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COKA ✮ Keep calm, it's not a real lollipop.

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Comment voulait-il que tu gardes le suspsens alors que ton sang bouillonnait, alors que tu ne supportais plus votre situation, alors que t'en avais marre qu'il aille bécoter à droite et à gauche et qu'il vienne te trouver pour baiser. T'avais juste l'impression d'être son plan cul, la meuf qui n'avait plus aucune importance à ses yeux, réduit à juste lui faire kiffer sa life pendant plus de deux heures sur le Mont Everest avant qu'il ne t’envois chier. Tu n'avais même pas eu le temps de répondre que tu te retrouvais plaquée brutalement contre le mur tandis que tu l'écoutais parler en serrant les dents et les poignets. En écoutant son speech, tu ne regrettais pas ton coup. Le mec qui reconnaissait ses tords et qui continuait à les faire en rejetant après la faute sur toi. Great. « Paloma, Alaska, Solveig, Echo, Dixie et peut-être même qu'il y en a d'autres, j'en sais rien. » Répétais-tu simplement assez froide. « Cite moi donc un mec que j'ai embrassé depuis que je t'ai rencontré, vas-y j'attends. » Non parce que c'est facile de te remettre la faute. « Une danse, rien qu'une danse et t'es dans cet état. Mais TOI ! Toi t'as fait plus que ça et après tu oses me dire que j'ai décimé tous tes espoirs en aguichant Camilo alors que j'étais saoule putain et que je m'en rappelle même PAS !. T'en a rien à foutre de mes espoirs aussi ? Non parce que c'est facile de remettre toute la faute sur moi, ouai c'est facile. Depuis que je suis revenue je n'arrête PAS de vouloir me faire pardonner, j'arrête pas, je me suis excusée, je t'ai demandé pardon, tu veux quoi de plus ? Tu veux que je me mette à genoux et que j'te lèche les pieds ?. Tu crois que si je ne reconnaissais pas mes tords je t'aurais demandé pardon ? NON !. Toi, tu t'es excusé ne serait-ce qu'une fois de n'avoir pas été là cette nuit là ? De n'avoir rien tenté pour me retenir ? NON ! Parce que chez Cody Bleeker, tout ça n'existe pas. Je t'ai presque supplié de me reprendre, je faisais ton éloge auprès de mes proches pour leur faire comprendre qu'ils ne devaient pas te juger sur notre histoire, que t'étais un mec bien sinon j'en serais pas tombée amoureuse et pendant ce temps, toi tu galochais des nanas. Excuse-moi, mais si tu reconnaissais vraiment tes tords, tu ne serais pas là à faire gaffe sur gaffe. Si tu voulais qu'on reprenne, t'aurais pas perdu ton temps à embrasser et ou à te laisser embrasser par je ne sais qui. Toi, c'est maintenant que t'as mal et pour un truc qui ne vaut même pas le quart de ce que tu fais, mais moi, depuis mon retour tu ne fais que ça, me faire mal et je ne cesse de te répéter que ça me tue de te voir embrasser une autre, mais rien à faire, tu n'en fais qu'à ta tête. Ensuite, tu viens me le reprocher ! TROP FACILE !. » Haussais-tu la voix en le poussant violemment. « Si je voulais te faire du mal, je n'aurais pas perdu du temps à essayer de te reconquérir, j'aurais moi aussi joué avec le feu, j'me serais pas privée de fourrer ma langue dans la bouche d'un mec ! Ou même de me laisser embrasser juste pour te rendre jaloux. Sauf que tu vois, je sais que ça te fera du mal et tout ce que j'veux plus, c'est que t'ais mal. Mais apparemment, toi tout ce que tu veux, c'est me voir plus bas sous terre. Bravo ! Car depuis mon retour tu me le fais bien payer. » Payer pour ton erreur et pour ses erreurs en même temps. « Tu vois là, j'en ai juste MARRE que tu me prennes pour un jouet, quand tu veux, tu me jettes dans un coin et quand tu veux, tu me reprends. Là ce soir, si tu me laisses partir, sache que je ne reviendrais plus et ce, même s'il faut que j'en souffre de mon côté. De toute façon, tout ce que tu désires, c'est de nous voir souffrir... » Alors que vous pourriez repartir doucement à zéro, vous pourriez revivre à nouveau votre histoire et peut-être qu'elle sera encore plus belle, qu'elle en sortira encore plus forte parce qu'il est évident que vous vous aimiez putain. Ça crève juste les yeux. Bref... Tu commençais à remettre tes chaussures en récupérant ton sachet de chips, pas question que tu lui laisses ça et puis quoi encore ?. T'allais faire ta gourmande OUAI !. N'empêche que tu prenais tout ton temps pour rhabiller tes chaussures alors que c'était plus facile quand tu les avais chaussés avant de venir. CHUT ! T'espérais qu'il réagisse pour la première fois de sa vie.
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outch ! this hot as ember
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Oh, wow, ils en étaient donc là ? Encore à justifier les Paloma, Solveig, etc etc … ? Si Diamantika ne pigeait pas qu’il s’en foutait de ces filles comme de la dernière fois où il a retourné son caleçon pour le porter deux jours de suite et garder toute sa fraîcheur. Au bout d’un moment, il fallait arrêter la fixette. Bon, c’est lui qui disait ça alors qu’il la bassinait avec Camilo, mais en même temps elle n’avait pas fait que danser avec ; ils faisaient clairement l’amour à travers leurs vêtements. Cody était prêt à parier qu’il avait eu la demi-molle le Camimolle. Alors que Cody, c’était un fait avéré qu’il embrassait n’importe qui. Avec Joan, ils avaient même qualifié ce syndrome de syndrome de la Tourette du Bois Doré, le genre de truc vachement sérieux qui ne se soigne pas à coups de baguette magique. Donc même Mimi Geignarde OUPPSSS pardon Hermione Granger (même si la geignarde lui convenait A MERVEILLE puisqu’elle n’arrêtait pas de se plaindre sans arrêt et de pleurer parce que Harry ne l’aime pas) ne pourrait rien y faire. Il écouta son pavé, enfin Marie lut le pavé mais Cody l’écoutait. Il décrocha à quelques passages tant il avait l’impression d’écouter la discographie complète de David Guetta ; le son est bon, c’est rythmé, mais au fond c’est toujours le même leitmotiv. Quand elle pressa enfin le bouton carré pour stopper, Cody manqua de peu de lui demander si elle avait fini, puis jugea que le simple fait qu’elle récupère son paquet de chips répondait à la question. Vautour. Même pas elle lui laissait les chips, quoi. Elle était assise sur le lit et mettait un temps incroyablement long à se chausser (sachant qu’elle portait des ballerines, alors techniquement tu avais juste à foutre tes pieds dedans et roule ma poule, enfin marche ma poule, à moins d’être en fauteuil roulant, on ne roule pas). Et là, un tas de flux de décisions contraires s’enchevêtraient dans son esprit, à base de retiens-la, non ne la retiens pas, reprends son paquet de chips car tu as faim et tu les as mérité et soudain, il attrapa une chaise qu’il balança par la fenêtre. A la base, c’aurait dû avoir un effet dramatique, genre la chaise brise le carreau dans un bruit sourd, illustrant leur histoire qui se terminait. Sauf que la fenêtre était ouverte et la chaise atterrit donc dans le jardin. Bien Cody, Hector le jardinier sera heureux de voir ce que tu as fait de ses rosiers. « Putain ! » s’écria-t-il avant de se précipiter dans la salle de bain et en ressortir, armé de son sac de sport, duquel il extirpa une liasse constituée d’une quarantaine de feuilles, pliées, déchirées, malmenées, couvertes de tâches multicolores … Mmh, c’est quoi celle-là ? Y a du volume dis donc. Cody passa son doigt dessus et le porta à ses lèvres, murmura pour lui-même ; « Beurre de cacahuètes. » Mais pas le temps d’organiser un Masterchef. Son sang bouillonnait en lui-même, rien que dans sa façon d’être immobile on lisait une forme d’agressivité. Il s’approchait du li où se trouvait Diamantika avec la détermination d’un sprinter à un mètre de la ligne d’arrivée, et s’agenouilla devant la table de chevet. Se munissant d’un stylo, il gribouilla quelque chose en bas de la dernière page, avant d’enrouler les feuilles comme un parchemin, parchemin qu’il tendit à Kovache. « Epouse-moi. » Le ton presque agressif, il rivait ses pupilles vaironnes dans les siennes, attendant son jugement. Sa lèvre inférieure tremblait. Pas de peur. Il n’avait pas peur. Cody ressentait juste une forme de manque, le manque de l’alcoolique habitué à boire cinq pintes de bières par heure et qui se trouvait face à la cuvée ultime, la cuvée géante. Ouais, manière très glamour de décrire son amour pour Kovache, mais il n’avait jamais démenti être accro à elle. Il ressentait pour elle une forme d’amour proche de l’addiction mortelle, un désir ultime et insatiable qui consumait son bas-ventre, du masochisme,  de la démence à qui il demandait un asile psychiatrique. Ça le détruisait mais il en redemandait. Il était le bourreau et la victime. Elle était la victime et, qu’elle le veuille ou non, le bourreau à son tour. Ce qu’elle tenait entre ses mains ? La clef qui sortirait Cody de sa cellule. Les papiers du divorce, déposés par Joan mais jamais postés. Ils étaient à présent signés, datés par les deux partis et Diamantika en était la détentrice. Un livre se fermerait aujourd’hui et une fabuleuse histoire continuerait.
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outch ! this hot as ember
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Comment ça que tu mettais genre presqu'une heure pour enfiler de simple ballerines ?. Oui, mais c'était parce que tu voulais lui laisser le temps de réagir et pourquoi pas, ouvrir enfin les yeux. Ce soir, tu lui laissais une dernière chance de te retenir qui apparemment se passait très très très bizarrement. Tu voyais Cody soulever une chaise et la balancer par la fenêtre en mode yolo quoi. Itchhhh, il pétait son câble sayez, on avait perdu Cody. Maydey Maydey Maydey !. Restant sans voix, t'osais pas te lever pour voir si quelqu'un s'était prise la chaise en plein crâne le pauvre, non mais sérieusement Bleeker quoi ?. Oulalalalalala, t'hésitais finalement entre te dépêcher de mettre tes chaussures et te casser d'ici vite fait avant d'y passer toi aussi OU te cacher sous le lit par manque de temps pour franchir la porte avant son retour. Oui parce que monsieur s'était rendu dans la salle de bain et tu appréhendais un peu le retour de Codzilla. D'ailleurs, lorsqu'il revint vers toi, t'avais envie de lui dire qu'à Johannesburg, vous faisiez pareil pour vous débarrasser des meubles que vous ne vouliez plus, une tradition chelou et tu voulais lui demander s'il ne connaissait pas justement, mais tu préférais t'abstenir finalement. Et après, c'était toi qu'on traitait de tarée !. Non mais regardez-le à presque lécher une feuille de papier, OH GAD !. T'espérais ne pas avoir touché un point ultra sensible pour en arriver à ce qu'il perde vraisemblablement les boules ou les...couilles. Surtout lorsqu'il s'approcha de toi, t'avais envie de grimper sur le lit pour lui échapper, mais tu demeurais immobile. Encore plus choquée lorsque ton ex s'agenouilla carrément devant une table de chevet... « Co... ?. » Alors là, tu te demandais s'il n'était possédé par son Bleekermaléfique quand soudain, il te demanda presque agressivement, de l'épouser. T'écarquillais les yeux en laissant le parchemin atterrir dans tes mains. Soit, c'est toi qui avait mal entendu, soit il venait vraiment de te demander en mariage. Tu restais bouche bée. MAMA mais que se passa ?. Ton souffle s'accélérait et tu revenais à toi-même en fronçant les sourcils. « Pardon ? Qu'est-ce que t'viens de dire là ?. » Non parce que tu voulais être certaine de ne pas avoir entendu Éboue-moi... Comme les éboueurs qui ramassent les poubelles, nah mais z'avez vu ce papier en plus ? Pleine de tâche quoi, BEURKKK. Tu clignais deux fois des yeux en déroulant le papier pour te rendre compte qu'il venait de signer les papiers de son divorce avec Joan. KOAAAAAA ?? Donc t'avais bien entendu ?. Tu fusses prise d'une telle surprise qu'un hoquet s'emparait impérativement de toi. « Sorry... » Murmurais-tu en posant une main sur ta gorge. JUSTE AWKWARD moment !.  Le papier posé sur le lit, tu retenais ta respiration quelques minutes pour faire passer ce fichu hoquet qui gardait un peu plus le suspens là où il ne devrait pas y avoir. « 365 jours que j'attendais que tu m'le demandes... » Certes ça avait pris du temps, mais voilà, tu avais eu raison de patienter. « JE T’ÉPOUSE. » Haussais-tu sur une pointe d'agressivité à ton tour, l'attrapant ensuite par son col pour l'attirer subitement contre tes lèvres. Un baiser plus que passionnel, un peu plus sucré à cause d'une larme involontaire qui se hissait le long de ta joue sans que tu ne puisses vraiment la contrôler. Faut dire que c'est presque qu'un an et demi de pression, d'angoisse, de galère sentimentale qui retombait d'un coup. Toi qui avait toujours voulu porter son nom depuis que vos regards se sont croisés.
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Epouse-moi. Deux mots, neuf lettres et toute une vie pour leur donner du sens. Ces frissons au creux de son échine et son cœur rythmé aux battements de Miles Teller dans Whiplash ; c’est donc ça que ressentit Schmidt au moment où il demanda la main de Cece dans New Girl ? Et le Clochard ? A-t-il eu tous ses poils de queue au garde-à-vous quand il échangeait ses boulettes de viande avec Lady Darling ? Et Calypso Thomspers, s’est-elle sentie poussée des ailes en épousant Elizabeth Leroy, au point même que pour la première fois de sa vie elle a été capable de prononcer son propre nom de famille ? Parce que pour Cody Bleeker, c’était ça. Il vibrait encore plus que le smartphone d’un adolescent en fugue, harcelé par sa mère inquiète. Je ne peux pas exactement m’avancer sur la situation des poils pubiens du Canadien, mais la chair de poule assiégeait sa peau. Et pour la première fois, il n’avait pas envie de la surnommer Dia, Kovache ou encore Kovagin. Il voulait l’appeler Diamantika Bleeker. Et ça, jusqu’à ce que la mort les sépare. Ou Beyonce. Si elle débarquait en lui disant ’un mot de toi et je quitte Jay-Z’, ben j’peux vous dire que le choix de Cody sera vite-fait. Diamantika aura qu’à se consoler avec Jay-Z, il concurrençait pas mal le Canadien en couche de graisse. BREF. C’était insensé. C’était la folie qui égrainait leurs sens, parasitait leur raison et les poussait à commettre cet acte qui les lierait officiellement aux yeux de la loi. Aux yeux de tous, aux yeux de tout. « T’as bu ? » grimaça-t-il quand elle commença à hoqueter, sûrement dû à un reflux gastrique d’une bière mal digérée. Cody connut cette sensation du temps où il découvrait la douce sensation de la bière contre son palais. Elle se jeta finalement à ses bras – ou plutôt arracha le col de Cody pour qu’il fasse lui-même l’effort de se lever pour pas qu’elle ait à bouger son cul, devenir Madame Bleeker ne la rendrait visiblement pas moins flemmarde – et accepta sa proposition. ELLE A DIT OUI. « Il faut que j’appelle ma … » Et ses lèvres se pressèrent contre les siennes pour un baiser passionné, toutefois pas à la hauteur de ce qu’on espérait dans les comédies romantiques. C’est vrai, avec son hoquet, Cody entra en collision avec ses dents et se mordit la lèvre, ce qui – on est d’accord – dans d’autres circonstances seraient excitant, mais pas là. « … Mère. » termina-t-il en gardant son visage contre le sien, reprenant ses esprits. Mais pour ça, c’était un peu mal parti. Sa respiration demeurait saccadée, brisée par le tumulte, l’enchaînement et le revirement des émotions.
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Vous voyez ? Chez coka tout était imprévu parce que qui aurait cru que pendant une vilaine dispute, une demande en mariage se ferait ? Même pas eux en fait. Ça sortait si naturellement, ils ne réfléchissaient pas sur le coup, ils laissaient juste parler le cœur et c'est ça qui était beau. Vous vous aimez à votre façon et vous n'avez pas besoin de ressembler à tous les autres couples pour pouvoir vous marier. En tout cas, t'avais DIT OUI, t'avais rêvé de ce jour depuis trop longtemps pour que tu puisses réaliser là toute suite que CODY BLEEKER t'avais demandé en mariage. Il l'avait fait quoi et t'étais loin de croire encore cet instant possible, loin d'imaginer qu'il le fera un jour. Gad, c'était trop beau pour être vrai et si tu rêvais et bien t'aimerais beaucoup qu'on ne te réveille jamais alors. Cependant, lorsqu'il te demanda si t'avais bu, un large sourire s'étirait sur tes lèvres secouant négativement de la tête. « Non non, juste l'effet de surprise. » Car pour en être une ça l'était. Dire que t'allais devenir madame Bleeker. Diamantika Bleeker, Dia Bleeker, Diamant Bleeker, rhalalalalalala et tu pourrais passer toute la nuit à associer ton prénom à son nom de famille que tu trouverais de tous les côtés, badass. Même alors que tes lèvres se sont scellées aux siennes, tu ne pouvais pas t'empêcher de sourire, parce qu'à cet instant, il pouvait pleuvoir des météorites que tu pourrais enfin mourir en paix. Cette demande était déjà énorme pour toi. « T'auras tout le temps. Là toute suite, j'ai faim de toi, soif de tes lèvres... » Tu écrasais ces mots presqu'à bout de souffle contre sa bouche alors que les battements de ton cœur accéléraient de plus en plus. Tes doigts agrippaient son chemisier pour le retirer et le balancer ailleurs en vaguant ensuite sur son dos. Et puis, tes lèvres épousaient les siennes. Tu aspirais sa langue y enroulant la tienne. Ce baiser dura quelques minutes, tantôt toi dans sa bouche tantôt lui dans la tienne jusqu'à ce que t'y mettes fin en te levant pour l'attirer avec toi dans sa salle de bain. Sayez, disons que cette demande t'avait beaucoup inspiré. Du coup, une fois sous la douche, tu le poussais sans une once de douceur contre la paroi ouvrant rapidement l'eau sur vous. En mode tigresse, tes lèvres s'agrippèrent de nouveau aux siennes plus fougueusement, sauvagement pendant que l'une de tes jambes se faufilaient entre son entre-jambe là où tu lui avais fait un peu bobo. Là, t'étais beaucoup plus douce en faisant frotti frotta contre son short et son boxeur que tu ne mis longtemps à retirer. Pas vraiment équilibré puisque tu étais encore toute habillée toi.



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Je sais que Coka, c’est vachement dur à suivre. Pour preuve, j’ai eu des plaintes. Oui, des plaintes de lectrices exaspérées, à commencer par Briony qui m’a gueulé dessus parce que j’ai spoilé New Girl, puis Elizabeth qui râlait parce qu’elle ne comprenait pas d’où sortait cette demande en mariage. Bon, Liz, on s’en fout, de toute façon, elle ne comprend jamais rien cette fille. Vous savez, les chiens, les deux principaux sons qui sortent de leur bouche sont ’wouuuf’ et ’grrrrrrr’. Et bien Elizabeth, c’est ’hihihiiiii’ et ’j’ai pas compris’. Partant de cette information, je n’ai pas besoin d’en rajouter plus. Par contre, Brioche, je m’excuse publiquement dans ce RP. Pardonne-mooooiiii. Maintenant, passons à l’action, passons à la copulation de deux êtres sous une douche. Ouais, vous voyez, après que Cody se soit pris un coup de pied castrateur entre les papattes quelques minutes plus tôt (avant la demande en mariage et avant l’engueulade et avant qu’ils ne se bouffent les lèvres de la sorte) il n’aurait pas pensé que Diamantika finirait par lui sauter dessus. Elle lui arracha son sweat, le plaqua contre la paroi de la douche (parce que ouais, le lit c’est trop old school pour Kovache) et quand elle glissa une jambe sulfureuse entre les siennes, il se rétracta, se plaquant de tout son long contre le carrelage glacial. Désolé, traumatisme quoi. Ces derniers mois, Codynosaure a plus été habitué aux coups de boule de la part de sa rotule qu’aux étreintes chaleureuses, hein, j’suis désolée. Et lui aussi, l’était. « Oh ohhh, attention, tu l’as maltraité, crois pas qu’il se laisse toucher facilement maintenant. » Oui, il parlait de son pénis. Il ne tarda pas à finir nu comme un ver – un ver BG, mannequin pour Calvin Klein, la collection obèse – face à une Diamantika toujours vêtue de son rouge de diablesse. Et ses ballerines. Putain, elle le saoulait avec ses ballerines à la con, là. Déjà, elle met trois heures à les remettre, et là elle est sous la douche et elle n’était même pas foutue de les retirer. « Elles, elles ne vont pas me faire chier longtemps. » râla-t-il – encore – en s’agenouillant par terre et retirant un à un les souliers de l’Eliot qu’il lança à travers la salle de bain. C’est bien qu’il y ait des hommes comme ça sur Terre, prêts à dire ce qu’ils pensent, à prendre position et ne pas hésiter à s’exprimer quand les ballerines de leur meuf les énervent. Cody se redressa et, à l’aide d’un bras dans le dos de la belle, la plaqua contre lui, puis contre le mur. Il l’incita à se hisser sur lui, à enrouler ses jambes contre sa taille alors que le jet d’eau chaude coulait le long de son dos en feu. Il reprit possession de ses lèvres, perdant ses doigts dans la dentelle de la robe de Diamantika. « Pas de gouloum-gouloum avant le mariage. » rappela-t-il, l’air faussement désolé. Ce serait cool qu’il la laisse en plan comme ça. Pour l’emmerder. Pour la laisser sur sa faim comme elle l’avait fait à Phoenix. Elle le méritait, on est d’accord ?



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