Loganne Confession nocturne

J'étais fou, qui que se soit une personne avait fait du mal a ma Loganne. Je supportais pas l'idée que quelqu'un est pu la touché... Je l'avais devant mes yeux elle avait été battue, c'est aussi simple que sa si elle c'était défendu elle aurais des traces sur les bras et sur ses mains. Elle osais me dire qu'elle allais bien. Elle prenais ma main. Serieux j'était fou.
"Comment tu peux dire que sa va??????" Elle avait surment une comotion. Quand je criais elle me montrais la porte de ma fille je baissais d'un ton je voulais pas la reveillé.
"Pourquoi tu dis sa? Dit moi qui fait sa. Et je connais une personne de confiance qui seras soigné tes blessures et qui dira rien a personne! " Je la resserais contre moi. J'avais besoin d'elle près de moi de la savoir en sécurité!

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Si je me faisais examiner, on allait voir mes cicatrices et Matthew serait au courant que je suis régulièrement battue. "Matt je ... écoute j'ai l'habitude" ... merde j'en disais trop "enfin je veux dire que c'est trois fois rien, je gère hein" Seigneur, fallait que je me rattrape. Mon père n'était pas n'importe qui, c'était le gouverneur de l'état ... si ça se savait qu'il battait sa fille, notre nom, notre réputation tout serait terminé. "J'ai pas besoin de voir un doc je te dis tout va bien". Pourtant j'avais super mal au crane et je tentais de le cacher que je pouvais, seul un léger vacillement pouvait être vu. Il me serrait contre lui et je profitais à nouveau de se moment, je posai ma tête sur son torse pour souffler un peu avant de lui murmurer, ma tête contre son torse "J'ai peur Matt ..."

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Ele s'embrouillais y avais vraiment quelque que chose de pas net dans cette histoire. Je la serais a nouveau dans mes bras. Elle posais sa tête contre mon torse. Elle pouvais sentir que mon coeur battait a tout rompre a cause de l'enervement. Elle finissait par dire qu'elle avait peur.
"Loganne si tu me dit pas qui te fait sa je peu rien faire, je connais quelqu'un dans la police qui peut t'aide. Serieusement Loganne j'ai une amie qui dirait rien a personne et qui pourrais regardé t'as tête" J'avais peur pour elle. JE resserais mon entrainte je voulais pas la voir partir. Je savais que si je demandais sa a Sienna elle le ferais, quoi ue la elle était au SC mais elle pourrais me donné un nom de quelqu'un de fiable. Je lui fait entièrement confiance.
"Lo, dit moi se qui c'est passé." Je la carressait doucement je bridais ma colère pour la rassuré si elle était la c'était pas pour qu'on s'engueule.

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Les images me revenaient comme des flashes, alors que ma tête reposait sur son torse. Je pouvais sentir son cœur battre, et c’était la seule chose qui me raccrochait encore à la réalité. Je revivais le moment ou mon père levait la main sur moi, c’était comme si je pouvais encore le sentir, sentir la douleur qu’il m’infligeait. Je le serrais plus contre moi, en proie à la panique et à l’angoisse. Je ne voulais pas que ça recommence, je ne voulais plus ressentir ça mais en même temps, j’avais ce besoin, cette obligation de protéger ma famille du scandale, c’était ma responsabilité, une responsabilité qu’on a lorsqu’on porte un nom comme le mien. "je ne peux pas parler à la police Matt, je ne peux pas, c’est trop risqué". Je commençais à perdre le contrôle et j’avais horreur de ça, si j’avais réussi à survivre et cacher tout ça jusque-là, c’était justement parce je me contrôlais et que je contrôlais la douleur. " Je veux bien me faire examiner " oui je savais que c’était plus prudent, je faisais moi-même des études de médecine et je savais que le mal de crane que j’avais n’était pas normale et que même si ce n’était peut-être pas grave il valait mieux s’en assurer. "Je veux que tu me parles de cette personne, je veux savoir si rien ne fuitera avec elle", La tête toujours sur son torse je levai légèrement les yeux vers lui "Avant que je te dise quoi que ce soit, tu dois me promettre de ne rien dire, de ne pas t’énerver et de ne rien faire de compromettant", c’était très important pour moi, si quelque chose fuitait … tout s’écroulerait.

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JE pensais que Sam pouvait m'aider dans cette situation. J'avais peur pour mon amie, je tiens a elle et je supporte pas l'idée qu'on puisse lui faire du mal... Elle me disait qu'elle pouvait pas en parlé a la police.
"C'est quelqu'un de confiance..." Bon mais elle voulais pas je voulais pas la forcé. PAr contre elle acceptais de se faire examiné. Elle me demandais quic'était.
"C'est Sienna mon ex, une fille très bien, elle est au SC mais elle pourra me conseillé quelqu'un... Elle est fiable elle sais gardé un secret, je lui confirai ma vie a ccette fille" Je pense que toute personne normal se demanderais pourquoi on a rompu a cette instant. Mais c'est vrai que je lui confirais ma vie.
"Ok je promet de pas m'enervé sur quelqu'un mais sur le sac de frappe que j'ai au sous sol! Je dirais rien je te le promets."

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Je pianotais sur son torse du bout de mes doigts alors que ma tête reposait encore sur celui-ci, je profitais de ce moment, l’appréciais parce que je savais qu’il n’allait pas dure. Le calme avant la tempête comme dirait ma mère. Je savais qu’une fois que je lui aurais dit il n’y aura pas de retour possible, pas de retour en arrière. Ce n’est pas comme si je pouvais me confier à lui sans me préoccuper des conséquences, ce n’est pas comme si juste après avoir déchargé tout ce flot de merde, je pourrais lui dire, "c’est bon maintenant je me sens mieux tu peux oublier". Le truc c’est que j’étais fatiguer de me cacher, fatiguer de mentir, de vivre dans la peur et de ne pas pouvoir être moi. Alors je devais peser le pour et le contre et c’est exactement à ce à quoi je pensais à cet instant, la tête posée sur son torse. Il me dit que la personne en qui il avait confiance c’était son ex, j’avais envie de lui demander de plus amples informations mais je n’avais pas envie de l’importuner, de passer pour une fouine ou encore de lui rappeler de mauvais souvenirs. Je hochai légèrement la tête à ses propos, ma joue frottant contre son torse. Je parlai alors d’une voix très calme et posée "Ok … je vais te dire ce qu’il en est" Je cherchais mes mots et cherchais aussi du courage et en restant toujours dans la même position, j’ajoutai "Mon père … est du genre à perdre patience rapidement avec moi", je ne disais rien de plus pour le moment, j’attendais sa réaction.

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Je voulais plus la voir comme sa je venais de lui promettre que je ne ferais pas de conneries avec ce qu'elle avait a m'annoncer. Je redoutais le pire mais je lui promettais quand même. Si je voulais pouvoir la protégé fallais que je sache je n'avais pas trop le choix... Elle restait la posé sur mon torse. Je caressais doucement son épaule. Je voulais qu'elle se sente en sécurité. Quand elle me sortie que son père n'étais pas patient. Je serais les dents. Si elle me sort que son père lui a fait sa je comprend mieux la situation mais je comprend pas pour autant qu'elle puisse avoir subie tout sa.
"Me dit pas que c'est lui qui fait sa?" Si c'est lui hors de question qu'elle reparte se soir je refuse!

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Je resserrais mon étreinte, ma tête toujours posé sur son torse, j’appréciais son contact, il m’apaisait. Cependant, je pouvais sentir la tension qu’il dégageait, je sais qu’il prenait sur lui pour ne pas s’emporter, pour pouvoir me protéger et rien que ça me faisait voir que c’était quelqu’un de sûr. "N’oublie pas Matt, tu m’as promis de ne pas t’emporter", je parlais d’une voix très calme, douce et posée. Je ne voulais pas ajouter à son énervement et surtout j’avais appris à me contrôler au fil des années, il faut dire que depuis la mort de Joyce, il n’a jamais arrêté. "Tu sais que ma famille … enfin se sont des gens importants et … je dois les protéger, nous protéger, protéger notre nom ". Je n’osais pas lui dire franchement que c’était mon père qui m’infligeait ça, j’essayai juste de le lui faire comprendre, j’avais trop honte pour le dire franchement. Je sentais ma gorge se serrer et mon cœur s’emballer au fur et à mesure que je lui dévoilais ce qu’il se passait. Je ne devais pas craquer, pas devant lui, je ne devais pas lui montrer cette partie faible de moi-même. " Tu sais Matt, la situation est compliquée … je ne peux pas blâmer mon père sans penser au reste, peut être que … "je fis une pause, ça devenait compliqué pour moi de parler, ma voix tremblait et je retenais un sanglot, je pris une grande respiration avant de continuer " … peut être qu’au fond, j’y suis pour quelque chose ".

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Avant de continuer elle me rappelais que je lui avait promis de pas m'emporté. Je serais les dents. Respirais un bon coup.
"Continue" Je devais savoir, l'entendre de sa bouche pour le croire. Elle me parlait de protégé leur nom... de LES protégé mais WTF putain mais merde quoi! Qui va la protégé elle.... J'en est mal au coeur la je la sert contre moi. Hors de question qu'elle retourne la bas. C'était son père mais elle minimisais les choses elle était au bord des larmes. JE le sentais bien. J'avais une boule dans la gorge qui était entrain de se formé. Entre la douleur qu'elle me parle de sa, la douleur qu'elle faisait ressentir. La haine soudaine que j'avais pour son père.
"Raconte moi toi Lo... Je veux pouvoir te protégé et pour sa je dois tout savoir..." Je voyais bien qu'elle était mal.
"Je te jure que je vais te protégé Lo il faut que quelqu'un te protège. JE veux que pluq rien ne t'arrive." Je voulais la savoir en sécurité. Jamais il me viendrai a l'idée de levé la main sur ma fille et encore moins de la battre pendant des anées. Je savais que pour que Lo réagisse comme sa c'est que sa faisait plusieur année qu'elle était dans cette situation...

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Une larme coulait discrètement, je l’essuyai rapidement en espérant qu’il n’ait rien vu. Je ne devais pas craquer, pas maintenant et pas devant lui. J’étais tellement habituée à jouer ce rôle, sourire publique et encaisser tout ça en privé, que maintenant je n’arrivais plus à me laisser aller avec quelqu’un, pas de façon instantanée et spontanée. Je laissais quelques secondes passer, histoire de reprendre mes esprits et ne pas me mettre à pleurer avant de reprendre et de lui expliquer comme je le pouvais " Ça a commencé un peu avant la mort de ma sœur " , Joyce, ma sœur, elle me manquait et repenser à tout ça me remuait un peu " Il n’a pas toujours été comme ça tu sais, je suis certaine qu’au fond c’est quelqu’un de bien ". Je ne savais pas vraiment comme lui dire ça, comment le lui dire sans qu’il n’ait envie d’aller frapper à la porte du manoir familial. Je frottais légèrement mon bras, non loin de mon coude, à l’endroit où se trouve ma cicatrice, la première que mon père m’a faite. " Au départ c’était des baffes, puis … " je déglutis et baisse la tête " Puis les coups ont commencé à s’accentuer ". J’espérais qu’il ne me juge pas, je savais que ça pouvait paraitre bête de vouloir protéger son bourreau mais mon père avait un haut poste en politique, il était le gouverneur d’un des états les plus important des états unis et je ne pouvais pas ruiner tout ça, c’est ma responsabilité de protéger tout ça, notre nom et de préserver notre réputation. "Tu sais … je dois protéger la réputation de ma famille, mon père est gouverneur tu le sais bien, je peux rien faire. Il a des yeux partout"

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