'aise comme pour lui prouver que vous étiez dans une sorte d'égalité. "Et sinon tu as cas embrasser un mec.". ajoutas-tu avec véhémence, irritée que tout semble toujours ta faute pour le dunster. C'est qu'il n'avait jamais pris la peine d'écouter ou de comprendre les explications plus au moins vaseuses que lui avaient fourni Briony. Breeef, l'ambiance dans la maison hantée était tout autre. Cette peur persistante semblait avoir mis de coté vos petits soucis, comme si quelqu'un avait brandi un grand pouuuce invisible entre vous deux.  Ton coeur tambourinait tellement fort dans ta poitrine que tu commençais à avoir du mal à respirer. Peut-être que tu étais moins courageuse que tu ne l'avais pensé finalement. Tes mains étaient moites, et c'était tout juste si tu arrivais à conserver ton calme. Expire. Inspire. Priape te coupa aussitôt le souffle en mêlant ses lèvres avec les tiennes. Tu te laissais faire surprise par cette spontanéité, et sans vraiment que tu t'en rendes compte, surement dû à une envie de ton subconscient tu le lui rendis hors d’haleine. "Heureusement que j'ai bu deux verres juste avant." Tu rigolais avec légèreté, ne réalisant encore pas vraiment ce que vous veniez de faire. Pas que ça soit interdit par la loi hein.Tu avais simplement l'impression d'être dans une sorte de songe. Il te fallu plusieurs secondes pour te remettre de tes émotions, comme quoi le jeune homme embrassait suffisamment bien pour t'emmener ailleurs. "Zacharias...arrête...de....violer...ma....bouche." dis-tu aussitôt dans un chuchotement en donnant pour chaque mots un petit coup de poing dans son épaule. Tu peinais à contrôler ta voix qui commençait à grimper dans les aiguës, mais tu ne voulais pas lui offrir la satisfaction de crier. Tu ne le pensais pas vraiment, trouvant l'expérience plus que plaisante, mais c'était plus fort que toi tu avais besoin de lui montrer que tu n'étais pas une fille facile, que tu avais un fort caractère. Tu le défiais du regard comme pour voir s'il allait à nouveau te provoquer, au risque de se prendre bien plus que des coups de poings dans son épaule. Tes joues étaient toujours aussi roses ce que tu trouvais gênant. Tu t'apprêtais à lâcher prise, t'écarter pour lui rendre sa chemise en un seul morceau quand Priape te révéla que tu avais encore une grosse bête dans les cheveux. Il ne t'en fallu pas plus pour paniquer, sans aucun doute la réaction qu'il espérait. "Enlève lààà enlève làààà." commençais-tu à dire de plus en plus fort , bougeant tes cheveux dans tous les sens dans l'espoir de la voir tomber. Pour au final te réfugier et sauter dans les bras du dunster quand tu vis que ton pied était à moins de deux mètres d'une souris. "Souriiiis." dis-tu alors que le mot se perdait déjà dans ta gorge. Tu pointais du doigt cette dernière attendant que le jeune homme fasse quelque chose, n'importe quoi.
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Avec cette histoire de cravate, je me sentis finalement piégé. Et voilà, j’en avais trop dit. Son sourire et ses mots me confirmèrent que c’était trop tard, que Brynn n’était plus dupe de mon petit manège d’homme vexé et rancunier à vie, parce que j’avais laissé entrevoir mon envie de la revoir. « Tu m’énerves… » ronchonnai-je à court de mots pour répliquer mais refusant d’avouer clairement qu’effectivement, je n’avais pas l’intention de la rayer de ma vie. Elle me promit finalement de choisir le vêtement dument gagné avec soin, enfin avec –amour- c’était ses propres mots, et un petit sourire amusé étira mes lèvres. Enfin la table n’était pas encore rase. Non, pour moi nous n’étions pas quitte comme la demoiselle l’avait naïvement pensé. Mais elle insista affirmant que le baiser avec Zoïa tout à l’heure et le sien avec Briony il y avait quelques jours, ne signifiaient rien tous les deux. J’allais rétorquer que je n’étais pas dupe, septique quand même face à la signification de son lien avec Briony, mais je n’eus le temps de rien dire car la blondinette proposa une solution qui me fit aussitôt éclater de rire. « T’es pas sérieuse là ? » Embrasser un mec ? Non mais elle était tombée sur la tête ou quoi ? C’était déjà ses deux verres qui la faisaient délirer ? « Et tu penses à qui comme mec ? » Non parce que si y’avait un truc que j’avais fait, c’était bien de m’imaginer avec un garçon. « Et une fille déguisée en vieux barbu ça compte ou pas ? » ajoutai-je en me marrant toujours à cause de son idée loufoque. Je disais ça en pouffant, ne pensant pas vraiment que mes lèvres iraient rejoindre les siennes aussi vite. Mais une fois dans l’ambiance angoissante de la maison hantée, après m’être rapproché d’elle pour la sauver des toiles d’araignée envahissant ses cheveux, ce fut presque impossible de résister. La jeune femme se laissa faire, répondant même avec une certaine envie à la pression de ma bouche contre la sienne, mais finalement, une fois ce moment passé, elle reprit ses bonnes vieilles habitudes, me répondant que les deux verres ingurgités avant l’avaient aidé à ne pas trop percevoir mon manque de compétences en la matière. Je reconnus avoir simplement cherché à la faire me hurler dessus, mais la blondinette s’énerva en douceur, enfin avec une violence douce, tapotant mon épaule de son poing avec une force de mouche qui ne fit qu’agrandir mon sourire amusé. J’avais pas dit mon dernier mot et l’idée de la faire paniquer avec une toute autre technique me vint alors à l’esprit : ça ne manqua pas. Brynn prit peur, s’agitant, secouant ses cheveux, me fouettant d’ailleurs le visage avec dans sa manœuvre, m’ordonnant de retirer la bête imaginaire de sa crinière. « Calme toi y’a ri… » commençai-je à lui révéler mais je fus coupé. Car non, il n’y avait pas rien. Un rongeur semblait avoir trouvé logis dans cette maison, à deux pas de nous. L’effet fut immédiat : la blondinette effrayée sauta dans mes bras, faisant fuir dans la manœuvre la souris. « Dur de dire qui de vous deux a eu le plus peur entre toi et cette souris… » me moquai-je un instant, resserrant doucement mon emprise pour la garder dans mes bras malgré tout. « Je pense qu’on peut dire que j’ai gagné… » Le premier qui criait ou sursautait avait perdu, et là pour la cabot ça avait carrément panique à bord, même si ma blague avec ses cheveux n’avait surement pas aidé. Mes prunelles se plantèrent dans les siennes, attendant qu’elle acquiesce et qu’elle reconnaisse sa défaite et… ...qu’elle m’offre une nouvelle cravate en récompense ? « Tu veux continuer d’explorer la maison ? Même si t’as surement fait fuir tous les fantômes qui s’y trouvaient… »
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Heureusement que tu l'énervais, tu n'étais pas une attachiante pour rien. Tu affichais un  petit sourire satisfait contente d'avoir pu gagner cette petite bataille même si ce n'était pas la guerre. Ton sourire s'effaça quelque peu quand tu vis Priape rigoler à ta proposition. Tu avais vraiment cru que vous étiez quitte, que le dunster ne t'en voulait presque plus. Les apparences étaient bien trompeuses, car sous ce si joli visage il y avait un regard d'acier, rancunier. Tu déglutis.  "Si je suis très sérieuse." Œil pour œil, dent pour dent c'était bien ça le dicton? "Je ne sais pas...l'homme que tu souhaites celui pour qui tu as un béguin secret." Tu rigolais avec douceur, haussant des épaules pour bien lui montrer qu'à tes yeux ça n'avait pas tellement d'importance. Bizarrement l'idée même qu'il embrasse une personne du même sexe te rendait totalement indifférente, mais d'apprendre que ses lèvres puissent toucher celles d'une autre fille là c'était tout autre chose. "Peut-être que cette fille avec une barbe est en réalité un travesti et qu'entre les jambes elle a des bijoux de famille." répliquas-tu un grand sourire aux lèvres, tentant d'entretenir un faux mystère. Même si en écosse il avait déjà vu le principal de ton anatomie. Et ça avait aussi valu pour toi, merveilles pour tes petits yeux. Là presque collé à lui dans la maison hantée tu t’apercevais bien que tout était encore en place. Que l'image d'un homme robuste et calme persistait dans ton cerveau.  C'était surement pour cette raison que tu attendais qu'il te vienne en aide. Tu étais presque devenue hystérique bougeant ta tête dans tous les sens. Et c'était seulement le souvenir fantomatique de ses lèvres contre les tiennes qui te permettait de ne pas hurler à en détruire ses tympans. Sauf que là ça en fut trop pour ton petit coeur, qui en voyant un rongeur commença à faire une attaque. Il fallait te comprendre les araignées okay tu n'aimais pas ça mais ça passait, alors que les souris c'étaient une toute autre histoire. C'était ta plus grande peur dans la vie. Tu t'étais jeté dans ses bras enfouissant ton visage dans son cou, incapable d'observer plus longtemps le petit animal. Sur le moment tu n'avais pas réfléchi, c'était ton instinct de survie qui avait réagi. "Définitivement moi." répondis-tu d'une petite voix toujours apeurée. "Tu es certain qu'elle n'est plus là?" chuchotais-tu de peur que la bestiole t'entende et revienne, resserrant encore plus ta prise autour de son cou.  Malheureusement, tu venais aussi de comprendre que tu avais perdu. Dans le feu de l'action tu avais complètement oublié votre défi, qui te semblait bien stupide maintenant. Tu grimaçais, pas très contente d'avoir perdu. Pour la deuxième fois en plus si vous preniez en compte l'épreuve du jeu vidéo. Te détachant du jeune tu l'observais quelques secondes, gênée d'avoir montré cette facette là de ta petite personne. "Je pense que je vais devoir faire du shopping demain." dis-tu timidement, trouver une cravate allait devenir ton objectif numéro un.  Tu pris un petit instant pour replacer comme il se devait ton déguisement avant d'hocher de la tête. Ta respiration était toujours aussi saccadée mais ça allait déjà mieux. "C'est qu'on a pas vraiment pu en faire le tour." tu rigolais pas parce que c'était drôle, mais parce que tu te préparais mentalement à ce qui allait suivre. Et pour le coup tu ne comptais plus lâcher le jeune homme d'une semelle.
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Le premier round avait peut être été gagné par Brynn mais le second ne le serait pas. Non, j’allais pas lui dire –c’est bon on oublie- tout simplement, parce que ça serait un mensonge. J’oubliais pas. La vision d’elle collée aux lèvres de son amie, ça me restait, et hors de question que j’aille rouler un patin à Carter pour équilibrer la balance, même si, Brynn le confirma, sa suggestion était tout à fait sérieuse. « Je trouverais un moyen, on sera quitte… » Je plaisantais ensuite, proposant une autre option, celle d’embrasser une nana déguisée en vieux barbu. Parce que des filles dans un tel costume, ça courrait les rues c’était bien connu. Elle s’amusa à tenter de brouiller encore plus la situation. « Peut être… Mais il doit avoir un bon chir esthétique ce travesti pour réussir à avoir la plus jolie poitrine du campus… » Bon là, tout de suite, maintenant, dans sa toge informe de druide, c’était pas ce qui était le plus mis en valeur chez elle, mais je pouvais le dire quand même puisque j’avais eu un très bon aperçu en écosse. J’allais alimenter un peu plus ma réput’ de pervers à ses yeux, mais à vrai dire, je n’étais plus à ça près. Et, je ne sais pas si c’était les souvenirs d’Ecosse qui me poussèrent à agir comme ça une fois dans la maison hantée, quand je finis par rompre toute distance de sécurité pour venir m’emparer de ces lèvres. Un viol de bouche comme elle avait coutume d’appeler les baisers que j’avais pris l’habitude de lui voler. La proximité perdura puisque la demoiselle apeurée par une minuscule souris, se jeta dans mes bras. Et ce n’était pas un prétexte pour me sauter dessus non, elle se cramponnait à moi, se cachait le visage, en d’autres mots, elle était véritablement terrifiée. Ou très bonne actrice. Au choix. Je jetai un coup d’œil par terre, on n’y voyait pas grand chose avec la lueur de nos téléphones pour seul éclairage, mais avec le raffut qu’elle avait fait, la bestiole avait bel et bien décampé. « Je crois que le champ est libre, tu ne vas pas mourir dévorer par une souris ce soir… » la rassurai-je, avec un petit ton narquois quand même, partagé entre l’amusement de la voir aussi flippée, et l’attendrissement de découvrir ce petit côté femme en détresse, elle qui aimait tant jouer la wonder woman indépendante. Je la sentis d’ailleurs un brin vexée, lorsqu’elle remit les pieds au sol, réajustant son costume en faisant remarquer l’urgence du shopping pour m’offrir ma récompense. « Prends ton temps, oublie pas que tu dois choisir avec tout ton amour. » Et pas tout ton désir de vengeance quoi. « Allez go, partons à la chasse aux souris ! » l’entrainai-je en reparlant volontairement des rongeurs pour la faire réagir. « Tu sais qu’avec le boucan que t’as fait, elles sont surement parties à l’autre bout de Salem hein? » Du coup, je repris la tête de notre expédition quand même, parce qu’elle avait pas l’air très rassurée et que je voulais pas qu’on écourte notre moment. Je saisis sa main, oubliant une nouvelle fois la règle du –pas de contact- et je commençai à avancer faisant grincer le parquet. Mais j’avais pas fait trois pas qu’un bruit sourd, comme un objet qui tombait au sol, résonna dans la pièce d’à côté, me faisant cette fois sursauter malgré moi. Mes doigts se resserrèrent un instant sur ceux de Brynn. Autant avec les bestioles je pouvais garder mon self contrôle, autant là je faisais moins le malin, me risquant quand même à une petite vanne : « En fait y’a une souris géante qui a du rester à côté… » Bon c’était ridicule de flipper comme ça, les esprits ça n’existait pas ? J’étais en médecine, j’étais terre à terre comme garçon, j’étais doué pour rationaliser normalement. Donc pas de panique : « On va voir ce que c’était ? » Oui allons faire coucou à Casper.
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Bien que tu savais que ce n'était pas vraiment le moment ni l'endroit d'aborder ce sujet délicat, tu n'avais pas pu t'en empêcher ça avait été plus fort que toi. Tu avais besoin de comprendre à quel point  Priape t'en voulait pour ce que tu avais fait. C'est seulement après avoir laissé échapper les premiers mots que tu te rendis compte que ce n'était pas une très bonne idée. Déjà vous sembliez bien avoir du mal à vous mettre d'accord, et surtout tu étais juste en train de ruiner votre rencard, plutôt votre si belle soirée. Tu te mordillais la lèvre inférieure, muette dans l'espoir d'arrêter de dire des choses qui pourraient l'énerver. Le plus triste là dedans c'est que tu ne souhaitais pas que vous soyez quitte, parce que tu voulais que le jeune homme n'embrasse que toi et personne d'autre. Sauf que ton cerveau de simple petite humaine ne s'en rendait tout simplement pas compte, mettant ça sur de la culpabilité et rien d'autre. "Jeanne et Jon te remercient." dis-tu dans un petit sourire gêné par ce compliment, bougeant très naturellement ton sein gauche puis ton sein droit dans sa direction comme comme s'ils faisaient un coucou à une vieille connaissance. "Est ce que ça veut dire que tu en as vu beaucoup? J'veux dire des poitrines pour pouvoir comparer?" demandais-tu avec malice pour le taquiner alors que vous vous dirigiez tous les deux vers la maison hantée. Qui une fois à l'intérieur répondait vraiment à toutes ses promesses. À la simple vue de la petite souris tu t'étais précipitée dans les bras du dunster, enfouissant ton visage dans son cou, incapable de les quitter. Son odeur, sa présence te suffisait pour avoir l'impression d'être en sécurité. "J'te préviens si tu dis ça à quelqu'un je ...."   Tu ne finissais pas ta phrase, te contentant de lui lancer un petit regard menaçant qui voulait tout dire. Fidèle à toi même, menacer pour écarter toutes personnes capable de s'approcher un peu trop de ton âme. Tu n'aimais pas vraiment montrer tes faiblesses, et tu espérais que le jeune homme n'allait pas profiter de cette nouvelle information. "Merci." murmurais-tu tout de même faiblement. Même si les paroles du dunster se voulaient rassurantes, tu avais bien du mal à rester apaisé, ne cessant de balayer la salle des yeux. "T'es pas drôle Zacharias." dis-tu en restant tout de même très près de lui, frôlant son torse, comme si le simple mot "souris" avait déclenché une sorte d'aimant dans sa direction. C'est qu'il allait vous portez poisse à force de le répéter. Tu fus donc plus que soulagée lorsque le bûcheron attrapa avec douceur ta main, appréciant la chaleur de sa peau contre la tienne. Tu n'osais lever le regard, de peur de ce que tu allais trouver dans ses yeux. Cet homme était bien trop contradictoire pour toi. Il te faisait comprendre de ne plus le toucher, pour ensuite faire tout le contraire. Mais dans un sens tu étais bien trop peureuse maintenant pour continuer cette expédition toute seule, alors tu ne lui en voulais pas trop pour cet écart de conduite. Ce fut à ce moment là qu'un bruit sourd perça l'air, te glaçant le sang. Tu sursautais, incapable de bouger d'un pouce. Tu observais Priape anxieuse, qui tentait de relativiser à sa façon, c'est à dire en te foutant encore plus la trouille. Merci mais non merci. "J'espère pas pour toi." dis-tu à nouveau dans un chuchotement, parce que là ça serait l'hystérie la plus totale, ton pire cauchemar. Tu te contentais donc d'opiner, te forçant à placer un pied devant l'autre. Les fantômes n'existent pas, ça n'existent pas te répétais-tu en boucle en vain.  "Si ça se trouve c'est juste le vent..." même toi tu n'y croyais pas. Tu n'avais pas lâché la main du jeune homme, qui te tenait tout aussi fermement, le tirant jusqu'à l'escalier. Il suffisait simplement de grimper les marches et vous en auriez le coeur net. Ton corps criait danger, totalement asphyxier par l'affolement qui courrait dans tes veines. Tu gravis une marche, puis une autre, la peur au ventre. Tu t’agrippais à la rampe poussiéreuse, allumant le chemin avec ton portable. Portable qui venait de tomber à plat. Tu en profitais donc, sans vraiment trop savoir pourquoi, pour te retourner et hurler "BOUH." à Priape. Bon okay il y avait mieux comme timing, et tu n'étais pas certaine que tu allais arriver à lui faire échapper un son mais qui ne tente rien n'a rien. Et puisqu'il t'avait vu en train de flipper, c'était un juste retour des choses. "Je vais te manger." ajoutais-tu telle une psychopathe adoptant une voix de petite fille. Tu étais tellement bien là à lui faire peur que tu en oubliais tout de la tienne, comme par magie.
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 Le sujet du baiser fit renaitre un peu ma rancune par rapport à cette scène, même si mon interlocutrice était catégorique sur le fait qu’il ne signifiait rien. Le fait d’avoir été spectateur de cette embrassade m’avait marqué et j’arrivais pas à passer outre. Enfin bref, embrasser un mec pour me venger n’était pas véritablement une option envisageable, à moins qu’il ne s’agisse du druide à la grande barbe qui se trouvait devant moi, aka Brynn en père fourras, et que je venais de gratifier d’un compliment sur ses seins qui me remercièrent. Un rire s’échappa d’ailleurs de mes lèvres lorsqu’elle les prénomma respectivement Jeanne et Jon. « Les filles font vraiment ça ? Donner un nom à leurs seins ? » me marrai-je avant que la demoiselle ne m’interroge sur le nombre de poitrines que j’avais vu défiler… C’était surement un piège pour connaître indirectement mon nombre de conquêtes. Si c'était ça, je tombais dedans comme un bleu : « Je suis bien placé pour comparer oui, j'en ai vu passer un nombre conséquent. » affirmai-je avec un grand sourire avant d’ajouter : « Mais bon, pour affirmer que c’est vraiment LA PLUS JOLIE, il faudrait peut être que j’y rejette un œil… » Sait-on jamais j’aurais peut être le droit à un nouveau strip ? Enfin j’allais surtout récolter une nouvelle remarque sur ma perversion… La frayeur de Brynn due à la sourie dans la maison hantée me fit la taquiner ce qui la mit aussitôt sur la défensive. « Si jamais j’en parle, tu feras quoi ? » m’amusai-je à lui demander après sa menace inachevée pour tenter de me tenir au silence. Puis, à coup de paroles rassurantes et en glissant ma main dans la sienne, je parvins à calmer un instant ses frayeurs pour que l’on puisse repartir à la découverte de la terrifiante bâtisse. Mais je me raidis bien vite, un énorme boum venait de raisonner. Y’avait aucune raison qu’il s’agisse vraiment d’un esprit, ça, ça n’existait que dans les films d’épouvante. « Ca doit être le vent oui… » acquiesçai-je avec un petit hochement de tête. Mais probablement que le côté effrayant de l’endroit, le fait qu’on soit le soir d’Halloween, l’ambiance qui régnait à Salem, cela me faisait être sur le quai vive et j’avais aussi plus de mal à relativiser. Un brin tendu, le pouls légèrement accéléré, les sens en alerte, je me laissais entrainer jusqu’à l’escalier par la petite blonde. Fallait qu’on aille vérifier par nous même l’origine de ce bruit, en espérant que ça n’impliquait pas des rongeurs parce que là la Cabot allait péter un boulon… Cela dit, elle n’était pas la seule à avoir les nerfs à fleurs de peau. Je la laissai se charger de l’éclairage et après quelques marches gravies, son téléphone se coupa et l’on se retrouva plongés dans le noir complet, moment que choisi la princesse pour crier un bouh sonore qui me fit aussitôt, et malgré mon grand self contrôle, sursauter. J’en lâchai mon propre portable que j’étais en train d’essayer d’extirper de ma poche et ce dernier dévala les escaliers dans un fracas sonore qui me fit à nouveau sursauter. « Putain Brynn, t’es folle… » m’exclamai-je alors qu’elle adoptait une voix digne de film d’horreur. Enfin c’était de bonne guerre… Rappelez vous le coup de l’araignée il y avait quelques minutes de cela. « C’est moi qui vais te manger… » répondis-je finalement, en me mettant sur la même marche qu’elle, à sa hauteur, et en la bloquant contre la rampe, profitant du noir pour me rapprocher d’elle, mon visage s’approchant à nouveau du sien parce que je ne mentais pas, j’avais vraiment envie de dévorer ses lèvres à nouveau. Flirter plutôt que de penser à l’ambiance terrifiante des lieux, ça m’aidait à oublier le coup de flippe que la demoiselle venait de me provoquer. Mais il allait quand même falloir qu’on ramasse les morceaux de mon téléphone qui devaient se trouver sur les marches poussiéreuses pour pouvoir continuer l’exploration de la maison. En espérant que l’appareil ne se soit pas casser dans sa chute.
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