✗ I'm so sorry... | Samy /!\ HOT

Je décide d’agir afin qu’elle voit que je veux notre soirée en amoureux et non pas qu’elle passe sa soirée à discuter avec ses amis, mais plutôt passé du temps avec moi. Alors je viens contre ses cuisses pour avoir la douceur de sa peau contre la mienne et finalement je décide de l’embrasser, elle intensifie le baiser, me rendant mon je t’aime. Elle l’arrête cela me surprend pas. Je viens donc la prendre contre moi et continue de regarder le film, une de mes mains proche de ses fesses. Je savais qu’elle n’avait pas choisi ce film pour le fait que ça parle de sexe, mais parce qu’elle aime l’actrice et aussi pour l’humour. Je la regarde et passe une main dans ses cheveux, venant embrasser son cou doucement et remonte à son oreille, le film était mauvais pour moi, malgré que je le trouvais bien. Ma main au niveau de ses fesses se faufile sous son short afin d’en caresser le tissu de son shorty. Je termine par la faire s’allonger sur le canapé pour l’embrasser passant ma main sous son débordeur pour aller à sa poitrine.

Maintenant presque allongé sur elle je viens caresser un de ses seins, l’envie d’elle s’agrandit, on dirait qu’elle ne va pas me repousser cette fois. Je sens qu’elle en a envie aussi, sentant ses soupirs contre mes lèvres, elle tente de me repousser, mais je me colle encore plus, continuant de l’embrasser tendrement. Elle termine par se faire plus forte, me disant que le livreur va arriver et que le film devrait être fini. Rien à foutre du film et du livreur « tais-toi… » Je retourne l’embrasser passant ma main sous son short et son shorty afin de lui caresser les lèvres, lui tenant un bras pour pas qu’elle me repousse, l’embrassant toujours tendrement, je sentais bien qu’elle en avait envie, mais pourquoi me repousser sans cesse. Je descends ma bouche contre son cou et vais sur sa poitrine recouverte par son tissus, je sentais ses pointes durci un peu à chacun de mes passage.

J’étais bien parti, je sentais que son corps ne demandait que cela. Sa respiration et surtout qu’elle essayait de ne pas gémir. Mes doigts commençaient à être mouillé au niveau de son intimité, cela m’excitait, enfin elle se lâchait et ne me repousser pas, enfin on serait uni depuis si longtemps. Je viens parcourir son cou, enfin pouvoir avoir de sa douceur. D’un coup je l’entends me dire d’arrêter qu’elle voulait. Elle se fiche de moi, son corps ne réclame que cela, elle… non elle le veut c’est ça ? Ce n’est pas moi qu’elle veut, mais lui ? Je devais me chasser ça de mon esprit je me relève « Pourquoi ? Pourquoi tu refuses qu’on fasse l’amour alors que ton corps réclame que cela ? Tu me veux plus ? C’est lui que tu veux c’est ça ? Ça ne t’a pas suffi ? Au lieu de passer a autres chose, d’avancer sans le vouloir tu remets ça à jour Ivy. Je le supporte plus tu m’entends, j’en ai ma claque de pas pouvoir faire l’amour à la femme que j’aime, j’ai été trop gentil à ne rien dire de toutes tes excuses de merdes pour rien faire… » Je mords ma lèvre et arrête la tv « maintenant tu vas tout me dire, lâche ton sac, avoue tout ce qui dans ta tête, car tant que je ne saurais pas je partirais de cette maison et là effectivement tu seras tranquille, je ne te toucherais pas et tu auras aucune excuse à sortir pour ne pas faire l’amour tu m’entends. » J’étais en colère, pas dans une colère noir, mais cela était de trop.

Cela en était trop, moi je le recherche ? Elle est sérieuse là ? Non moi j’ai passé l’éponge parce que je l’aime parce que je suis fou d’elle, alors je le recherche. Je la laisse parler, qu’elle vide son sac, oui c’est ça mon amour déballe ce que t’as sur le cœur, je pense on va avoir la plus grosse dispute de notre relation depuis le début. Je l’énerve, elle aussi elle me gave. J’ai passé l’Age de rester sur des trucs qui sont terminé à présent. Je l’écoute encore, jusqu’à qu’elle aille dans la chambre, je m’en fichais qu’elle l’a pas vu, heureusement qu’elle l’a pas vu sinon ça aurait pété bien plus tôt. Elle me balance son cahier de compo, je sais bien que c’est ce con qui l’aide pour sa musique, sans lui y a pas de musique blablabla, elle se fout de ma gueule là, c’est sa muse ? Alors que les chansons parlent de moi, on se demande qui a besoin de l’autre là dans l’histoire. Attend quoi ? Elle me mérite pas ? Putain pourquoi je ne suis pas une nana pour la giflé et lui remettre les idées en place. Elle croit que ma fille me manque pas, que j’en ai pas été autant touché qu’elle, par contre en quoi le fait de l’amour équivaut la musique, elle dit que de la merde. Je me lève à mon tour « Je vais rien dire sur ce que tu as dit avant par contre tu as de la chance que je ne puisse pas te gifler, en quoi je te mérite pas merde, tu es… tu me mérite merde, j’ai passé l’éponge sur tout ça pour toi Ivy, je t’aime pour ça que je suis comme avant et toi tu n’arrives pas a passé au-dessus. Par contre tu ne peux pas comparer la musique et le fait qu’on fasse l’amour. Faire l’amour montre le désir qu’on a pour l’autre, la musique c’est ta passion c’est tout, je suis triste que tu arrives plus à chanter ou à composer, mais comparer ça, là tu me tue. La femme que j’aime me manque et non pas une je vais dire le mot que t’aime pas mais la gamine devant moi m’énerve, je veux la femme qui m’aime, celle qui me montre son amour et non une fille qui arrive pas à avancer. » Je reste assis sur le canapé « maintenant montre-moi, je veux que tu me montre ce que vous avez fait, maintenant et si tu dis non je me casse et tu me revois pas pendant un moments. »

Je voulais savoir ce qui la traumatiser à ce point, qu’elle se lâche, qu’elle parle afin que tout ceci ne sois vraiment que du passé. Qu’on arrive de nouveau à être un couple, je voulais qu’elle me montre, étant assis afin qu’elle puisse agir, je la vois s’asseoir à côtés de moi, elle tremblait, de peur de me blessé, je le suis déjà enfin je l’étais maintenant cela est terminé, là je suis blessé que ma fiancé ne veuille même plus me toucher. Je sais qu’ils n’ont pas couché ensemble « je sais » Cela me suffisais pas et elle le voyait alors elle explique pour la fête d’anniversaire, qu’elle s’était souler à cause de la douleur de la perte de Léa, tout comme je me souler le soir dans la maison de ma mère à cause de la douleur afin d’oublier. Qu’elle veuille le frapper, me fis sourire, je pouvais bien le faire moi-même. Je l’écoute alors qu’elle parle de lui montrer ce que c’était d’être une sorte de jouet, donc lui montrer c’était de l’embrasser, je ne comprenais pas, mais taisais pour la laisser parler, elle a quoi ? embrasser dans le cou, cela est différent de dire qu’elle l’a embrassé tout court. A l’entendre parler, on voyait qu’elle lui voulait du mal, mais qu’il y avait pas que ça, je n’étais assez con pour ne pas le sentir. Je la regarde dans les yeux « tu voulais lui faire du mal, mais est-ce l’alcool qui agissait ou bien la fille qui l’a aimé pendant dix ans Ivy ? Maintenant que tu as raconté, je veux que tu me montre ce qui est la chose que je t’ai demandé, je veux que tu fasses exactement ce que tu lui as fait ce soir, les actions je demande, maintenant vas-y, car dans ce que tu as dit tu l’as pas seulement embrassé, tu m’as caché d’autres choses. Je ne suis pas blessé, j’ai passé l’éponge sur l’erreur que tu as commise, mais je veux que tu sois libérer, alors maintenant viens à califourchon sur moi et viens m’embrasser comme tu lui as fait » je l’attends afin de voir si ce que je redoutais était vrai, ferait-elle pareil « et la gifle tu la mettras aussi compris » Je voulais savoir, j’en avais besoin…