BATTHEW ► I WANT TO KNOW YOU, LIKE… RIGHT NOW.

Ça faisait deux jours que je ne savais pas trop comment je pourrais un jour me sentir à ma place dans cette ville. Après tout, j’étais arrivée il n’y a pas si longtemps et tout ceux que je connaissais étaient bien évidemment hors de ma portée. J’avais peur de ne pas réellement leur plaire, et même si des filles comme Adelaide ou Taylor avaient fait en sorte de me présenter comme une personne charmante, ce n’était pas tout le monde qui accepterait une nouvelle personne dans leur vie. Surtout une fille aussi secrète que moi, qui a peur de partager toute son enfance d’un seul coup. Tout ce que j’espérais, c’était qu’à la rentrée, je ne me retrouverais pas seule. Pas oubliée de tous. Ma famille me manquait un peu, même beaucoup. C’était la première fois que je passais autant de temps sans mon père adoptif. Et dieu seul sait à quel point j’ai peur rien qu’à l’idée de ne pas le voir pendant une année entière. Enfin bon, j’allais bien réussir à me ressaisir. Je le devais. Il avait fait tout ça pour moi. Et ça lui brisait aussi le cœur de me savoir isoler de ma famille. En me promenant dans le parc, je voyais une personne assez familière en face de moi. Je m’approchais petit à petit avant de me rendre compte qu’il s’agissait de Matthew. C’était un ami qu’Adelaide m’avait gentiment présenté une fois. Et soyons franc, son charme n’était pas du tout passé au-dessus de moi. Bien au contraire, je le trouvais particulièrement ravissant et bien élevé. Je m’avançais de plus en plus, jusqu’au moment ou seulement un petit mètre nous séparait. « Salut, je suis Bane. » J’étais sociable, même trop parfois, mais je me devais de lui rappeler mon prénom, au cas où il l’aurait oublié. « On c’est rencontré grâce à Adelaide. Un soir. » Je ne savais pas trop quoi faire avec lui, je le connaissais si peu. Il pouvait me paraître très gentil et bienveillant, je me devais rester grande et ne pas me rabaisser, comme je le faisais avant face aux personnes que je rencontrais par accident. Je ne voulais plus jouer à la mignonne petite frimousse sans défenses. Je ne devais plus. Car, n’étant pas une fille à ouvrir ses jambes dès le premier soir, j’essayais tant bien que mal d’apprendre à connaître les autres. Et s’il acceptait, je pourrais même peut-être passer l’après-midi à ses côtés. Enfin, c’est ce que je me disais avant de voir le bout de choux qui était à côté de lui. Je me dirigeais vers le bébé, un grand sourire sur le visage. « Ho mon dieu, elle est fabuleuse. » Habillée toute de rose, je la trouvais à croquer. « C’est… C’est ta fille ? » Si c’était le cas, j’allais vite devoir rabattre mon attirance pour lui et demander à voir la tête de la mère pour mesurer le poids du combat qui allait m’attendre. Je ne baissais jamais les bras. Et ce n’était pas cette bouille de bébé qui allait me faire faire marche arrière, loin de là. J’allais tout faire pour essayer de rentrer un minimum dans la vie de ce petit ange. Sauf si bien entendu, c’était déjà perdu d’avance.

Dans quelques jours, mes amies, en gros ma famille. Vu que de toute façon je n'ai plus vraiment de famille. Pars pour le Summer Camp. L'an dernier se fue un des meilleures Summer camp de ma vie grace a Sienna, pour le moment j'avais décidé de ne pas akker au Summer camp. Je ne voulais que ma fille se retrouve  dans un endroit encore différent, elle a trop de changement dans sa vie en ce moment. Je n'aime pas la bouleversé. Elle est déjà perturbé par le départs de sa mère. Je ne veux pas aggravé les choses en la changeant d'endroit.
Aujourd'hui comme tous les matins nous allions au parc avec Kaly, Kaly ne supporte pas être séparé de Jade, elle la protège comme l'un de ses chiots.  Ma princesse avait voulu sa petite tenue toute rose, faut dire qu'elle est trop belle dans la belle tenue que lui a offert sa tata. Elle courrait avec Kaly.
Une jeune fille s'approchait de moi et se présentais sous le nom de Bane. Je la regardais elle me semblais vaguement famillière. Elle me rappelais qu'on c'étais rencontré un soir grace a Adelaïde. C'est le matin j'ai pas franchement les idées claire mais au bout de quelques minutes j'arrive a me souvenir. D'ailleurs je me souviens bien, elle n'était pas passé inaperçu pour moi.  En la regardant aussi maintenant elle est a mon goût.
"Bonjour, oui je me rappel maintenant" Je sais plus trop comment elle connaissait ma meilleure amie mais sa c'est autre chose et a vrai dire on s'en fiche pour le moment.  Ma princesse venais en courant dans mes bras je la rattrapais au vole pour la faire monté sur mes genoux. Elle avait un grand sourire au lèvre. J'aime la voir heureuse.
Bane me disait que Jade était fabuleuse. Je souris, c'est la plus belle chose qui me sois arrivé alors bien sur qu'elle est fabuleuse. Elle enchaine en me demandant si c'est ma fille.
"Oui c'est ma princesse d'amour, un ma chérie" Lui disais je en faisant un bisous sur le front. Elle se mis a sourir et a se serré contre moi "Oui papa" disait t'elle en s'enfouissant dans mon tee shirt. Je carraissait doucement ces cheveux. Je savais que les preuvent d'affection de ma fille sont souvent très rare ces dernier temps mais elle commence a me faire confiance et a me montré un réel attachement.
" C'est la plus belle chose de ma vie" Disais je avec un large sourire. Je ferais tout pour protégé mon bébé même si elle a 2 ans et qu'elle est rentré dans ma vie il n'y a que quelques mois, elle sera a jamais et pour toujours ma fille et celle que je cherirais jusqu'à ma mort. Je regardais ma princesse
"Tu dit bonjour chérie?" Elle sortait la tête et lâchais un timide bonjour a peine audible.
"T'as de la chance elle dit très rarement bonjour. Elle est pas très bavarde avec les gens qu'elle ne connais pas." Comme tous les bébés en même temps.

Je ne savais pas ce qui m’avait mené à venir ici aujourd’hui, mais dans tout les cas, j’avais eu la meilleure intuition du monde. Ce qui me rendait le plus heureuse c’était sans doute le fait de savoir qu’il se souvenait de moi, malgré le fait qu’on ne c’était vu qu’une seule fois pour le moment. Sa fille était vraiment adorable quand elle le prenait dans ses bras, ça me mettait le sourire aux lèvres et j’étais admirative de cette petite preuve d’amour. « J’imagine bien, elle a l’air exceptionnelle. » Qu’elle soit l’amour de sa vie m’indique que peut-être la voie est libre pour me rendre définitivement vers son cœur. Et j’avoue que je jouissais de cette situation. Il lui demandait de dire bonjour et elle s’exécutait, timidement. Elle était vraiment à croquer la petite, elle me rendait toute impuissante avec ses petits yeux. « Heeey. » Je faisais coucou de la main en même temps que ce son sortait de ma bouche. Pendant que lui m’annonçait la rareté de ses petits bonjours. C’était évident qu’elle devait être timide, on l’est toujours quand on est enfant. « Ce n’est pas évident de parler à des inconnus, c’est sûr. » Je souriais de toute mes dents. « Peut-être que je suis exceptionnelle alors. » C’était flatteur s’il répondait positivement, même s’il le faisait de manière indifférente. Je me tournais alors vers lui, le regardant quelque peu dans les yeux. « Et sinon, cette charmante frimousse a-t-elle une maman aimante envers son papa ? » Question piège. Je m’intéressais seulement à la partie sur le papa en ce qui concernait la maman. Même si au fond de moi, j’espère bien qu’elle ne l’a pas perdue.

Bane me disait que ma fille devais être éxptionnel. Je souriais pour le père que je suis elle est toute ma vie alors forcement pour moi elle est sur un pied d'estale.
"Pour moi bien sur, je suis son père, c'est une vrai princesse a mes yeux" Quand mon bébé lui disait un petit bonjour Bane la regardais en lui disant bonjour, Bane réagissait comme il faut, certaine fille ne savais pas trop si prendre. Bane avait pas l'aire fermé, elle était souriante se qui plaisait a ma princesse. Elle me fit rire, quand elle était exceptionnelle pour que ma fille lui parle.
"Propablement" C'est vrai que Jade était du genre timide. La jeune fille enchainais en me demandans si y avait un mère qui était aimante vers moi. Alors sur se coup la je faisais disparaitre mon sourire. C''était loin d'être le cas quoi. une mère la petite en a déjà plus. Je mettais mes mains sur les oreilles avant qu'elle dise le mot maman. Je l'es enlevais quand elle avait fini sa phrase. Avant de lui répondre. Je posais ma fille par terre en lui disant d'aller jouer. Elle repartais de plus belle voir Kaly qui se mettais a sauté joyeusement quand elle vit ma fille arrivé.
"C'est bon, non sa mère est parti y a quelques mois, elle pleure souvent au mot maman, c'est pout sa que je lui est bouché les oreilles. On a eu Jade, y a deux ans je croyais qu'elle avait avorté, elle me la mi dans les bras y a 4 mois et elle c'est barré 2 mois après en me laissant la petite dans les bras sans rien en vidant son appart. C'est pour sa que entre elle et moi c'est compliqué, c'est rare quand elle me fait des câlin, elle a du mal a se faire a moi. Elle veux sa mère..." Oui c'est très compliqué surtout le soir, elle commence tout juste a m'accepté a ne pas pleuré le soir quand je la couche. Ce qui a été vraiment compliqué.

Parfois, même souvent, il m’arrivait de faire des erreurs et de parler de choses qui ne devrait même pas sortir de ma bouche. Je le savais et je l’acceptais, même si intérieurement, ça me gênait beaucoup de ne pas faire une super impression. Il venait de semi-dire que j’étais exceptionnelle et j’avais enchaîné avec la pire erreur possible, la question mère. Je me sentais limite bête en fait quand je le voyais boucher les oreilles de sa fille au milieu de la phrase pour les relâcher quand j’avais terminé. Je les regardais quand il la posait par terre. Et je regardais cette petite fleur courir assez rapidement avant de me concentrer de nouveau sur ce que disait Matthew. C’était une histoire assez étonnante et tellement compréhensible pour la jolie petite fille. Elle voulait sa mère, et personne ne pouvait la lui enlever de la tête. Le seul côté positif, c’est tout de même qu’elle adopte son père de plus en plus. Je m’asseyais à côté de Matthew sur le banc, et je me demandais s’il fallait que je me dévoile totalement ou seulement à moitié. « Ne t’inquiète pas pour elle, elle doit juste prendre son temps pour te considérer comme son père. Ce n’est pas facile de faire ça. Surtout quand on est attaché à sa mère. Un jour tu te réveilleras et cette petite bouille qui refusais de te donner tout son amour t’offrira tout ce qu’il y a de plus beau au monde » Je me tournais à présent face aux arbres du parc. J’en avais peut-être assez dit… Ou pas. « Ça m’a pris plusieurs années pour trouver les bons parents. Et presque quatre mois pour leur donner un quart de ma confiance. Pourtant aujourd’hui j’ai même peur qu’ils m’oublient. Alors, je suis sûr que très bientôt, cette petite fraise va te surprendre. » Je souriais en me tournant vers lui. Je savais de quoi je parlais avec la perte de mes parents et les nombreuses adoptions foireuses.

Je viens de lui avouer que Jade n'as plus de mère en gros. Elle me dit que Jade se reveillerais un jour pour m'offrir tous l'amour du monde. Je sais bien qu'un jour elle y arriverais. Même si un jour elle n'y arrive pas, ou je ne sais pas c'est ma fille, mon amour ma princesse, la raison de toute une vie et quoi qui se passe je ne la laisserais jamais tombé elle n'as plus que moi.
"Quoi qu'il se passe, qu'elle temps elle mettras ou quoi que se soit. Je serais toujours la pour elle, c'est ma fille, ma vie, elle est ma famille pour toujours et a jamais, quoi qu'il se passe elle n'as plus que moi et jamais je la laisserais tombé" Elle est toute ma vie. elle se tournais pour regardé les arbres, je la regardais quand elle se mi a parlé de son passé. Je ne suis pas a l'aise avec tous sa... Elle m'avouait qu'elle avaot été adopté et qu'elle avait trouvé sa compliqué mais maintenant elle avait peur qu'il l'oublie.
"On oublie jamais quelqu'un qu'on considère comme sa fille"

Je me rappellerais toujours toutes les bêtises que j’avais eu à faire quand j’étais petite pour attirer l’attention, et même pour la détourner. Ça me faisait bien rire d’ailleurs, parce que j’avais bien grandit. Les bêtises et moi, on était plus les meilleures amies du monde, simplement parce que je m’étais complètement calmée et que même si une certaine déception et de la haine envahissait mon corps, je me devais d’éprouver aussi du bonheur et de l’amour à chaque fois. « C’est la seule chose qui comptera. Que tu sois avec elle. » Je souriais puis je quittais les arbres des yeux. Matthew pouvait paraître cachotier, mystérieux. Mais en fait, c’est juste un homme touché par une histoire touchante. J’aimais bien ça. Parce que les mecs trop beaux se croient merveilleux juste parce qu’ils ont un muscle bien dessiné. Merdique. Ouais, je n’aimais pas trop ceux qui restaient sûr d’eux. Je préférais la tranquillité, le bonheur partagé du moment présent. Quand il me rassurait en disant qu’on n’oublierait jamais quelqu’un qu’on peut considérer comme sa fille, ça me faisait sourire, et la petite boule qui se trouvait dans mon ventre disparaissait complètement. « Et heureusement, on oubli jamais notre père. » Doucement, ce dessinait un sourire au coin de mes lèvres. « C’est une chance, parce que franchement, rien ne vaux un papa gâteau avec sa fille. » Je rigolais légèrement, parce que j’en avais fait les frais deux fois. Et mon père adoptif a été très échaudé lors de mon adolescence avec les garçons. S’en était presque drôle.

Je serais toujours la pour ma fille.
"Je sais, jamais je la laisserais" Elle est ma seul famille, mes parents étant disparue, mon frère ne donnant plus de signe de vie je ne savais même s'il était encore vivant, s'il avait suevécue a la maladie... Elle me disait qu'il n'y avait rien de mieux, qu'un papa gateua.
"Oui, je sais bien, je ferais tout pour ma princesse. Et bon je n'ai qu'elle, elle est fille unique, c'est déjà sa, alors avec moi elle vas être pourri gaté sa c'est sur." Je savais que ma fille passais au dessus de tout. J'avais bien compris que Bane avait une histoire compliqué avec ça famille et son passé.
"Tu sais le passé faut le laissé la ou il est, pense a ton avenir et a ton futur. Si quelqu'un compte il sera la pour toi, autrement c'est que cette personne ne te mérite pas."

Il ne la laisserait jamais, et je ne l’oublierais jamais. Cette petite frimousse de bébé qui courrait dans le parc avec une joie de vivre impossible à copier. Il m’avouait qu’il ne la laisserait jamais. Ça faisait plaisir à voir, un homme capable d’aimer autant sa petite fille. Surtout un homme si jeune. D’habitude, les hommes sont plus coincés sur eux-mêmes que sur ce qui les entoure. Matthew était définitivement différent de tout les autres. Dans le bon sens. « Si ça ne venait pas de toi, elle aurait quand même eu tout ce qu’elle voudrait. Rien quand faisant une mine toute triste. Ses yeux t’auraient eu en beauté, je ne m’en fais pas pour elle, elle aura de nombreuses conquêtes bientôt. » Je rigolais. Parce que c’était censé l’inquiété. Ou plutôt le rassurer. Mais je faisais tout le contraire, je lui ouvrais les yeux sur le ô combien son bébé ferait de l’effet dans toute sa vie. Il parlait ensuite du fait qu’on devrait laisser le passé derrière et ne plus s’y consacrer. « Merci du conseil. Puis maintenant, je sais qu’un bébé tout de rose vêtu sera là pour moi en cas de déprime sentimentale. » Une blague, encore et toujours. Mais rien que regarder ce bout’choux vous ferait sourire des centaines de dépressifs. C’est comme ça que je la voix, comme une bouffée d’air frais qui ferait rougir plus d’un bébé.

Elle commençais a me dire que ma fille allait avoir de nombreuse conquète et qu'elle ferais fondre des coeurs. J'avais ma petite idée la dessus déjà.
"Oh tu sais ma fille elle va surtout aller dans un couvent et se faire bonne soeur hors de question qu'un garçon l'approche moi je te le dit!" Oh oui je ne veux pas qu'un seul garçon approche mon bébé. Je sais bien que sa arrivera a un moment ou un autre mais je ne veux pas le réalisé pour l'instant c'est mon bébé d'amour a moi rien qu'a moi. LA jeune fille disait que ma princesse en rose lui rendrais le sourire si elle avait un coup de déprime. Oui ma princesse me donnais beaucoup de bonheur, elle arrivait a me faire sourire souvent, c'était elle qui arrivais a me remonté le moral.
"Oui elle est très douer pour sa." Je la regardais courire avec Kaly Je savais bien que personne pouvais aproché ma fille si j'étais pas a coté d'elle parce que Kaly se mettrais a aboyé instantanément, surtout a montré les dents, un americain staff qui montre les dents sa en fait reculé plus d'un.