✗ I'm so sorry... | Samy /!\ HOT

C’est bien ce que je pensais, en fait elle le désirait sans vraiment le savoir, je n’aurais pas été si important à ses yeux elle ne l’aurait pas seulement embrassé. Maintenant imaginons l’inverse, elle m’aurait giflé, la situation aurait été bien pire. Suis-je un idiot ? Non je suis juste éperdument fou d’elle voilà la réponse. Je sens ses lèvres sur mon cou, la sentir comme ça me manquait énormément et je laisse faire, imaginant cette scène comme si j’étais un spectateur devant un film. Ses lèvres finissent sur les mienne et l’intensité du baiser, en disait bien long sur ce qu’elle désirait, j’aimais la voir comme ça, mais pour moi pas pour un autre et surtout pas pour lui. Elle sentait que je n’étais pas comme avant, quand elle s’arrête elle me dit qu’elle m’avait vu, que pour elle, c’était de la tromperie, non cela était juste une erreur. Je comprenais sa peur, mais au final suis-je loin d’elle et est-ce que je l’ai laissé, du tout. Je comprenais pourquoi maintenant. elle croit que tout cela est mauvais, qu’elle me mérite pas à cause de l’amour qu’elle a éprouvé pour lui et qu’elle éprouve dans une petite partie de son cœur « avoue le que tu ne voulais pas simplement d’un baiser ce soir-là, si j’étais pas dans ta vie, si tu m’aurais jamais aimé, avoue le que tu aurais couché avec lui. » Je la bascule pour pouvoir me lever « je comprends…. Mets-toi à ma place maintenant, je t’aurais fait ça, tu m’aurais traité de tous les noms, tu m’aurais dit de retourner voir cette sale pouffe ou pire encore, tu m’aurais largué. Tu dis que je te mérite pas ? N’importe qu’elle homme dirait que notre relation est voué à l’échec à cause de lui, n’importe qu’elle personne dirait que je finirais le cœur brisé, mais ils nous voient pas maintenant, tu as changé Ivy. Tu n’es pas la gamine d’y a un an t’es devenu une femme amoureuse et qui veut pas être malheureuse à cause d’un con qui t’as fait attendre dix ans… Sauf que ce con sera toujours dans ton cœur, maintenant je sais que je serais que le second même si tu m’aime et cela me va… enfin on va dire ça comme cela. » Je me pose sur la table basse et la regarde dans les yeux « tu dois passer par-dessus ce moment, tu me mérite autant que je te mérite tu as compris. C’était une erreur et je t’aime au point de dire que c’était une erreur, tu te le pardonne pas ? Et bien montre-moi que c’est moi l’homme de ta vie au lieu de refuser de couché avec moi, car tu montres que tu me veux plus, prouve toi que l’homme que t’aime c’est moi, l’homme avec qui tu veux mourir » Je lui montre ma main « j’ai eu cette bague parce que tu es folle de moi ou parce que tu voulais faire bouger cet idiot afin de le faire réagir afin de te prendre à moi, j’ai cette bague parce que c’est moi que tu veux ou je suis qu’un simple jouet…Tu veux lui faire mal ? Montre lui que je te rends heureuse, montre lui qu’on peut être un couple qu’on puisse… qu’on puisse fonder une famille. » Je sentais les larmes me monter aux yeux « je suis désolé » Je me lève et me dirige dans la chambre.

Je fis une sorte de monologue, sans lui laisser le temps d’en placer une. J’en pouvais plus de voir tout ça, de subir tout ça. Je l’aimais, peu d’homme pourrait faire ce que je fais avec elle, beaucoup l’aurait quitté à cause de sa relation avec son meilleur ami, mais pas moi non je l’aimais trop pour ça, j’ai enduré tout ça. Même après tout ce qu’on a vécu j’avais toujours ce désir si puissant pour elle et je regardais toujours ma bague pour me dire qu’elle était toujours à moi, même si j’étais que le second dans son cœur.

Cela en était trop, je sentais que je faiblissais alors je décide de partir dans la chambre afin qu’elle me voit pas aussi faible par la situation. Je ne l’entendis pas rentrer dans la chambre, étant assis sur le bord du lit, en train d’essuyer les larmes qui avaient pu couler sur ma joue. Je me lève au moment où je la vois en face de moi me disant qu’elle était désolée et que je savais… Mais quoi ? Je sens ses lèvres frôler les miennes me disant qu’on fondera une famille « je veux une famille avec toi Ivy, je veux des enfants, la maison de tes rêves… » Sentant finalement ses lèvres se plaquer contre les miennes. Je la tiens par les hanches, répondant au baiser tendre qu’elle me donne, quand elle s’arrête elle me dit qu’elle a besoin que je lui montre, qu’elle a perdu la main alors qu’elle commence à déboutonner ma chemise « tu t’en sors bien pour l’instant… » J’attrape le bas de son haut pour lui retirer, faisant apparaitre son soutien-gorge en dentelle. Lorsqu’elle termine de déboutonner a chemise le tissu glissa de mes bras, j’attrape son mini short pour lui baisser jusqu’au cheville et l’attrape pour la porter afin de l’embrasser l’amenant contre les draps pour continuer le baiser « je veux…Je veux te faire l’amour… » Alors que ma main caresse le début de son shorty.

J’espérais vraiment qu’elle ne stoppe pas tout cette fois, qu’elle irait jusqu’au bout et qu’au moment voulu elle se réfracte une nouvelle fois. Si elle le faisait encore je ne sais pas ce que je ferais, c’est très dur de voir la femme que vous aimez vous refuser l’accès à son corps, surtout au vue de l’alchimie qu’on a ensemble. Je voulais que rien de tout cela ne se soit passé et qu’on ait continué à être le couple qu’on était, mais comme dans tout il y avait des virus et celui-ci ne sera jamais éradiquer, le seul vaccin était que nous soyons l’un loin de l’autre et cela je le refusais amèrement. Je ne la laisserais à personne et encore moins à lui. Nous avions discuté et cela allait sans doute aller mieux, je n’en savais rien. Elle m’avait assez puni je pense et surtout assez punie elle, elle devait se laisser aller cette fois, car cela faisait des mois que nous avions rien fait ensemble, rien fait d’intimes.

Nous sommes allongé sur le lit, elle était en sous-vêtement et moi, ma chemise avait fini au sol, elle me stoppe en me parlant des pizzas, c’est vrai qu’elles pouvaient arriver d’un moment à l’autre et nous interrompre. Allait-elle prendre cela comme une excuse pour rien faire encore au vu de notre situation. Je la sens glissé sa main vers mon jeans et en attrape mon téléphone, je la vois appeler et l’écoute parler à la pizzeria. Je souris quand elle dit avoir un agréable imprévue et qu’on avait une heure. Le téléphone vole sur le lit et elle vient me mordiller les lèvres pour déboutonner mon jeans, on allait faire l’amour et cela sera très bon, je l’embrasse amoureusement pendant qu’elle baisse mon jeans et je l’aide en l’enlevant et la rapproche de moi pour faire frotter nos deux sexe l’un contre l’autre à travers le tissus « j’espère qu’une heure sera suffisant mon amour… » je sentais qu’elle était excité « retire ton soutif pendant que je m’occupe du bas » je retire son shorty et le fait longer ses jambes pour le retirer, je baisse mon boxer et reviens contre elle afin de lui montrer ce qui lui avait manquer durant ses mois, mon sexe se frottant contre ses lèvres déjà bien mouillé.

Rien que tous les deux, voilà de quoi je rêvais depuis plusieurs semaines, l’un contre l’autre complétement nu afin de partager un moment d’intimité. Elle m’avait horriblement manqué au point que j’avais l’impression de la voir partout. Je la regarde se débarrasser de son soutif qu’elle lance au loin, et la voit se redresser pour m’embrasser tout en soupirant de mon frottement qui m’excitait encore plus. J’aimais ça sentir mon gland conte elle et là elle me stoppe alors que nos lèvres s’apprêtaient à s’épouser de nouveau, la voyant rougir elle demande si j’ai de quoi nous protéger. Je pense direct qu’elle n’a pas dû prendre son injection et du coup ne souhaite pas retomber enceinte, je souris et comprenais parfaitement qu’elle demande ça, malgré que je n’aime pas mettre une capote pour lui faire l’amour, vu que nous étions loin de ce stade-là. Je la voulais et j’étais prêt à cela. Je me penche sur la table de chevet et ouvre le tiroir pour en prendre et lui tend « tu la mets dans ce cas, je veux te regarder faire » je me mets à genoux de part et d’autre de ses cuisses, lui mettant fièrement mon sexe face à elle « dépêche-toi je veux te faire l’amour chérie… » La voyant rougir encore plus.