Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityaustin ∞ prends tes clics et tes clacs et barre-toi. on n'a plus rien à se dire.. je crois ? - Page 4
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austin ∞ prends tes clics et tes clacs et barre-toi. on n'a plus rien à se dire.. je crois ?

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« Ouais bah n'empêche, on s'éclatait plus quand on était pote » Alors que je pensais que la situation ne pouvait pas être pire, ses mots m'achevaient d'un coup. Franchement, je n'aurais jamais cru qu'il se comporterait comme ça avec moi un jour. À vrai dire, si j'avais été au courant, j'aurais pris mes distances depuis bien longtemps. Je sentais mes yeux s'humidifier alors que ma gorge se nouait violemment. « J'ai cru que les nanas ne supportaient pas de se faire larguer par SMS » La façon dont il me disait cela me donnait envie de vomir. Je préférais qu'il fasse ça que de me tromper, mais apparemment, ça lui était égal. « De toute façon, il n'y a rien que je pourrais faire pour me faire pardonner alors à quoi bon » Alors que j'avais accepté de le faire rentrer parce qu'il voulait parler, faire en sorte que notre relation ne se termine pas.. il faisait totalement l'inverse. Sincèrement ? Je n'en pouvais plus de lui. De sa manière qu'il a de retourner la situation pour me rendre coupable. Que ce soit lui qui choisisse pour nous deux. Qu'il impose ses choix et que je ne dois que dire « oui » à tout ce qui sort de sa bouche. Je le regardais se lever et je n'avais qu'une envie, lui envoyer un truc à la gueule. « J'pense qu'il vaut mieux qu'on s'éloigne pendant plusieurs temps histoire de, car je n'ai pas besoin qu'on me balance à la gueule mes conneries » Mes larmes coulaient sur mes joues. Je n'en revenais pas. Il était rentré pour arranger la situation et au final, il se barre comme un lâche. Comme toujours et je ne devrais même plus être étonné en fait.

Au final, j'attendais juste en pleurant en silence qu'il parte de mon appartement avec son putain de carton. Je ne savais pas pourquoi je me faisais des illusions avec lui. C'était peine perdue et je crois bien que je n'en pouvais plus de cette vie en relation avec lui. « Après tout, ce n'est pas comme si tu étais réellement dingue de moi, sinon tu n'aurais pas couché avec mon meilleur pote » STOP. Je me relevais violemment en attrapant ma tasse vide que j'utilisais avant qu'il n'arrive pour la balancer contre la porte qu'il devait prendre pour sortir de chez moi. « Barre. Toi. » articulais-je en pleurant de haine. « Et quand je te dis de partir, tu disparais de ma putain de vie ! » criais-je. « Si tu aimais tellement qu'on soit pote, tu n'aurais pas du te forcer à me demander de sortir avec toi » dis-je en avançant vers lui, en colère. « J'aurais préféré me faire larguer comme une merde, que d'être cocu, connard » Lady, que je tenais dans ma main, venait de voler dans sa gueule. « Je ne veux plus te revoir, t'as compris ? Plus jamais » Et j'étais sérieuse. « C'est vrai, je n'étais pas dingue de toi. La preuve, j'ai couché avec son meilleur pote » dis-je ironiquement. « En attendant, tu prétends être amoureux de moi et en prenant l'excuse de l'alcool, ta queue va ailleurs, alors je n'ai pas de leçon à recevoir de toi » crachais-je.

Mon regard défiait le sien. J'en avais marre de me battre pour une cause perdue depuis le départ. S'il préférait être en couple – ou en plan cul – avec sa fierté, et bien, longue vie à eux. Je ne voulais plus faire partie du tableau. « Mon amitié, tu la fous là où je pense et oses seulement dire un mot de travers à tes potes mathers, à ta mère ou à je ne sais qui quand tu seras raide défoncé ou bourré et je te jure que je ferais de tes dernières années à harvard un putain d'enfer » promis-je en ouvrant la porte. « Casse. Toi. Maintenant. » Je ne voulais même plus le toucher. Qu'il aille voir ses amis et qu'il m'oublie. C'était tout ce que je demandais. Au final, il avait eu ce qu'il voulait : Que je m'éloigne de lui et que je tire un trait sur sa personne. Quoiqu'il fasse, il a toujours ce qu'il veut. Alors s'il voulait que je quitte définitivement sa vie, il venait de réussir en beauté et je lui enverrais un carton de félicitations à la MH dès demain. Franchement, je crois que je pourrais enfin dormir sereinement ce soir. Parce que même si j'avais couché avec son meilleur ami, je l'aimais de tout mon cœur. Cœur qu'il avait réussi à totalement éclater. Tant mieux, je préférais rester seule que de retomber sur un enculé comme lui.
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Tout allait bien vite pour moi. Mes yeux s’écarquillais en voyant sa tasse s’éclater contre la porte d’entrée qui me servira de sortie. Sa peluche dans la gueule, j’avalais ses paroles difficilement en restant fier. Je savais que j’avais eu ce que je voulais. Qu’elle me déteste au point que ça soit facile pour elle de tourner la page, mais mon dieu ça me faisait mal au cœur de l’à voir ainsi, mais aussi parce que j’étais amoureux d’elle. Amoureux à tel point que son histoire avec Konrad, je ne pourrais jamais l’à digérer. Je restais silencieux. Je pense qu’elle avait besoin d’extérioriser tout ce qu’elle avait sur le cœur. Et je ne lui interdirais pas. J’avais compris. Elle ne voulait plus rien avoir à faire avec moi et j’acceptais son choix. Je prenais donc mes clics et mes clacs, la main sur la porte, je claquais la porte sans un mot pour me barrer la boule au ventre. J’étais vraiment un con et je ne savais même pas pourquoi j’agissais de cette façon…
(Invité)