Un gars ou une fille? • JUNEL ♥

De toute façon, l'important c'est de passer nos derniers jours ensemble. Car si tout va bien, dans pas longtemps nous allons avoir notre chez nous et le campus sera loin derrière. Bien sur, les cours vont continuer pour chacun de nous, mais nous dormirons dans notre bulle. Je suis pressé, mais je sais aussi a quel point c'est important pour June d'être chez les violets. Cela fait des années qu'elle y est. Et puis, son sourire, j'en suis complètement dingue. Bon, il ne dure pas tellement longtemps car mes petites plaisanteries ne sont pas très bien prises par ma petite amie. Malheureusement.
Je ne voulais pas relever, car une dispute ne servirait a rien. Je crois que c'est l'échographie joue sur nos humeurs aussi. Je ne veux pas le montrer, mais j'ai peur, alors je sais que ma jolie brune aussi. Alors, les émotions plus les hormones de la grossesse... C'est un cocktail explosif. C'est bien pour ça aussi que je ne refuses pas d'y aller en moto. Elle conduit bien, mais dès que nous avons notre maison, c'est dans le garage et elle ne bougera plus de la. Tant pis si elle me crie dessus.
Arrivés a l’hôpital, je descends et je retires mon casque en tentant de remettre mes cheveux en place. Nous rejoignons la salle d'attendre, et je n'arrêtes pas de gigoter. Heureusement, le nom de ma petite femme se fait entendre, et je rentres donc en sa compagnie pour connaître le sexe de notre futur bébé. Je gardes la main de June, et je regardes le médecin qui met le gel et son appareil sur le bidou. Sauf que la, mon coeur s'arrête quand il annonce qu'il y a une erreur dans le dossier. Je fronces les sourcils, et je ne dis rien. De toute façon mon amoureuse s'en charge bien. Quand le monsieur dit que c'est quelque chose qu'on ne capte pas spécialement aux premières échographie, je passes ma main sur mon front et mes cheveux en soufflant. Aucun mot ne sortait, franchement, je crois que je vais faire un malaise si il ne se dépêche pas de dire ce qu'il se passe. Ou alors je serais capable de l'attraper par le col de sa blouse.     " Putain... "   Etait la seule chose qui sortant dans un souffle. Mais la,... Il ouvre la bouche pour nous informer que dans le ventre de ma chérie se trouve pas un bébé. Mais deux. J'ouvres grand la bouche, et je hausses les sourcils. Mon coeur bat la chamade, et du coup, je suis soulagé. Et heureux! Je tournes la tête vers June en fermant ma bouche, et j'affiches un sourire. Mais je ne tardes pas a pincer mes lèvres pour éviter aux larmes de trop monter et de déborder.    " Je ne sais pas ce que tu en penses. C'est... Surprenant. Ont pensaient n'avoir qu'un seul enfant, et la il y en a deux. Je vais commencer par croire que la haut y'a un tout puissant. "    Petite pause pour reprendre mon souffle et continuer    " Je suis le papa le plus heureux. Dis moi ce que tu en penses parce que pour ma part, y'a que du bien "    Je lui embrasse le front en restant au moins trois bonnes secondes. Et je ne retiens pas une petite larme de bonheur. Je ne fais même plus attention au docteur.    

Je regardais le médecin puis mon petit ami, à vrai dire je ne comprenais rien, plus rien, le médecin semblait avoir un problème et moi j’avais très peur, je savais qu’une grossesse était à risque pour moi, que je ne pourrais peut être pas avoir d’enfants. Je pensais au début de notre relation que je ne pourrais jamais donner d’enfants à Gaël et j’ignorais que j’étais déjà enceinte à cette époque là, mais je ne savais pas que Gaël allait finir par être mon copain. A la base Gaël était mon meilleur ami et ça nous faisait prendre de gros risque cette relation. Je finissais par comprendre au fur et à mesure que quelque chose n’allait pas, le médecin était de plus en plus perplexe, il nous disait qu’il y avait une erreur et erreur, problème, tout ça, c’était compliqué, ça me faisait flipper, j’avais mal au ventre. Mais alors que je m’attendais plutôt à une mauvaise nouvelle et pas au fait que nous avions deux enfants en formation, je fis une espèce de O, de surprise, je n’arrivais pas à parler, je n’y arrivais plus. J’étais vraiment dans un état de stupéfaction très très poussé. Mon copain parlait mais moi personnellement j’étais complètement à côté de la plaque, je comprenais rien à ce qui se passait pour le moment. Je me disais que j’aurais seulement un enfant car avouons qu’il était très compliqué pour moi de tomber enceinte et là je me disais qu’on aurait vraiment notre petite famille. « Je suis très contente… ». Répondis-je seulement tellement je suis émue et je sens que des larmes coulent sur les deux côtés de mes joues. J’allais avoir deux enfants avec Gaël, un garçon et une fille comme nous en avions rêvés…Je voyais que Gaël était d’accord et heureux et je n’avais rien à dire.     

Je n'aurais jamais pu imaginer que je deviendrais papa vers mes vingt trois ans. Encore moins en formant un couple avec la fille qui était censée être ma meilleure amie il y a encore peu de temps. Sauf qu'effectivement, nous nous voilons la face, et un jour, nous avons compris que le bonheur se trouverait en formant un couple. La grossesse était un miracle, connaissant le passé de June. J'étais déjà heureux a l'idée d'avoir une petite famille avec elle, sauf que la, le médecin me fout un peu la trouille. J'étais tout tendu, mes muscles se contractaient sous l'attente d'une annonce. J'étais a deux doigts de me lever pour le secouer, sauf que heureusement pour lui, il explique le problème, du moins l'erreur. Je fais des yeux ronds, j'ouvre la bouche, et je ne comprends pas. Mes yeux se remplissent, et je décides de prendre la parole pour éviter de m'effondrer. J'étais vraiment rempli de joie, comme ci notre rêve d'avoir plusieurs enfants devenait réalité en quelques secondes. Et puis, ça nous permet de comprendre pourquoi ma petite amie avait un ventre aussi gros pour seulement cinq mois de grossesse.
J'embrasse mon amoureuse sur le front, et je demandes ce qu'elle en pense. Prise pas divers émotions, elle ne répond pas un long discours, mais c'est suffisant. Je lui souris, et je me tournes vite fait vers le docteur. " Et, c'est sur? La grossesse se déroule bien au moins? " Oui, malgré la merveilleuse nouvelle, je ne voulais pas non plus passer a coté de l'essentiel. Les trois personnes qui me sont le plus chères, risquaient un peu leurs santés. Alors a moi de vérifier si il n'y a aucun problème. Ma main sur celle de ma jolie brune tremblait encore. L'autre frottait mes yeux pour retenir les larmes. Je glisses furtivement ma bouche a l'oreille de June, et je lui dis dans un murmure " Je t'aime tellement... " Et je relève ma tête après lui avoir déposé un baiser rapide sur les lèvres. Mais, de quel coté de la famille il y a des jumeaux? Si c'est la mienne, je n'ai pas connaissance. Peut - être des cousins ou je ne sais quoi. Déjà; va falloir que je préviennes ma mère.    

Je n’arrêtais pas de pleurer, tout était trop beau pour être vrai pour moi, j’avais toujours du mal à réaliser, d’habitude je n’étais pas quelqu’un de chanceux. Je comprenais vraiment rien, je ne comprenais pas qu’on n’est pas vu lors de la première échographie que j’avais deux enfants dans mon ventre et j’avais très peur que Gaël me rejette, d’accord dans les mots il voulait à tout prix avoir plusieurs enfants mais en réalité, tout de suite, j’avais peur qu’il me rejette ainsi que les enfants. J’avais très peur de ne pas pouvoir assumer les deux enfants à moi toute seule sans que mon petit ami m’aide. Je souriais doucement lorsque mon petit ami me disait qu’il m’aimait beaucoup, j’étais contente. Il avait posé plusieurs questions et le médecin attendait pour répondre : « La grossesse se passe bien mais Madame, avoir deux enfants représente plus de risque alors que vous êtes une personne qui a déjà des difficultés pour tomber enceinte…Ainsi je vous demanderez de bien faire attention, plus d’efforts et de sports…Les jumeaux naissent en général prématurés donc il faut vous économisez pour que votre grossesse se déroule au mieux… ». Ce n’était pas vraiment mon genre de m’économiser et j’avais du mal à réaliser que je devais faire attention. Je regardais mes petits enfants bougeaient doucement. Le médecin continuait alors : « Plus en haut il y a votre petite fille elle est plus grosse et plus en bas, le petit garçon… ». Je souriais, puis je le regardais, apparemment il faisait des calculs scientifiques, je ne comprenais pas tout : « Ils sont en bonne santé, comme je vous disais faites attention à vous, la secrétaire vous donnera votre prochain rendez-vous… ». Il essuyait mon ventre avec un papier absorbant et j’étais tout sourire, en même temps mes yeux étaient humides, j’avais pleuré. J’étais contente d’avoir vu les enfants, nos enfants, je pris Gaël par la main jusqu'à sortir de l’hôpital et je lui demandais gentiment : « Tu n’as peur ? ». Oui, on multiplierait les soucis par deux et ainsi de suite.  

Il est vrai que les achats prévus seront multiplié par deux. En plus, vu que c'est une fille et un garçon, nous n'allons pas nous contenter d'acheter des trucs spécifique a un seul sexe. Mais franchement, j'étais prêt a assumer, et tellement heureux. Oui, c'est sur que certains prendraient peur, et je l'ai au fond de moi de ne pas être a la hauteur. Sauf que j'ai la meilleure coéquipière du monde. Quand le docteur reprend la parole pour indique si tout va bien, il fait référence aux soucis de June, en précisant qu'il allait falloir préserver son énergie. Chose que je voyais déjà difficile a réaliser en connaissant parfaitement ma jolie brune. Rien que pour la moto, je crois que le chemin retour sera le dernier. Bien sur, je vais me faire gueuler dessus, mais la, le professionnel a été assez clair.   " D'accord... Nous allons faire attention au maximum. "    Et je tournes la tête vers ma petite amie un instant pour lui dire   " Je sens que je vais me faire crier dessus, mais tu auras intérêt a m'obéir "    Je lance un petit rire pour ne pas la vexer tout de suite. Ensuite, mes yeux sur l'écran, je fais connaissance avec mes deux bébés. La fille, un peu plus grosse que son frère, et justement, le petit garçon. Totalement émerveillé, je ne parlais plus. Je me contentais d'admirer avec les yeux humides et un sourire de débile heureux sur le visage. Ma main gardait celle de ma moitié, et je caressais toujours son dos de mon pouce. Le médecin nous rassure une nouvelle fois sur la santé, et indique la fin du rendez vous. Je serais bien resté encore quelques minutes devant l'écran.
En amoureux, nous quittons l'hôpital après avoir prit le prochain rendez vous. Une fois dehors, June me demande quelque chose. Je mets mes yeux dans les siens, et je dis   " Peur? J'ai peur pour vous trois. Mais pas d'avoir deux enfants. Et toi mon Ange? "    Je l'embrasse tendrement, et je décolle un peu mes lèvres pour lui dire    " C'est merveilleux. Je n'aurais jamais pu espérer mieux que la vie que j'ai aujourd'hui. "    Et alors que j'allais lui dire que le retour en moto serait son dernier, mon téléphone sonne. Je le sors de ma poche, et le numéro de l'agent immobilier s'affiche. Je décroche.     

J’étais heureuse, très heureuse mais un peu de peur venait en moi. Oui, comment élever deux enfants toute seule, je ne savais pas, je ne serais pas être seule pour les élever tous les deux, même si je les aimerais à la folie. Je soupirais lorsqu’il me dit que je devais lui obéir, j’étais assez indépendante, pas vraiment du genre à écouter quiconque mais je devais le faire pour les bébés. Bon, je hochais la tête avant de lui dire : « Je t’écouterais mais bon, tu sais d’avance que ça sera pas facile ! ». J’ai du genre à avoir un mauvais caractère et à ne pas me laisser faire, surtout en ce moment avec les hormones. Je reprenais ensuite la parole, pour lui demander si il n’avait pas peur, avoir deux enfants à 23 ans ça faisait beaucoup. Moi j’étais prête, je n’avais jamais été aussi prête, je voulais avoir ma famille et mon mari, ma maison et être une femme, une vraie femme, d’ailleurs c’était mes dernières années d’études maintenant. « Si un peu, j’ai peur de me retrouver toute seule avec les enfants, si on se sépare ou je sais pas…. ». Je ne voulais pas penser au pire mais on ne sait jamais. J’avais très peur qu’il arrive quelque chose à mon amoureux ou que le temps finisse par nous séparer. « Oui, comme ça je n’aurais pas besoin d’être enceinte de nouveau ! ». Je me mis à rire, une seule grossesse, c’était déjà bien risqué pour moi mais j’étais heureuse d’avoir deux bébés dans mon ventre. J’entendais ensuite le portable de mon amoureux et je lui demandais en lui prenant le bras : « C’est qui bébé ? ». Oui j’étais du genre curieux et un peu jalouse. Je n’imaginais pas que l’agent immobilier était entrain de passer un coup de fil à mon petit-ami pour lui annoncer ou non que nous allions avoir la maison ou pas.  

Franchement, j'avais l'impression que la chance me souriait beaucoup trop en peu de temps. Avoir une petite amie aussi merveilleuse, apprendre que nous n'attendons pas un, mais deux bébés... Franchement, j'ai un peu peur que la nature se rende compte du trop plein de bonheur qu'elle offre, et qu'elle décide d'en reprendre. En tout cas, c'était a moi maintenant de reprendre un peu de liberté chez ma petite amie. Bien sur, June me conforte dans l'idée que ce ne serait pas une chose facile. Je lui dis alors avec un joli sourire     " Je sais. Mais tu vas obéir pour nos deux merveilles. "     Je ne veux pas l'avoir au chantage ou par les sentiments, je lui indique juste la première motivation pour tenir en place. Je tenais vraiment a tenir dans mes bras, les deux futurs trésors de ma vie. Je suis jeune, mais pourtant bien déterminer a mener a bien ma vie de famille. Et, je ne cesserais pas de le montrer a ma jolie brune.
Dehors, en se tenant la main tendrement, j'ai le droit a une question sur la peur. Et sa réponse me fait garder les yeux sur son visage. Je pinces un peu ma lèvre inférieure, et je lance un petit soupire avant de reprendre la parole    " Tu ne seras jamais seule. Et si par malheur, nous nous séparons, je ne te laisserais jamais avec les enfants. "    Quel homme. Mais je suis sincère. Certes, je ne peux pas assurer que notre couple durera toute une vie bien que j'aimerais, mais au moins, je peux informer que jamais je ne prendrais la fuite. Nos jambes commençaient a avancer, et sa phrase me fait lancer un petit rire. Je dis    " Deux c'est bien. Si nous voulons un troisième, et si c'est possible. Nous attendrons un peu de temps "    et je reprends un sourire sur mes lèvres. Mon téléphone, il se met a sonner et du coup je le sors de ma bouche pour décrocher. Quand mon amoureuse jalouse me demande de qui il s'agit, je décolle un peu l'appareil de mon oreille pour lui laisser entrevoir le nom.
" Oui, très bien. Oui oui... C'est parfait. Eh bien, envoyez moi un e-mail pour fixer tout ça. Non non, aucune contrainte. Oui voilà, faisons comme ça. "     Quelques petits mots vagues, et je raccroche. Je hausses mes sourcils, et mon regard reste planté dans le sol alors que ma bouche affiche un sourire encore plus grand. Je lance un petit rire, et je dis en reposant mes yeux dans les siens    " Mon ange, faut jouer au loto... Nous avons la maison. "    Quelle journée! J'ouvres mes bras pour l’accueillir dedans.     

Je me mis à rire lorsqu’il me dit que je vais obéir pour nos deux enfants, nos deux petits bouts, oui, ils méritent bien cela tout les deux mais de là à avouer que je vais lui obéir comme une femme soumise, c’est un grand pas à faire, je me mets à rire avant de lui répondre : « Tu crois que je vais t’obéir Monsieur Vesper, et pourquoi le ferais-je ? Moi je n’obéis à personne Monsieur ». Je l’embrasse amoureusement, bien sûr, rien de tout cela n’est sérieux et je veux juste le faire rire un petit peu. Il parle ensuite d’une éventuelle séparation et ça me fait mal au cœur, j’ai mal de penser que notre famille pourrait se dissiper. J’avais du mal à croire qu’a cause d’une de mes erreurs, ou une des siennes, tout notre bonheur pouvait voler en fumée. « Tu penses qu’un jour on pourrait être séparé ? ». Oui pour moi c’était tout simplement impossible, j’aimais trop mon petit ami pour qu’il se passe quelque chose de mal entre nous. Mais il me parlait juste après d’un troisième enfant et je sais pas si j’en voulais un, on dirait que Gaël en voulait toujours plus mais pour moi, deux enfants, des jumeaux en plus c’était suffisant, je lui répondis alors gentiment : « On en reparlera quand monsieur aura du yaourt plein sa chemise et du vomi de sa fille dans ses cheveux ! ». Je lui demande ensuite de qui il s’agit quand je vois qu’il reste un peu longtemps et je vois de très loin qu’il s’agit de l’agence. J’attends quelques minutes et j’entends que mon petit amoureux a eu la maison, c’est vraiment le meilleur, je ne sais pas quoi dire. Je l’embrasse à pleine bouche avant de lui répondre : « Tu sais que je t’aime, tu vas être bien récompensé ce soir.. ». Non, non, je ne parle pas du tout de coucher avec mon petit ami pour le récompenser de ses nombreux efforts. Je me cale doucement contre lui avant de répondre : « Je t’aime à la folie mon amoureux ! ». Je me serre contre lui avant de revenir à la moto pour pouvoir rentrer chez nous. Enfin plutôt à la Quincy House mais il voulait peut être aller ailleurs. « Tu veux faire quelque chose cet après-midi… ».   

Elle me taquine la vilaine, mais j'adore. Son rire se mélange parfaitement bien au mien, mais du coup, je reprends la parole pour sortir une chose toujours moins sérieuse que la sienne    " Je vais sortir le fouet, tu vas obéir c'est sur! "     Oui le petit fouet dans sa mallette magique. Je me mets a sourire et je prolonges le baiser amoureux. Nous sommes tellement bien ensemble. Effectivement, c'est difficile de parler de séparation. Je disais juste que si jamais ça devait arriver, je resterais présent dans ma vie de famille. Mais je ne voulais pas, non, j'étais bien trop dingue de June pour m'imaginer ne plus être avec elle. Je sais qu'il y a des coups durs, et que tout ne sera pas rose comme aujourd'hui... Sauf qu'elle est l'amour de ma vie, alors je reviendrais toujours vers elle quoi qu'il arrive. Je la fixes, et je dis sincèrement    " Non. C'est une chose qui peut arriver, mais moi je ne le veux pas. Alors tu vas devoir me supporter mon Ange "    et je souris gentiment. En plus, comment penser a une éventuelle rupture alors que nos jumeaux grandissaient de jour en jour dans son ventre? Ma jolie brune avait fait de moi l'homme le plus heureux du monde en six mois. Et bien avant en faite, car en tant que meilleure amie elle savait me donner un sourire. Quand j'en viens a parler d'un troisième enfant, la réponse de ma moitié indique que ce n'est une chose qu'elle veut. Du coup, elle tente de me dissuader en expliquant que j'en reparlerais plus tard, quand j'aurais découvert la joie d'avoir deux petits monstres.      " Argh... Pour les couches d'ailleurs... Tu vas t'en charger car tu es la plus gentille et la plus merveilleuse des femmes. "    Je tentes de pinces mes lèvres, mais je pouffe de rire. Non, je plaisantes, je le ferais aussi. J'avais juste envie de la faire criser un peu! C'est surement raté vu que je viens de rire comme un abruti mais bon.
L'appel du monsieur de l'agence immobilière tombait a pic. Je venais d'annoncer a June que c'était bon, que la maison était a nous. Du coup, je reçois un baiser a pleine bouche que je prolonges en passant mes deux mains dans son dos. Je recules ma tête pour avoir ses beaux yeux dans les miens, et je dis    " Je t'aime comme un dingue. Et jusqu'à la fin de ma vie. "    Et je lui dépose un baiser furtif en souriant, toujours autant. Contre moi, j'avance vers la moto, et je caresse l'épaule de ma petite amie avant d'entendre sa question. Je soupires en réfléchissant, et je dis   " Maintenant que nous avons confirmation pour la maison. Ont pourraient aller voir des meubles, des décorations ou des choses pour nos enfants? "     Une idée comme une autre hein.     

Sortir le fouet, voici quelque chose qui m’intéressait soudainement, j’aimais bien quand mon petit ami se faisait un peu plus dominant qu’il ne l’était en réalité, je voulais qu’il montre son côté dominateur avec moi, il l’a fait à une ou deux reprises et on pouvait peut être utilisé très bientôt le fouet de ma petite mallette. J’avoue que pour l’instant notre vie sexuelle est assez intéressante pour ne pas faire avec ça et puis faut avouer aussi qu’avec ma grossesse, je ne fais pas des choses qui peuvent mettre en danger mon bébé, enfin du coup mes bébés : « Mais ouiii, j’adore quand tu parles comme ça, va-y… ». Je passe une main sur son sexe juste pour l’énerver et qu’il me réponde quelque chose là, toute de suite, j’aimais bien l’exciter. Et voir que je lui faisais toujours de l’effet aussi. Je faisais oui de la tête, je lui réponds très gentiment : « Je veux te supporter toute ma vie, même quand je serais vieille et ridée ! ». Je riais. J’étais vraiment trop mignonne, je l’embrassais sur la bouche lorsqu’il me disait que j’allais me charger des couches, non, là il délirait un peu. Si nous avions deux enfants je n’allais pas m’occuper des couches des deux. Je fis une grimace avant de lui répondre : « Non, c’est tout simplement hors de question…Tu vas m’aider et voilà…Fais gaffe tu me cherches mais vu que je suis enceinte ça peut faire mal ! ». Moi aussi je ris avant de le prendre doucement dans les bras. Il me dit qu’il m’aimerait jusqu'à la fin de sa vie, moi aussi je l’aimerais comme une folle et encore longtemps. Je lui fis un baiser avant de lui répondre : « Moi aussi, jamais j’oublierais notre histoire, ce qui c’est passé, les enfants que tu m’as donné ! ». C’était le seul homme qui m’avait donné un enfant donc j’en étais heureuse. Et je le remercierais toute ma vie pour ce don précieux. Il me proposait d’acheter des meubles et des affaires pour mes enfants, d’un naturel prévenant j’aurais attendu encore un peu mais fallait être lucide, mes enfants allaient bien donc je pouvais prévoir quelques affaires pour eux : « Oh oui, cool, j’ai hâte… ». Je m’avançais vers la moto, pour l’instant Gaël n’avait rien dit à ce propos.