Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityKISS ME HARD IN THE POURING RAIN ₪ ALASKA - Page 4
-25%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 Go /512 Go
749.99 € 999.99 €
Voir le deal


KISS ME HARD IN THE POURING RAIN ₪ ALASKA

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Wesh, Cody brisait les rêves des demoiselles en manque d’amouuuurrrr, leur faisant croire au rencard qui finissait en recalage. Même lui ignorait quand était la dernière fois qu’il avait eu un rencard, enfin un vrai, avec l’appellation RENCARD. C’est comme les vins, t’en as ils ont des appellations, ils sont officiels, et t’as ceux que tu fais au fond de ta grange avec des raisins achetés à Carouf. Non sérieusement, le dernier vrai rencard qu’il avait eu remontait à un peu moins d’un an et c’était avec son ex. Galère quoi. Il se mit à rire et répliqua du tac-au-tac ; « C’est toi qu’es basse, on dirait une table basse. » Ouais, téma la répartie de ouf. Sale table basseeee, bientôt à la mode dans toutes les cours de récré. « ça te connait bien ça, n’est-ce pas ? » Puisque fut un temps pas si lointain où elle poussa Cody à coup de pied au cul dans la friendzone. Mais fallait croire que ce temps était révolu. Enfin. Peut-être pas. Bleeker ne se posait pas la question, se disant que tout ça serait éphémère et s’effacerait comme un dessin sur le sable. Ils partirent donc à la recherche d’un coin tranquille pour paresser et éventuellement passer la nuit. Alaska en trouva un et Cody déposa ses précieuses bières sur le côté, puis étira la couverture sur le sol. « Si madame veut bien se donner la peine. » Et il fit un genre de révérence princière pour indiquer leur lit de fortune. Quoique c’était toujours mieux que rien, hein. Puis, à son tour, se coucha  sur le dos, pliant son bras sous sa tête en guise d’oreiller. D’un coup, c’était silencieux, presque trop bizarre en fait. Mais étrangement reposant. Etre ici apaisait avec Alaska apaisait vachement Cody qui avait pris l’habitude d’être sans cesse sur les nerfs à cause des récentes histoires avec son ex.
 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« C’est toi qu’es basse, on dirait une table basse. » J'le regardais avec mes petits yeux. Euh. C'est censé être drôle ça ? Je le regardais avec mes sourcils levaient, comprenant pas vraiment où je devais rire. Du coup, je décidais de passer sans rien dire sur cette blague loupée. Parce que disons que ça cassait le mythe, que le charme de Cody en avait prit un coup. Bon d'accord, j'exagère. Mais quand même, il aurait pu faire mieux. Je l'accuse alors de m'envoyer dans la friendzone. Parce que Cody et moi, depuis quelque temps on se renvoie une balle inlassablement. « ça te connait bien ça, n’est-ce pas ? » Oui et non. Je ne me souvenais pas de ses accusations parce que j'étais bourrée ce soir là, alors j'avais été surprise quand il m'en avait parlé. Mais je connaissais le refrain par cœur puisque c'était pas le premier mec à m'envoyer dans la friendzone, loin de là. Je me décidais alors à reprendre la marche dans un soupir afin de trouver un coin pour dormir. Quand ce fut le cas, Cody installa le plaide avant de se tourner vers moi. « Si madame veut bien se donner la peine. » s'exclame t-il en faisant la révérence. Je vins alors m'allonger avec un sourire sur le plaid, j'étais sur le dos et mon regard était perdu dans les étoiles. Cody s'était allongé lui aussi et le silence s'était installé entre nous. Bizarrement, j'me sentais triste, mélancolique. « Tu sais, les étoiles, elles me font peur. » commençais-je doucement. « Elles sont belles, le genre de beauté à couper le souffle. Mais elles sont au dessus de tout, elles sont l'infiniment grand. Comme un labyrinthe où tu te perds et où tu pourras jamais trouver la sortie. Et surtout, elles sont là, paisibles et elles nous rappellent à quel point nous ne sommes rien. » C'était le moment philosophique de la soirée par Alaska Hamilton. « L'amour c'est comme ça aussi, dans l'genre flippant. Ça te fait rêver, mais au fond, tu ne fais que t'attacher à quelqu'un qui n'arrivera jamais à te rendre heureux. » C'était plus les étoiles que je regardais à ce moment là. Non, je regardais juste le profil de Cody Bleeker. Mon étoile à moi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Allongés côte à côte sur la couverture, un silence s’installa entre Alaska et Cody. Ça ne gênait pas le Lowell qui, contre toute attente, adorait le silence. Au final, quand on avait rien à dire, c’est que tout allait bien, non ? Alors il ferma les yeux, pas loin de s’endormir. T’façon, lui, dès qu’il était couché il s’endormait. Pire qu’un chat. Quoiqu’il pouvait tout autant être couché et super en forme, mais j’précise pas dans quel genre de moment puisque ce que n’était pas à l’ordre du jour huhu. Ce fut Hamilton qui brisa le silence, parlementant et philosophant au sujet de l’immensité des étoiles, et elle qui était toute petite. Cody s’esclaffa en silence ; ça lui rappelait Joan, son ex. Etudiante en astronomie, elle arrivait à tout ramener aux étoiles. Ça la passionnait. Mieux encore ; ça la fascinait. A croire que Cody avait le chic pour s’énamourer des nanas fana des étoiles. Mais quand Laska ramena ça à l’amour, Cody n’eut pas d’autres choix que de mettre fin à son silence pour la contredire ; « Si tu étais déjà tombée amoureuse, tu ne dirais pas ça. Tu dirais que l’amour que c’est un saut à l’élastique depuis l’espace mais sans élastique. C’est se laisser bercer par la gravité, se nourrir à l'adrénaline et aux sensations fortes, c’est voir monts et merveilles, des paysages qui défilent, collectionner des moments uniques, c’est vivre et pas se contenter d’exister avant de t’écraser lamentablement au sol, et t’éclater le cœur en mille morceaux. C’est flippant, mais je pense que le voyage en vaut la peine. Le seul problème, c’est que tu ne sais pas par avance quand exactement tu vas t’écraser. Pour certain, le saut dure un mois, d’autres trois ans et pour les plus chanceux c’est toute la vie. L’amour, ce n’est peut-être pas infini. Mais t’as une idée de combien de temps durerait la chute si tu sautais à des centaines d’années lumières de la Terre ? Felix Baumgartner est un petit joueur. Moi, un jour, je sauterai de bien plus haut. » Et même si Cody n’était pas prêt à redonner son cœur sur un plateau d’argent à qui que ce soit, il donnerait tout pour revivre indéfiniment cette sensation.  Il tourna la tête vers Alaska et fut surpris de croiser son regard. Il sourit, puis attrapa sa main pour l’attirer et qu’elle se love tout contre lui.
 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Si tu étais déjà tombée amoureuse, tu ne dirais pas ça. Tu dirais que l’amour que c’est un saut à l’élastique depuis l’espace mais sans élastique. C’est se laisser bercer par la gravité, se nourrir à l'adrénaline et aux sensations fortes, c’est voir monts et merveilles, des paysages qui défilent, collectionner des moments uniques, c’est vivre et pas se contenter d’exister avant de t’écraser lamentablement au sol, et t’éclater le cœur en mille morceaux. C’est flippant, mais je pense que le voyage en vaut la peine. Le seul problème, c’est que tu ne sais pas par avance quand exactement tu vas t’écraser. Pour certain, le saut dure un mois, d’autres trois ans et pour les plus chanceux c’est toute la vie. L’amour, ce n’est peut-être pas infini. Mais t’as une idée de combien de temps durerait la chute si tu sautais à des centaines d’années lumières de la Terre ? Felix Baumgartner est un petit joueur. Moi, un jour, je sauterai de bien plus haut. » Je le regardais parler, j'observais son profil, la façon dont sa mâchoire pouvait s'articuler. Il était beau. Il avait un charme fou et un humour à mettre toutes les filles dans son lit. J'avais l'impression que la seule personne qui ne savait pas tout ça sur Cody Bleeker, c'était lui-même. Ce qu'il disait laissait rêveur. Surtout moi. J'étais le genre de fille qui faisait croire à tout le monde que j'avais une carapace en béton qui me protégée et aussi, je me cachais derrière l'humour et mes âneries, mais en réalité, j'étais sentimentale. Assez pour rêver d'amour, de cet inconnu que j'aimerais connaitre autant qu'il me fait peur. Cody tourna la tête dans ma direction quand il eut terminé de parler de l'amour et de ce voyage qui semblait très beau. Je lui rendis son sourire et j'acceptais volontiers de venir me blottir contre lui. J'étais terriblement bien et je resserrais doucement mon étreinte. « Ça me fait peur. J'ai peur de sauter. J'espère un jour trouver un homme qui pourra me montrer que c'est une étape qui en vaut la peine, qui saura m'accompagner. J'espère pouvoir vivre ça. » dis-je doucement. Je l’espérais du fond du cœur.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Cody ne trouvait rien de plus superficiel que cette peur de l’amour. On avait peur des monstres, des personnes, pas d’un sentiment. Le brunet l’adorait, il ne se sentait jamais aussi vivant que lorsqu’il se trouvait en parfaite harmonie avec quelqu’un. Puis franchement, ses meilleures parties de baise, il les avait vu qu’avec les petites amies qu’il avait profondément aimé, c’est-à-dire Joan et Diamantika. Tout a un goût meilleur, même – et surtout – le sexe. Alors OK, ça faisait mal, ça faisait souffrir, et rêvez pas hein, derrière ses blagues à la con et son attitude si détachée de tout se cachait un homme qui avait eu le cœur piétiné à plusieurs reprises. Mais il n’avait jamais regretté de se relancer là-dedans, même s’il avait souvent tiré des longs mois de dépression de ses précédentes histoires. Ou alors il était peut-être masochiste. Il inspira et expira profondément en écoutant Alaska, ce qui le fit pouffer de rire ; « T’es vraiment une chochotte en fait. Elle est où la bonhomme qui court à poil dans un lac et qui s’en fout de tout ? » Parfois, il la soupçonnait de schizophrénie tellement elle était contradictoire. « ça te tombera dessus un jour ou l’autre. Et j’espère que ce jour-là, tu ne fuiras pas. Y a rien à craindre. J’te jure que la chute est pas chère payée pour le voyage que c’est. » Non mais on aura tout vuuuu, Cody qui rassurait Alaska et qui lui disait de ne pas fuir, alors qu’il tenait des discours totalement contraires avec son ex. Quoique ce n’était pas pareil. Cody connaissait déjà le saut Diamantika, et il n’avait pas beaucoup aimé l’atterrissage. Mais l’inconnu, ça c’est jouissif.  
 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'était facile pour lui. Il avait déjà de l’expérience. Pour ma part, j'étais vierge. Je ne connaissais pas l'amour. Pourtant, j'avais fréquenté Andrew, mais j'étais trop jeune et puis, sa famille m'avait mis à la porte avant même que ça prenne une tournure importante. Seulement Hardin avait eu le privilège de me connaitre mieux, parce que j'avais aveuglé, me disant qu'il allait se passer quelque chose, mais rien. Au lieu de cela, il s'était servit de ce que je lui avais dit pour me détruire. Désormais, il savait où appuyer pour me faire mal et il n'y avait rien de plus désagréable que de se sentir vulnérable. « T’es vraiment une chochotte en fait. Elle est où la bonhomme qui court à poil dans un lac et qui s’en fout de tout ? » Je ne peux pas m'empêcher de pouffer de rire à sa remarque, mais je reprends très vite mon sérieux. « Elle est là. Mais derrière, il y a une petite fille bien plus blessée que tu ne le pense. » Ça c'était certain. S'il savait tout ce que j'avais pu vivre, il comprendrait pourquoi j'étais autant atteinte. Il comprendrait pourquoi j'étais autant obsédé et terrifié par l'amour. On avait pas la même façon de penser, mais j'étais certaine qu'il pouvait me comprendre. Je redressais alors ma tête pour pouvoir le regarder, glissant doucement ma main sur sa joue pour la caresser tendrement. « ça te tombera dessus un jour ou l’autre. Et j’espère que ce jour-là, tu ne fuiras pas. Y a rien à craindre. J’te jure que la chute est pas chère payée pour le voyage que c’est. » Je souriais alors. « Promis, je serais au rendez-vous. » Au final. Cody était le seul homme à me traiter correctement et ça me suffisait à me faire tourner la tête.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Franchement, ça n’allait tellement pas à Cody de donner des conseils sur l’amour, ‘fin ça prouvait qu’Alaska était vraiment handicapée quoi. Il savait qu’elle était le genre de nana à boire, fumer, perdre la tête facilement, à se donner au premier abruti venu qui lui enverra un texto pour baiser, à réagir au quart de tour, à ne pas se poser, à ne pas se poser des questions en fait. C’est vrai que Cody appréciait beaucoup Alaska, il voyait en elle plus que ce que j’ai énuméré deux lignes plus haut, mais il savait que s’il tombait amoureux d’une fille comme elle, il passerait son chemin. Il y a des chantiers qu’on ne peut bâtir que soi-même, et si Alaska elle-même n’a pas de respect pour elle, pour son corps, il ne saurait l’aider à ce sujet. Parce que c'est comme ça ; si t'as pas de respect pour toi-même, ne t'attends pas à ce que les autres en aient pour toi. Mais il lui épargna les discours moralisateurs ; Alaska n’avait rien demandé et il ne souhaitait pas de confrontation ce soir. « J’veux bien te croire. » répondit-il simplement, songeur. T’façon, c’est clair qu’Alaska se posait trop de questions. Trop de ’et si’ et pas assez de ’vas-y’ quand ça concernait les sentiments. Il tourna la tête et posa doucement ses lèvres sur son front avant de reprendre ; « Ouais mais y a un fossé entre ce qu’on dit et ce qu’on fait. J’espère que tu seras effectivement au rendez-vous quand ça arrivera. Que tu vas pas fuir comme quand t’as cru voir le Loch Ness en pleine Arizona. J’serais pas toujours là pour te secourir héroïquement. » Oui oui héroïquement. Fallait bien qu’il se lance des fleurs puisque personne ne le faisait pour lui.
 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'étais pas du genre à baiser avec le premier venu contrairement ce que pouvait croire mon voisin du dessus. Cody en était la preuve vivante. La seule et unique personne avec qui je me laissais aller était Alexander. Il était un ami de longue date en qui j'avais confiance et les choses faites naturellement la première fois que nous avions franchi ce cap dans notre relation amicale. Avant lui, il y avait eu Hardin. Peut-être que j'aurais été capable de faire le grand saut avec lui, c'était même certain. Je l'aurais fait sans hésiter. Mais malheureusement, ou peut-être heureusement, les désaccords sont arrivés avant de faire le grand saut dans le vide. Non, je ne me jetais pas sur le premier venu pour baiser. Il y avait une question de ressentit, d'attirance et de confiance. Peut-être que j'étais beaucoup plus trash avant, mais je m'étais calmée depuis. Ce soir et ce depuis une semaine, je n'étais pas insensible au charme de Cody. Je n'avais d'ailleurs pas recouché avec Alexander depuis. J'étais peut-être complexe et contradictoire, mais j'avais mes raisons pour être comme ça et je faisais de mon mieux pour réussir à m'en sortir. J'admettais que bien souvent, c'était maladroit. « J’veux bien te croire. » Puis, Cody vint déposer ses lèvres sur mon front pour y laisser un baiser. Je fermais les yeux, profitant de ce petit geste. « Ouais mais y a un fossé entre ce qu’on dit et ce qu’on fait. J’espère que tu seras effectivement au rendez-vous quand ça arrivera. Que tu vas pas fuir comme quand t’as cru voir le Loch Ness en pleine Arizona. J’serais pas toujours là pour te secourir héroïquement. » Je serais au rendez-vous, je l'avais promis. Puis, je souriais, repensant à ce moment où je m'étais jeté dans ses bras. « Qui te dit que j'ai pas fait ça pour être dans tes bras ? » lui demandais-je alors. Je me concentrais de plus en plus sur les battements de son cœur et je sentais la fatigue me gagner de plus en plus.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Dans un monde où tout serait rose, où les relations entre chaque personne seraient faciles, où les promesses volubiles s’oublieraient aussi vites qu’elles se faisaient, où le cœur ne serait qu’une simple éponge qu’il suffirait de tordre et d’essorer pour évacuer rancœur et sentiment, où Cody n’aurait de compte à rendre à personne, là, il embrasserait Alaska. Sur le champ. Ou sur la couverture, en l’occurrence. Il irait même lui faire l’amour, sans se dire ‘oh tiens y a un scorpion sauvage qui apparaît et qui pourrait lancer l’attaque piqûre sur ma fesse gauche’, sans penser aux répercussions sur leur amitié, sans penser à rien en fait. Mais Cody ne pouvait faire abstraction de tout ça, et il ne pouvait pas éternellement s’oublier lui-même. Il était usé par son histoire encore fraîche avec son ex, et ne savait pas s’il était prêt à redonner sa confiance à une femme. Pourtant, avec Alaska, c’était un peu trop tard. La machine était enclenchée, et c’était comme une voiture sur sans frein à main sur une pente à 15% ; tu ne l’arrêtes pas, et même si tu te mets devant en écartant les bras, elle t’écrasera et finira tout de même dans le mur. Dans tous les cas, il pouffa de rire en écoutant Alaska ; « Arrête de me draguer. » avec un petit sourire fier, qui voulait dire en fait ’sisisi continue j’aime ça, j’aime avoir la grosse tête et les poils qui s’hérissent quand tu ouvres la bouche’. Puis, la sentant partir petit à petit vers les bras de Morphée, il se redressa légèrement, suffisamment pour s’éprendre tendrement de ses lèvres une dernière fois, quelques secondes, et se recoucher normalement sans rien ajouter de plus. T’façon, y avait plus de mots à ce sujet.
 
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)