FlashBack Junel.♥. ♦ Le temps d'une soirée d'été

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Y'aura du sang sur mes mains, si un homme te fait souffrir♥

Nous sommes en été 2014. Je ne partais pas en vacances car il fallait que je prépares mes stages qui vont avoir lieux un peu avant la rentrée. Mes études me prennent toujours la plus grosse partie de mon temps, et des fois j'ai envie de tout envoyer en l'air pour prendre du recul. Mais je ne peux aps... Pourquoi? Parce que, je n'ai pas le temps. Triste vie !
J'étais donc plongé dans mes fiches et dans mes multiples dossiers a remplir, quand soudain je reçois un appel. Je prends mon téléphone en main, et sur l'écran je peux voir le prénom de Juny avec sa bouille en fond d'écran. Je décroche.
Elle n'avait pas l'air bien, et je crois que la jolie brune voulait parler. Pas par téléphone, il fallait que je me déplace. J'acceptes et en raccrochant je soupire. Je n'avais pas une minute pour pisser, et la fallait carrément que je prennes ma soirée complète? Bon, c'est pour une fille merveilleuse, alors tu vas bouger ton cul Gaël.

20 minutes a peines viennent de passer. J'avais enfilé un jean avec les bords pliés vers l'extérieur - certains personne diront que j'ai le feu au plancher vu que l'on aperçoit mes chevilles - , une chemise noire et des vans noires. J'avais tenté de faire au plus vite pour rejoindre mon amie dans le besoin. Une fois devant l'endroit où elle crèche je lui envoie un téléphone pour prévenir que je suis devant. Il faisait bon dehors, alors je me disais simplement que ce serait bien de prendre l'air.
Une fois le message envoyé, je sors mon paquet de clope, en amène une a ma bouche, et je l'allume. Je tire quelques taffes, mais June ne tarde pas a pointer sa bouille. Une fois a ma hauteur, j'éloigne ma cigarette en mettant ma main sur le coté, et de mon bras libre je l'enlace en lui disant " Oh ma Belle... " Je marque un pause pour lui embrasser le sommet du crâne, et je demandes " Qu'est ce qu'il t'arrives? "
J'avais l'habitude de la voir toute souriante, et la, sa mine est triste. J'espère que je vais pouvoir avoir un impact sur son moral, et surtout qu'elle ne va pas fondre en larme. J'en aurais le coeur tout serré . Si il faut, je passerais la nuit avec elle a parler, et a tenter de voir un joli sourire sur sa petite bouille.

JUNEL ♥

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Juillet 2014, j’ai passé le bal avec Nathaniel, un garçon que j’avais rencontré lors d’un vol Paris-Boston, le courant était de suite très bien passé entre nous, nous nous étions bien entendus et il avait énormément de charme, je n’étais pas du tout insensible à celui-ci d’ailleurs. Mais les choses s’étaient corsées par la suite pour une histoire de valise perdue. Nate est moi nous étions cependant réconciliés durant le bal de fin d’année puisque nous étions le cavalier l’un de l’autre sans même le savoir puisque nous avions répondu chacun à une petite annonce de recherche de cavalier. Lorsque je l’avais retrouvé le charme avait de suite opéré et j’avais l’impression que je ne le laissais pas indifférente, il m’avait même proposé qu’on fasse un voyage tous les deux, dans un van. Je m’étais dit que lors de ce voyage, on pourrait peut être devenir plus que des amis. Nathaniel n’arrêtait pas de me faire des petites allusions et il me draguait ouvertement, je lui avais même dit que je l’appréciais, genre qu’il me plaisait.
Cependant ce soir je lui avais envoyé quelques sms puis un appel et ce fut le coup fatal pour moi, il venait m’apprendre qu’il sortait avec Iris, la jeune femme qu’il m’avait présentée lors du bal. Cela m’avait brisé le cœur et je ne comprenais pas qu’il fasse ça, pourquoi jouer sur deux tableaux en même temps ? Pourquoi faire semblant que je lui plaisais. J’avais demandé à Gaël de venir et quand il était arrivé, j’avais les larmes aux yeux, je me demandais encore ce qui clocher avec moi. Des petites larmes coulaient sur mes joues lorsqu’il me prit dans ses bras : « C’est à cause de Nath… ». Gaël savait bien que le garçon ne me laissait pas indifférent : « Il m’a appelé et il sort avec une autre fille… ». Je n’arrivais même pas à dire ça à haute voix tellement c’était inattendu : « Je suis vraiment trop conne, je pensais qu’il m’aimait bien… ».

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Y'aura du sang sur mes mains, si un homme te fait souffrir♥

Au téléphone, j'avais bien comprit que June n'était pas très bien ce soir. C'est bien pour ça que j'avais accepté de laisser le coté professionnel et que j'étais venu aussi vite que possible. Je me demandais bien ce qu'était la raison de sa tristesse... Son père? Un accident? Ou un truc concernant ce garçon dont elle m'avait parlé?
Une fois devant, j'avais prévenu de mon arrivée, et la jolie brune ne tardait pas a me rejoindre. Ses yeux étaient remplis de larmes, je la serre donc dans mes bras en demandant ce qu'il se passait. De sa petite voix, elle m'indique c'est a cause de Nath. Je me décolle un peu, je la fixe en la tenant par les épaules et j'écoute la suite. Quand mon amie me dit qu'il venait de téléphoner pour lui dire qu'il sortait avec un autre fille, je n'ai pas pu m'empêcher de laisser sortir un " Quel crétin... " Oups. Je passe mon pouce pour essuyer ses larmes, et ne cesse pas d'entendre chacun de ses mots.
" Eh.. Ne dis pas ça. C'est lui le connard dans l'histoire, pas toi. " Bah oui, il mériterait même que j'aille lui foutre mon poing en pleine figure. Il fait pleurer une fille merveilleuse, il joue avec elle, et ne se rend même pas compte de ce qu'il laisse. Franchement, c'est qu'un pauvre idiot. " Viens, ont va se poser " Je lui prends la main, et je vais m'asseoir dans l'herbe; a coté de June. Je pose ma main sur son genou, et je donnes mon avis " Ecoute, si tu as cru qu'il t'aimait bien, c'est que Nath a tout fait pour que tu le penses. Je ne sais pas dans quel but, vu qu'il est avec une autre maintenant... Mais ce n'est pas ta faute " Je lui fais un petit sourire, et je poursuis " Y'a des mecs qui jongle avec plusieurs filles pour le plaisir... Tu n'avais aucun soupçon sur lui et .... " Je ne savais pas le prénom de la fille, donc je dis simplement " Sa copine? "
Je sais que ça ne doit pas être facile pour la jolie brune d'en parler, mais il faut bien le faire. Comme ça, je peux comprendre, et ça va la soulager. Faut jamais garder des trucs comme ça au fond de nous, ça peut détruire et surtout nous rendre malade.

JUNEL ♥

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Je soupirais quand il le traitait de crétin, malheureusement oui, avec moi les garçons étaient toujours des crétins, je ne savais pas pourquoi. Mais c’était peut être moi qui avait un problème, j’étais peut être pas faite pour être en couple, être amoureuse, à chaque fois tout tombe à l’eau alors que je n’ai rien demandé. Gaël essaie de me rassurer comme toujours, mais j’ai peur, je me dis que je ne trouverais jamais l’homme de ma vie. Il me demande à ce qu’on se pose et j’hoche la tête, je suis triste alors je ne vais pas aller dans la décision contraire, je m’allonge dans l’herbe et je me mets directement dans les bras de mon meilleur ami, voilà une paire de bras forte qui ne fera peut être pas d’ennuie. Je soupire quand il me demande dans quel but c’était, je le sais car tous les garçons ont le même à mes yeux : « Il voulait juste coucher avec moi sans doute mais pourquoi faire semblant de m’apprécier… ». Oui, autant me draguer directement, sans prendre la peine d’essayer de me connaitre, d’aller plus loin. J’essayais d’expliquer la situation : « Justement, il connait Iris depuis longtemps et il m’a dit que si il ne l’avait pas revue nous aurions pu vivre quelque chose, mais elle a débarqué et voilà… ». Je me serre contre mon meilleur ami en posant ma main sur ses abdos, j’ai l’impression que lui, il me comprend, il me fera pas de mal. « Si tu choisis une fille un jour, qu’il se passe un truc avec elle, lui fait pas de mal… ». Oui, pour l’instant avec Gaël c’est étude et étude mais je ne voulais pas le voir briser une fille en deux.

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Y'aura du sang sur mes mains, si un homme te fait souffrir♥

Je déteste quand une personne s'en prend a quelqu'un de mon entourage. Et encore pire, si on touche a mon meilleur ami. Ce Nath n'avait vraiment pas intérêt a croiser ma route pour le moment, ce serait mieux pour son bien être et surtout pour son visage. Je ne suis pas quelqu'un de violent, mais voir les larmes de June, ça me torture littéralement.
Nous étions allongés dans l'herbe, avec la tête de la jolie brune sur mon torse. J'espérais vraiment que notre moment l'aiderait a aller mieux. Si elle m'a téléphoné, je me dis que c'est pour cette raison donc... Quoi? Franchement si il avait juste l'idée de coucher avec elle, c'est vraiment le dernier des enfoirés. Elle n'avait jamais eu de chance sur le plan affectif, Nath devait le savoir si il avait fait sa connaissance, et si il avait un minimum discuter avec elle. " J'vais lui faire remonter les testicules dans sa gorge.... " Je me rends compte de ma violence verbales, et je dis " Pardon... C'est juste que ça me rend dingue de te voir souffrir " Oui, faut pas toucher a ma petite June.
Ma main vient alors se poser dans ses cheveux pour lui caresser lentement et tendrement, tout ceci en écoutant ses paroles. " Comment il peut te dire que vous auriez pu vivre quelque chose alors qu'il vient de se barrer avec une autre? C'est culotté! " Je soupire de peine. Je sens ensuite le corps de la demoiselle se serrer contre le mien, et je l'entoure de mes bras pour avoir une meilleure étreinte. Pour la réconforter, et lui montrer que moi, je ne lui causerais jamais du tord. Et justement, ma meilleure amie me demande de ne jamais faire de mal a une fille. Je lance un petit rire, et je prends la parole " Ma petite amie, c'est la communication. " Eh oui, j'avais eu une histoire il y a moins d'un an, mais décidément, ce n'est pas pour moi. Donc je me concentres sur mes études " Mais oui... Je ne ferais pas de mal a ma future petite amie. Même si elle a un meilleur ami pour la réconforter derrière " Je faisais une référence a notre relation.
June peut compter sur moi , et je sais que dans n'importe quel moment, je peux compter sur elle.

JUNEL ♥

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Monter les testicules dans la gorge ? Je ne suis pas certaine que ce genre de pratique va vraiment m’aider dans ma vie sexuelle et amoureuse mais je comprends que Gaël ai envie de défoncer le jeune homme en question, je n’ai jamais eu de chance en amour et à chaque fois que j’ai une peine de cœur c’est vers lui que je me tourne car il peut me comprendre, m’épauler, m’aider. Il me disait que ça le rendait dingue de le voir souffrir, qu’est ce que je pouvais faire…Rien, j’étais une vraie poissarde avec les garçons de toute façon. « J’aimerais trouver un garçon bien et ne plus avoir à souffrir, tu sais mon Gaël… ». Je soupirais, je ne comprenais pas la réaction de Nate, pourtant je pensais bien le connaitre mais franchement, c’était que des conneries, des paroles en l’air, ça avait un air de déjà vu et cela m’énervait plus que tout : « Mais justement il me dit que si c’était fille n’était pas réapparu du jour au lendemain, il aurait été avec moi sans doute… ». Oui c’est à ni rien comprendre et c’est sans doute pour ça que les hommes et moi c’était si compliqué. Je souriais lorsqu’il me dit que sa petite copine c’était ses études, je me mis à passer mes mains sur ses abdos en me retournant pour poser ma tête sur son ventre : « Non, il faut que ta vie sexuelle soit rempli autrement que par des bouquins et c’est bien d’avoir quelqu’un sur qui compter tu sais… ». Heureusement que je l’avais lui, je remontais ma tête au niveau de son torse avant d’ajouter « Tu as intérêt, sinon massacre à la tronçonneuse ! ». Bon je rigole mais à peine, je ne veux pas qu’il utilise des filles non plus lui.

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Y'aura du sang sur mes mains, si un homme te fait souffrir♥

Franchement, je ne vais pas décrire ce qu'il y a dans ma tête, sinon je pourrais mal finir. Mais pour donner un indice, je construis juste d'énormes scénarios pour Nath, et dans mon cerveau il souffre beaucoup. C'est tout ce qu'il mériterait, d'avoir des douleurs insupportable pour avoir fait pleurer la plus extraordinaire des filles de cette université. Quand June me dit qu'elle aimerait vraiment trouver quelqu'un de bien, je fais un oui de la tête pour accompagner mes paroles " Je sais bien ma Belle. Et tu trouveras... Paraît qu'il faut embrasser pleins de crapauds avant de trouver le prince charmant " Et je lui souris. A voir, il n'y avait plus de larmes qui coulaient.
" Ouais... C'est facile a dire une fois que la connerie est faite. " BAH OUI! Si Nath voulait construire quelque chose avec June, ou tentait l'expérience d'une relation. Il n'aurait pas été dans les bras de l'autre. Je veux dire, si j'ai de l'affection pour une fille, que je pense qu'il est possible de construire quelque chose de bien, je ne vais pas sortir avec la première demoiselle qui sonnera a ma porte. C'est une métaphore, mais une bonne façon de voir la bêtise de ce crétin.
Quand je sors les confidences de ma vie amoureuse et sexuelle, la réponse de ma meilleure amie me fait lancer un petit rire. " Tu t'en fais pour ma vie sexuelle la? " Et je reprends après quelques rires " J'ai déjà quelqu'un sur qui compter... C'est toi " Et je lui envoie un bisous avec ma bouche en cul de poule. Du moins, je fais le bruit pour lui faire comprendre. La main de mon amie parcourait mon torse, j'adorais les petites papouilles, j'en avais même des légers frissons.
Je continu de jouer avec ses cheveux, et je finis par dire pour répondre a sa menace " Ah ouais, tu serais prête a me massacrer? Attention a ce que tu vas me dire... " Une gentille menace a mon tour. Si elle confirme que oui, June va voir ce qui va lui arriver!

JUNEL ♥

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Embrasser des crapauds oui mais j’en peux juste plus, je suis trop fatiguée, j’en ai trop marre des crapauds. Ce n’est pas plaisant, je me réveiller un matin en me disant que l’homme que j’ai à mes côtés m’aime et pour de vrai, je veux me dire que je peux construire quelque chose mais qui irait construire quelque chose avec moi, une fille stérile. « J’en ai marre de la bave de crapaud… ». Avouais-je pour rire, bon c’est vrai que je n’étais pas tombé sur des personnes très bien pour le moment. Je savais bien que Nate n’avait pas agit correctement à mon égard mais quoi dire, quoi faire, de toute façon il était trop tard, je n’avais que mes yeux pour pleurer, Nate voulait rester mon ami mais je n’avais pas besoin d’ami dans son genre, Gaël était beaucoup mieux pour ce genre de chose. « C’est claire mais ce n’est pas lui qui souffre de toute façon… ». Encore un salop qui avait abusé de ma gentillesse. Je me mets à rire quand il me demande si je m’en fais pour sa vie sexuelle, oui, je ne veux pas que mon meilleur ami soit aussi malheureux en amour que moi, non, très mauvaise idée. Je le regarde surprise avant de répondre : « Oui en tant qu’ami mais tu as 21 ans Gaël, donc tu as des envies d’homme et tu ne peux pas rester seul toute ta vie… ». Oui, j’étais persuadé que quand on trouvait quelqu’un à aimer, on était plus heureux. « Oui avec mes gros gants de boxe ! ». Je me mis à rire en m’imaginant frapper de toutes mes forces le petit Gaël.

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Y'aura du sang sur mes mains, si un homme te fait souffrir♥

Ma dernière petite amie en date était partie a la mort de sa soeur sans me donner de nouvelles. Un pétage de plomb intérieur qui l'a emmené a tourner le dos a de nombreuses personnes. Alors faut dire que je n'étais pas spécialement plus chanceux en amour. Qui se ressemble s'assemble on dit, alors je ne m'étonnes pas d'être le meilleur ami de June. Ah ah ah.
Quand elle dit en avoir marre de la bave de crapaud, je laisse échapper un petit rire et je lui dis " Tente avec des filles .... Non je plaisante! " Et je continue de rigoler en sa compagnie. Je préférais de loin entendre la mélodie de son rire, que de voir les perles salées lui échapper des yeux.
Quand la jolie brune laisse entendre que malgré tout ça, ce n'est pas lui souffre, je laisse une fois de plus une parole sortir toute seule " Et c'est bien dommage... " Ouais. J'ai des règles dans ma vie, et protéger les gens que j'aime, c'est la première. Alors je fais la promesse intérieure que le jour où je croises ce Nate, il risquerait de tomber sous ma foudre verbale, et si il ose l'ouvrir, ce sera alors une violence physique.
June s'inquiète ensuite de ma vie sexuelle, et sentimentale. " Ne t'en fais pas, mes besoins ne prennent pas le dessus sur moi " J'avais effectivement un certain contrôle concernant mes pulsions. " Je ne compte pas rester seul toute ma vie, mais j'ai le temps pour ça " Oui, je ne veux pas souffrir d'une relation amoureuse. Je préfères largement prendre mon temps et vivre une histoire qui en voudra la peine.
Sa menace précédente m'avait amusé, et j'avais même demandé si elle était certaine. Oh, elle ose dire oui en plus " Anh... Tu pourrais me frapper? D'accord, tu vas le regretter! " Et furtivement, une main se pose sur hanche pour la chatouiller. La deuxième vient dans ses cheveux pour les mettre en bataille. Je sais que je n'ai pas forcément la meilleure position, vu que je suis a moitié en dessous, mais j'ai suffisamment de force pour inverser la tendance si jamais ma meilleure amie se montre coriace

JUNEL ♥

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Avec une fille ? Non, malheureusement je ne crois pas que c’était pour moi, j’aurais peut être moins de soucis c’est sûr mais les jeunes femmes ne m’attiraient malheureusement pas plus que ça et je ne crois pas que je pourrais me passer de faire l’amour avec un garçon. Mon orientation sexuelle est claire d’après moi. « Désolé mais un garçon devra finir par me supporter car je ne me vois pas avec une fille… ». Bon ça serait très certainement un garçon très gentil, très beau et très intelligent d’ailleurs (a). Il me disait que c’était bien dommage mais je préfère ne rien dire, de toute façon l’affaire est faite et ce n’est pas de remuer le couteau dans la plaie qui va faire quelque chose. Personne ne veut de moi et je dois bien en prendre l’habitude. Je le taquinais un peu sur ses besoins sexuels et le fait qu’il soit tout seul depuis quelques temps déjà, Gaël était l’un des seuls garçons sérieux que je connaissais, je ne sais pas comment il faisait à vrai dire. Je ne connaissais aucun autre homme capable de dissocier ses désirs et ce qui se passait dans sa tête à ce point là : « Je sais mais bon, tu as le droit d’avoir une vie comme tout le monde, te prives pas trop pour tes études… ». Je voulais vraiment que mon meilleur ami soit heureux, qu’il ait une vie, des enfants, ce que j’aurais sans doute jamais. Lorsqu’il commença à m’attaquer, je ne pouvais m’empêcher de me plaindre, et non je devais me rebeller ! « Maiiis ». Criais je quand il commença à ébouriffer mes cheveux et me faire des chatouilles, ce n’était pas juste moi je n’avais rien fait. Je pris ses cheveux en main car je savais que les siens étaient très pénibles à coiffer aussi : « Gaël t’es sûr que tu veux ça ? ». Lui demandais-je en le menaçant du regard.

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