COKA ✮ Keep calm, it's not a real lollipop.

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mise en page par mad loveDernièrement, t'arrêtais pas de faire des trucs de ouf, de t'amuser comme une folle alors que tu t'étais pas amusée comme ça au summer camp. C'était peut-être la rentrée qui t'influençait autant, la bonne humeur de vouloir reprendre les cours et tout ça. En tout cas, pour ton bizutage, t'avais eu pour défi de draguer un mather et de crier au viole lorsqu'il tombera dans le panneau, chose que tu avais réussi haut la main. Par contre, tu fus surprise ensuite de découvrir que c'était un homo. La classe quoi, t'avais réussi à draguer un homo puisqu'il s'était laissé tenter. Fin c'était un mather et t'étais certaine qu'il se vengera. En attendant, avec un groupe d'amis, vous avez décidé de consacrer cet après midi à un paintball en tout bon honneur, tu avais même mis en statut sur ton whatsapp histoire que tes proches ne s'inquiètent pas s'ils essaient de te joindre. Bref, arrivée au le lieu de destination, tu enfilais une combinaison et un casque armé de ton arme. C'était cool puisque c'était un paintball en plein air, une sorte de mini forêt avec tout plein d'arbres et de caisses en bois, de pneus, tout plein de cachettes quoi. Parfait. T'allais déjà prendre place tandis que l'équipe adverse était déjà au complet. Le signal fut donné, ça courrait déjà de partout et toi t'avais même esquivé un tire en haussant haut et fort, un cri de guerre. Mais il ne fallait jamais crier victoire, car à la fin de ce combat acharné sur toi, alors que tu retirais ton masque, quelqu'un te tira en plein dans le mille sur ton cou, ce fut donc le coup de grâce. Piting que ça faisait un mal de chien. Toutefois, ce fut une belle journée, mais il fallait rentrer maintenant... De retour chez toi, tu prenais rapidement une douche constatent le bleu sur ton cou, on pourrait croire qu'un homme t'a littéralement sucé la peau god. En tout cas, tu ne prenais pas la peine de le camoufler parce que t'avais rien à cacher et ce, même si tu te rendais à la winthrop house t'invitant chez ton ex pour visiter sa nouvelle chambre ou plutôt l'inaugurer avec tout plein de bons amuses-gueules. Des chips, des chocolats etc... Pour la visite, t'étais vêtue d'une petite robe rouge manche longue et à peine maquillée, ainsi que des ballerines assorties. Inspirant et expirant un bon coup, tu toquais à la porte de sa chambre tandis qu'un gars -surement son coloc où quelqu'un qui passait en visite- t'ouvrait la porte et s'en alla rapidos après t'avoir salué. Oh d'accord, t'allais faire comme chez toi alors. Tu retirais tes chaussures et grimpais sur un lit en déposant toutes les bonnes choses, ne sachant même pas si t'étais sur le bon lit et surement que Bleeker prenait sa douche vue que t'entendais l'eau couler. Tu t'étais pas trompée de chambre quand même ? Ah et dans ton sac, il y avait THE trucqu'onvapastoutesuiterévéler au cas où Bleeker était de mauvaise humeur.

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mise en page par mad loveToute la journée, Cody s’était roulée dans la boue, Cody avait couru après un ballon, Cody avait mangé de l’herbe, Cody avait reniflé des culs ………. Non, Cody n’est pas le prénom du Golden Retriever du voisin, vous savez le bâtard qui fait pipi sur les camélias tous les matins. Non non, Cody était bien un homme, un vrai, avec les plaquettes de chocolat dans le tube digestif et un emploi du temps bien rempli du fait des entraînements de football américain. Non mais ça rigolait pas hein, faut pas croire comme ça, mais Marshall – le coach cinq étoiles qu’ils se payaient cette année – les faisait bosser à mort. Cody avait perdu au moins trois kilos rien qu’en transpiration. Dommage que la sueur n’était pas potable, il aurait réglé le problème de soif dans le monde en une après-midi. Bref, tout ça pour dire qu’une journée d’entraînement intensif amena inévitablement Cody à prendre une bonne et longue douche à la Winthrop House. Maintenant, il avait un petit appartement avec Devyn Gale, mais il trouvait tout de même plus facile pour lui de poser ses affaires de sport chez les Rouges, puisqu’on lui avait réservé une chambre pour free là-bas. Puis Bleeker aimait bien rester alone ici quand il n’avait pas sa fille, parce que Devyn était un addict du thé au jasmin et ça parfumait touuuut l’appartement quoi. Bref, bout du rouleau du thé au jasmin quoi, le thé au jasmin finirait dans sa figure incessamment sous peu, et bim brûlé au troisième degré le Gale. BREEEFFFF, Bleeker s’affaira sous sa douche à se décrasser tous les orifices, sans réaliser qu’il allait trouver en sortant un cafard sur la couchette. Il utilisa à peu près tous les flacons que son colocataire laissa dans la douche pour le weekend, ne faisant aucunement la différence entre le shampoing démêlant, le restructurant, le bouclant, celui pour cheveux blond, l’après-shampoing, le conditionneur, la mousse coiffante … Olalalalalaa, il vivait vraiment avec un homme ? En tout cas, maintenant, Cody sentait bon la rose – ou le mélange de tous ces produits en même temps quoiiii. Il sortit de la douche, une serviette à la main pour s’essuyer la figure et les tifs tout en arrivant dans la chambre où … OOOOHHH SURPRISEEEE. Dia était sur son lit. Il fronça les sourcils, et noua tranquillement la serviette autour de sa taille. T’façon, y a rien qu’elle n’avait jamais vu, la Kovache. « Dégage. » lança-t-il en guise de bonsoir, avant de se diriger vers sa commode pour récupérer quelques vêtements. Nop, il ne voulait pas la voir. Depuis qu’elle était devenue une shagasse, il l’interdisait cordialement de se trouver dans son périmètre. Question de sécurité. Il pourrait s’avérer méchant à son égard.

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mise en page par mad loveAssise sur le lit, tu regardais autour de toi en constatent que ce n'était pas encore totalement décoré, mais de toute façon, il aura tout le temps de s'occuper de cette nouvelle chambre. N'empêche que lui qui prônait son statut de lowell, le voilà qui avait atterri chez les rouges. Qui l'aurait cru à part toi ?. Tu savais depuis le départ qu'il s'était trompé de maison le pauvre, il n'était pas fait pour être lowell, car il n'avait aucun talent artistique. Et vous savez quoi ? Ce changement de maison te donnait une bonne raison de le provoquer avec ça plutard. Mais pour l'instant, t'attendais, t'attendais et t'attendaiiiissss, god c'est pire qu'une femme ce mec, attendez, même toi tu ne prenais pas aussi lentement ta douche et pourtant, on sait tous qu'une fille ça prenait trop de temps pour ce genre de chose. Mais là, Bleeker il faisait fort quoi. Et z'avez vu ? Après TOUTE cette longueeeeeeeee attente, monsieur sortait enfin pour te balancer en pleine face un... Dégage. Outch ! this hot as ember. Non en vrai, il était sexy avec cette serviette autour de ses hanches, même que sur le coup, tu laissais tes deux billes bleues se noyer sur ses courbes et même sur les gouttes d'eau qui dégoulinaient de ses cheveux pour s'écraser au sol. Alalala, arrête de baver Dia ein. Tu secouais rapidement la tête sortant de ce pseudo coma de quelques secondes en réalisant qu'il venait d'être cash, même pas un bonsoir, que dalle, juste Dégage. Comme, dégage la chienne. Tu ne comprenais pas vraiment pourquoi il était aussi froid avec toi, du coup, tu écarquillais les yeux en fixant le plafond et en te demandant si t'avais pas fait une énorme bêtise à la soirée d'Apple en kissant un mec ou plusieurs en fait. Non impossible, sinon t'en aurais eu le compte rendu rapidos par tes amies ou ta cousine. Le seul truc que tu te souvenais de cette soirée, c'est d'avoir noyé une fille parce qu'elle avait osé embrasser ton ex sous tes yeux et que lui, n'avait même pas pris la peine de la repousser. Mouais.. Il y a une chose que tu remarquais de jour en jour, c'est que depuis qu'il avait embrassé cette Alaska puis cette Solveig et je ne sais qui d'autre encore, il continuait sur sa lancé, gaffe après gaffe, il s'en foutait et il y allait, alors qu'il ne s'étonne pas après que tu joues la shagasse comme le dit Marie. Même si bon, tu ne l'avais pas encore fait, si ce n'est que pour ton bizutage. « Ok. » Répondais-tu blasé en te levant du lit et en marchant pieds nus vers la porte. Sauf qu'au lieu de sortir, tu la fermais à clé en t'emparant de celle-ci pour ensuite la serrer bien fermement ta paume. Puis, tu retournais t'asseoir sur le lit. « Quoi ? T'attendais peut-être une de tes conquêtes ?. Pourquoi t'es vénère là ?. » Sérieusement, tu venais avec de bonnes attentions -intentions, mais je te la dédie Marie - et c'est comme ça qu'il t'accueillait ?. La prochaine fois, t'éviteras les petites surprises.

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mise en page par mad loveAu summum de la politesse comme à son habitude, Cody pria gentiment Diamantika de dégager. Dégager de sa chambre, de sa vue, de sa vie. Pourquoi pas ? Au moins, elle serait libre d’aller se frotter la sardine sur le corps huilé de tous les Winthrop, comme ça. Ou alors, elle aimait le faire que lorsque Cody se trouvait dans les parages et, dans ce cas, il s’agirait d’une forme de voyeurisme. Or, le voyeurisme, c’est une catégorie de porno. C’est vrai, Cody – pendant sa longue période de célibat succédant Maggie et précédant Joan, puis succédant Joan et précédant Danae – avait réalisé une étude sociologique du site Youporn. Il avait fait le tour de toutes les catégories, et constater en effet que le voyeurisme était une forme de porno. Donc voilà, Diamantika fit du porno en live à la crémaillère d’Apple. La grande classe à la Kovalevski, quoi. Quand elle se leva du lit, Cody ne dérivait pas son regard de sa silhouette carmin, pensant évidemment qu’elle s’en irait sans réclamer son dû. Après tout, ce n’était pas le premier ’dégage’ glacial qu’elle recevait au travers de sa tronche de cake. Il y aurait donc normalement l’effet de lassitude, qu’on appelle plus localement l’effet ’tu-me-saoules-tu-vas-te-prendre-un-Codyctionnaire-dans-la-gueule’ (syndrome pouvant toucher toutes les personnes dont le prénom se termine par –DI ou –DY). Mais au lieu de ça, elle les enferma à clef, gardant cette dernière dans la main. Esquivant sa question, il enchaîna ; « Je ne comptais pas sortir de ma chambre de toute façon. » C’est donc au calme qu’il retira sa serviette et s’habilla de ses sous-vêtements, d’un jogging gris en coton et d’un t-shirt vert, avant de retourner en sifflotant dans la salle de bain poser l’essui. Diamantika était assise sur le lit et il s’approcha d’elle, intrigué par une tâche violacée dans son cou. Debout face à elle, il posa son index sous son menton pour lui lever la tête, puis sur la mâchoire pour la tourner vers la droite, puis sur la tâche bleu/violette. Un « Tssssk. » s’échappa de ses lèvres alors que sa tête pivotait de droite à gauche, signe de blase intégral. « T’as même pas fait l’effort de le maquiller quoi. Pathétique. » Genre la meuf, elle se rend triomphante chez son ex ’salut Cody, je me suis bien faite sauter par un Mather toute à l’heure ! Regarde, il m’a même sucé jusqu’au sang tellement ce fut intense et encore je ne te parle pas du diamètre de mon anus’. Pitoyable. Sur ce, il vint s’asseoir sur le lit jumeau contre le mur opposé, enfilant de grosses chaussettes de tennis blanches à ses pieds.

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mise en page par mad loveVous ne le saviez pas encore ? Diamantika est une ex pornographe, personne ne l'a remarqué parce qu'elle portait toujours des masques pour pouvoir baiser incognito. N'IMPORTE QUOI !. Dia savait mettre des limites ELLE, pas comme ce mec en face de toi qui ne savait plus tenir sa langue dans sa bouche et bientôt, c'est Codynosaure qu'il ne saura plus tenir dans son pantalon, deal with it !. Là, tu le regardais prendre son temps comme si ta présence était égale à ton absence. Sympa. Sérieusement ? Tu te demandais pourquoi tu t'acharnais comme ça sur lui ? Pourquoi tu ne le laissais pas tranquille, pourquoi tu ne le laissais pas vivre paisiblement sa vie et se taper toutes les gonzesses qu'il pouvait avoir sous la main. En plus, il ne voulait plus de toi, so pourquoi t'abandonnais tout simplement pas ? Pourquoi tu ne laissais pas quelqu'un d'autre te prouver que tu valais la peine qu'on se batte pour toi ?. T'es quand même pas maso à ce point ?. Cody profitait que tu sois faible, que tu sois accro à lui pour te prendre sur mars et te ramener lorsqu'il jugera bon. Pourquoi n'avouait-il pas qu'il ne pouvait pas supporter de te voir avec un mec ? Pourquoi n'avouait-il pas qu'il t'aimait encore et qu'il pourrait partir au quart de tour si jamais ça tournait beaucoup trop autour de toi ?. Pour une fois ouai, t'aimerais bien le voir hyper jaloux, presqu'avec une envie de te menacer de t'enfermer dans une tour si jamais tu dansais collé serré à un homme encore. Ça fait de toi une maso ?. Vraiment, t'aimerais qu'il arrête de voiler sa face de rat et qu'il balance deux minutes son égo. Vous voyez là, même lorsqu'il te tournait la tête pour confondre ton bleu avec un suçon, il se retenait et jouait juste l'indifférence. « Qu'est-ce que ça changerait que je le maquille ou pas ? Puisque ça ne te fera ni chaud, ni froid. De toute façon, tu préfères te laisser embrasser et ou embrasser n'importe quelle fille, c'est devenu ta spécialité. » Bah ouai, tu y allais cache. Il fut un temps où tu te taisais, mais là, tu peux plus te taire. T'accepteras aucune reproche, parce que justement, il était mal placé pour t''en faire quand monsieur batifolait avec des filles pendant que toi tu faisais son éloge et tu prônais oh combien tu l'aimais. « Et j'te ferais signaler que si j'avais ce que tu penses dans le cou, je ne me serais pas pointé ici. Ou à la limite, je l'aurais caché avec un foulard. » Cette vilaine tâche sur ta peau était tout sauf un suçon et ça faisait mal quand on touchait. « Et cette tâche est l'erreur d'avoir enlevé mon casque en plein paintball. Ça m'a fait un putain de mal. J'en ai deux sur les fesses, mais moins vilaines que mon cou. » Et la prochaine fois, tu prendras soin de t'habiller plus épais histoire de ne rien sentir avec la combinaison. « Et alors ? Les premiers jours à la Winthrop ? Ça se passe bien ?. » Demandais-tu en attrapant des chips et en lui balançant un puisque monsieur était plutôt d'humeur à rester loin de toi.

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mise en page par mad loveVous voyez, à plusieurs reprises, Cody avait trouvé Diamantika particulièrement ridicule. Il trouvait totalement ridicule qu’elle ait manipulé un mec pour faire croire qu’elle se faisait agressée sexuellement, tout ça pour attirer l’attention de Bleeker. Il trouvait également ridicule qu’elle ait inventé le déguisement du chapin, tout ça pour émoustiller son homme alors que sa paire de boobs inexistants lui suffisait amplement. Et sa manie de porter des mini-shorts et des cuissardes en hiver, c’est pas juste le summum du mauvais goût ? Bref, tout ça n’était rien en comparaison de ce qu’elle foutait aujourd’hui. Non seulement elle avait aguiché un Mather (ah, elle est belle la guerre Eliot/Mather !), mais en pluuuus v’là qu’elle débarquait triomphante avec un suçon dans le coup. HIATPEEUQ. Vous avez trouvé le mot ? Ouuuuuiiii, c’est bien P A T H E T I Q U E mon cher Bertrand, venant du grec pathos, synonyme de lamentable. Ouais, voilà, Diamentable je dirais même. « Oh je t’en prie, j’y peux rien si je suis devenu sexy, je subis. Tu crois que ça me fait plaisir d’être embrassé à chaque coin de rue ? C’est un cauchemar d’être beau. Je préférais être moche et gros, on me remarquait moins. » Le mec qui pète son câble ouuuh il ne se sent pluuus. Mais il fronça les sourcils, immobile, se demandant d’un coup si la Winthrop House n’était pas hanté par un esprit qui transformait tous les mecs franchissant ses murs en connard imbu de leur personne. Mmmh … Non, là c’est parce qu’il essayait de contredire Diamantika à tous les niveaux. « Pourquoi tu l’aurais caché ? C’est ton trophée, non ? Tiens Cody, tu te fais violer la bouche par Echo et donc, en réponse, je vais me taper Mal … Maki … M … Mimi-Siku ! » fit-il en la pointant du doigt, inquisiteur. L’excuse du Paintball, elle était aussi crédible que la Reine des Neiges. J’suis désolée, mais tu croiseras jamais un bonhomme de neige qui parle, magie ou pas magie. La poudre blanche dans le film, c’est peut-être de la neige, mais pas celle dans le nez de Walt Disney, SVP. « ça v… » ET MAINTENANT ELLE SALISSAIT SA CHAMBRE. BIEN. « Ramasse. » Ouais, parce qu’elle n’était même pas foutue de jeter une chips correctement. Inutile cette fille. .

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mise en page par mad loveTu fronçais les sourcils et tu clignais deux fois des yeux genre la meuf HYPER choquée. Cody n'est plus Cody ? Où est passé le Cody que t'aimais ? Parce que là, c'est clairement plus lui. Là, il avait l'air juste M A C H O macho !. Où passé le Cody qui se dénigrait, qui ne se sentait pas à la hauteur d'aucune fille, qui se qualifiait de moche, moche et remoche ?. A choisir entre le gars qui se dénigrait et le gars qui faisait son éloge, tu choisirais vite fait, l'ancien Cody. « Finalement, je me demande si t'as pas mieux fait de rester à la lowell house. J'ai comme une vilaine impression que d'ici quelques jours, je te reconnaîtrais plus. Tu deviendras Codymacho... Et puis va faire croire à une autre fille que ça t'plaît pas qu'on t'embrasse, parce que attends, tout le monde voit que tu kiffes ça, c'est pourquoi elles ne se gênent pas pour t'embrasser. Tu kiffes tellement ça que tu te gênes pas pour les embrasser également... » Tu roulais des yeux en fixant le plafond et en écoutant la suite de ses propos. Il s'est fait violé la bouche par Echo ? Really ? A partir du moment où il avait eu l'occasion de la repousser et qu'il ne l'avait pas fait, t'appelais pas ça du viol. Bien au contraire, t'appelais ça le mec qui kiffe sa race et montre juste le contraire histoire que la meuf bah, elle retente une seconde, puis une troisième fois jusqu'à ce qu'il avoue qu'il a kiffé et basta. Ça, c'était pathétique mama. « Non, ces réponses-là, c'est plutôt ton genre et pas le mien. Puis si tu ne me crois pas, je m'en fiche, je n'ai rien à me reprocher t'vois. Pour terminer, c'est Malachy et d'où tu le connais ? Puis d'où tu sors que je vais me le taper ?. » Non sérieusement, te taper l'homme à qui tu faisais de belles crasses ? L'homme qui te voyait dans ses rêves et qui en était presque fou, mais ne l'avouera jamais parce que t'étais une Eliot et parce qu'il ne sait pas encore où s'orienter niveau sexualité ? Ein Malachy ?. Non, t'allais pas te taper cet homme, tu le tapais déjà autrement et c'était bien comme ça. En attendant, t'avais voulu nourrir gentiment ton ex et voilà qu'il t'ordonnait de ramasser. Il était sérieux ?. Ouai il l'était. Mais comme t'étais Dia et qu'on ne te changera jamais, t'attrapais un chips en te calant au bord du lit et en le croquant prenant bien soin de laisser tomber des miettes au sol. « Voilà, c'est fait. » Faire du salissage était quand même mieux non ?. Anyway, tu grimpais sur son lit avec ton sac magique où tu piquais un morceau de ton gros scotch marron pour lui scotcher la bouche. « Ta bouche !. » Et pour l'empêcher d'ôter son scotch, tu plaquais ses mains contre le mur derrière lui. « J'ai toujours rêvé de faire ça... » Et hop, tu retirais aussi fort et aussi rapidement le scotch de ses lèvres. Ça faisait mal, mais surement pas plus que t'avais eu mal en le regardant se laisser embrasser par la mather. Voilà ta réponse à toi. Tu jetais ensuite le scotch dans la poubelle et tu regagnais l'autre lit à nouveau.

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mise en page par mad loveOh humouuuur, huuuuuuuuumourrrrrr, bien sûr que Cody ne vantait pas son physique, au contraire, il était le premier à se surnommer Alerte à Malibu, à la fois parce qu’il y a des bouées de sauvetage intégrées et parce qu’il n'est pas si loin que ça du tour de poitrine de Pamela Anderson. Non mais voilàààààà, Dia reste Dia, elle n’avait aucun second degré quand Cody Bleeker titillait sa jalousie, comme à cet instant. C’est comme la fois où il avait prétendu aimer Joan trois fois plus qu’elle au nombre de photos qu’il avait dans son téléphone ; Diamantika ne cerna pas l’ironie et cette remarque restait ancrée sous son carré court. « T’es au courant pour Dixie ? Je pensais que tu n’avais rien vu, t’étais à deux doigts de nous faire un câlin en partant l’autre soir. » grimaça-t-il, explosant psychologiquement de rire en repensant à la pendaison de crémaillère d’Apple. Ahaha, epiiic. Comment ça, Diamantika ne parlait pas du kiss avec la Mather ? BITCH PLEASE. Bleeker n’avait pas embrassé un million de nénettes l’autre soir, ni ces derniers mois. Seulement 937 836, ce qui était une bonne moyenne. Comme dirait mon professeur de méthodologie des enquêtes ; ’c’est un échantillon assez représentatif de la population’. Oui m’sieur, vous serez si fier de Cody. « Je ne dis pas que tu vas, je dis que tu te l’es déjà tapée. Tout le monde le sait, fais pas ta sainte-nitouche. Pas avec moi. Je sais quand tu mens. » La preuve en live. Pour finir, il l’ignora quand elle continua de dégueulasser sa moquette. Au pire, il la lui ferait lécher. Après tout, aucune différence entre rouler une pelle aux acariens du tapis ou baiser un Mather ; il y avait au moins autant de microbes sur son coton-tige que sur le sol de la casa Winthrop. Et le moment le plus weird fut quand elle lui scotcha la bouche et la déscotcha, en mode Christine Grey la meuf. « OK … » S’humectant les lèvres, il sentit une once d’irritation sur sa lèvre supérieure et quitta le lit direction la salle de bain. « Retire des fringues, je reviens vite. » Ben ouais, elle débarquait dans sa chambre avec sa belle robe rouge flottante et sentait bon la vanille parce qu’elle voulait une joint-venture Codynosaure-Kovagin, right ? Elle lui devait bien ça, pour l’avoir laissé en plan à Phoenix héhooo. Il nettoya sa bouche et ses crocs – pour plus avoir le goût club sandwich poulet-crudité de toute à l’heure – puis revint dans la chambre où Dia était encore un peu trop beaucoup habillée. « T’es sérieuse ? Faut vraiment que je fasse ça aussi moi-même ? » Autant, en économie, il connaissait le dilemme des entreprises entre intégration verticale et sous-traitance. Autant, pour le bunga-bunga, il aimait que la nana soit participative. Il soupira – grogna même – tout en s’avançant vers le lit.

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mise en page par mad loveJuste après lui avoir lancé la petite pique, il surenchérit sur une information dont tu n'étais même pas au courant. Cody Bleeker avait roulé une pelle à Dixie à la pendaison d'Apple ?. Ce qui veut dire que maintenant, il n'avait plus aucune excuse ? Que tu pourrais toi aussi allé fourrer ta langue partout et monsieur n'aura aucun mot à dire au risque de recevoir un coup de poing de ta part ?. Pff, à le voir rire comme ça, t'avais vraiment envie de lui en mettre une, mais tu prenais sur toi. « Et tu en es fier ?. Bien. » Là pour l'instant, tu gardais ton calme parce qu'il enchaîna sur l'histoire de Malachy et à vrai dire, tu ne comprenais rien. Genre toi t'aurais couché avec Mal ? Malachin aurait croisé Kovagin et auraient explosé en mille étincelles ?. Mais il délirait putain. Attendez ! Ne serait-il pas au courant de ta petite drague ?. Rholalalalala, tout s'expliquait maintenant. « Tu sais quoi ? Ouai j'ai couché avec lui, on a passé un super bon moment, il m'a montré une nouvelle position qui procure encore plus de plaisir, la 63 et j'ai kiffé tellement ça ! T'peux pas savoir, j'ai encore envie de lui maintenant que tu m'en parles. » Il n'y a que cette manière là qui marchait avec lui. Et pauvre Malachy qui devait surement avoir les oreilles qui sonnent actuellement. « Ce n'est pas ce que tu veux entendre pour te donner encore plus raison d'aller te taper qui tu veux ? Bah vas-y, va te faire toutes les gonzesses d'Havard !. » Gad, t'avais envie d'exploser comme un volcan et ça n'allait pas tarder d'ailleurs. « Eh ben non, je vois que tu ne sais plus quand je mens... Je te signale que je me fais bizuter en ce moment et j'ai donc reçu le défi de draguer un mather et si tôt qu'il y aura une petite approche, crier au viol. J'ai réussi ma mission et tout ce qu'il a réussi à faire avant que j'cris, fut de glisser sa main sur ma cuisse. Ceci dit, là aussi que tu ne me crois pas, je m'en gratte le dos !. » D'après Coralie la vilaine de secret story. Heureusement que t'étais plus fidèle et loyale que lui, car avec tout ce qu'il avait fait, tu serais déjà tombée dans les bras de quelqu'un d'autre à jouer toi aussi avec le feu. Cependant, après ta petite crasse avec le scotch, monsieur te demanda de te déshabiller. Même qu'une fois sortie de douche, il se dirigea vers toi tandis que t'attrapais aussitôt un oreiller et le martelais à coup de coussin en plein tête. « Je t'interdis d'embrasser une autre ! T'AS COMPRIS Connard !... J'suis pas ton plan cul ! J'suis pas ton plan cul ! J'SUIS PAS TON PLAN CUL !... » Et tu ne cessais plus tes coups. T'étais gentille là, surtout que t'avais une grave envie de lui en mettre une entre les jambes, ah tiens HOP ! ET UN coup de genou sur Codynosaure UN !. Mais comme tu ne voulais pas lui faire trop mal, t'y allais molo. Aaaaaah, il savait pourtant que ses couilles étaient en dangers si jamais il ne restait pas tranquille n'est-ce pas ? Il ne pourra pas dire que tu ne l'avais pas prévenu. T'avais dit, maintenant t'avais fait.

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mise en page par mad loveCody n’était pas fier. Il était même surpris que Diamantika soit au courant pour Dixie et lui et qu’elle n’ait pas été encore tentée de lui en foutre une dans la figure, en fait. Donc non, zéro fierté à tirer d’un geste désespéré, quand bien même il apprécia la saveur de ses lèvres contre les siennes. Dixie n’avait été qu’un pion destiné à attiser la jalousie de Diamantika, à titiller ses nerfs comme elle le fit en se frottant contre le torse nu de Camilo. Un pion, c’est tout. Pas de fierté, vraiment. Vous croyez vraiment que Cody était le genre de gars à emballer la première nana qui se balade torse poil près d’une piscine ? Non. Ça lui arrivera peut-être qu’une fois dans sa vie, et il aurait pu avoir Dixie, toute la nuit. Habillée, nue, dans le lit, sur le sofa, sous une étoile ou sur un oreiller, au fond d’un train ou dans un vieux grenier, en 69 ou en 63 comme Kovache le disait si bien, mais il n’y fit rien. Il aurait pu l’aimer jusqu’où bout de la nuit, mais ça n’était pas elle qu’il voulait ce soir-là. Celle qu’il voulait se frottait lascivement à un autre lui, comme attendant passivement qu’il sorte de ses gongs. Bref, elle confirma avoir couché avec Malachy avant de démentir presque immédiatement. Schizo3000 bonjour. « Je savais que tu mentais. Tu m’as juste pas laissé le temps de réagir. Tu sais, ça m’étonne que tu aies étudié le théâtre et que tu ne sois pas foutue d’entretenir un suspense. T’aurais eu plus de crédit dans une comédie de Woody Allen. » Ou un quelconque cinéma d’auteur où ça parle tout le temps alors que toi, t’as juste envie que les personnes se dévorent les lèvres et fassent crac-crac sur le divan. Bref, ce fut son seul et unique commentaire avant de se rendre dans la salle de bain, spoilant ses projets pour Diamantika. Puis, en revenant, elle lui piqua une crise avant de le marteler de coups d’oreiller et de lui asséner un coup de genoux dans les roubignoles. OUUUUUCHHHHHHHH. MAIS PUTAIN. ARRETEZ D’ESSAYER DE CASTRER MES PERSONNAGES. ZEPHYR LE FAIT AVEC MARTIN, DIA LE FAIT AVEC CODY, VOUS VOUS ÊTES PASSEES LE MOT OU QUOI TEPUS DU DESERT ? @Zéphyr Van Der Woodson j’en ai marre là. Breeeefff, demeurant debout mais recroquevillé sur lui-même, les bras pliés contre son ventre, il étouffa un cri de douleur. Ça faisait mal ses conneries. Il parvint à articuler un petit « Dégage. » qui s’échappa de sa bouche tordue sous la torture causée par cette stérilisation bestiale. « DEGAGE ! » s’écria-t-il cette fois en se redressant, avant de se précipiter vers elle et la plaquer sans douceur contre le mur, ses deux mains lésées sur ses épaules pour l’empêcher de gigoter. « Qu’est-ce que tu me veux, Dia ? Qu’est-ce que tu cherches ? Me faire mal ? À ce jeu, félicitations, tu as remporté le gros lot – tululuuuuuu c’est l’alarme qui signale ta victoire. Il te faut quoi, maintenant ? Que je te supplie de me pardonner ? De me reprendre ? Mais Diamantika, tu crois que tu es la seule à souffrir dans l’histoire ? Tu as décimé tous mes espoirs en aguichant Camilo l’autre soir. C’est toi qui abats une à une les raisons pour lesquelles on devrait se remettre ensemble. Je sais reconnaître mes tords, mais reconnais les tiens. C’est pas parce que tu es la fille que tu es blanche dans l’histoire, ni parce que c’est toi qui as perdu le bébé, ni parce que tu étais seule cette nuit-là à cause de ton connard de mec qui dégrisait au fond d’une cellule au commissariat. Tu crois que c’est facile d’être celui qui est resté ? Mes meilleurs amis se sont tous barrés un par un et je devais supporter le regard que tes proches jetaient sur moi. Mon poids sur la balance, c’est rien à côté de celui de la culpabilité qu’on me foutait sur les épaules à cause de notre histoire. Alors ouais, Dia, c’est moi le gros con dans l’histoire, admettons-le. Ça fait des mois qu’on m’a collé d’office ce rôle que je ne voulais pas, ce rôle qui ne me va pas, et si j’ai fini par m’habituer au costume, c’est avant tout par ta faute. » Il exerça une petite pression sur ses épaules et la fixa dans les yeux avant de reculer d’un pas, les bras ballants. Puis, pointant la porte du doigt, il annonça ; « Tu connais la sortie. T’as la clef. Va-t-en. Je ne pense pas qu’on ait encore quelque chose à se dire. » Ouaip, il avait beaucoup de projets après son départ, comme chialer intérieurement et s’empiffrer de conneries pour oublier que son ex l’a détruit et qu’elle continuait de jouer avec les lambeaux de sentiments qu’il lui offrait sans le vouloir..

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