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outch ! this hot as embermise en page par mad love Comment voulait-il que tu gardes le suspsens alors que ton sang bouillonnait, alors que tu ne supportais plus votre situation, alors que t'en avais marre qu'il aille bécoter à droite et à gauche et qu'il vienne te trouver pour baiser. T'avais juste l'impression d'être son plan cul, la meuf qui n'avait plus aucune importance à ses yeux, réduit à juste lui faire kiffer sa life pendant plus de deux heures sur le Mont Everest avant qu'il ne t’envois chier. Tu n'avais même pas eu le temps de répondre que tu te retrouvais plaquée brutalement contre le mur tandis que tu l'écoutais parler en serrant les dents et les poignets. En écoutant son speech, tu ne regrettais pas ton coup. Le mec qui reconnaissait ses tords et qui continuait à les faire en rejetant après la faute sur toi. Great. « Paloma, Alaska, Solveig, Echo, Dixie et peut-être même qu'il y en a d'autres, j'en sais rien. » Répétais-tu simplement assez froide. « Cite moi donc un mec que j'ai embrassé depuis que je t'ai rencontré, vas-y j'attends. » Non parce que c'est facile de te remettre la faute. « Une danse, rien qu'une danse et t'es dans cet état. Mais TOI ! Toi t'as fait plus que ça et après tu oses me dire que j'ai décimé tous tes espoirs en aguichant Camilo alors que j'étais saoule putain et que je m'en rappelle même PAS !. T'en a rien à foutre de mes espoirs aussi ? Non parce que c'est facile de remettre toute la faute sur moi, ouai c'est facile. Depuis que je suis revenue je n'arrête PAS de vouloir me faire pardonner, j'arrête pas, je me suis excusée, je t'ai demandé pardon, tu veux quoi de plus ? Tu veux que je me mette à genoux et que j'te lèche les pieds ?. Tu crois que si je ne reconnaissais pas mes tords je t'aurais demandé pardon ? NON !. Toi, tu t'es excusé ne serait-ce qu'une fois de n'avoir pas été là cette nuit là ? De n'avoir rien tenté pour me retenir ? NON ! Parce que chez Cody Bleeker, tout ça n'existe pas. Je t'ai presque supplié de me reprendre, je faisais ton éloge auprès de mes proches pour leur faire comprendre qu'ils ne devaient pas te juger sur notre histoire, que t'étais un mec bien sinon j'en serais pas tombée amoureuse et pendant ce temps, toi tu galochais des nanas. Excuse-moi, mais si tu reconnaissais vraiment tes tords, tu ne serais pas là à faire gaffe sur gaffe. Si tu voulais qu'on reprenne, t'aurais pas perdu ton temps à embrasser et ou à te laisser embrasser par je ne sais qui. Toi, c'est maintenant que t'as mal et pour un truc qui ne vaut même pas le quart de ce que tu fais, mais moi, depuis mon retour tu ne fais que ça, me faire mal et je ne cesse de te répéter que ça me tue de te voir embrasser une autre, mais rien à faire, tu n'en fais qu'à ta tête. Ensuite, tu viens me le reprocher ! TROP FACILE !. » Haussais-tu la voix en le poussant violemment. « Si je voulais te faire du mal, je n'aurais pas perdu du temps à essayer de te reconquérir, j'aurais moi aussi joué avec le feu, j'me serais pas privée de fourrer ma langue dans la bouche d'un mec ! Ou même de me laisser embrasser juste pour te rendre jaloux. Sauf que tu vois, je sais que ça te fera du mal et tout ce que j'veux plus, c'est que t'ais mal. Mais apparemment, toi tout ce que tu veux, c'est me voir plus bas sous terre. Bravo ! Car depuis mon retour tu me le fais bien payer. » Payer pour ton erreur et pour ses erreurs en même temps. « Tu vois là, j'en ai juste MARRE que tu me prennes pour un jouet, quand tu veux, tu me jettes dans un coin et quand tu veux, tu me reprends. Là ce soir, si tu me laisses partir, sache que je ne reviendrais plus et ce, même s'il faut que j'en souffre de mon côté. De toute façon, tout ce que tu désires, c'est de nous voir souffrir... » Alors que vous pourriez repartir doucement à zéro, vous pourriez revivre à nouveau votre histoire et peut-être qu'elle sera encore plus belle, qu'elle en sortira encore plus forte parce qu'il est évident que vous vous aimiez putain. Ça crève juste les yeux. Bref... Tu commençais à remettre tes chaussures en récupérant ton sachet de chips, pas question que tu lui laisses ça et puis quoi encore ?. T'allais faire ta gourmande OUAI !. N'empêche que tu prenais tout ton temps pour rhabiller tes chaussures alors que c'était plus facile quand tu les avais chaussés avant de venir. CHUT ! T'espérais qu'il réagisse pour la première fois de sa vie.
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