(Priape) + relax and take it easy.

Tu lui racontais tout ce qui c'était passé avec Talya n’omettant aucun détail qui aurait pu dévaloriser un temps soit peu la jeune femme. Il faut dire qu'elle t'avait prise de haut et avait manqué cruellement de politesse à ton égard ce que tu n'avais pas du tout apprécié. Tu ne te souvenais pas exactement tout ce que vous vous étiez dit, mais une vilaine sensation de dégoût te tenaillait le ventre. Oui rien que ça. "Ce n'est pas de ta faute tu n'y es pour rien, après tout ce n'est pas toi qui l'a forcé à me dire ça. J'comprends dans un sens qu'elle veuille te garder des mecs bien ça court pas les rues." soulignais-tu gentiment un sourire timide s'étirant sur le bout de tes lèvres.  Enfin "bien" c'était peut-être vite dit, parce que dans des souvenirs Priape avait le profil parfait d'un pervers psychopathe. Même si tu admettais que c'était tout de même un peu de ta faute, puisque tu avais mis tes atouts en valeur dans un espoir quelconque de séduction. En entendant les propos du dunster tu t'en voulais presque de l'avoir accusé alors que tu n'avais eu aucune preuve. Après tout l'hypothèse qu'elle vous espionnait était tout à fait possible, surtout maintenant que tu avais vu de près le personnage. C'était définitivement un truc qu'elle aurait fait. "Viooolente? Moi?" dis-tu en exagérant à ton tour quelque peu, affichant tes petits yeux de merlan frit pour l'amadouer. "Dans mes souvenirs je me suis fait violer plusieurs fois de la bouche." répliquas-tu à ton tour, ton petit rire cristallin sortant du bout de tes lèvres. Bien que tu ais été parfaitement consentante, du coup le mot viol n'était pas vraiment adéquate. En tout cas le jeune homme avait au moins le mérite de te faire rire, qualité plus qu'importante. Rien que de l'imaginer t'écrire des mots doux ou pas d'ailleurs et les envoyer à une inconnue t'amusait au plus haut point. Tu te sentais même flatté en comprenant soudainement que le beau brun avait tenté de rentrer à nouveau en contact avec ta petite personne et t'avait proposé plusieurs fois de sortir avec lui. Le rose te montait presque aux joues. "Pff et qu'est ce qui te fait croire qu'elle aurait voulu de toi? T'sais tu es pas un dieu des stades." le taquinais-tu avec innocence, bah ouai peut-être que la dame en question préférait les hommes de son âge qui ont plus d'expérience hein.

hj: oui on fait un précomptage le vendredi pour que ça aille plus vite le samedi. oui ça l'est ooow troop chou. j'avoue que j'aime notre rp.

J’étais désolé, vraiment, d’entendre parler de l’accrochage qu’il y avait eu entre Talya et Brynn. Ma faute. La jeune femme m’assurait que ça ne l’était pas, mais ça ne suffit pas à faire s’effacer mon sentiment de culpabilité. Mais la suite des paroles de la demoiselle fit néanmoins apparaître une esquisse de sourire sur mes lèvres : elle me classait dans la case des –mecs bien-. Waw, c’était que j’avais pris du galon depuis l’écosse. N’empêche que j’étais désolé quand même, et qu’il allait surement falloir qu’on ait une petite discussion à ce sujet mon ex et moi, si je ne voulais pas voir toutes les filles de mon entourage se mettre à me fuir. J’avouai finalement avoir parlé de sa violence à mon égard et je ne me laissais pas tromper par ses yeux de merlan frit. « Oui violente, je confirme. D’ailleurs, si je me suis planté de numéro c’était surement parce que j’étais encore secoué par ton coup de boule… » Rien à voir avec le trouble qu’avait provoqué le contact de mes lèvres sur les siennes lors du baiser que je lui avais volé… « Si je me retrouve en prison à cause de cette erreur de numéro, t’auras intérêt à m’apporter des oranges. » Bah oui, c’était un peu sa faute quoi. La blondinette n’avait pas oublié notre baiser, puisqu’elle évoqua rapidement ce -viol de bouche- dont elle avait été victime. « Tu t’es pas beaucoup débattue je trouve, pour une fille pas consentante… » me défendis-je à mon tour, mon regard croisant un instant le sien, un petit sourire aux lèvres en repensant à ce moment. Et pourquoi j’avais presqu’envie de recommencer là, alors qu’elle me regardait avec ses petites joues rosies ? Enfin, quand elle reprit la parole pour me charrier en soulignant que mon interlocutrice n’aurait peut être pas voulu de moi, ajoutant que j’étais pas un dieu des stades, je me mis à rire. « Non un dieu des lacs vaseux c’est déjà bien… » rigolai-je avant d’ajouter : « Puis de toute façon, y’a pas eu de rencard alors on le saura jamais. Merci -question pour un champion-. » Ce qui me fait penser que, au final, j’avais toujours pas le vrai numéro de la cabot. Je savais qu’elle allait pas me le donner comme ça. Je désignai donc d’un mouvement de tête l’une des machines de jeux vidéo un peu plus loin : « Ca te dit de faire une partie ? Si je gagne, tu me files ton vrai numéro, et pas oralement vite fait, mais tu rentres chaque chiffre dans mon répertoire. » J’avais pas envie de chatter encore avec une petite vieille pendant des semaines moi.

HJ : j'aime trop aussi

Voilà c'était encore de ta faute, à croire que c'était la seule chose qui pouvait sortir de sa très attirante bouche. Décidément ce Priape avait bien du mal à assumer ses erreurs, parce que oui c'est toujours plus simple de pointer du doigt quelqu'un d'autre. Arhum. C'était un peu aussi ce que tu faisais de ton coté, mais vu que tu étais une princesse tu avais un peu tous les droits. "Voilà maintenant j'vais avoir des remords pour t'avoir frappé. " dis-tu coupable en te mordillant la lèvre inférieure. Après tout ça n'avait jamais été ton plan initial te retrouvant emporté dans l'action. Tu étais plus que désireuse d'effacer ce souvenir là de sa mémoire à tout jamais, parce que tu ne voulais pas vraiment qu'il se souvienne de toi comme une fille violente qui donne des coups de boule à des inconnus. "Promis j'viendrais même te voir tous les jours au parloir comme toutes ses femmes amourachées." rigolais-tu en te relevant quelque peu de ton pouf, c'est que tu faisais un peu vautré pas très propre sur elle même comme fille. "C'est parce que j'ai été prise par surprise." ronchonnais-tu gentiment omettant la partie où tu lui avais rendu ce baiser passionné pour te retrouver sur lui. Il t'avait embrassé divinement bien, et pour quelques secondes tu avais eu l'impression de voyager et d'oublier tous tes problèmes. Tu roulais les yeux aux ciels, alors qu'au fond tu étais ravi de cette petite conversation. Tu venais de dire qu'il ne ressemblait pas à un dieu des stades et effectivement pour l'avoir vu de tes propres yeux il était bien au dessus. "Bah tu sais ça ne t'empêche pas de continuer à l'écrire, je ne voudrais pas que tu lui brises son petit coeur. Promis je ne serais pas jalouse." concédais-tu en rigolant ne souhaitant pas voir les espoirs d'une vieille dame réduit à néant. C'est alors que le dunster te proposait un petit jeu,  ayant apparemment vraiment très envie d'avoir ton numéro. Alors que bon s'il t'avait demandé "Briny chérie que j'aime à la folie, toi plus belle femme de la planête, voudrais tu avoir la gentillesse infime de m'honorer de ton numéro de téléphone?" bah tu aurais dit oui direct. Les mecs se compliquent la vie parfois. "Haha trèèèèèèès bien j'accepte mais si je gagne moi j'ai quoi?" demandais-tu pensive en te remettant debout prête à l'attaque. Bah ouai toi tu ne voulais pas un cadeau pourri en mode reconnaissance éternelle.

But atteint : voilà que Brynn se repentait de ses actes de violence sur ma pauvre petite personne, alléluia. Petit sourire satisfait quand elle avoua qu’elle allait avoir des remords, sourire qui s’agrandit quand elle me promit des visites quotidiennes au parloir si tant est que je finissais en prison. « Je savais que tu m’aimais bien en fait… » Ouais je choisissais de ne pas discerner l’ironie dans sa comparaison entre elle et les femmes de prisonnier amourachées. Ca gonflait quand même un peu mon égo de sentir que peut être, ce feeling entre nous, je ne l’avais pas inventé, que c’était qu’un quiproquo tout ça… M’enfin, ça ne l’empêcha pas de se défendre d’avoir apprécié d’une quelconque manière mon baiser, son manque de protestation à ce moment là n’était du qu’à la surprise selon elle. « Je te préviendrais la prochaine fois alors… » répondis-je avec un petit sourire amusé. Enfin, fallait peut être que je réussisse à obtenir un rencard, et pour cela il fallait que je mette la main sur son véritable numéro… Elle me fit savoir que je n’étais pas obligé de rompre tout contact avec ma correspondante d’un certain âge, je pouvais toujours lui écrire si ça me chantait, et histoire aussi de ne pas lui briser le cœur. « Je vais me proposer de l’emmener danser la musette, tu crois que ça lui plairait davantage que la sortie bar ou le dîner que je lui avais proposé cet été ? » Peut être que là elle dirait oui, même sans son dentier. Je rigolai un instant, m’imaginant déjà en train de m’essayer à ce style de danse que je ne maitrisais carrément pas. Puis retour au sérieux : je n’en avais pas grand chose à faire de la mamie du téléphone, moi, celle qui m’intéressait, elle était en face de moi. Et j’avais l’intention d’utiliser le jeu pour tenter d’obtenir son vrai téléphone. Elle se leva alors, acceptant mais sans perdre le nord, elle me demanda ce qu’elle allait y gagner elle. « Comme si tu pouvais gagner contre moi… » rigolai-je avec assurance en me levant du pouf à mon tour pour me diriger vers la machine. Mais pressentant que ma réponse ne lui conviendrait pas, mon regard croisa le sien et je demandai : « Ok, tu veux quoi, si jamais au grand jamais, tu réussis l’exploit de me battre ? »

Finalement il ne vous avait fallu que de quelques minutes plutôt gênantes avant de retrouver cette sorte de petite tension physique entre vous deux. Tu aurais pensé que cette dernière aurait disparu à cause de l'absence de relation pendant l'été mais non. "Aimer c'est un grand mooot." t'exclamais-tu en rigolant avec légereté ne préférant pas avouer au jeune homme qu'il t'attirait. Peut-être. Surement. Tu n'en savais trop rien, et franchement tu ne voulais pas te prendre la tête avec ce genre de questions existentielles. Mais bon ce n'était pas évident d'effacer ce sentiment de ton corps, puisque vous n'arrêtiez pas de faire des références implicites tel un petit jeu de séduction. Monsieur parlait déjà d'une prochaine fois, et le fait que tu ne le contredisais pas en révélait déjà long. Ca voulait dire qu'au fond une infime partie de lui souhaitait éventuellement t'embrasser à nouveau, et cela te faisait plaisir ressentant aussi cette envie. Disons que tu ne fermais pas vraiment la porte à cette possibilité. Tu te contentais donc de détourner ton regard pour lui cacher ton malaise, préférant reporter ton attention sur autre chose. N'importe quoi. "Je suis certaine qu'elle ado-re-rait. À son âge se pavaner devant ses amies avec un apollon à son bras est certainement un luxe." Tu ajoutais toute sourire. Il faut dire qu'à un certain âge les femmes deviennent une sorte de produit périmé pour les hommes qui ne les regardent plus et vont chercher ailleurs, alors tu pouvais comprendre que certaines riches cougars puissent frimer un peu. D'ailleurs, il y avait un beau parleur juste devant toi, et vu ses propos ses chevilles avaient du soudainement doubler de volume. "Des paroles, des paroles Zacharias." Tu affichais un sourire énigmatique, le défiant du regard. Certes, tu n'avais jamais joué à ce jeu, mais il y avait un début à tout et peut-être que tu allais pouvoir bénéficier de la fameuse chance du débutant. "Si je gagne je veux..." Tu voulais quoi? Très bonne question. Autant choisir quelque chose qui serait en ta faveur. "Si je gagne j'veux que tu te couvres de chocolat et que tu sois mon Petit Prince." dis-tu les yeux pétillants, un petit sourire amusé au bout des lèvres. Tu étais sérieuse, très sérieuse.

« Aimer, admirer, idolâtrer… Appelle ça comme tu veux. » rigolai-je à mon tour. Oui je retrouvais mon sens de l’humour, j’étais quand même bien plus léger depuis que j’avais réalisé le malentendu des textos. Et dire que j’avais saoulé Leanne avec cette histoire pendant tout le vol retour après notre petit séjour au SC. La pauvre. Donc Brynn acquiesça : ma cougar serait surement ravie d’une invitation à la musette. « Elle va pas être déçue du voyage, surtout que je sais absolument pas danser ça… » J’allais devoir dire à la petite mamie de s’équiper de chaussures de sécurité pour notre sortie. Mais en attendant, place au jeu et je me vantais déjà de ma future victoire. « Des paroles qui vont se concrétiser en actes tu vas voir…  Et je veux pas de faux numéro cette fois. Tu garde le numéro de ta grand mère, grande tante ou vieille voisine pour toi s'il te plait. »Qu’importe si elle m’avait donné les bons chiffres la dernière fois et si c’était juste mon fichu cerveau qui n’avait pas été en mesure de les retenir comme il fallait.  J’entrecroisai mes doigts, tendis les bras pour les étirer. Le gamer s’échauffait, attention ! Et la blondinette me fit savoir ce qu'elle voulait : du chocolat, en être couverte et que je sois son petit prince. « Tu veux que je me déguise en choco ? » ricanai-je alors. « Ou tu fais référence au bouquin ? » Culture de dunster oblige, je connaissais quand même le roman de saint exupery. « Enfin, deal. Ca marche, je ferais ça. De toute façon : non, je le ferais pas, puisque je vais gagner ! » Je jetai finalement un regard vers la machine que j’avais choisie sans même vraiment m’attarder sur le jeu vidéo proposé : un jeu de kung fu. « Moi les corps à corps contre toi, je les préfère quand ils ne sont pas virtuels… » Petit sourire amusé. Et je saisis quand même la manette de droite, attendant que Brynn fasse de même avec celle de gauche pour prendre le contrôle de son personnage et entamer le combat.

HJ : dés ou pas dés ?

"T’idolâtrer? T'admirer? Ça va tes chevilles tu arrives encore à marcher?" Tu roulais les yeux au ciel amusé par l'attitude de ton ami (?) Heureusement que les portes étaient extra larges par ici. Bref tu avais accepté ce petit défi enfantin sachant que tu n'avais rien à perdre ou presque. Après tout, tu lui avais déjà techniquement offert ton numéro lors de votre petit jeu en Ecosse, et ce n'était pas de ta faute si le jeune homme n'avait pas correctement assimilé l'information. "Promis, juré, craché si je mens je vais en enfer." Tu levais ta main d'un air solennel comme si tu allais prêter serment. "Puis si tu es vraiment inquiet de ne pas avoir le bon tu peux toujours me donner le tien et je t'enverrais directement un message." soulignais-tu pensive, consciencieuse pour lui prouver ta bonne foie.  Tu affichais ensuite une moue victorieuse, contente de voir que Priape acceptait tes conditions. Tu avais toujours voulu avoir un prince en chocolat, et pas des misérables petit biscuits. "Bah écoute comme tu veux, tant qu'il y a du chocolat dans l'histoire." Sérieux il réfléchissait trop tu avais complètement oublié le blondinet sur sa lune. D'ailleurs, le dunster ne se démontait point persuadé qu'il allait gagner. "C'est ce qu'on va voir Zacharias." Tu le rejoignais à la dite machine où tout allait se jouer, te plaçant devant l'autre manette. Tu te mordillais la langue regrettant d'avoir fait ta maligne un peu plus tôt, car ce genre de jeu tu n'y comprenais généralement rien du tout. C'était tout juste si tu étais capable de te repérer sur l'écran et savoir qui tu étais censé incarner. Comme à ton habitude tu ne pouvais t'empêcher de rougir légérement en entendant la remarque de monsieur, t'embarrassant légèrement. Puis te rappelant que tu n'avais aucune honte à avoir, tu rentras dans son jeu. "Bah écoute tu devrais dire ça à l'autre brynn celle de quatre vingt dix ans peut-être qu'elle te laissera retoucher" Tu lui lançais un petit sourire entendu. Tu reportais tout de fois ton regard sur l'écran, et après avoir choisi ton personnage, un homme musclé en tenu blanche tu attendis que le jeu démarre. "Tu aimes mes nouveaux pectoraux?" demandais-tu en rigolant avant de lui lancer un petit regard en biais, qui se voulait séducteur dans l'espoir peut-être de déjà le déconcentrer.

« Pourquoi ? Tu t’inquiètes maintenant ? Faut que j’ajoute –se soucier pour moi- à m’idolâtrer et m’admirer ? » rigolai-je alors qu’elle me taquinait sur la taille de mes chevilles. Trêve de plaisanteries : le jeu devait commencer, et à la clé le numéro de Brynn qui me jura solennellement qu’elle me donnerait les bons chiffres, elle proposa même que je lui donne mon propre numéro pour qu’elle m’envoie directement un sms. « Non mais je donne pas mon numéro comme ça moi… » rétorquai-je sur un ton taquin avant de reprendre : « Mais oui on fera comme ça, t’as raison c’est plus prudent… Si je me plante encore en recopiant et que je file rencard à un mec, j’aurais l’air malin… » Brynn posa ensuite ses conditions : si elle l’emportait, elle voulait que je joue les princes en chocolat. J’acceptai, de toute façon : j’allais gagner. Prenant place derrière ma manette, je ne pus empêcher un petit commentaire en référence à notre corps à corps en découvrant le jeu de Kung fu. La blondinette me conseilla d’essayer ce genre de remarque auprès de ma petite mamie, et un rire s’échappa de mes lèvres. Mon attention se reporta sur le jeu. Je choisis un mec baraqué au crâne chauve. Monsieur propre version Kung fu. Je lançai un regard à mon adversaire qui me demandait ce que je pensais de ses pectoraux. « Je les préfère en vrai… » Et mes prunelles louchèrent un instant sur la poitrine de la jeune femme, sauf que pendant ce court égarement de mes yeux, la partie avait commencé. « Hey ! C’est pas du jeu ça ! » ronchonnai-je en me retournant vers l’écran et en redoublant de concentration. Je fis avancer mon personnage, appuyai sur la touche pour lui faire donner un premier coup à celui de Brynn, espérant que mon bonhomme serait à la hauteur.  

HJ : je propose qu'on lance le dé à chaque coup, celui qui a le + de coups réussis gagne ? Au bout de 5 on arrête la partie ?

Le membre 'Priape Zacharias' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Réussi/échoué' :

Comme à ton habitude tu ne te laissais pas marcher sur les pieds montrant à Priape que toi aussi tu avais ton petit caractère. Tu arquais un sourcil retenant de justesse un petit rire. Tu ne idolâtrerais jamais même pas dans ses rêves les plus fous. Bref tu opinais silencieusement de la tête étant une personne de parole tu lui donnerais ton numéro si et seulement s'il gagnait, ou peut-être même s'il perdait ça dépendait ton humeur du moment. "Arrête de mâter ça Zacharias joue." Le jeu commençait et voilà tu n'arrivais déjà pas à te repérer sur l'écran. Tu appuyais sur tous les boutons, voyant ton personnage reculer et donner des coups de poings dans le vent. Tu allais aller loin comme ça, une pure geek. Au moins ton incompétence t'avait permise une chose, éviter de justesse l'attaque de monsieur. "On t'a jamais dit que ça ne se faisait pas de taper les femmes?" demandais-tu d'un ton faussement offusqué alors que ton personnage s'approchait dangereusement du sien. N'ayant toujours pas compris ce que faisait les boutons, tu appuyais sur n'importe quoi dans l'espoir de peut-être le blesser. C'était plutôt comique à fois. "Maaais...." t'exclamais-tu d'indignation en voyant à nouveau ton personnage faire une sorte de moon walk version kung fu. Sérieux fallait qu'il avance dans l'autre sens là où il y avait le version propre chinois. Youhou tu venais de capter où était le bouton pour donner des coups de pied, ça allait faire maaal. C'est bon là tu étais à fond dans le jeu, pleinement concentré.Te rapprochant du chauve tu tapais frénétiquement sur le bouton coup de pied croisant les doigts pour que cette petite attaque pourrie fonctionne.

HJ: yep paaaarfait pour moi.