Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityaustin ∞ prends tes clics et tes clacs et barre-toi. on n'a plus rien à se dire.. je crois ? - Page 3
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austin ∞ prends tes clics et tes clacs et barre-toi. on n'a plus rien à se dire.. je crois ?

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Genre moi j'étais du genre à faire du mal à des nouvelles. Je m'indignais faussement à ses paroles en lui tirant la langue. C'était la seconde année que j'avais le titre de 'marraine' et j'aimais bien ce rôle. Ça me permettait de découvrir de nouvelles têtes et de ne pas avoir l'air d'une cruche en arrivant aux soirées entre roses auxquelles j'avais un peu de mal à assister. J'aimais bien les gens, en règle générale, mais j'avais réellement du mal quand il y avait trop de personnes. Vous savez, l'effet « groupe ». Les gens ne sont jamais les mêmes seuls ou accompagnés et j'avais bien du mal à comprendre pourquoi. Comme s'ils avaient à être une autre personne devant les autres.. ça n'a aucun intérêt. À mon sens, évidemment. Je ne savais pas qu'il faisait bizuteur et un instant, je réfléchissais à ce que ses bizuts devraient faire.. Les pauvres (a) Une armée de « made by Austin » ? Tu ne te suffis pas à toi tout seul pour les conneries, tu dois former la relève ? riais-je. Je n'étais pas sortie de l'auberge avec ses disciples mais bon, du moment qu'aucun ne m'emmerde par le biais de défi inventé par mon ex petit ami, ça irait. Pour une fois, je ne tiquais même pas à la façon dont je venais de parler de lui. Tant mieux. Mais une chose me revenait en tête.. Si Konrad, qui lui avait tout appris, avait réussi à me plaire et.. Ouais non. Je plaindrais le garçon qui s'approcherait de moi.. Même si, en fait, ça n'avait pas d'importance. Après tout, c'était fini entre nous et même si je l'aime toujours, nous étions revenus à la même période que lorsque j'ai couché avec son meilleur ami. Sauf que.. Il m'aime et je le sais. Même si c'est un petit con, il me l'avait prouvé par A + B, malgré le fait qu'il m'est trompé. Il ne m'aime juste pas autant que je l'aime, même si je le sais depuis des années et que je l'avais toujours accepté. On a pas encore fini notre scolarité alors je me permets quand même de te prévenir, ne sait-on jamais que cette idée lumineuse te traverse l'esprit. souriais-je malicieusement. J'avais bien du mal à me dire que même si nous avions le même âge, j'avais une année scolaire en moins que lui et que du coup.. Il allait partir d'Harvard avant moi et ça.. ça me faisait un peu peur. Être sans lui, c'est comme vivre sans repères et je crois que ce serait vachement perturbant.
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Je rigolais, mais l’idée me plaisait. Plein de mini moi. Bah quoi, fallait bien que des gens me remplacent lorsque je partirais d’Harvard. Konrad m’avait plutôt bien formé pour ça et je pense qu’il pouvait être fier de moi-même s’il lui ne pouvait pas dire de même de son comportement. Il avait fait une belle connerie en couchant avec Madisson, car même si je ne sortais pas avec elle à ce moment-là, il connaissait l’histoire qui nous liait elle et moi. Il me connaissait assez pour ne pas agir comme il l’a fait, mais ce qui est fait et fait et je n’ai pas à mettre toute la faute sur lui, car ma meilleure amie aussi à ses tort. Bah ouais attend, faut que j’assure les descendant tu crois quoi ? Je veux qu’en partant d’ici on puisse parler de moi » Se serait trop bien quand même, avouons-le. Je riais à ses dires en levant les yeux de façon désespéré. Paye l’image qu’elle avait de moi. Mais bon, elle n’avait peut-être pas tout à fait tort. « Je ferais appel à quelqu’un d’autre pour la peine » Je lui tirais la tête comme un gamin de quatre ans, mais en même temps c’était mon âge mental alors c’est pardonnable (a) Une fois ensemble c’était comme retrouver toute notre enfance et je nous imagine bien dans trente agir comme deux parfaits gosses ensemble, alors qu’on aura nos propres enfants à s’occuper. Et ouais, dit comme cela ça sonne carrément bizarre, mais pourtant je sais que c’est ce qui risque d’arriver. Du moins, si, je l’espère, nous sommes toujours en bon terme.
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En toute sincérité, j'éviterais les bizuts mathers pour ne pas me retrouver face à des caractères comme celui d'Austin. Quoi ? Ce n'était pas que son physique qui me plaisait – malgré ses boucles, son regard émeraude et sa.. bref (a) – mais j'aimais aussi ce qu'il était à l'intérieure, même si c'était un p'tit con. Mais c'était le mien, hein. Alors que j'avais tout fait pour ne pas le revoir, passer du temps avec lui me permettait de.. me dire que je devais tourner la page. C'était affreux et je l'aimerais toute ma vie, mais.. Peut-être que je ne devrais plus croire à quelque chose qui n'existera jamais. Je devrais l'écouter et me dire que je suis jeune, qu'il y aura d'autres garçons. Après tout, même amoureuse, j'avais couché avec son meilleur ami alors.. Je ne savais pas trop et à vrai dire, je n'avais pas envie d'y penser. Je ne ferais jamais le pas vers lui et avec sa fierté, notre situation resterait sûrement celle-ci. Il ne fallait juste plus qu'une bouteille soit dans ma main alors qu'il est proche de moi. Sinon, c'était foutu. Nous avions trop joué à ça pendant la première année et je ne retournerais pas au stage 'meilleure amie et conquête'. Sans façon. Demande-leur de faire un défi commun en faisant une statue de pierre de ta personne devant la MH et de se prosterner tous les jours devant me moquais-je gentiment. Quelqu'un d'autre ? J'pense que ça va te coûter cher, j'étais gratis moi au moins Mais il me le rendait bien.. Enfin, à sa manière quoi. Et c'est pas avec cette tête que tu pourras m'avoir, j'te connais depuis trop longtemps maintenant souriais-je en attrapant un des derniers gâteaux qui traînaient dans le paquet. Je ne voulais pas lui montrer que ça m'affectait encore. Je ne devais pas. Je lui souriais un peu. Il me rendait toujours aussi folle et.. Il fallait que ça cesse.
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Je rigolais en songeant à l’idée de défi qu’elle venait de me soumettre. Se serait pas con tient, mais il leur faudrait plus de deux mois afin de l’à faire, mais faudrait que je songe à déposer un brevet sur ça. Je continuais de rire avant de reprendre un gâteau. « Je sais soudoyer les gens, ne t’en fais pas. Et ils ne veulent pas toujours du fric, y a toujours moyen de s’arranger. » J’esquivais un petit sourire au croquant dans mon biscuit. « T’es méchante avec moi » Je lui tirais la langue avant d’en rire. C’est vrai qu’elle me connaissait que trop bien à présent. Cela faisait des années que l’on se connaissait. C’est fou comme le temps passe vite, ça me dépasse parfois. L’année scolaire je ne l’avais pas vu passé, nous sommes à Halloween dans moins d’un mois, noël dans quatre-vingt jours, on change d’année dans quatre-vingt-dix jours. Quand on dit qu’il faut profiter de chaque instant pour ne pas en perdre une miette, on a bien raison de dire ça. Mes années à Harvard je ne les regretterais pour rien au monde. Jamais. Pour le moment, je me demandais juste comment ma relation avec la demoiselle allait évoluer. Maintenant que je lui avais avoué mes sentiments, que j’avais fait une connerie, que nous n’étions plus ensemble et que je savais que j’en étais amoureux. Au final, en septembre on finit toujours à la case départ.
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Mon idée de statue semblait lui plaire et j'avais hâte de savoir ce qu'il comptait faire de cette idée totalement insensée. Comme je le connais, ça ne m'étonnerait pas que ça se réaliser. Pauvre bizuts. Si j'avais l'occasion de les rencontrer, je leur présenterais mes sincères excuses d'avoir un meilleur ami aussi.. lui-même, parfois (a) C'est vrai que te soudoyer toi, pas besoin de fric.. juste des gâteaux lui dis-je en montrant son biscuit. De toute manière, c'est bien connu, un mec, tu l'as soit avec le ventre, soit avec le sexe. J'essayais évidemment, dans notre cas, de me baser surtout sur la première idée pour ne pas que ça dérape. Je pouffais de rire à sa remarque. Méchante ? Mais bien sûr fis-je en levant les yeux au ciel. Si je l'étais vraiment, tu ne serais pas assis à mes côtés Je souriais en finissant mon gâteau. Je te taquine, comme tu le fais, mais.. tu préfères que ça vienne de toi que de moi Lui et sa fierté, hein. Mais bon.. Même si ça ne lui convenait pas ainsi, j'estimais qu'après la fin de notre dernière relation, il pouvait toujours rêver pour que je me plie en quatre autant qu'avant. Il restera celui qui a mis fin à notre relation en me trompant et même si je lui avais balancé que j'avais fait un écart en couchant avec son meilleur ami, bien que nous n'étions pas en couple, je restais sur ma position. Il avait merdé et même si j'acceptais qu'il soit encore avec moi.. ça ne changera pas le fait qu'il m'a vraiment blessé. Dis Austin demandais-je en levant les yeux vers lui. Tu m'aimes encore? Je me reprenais un peu pour ne pas passer pour une fille niaise ou totalement désespérée. Quand on était juste meilleurs amis, j'entends Puisque je savais – ou j'espérais, je ne sais plus trop – qu'il m'aimait encore un peu comme je l'aimais moi, depuis des années.
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Me soudoyer avec des gateaux n’était pas la première chose à laquelle j’aurais pensé, mais il va mieux n’aborder que ce point de vue, car je n’avais pas envie que ça parte en crise de larmes, en reproche, regret et qu’elle me mette à la porte. Après tout j’étais vachement bien ici. “Tu as eu pitié de moi ?” Demandais-je en souriant. Malheureusement pour moi, je savais que c’était le cas et je n’avais aucune fierté à le dire. J’haussais les épaules copmme une fatalité. Elle me connaissait que trop bien et je pense que c’était un bien comme un mal. Je prenais un énième gateau, maix sa question me coupa un peu tout appétti. Je ne m’y attendais vraiment pas. Surtout venant de sa part. “Ouais” Ma réponse était peut-être un peu trop sèche pour le coup. Je déposais mon gâteau –de toute façon je n’avais plus faim- pour me tourner vers Madisson. “J’ai fait une belle connerie deux fois, tu l’sais bien, mais bon j’suis comme ça et j’pense même que je finirais seul toute ma vie” Disais-je sur un brin d’humour “[/color]mais j’veux que tu saches que…bah moi je t’ai aimé et que j’t’aime toujours même si c’est ringard et cucul” Voilà le seul problème que j’ai avec l’amour. Si ce n’est qu’on fini par s’ennuyer avec le temps.
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En le voyant bloquer un peu sur mon histoire de gâteaux, je savais bien qu'il pensait à autre chose que de la nourriture, mais.. Je n'avais pas spécialement envie d'aborder cet autre sujet. Pourquoi faire ? Je ne le voulais pas. J'aimais coucher avec lui, mais.. En sachant qu'il m'avait trompé, je ne savais pas si on pourrait se retrouver dans cette situation ainsi. Sérieusement, coucher avec celui qui nous a trompé, c'est plutôt un coup à exploser en larmes pendant l'acte ou se rendre compte que sa petite chose en nous est allé voir ailleurs. Sans façon. Après.. Avec le temps, ça pourrait s'arranger un jour mais.. Il m'avait assez bien fait comprendre que je devais tourner la page. Pour une fois, je devrais peut-être le faire au lieu de rester accrocher inutilement. Gagné, Da Silva me moquais-je gentiment. Sa réponse me refroidit directement. Les deux gâteaux que je venais de manger semblaient vouloir faire demi tour dans mon corps. Pourtant, j'aurais du être heureuse de sa réponse, mais.. C'était étrange. Encore plus qu'il me l'ait dit, en fait. Il.. Il avait changé et ça me choquait véritablement. Qu'il s'arrête de manger me paniquait, en plus de croiser ses pupilles émeraudes qui me faisaient toujours chavirer. Et la suite me démontait petit à petit. Je me retenais pour ne pas pleurer, même si les larmes arrivaient un peu à mes yeux. Je prenais sur moi pour les ravaler. Il me soufflait et ça me donnait encore plus envie de revenir vers lui mais.. Il l'avait dit. C'était déjà la deuxième fois que ça se finissait d'une manière brutale et « jamais deux sans trois » m'achèverait. Je le sais oui murmurais-je en tentant un sourire. Mais je doute que tu finisses seul, il y a bien une fille sur terre qui arrivera à te rendre amoureux à long terme J'étais juste triste que cela ne soit pas moi, bien entendu. Mais dans la vie, on n'a pas tout le temps ce que l'on veut. C'est pas ringard.. Ni cucul, c'est juste.. De l'amour quoi Je haussais les épaules en regardant ailleurs avant de souffler tout bas je t'aime toujours aussi..
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Je voyais déjà ses yeux briller sans doute à cause des prochaines larmes versées. Ça me retournait un peu l’estomac, mais pourtant j’étais persuadé de ne pas avoir dit quelque chose de mal. Peut-être qu’elle retraçait toutes nos expériences ensemble et se rendait compte que notre relation était vouée à l’échec. Malheureusement. En même temps, c’était uniquement de ma faute. « Tu comprends pas Madisson. Ce n’est pas la fille le problème c’est moi. M’imaginer marié avec des gosses c’est flippant. Tu sais bien que je me lasse genre très vite, car je finis par me faire chier. J’ai besoin de rebondissement dans ma vie. J’sais pas, tout plaquer et faire le tour du monde, se marier à Las Vegas, des trucs comme ça quoi ! Ce n’est même pas une question de plus aimer quelqu’un au point de vouloir se faire chier toute notre vie avec. C’est plus que ça » Pour le coup, je n’avais vraiment plus faim, car si j’avais l’habitude de tout le temps me confier à Madi’, c’était rare que je m’ouvre autant sur mes sentiments. Ma fierté encore une fois. « Et j’vais pas dire que tu m’ennuie, car ce n’est pas le cas et que je ne t’aime pas, car c’est pas le cas non plus, mais je commençais à ressentir cette petite routine s’installer, on luttait pour trouver des sujets de conversation et…ouais j’ai flippé et il m’a suffi de l’alcool pour que je fasse le con. Après tout, j’suis un connard non ? C’est pas l’image que les gens ont de moi ? » C’était malheureux à dire, mais bon.
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Ses mots me lacéraient le cœur avec une puissance que je n'aurais jamais soupçonné. Plus il parlait, plus je me rendais compte que tomber amoureuse de lui et sortir avec lui n'aurait de toute façon mener à rien. D'ailleurs, je ne comprenais pas, en sachant désormais quel genre de vie « pimenter » il voulait mener, qu'il se soit mis avec lui. Sincèrement, c'était plus une perte de temps qu'autre chose et cette pensée me détruisait un peu plus. D'un autre côté, même s'il m'échappait légèrement, je ne voyais pas pourquoi il me parlait d'avenir tout à coup. Il vivait toujours au jour le jour et l'entendre se projeter me surprenait. Je veux dire, je ne l'ai jamais obligé à finir sa vie avec moi en ayant des gosses. Quand on sort avec quelqu'un, certes, c'est ce vers quoi on aspire un jour, mais il n'a pas signé de contrat qui précisait qu'on serait ensemble toute notre vie, etc. quand j'ai dit « oui » pour sortir avec lui. J'aurais juste aimé que cela dure un peu plus longtemps pour profiter de l'homme que j'aime depuis des années. Malheureusement, on n'a pas toujours ce que l'on veut dans la vie. J'écoutais la suite de ses paroles sans dire un mot. Mes larmes avaient du légèrement – beaucoup – débordées, mais je mets au défi n'importe qui de ne pas craquer dans cette situation là. Pleurer ou se mettre en colère, ça revient au même, on choisit juste sa façon d'exprimer sa tristesse. J'allais répondre, mais ses deux phrases de fin de me laissaient perplexe. En particulier la dernière. Depuis quand tu te soucis de ce que disent les autres? Parce que ça, c'était bien la première fois que j'entendais qu'il écoutait ce que les autres pouvaient dire de lui. Avait-il changé à ce point sans que je ne le remarque ? Oui, tu es un connard lâchais-je plus sèchement en essuyant mes larmes. Mais disons que tu as des circonstances du pourquoi tu en es un tentais-je d'expliquer maladroitement. Pour ton histoire de routine, je conçois et même si tu dis l'inverse, que vivre avec moi n'est pas le grand frisson que tu attendais dans ta vie mais sérieusement.. l'alcool, c'est une excuse de merde rappelais-je. Ou alors tu regrettes aussi toutes les fois, l'an passé, sans que nous soyons ensemble, où l'on a couché ensemble? Autant qu'il me le dise franchement. J'aurais préféré mille fois que tu m'envoies un sms pourri pour rompre avant de coucher avec une fille.. parce qu'être cocu, c'est vraiment la pire sensation au monde Parce qu'avec lui, j'étais passée par un peu tous les stades. Entre la meilleure amie amoureuse qui l'aidait pendant sa première rupture quand nous étions jeunes, la petite amie de remplacement tellement chiante qu'on la jette ensuite, puis le « nomans'land » en venant à Harvard, la meilleure amie et sexfriend, puis retour à la petite amie mais quand ça devient la routine, qu'on a le droit de blesser en allant ailleurs « à cause » de l'alcool. Sur un plan émotionnel avec lui, je pense que j'avais fait le tour et assez bien résumé la situation. Et maintenant.. nous devrions être quoi ?
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J’avais presque oublié que de base j’étais le gars qui était censé n’en avoir rien à foutre, mais voilà, ce n’était pas vraiment le cas. Mais bon, je suis censé être le Austin toujours heureux, qui fait la fête tout le temps et qui aime la vie, mais à votre avis, pourquoi je n’aime tellement pas avoir le statut en couple ? Tout simplement parce que les gens te trouvent moins cool, trop ennuyant car tu es casés, alors les filles arrêtent de s’intéresser à toi et te qualifie en tant que naze et je crois qu’il n’y a rien de pire lorsqu’on est mather. J’avais conscience que c’était con de se soucier de sa notoriété ainsi, mais je n’avais pas envie de tomber dans l’oubli.

Pour une fois, je me l’à fermais en écoutant mon ex petite amie. « Ouais bah n’empêche, on s’éclatait plus quand on était pote » Je ne savais pas si j’étais en train de m’enfoncer dans ma merde ou pas. Je savais que j’allais m’en mordre les doigts toute ma vie d’avoir agi comme un parfait crétin en couchant avec une inconnue, mais pas besoin d’en faire tout un plat, ce qui est fait est fait, je ne pouvais plus rien faire. Alors, je soupirais de la situation. « J’ai cru que les nanas ne supportais pas se faire larguer par SMS » mon ton se était plus insolent que je l’aurais voulu. « De toute façon il n’y a rien que je pourrais faire pour faire pardonner, alors à quoi bon » Je me levais de son canapé. « J’pense qu’il vaut mieux qu’on s’éloigne pendant plusieurs temps histoire de, car je n’ai pas besoin qu’on me balance à la gueule mes conneries » Je me dirigeais vers la porte pour pouvoir prendre mon carton. « Après tout, ce n’est pas comme si tu étais réellement dingue de moi, sinon tu n’aurais pas couché avec mon meilleur pote » Touché ! Oui, là j’étais un véritable connard et l’idée de faire mal à Madisson ne me traversait même plus l’esprit. J’étais juste en colère.
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