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austin ∞ prends tes clics et tes clacs et barre-toi. on n'a plus rien à se dire.. je crois ?

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Au plus nous continuions à parler, au plus j'avais du mal à me dire que ce serait vraiment terminé entre nous. Avec ses paroles, j'avais l'impression qu'il s'en fichait de notre rupture, peu importe qu'il dise le contraire. Ça me faisait encore plus mal au cœur d'ailleurs. Ses mots me brisaient le cœur. C'était pire à haute voix qu'uniquement dans ma tête et j'avais bien du mal à ne pas lui hurler dessus et de vouloir le tuer. Je devais sûrement étouffer Lady contre moi, mais c'était nécessaire. A défaut de pouvoir le faire avec lui, c'était ma seule solution. Je n'osais plus parler. C'était devenu au-delà de mes forces et je me demandais vraiment comment j'arrivais à ne pas me jeter dans ses bras. J'en avais autant envie que non et c'était dur à vivre. Prenant sur moi, je baissais juste la tête en pleurant en silence. J'aurais préféré ne pas le croiser. Après tout, ce n'était pas cette discussion qui allait changer quoique ce soit entre nous alors.. à quoi bon ? En lui annonçant que j'avais couché avec son meilleur ami, j'avais pensé qu'il me détesterait et qu'il mettrait de la distance entre nous.. mais il était là à me dire qu'il m'aime et qu'il regrette. Je n'en pouvais plus. Si cette année devrait être partagée entre les larmes et une humeur pourrie, je crois que je ne pourrais pas continuer. Lui, il allait vivre tranquillement sa vie alors que je me morfondrais encore et encore. Sincèrement, il disait qu'il avait mal et qu'il pleurait mais.. j'avais énormément de mal à le croire.

Le carton se posait et sentir ses mains prendre les mains me serraient le cœur. J'obéissais comme une idiote à son ordre. Lui riait de ses paroles alors que moi, je pleurais encore comme une fontaine. Je ne supporterais pas de vivre sans lui à mes côtés, petit ami ou pas. Il fait et fera partie pour toujours de ma vie. Sauf que là.. je ne voyais pas de solution pour le moment. À part du temps, mais je savais que ça n'avait pas de valeur. Il reprendrait sa vie en faisant la fête avec ses potes, tombant dans l'excès et en allait coucher avec plusieurs filles. Et moi.. il fallait que je n'y pense pas. Plus jamais. Je t'aime aussi, Austin murmurais-je en tentant un sourire. C'était perdu d'avance. Évite de mettre une de tes conquêtes enceinte hein, sinon c'est toi qui auras des mioches le premier Je tentais une once d'humour mais je ne savais pas si ça rendrait aussi bien que je l'aurais voulu. Je savais qu'il n'aimait pas les enfants et j'aurais même été capable de l'accepter si nous étions restés ensemble.
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ça me faisait mal au cœur de l’entendre me dire qu’elle m’aimait, car elle avait tant souffert de cet amour. Tout d’abord avant que l’on se mette ensemble pour la première fois, car je me permettais de lui raconter mes aventures, mes sorties amoureuses, que j’avais aussi chialé dans ses bras lorsque je m’étais fait trompé, largué –parce que ouais je ne suis pas le seul connard de la terre- puis par la suite j’avais quand même fini par lui demander de sortir avec moi juste pour voir si ça collait pour au final juger que j’étais trop jeune pour vraiment avoir une relation stable et agir comme le plus beau des connards et maintenant, après ma seconde chance accordée, je l’avais trompée. Elle devait avoir le cœur en miette et je me demandais comment il arrivait encore à battre pour moi. Limite, même si ça me ferait mal, je préférais qu’elle me déteste et qu’elle vive sa vie, même si égoïstement, j’aimais le fait qu’elle soit toujours amoureuse de moi. Ça me rassurait. Sa petite tentative de blague me faisait esquiver un petit sourire, mais rien de très convaincant. « T’inquiète » Fût la seule réponse à peu près potable que j’avais réussi à trouver. « Bon, j’vais pas t’embêter plus » Je reprenais mon carton pour m’apprêter à partir et fermer ce chapitre de notre histoire. Je n’ai pas dit qu’on fermait le livre, c’était juste un chapitre pour en commencer un nouveau. On ne sait pas comment l’histoire peut évoluer après.
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Doucement, je tentais de calmer mon cœur qui s'affolait autant qu'il se contractait à la présence de l'homme que j'aime depuis des années. Cette situation pourrait paraître grotesque. Après tout, nous sommes jeunes et c'était mon premier amour. Les autres diraient que je trouverais quelqu'un d'autre et qu'Austin n'est simplement pas le bon. Je m'en tape de ce que les gens pensent et disent sur nous. Il n'est pas seulement (re)devenu un ex, mais c'était avant tout la personne avec qui j'avais le plus de délire. Il arrivait toujours à me sortir des histoires farfelues dans lesquelles il nous conduisait et autant dire qu'il m'a sauvé la peau à de nombreuses reprises, en particulier lorsque j'étais à deux doigts de me faire disputer par mes parents. Ça n'a jamais été linéaire entre nous, surtout après que sa première copine l'ait largué. Je pourrais dire qu'il l'avait bien mérité après ce qu'il venait de me faire, mais je savais que c'était le point zéro à son comportement immature qui n'a jamais cessé de lui coller à la peau. Si elle n'avait pas été là, les choses auraient sûrement été différente. Mais avec des 'si' on mettrait Londres en bouteille. Une alternative à cette vie aurait pu être meilleure.. comme pire. Qu'en savons-nous ? Il ne faut pas penser à 'si' mais plutôt à 'et maintenant' car on ne peut pas changer le passé et lui-même s'en rendait compte. Mon cœur semblait plus apaisé à cette réflexion.

En sachant qu'il avait toujours réussi à s'en sortir, je doutais sincèrement qu'il soit assez idiot pour mettre une fille d'Harvard enceinte. Heureusement que je n'étais pas une idiote désespérée avec lui à tomber enceinte sans son accord. Soyons honnête, il m'aurait lâché sur-le-champ. C'est Austin, ne l'oublions pas. Même si des mini-Austin et des mini-Madi m'auraient plus mais.. je devais me faire une raison. En le voyant prêt à partir, je posais doucement ma main sur son épaule. Ce geste me fit frissonner, mais je préférais tout refouler. C'était plus simple, moins douloureux. Enfermer ses sentiments et finir par les étouffer, j'avais toujours réussi alors pourquoi cela changerait aujourd'hui ? D'aucune façon. Je.. je veux quand même qu'on essaye d'être amis murmurais-je avec un léger sourire. Je ne supporterais pas que l'on s'ignore alors, je veux bien qu'on essaye ça au moins Qui ne tente rien n'a rien. Juste, ne me parles plus jamais de tes conquêtes, sinon je te fais la promesse solennelle que tu ne pourras plus jamais coucher avec qui que ce soit dis-je avec un sourire un peu plus grand. Je ne devrais sûrement pas passer l'éponge ainsi et encore moins proposer quelque chose que j'avais refusé il y a quelques minutes mais.. il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis et de toute façon, maintenant ou dans deux jours, je n'aurais pas supporter longtemps d'être séparé de lui..
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Ça me déchirait le cœur de me dire que dès lors que j’aurais franchi cette porte, il n’y aura plus rien entre nous. Ni amitié, ni amour. Que dal. Mais bon, j’étais devenu un pro pour faire genre que je n’en avais rien à foutre, que je n’avais pas de cœur et que les filles ça venaient et partaient comme ça. Madisson avait été la seule personne qui m’avait déjà vu pleurer, même ma mère ne m’avait jamais vu verser une larme, c’est pour dire. Ouais, je tenais bien l’image du portugais macho et beaucoup trop fier. Les chiens ne font pas des chats. Mon cœur loupait un battement en sentant sa main se déposer sur mon épaule. Si j’étais soulagé ? Mais carrément ! Elle venait en gros de m’avouer qu’une possible amitié était tout à fait faisable. Bien sûr elle n’oubliera jamais ma trahison, comme moi je n’oublierais jamais qu’elle c’était faite l’un de mes meilleurs potes, mais si nous pouvions essayer de recommencer au point zéro. Je préférais me contenter de cette situation que n’avoir rien du tout. « Ok, ça me va » J’esquivais un petit sourire suite à sa dernière en déposant pour la énième fois ce carton. « Du coup tu veux que je reste ou on s’capte un autre jour pour boire un verre. A moins qu’t’es préparé à bouffer et là j’te laisse pas l’choix » Même si j’avais des doutes sur le fait qu’elle avait trouvé assez de motivation pour cuisiner vu son état second dans lequel je l’avais trouvé.
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En posant ma main sur son épaule, j'avais senti.. comme s'il était soulagé que je fasse le pas vers lui. Je le connaissais, lui et sa fierté. S'il avait passé cette porte avec les dernières paroles qu'il avait prononcé, il n'aurait jamais fait demi tour. Oui, j'étais faible de revenir alors qu'il m'avait blessé, mais ne dit-on pas que le temps guérit les blessures ? Peu importe lesquelles, celles qui sont dans nos têtes, nos cœurs ou nos corps. Celles qui nous laisse des cicatrices, celles qui meurtries nos corps ou encore celles avec lesquelles on doit vivre avec. Il m'avait trompé, j'avais terriblement mal, mais.. serais-je prête à gâcher tout entre nous pour une histoire qui ne fonctionne pas ? Absolument pas. Ce serait égoïste de l'éloigner de moi alors que ça crevait les yeux : on avait envie de passer du temps ensemble, l'un comme l'autre. J'étais rassurée qu'il accepte que l'on essaye et j'enlevais rapidement ma main pour ne pas faire de conneries. Ça ne changeait rien au fait que je l'aime et que j'ai envie d'être plus qu'une amie, mais.. je devrais faire comme au départ, lors de nos retrouvailles à Harvard il y a maintenant deux ans. C'est fou ce que le temps passait vite. Et dire que l'on avait presque passé un an ensemble. Presque. Malgré cela, je souhaitais passer Halloween avec lui, Noël, Nouvel An et même le Bal de Fin d'Année si la situation n'était pas venue catastrophique d'ici là, bien entendu.

Le carton reposé, je souriais en écoutant ses paroles. Bah maintenant que le carton est posé.. murmurais-je en souriant encore. S'il préférait se voir une autre fois, il aurait encore ses affaires à la main, prêt à partir alors.. je n'allais pas le foutre dehors. J'ai des gâteaux dis-je en sachant très bien que c'était comme dire 'reste avec moi'. Pas besoin de long discours pour qu'il reste de toute manière. Installe-toi dans le salon, je vais chercher ça lui dis-je en gardant Lady avec moi alors que je me décalais pour rejoindre ma cuisine avant de lui demander tu veux un café? Une fois dans ma cuisine, je me rendais compte que ça faisait un moment que je n'y avais pas mis les pieds. À part des bols pour de la soupe ou des tasses pour des thés, il n'y avait rien du tout. Ça faisait un moment que je n'avais pas pris un repas correct et j'espérais qu'il ne remarque pas mes kilos perdus. Oubliant un peu ce à quoi je pensais, je sortais des paquets de biscuits avant de les mettre sur un plateau et de me faire un chocolat chaud.
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« Ha bah j’peux toujours le reprendre ! » Disais-je en rigolant, m’apprêtant déjà à m’en emparer à nouveau, mais l’appel des gâteaux, soyons sincère, était plus fort que moi et mon ventre me rappelait que je crevais la dalle, car ses derniers temps, à part le café/whisky/Vodka et les chips, c’était tout ce qui passait dans mon estomac. Oui, encore une fois mon alimentation n’était pas des meilleures, mais je n’en avais vraiment rien à foutre. « Ouais j’veux bien ! » Criais-je en m’installant dans le salon, voyant que limite tout était prêt pour déprimer. DVD, mouchoir, plaide. Je m’emparais de la télécommande pour mettre le film déjà commencé, sur play et m’installer confortablement. Je constatai très rapidement que ce n’était autre que la belle et le clochard (à croire que j’aurais limite pu le deviner) Pauvre Madisson. Et dire qu’à cause de moi elle déprimait. Je me sentais atrocement mal à l’aide pour elle et je ne comptais pas à ce qu’elle continue sur cette pente. J’arrêtais le Blue-Ray pour mettre une chaîne au hasard de la télé, ranger les mouchoirs et ne garder que le plaide au cas où elle aurait froid, car elle n’avait sans doute rien dans le corps. J’étais aussi passé par là lorsque Zéphyr m’avait trompé et ce n’était rien de très agréable. On ne mange pas, on ne dort et pourtant on tombe de fatigue à force de pleurer. Je l’à regardais revenir avec mon café et les gâteaux. J’aurais pu me jeter dessus pour m’empiffrer, mais je commençais d’abord par lui en tendre un. « Mange un peu, ça te fera du bien »
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Me retenant de rire, je m'éloignais doucement de lui. Avec lui, c'était simple pour le faire rester : parler de nourriture. Ou de boisson, mais je n'avais actuellement pas d'alcool chez moi. ça aurait été beaucoup trop tentant vu mon humeur du moment. Soyons honnête, si j'avais bu et qu'il serait venu à ce moment précis, j'aurais eu l'air conne car même blessée et amoureuse, je l'aurais écouté me faire la morale et j'aurais même fait ce qu'il voulait. Autant ne pas tomber aussi bas. Dans la cuisine, je faisais couler son café en sortant deux paquets de gâteaux. Je n'avais pas spécialement faim, mais c'était juste pour lui. J'espérais qu'il ne fasse pas de remarque vis-à-vis du bordel que j'avais laissé dans le salon et encore moins du poids que j'avais perdu. Mais bon, après tout, il n'avait rien à me dire, il n'était plus grand chose.. enfin, ça restait l'homme que j'aime mais bon. Je ne savais pas trop à quoi cette situation nous mènerait. Au lieu de me dire "de toute façon, c'est foutu" je préférais le garder quand même un peu avec moi. C'est stupide, parce que j'allais souffrir en entendant des ragots sur lui, mais.. qu'est-ce que j'avais encore à perdre ? Plus rien.

De retour dans le salon, je posais son café avant de m'installer sur le canapé pas trop près de lui, mais non plus pas sur l'accoudoir. Il n'avait pas la peste, il m'avait 'juste' trompé. Un biscuit atterrit sous mon nez. Je savais que refuser, c'était risquer d'autres remarques alors j'attrapais le gâteau. Merci souriais-je légèrement. Je remarquais qu'il avait juste gardé le plaid. Adieu les mouchoirs et mon film préféré (d'ailleurs, qu'avait-il pensé en voyant notre dessin animé ?). Je croquais sans grande conviction pour manger. ça faisait bizarre d'avaler quelque chose. Alors, t'as retrouvé ta chère mather house ? Autant essayer de parler de quelque chose. Du moment qu'il ne déviait pas sur des conquêtes ou j'en sais rien, ça pourrait aller. Sinon, il prendrait son carton, oui. Je zieutais sur le programme sans intérêt à la télévision. Je ne savais pas trop quoi dire. Mon cerveau m'incendiait pour l'avoir laisser rester alors que mon cœur, même brisé, était rassuré de sa présence. Une conclusion : mes parents ne devaient rien savoir.
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Je voyais qu’elle ne mangeait pas son gâteau avec grand appétit, mais je ne pouvais pas l’à forcer non plus, alors, je me contentais de continuer de croquer dans mon biscuit alors que Madisson tenta d’entamer un semblant de conversation. Si on parlait de la Mather, de la rentrée et j’en passe, tout devrait bien se passer. Le tout c’était de ne pas aborder les sujets épineux comme le retour de mon ex, les nouvelles nanas de l’école, le Summer Camp ou encore le départ de Konrad alors que je n’avais même pas eu le droit à un au revoir de ce dernier. Après sa trahison il se permettait de se barrer comme un voleur. J’avais décidé de très vite tourner la page et ne pas m’entourer de parasite ni accorder de l’importance aux gens qui ne le méritent pas. « Ouais, ça fait du bien de les revoir, de retrouver le bordel de la maison et tout. Je sens que ça va être une bonne année pour les mathers » Disais-je, fier de ma maison. « Et toi, chez les cabots ? ça se passe ? » Je savais qu’elle avait parfois du mal avec les filles de sa maison qui ne correspondaient pas forcément au caractère de mon amie. Parfois je l’à voyait mieux chez les verts, mais voilà qu’elle avait choisi les roses et pas sûr qu’on arrive à se supporter si on venait à se voir vraiment H24. On finirait probablement par s’engueuler ne serait-ce parce que je suis très ami avec les filles de la maison sans pour autant qu’il y ait quelque chose, mais à présent que j’ai trahi sa confiance, ça pouvait tout à fait être compréhensible… Ma foi, je n’avais plus qu’à m’en prendre à moi-même, j’en avais conscience.
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Le regard d'Austin sur mon gâteau et moi me gênait un peu. Ce n'était pas comme si j'allais me forcer à le manger alors que je me trouvais en sa compagnie. Mon ventre était contracté comme jamais et rien qu'un biscuit me faisait l'effet d'un buffet dans l'estomac. J'avais toujours eu pour habitude de manger des quantités astronomiques, en particulier en sa compagnie, sans prendre un gramme. Pourtant, c'était devenu bien plus compliqué de m'alimenter normalement depuis quelques semaines. Prise d'un élan de courage, je lui avais demandé s'il avait bien retrouvé sa maison. Je savais qu'il adorait y être et entre nous, c'était le seul sujet de conversation qui ne se transformerait pas en dispute à l'heure actuelle. Autant en parler ! J'adorais sa façon d'être fier de sa maison. J'avais déjà pu y aller de nombreuses fois l'an passé -surtout pour le réveiller pour son lendemain d'anniversaire (a)- mais je crois que cette année, je m'abstiendrais sincèrement d'y mettre les pieds. Ce n'était pas mon truc d'entendre des messes-basses sur la relation que l'on avait eu et encore moins la façon dont elle s'est terminée. Je doutais que ce soit un secret d'état. ça se passe bien, on va faire une soirée de retrouvailles et comme l'année dernière, je martyrise les bizuts riais-je doucement et ouah, quel choc de m'entendre rire. La dernière fois.. oui, n'y pensons pas. Je finissais mon petit biscuit, préférant boire de l'eau plutôt que de manger. Ce n'était pas une bonne idée, mais si je pouvais éviter de vomir le seul truc que j'avais dans l'estomac, ce serait bien. Oh hé, en parlant du bordel dans la MH, je ne nettoierais pas ton vomi cette année le taquinais-je en souriant de plus belle. ça n'avait jamais été le cas -si mes souvenirs sont bons- mais je n'avais pas envie de laisser de blanc dans notre conversation car, même si la télé était là pour faire un bruit de fond, je me sentais juste hyper mal à l'aise alors.. je préférais continuer d'enchaîner la discussion comme si de rien n'était.. même si je savais parfaitement qu'au moment où il partirait, ce sera comme avant sa visite. Voire pire.
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J’écoutais attentivement ses paroles en continuant de manger parce que je ne perdais pas mon appétit. Après tout de base Madisson et moi on était connus pour manger des tonnes sans aucune gêne, alors pourquoi déroger à la règle ? « Les pauvres, les martyrise pas trop » Disais-je pour plaisanter. « Je me suis aussi proposé d’être bizuteur cette année, genre avoir des gars formés par moi il n’y a rien de plus beau ! » Je riais encore avant d’afficher un air désespéré. « T’as jamais eu à faire ça alors chut » Bon, il est vrai que je peux vraiment être amoché de temps en temps, mais personne n’avait eu à faire ça et bon dans la MH tout le monde y met la main à la pâte quand ce genre d’incident arrive parce que ouais, des cuites j’en avais eu et même si je ne m’en souviens pas, j’ai peut-être déjà vomi une ou deux fois en me croyant immunisé jusqu’au bout contre l’alcool. Grosse erreur ! Mais bon, on apprend de ses erreurs. Je devais en prendre de la graine avec toutes les erreurs que j’avais faites. La plupart étant avec Madisson. Que voulez-vous, on ne me refera pas. Pas étonnant que j’ai du mal à penser que je puisse un jour me poser et avoir une vie de famille. Pour le moment mon avenir s’arrête aux mathers et on en reparlera dans plusieurs années.
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