Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityaustin ∞ prends tes clics et tes clacs et barre-toi. on n'a plus rien à se dire.. je crois ?
Le Deal du moment : -43%
-100€ Pack rééquipement Philips Hue ...
Voir le deal
129.99 €


austin ∞ prends tes clics et tes clacs et barre-toi. on n'a plus rien à se dire.. je crois ?

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

SMS de Madi à Austin
6h08 ✉ Viens chercher tes affaires avant midi, sinon j'y mets le feu. Cordialement, ton ex.

Non, je ne voyais pas pourquoi je devrais être aimable. Depuis notre retour du Summer Camp, j'avais eu du mal à ne pas passer une journée sans pleurer. La rentrée aidait bien pour penser à autre chose, mais dès que j'entendais son prénom dans une conversation, c'était terminé. Je prenais directement le bus pour rentrer chez moi et m'enfermer. Les gens trouveront ça absurde, car ce n'est " qu'une rupture " mais en attendant, ça fait mal. Et je n'en avais rien à foutre de ce que les autres pouvaient penser. Si je m'occupais réellement de leur avis, je n'aurais pas accorder une seconde chance à Austin. Jamais. Pourtant, je l'ai fait parce que j'étais amoureuse de lui et c'est ce même amour qui m'a rendu totalement aveugle. J'avais été sur la défensive au début, au vue de sa réputation. Il avait réussi à me prouver que ce n'était pas un connard.. jusqu'à ce qu'il dérape pour de bon. Vous connaissez cette sensation de trahison ? Elle vous prend à la gorge, ça serre encore et encore, on a comme l'impression d'étouffer. Notre cerveau n'a plus d'oxygène, on ne peut plus réfléchir, parler ou respirer. Cette douleur reste pendant que notre cœur est torturé de nombreuses manières. Compressé. Aplati. Frapper. Piquer. Marcher dessus et j'en passe. On continue d'agoniser tout en nous faisant ressentir les pires sensations humaines.

Aujourd'hui, je voulais que ça cesse. Que son empreinte dans mon appartement disparaisse et vivre comme je vivais avant d'arriver à Harvard : sans lui. Malheureusement, il fallait que je ne vive plus qu'avec une rupture, mais deux désormais dont la deuxième me blesse chaque jour. C'était invivable, mais même si j'y avais longuement songé, je n'allais pas partir d'Harvard à cause de ses conneries. Auquel cas, je n'aurais pas tenu un trimestre avec lui si proche de moi. Calée devant ma télévision, j'étais en pyjama entrain de regarder " la Belle et le Clochard ". À croire que j'aime me faire du mal, que voulez-vous. Mon regard divaguait entre l'écran et ce foutu carton près de l'entrée. J'avais réussi à prendre sur moi pour emballer toutes ses affaires. Vraiment toutes. À croire que les nuits d'insomnies ont du bons pour certaines choses. J'avais même mis les cadeaux qu'il m'avait offert durant les derniers Noël dedans. Hier, j'avais aussi pris rendez-vous pour me faire ôter notre tatouage. Mon seul souhait était sa disparition totale de ma vie.. mais je ne savais pas comment je réagirais une fois en face de lui..
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ce message j’avais dû le lire une bonne dizaine de fois. Tout d’abord surpris et heureux de recevoir un message de Madisson, mais le contenu était beaucoup moins plaisant. Etant insomniaque de base –même si grâce à Madisson j’avais retrouvé le sommeil depuis plusieurs mois- j’avais enchaîné les soirées trop arrosées en compagnie des Mather et dieu seul sait que ça m’avait fait un bien fou de les retrouver. C’était comme ne pas voir ses frères et sœurs pendant plusieurs mois. Même si ça faisait que un mois à tout casser, ils m’avaient énormément manqués et j’avais réussi à ne pas trop penser à mes conneries, ma ruptures et le fait que j’avais aussi perdu ma meilleure amie au passage. Mais bon, fallait juste que j’assume d’être con, que je trouve la page et avance la tête haute. J’avais beau être extrêmement blessé, pleuré à l’abri des regards indiscrets, je continuais de rigoler et de faire le fort, parce que bon, j’avais une réputation à tenir et je n’avais pas de quoi pleurer, c’était de ma faute après tout.

J’arrivais devant chez elle, jetant joint et gobelet Starbucks dans la poubelle en bas de chez elle. Une dame assez âgée fût assez aimable pour m’ouvrir la porte de l’immeuble. Je montais les marches une à une, me demandant comment nous réagirions tous les deux. Le poing levé, je toquais deux fois sur sa porte, attendant alors qu’elle vienne m’ouvrir.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Mes yeux se fermaient doucement. J'étais tellement fatiguée que je ne savais même pas comment je tenais encore éveillée. J'évitais le plus possible de dormir et la raison principale en était mes cauchemars. Ils pouvaient être de toutes sortes, triste comme juste flippant, mais je préférais ne pas dormir plutôt que de subir ce que mon subconscient aime me faire revivre. Dans un état de presque sommeil, je sursautais violemment en entendant frapper à la porte. Mon cœur s'était mis à battre tellement vite que j'avais cru que j'allais mourir d'une attaque. Malheureusement pour moi, ce n'était pas encore le moment. Je trouvais ça étrange qu'il ne rentre pas comme d'habitude, sans prendre la peine de frapper. Avait-il peur que je l'attende derrière la porte avec une poêle ou une arme ? La première proposition était tentante, je n'étais pas assez folle pour la seconde option.

SMS de Madi à Austin
7h42 ✉ C'est ouvert. Prends le carton, il y a tout dedans.

Un face à face ? J'y avais songé, mais sincèrement, c'était mieux ainsi. Il n'avait qu'à prendre ses affaires et partir. Il savait tellement bien me mettre sur le banc de touche de sa vie que ça ne devait pas être plus dur que les autres cette fois-ci. Entendant la poignée être basculée, je retenais mon souffle, planquée dans les couettes. Sauf que.. J'avais oublié d'ouvrir. Ce qui voulait dire que j'allais devoir me lever et lui faire face. Rien qu'en y pensant, je sentais les larmes me submerger. Qu'importe, je devais ouvrir, lui donner le carton et refermer la porte. Me levant doucement, j'essuyais mes nombreuses larmes qui dévalaient mes joues. Comme si ça allaient les arrêter. Ouvrant doucement le loquet, j'ouvrais la porte le cœur serré. Je ne lui adressais pas un seul regard. Le carton est là murmurais-je, la voix tremblante en le laissant entrer en lui pointant le-dit carton du doigt. Pas besoin d'en faire plus, c'était déjà assez difficile à vivre et mes larmes n'y pourront rien à cette foutue situation.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Son second message me faisait comprendre qu’elle n’avait même plus envie de me voir. Je soupirais en poussant la porte. Malheureusement pour elle, la porte n’était pas ouverte elle sera donc dans l’obligation de se lever pour me faire face. Enfin, tu parles d’un face à face. Je n’avais même pas eu à croiser son regard pour savoir qu’il était emplit de larmes. J’étais vraiment un connard. Je checkais vite fait le carton. Il y avait même les cadeaux que je lui avais offert. Je m’emparais de Lady, souvenir de notre voyage à Disneyland et me mettais à la faire bouger en prenant une toute autre voix pour l’à faire parler. « Tu ne veux même plus de moi ? J’ai rien fait moi » Je lui faisais faire un air triste en baissant la tête de la peluche. J’essayais au moins de lui soutirer un petit sourire à mon grand désespoir. Si c’était mal placé de ma part, je m’en fichais.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Mon regard se perdait sur le sol. Je ne voulais pas croiser ses prunelles que j'aime tant car, faible comme je suis, je serais capable de lui dire 'c'est rien, on oublie tout' alors que non, ce n'est pas aussi simple. J'avais aussi peur qu'en le regardant dans les yeux, je me souvienne de tous les moments agréables que l'on a passé ensemble alors que là, je pensais juste aux plus douloureux et c'était largement plus simple à vivre. Je pouvais lui en vouloir à l'infini -tout comme notre tatouage commun, c'est dingue ce hasard !- et c'était plus vivable ainsi. Si je venais à penser aux côtés positif, je ne tiendrais pas une seule minute en face de lui. Impossible. Alors que je l'entendais fouiller dans le carton, mon cœur se serrait encore davantage. À croire qu'il vérifiait si je n'avais rien oublié et sincèrement, j'aurais pu lui en mettre une. Sauf qu'une peluche apparaissait devant mes yeux et ça faisait encore plus mal. Mes larmes redoublaient alors que je plaquais ma main sur mes lèvres pour étouffer mon sanglot. Pourquoi tu fais ça, Austin ? demandais-je alors que j'avais l'impression de me tuer moi-même en prononçant son prénom à haute voix. Tu trouves que ce n'est pas assez compliqué ? Je ne savais même pas comment je faisais pour tenir debout.

Relevant la tête, je croisais enfin son regard et je m'en suis voulue d'avoir fait ce geste. Mon cœur ne savait plus où donner de la tête entre mon amour pour lui, mais aussi ma haine à son égard. Chaque souvenir avec toi devient douloureux, alors je préfère que tu récupères tout, vraiment tout expliquais-je. Si tu as une formule pour me faire perdre la mémoire de ces dernières années, je suis preneuse aussi dis-je en restant contre le mur. Je ne voulais pas m'approcher et encore moins qu'il s'avance. Je voudrais tout effacer. Que rien n'est jamais eu lieu car vivre avec cette sensation, c'était le pire au monde. Si tu ne voulais pas être avec moi, tu aurais du me quitter avant de me tromper J'en avais si lourd sur le cœur que je me sentais vraiment mal. J'ai rien de particulier et tu me l'as montré, alors.. Va-t-en Mon dernier mot sonnait faux. Seul lui pourrait s'en rendre compte. Je ne voulais pas qu'il parte. Je voulais qu'il reste, qu'il lâche cette putain de peluche derrière laquelle il se planque pour essayer de m'amadouer, qu'il porte ses couilles pour une fois et qu'il fasse un pas vers moi. C'était trop facile de me demander de sortir avec moi, l'été dernier. Je voulais une preuve que s'il voulait rester, vraiment, je n'aurais plus à parler avec un gamin, parce que pour le moment, c'était tout ce qu'il était à mes yeux. Un gamin paumé sans conscience.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je voyais qu’elle n’appréciais pas ma petite blague, ce que je pouvais comprendre au final. Je soupirais en remettant la peluche dans le carton ou plutôt en la laissant tomber. Nos regards eu le malheur de se croiser et je voyais bien qu’elle n’arrivait même plus à se retenir de pleurer et ça me faisait mal au cœur. Moi qui voulait que personne ne l’à blesse, j’avais été la première personne à le faire. J’étais coupable, je le savais je n’avais rien pour me défendre. Même lui renvoyer à la gueule sa trahison avec Konrad ne servirait à rien, car ce n’était rien à côté de ce que j’avais fait, nous n’étions même plus ensemble.

Je l’écoutais parler la gorge serrée. « Je t’aime Madisson » J’aurais pu dire que je l’avais aimé, mais je l’aimais toujours, alors autant bien choisir ses mots. « Oui j’ai tout merdé, j’ai trop bu, j’me suis trop défoncé et il me suffit d’une chatte en chaleur pour que je dérape » Je pense que cette discussion nous en avions bien besoin. « Je sais que j’ai merdé, je ne dors plus non plus, je passe ma vie à boire et ouais parfois je chiale, mais qu’est-ce tu veux, je n’ai qu’à m’en prendre à moi-même. J’suis con, immature et dans dix ans je me dirais que ouais j’aurais vraiment merdé car en plus d’avoir perdu ma nana, j’ai aussi perdu ma meilleure amie, mais je ne peux pas retourner en arrière Madi’. Si je pouvais le faire, ouais je l’aurais fait, mais j’peux pas. Te demander de me pardonner serait mal venu de ma part, alors je ne vais pas le faire, ni te demander une troisième chance, car se serait te prendre pour une conne, mais garde au moins les souvenirs que je t’ai donné Madi’ steuplait. » ça me tenait à coeur au moins si elle venait à ne pas oublier ce que nous avions vécu ensemble. « Après je repasse cette porte je te promets que tu n’entendras plus parler de moi. Bon peut-être par les autres étudiants tu vois, mais on s’adressera plus la parole, on supprimera nos numéros et on s’ignorera si c’est ce que tu veux. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Ma peluche avait rejoint le carton au moment où je relevais les yeux vers lui. Je m'en suis immédiatement voulu d'avoir fait ce geste, mais je ne pouvais pas non plus l'ignorer continuellement. Je suis faible, que voulez-vous. J'aurais mieux fait de venir devant la MH avant son carton, et le brûler devant tous ses potes et lui. Dommage que je n'y avais pas pensé plus tôt. Mes paroles débitaient presque à la même vitesse que mes larmes. Je me retenais de ne pas être en colère ou trop amère. Sûrement en étais-je incapable en l'aimant encore, malgré tout ce qu'il s'était passé. Lors de notre rupture, je lui avais envoyé à la gueule que j'avais couché avec son meilleur ami de l'époque. Ok, je n'étais pas fière de ça, mais autant être honnête aussi de mon côté. J'aurais pu garder cela pour moi, mais.. autant le balancer histoire d'être libre. J'avais terminé de parler et j'aurais aimé qu'il prenne son putain de carton et qu'il parte à l'autre bout du monde mais..

Mais. Ses mots me figèrent. L'air arrêtait d'affluer dans mes poumons, mon cœur n'était plus irrigué de sang et mes larmes séchèrent d'un coup. J'avais eu la plus belle et douloureuse hallucination de toute ma vie. Austin, 'mon' Austin, venait de me dire qu'il m'aime. Pas au passé, au présent et en utilisant mon prénom entier, pas juste le diminutif. J'étais sur le cul. Il.. oah, il fallait que je m'assois. J'avais bien faillit totalement décroché, mais je tentais d'écouter au mieux ses futures paroles. J'écoutais tout, sans rien dire alors que je sentais des fourmillements dans tout mon corps. Doucement, mais sûrement, je me sentais mieux. Je n'aurais pas pensé pouvoir avoir une discussion sérieuse avec lui un jour. Apparemment, les miracles existent dans la vie, même si.. Même c'est trop tard. J'accepte que tu veuilles profiter de ta vie, faire la fête, boire, fumer, tout.. Je supportais même que tu es un putain de tableau de chasse avant que l'on se remette ensemble expliquais-je calmement. Mais me tromper.. T'as atteint le sommet dis-je, amère.

Qu'il me dise qu'il partait et que ce serait fini me pinçait le cœur. À croire que ce serait facile pour lui et que moi, bah c'était mon choix alors, tant pis pour notre amitié. On dirait que c'est toi qui choisis murmurais-je sans lâcher son regard. Je ne sais pas comment je pourrais te refaire confiance après ça avouais-je tout bas. C'était tellement compliqué. Il rendait tout compliqué et peut-être que j'étais arrivée à un point où.. je ne pouvais plus supporter cela. Je t'aime aussi, Austin dis-je sans ciller. Je ne comptais pas lui hurler dessus ni le frapper, même si, entre nous, c'était tentant et il l'aurait mérité. Le problème, c'est que cet amour, j'sais même plus quoi en faire, tu vois soufflais-je. Mon cœur me crie de te pardonner, même si ça fait mal, de t'accorder une dernière chance parce qu'au final, j'ai rien à perdre au vue de la situation.. Et de l'autre, j'ai ma raison qui me somme de te mettre la plus grosse gifle du monde, pour toutes les merdes que tu me fais subir et dont tu arrives à te sortir avec un 'c'pas ma faute Madi' et ton sourire de connard sexy Et je me retenais de sourire légèrement à mes dernières paroles.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je revenais toujours pas que je lui avais dit que je l’aimais. Genre depuis que nous étions sorti ensemble que ça soit lors de notre première relation ou notre seconde, j’avais dû le lui dire une seule fois au total et voilà que je le lui disais une seconde fois. Ça me faisait bizarre, mais au final ça faisait du bien. Malheureusement, c’était comme si je lui demandais sa main maintenant, c’était beaucoup trop tard. J’avais tout merdé et je m’en mordais les doigts. Je l’écoutais et en me mettant à sa place, jamais je ne me serait donné une autre chance. Mon ex, l’autre qui m’avait piétiné le cœur, car elle avait décidé de faire double jeu, bah même si elle essayait plus ou moins de recoller les morceaux, bah je lui en voulais toujours et cela même cinq ans après. Madisson était tellement faible. En fait, j’étais sa faiblesse et si je pouvais grave m’en servir contre elle à ce moment précis pour qu’elle retombe dans mes bras, j’en avais fini de jouer le connard. Austin il serait temps que tu grandisses un peu.

« J’te demande pas de me refaire confiance Madi’, ni de me redonner une chance si t’en as pas envie franchement » J’esquivais un sourire en pensant à toute les gifles qu’elle avait eu l’occasion de me donner lorsque l’on c’était retrouvé. « J’taurais bien dit de te mettre avec Konrad pour m’oublier, mais il s’est cassé » J’haussais les épaules. Ouais, c’était mal placé de ma part, mais j’avais un peu les nerfs quand même. »Du coup tu es sûr que tu ne veux pas les récupérer ? » Je m’emparais du carton qui au final n’était pas si lourd que ça. Il devait y avoir quelques chemises à moi et ses cadeaux quoi. « Blague à part, même si t’as l’impression que genre c’est trop facile pour moi de tourner la page, ce n’est pas parce que j’ai l’air bien et que je parle à tout le monde que je t’ai oublié. Je vais sans doute mettre du temps à t’oublier parce qu’on a vécu beaucoup de chose ensemble inoubliable. Même si c’est dur, essaye de tirer un trait sur moi, je ne mérite vraiment pas d’avoir ton intention » J’essayais de sourire avant d’enlever ses larmes avec mon pouce. « Et une aussi jolie fille ne mérite pas de pleurer pour un garçon qui ne le mérite pas » Je plongeais mon regard émeraude dans le sien. Sans doute la dernière fois où je pourrais observer son si beau regard.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Son 'je t'aime Madisson' résonnait dans ma tête plus que je ne l'aurais voulu. Pourquoi ne pas me l'avoir dit avant ? Pourquoi ne pas l'avoir prouvé avant ? Pourquoi m'avait trompé s'il est amoureux de moi ? Je ne comprenais pas sa logique. Enfin, je savais qu'une fois bourré et/ou défoncé, il n'en avait plus aucune. J'aimerais mais.. j'sais pas combien de temps ça peut prendre et je doute que tu attendes sagement pendant ce temps dis-je, légèrement cassante. Je n'allais sûrement pas sourire et lui sauter dessus pour l'embrasser, et puis quoi encore. Son sourire m'affolait et je savais que je ne devais vraiment pas craquer maintenant. Il devait me trouver pathétique. La suite me soufflait et je ne pouvais qu'en rire nerveusement. Si c'était pour t'oublier, je lui aurais demandé juste après avoir couché avec lui, parce que je souffrais encore de notre première rupture à ce moment-là ça se voyait qu'il ne digérait pas ça, mais on était un peu dans la même situation.. en quelque sorte.

Le carton sous le nez, je ne savais plus du tout quoi faire pour le coup. Si je le gardais, ça voulait dire que le pardon était possible, alors que s'il partait avec, tout était bel et bien fini. Pour toujours. Je.. J'hésitais un peu, avant d'attraper Lady que je serrais fort contre moi. Juste elle pour le moment, pensais-je. Faible, me raillait ma conscience. Tant pis. Ses prochaines paroles me remettaient les larmes aux yeux. Je n'en étais pas capable, de vivre sans lui. J'peux pas tirer un trait sur toi et encore moins t'oublier, mais une chose est certaine, à mes yeux, on ne peut pas être juste amis dis-je avec un maigre sourire. J'vais pas pouvoir supporter une seconde fois, comme en arrivant ici, de compter le nombre de conquêtes que t'as en restant à une place de meilleure amie qui ne me suffit pas Mon sourire s'étirait à peine. T'en vaux la peine, aussi con es-tu Je ne voulais pas que son regard fixe une autre fille comme il le faisait maintenant avec moi..
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je ne savais pas non plus si j’attendrais, car pour moi je voulais juste savoir si c’était possible ou pas. Je n’aimais pas rester dans le vague. Dans mes relations j’avais toujours essayé d’être francs dès le départ en disant soit « oui c’est possible » soit « cours toujours » mais j’avais l’impression que nous étions tous les deux perdus. Sa réponse à propos de Konrad ne se fit pas attendre et ça me foutait mal de savoir qu’elle ne c’était même pas encore remise de notre première séparation, alors combien de temps allait-elle prendre pour se remettre de celle-ci ?

Je finissais par une caresse sur sa joue en me reculant. . « Je suppose du coup qu’on ne pourra même plus être ami ? » Triste vérité. . « Du coup…je suppose que c’est fini pour de bon » J’en concluais en la regardant s’emparer de Lady. Je savais qu’elle adorait cette peluche. Je me rappelle l’à lui avoir offert après qu’elle ait paniqué dans le parc, car je n’étais plus là et voilà ce que j’avais décidé de lui offrir pour me faire pardonner. Tous ses souvenirs me serrais le cœur et me rendait nostalgique. . « C’est gentil » Bon, si on on oubliait le fait qu’elle venait de m’insulter de con, le contenu était pas mal. Sans aucune gêne, je déposais le carton pour prendre ses deux mains. « Regarde-moi » Lui ordonnais-je. . « Je t’aime, l’oublie juste pas quand t’auras cinq mioches » Disais-je en rigolant. Pour le moment elle ne se voyait plus rien refaire sa vie, mais elle était encore jeune, il ne fallait pas abuser.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)