ALEXYS&THIBALT † sex, drung and drink !

Est-ce que je ferais une sexy belle-mère ? Non enfin du moins, c'est pas comme ça que je me voyais. Après tout, j'étais du genre à porter des talons uniquement lorsque j'étais obligée, en soirée. Enfin, je ne me maquillais pas à outrance, j'étais plutôt naturelle comme fille, peut-être un peu trop naturel même. En gros, je ne me considérais pas comme sexy et aux dernières nouvelles, je ne pouvais pas être belle mère par conséquent, c'était surement mieux ainsi. Pourtant, ses propos me faisaient rire et je me mordais légèrement la lèvre avant qu'il ne m'attrape pour plaquer ses lèvres contre les miennes. Evidemment, je protestai en lui disant qu'il n'avait pas le droit de partir comme ça. Je levais les yeux au ciel alors qu'il se pensait surement invincible, intouchable. Il me tendit un peignoir et je l'observais en fronçant les sourcils. T'en as un pour chaque meuf qui passe par ici ? En vrai, t'en avais rien à foutre, c'était juste pour le faire chier et tu finis par rire de tes propres conneries. Il attendait que j'aille me changer à la salle de bain mais, j'étais plus vraiment capable de faire les cent pas dans l'appart là alors, je retirais mon haut et mon jean pour me retrouver en sous-vêtement genre normal et puis, je me retournais pour retirer mon soutien gorge avant d'enfiler le peignoir et de laisser tomber mon dernier sous vêtement pour ensuite refermer le peignoir et me retourner vers lui. J'ai pas vraiment eu besoin de la salle de bain finalement !

(Invité)

Tu avais un tas de bordel dans cette armoire, il est vrai que tu avais de tout et de rien. Tu sortais un peignoir, tellement doux que tu serais capable d'en enfiler un, juste pour la douceur. Bref, tu tendais le peignoir à la demoiselle avec un léger sourire. Avec elle, tu ne te gênais pas pour dire la vérité, en même temps c'était la base dans une relation amicale comme celle-ci. Tu ne gardais jamais ta langue dans la bouche, tu disais toujours ce que tu pensais. Ben oui, pour toi elle était sexy, elle avait un corps sublime, et elle était magnifique au naturelle. Tu préférais une femme comme elle, qu'une femme comme les eliots, tirés par quatre épingle, avec quatre couches de fond de teint. Tu t'appuyais sur le canapé, la regardant de bas en haut. Trempé de la tête au pied et la seule vengeance qu'elle avait trouvé était d'essorer ses cheveux sur toi. Tu t'attendais à mieux venant d'elle et au final, non. Mais, tu avais réussi à lui voler un baiser et tu n'avais pas reçu une gifle ou quoi, juste une remarque. Pourquoi pas après tout ? Si tout le monde réagissait ainsi, tu ne dirais pas non. « Il y a peu de meuf qui passe ici, donc sois contente tu es l'unique. » lançais-tu d'un seul coup. Tu avais toujours trouvé un autre endroit pour une femme, tu ne voulais pas que ton appartement devienne un lieu de sexe ou quoi. Enfin tu ne voulais pas être emmerder par toutes les femmes que tu sautais et de même pour les hommes. Au lieu d'aller dans la salle de bain, elle commençait à se déshabiller devant toi. Pourtant tu ne baissais pas les yeux, ou tu ne te retournais même pas. Elle avait simplement tourné pour enlever son soutient-gorge. « Non mais tu es sérieuse ? Tu veux vraiment me faire craquer ou bien ? » lançais-tu en crisant les bras.

(Invité)

Apparement, j'étais l'unique. Je n'irais pas jusque là mais, ça me fait sourire quand même. Je suis quelqu'un de pudique. De pudique qui l'a franchement oublié ce soir. Sans doute est-ce du à l'alcool qui coulait dans mes veines ou tous les joints qui me faisaient tourner la tête. Une seule chose est sûre oui, je l'ai oublié et je m'en fous de me retrouver en sous-vêtement devant Thibalt. Je me retourne tout de même pour enlever le reste, prenant soin de mettre le peignoir qu'il m'avait filé entre temps histoire de ne pas finir à poils non plus. Finalement, je me retourne pour lui faire face, le sourire aux lèvres, fière de ma connerie. Il me demande si c'est pour le faire craquer et je m'approche de lui, pose mes mains sur ses cuisses tout en me baissant pour me retrouver à sa hauteur, à quelques centimètres de lui. Vengeance...! Murmurais-je avant de lui faire un clin d'oeil et de m'installer à ses côtés comme si de rien était. Faut dire qu'il m'avait vraiment changé pour le coup, c'était le minimum que je pouvais faire.

(Invité)

Il est rare que tu amènes une femme ici, il y a très peu de personne qui connaisse vraiment ton appartement, et ta vie. Tu as toujours réussi à amener quelqu'un là ou tu désirais. Un hôtel, une autre chambre, dans leur chez eux. Tu t'éclipsais à chaque fois à ton réveil, ne restant jamais avec une conquête. Tu ne veux pas qu'il y ait un seul lien, seulement de la baise, du plaisir pour une soirée, basta. Tu es assez dur sur tes règles, mais tu l'avais fait pour toi et à cause de certains événements. Tu étais peut-être perçu comme un connard qui ne faisait que de baiser, sans même laisser un mot. Mais après tout, c'est ce que tu recherchais, tu ne voulais pas être aimé, tu ne voulais pas avoir une bande de poule à tes trousses. Tu voulais vivre tranquille, te vider quand tu en avais besoin, sentir le corps d'une femme entre tes mains ainsi de suite. Elle était l'une des premières à rester aussi longtemps chez toi, et c'était bien parce que c'était elle. Tu rigoles légèrement et ton regard se pose sur elle. « Tu parles d'une vengeance, ce n'est rien. » lançais-tu, en la laissant prendre plus sur le canapé à tes côtés. Elle était magnifique dans ce peignoir, peut-être même un peu trop. Sans plus attendre, tu décides de poser de nouveau tes lèvres contre les siennes. A tes risques et périls, mais tu aurais tenté de nouveau.

(Invité)

Je ne sais pas vraiment ce que je fais. Je crois que je joue simplement, que je profite d cette soirée. Je sais que je n'ai pas tous mes esprits mais, c'est ça qui est vraiment bon. Je le cherche c'est clair, je le provoque pour le faire percuter, pour me venger de toute à l'heure bien qu'il trouve que ce n'est pas assez. Moi, je me trouve pas mal dans mon rôle. Je m'installe donc à ses côtés et je croise les bras en restant de marbre jusqu'à ce que ses lèves se posent de nouveau sur les miennes. Alors, je passe mes mains derrière sa nuque, attirant son visage un peu plus près du mien tout en prolongeant son baiser avant de murmurais à ses lèvres : N'espère pas obtenir quoique ce soit venant de moi ce soir... Je souris légèrement. Comme apparemment la vengeance n'est pas assez terrible mais malgré tout, je le mets au défi de tenter. C'est ça qui est marrant, c'est ça que j'aime vraiment, je dois bien le reconnaître ! Une vraie garce, comme autrefois !

(Invité)

Jouer c'est la base, mais là tu commençais à perdre. Ben oui, tu commençais à te laisser aller vers une envie plutôt soudaine. En même temps, elle était sexy, elle était limite nue devant toi alors pourquoi se retenir. En plus, ce n'était pas comme si elle t'avait repoussé la première fois ou tu l'avais embrassé. Un léger sourire sur tes lèvres, elle te faisait rire, prenant place à côté de toi. Tu retentais une nouvelle fois, déposant tes lèvres contre les siennes. Un long et doux baiser à la fois et celle-ci répondait positivement à ton baiser. Sauf qu'elle glissa une phrase, qui te laissait rigoler légèrement. « J'aime bien les femmes avec du caractère, ça tombe bien. » soufflais-tu doucement, et d'un seul coup tu te levais, la prenant dans tes bras, tel une princesse pour l’amener dans ta chambre avant de l'allonger sur le lit, te glissant au-dessus. « Tu es sûr de ce que tu dis ? » soufflais-tu doucement, déposant quelques baisers dans son cou. Il faut parfois tenter le diable, jouer avec le feu, ça vaut parfois le coup.

(Invité)

Je crois que je n'ai jamais été une femme facile. Non moi, je suis plutôt compliquée et j'aime bien jouer. Quand c'est trop simple, j'ai tendance à m'ennuyer, à me lasser pour ensuite faire merder les choses. C'est ma façon d'être. Je suis pas quelqu'un de bien et je sais que Thibalt ne l'est pas non plus. Je sais qu'il ne va pas s'arrêter là et c'est d'ailleurs pour cette raison que je joue avec lui. Je réponds à son baiser mais, je lui avoue qu'il n'obtiendra rien de moi. Pour être une femme de caractère, on peut dire que je le suis. Sans doute un peu trop même ! Il me porte jusqu'à sa chambre bien que le canapé moi, ça m'aurait très bien été. Puis, il se dresse en dessus de moi en me demandant si je suis sûre et certaine de ce que je dis. Je suis on ne peut plus certaine ! ajoutais-je alors que mon corps disait totalement le contraire. Je fermais les yeux en me mordant la lèvre quand il déposa des baisers dans mon cou, penchant légèrement la tête pour lui faciliter le passage. Oui, j'aime bien être compliquée, surtout ce soir apparemment.

(Invité)

Tu n'attends pas une minute de plus, tu la portes doucement jusqu'à ton lit. Ton canapé est top, mais c'est toujours mieux d'avoir de l'espace pour faire ce que tu désirais avec une femme comme celle-ci. Et même si pour le moment tu étais toujours au même niveau : O. Tu allais finir par réussir à la faire craquer, tu ne devrais pas sachant que Tim était derrière tout ça. Mais ce soir, ton portable était loin de toi du moins, en silencieux et tu pouvais faire ce que tu désirais. Tu en avais besoin et elle également, trop de problème tue le problème. Tu la dépose doucement et tu te glisses au-dessus d'elle, la regardant un instant dans les yeux. Sûre et certaine un léger sourire se glisse sur tes lèvres, il était temps de passer à l'action et de lui prouver le contraire. Sa vengeance n'allait pas durer bien longtemps, du moins c'est ce que tu pensais. Tu déposais des baisers le long de son cou, tendre et long. Tes mains glissèrent jusqu'à l'attache du peignoir pour le défaire d'un seul coup. La regardant un instant bouger, son corps disait bien le contraire de son cerveaux. Tu continuais tes baisers, descendant petit à petit, écartant légèrement le peignoir. T'arrêtant juste au-dessus de sa poitrine. « Tu veux que je continu, ou je m'arrête là ? » soufflais-tu doucement, plongeant ton regard dans le sien.

(Invité)

Je savais que j'allais une nouvelle fois faire n'importe quoi parce que c'est comme ça que je suis. Il suffit d'une seule et unique soirée, de quelques joints, de quelques verres pour devenir une toute autre personne. Ça me fait rire d'avoir le contrôle, de pouvoir décider. Pourtant, je dois avouer que là, je suis pas vraiment en capacité. Il défait l'arrache de mon peignoir d'un geste habile, me regarde et reprend ses baisers là où il les a arrêté. Mon corps se dresse sous le sien et de nouveau, île pose une question en s'arrêtant au dessus de la poitrine. Techniquement, c'est pas moi qui suis en position de décider quoique soit là ! Bah ouais, c'est lui qui domine non ? Même si ça me fait grave chier je dois le reconnaître. J'aurais bien aimé le torturer encore un peu !

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