COKA ✮ Elle est capable de traverser les sept mers rien que pour avoir un de tes baisers...

Embrasse moi non de diouuuuu !

Seulement quelques sms échangés avec ton ex et t'avais pris le premier vol pour Phoenix. T'avais pas le temps de réfléchir, juste que tu voulais le voir parce que malgré tout, il te manquait. Parce que malgré tout, tu ne pouvais pas tirer un trait sur lui. Parce que malgré tout, le monde aura beau être contre vous, tu n'hésiteras pas à le défier rien que pour prouver que vous n'étiez pas simplement Cody et Diamantika, vous étiez plus que ça, vous étiez des âmes sœurs. Il avait beau inventer bons nombres d'excuses pour se cacher derrière sa peur, derrière ses tourments, mais le fait est que votre destin était déjà scellé, il t'appartenait et tu lui appartenais, il aura beau tourner, il aura beau voir d'autres filles, il aura beau fourrer sa langue dans la bouche d'une autre, il reviendra au même point de départ. Toi. Son ancre. Alors oui, tu voulais lui prouver que vous deux, c'était loin d'être terminé, que vous deux, vous aurez encore pleins de choses à vivre et ça ne sera pas facile, rien ne l'est de toute façon, mais avec toujours un peu d'effort vous y arriverez. De toute façon, tu étais prêtes à faire tous les efforts nécessaires parce que tu l'aimais et parce que c'était avec lui que tu voulais être, c'était lui que tu voulais auprès de toi, c'était lui que tu voulais chaque jour et pour toujours. Et ses sms t'avaient prouvé qu'il n'était pas encore prêt à te perdre définitivement. Il n'était pas encore prêt à te voir poser tes lèvres sur celles d'un autre... Il n'était pas encore prêt à te laisser partir et il ne le sera jamais. C'était à toi maintenant de lui ouvrir les yeux, à toi de lui prouver qu'il ne sera plus le même sans toi et peut-être même qu'il s'en était déjà rendu compte. Anyway, les pieds sur le sol de l'aéroport de Phoenix et vêtue le plus décontracté possible, tu regardais autour de toi. Le cœur battant à mille à l'heure. Il était là, tu le sentais. Il était proche. A chaque pas que tu faisais, tu te rapprochais de lui. Tu voulais le serrer contre toi, tu voulais sentir son odeur, pouvoir sentir sa chaleur, voir son regard posé sur toi. Tant d'envies t'empoignaient d'un coup. Tu te mordilles la lèvre nerveusement. Du monde, il y avait trop de monde, partout et t'allais devenir folle. Ton regard devient même de braise en ayant presque envie de faire exploser l'endroit pour dégager un peu tout ce monde. Lorsque soudain... entre deux personnes... il était là. A quelques mètres de toi, le dos tourné, chemise à carreaux. Ce que tu les aimais ses chemises. Ton cœur cogna férocement ta poitrine, faisant mille et un bonds tandis que finalement, tu te sentais stressée à un point inimaginable. Retenant ton souffle le plus possible, tu criais à poumons complètement ouverts. « CODYYYYYYYYYYYYYYYYYY EMBRASSEEEEE MOIIIIII !!!! » Et là, c'était comme si le temps s'était arrêté immobilisant tout le monde alors que ces derniers avaient tous les regards rivés sur toi. Sur la folie que tu venais de faire en plein lieu public. Tu restais là, muette et immobile, laissant juste tes deux billes océanique fixer sa silhouette, penchant souvent la tête de droit à gauche pour ne rater aucune miette et de t'assurer qu'il était toujours là et que ce n'était pas le fruit d'une illusion.

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Kiss me beneath the milky twilight

Bon. Je vous explique l’enchaînement des choses, vous qui lisez ce rp, vous qui ne comprenez absolument rien à la logique Bleekerienne, vous qui râlez ’mais t’es qu’un coooonnnn Cody, pourquoi tu jettes Dia alors qu’elle t’aime ? Pourquoi tu t’es fait chier avec Alaska, pourquoi pourquoi pourquoiiiii ?’ et bien voilà que Cody avait envoyé un texto à Diamantika. En fait, il se disait que peut-être en lisant l’article de CS, Diamantika s’était imaginée le pire, qu’il était passé à autre chose en un claquement de doigts, qu’il passait sa vie la quéquette à l’air et que son budget condom atteignait le sommet de l’Everest. Mais peut-être qu’elle s’en foutait aussi. Donc clarifier les choses parut comme quelque chose de naturel pour Cody. Mais ça avait fini en ’je veux t’embrasser mais t’es à 2 617 miles de moi, ben imagine mes lèvres sur les tiennes, non viens, ok je viens mais je suis en culotte, ben enlève ta culotte et viens’ BREFFFFFF on commence tous à connaître Ô combien Cody Bleeker est impulsif. C’est un sanguin cet homme. Il agissait et après seulement il réfléchissait. Alors là, sans tarder, Diamantika avait pris le premier vol pour Phoenix et Cody avait pour mission d’aller la chercher à l’aéroport à Phoenix. Le truc, c’est que dans la navette qui l’y amenait depuis le camping, Cody eut le temps de réfléchir. Mais qu’est-ce qu’il foutait ? Et il allait lui dire quoi à Diamantika ? Il allait l’embrasser, puis allez kisssssss c’était sympa de te revoir mais j’veux plus de toi dans ma vie ? Non mais c’était chaud comme situation quand on y pensait. Et plus les miles vers Phoenix se réduisaient, plus Cody était à deux doigts de dégainer son décapsuleur et de prendre en otage le chauffeur de bus pour qu’il fasse demi-tour.
Et le voilà à l’aéroport, assis sur un banc, à guetter l’écran d’affichage géant qui annonça que l’avion en provenance de Boston venait d’atterrir. Le cœur de Cody fit un bond et il se leva, attendant toujours dans son coin que Dia se pointe. Et elle arriva, vêtue apparemment des premières fringues qui lui étaient tombées sous la main. Il lui fit un sourire mais … Oulaaaa, serait-un vent du nord ? Même pas elle le calcula. Au lieu de ça, elle lui passa sous le nez, s’arrêta, cherchant visiblement quelqu’un du regard … Lui ? Non, elle gueula à un inconnu de dos de l’embrasser, attirant ainsi toute l’attention de l’aéroport et peut-être même de l’Arizona. OK meuf, try again. Cody, abasourdi, s’empressa de rétorquer ; « Qui est-ce que t’es venue voir, exactement ? » Et oui, Cody Bleeker se trouve derrière toi hého débile. Redevenir blonde t’a contaminé le cerveau ? Ceci s’appelle un fail, Kovache.

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Embrasse moi non de diouuuuu !

Cody n.p. def: Couche d'égo brossé dans le sens du poil. Cependant, au plus grand étonnement, il t'avait demandé de le rejoindre d'où le fait que tu te trouvais sur le sol de Phoenix sans avoir eu le temps de prévenir qui que ce soit de ce départ précoce. Putain il y avait trop de monde, nah mais faut croire que les gens avaient décidé de tous débarquer ce jour-là. C'était quoi leur problème ?. Tu grognais avant de serrer les dents sur le point de crier une nouvelle fois lorsque la personne que tu croyais être ton ex, se retourna d'un coup tandis qu'au même moment, ton ex ouvra la bouche. Surprise, tu te retournais d'un pas en arrière. OH LA CONNE !. Tu te retournais une nouvelle fois vers l'édite ex dont tu avais crié passionnément de t'embrasser pour te rendre compte que ce n'était pas Cody. Mais un homme avec une barbichette à la Ben Laden. Olalalalala. Il est vrai que t'aimais les barbes, mais pas à ce point-là. Tu grimaçais en reposant tes yeux sur Bleeker. « Pas le sosie d'Oussama Ben Laden en tout cas. » Tu secouais la tête en te facepalmant toi-même. Finalement, un large sourire enjôleur s'étendit sur tes lèvres tandis que tes claires prunelles le sondèrent sur-le-champ pour empêcher son regard de river ailleurs. « Le mec que je suis venue voir te ressemble beaucoup, beaucoup, le même gros bide et tout, quoi que, t'as perdu du poids !. Tu te nourris bien ?. » Dis-tu en fronçant les sourcils parfaitement épilés et en posant quelques doigts sur ton menton. En fait, t'étais en train de le mater dans sa chemise à carreaux toujours aussi séduisant. « Ce mec me doit un baiser et je n'ai pas traversé presque les sept mers pour NADA. » Et sur ce, tu t'approchais de lui à pas de louve. Tes doigtes glissent de son bide jusqu'à son torse et agrippe sa chemise. Sans même lui demander son consentement, tu approches ton visage du sien. A chaque centimètre que tu fais pour atteindre ses lèvres, tes traits deviennent une œuvre parfaite. Ta plaie se referme et les quelques relents de rage qui pulsent encore en toi se trouvent réduits à néant. Mais soudain, alors que tes lèvres touchaient à peine les siennes, tu déviais ta trajectoire emportant le futur ex lowell loin d'ici. Tu le traînais par la chemise que tu ne lâchais qu'une fois dehors. Ton assurance s'ébranla subitement. Tes pensées se transformèrent en doute. Et si tu ressemblais à une mocheté là toute suite dans tes vêtements ?. Peut-être que tu aurais dû mettre quelque chose de plus attirant ?. Tu glisses une main dans tes cheveux pour les repousser à ta gauche lorsque soudain, vous passez à côté d'un photomaton. Te stoppant immédiatement, tu tirais la main de Bleeker vers toi et tu le poussais d'un coup de genou aux fesses dans la cabine. De toute façon, c'était comme ça qu'il fallait s'y prendre avec lui. Il était difficile à convaincre et tu savais qu'il ne serait jamais tenté d'entrer de son plein gré. Anyway, tu posais tes mains sur ses épaules et l'obligea à s'asseoir. Donc voilà, vous étiez à l'abris des regards et monsieur avait de trop grosses fesses pour que tu puisses avoir une place, soooo, tu posais ton cul sur l'une de ses cuisses en passant un bras autour de son cou. « J'crois que tu me dois quelque chose non ?. » Ouai un baiser et même que tu t'humidifiais les lèvres discrètement. Ce qui était bizarre, c'est que t'avais les joues en feux.

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Kiss me beneath the milky twilight

Au festival de Cannes des boulets, Diamantika récoltait la palme d’or. C’est limite si elle ne criait pas tout son amour au premier mec qui passait dans la rue. Ou peut-être était-ce une tentative déguisée pour rendre jaloux Cody, mais ça ne marchait pas beaucoup. Ça le faisait plutôt rire en fait. Le pire c’est quand le mec se retourna, on aurait dit le Père Noël, mais jeune. Es decir qu’il n’avait pas 150 ans mais seulement 70 ans et donc la barbe pas tout à fait blanche. Après, Diamantika n’avait jamais caché son goût pour les hommes à barbe, donc peut-être qu’elle avait un orgasme rien qu’en imaginant les caresses de ses poils drus sur ses courbes longilignes. Mmmh. Echoquine, comme on dit dans le milieu. « Il a un certain charme. » dut avouer le jeune homme en haussant les épaules, comprenant parfaitement que son ex puisse s’émoustiller sur un mec avec une chemise à carreaux. L’uniforme du Cody Bleeker avait la classe. « Le gros bide t’emmerde. » fit-il en se reculant et en croisant les bras sur son ventre, en prévision d’une éventuelle attaque. « Tu m’expliques combien il y a de mers entre Cambridge et l’Arizona ? » Y en avait sûrement bien plus que sept, mais à condition de  partir par l’Est quoi et de faire tout le tour du globe. Elle était un peu blonde son ex, mais il faisait avec. Que voulez-vous, elle était l’ex-femme de sa vie. Elle ne répondit pas et l’embrassa, enfin s’apprêta, avant de brusquement se reprendre en main et de tirer Cody plus loin. Euuuuh, qu’est-ce qui lui prenait ? Elle le jeta dans un photomaton et Cody crut une seconde qu’ils allaient faire crac-crac. Il faisait toujours ça dans les Sims. Il disait à monsieur et madame de rentrer dans la cabine et après ils faisaient crac-crac. Et le photomaton bougeait tellement dans tous les sens que tous les gens présents dans la boutique s’attroupait autour d’eux et les sifflaient – ou pleuraient si par hasard ta femme se trouvait dans la dite boutique. Mais s’asseyant sur son genou, le Canadien comprit qu’elle voulait juste un havre de tranquillité, même si ça se résumait à un photomaton en plein milieu d’un aéroport. S’il lui devait quelque chose ? Du dos de sa main, il dégagea son visage, rangeant une mèche derrière son oreille. Un petit sourire en coin aux lèvres, il dessina celles de Diamantika du bout des doigts, avant de refermer sa main contre sa joue et attirer son visage vers le sien. Une seconde d’hésitation, ses pupilles rivées dans celles de Dia alors qu’ils ne se trouvaient plus qu’à quelques millimètres de la collision, il abandonna toute retenue et s’éprit de ses lèvres dans une tendresse infinie. Au fur et à mesure que l’étreinte s’intensifiait, la course de ses doigts sur son visage perdurait et tentaient désespérément de s’agripper à un point d’attache, ici sa nuque. Il l’embrassa une fois, deux fois, trois fois, puis se sépara d’elle. Leurs visages toujours proches, il s’esclaffa tendrement ; « C’est bon, t’as eu ce que tu voulais, tu peux partir maintenant. » Ben quoi ? Ils avaient juste dit qu’ils s’embrasseraient. Zéro plan sur la comète.

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BAH QUOI ? Ça arrivait à tout le monde de se tromper ! Surtout qu'il y avait trop de monde et que ce mec avait la même chemise à carreaux que ton ex et la même silhouette aussi, il n'y avait juste que le visage qui était différent. « Trop de barbes à mon goût !. J'aime les barbichettes c'est vrai, mais pas à ce point-là. » Bah ouai que tu t'émoustillais devant des chemises à carreaux. Même toi t'avais commencé à les adopter aussi, il n'y avait qu'à regarder le chemisier rouge et noir qui survolait tes fesses s'attachant autour de tes hanches pour vous en apercevoir. « Sois pas vénère Bleeker, j'suis là pour mon kiss et pas pour tes gros mots alors remballe. » Balançais-tu en lui offrant ton plus beau et ton plus large sourire. Sauf qu'il te posa une question et tu fis mine de réfléchir. Évidemment que tu plaisantais concernant les sept mers. Tu savais bien que t'avais pas dû traverser autant, mais c'était pour te donner du style vous voyez ? La meuf prête à tout pour avoir son baiser. « J'ai b'soin de te l'expliquer ? T'as jamais fait de géographie ou comment ça se passe ?. » Trêve de bavardage Cody, t'étais pas là pour discuter de toute façon, t'étais là pour avoir ton baiser et ensuite aller faire la fête jusqu'à pas d'heure possible avec tes potes. Ouai t'allais d'ailleurs envoyer pleins de textos ce soir et surtout, t'allais devoir te faire pardonner auprès de ta meilleure amie qui allait te criser pour être partie si vite. Mais tu la connaissais comme ton sein gauche et tu savais comment te faire pardonner. Pour l'instant, il fallait te carburer et rien de mieux que l'essence Bleeker et sa salive parfaitement parfaite. C'est pourquoi tu l'avais poussé dans un photomaton pour être à l'abri des regards et pouvoir dévorer ses belles lèvres. D'ailleurs, ce dernier s'empressa de passer une mèche blonde derrière ton oreille re-dessinant le contour de tes lèvres. Contour que tu suivais du regard sans lâcher une miette. BOUM ! BOUM !... C'était l'état de ton cœur toujours aussi réceptif au moindre touché du futur ex-lowell inshallah. Tes pupilles rencontrèrent un instant les siennes avant qu'il ne se jette à corps perdu sur tes lèvres. Un baiser remplit de tendresse, un baiser qui te prouvait encore une fois que tu le manquais. Un baiser qui libéra tes ailes invisibles. Tu voyageais à cet instant, au paradis perdu depuis quelques temps. Et en même temps, t'avais l'impression d'être une louve avec des crocs prêt à mordre son cou et des ongles fraîchement manucurés prêt à marquer sa peau. Tout tressaillait en toi, des papillons naissaient soudainement à ton bas ventre. Un, puis deux, puis trois et il quitta tes lèvres alors que tu les gardais tendues quelques secondes de plus. Evil man !. Monsieur s'empressa de lancer une remarque que t'expédiais rapidement dans une poubelle invisible. Ouvrant les yeux pour croiser les siens, tu remarquais votre proximité encore présente. « Again. » Murmurais-tu simplement d'un souffle chaud tirant légèrement sa lèvre inférieure entre tes dents. Pas que c'était THE retour du cannibale 2, mais juste que voilà, t'en voulais encore. Mais pas toute suite. Voulant le faire languir un peu, tu reculais la tête en posant un doigt sur ses lèvres. « Figure-toi que je ne compte pas retourner, mais profiter à fond de ses dernières semaines de vacances et puis avec des copines, nous irons faire un road trip avant le retour à Cambridge. » Style la fille résolue à ne pas s'apitoyer sur son sort et à profiter du don que la nature avait donné au monde. Tu glisses lentement ton index le long de son menton puis son cou, puis son épaule et enfin, le long de son bras. « Je t'ai manqué ?. » Et avant de nier comme à son habitude, tu lui attrapais rapidement la main que tu posais sur le sommet de ton crâne. S'il ment, tu mourras écrasée par un camion. Ouai donc en quelque sorte, tu l'obligeais à jurer sur ta tête.  

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Screugneugneugneeeeuuu n’empêche qu’entre Cambridge et Phoenix, il n’y avait pas de mer. Peut-être des lacs, des rivières, des fleuves. Genre le Mississippi quoi, mais pas de mer à l’horizon. Enfin bon, on va dire que c’est Diamantika, qu’elle cherchait une accroche un peu péotique comme dans les comédies sentimentales à la Meg Ryan, et poétique d’ailleurs, ceci est un fail mais il est joli alors je le laisse. A deux dans un photomaton, Cody entoura la taille de son ex, de ses gros bras qui mouraient à petits feux de ne plus pouvoir ceinturer la belle. Ses lèvres prenaient possession de celles de Diamantika pour un baiser enflammé, là où manque, envie et passion se rejoignaient pour un threesome embrasé de désir. Il la voulait maintenant, là, dans un photomaton. Qu’importe s’ils rejouaient un remake des Sims et que tout l’aéroport les acclamerait à la sortie, qu’importe. Diamantika happa furieusement la lèvre de Bleeker, ce qui eut le don de le faire rire. Puis, elle caressa son grain de peau, ce qui supplanta son corps d’un déferlement de frissons. « Ah oui, ton road trip. » fit Cody en se pinçant l’intérieur de la joue. Elle l’avait évoqué par texto, Cody avait fait exprès de ne pas le relever. Un Road Trip entre filles, ça n’annonçait rien de bon. Ça annonçait surtout sorties en boîte entre nanas complètement torchées, pipi dans les caniveaux et venez qu’on se partage une chambre d’hôtel et qu’on baise dans tous les coins avec nos conquêtes du soir. Mais bon, il se força à sourire pour montrer qu’il s’en foutait. Dia posa la main de Cody sur son front, et il ne comprit pas trop le geste. Toujours est-il qu’à sa question, il répondit ; « Non. » limite sèchement. Mais un classique chez Bleeker, je ne te surprends plus Chérine. Puis il répliqua ; « 37 de température. Ça va, tu devrais survivre. » Et bim. Il agrippa sa cuisse nue pour qu’elle passe à califourchon sur elle et sans délai, plongea son visage dans son cou, mordillant sa peau tel Edward le vampire. Ou Damon, paraît que le bff de Dia, sur lequel elle est à moitié en kiff, lui ressemble. Tout son corps se fléchit, forçant Diamantika à se pencher en arrière contre l’écran du photomaton. La position n’était pas des plus confortables, mais osef, pris dans le feu de l’instant, Cody oublia son âge et ses problèmes de dos. « Si j’ai que la soirée avec toi, alors j’vais en profiter à fond. » s’esclaffa-t-il avant d’entendre un boooooom métallique sous ses pieds. Il jeta un coup d’œil à terre et vit le téléphone de Dia. « Bouge pas, je te le récupère. » Il se pencha et son doigt dérapa sur le bouton menu, ce qui afficha le fond d’écran externe … Et les messages reçus. Un certain Jorden harcelait apparemment la blonde. Et le prénom Cody apparaissait dans les messages. « Intéressant. » fit-il en levant le portable vers le plafond pour pas que  Dia ne puisse le récupérer. Il ouvrit et vit que ce fameux Jorden cassait du sucre sur le dos de Bleeker sans même le connaître. Apparemment, il voulait pécho Diamantika. « ça t’ennuie si je … » Il lui posait la question, mais ne lui laissait pas le choix, jusqu’à se tordre le temps de répondre au message de ce boulet. Puis, Cody glissa le GSM de Dia dans sa poche arrière à lui, histoire de vibrer des fesses si Jorden répondait. « Bon, on en était où ? » reprit-il le plus naturellement du monde, grand sourire aux lèvres.

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Screugneugneuuuuuu toi-même ! Puis d'où tu prends le portable de Dia pour envoyer un texto ein ein ein J'étais ptdr :laugh:. Et après monsieur disait qu'il n'était pas en manque de toi alors qu'il était sur le point de te prendre dans ce photomaton peu importe si de pauvres gosses qui n'ont rien demandé, se pointent pour vouloir immortaliser tout pleins de grimaces. Mais toujours est-il que Cody s'en foutra sa life puisqu'il donne déjà à sa fille, une éducation un peu particulière si vous voyez de quoi je parle. Sa fille parlera la langue du zizi plutard. Ta respiration devenait démesurée, incontrôlable, inébranlable. Le plaisir que tu tirais de ses lèvres enflammées arrivait même à rendre la peine que tu ressentais -ces dernières semaines- particulièrement exquise. Si le prix à payer est de souffrir pour avoir tant de passion en retour, alors tu le laisseras avec plaisir te blesser pour mieux te soigner. Cody était le seul à pouvoir te rendre malheureuse et aussi le seul à pouvoir te rendre heureuse. C'était inexplicable et ça n'avait pas vraiment besoin d'explications au fond. Vous êtes ce que vous êtes et vous ne pouvez simplement pas vous passer l'un de l'autre. Vos lèvres séparés à contre cœur, tu voulais perdurer un peu son supplice, tout comme le tien d'ailleurs. T'étais sadique après tout, et on en dira pas moins du mec en face de toi. Mais bizarrement, l'idée que tu puisses aller faire un road trip ne l'enchantait pas plus que ça et tu le ressentais au son de sa voix. Serais-ce les premiers symptômes d'une peur Cody Bleeker ?. « Ouai et devine ? Ce sera mon tout premier road trip. J'sais pas vraiment comment ça se passe, mais j'ai quand même hâte. » Oui oui vous l'aurez compris, elle insistait la Dia, elle voulait encore voir sa tronche là, celle qu'il venait de faire à l'instant, le mec pas très à l'aise à l'idée que tu partes en tournée de folie avec des copines. S'en est une chose, mais l'autre chose, c'est que le boulet qu'il est, n'avait pas capté ton geste. Tu te facepalmais again en plaquant ton front contre son torse. « Cody Cody Cody... Je viens de te faire jurer sur ma tête et si t'as menti, je vais me faire écraser par un camion. JE VAIS MOURIR !. » Criais-tu à lui casser les tympans. Bah ça, il avait bien mérité tiens. « J'te préviens ! Avant de mourir, tu vas devoir m'épouser ou sinon je viendrais te hanter à vie, A VIE et je ferai de ta vie, un cauchemar. JE SUIS SÉRIEUSE ! Et puis vois le bon côté des choses, après ma mort, tu hériteras de ma fortune. » Dis-tu en regardant ailleurs et en sifflotant dans le vide. Le connaissant, tu savais qu'il pensera d'abord au fric avant de penser à tes jolis mots d'adieu sur ta tombe. Du Bleeker quoi. Subitement, il agrippa tes cuisses tandis que tu prenais place à califourchon sur son bassin. Hola como estas Dia ?. Pas muy bien du touuuuut. T'étais serrée à mort et le mec t'obligea à te torde en arrière en fourrant sa tête dans ton cou pour littéralement te mordre. Et voilà qu'il se prenait pour Damon Salvatore. Ce que tu adorais ça. Mais vu que t'étais quand même chatouilleuse, tu haussais légèrement ton épaule en lâchant un petit rire au passage. Ta main glissais à l'arrière de sa nuque tandis que tes lèvres frôlaient sa tempe dans de petits baisers fiévreux. Ton corps bouillonnait et répondait à l'appel du sien. Ivre de ses baisers. Tout était bien parti pour une folie du moment, mais en voulant répondre à sa petite remarque, ton portable glissa de la poche de ton chemisier pour s'écraser au sol sans endommagement. Ton ex s'empressa de le rattraper et deviniez quoi ? Il n'avait pas l'intention de te le rendre puisque monsieur se permit de zieuter. Pas que tu avais quelque chose à cacher, mais tout de même. « Hey ! Non, rend-le moi. » Et parce qu'en plus, il se permettait de répondre à ta place. Inutile d'essayer de lui arracher car de toute façon, t'avais aucune chance. So, tu arquais un sourcil en croisant les bras sous ta poitrine alors qu'il rangea ton portable dans sa poche arrière. « On en était à...C'était quoi ça ?. » L'interrogeais-tu en lui pinçant ses deux tétons et fixant sa poche arrière. T'arracher ton tel, Sérieusement ?. Tu ne le savais pas si curieux...quoi que si, mais tu ne t'attendais pas à ce qu'il réagisse ainsi. Quelque part, tu trouvais ça jouissif, mais faut dire que t'étais en grande partie, un peu choquée. « Tu veux des cookies toi aussi ?. » Demandais-tu sourire aux lèvres. Tes derniers messages sont de Jordy et donc tu conclus que c'était à lui qu'il répondait.

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Son Road Trip de crotte là, Cody Bleeker ne voulait juste pas en entendre parler. Il savait très bien comment ça se passait quand trois nanas célibataires prenaient la route. Dans les pornos, ça finissait peut-être en threesome, mais la réalité elles s’entraidaient pour que celle qui a perdu son mec trouve un autre pour le remplacer. Donc wesh, Cody n’approuvait pas mais il dit rien, se contentant de grimacer. Puis Diamantika lui expliqua son geste que le commun des mortels interpréterait comme un ’prends ma température’, mais venant de la blondasse ça se traduisait autrement. Evidemment. Sinon, ce serait trop simple. Puis là elle s’emballa, elle parla mariage, manquait plus qu’elle la kidnappe pour qu’il tombe amoureux, tiens. Cody l’arrêta en posant son index sur ses lèvres et la remit à sa place ; « Euuuh, minute papillon, laisse-moi divorcer avant hein, chaque chose en son temps. » Il était encore marié à Joan, remember ? Puis vint le moment où les baisers enflammés rencontrèrent la peau fraîche et vierge de toutes caresses depuis quelques semaines, avant d’être interrompu par un accident de téléphone. Puis Cody prit la place de Diamantika et répondit à ce fameux Jorden qui n’arrêtait paaaaas de parler de Cody là, ça devenait lourd. Il faisait une crise de jalousie, ce que Cody interpréta par un ’je kiffe trop Dia mais elle kiffe trop son ex alors je la harcèle par texto pour dénigrer ce bouffon’. C’est clair que c’est vachement mature de faire ça. Les hommes, les vrais, ne font pas ça. Mais apparemment, chez certains mecs, les couilles étaient livrées en option, un peu comme le GPS sur les nouvelles voitures. Naturellement, quand Diamantika lui demanda ce que c’était, il répondit ; « Ton téléphone. » Avant d’enchaîner et de prendre possession de sa bouche, escaladant ses mains dans son dos sous son t-shirt. Elle avait qu’à la récupérer, c’était plus intéressant. A lire les texto, maintenant Cody est un bull terrier qui faisait des golden shower à Dia pour marquer son territoire. STP. Mais là, Dia le renvoya à l’obsession de l’autre idiot sur les cookies. « Non. » lâcha Bleeker, presque froidement. « Mais ce mec veut coucher avec toi. » ajouta-t-il en haussant les épaules, feignant l’indifférence. Pas qu’il s’en foutait, mais que pouvait-il dire ? Il devrait même être heureux qu’elle passe à autre chose, qu’elle trouve un gars qui sache ce qu’il veut et qui ne soit pas toujours enclin à de multiples sautes d’humeur tel Bleeker. Non, c’était cool pour elle, vraiment. Puis c’est pas comme si Cody se sentait particulièrement menacé ; apparemment ce Jorden n’était pas totalement sorti de l’adolescence ; « Tu veux qu’on parle de lui ou je peux te sauter dessus ? » demanda Cody en relâchant tous ses muscles et s’adossant contre la cabine. Ouais parce qu’autant fermer les parenthèses Jorden maintenant, non ? Il ne méritait pas que Cody lui accorde beaucoup d’attention, pas plus qu’il ne méritait l’attention de Dia by the way.

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Bon, une chose que t'aurais pas dû faire, c'était de parler de mariage. Monsieur renvoya le sujet Joan au tapis. Jojo c'était ton amie et tu ne la détestais pas au contraire, tu l'aimais beaucoup cette fille aussi cinglée que toi. Mais ce que tu détestais par contre, c'était son mariage avec Cody. Ouai tu détestais ça et il le savait. Donc t'avais pas tellement apprécié qu'il te stoppe pour en parler. Grognant, tu poussas légèrement son doigt en tournant ta tête sur le côté. « Vos un an ne sont pas encore écoulés ?. » Bah ouai, t'étais vénère et il savait à quel point ce sujet était un peu stérile de ton côté. Tu le détestais à chaque fois qu'il te rappelait qu'il était marié et tu le détestais encore plus à chaque fois qu'il te rappelait du jour où tu avais dû signer ces foutus papiers. Franchement ? Que du bidon tout ça. De toute façon, on sait tous que c'était juste parce qu'il voulait faire de Joan, une Bleeker. Si si histoire d'agrandir sa minuscule lignée Bleekerienne qui ne s'arrêtait juste qu'à trois ou quatre personnes. Anyway, tu reposais ton regard sur lui en chassant toutes pensées néfastes de ton esprit. Et pour revenir au sujet de ton portable, tu semblais percevoir une lueur de jalousie inavouée, inespérée surtout. Mouais, arrête de te faire des idées diamant, impossible qu'il soit jaloux... à quoi t'as pensé tête de cruche ?. Ta chair appelait sa peau à chaque fois qu'il te touchait, tu n'eusses le temps de plonger langoureusement ta langue, qu'il stoppa ses baisers électrisants en te répondant sèchement d'une remarque qui te pétrifia sur le coup. Genre, Jorden voulait coucher avec toi ? Vraiment ?. Il n'est pas bien le Coco je vous jure, il a pissé dans son froc ou quoi ? T'explosais de rire en posant une main contre ta bouche. Et le pire dans tout ça, c'est qu'il était sérieux. « Tu délires ? Où est-ce que t'es allé chercher cette idée ?. » Jordy voulait te pecho ? Mais n'importe quoi. Je suis sa bonne amie, celle qui l'avait réconforté en lui tendant mouchoir après mouchoir. Celle qui l'avait hébergé chez les Kovalevski pendant six mois alors qu'il était au bord du suicide. Ouai bon presque. « Il adore juste me faire des cookies, c'est sa façon à lui de me remonter le moral. » C'est ton poto quoi. Ou alors t'étais vraiment blonde de la cervelle et tu ne t'apercevais de rien. Quoi qu'il en soit, il ne semblait pas vouloir s'attarder sur ce sujet et tu partageais son avis, même si là toute suite, t'arrivais pas à stopper ton rire. « Petit un, t'es gourmand et petit deux, on avait pas parlé par sms que tu me sautes dessus non ? Et petit trois...ummm il n'y a pas de petit trois. » Affirmais-tu en posant ton index sur son torse afin de le repousser un grand sourire aux lèvres. « Pour me sauter dessus va falloir d'abord que tu acceptes un tête à tête. » Tu te relevais pour t'asseoir sur ses cuisses histoire de faire des pauses grimaces souvenirs. Et une fois terminée, vous vous partagiez les photos. Néanmoins, pour bien lui torturer la conscience, tu te redressais et baissais légèrement ton short afin de lui laisser voir la couleur de ton string hyper sexy qu'il pourrait arracher avec les dents s'il acceptait tes recommandations. Mais pas ici évidemment. BEN QUOI ? T'avais pas encore dit que la Diagarce était de retour ?. Bah ouai Bleeker, pour ton plaisir OU ton malheur. Tu te laisses pencher en avant, mains sur ses épaules, front contre front, nez contre nez que tu caressais en smackant ensuite ses lèvres. Geste que tu répétais deux fois de suite... « T'as envie de moi, t'as envie de caresser mes courbes parfaites, t'as envie de déposer tes lèvres sur chaque parcelle de ma peau aussi douce que la soie, t'as envie que je plante mes ongles dans ton dos et me voir crier au plaisir. T'as envie que Codynosaure entre en collision avec Kovagin et explose en mille étincelles, t'as envie que ma langue joue avec la tienne dans une rumba sensuelle. T'as envie de voir ma peau de blanche neige rougir sous tes douces et merveilleuses tortures, je sais que t'en as grave envie et même la bosse entre tes cuisses le prouve. » Murmurais-tu d'une voix rauque à son oreille. En fait, il n'a jamais eu envie de toucher une autre fille que toi, sinon ça aurait été déjà fait. « Et juste pour info, garde ton zgeg dans ton pantalon lorsque tu vas voir une autre nana. T'as réussi à le faire jusque là, tu peux bien continuer. C'est pour éviter que je t'étrangle comme lorsque j'ai eu envie de le faire en lisant CS. J'veux pas avoir de sang sur les mains. » Oh aller come on Bleeker, ce n'était pas difficile. Puis attends, t'avais le corps de Dia pour toi tout seul, n'importe où, n'important quand. C'était suffisant pour combler tes journées have hot sex. Puis, tu ne sais pas quelle idée t'avait pris, mais tu sortais un peu la tête dehors histoire de regarder gauche puis droite...DROITE DANGER. Trois mecs de sécurités venaient vers le photomaton super vénères. Quelqu'un vous a balancé. MIERDA. « Nous sommes repérés, va falloir courir Bleek. » Annonçais-tu peinard en attrapant ton sac et en sortant du photomaton à vive allure courant comme une cinglée à travers Phoenix. Heureusement que la course de ses sécurités ne s'arrêtait qu'au photomaton.

flappy bird.

Kiss me beneath the milky twilight

Non, un an de mariage ne s’était pas écoulé et Cody ne divorcerait certainement pas même au bout de ces un an. Vous avez ne serait-ce que la moindre idée du prix d’une enveloppe assez bien affranchie pour expédier tout un dossier de divorce ? Avec, tu peux t’acheter trois bières, TROIS. Alors pourquoi sacrifier trois bières pour quelque chose inutile pour lui ? En plus, il trouvait ça trop classe de cocher la petite case ’marié’ chaque fois qu’il demandait une nouvelle carte de fidélité. Il roula des yeux et répondit, sans une once de motivation ; « Je divorcerai. Un jour. » Peut-être. Puis vint le sujet Jorden et Cody se demanda si Dia était une imbécile ou si elle était … Une imbécile. Faut pas être aveugle ; le Jojo passait son temps à se pourrir l’existence en parlant de Cody à tout bout de champ pour le dénigrer aux yeux de Diamantika, sachant très bien que tout effort serait vain. Il veut la pécho. C’est sûr. Mais il n’eut pas le temps de le caser, puisque Kovache sortit ses cornes d’allumeuse pour l’occasion, ce qui fit grincer des dents le brunet. « Un tête à tête ? Genre un rencard ? » Pour info, les deux tourtereaux n’avaient jamais vraiment pratiqué le rencard. Leur relation échappait à toutes conventions. Mais elle continua, jusqu’à même limite se dessaper sous ses yeux alors que honnêtement, c’est pas voir la couleur du string d’une meuf qui le chaufferait. Elle l’a pris pour Alexander ou quoi ? Non. Désolée, mais non. « Une bosse ? » Il grimaça et regarda son pantalon. Rien d’alarmant en soi, le navire n’avait pas quitté le port. « Tu m’as pris pour Quasimodo Del Paris ou quoi ? Là-dedans, c’est plutôt la larve dans 1001 Pattes. La grosse, de larve. » Celle qui veut devenir un papillon weeesssh. Mais elle fut coupée dans son discours de meuf en chaleur par les autorités qui les avaient repérés. Ouffff, heureusement qu’il en fallait plus pour exciter le Bleeker et qu’ils n’étaient pas à oilpé dans le photomaton. Mais Diamantika s’en alla en courant, laissant Cody se démerder. Eukééé. Lui, il sortit tranquillement de la cabine, saluant les agents. « Bonsoir, bonsoir. Comment vous allez ? » - « Que faisiez-vous tout ce temps dans la cabine ? » demanda un grand black, sosie de Samuel L. Jackson avec la corpulence de Big Mamma. « On m'abusait sexuellement. J'étais séquestré. Vous n’avez pas vu la blonde qui s’en fuit là-bas ? » Et dès que le flic tourna la tête, Cody se jeta sur lui et attrapa sa casquette avant de se mettre à courir, défonçant tout le monde sur son passage. TOUCHDOWN. Putain, son année de football américain lui donnait de l’endurance au Bleeker. Il sortit de l’aéroport et atterrit directement dans une grande avenue de Phoenix. Histoire d’échapper complètement aux autorités, il enfila la casquette sur la tête et la tint fermement alors qu’il continua de courir, espérant toutefois que Dia ne soit pas partie trop loin.

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