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« Nos vies parallèles » ♣ MAXWAN

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❝ Nos vies parallèles ❞
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Maxym l'a mit devant le fait accomplit : soit un meilleur ami, maintenant. T'as pas vraiment le choix quand je me présente avec cette mine là. Ou celui de me rejeter, mais tu sais que notre duo ne le supportera pas. « C'est toi qui va le plus apprécier de brûler ses affaires. » Qu'elle s'amuse, ironisant sur l'amour que les deux jeunes hommes se portent. Le pousse légèrement de la main. « C'est tellement un mather soft en plus, t'aurais pu faire un effort avec lui. » Maintenant que j'y repense. Regarde comme moi j'en fais avec Lizie, ahah. Blague. Mais j'ai dis que je serais plus aimable avec la rousse, j't'ai fais cette promesse à l'aéroport. « J'espère pour toi. J'dis pas que j'ai jamais espéré que ça casse entre vous, parce que j'comprends pas ce que tu fous avec elle. Et je comprendrais jamais. » Elle se marie avec n'importe qui, fait des crises, se comporte comme une enfant capricieuse. « Mais si elle te rend heureux.. laisse pas cette situation s'installer. » Pose à nouveau ses prunelles adoucies sur l'homme. Tu sais ce que ça me coûte de te dire ça.
 

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Il aura du plaisir à jeter les affaires du mather. Son petit sourire, presque honteux de se former, le lui montre. Maxym sait qu’il ne l’aimait pas et ce n’est pas maintenant qu’il va lui affirmer le contraire. Pas même pour lui faire plaisir. En revanche il en a fait des efforts. Que ce soit pour le croiser à des soirées, pour l’avoir supporter quelques minutes au double date. Il aurait pu jouer le connard en faisant tout ce qui est possible pour pousser Maxym a rompre. Antwan n’a rien fait, rien dit. Ce n’était même pas nécessaire. Ricardo a tout gâché. « J’t’ai laissé faire ce que tu voulais, mais fallait pour compter sur moi pour devenir son ami. » C’est comme si elle sympathisait avec Lizie. Ridicule n’est-ce pas ? Elle admet même qu’elle ne comprend pas l’eliot. Jamais elle ne verra les qualités de la rouquine. Il se tourne vers la brune à ses derniers mots. La tristesse monte à la tête de la dunster. Ce n’est pas elle. Elle ne le pousse pas dans les bras de Lizie en temps normal. Max a raison, seulement il ne va pas laisser sa vie sentimentale au cœur de leur conversation. Ce soir, c’est elle qui est vulnérable. N’échange pas les rôles. « J’pensais pas t’entendre dire ça un jour. » Le garçon sourit doucement, soulevant la couette. « Viens là. J’vais essayer de ne pas te faire tomber cette nuit. »
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« J'te parle pas de devenir son ami. » Oh mon dieu non, ça aurait été trop étrange. Et incohérent, surtout après que le mather ai apprit la réalité de la relation des deux snobs. Maxym aurait détesté les voir comploter ensemble. Mais se tolérer entièrement aurait été une bonne chose. Enfin, maintenant tout ceci paraît complètement dépassé. Il n'est plus question d'entente. « Maintenant t'es interdit de devenir son pote, j'te préviens. » Qu'elle balance sur un ton de menace, alors que la demoiselle cherche la plaisanterie. Vous êtes incompatibles de toute façon, et pas juste parce que j'suis au milieu. Comme Lizie et moi. Bien que ta présence soit plus flagrante. Pourtant, j'en viens à prêcher les intérêts de la rousse, ceux du couple que tu formes avec elle. Ca me fait sourire. « J'le penserai plus demain, profite-en. » Demain, plus tard, quand j'évoluerai seule et qu'elle me privera de toi, j'le penserai plus. « C'est mon cas, mais toi t'es pas fais pour être seul. » Elle t'as rendu moins égoïste, moins fermé. Soupire doucement et se surprend un peu de la suite. « Seulement essayer ? » J'te remercie pas, j'vais pas formuler tout haut que je vais me glisser dans ton lit. Mais je le fais quand même. Me poussant de la couette pour finir dessous, la chaleur de l'endroit réchauffant mon petit cœur blessé. « J'ai les pieds froids, ça devrait suffire à te dissuader de me pousser. » D'ailleurs, pousse un peu un des mollets du meilleur ami de son pied.
 

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« Pas de soucis. » Elle n’a même pas besoin de lui interdire l’amitié avec Ricardo. Pour ce qu’il est, pour ses habitudes, pour sa confrérie, Antwan ne pourra jamais supporter le mather. S’ajoute à la liste le cœur brisé de Maxym. Il déteste la voir dans cet état et se sentir inutile à côté. Comme s’il pouvait prétendre être la meilleure compagnie pour la blessée. Au moins, parler d’Elizabeth permet à la brune de penser à autre chose. « C'est mon cas, mais toi t'es pas fais pour être seul. » Pourtant être seul apporte moins de problème. Il n’y a pas de dépendance, ni de sentiments qui pèsent lourd sur le cœur. « La solitude me convenait bien avant. » Maxym se glisse sous les draps suite à l'invitation de l'étudiant. « J’peux rien te promettre malheureusement. J'bouge beaucoup la nuit tu sais. » Le pied froid vient se plaquer contre la peau masculine. Dans la surprise, sa jambe s’éloigne de la source froide. « Pas de contact ou tu dors par terre ! » Il essaye la menace.. mais aucune crédibilité. Le garçon s'amuse donc en retirant le coussin sous la tête de Maxym. Chacun fait chier l'autre à sa manière. « J'ai vraiment du mal avec le partage. »
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C'est que ça lui ferait presque du bien, de reporter son attention de femme blessée sur une relation qui charge. Mieux que la sienne, en tout cas. Elle est un peu bancale actuellement, la leur, mais Maxym voit en Antwan l'envie de changer ça. Que ce n'est pas la même situation. Non, vous vous êtes sauvables. Peut-être parce que c'est plus dans vos habitudes, vos mœurs. Nous on détruit tout avec Ricardo. Franchement, comment ça aurait pu se passer autrement ? On était condamné depuis le début. Je paye un excès d'optimisme. « La solitude me convenait bien avant. » A moi aussi. Je l'aimais, cette solitude, ne dépendre de personne. Quand je n'avais pas confié mon humeur à un autre, la clé de ce qui pouvait foutre un bordel désastreux dans ma vie. S’engouffrant sous la couette, grogne un discret : « J'les déteste de nous avoir fait ça. » On était bien. Persuadés de notre bonheur sans aide extérieur, indépendants et solides. Mais ça, c'était avant leur arrivée. « J’peux rien te promettre malheureusement. J'bouge beaucoup la nuit tu sais. » Dans la nuit elle esquisse un sourire, enchaînant avec une attaque des plus traîtres.  « Pas de contact ou tu dors par terre ! » Ouvre la bouche, gobe des mouches. Genre, il mettrait la malheureuse au sol. Bien sur qu'il en serait capable, si j'le cherche trop. « C'est bien la première fois qu'on me dit ça. » Qu'elle glousse, poursuivant dans ses espèces de couinements puisqu'on lui retire son coussin, sa tête manquant de se manger le mur. « Ah mais ! Antwan ! » Action, réaction. Maxym, de sa jambe qui se tend au dessus de celles du garçon, récupère la couette entre ses jambes, histoire d'en priver le Eliot. « Pas de coussin, pas de couette ! » Se retourne, dos à Antwan, histoire de consolider sa prise sur le tissu. Et bon courage pour lutter contre des jambes de basketteuse. « Moi c'est bon je peux dormir comme ça. » Elle se fait même un semblant de coussin en pliant la couette sous sa tête. « Allez bonne nuit hein. » Muhaha.

 

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Le passé avait son charme. Ne pas devoir quelque chose à quelqu’un d’autre. Ne pas se sentir obligé d’être à la hauteur. Ceci dit, même avant l'arrivée d'Elizabeth, il n'était pas totalement libre. Il en avait déjà des sentiments. C'était loin d'être la même chose, plus compliqué dû à la non réciprocité, mais au moins il s'était habitué. « Moi aussi. » souffle t-il en simple réponse. Il essaye d’atténuer la douleur de Maxym en jouant avec ce qu’il a sous la main. « Ah mais ! Antwan ! Pas de coussin, pas de couette ! » La brune s'est saisit de la couette découvrant totalement Antwan. « Moi c'est bon je peux dormir comme ça. Allez bonne nuit hein. » Il préfère la voir comme ça, joueuse. Mais c'est pas sous prétexte qu'elle a retrouvé un semblant de sourire qu'il va se laisser faire. Il agrippe le drap pour le tirer vers lui, mais la force que Maxym y met l’empêcher de la récupérer. « Nan mais.. » Elle va lui en laisser oui ! Il se place contre le dos de la brune, dégage ses cheveux pour qu’il puisse glisser quelques mots à son oreille. « Si tu me rends pas la couette dans deux secondes, j’vais être obligé de considérer ça comme une déclaration de guerre. »
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« Moi aussi. » Tu sais, je te crois pas vraiment. T'es trop contaminé pour le penser réellement. Comme je l'étais. Comme je le suis encore, finalement. J'arrive pas vraiment à le détester, alors que j'suis plutôt douée pour la haine, d'habitude. C'est le domaine de McAllister ça, de nourrir des sentiments négatifs pour autrui. Sauf que c'est bloqué, ça veut pas emplir mon cœur de colère. Par contre, ce petit battant, veut bien se réveiller sous l'effet de l'adrénaline, du jeu. Comme si ce faible corrompu s'était habitué, y avait prit goût. « Nan mais.. » Résiste à la charge de l'autre côté, étouffant un rire discret dans sa prise molletonnée. Solide. Moins quand le fourbe se glisse contre son dos, sur sa peau de traître se semant quelques frissons dû au souffle masculin. Foutu corps qui écoute rien à ce que lui dit le cerveau. « Si tu me rends pas la couette dans deux secondes, j’vais être obligé de considérer ça comme une déclaration de guerre. » La malicieuse tourne légèrement, à peine vu la situation, ses traits vers l'homme. Voilà, on ne peut définitivement pas faire plus proche. « Considère, considère. » Et j'en souris, tu vois. De tout ça. « Ca fait deux secondes, il me semble. » C'est le début de la guerre ?   

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Si, il déteste Elizabeth de l'avoir arraché de son quotidien sans emmerdes. Parce qu'au final, même si une part de lui est content de connaitre la rousse, une autre partie souffre actuellement. C'est douloureux et l'eliot voudrait se débarrasser de ça. Actionner le bouton off et le ré allumer quand les choses iront mieux. Que Maxym vienne à lui le sort de ces questionnements. La faire sourire fonctionne aussi de son côté. Il retrouve sa bonne humeur et une certaine energie. Wayans se rend compte de la position dans laquelle il s'est mise. Plaqué dans son dos, fixant son visage et pas forcément la bonne partie. Le jeu le sort de cet état. Ca permet de rendre la situation moins étrange. « Considère, considère. Ca fait deux secondes, il me semble. » Ca étire son sourire. Dans un geste brusque, le garçon pousse McAllister vers l'extérieur. Il la retient de justesse en aggrippant son épaule d'une poigne forte. « La prochaine fois j’te retiens pas. Alors, j’te redemande. Est-ce que tu peux me filer la couette ? »
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C'est comme ça. Un instant t'es triste, ton ciel est obscur et balance quelques éclairs pour ceux qui viendraient à t'importuner, et l'autre tu te mets à rire trop fort, à te battre avec une couette et avec lui. Oh, Il te détesterait pour ça. Pour cette proximité. Mais t'sais quoi ? C'est la contre-partie de cette douleur qui t'oppresse la poitrine, malgré tout, t'as plus à t'encombrer de remords. Tu la sens, cette liberté qui reconquiert ton être ? C'est celle qui pansera la blessure, avec le temps. Vous êtes proches, oui. Ca fait longtemps, oui. Sauf que le vil te balance dans le vide. Un cri de surprise s’étouffe dans la gorge féminine, le cœur s'électrise de cette adrénaline, mais se rassure de la prise sur son épaule. La belle respire plus fort, et un espèce de rire se perd dans son souffle. « La prochaine fois j’te retiens pas. Alors, j’te redemande. Est-ce que tu peux me filer la couette ? » Le pire, c'est quelle adore ça. Qu'on lui tienne tête et qu'on la mette en péril. Tu peux m'envoyer au sol même, si tu veux. Mais demoiselle ne renonce pas pour autant, son bras se tordant vers l'arrière, ses doigts cherchant une prise. Ca descend le long de son torse, mettant certainement un peu plus de temps que prévu. Jusqu'à trouver du tissu. Ouais, heureusement qu'il se la joue pas Adam vous me direz. Sauf qu'il n'y a qu'un boxer qui se retrouve emprisonné par sa poigne. Et y a qu'à voir les lèvres de Maxym qui se pincent pour ne pas se mettre à rire nerveusement et ses prunelles agrandies, pour comprendre qu'elle s'attendait à une couche de tissu de plus. Du coup, normalement, t'insistes pas. Sauf que c'est McAllister, et qu'elle préfère s'enfoncer dans une proximité qui n'aidera personne, plutôt que s'avouer vaincu par cette dernière. Na, c'est pas bizarre. Na, ça m'fait rien. Pour preuve, je sors mon regard défiant, qui se lance par dessus mon épaule maintenue, et mon sourire provocateur. « Tu vas où je vais. » Enfin, soyons réaliste, si tu me lâches, mon bras va sûrement céder sous la douleur et j'serais la seule à manger le parquet. 

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La prise sur son épaule s’affaiblit lorsque les doigts féminins viennent toucher sa peau. Descendent jusqu’à s’accrocher à son boxer. A tout c’qu’il y a pour tenir et ne pas se retrouver par terre. Ca distrait le garçon qui jette un coup d’œil à la main de Maxym. Il est piégé et désarçonné pendant quelques secondes. « Tu vas où je vais. » Son regard retrouve le profil de Maxym. Le défi n’a jamais été une bonne chose entre eux. Ca les pousse toujours vers les extrêmes. Encore une fois, Antwan ne va pas se laisser faire. Fierté. Simple envie de gagner. Même s'il est dans une position plus délicate il s'en sortira. « T’en es certaine ? » Il ne retient plus son épaule, pousse légèrement la dunster avec ses jambes. Seul le mouvement de son boxer qui se soulève l’empêche de la mettre hors du matelas. « Tu veux me déshabiller ? » Il commence à appuyer sur le bras tordue de la brune pour provoquer une faible douleur. Doucement, mais surement. « Calme tes ardeurs Max. »
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